Archive pour le Tag 'Gouvernement'

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Sondage: les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

Sondage:  les Français rejettent très largement un gouvernement exclusivement du NFP

Selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, 73% des Français refusent de voir un gouvernement exclusivement composé de ministres du bloc de gauche.

. Moins d’une semaine après le second tour des législatives, six Français sur dix (60%) jugent que la dissolution de l’Assemblée nationale était une «mauvaise décision», selon le dernier sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Alors que les résultats des urnes plongent le pays dans l’inconnu avec un Hémicycle éclaté en trois blocs, une majorité des Français (61%) déclarent être «insatisfaits» de cette configuration rendant la constitution d’une majorité très difficile.

La menace du RN sur un gouvernement NFP

La menace du RN sur un gouvernement NFP

 

En déclarant que le Rassemblement national sanctionnera tout gouvernement comprenant des insoumis et des écolos, le parti de Marine Le Pen  rend impossible la formation d’un gouvernement de gauche et même d’un gouvernement de coalition autour du NFP. Autant dire que la crise politique s’approfondit de jour en jour et que l’attentisme dont croyait bénéficier Macron se traduit en pièges supplémentaires. En clair, cette assemblée est actuellement compte tenue des positions des un et des autres complètement ingérable. La France s’enfonce dans une crise politique dont vraisemblablement personne ne peut prévoir l’issue. Le président se trouve maintenant  cadenassé par les exigences contradictoires aussi bien du rassemblement national que des insoumis. À moins évidemment d’alliances aujourd’hui improbables.

Sondage : 30 % des Français seulement favorables à un gouvernement entièrement NFP

Sondage : 30 % des Français seulement favorables à un gouvernement entièrement NFP
Selon une enquête Elabe pour BFMTV et La Tribune dimanche publiée ce mercredi 10 juillet, 7 Français sur 10 ne sont pas satisfaits des résultats de ces élections législatives et, de fait, de la composition du nouvel hémicycle.

À l’inverse, 29% se disent satisfaits, dont 25% plutôt satisfaits et 4% très satisfaits. Si cette insatisfaction domine chez les électeurs du Rassemblement national au premier tour (94%), comme chez les électeurs LR (79%) et d’Ensemble (78%), la majorité des électeurs du Nouveau Front populaire (60%) – la coalition la plus importante à ce stade – se disent satisfaits.

Une sorte de grande coalition entre le camp présidentiel, Les Républicains, la gauche mais sans la France Insoumise convainc 39% des sondés et est soutenue par les électeurs d’Ensemble (77% favorables) et de LR (58%) mais ceux du NFP s’y opposent à 69%

Un tiers des Français sont favorables à une coalition de « centre-droit » regroupant les macronistes et LR tandis qu’un sur quatre plébiscite une alliance entre le camp présidentiel et les partis de gauche dont la France Insoumise. Selon ce sondage Elabe de ce mercredi, les électeurs du RN rejettent l’ensemble de ces configurations.

Qui pour Matignon? 38% des sondés souhaitent que Gabriel Attal soit Premier ministre, 35% Jordan Bardella, 31% Raphaël Glucksmann, 26% François Ruffin, 24% Olivier Faure, 24% François Bayrou, 21% Bernard Cazeneuve ou encore 19% Marine Tondelier.

Si Jordan Bardella (85%) et Gabriel Attal (82%) bénéficient d’un soutien quasi-unanime dans leur socle électoral respectif, l’actuel Premier ministre est également soutenu par des électeurs LR (72%), ce qui n’est pas du tout le cas de Jordan Bardella (10%).

Au sein des électeurs du NFP, aucune personnalité ne fait consensus. Près d’un sur deux envisage Raphaël Glucksmann, François Ruffin ou Marine Tondelier, qui devancent Olivier Faure (45%), Clémentine Autain (38%), Manuel Bompard (34%), Laurent Berger (28%), Jean-Luc Mélenchon (27%), Clémence Guetté (27%), Carole Delga (22%), Boris Vallaud (21%) et Bernard Cazeneuve (18%).

Au lendemain des élections législatives, en observant la composition de cette nouvelle Assemblée nationale, 65% des Français estiment que la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée a été une mauvaise décision.

 

Pour un gouvernement d’union nationale

Pour un gouvernement d’union nationale

 

Au lendemain du deuxième tour des élections législatives les Français se posent la question des conséquences de ce scrutin qui dessinent un paysage politique totalement inédit. Si le premier tour du scrutin a marqué une indiscutable progression de l’extrême droite, le second a vu la renaissance d’un front républicain, hier encore donné pour moribond. En réalité, c’est ce front républicain qui l’a emporté. De même qu’Emmanuel Macron a été élu à la présidence de la République avec le soutien d’électeurs qui ne partageaient pas son programme, les députés du Nouveau Front Populaire tout comme ceux du bloc central l’ont également été avec le renfort décisif de Françaises et de Français ne partageant pas leurs options politiques.

 

par Par Franck Leroy, Président de la région Grand Est dans « La Tribune »

Dès lors, aucun camp, aucun bloc ne peut prétendre que les Français ont choisi son programme et encore moins prétendre à son application intégrale. Seuls les extrêmes ont intérêt à ces postures radicales.

« Nous appliquerons tout notre programme, sans compromis ni concessions » constitue une assertion mensongère inapplicable, sectaire et dangereuse. C’est tout le contraire qu’il faut faire pour répondre aux aspirations de nos compatriotes, désireux de responsabilité et d’unité nationale face à une situation inédite.

Pour répondre à l’aspiration des Français il faut d’abord entendre le message qu’ils ont émis en exprimant au premier tour leur mécontentement, voire leur colère. Négliger cette donnée serait ouvrir la porte de l’Élysée à l’extrême droite.

Les artisans de l’union républicaine réalisée dans les urnes doivent donc se parler, trouver des terrains de coopération et refuser le jeu des postures qui bloqueraient le fonctionnement du pays. Des majorités de projets sont-elles possibles ? À l’évidence, oui !

C’est ce que nous faisons tous les jours dans nos collectivités territoriales, nos communes, nos départements, nos régions. C’est bien méconnaître le fonctionnement de notre démocratie que de prétendre qu’il n’y a pas de proposition faisant consensus entre des députés sociaux-démocrates, centristes, et de la droite non-alignée sur le Rassemblement national.

Le spectacle affligeant des divisions politiciennes crée du rejet chez nos concitoyens. Il convient maintenant et de toute urgence de trouver les voies permettant à un gouvernement soutenu par une majorité de projets d’être en mesure de répondre aux urgences nationales et internationales.

Il est de la responsabilité de l’arc républicain de se rassembler au-delà des divergences et d’engager les réformes attendues. Se rassembler, ce n’est pas se renier. C’est agir pour la sauvegarde nationale. C’est faire acte de responsabilité. Cela passe par un dialogue républicain, à la recherche d’un accord de gouvernement.

En réalité, c’est ce que réclament nos concitoyens en imposant à l’extrême droite et à l’extrême gauche une minorité absolue à l’Assemblée nationale.

La France le réclame. 19 des 27 pays de l’Union européenne fonctionnent sur la base d’une coalition parlementaire, et ça marche ! En expérimentant un parlementarisme réactualisé, les forces politiques de l’arc républicain peuvent opérer ce changement culturel indispensable. Nier cette voie, c’est préférer les petits intérêts partisans à l’intérêt du pays. C’est nier les difficultés qui sont devant nous. C’est négliger les périls provoqués par les tensions internationales. C’est refuser d’entendre l’attente majoritaire des Françaises et des Français.

J’en appelle personnellement au respect de l’expression démocratique du Peuple Français. J’exhorte les dirigeants, de la droite et de la gauche de gouvernement et du centre, à ne pas détruire, au nom de leurs intérêts partisans, l’union réalisée dans les urnes par les Françaises et les Français.

Cette voie doit être explorée dans l’intérêt du pays.

Macron bloque toute perspective de nouveau gouvernement pour un bon moment

Macron bloque toute perspective de nouveau gouvernement pour un bon moment

En s’opposant à un gouvernement intégrant des représentants des insoumis( ou du Front national), Macon inscrit la crise politique dans une perspective durable dont on ne voit guère l’issue pour l’instant. Macron après avoir précipité le pays dans la crise s’en lave les mains d’une certaine manière et réclame à l’assemblée nationale une impossible union permettant de constituer une majorité absolue ou relative suffisamment conséquente .

 

Si les macaroniste seraient éventuellement ouverts pour certains à la venue de responsables de gauche, d’autres y sont opposés et préfèrent le rapprochement avec LR intitulé désormais » droite républicaine » à l’assemblée. Le problème est que pour l’instant LR refuse toute perspective d’alliance avec les soutiens de Macron. Autant dire que la situation est complètement bloquée et que la lettre du chef de l’État ne fait pas avancer la situation d’un iota.

Emmanuel Macron bloque ainsi  toute tentative du Nouveau Front populaire, auquel appartient La France insoumise, de constituer un gouvernement. En négociation depuis dimanche soir, les quatre principaux partis de gauche ne sont pas parvenus dans ce délai à s’entendre sur un premier ministre à proposer au président de la République.

Édouard Philippe pour un gouvernement « technique » avec les Républicains

Édouard Philippe pour un gouvernement « technique » avec les Républicains

Finalement le bourbier politique risque de durer pendant des jours, des semaines et même des années faute de  majorité absolue à l’assemblée nationale. Ainsi si la gauche considère qu’elle a gagné avec environ 200 députés à droite chez Macron,  certains considèrent qu’ils n’ont pas perdu. La défaite a en effet été largement limitée paradoxalement par le front républicain et les retraits de la gauche. Du coup Édouard Philippe en tire la conclusion que la droite et l’ancienne majorité de Macron , avec 220 députés, sont fondés à réclamer le pouvoir pour former un gouvernement. Et pour ménager les susceptibilités des  » Républicains », il propose un gouvernement technique. En clair un gouvernement de techniciens marqués politiquement. Avec sans doute Édouard Philippe à sa tête. 

Une manière peut-être aussi pour Édouard Philippe de rebondir face à la candidature probable de Gabriel Attal lors des prochaines présidentielles de 2027. Et de justifier sa proposition :

«Le président va devoir nommer un premier ministre» et «la logique des institutions, c’est qu’il se tourne vers la formation politique, ou plus exactement vers l’organisation politique qui est majoritaire», a déclaré l’ancien premier ministre sur TF1. «Aujourd’hui, il y a le Nouveau Front populaire, il a 182 députés. Mais il y a un autre bloc, au centre, composé de Renaissance, du MoDem, d’Horizons, et des LR. Qui n’est pas un bloc constitué, je le reconnais, mais qui, si on le prend dans son ensemble, fait 220 députés, donc plus que le Nouveau front populaire», a développé le président du parti Horizons, membre de la coalition présidentielle sortante.

Un raisonnement qui se tient à un détail près : les républicains de LR ne souhaitent pas se mouiller dans une majorité avec Macron.

 

FOOT-La Fédération espagnole mise sous tutelle du gouvernement

FOOT- Fédération espagnole mise sous tutelle du gouvernement

Le gouvernement de Pedro Sanchez a annoncé, jeudi 25 avril, la mise sous tutelle de la Fédération espagnole de football, dont l’état-major est visé par une enquête pour corruption, pour « redresser la grave situation dans laquelle se trouve la RFEF », dans « l’intérêt de l’Espagne », organisatrice de la Coupe du monde 2030 conjointement avec le Portugal et le Maroc.

Une décision inédite qui témoigne de la grave crise que traverse le football espagnol

Cette affaire porte sur des irrégularités dans les contrats signés par la fédération espagnole au cours des cinq dernières années, notamment les conditions dans lesquelles la Supercoupe d’Espagne a été délocalisée en Arabie saoudite.

De plus, le Tribunal administratif du sport (TAD) a estimé dans un rapport récent que Pedro Rocha, actuel président de la fédération, et sa direction par intérim avaient commis des fautes « très graves ».

 

Politique : Un Gouvernement de ministres millionnaires

Politique : Un Gouvernement de ministres millionnaires

D’après le journal « l’Humanité », le gouvernement compte au moins 17 millionnaires sur 34 membres. Notons notons qu’en plus la plupart sont parisiens. On ne s’étonnera pas que nos représentants nationaux éprouvent quelques difficultés à comprendre les dégâts de l’inflation surtout dans les couches les moins favorisées. Notons que le journal l’Humanité se fonde sur des chiffres officiels mais que la plupart des responsables politiques fortunés ont pris la précaution de solliciter les vertus de l’optimisation fiscale. En clair de dissimuler une partie de leur fortune. Notons que Macron lui-même ne fait pas dans la clairvoyance dans ce domaine puisque sa fortune accumulée comme banquier a disparu comme par enchantement ; L’intéressé refuse d’ailleurs formellement de s’expliquer à ce sujet.

Les données officielles et stabilisées ne seront pas connues avant plusieurs longs mois, le temps que les responsables politiques fassent leur déclaration d’intérêts et de patrimoine à la Haute Autorité pour la transparence de la vie politique (HATVP). Et que celle-ci, dans la foulée, procède à leur examen avant de demander, si nécessaire, des précisions ou des modifications.

Mais, rien qu’à partir des éléments archivés et exhumés par l’Humanité – après la désignation à une fonction ministérielle ou élective au Parlement, les documents précédents sont, en effet, retirés du site de la HATVP –, il est déjà possible de décompter 17 millionnaires, soit un ministre sur deux.

SOCIETE: Un Gouvernement de millionnaires

SOCIETE: Un Gouvernement de millionnaires

D’après le journal « l’Humanité », le gouvernement compte au moins 17 millionnaires sur 34 membres. Notons notons qu’en plus la plupart sont parisiens. On ne s’étonnera pas que nos représentants nationaux éprouvent quelques difficultés à comprendre les dégâts de l’inflation surtout dans les couches les moins favorisées. Notons que le journal l’Humanité se fonde sur des chiffres officiels mais que la plupart des responsables politiques fortunés ont pris la précaution de solliciter les vertus de l’optimisation fiscale. En clair de dissimuler une partie de leur fortune. Notons que Macron lui-même ne fait pas dans la clairvoyance dans ce domaine puisque sa fortune accumulée comme banquier a disparu comme par enchantement ; L’intéressé refuse d’ailleurs formellement de s’expliquer à ce sujet.

Les données officielles et stabilisées ne seront pas connues avant plusieurs longs mois, le temps que les responsables politiques fassent leur déclaration d’intérêts et de patrimoine à la Haute Autorité pour la transparence de la vie politique (HATVP). Et que celle-ci, dans la foulée, procède à leur examen avant de demander, si nécessaire, des précisions ou des modifications.

Mais, rien qu’à partir des éléments archivés et exhumés par l’Humanité – après la désignation à une fonction ministérielle ou élective au Parlement, les documents précédents sont, en effet, retirés du site de la HATVP –, il est déjà possible de décompter 17 millionnaires, soit un ministre sur deux.

Un Gouvernement de millionnaires

Un Gouvernement de millionnaires

D’après le journal « l’Humanité », le gouvernement compte au moins 17 millionnaires sur 34 membres. Notons notons qu’en plus la plupart sont parisiens. On ne s’étonnera pas que nos représentants nationaux éprouvent quelques difficultés à comprendre les dégâts de l’inflation surtout dans les couches les moins favorisées. Notons que le journal l’Humanité se fonde sur des chiffres officiels mais que la plupart des responsables politiques fortunés ont pris la précaution de solliciter les vertus de l’optimisation fiscale. En clair de dissimuler une partie de leur fortune.

Les données officielles et stabilisées ne seront pas connues avant plusieurs longs mois, le temps que les responsables politiques fassent leur déclaration d’intérêts et de patrimoine à la Haute Autorité pour la transparence de la vie politique (HATVP). Et que celle-ci, dans la foulée, procède à leur examen avant de demander, si nécessaire, des précisions ou des modifications.

Mais, rien qu’à partir des éléments archivés et exhumés par l’Humanité – après la désignation à une fonction ministérielle ou élective au Parlement, les documents précédents sont, en effet, retirés du site de la HATVP –, il est déjà possible de décompter 17 millionnaires, soit un ministre sur deux.

Pesticides : pédale douce du gouvernement pour la restriction

Pesticides : pédale douce du gouvernement pour la restriction

Le programme de réduction des pesticides est remis en cause par le gouvernement. Initialement il s’agissait de diminuer de 50 % ses produits de traitement ici 2030. Du coup, on invente même un nouvel indicateur pour relativiser l’utilisation des pesticides. La conséquence évidemment de la révolte agricole en cours en Europe et récemment en France.

Il y aura donc un nouvel indicateur , lors de la révision du plan Ecophyto

Or, issu d’une concertation, celui-ci est considéré par l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) comme le seul scientifiquement fiable pour mesurer l’utilisation des pesticides -bien que susceptible d’améliorations. Les défenseurs de l’environnement font de son maintien une « ligne rouge » à ne pas dépasser.

« Nos organisations ne peuvent cautionner ce probable retour en arrière de 15 ans, balayant en quelques jours des mois et même des années de travail collectif où nombre de parties prenantes ont œuvré pour la réussite du plan – au premier rang desquels nos ONG, les instituts de recherche ou encore les paysans et paysannes portant l’agroécologie », déclarent les ONG.

Problème : le gouvernement a fait des promesses au monde agricole.

Gouvernement et Numérique : une secrétaire d’État qui n’y connaît strictement rien

Gouvernement et Numérique : une secrétaire d’État qui n’y connaît strictement rien


Aussi bien la formation que son parcours professionnel et politique témoigne de l’incompétence totale de Marina Ferrari comme sous-sous ministre du numérique. Un champ d’activité de toute façon sous la tutelle de l’ambitieux ministre de l’économie Bruno Lemaire.

La nouvelle secrétaire d’État est surtout pointue en diplomaties internationales et en fiscalité. Bref pas plus qualifiée qu’un charcutier ou un boulanger pour parler de numérique et d’intelligence artificielle. Ce qui n’a d’ailleurs strictement aucune importance puisqu’il fallait caser une MoDem au gouvernement pour ne pas fâcher davantage Bayrou.

Preuve de son incompétence, Marina Ferrari a obtenu un 3e cycle en relations internationales et défense à l’Institut des hautes études internationales (IHEI) à Paris.

La députée de Savoie Marina Ferrari, du groupe Démocrate (MoDem et Indépendants), a cependant été nommée, ce jeudi 8 février, secrétaire d’Etat chargée du Numérique.

Un parcours fait au centre. La députée de Savoie Marina Ferrari a fait son entrée au gouvernement, ce jeudi 8 février, en tant que secrétaire d’Etat chargée du Numérique. Son nom avait d’abord été évoqué aux Affaires européennes, ce qui évidemment était plus cohérent.

Élue sous l’étiquette du groupe Démocrate (MoDem et Indépendants), Marina Ferrari est née à Aix-les-Bains en 1973 et a fait ses études dans la région avant d’entamer ses études supérieures à Paris.

Après un passage à l’université de Savoie, elle a obtenu un 3e cycle en relations internationales et défense à l’Institut des hautes études internationales (IHEI) à Paris, finissant d’ailleurs major de promo.

En 2005, Marina Ferrari s’est engagée en politique à l’UDF (Union pour la démocratie française) avant de rejoindre le MoDem lors de sa création deux ans plus tard, en 2007.

Pour sa première campagne électorale, Marina Ferrari, alors inscrite comme suppléante sur la liste du candidat Yann Bezat (MoDem), termine en troisième position, derrière les candidats UMP et PS, dans la première circonscription de la Savoie lors des élections législatives de 2007.

Entre 2008 et 2015, Marina Ferrari passe successivement de seconde adjointe au maire de sa ville natale d’Aix-les-Bains, avant de devenir vice-présidente du département de la Savoie, chargée de l’enseignement supérieur et de l’énergie. Encore pas grand-chose à voir avec le numérique !

La liste complète d’un gouvernement d’incompétents et d’inconnus

La liste complète d’un gouvernement d’incompétents et d’inconnus

On ne change pas une tradition qui ne marche pas. Ainsi le président de la république a décidé de nommer de parfaits inconnus dans de nombreux postes et nombre d’incompétents évidemment pour garder la main sur le gouvernement y compris le Premier ministre qu’il vient de nommer. Comme d’habitude, Macron ne veut surtout pas de personnalités d’expérience et disposant d’un certain poids politique. Concernant le précédent gouvernement ,les Français ne connaissaient pas plus de cinq ou six ministres sur les 40. Cette fois ils en retiendront sans doute autant sur les 30 qui occupent des fonctions dont certaines d’ailleurs particulièrement ésotériques et qui répondent à des tripatouillages politiques de tendances, de couleurs et de pseudos équilibres.

La liste complète d’un gouvernement de pieds nickelés:

• Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique;

• Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer ;

• Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités ;

• Nicole Belloubet, ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse ;

• Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire ;

• Rachida Dati, ministre de la Culture ;

• Sébastien Lecornu, ministre des Armées ;

• Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice ;

• Stéphane Séjourné, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères ;

• Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires ;

• Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques ;

• Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques ;

• Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

A cette liste de ministres, s’ajoute celle des ministres délégués, dont de nombreux noms ont été révélés jeudi soir :

• Prisca Thevenot, chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement

• Marie Lebec, chargée des Relations avec le Parlement ;

• Aurore Bergé, chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les Discriminations ;

• Roland Lescure, chargé de l’Industrie et de l’Energie ;

• Olivia Grégoire, chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation ;

• Thomas Cazenave, chargé des Comptes publics ;

• Dominique Faure, chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité ;

• Marie Guévenoux, chargée des Outre-mer ;

• Sarah El Haïry, chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles ;

• Fadila Khattabi, chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées ;

• Frédéric Valletoux, chargé de la Santé et de la Prévention ;

• Agnès Pannier-Runacher ; déléguée auprès du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire :

• Franck Riester, chargé du Commerce extérieur, de l’Attractivité, de la Francophonie et des Français de l’étranger ;

• Jean-Noël Barrot, chargé de l’Europe ;

• Patrice Vergriete, chargé des Transports ;

• Guillaume Kasbarian, chargé du Logement ;

• Marina Ferrari, chargée du Numérique ;

• Sabrina Agresti-Roubache, chargée de la Ville et de la Citoyenneté ;

• Patricia Mirallès, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire ;

• Chrysoula Zacharopoulou, chargée du Développement et des Partenariats internationaux ;

• Hervé Berville, chargé de la Mer et de la Biodiversité.

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• Bruno Le Maire, ministre de l’Economie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique;

• Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et des Outre-mer ;

• Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités ;

• Nicole Belloubet, ministre de l’Education nationale et de la Jeunesse ;

• Marc Fesneau, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire ;

• Rachida Dati, ministre de la Culture ;

• Sébastien Lecornu, ministre des Armées ;

• Eric Dupond-Moretti, garde des Sceaux, ministre de la Justice ;

• Stéphane Séjourné, ministre de l’Europe et des Affaires étrangères ;

• Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires ;

• Stanislas Guerini, ministre de la Transformation et de la Fonction publiques ;

• Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques ;

• Sylvie Retailleau, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

A cette liste de ministres, s’ajoute celle des ministres délégués, dont de nombreux noms ont été révélés jeudi soir :

• Prisca Thevenot, chargée du Renouveau démocratique, porte-parole du Gouvernement

• Marie Lebec, chargée des Relations avec le Parlement ;

• Aurore Bergé, chargée de l’Egalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les Discriminations ;

• Roland Lescure, chargé de l’Industrie et de l’Energie ;

• Olivia Grégoire, chargée des Entreprises, du Tourisme et de la Consommation ;

• Thomas Cazenave, chargé des Comptes publics ;

• Dominique Faure, chargée des Collectivités territoriales et de la Ruralité ;

• Marie Guévenoux, chargée des Outre-mer ;

• Sarah El Haïry, chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles ;

• Fadila Khattabi, chargée des Personnes âgées et des Personnes handicapées ;

• Frédéric Valletoux, chargé de la Santé et de la Prévention ;

• Agnès Pannier-Runacher ; déléguée auprès du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire :

• Franck Riester, chargé du Commerce extérieur, de l’Attractivité, de la Francophonie et des Français de l’étranger ;

• Jean-Noël Barrot, chargé de l’Europe ;

• Patrice Vergriete, chargé des Transports ;

• Guillaume Kasbarian, chargé du Logement ;

• Marina Ferrari, chargée du Numérique ;

• Sabrina Agresti-Roubache, chargée de la Ville et de la Citoyenneté ;

• Patricia Mirallès, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire ;

• Chrysoula Zacharopoulou, chargée du Développement et des Partenariats internationaux ;

• Hervé Berville, chargé de la Mer et de la Biodiversité.

Sondage Immigration: 77 % ne font pas confiance gouvernement

Sondage Immigration: 77 % ne font pas confiance gouvernement


Un sondage réalisé par l’institut CSA pour CNews, Europe 1 et le Journal du Dimanche, indique que 77% des Français déclarent ne pas avoir confiance en la capacité du gouvernement à contrôler l’immigration.Rien d’étonnant à cela quand par exemple seulement 7 % sont effectivement reconduits à la frontière. Résultat c’est 200 à 300 000 immigrés illégaux chaque année.

Ce manque de confiance est marqué chez 80% des femmes et 73% des hommes, ainsi que chez 81% des jeunes de 18-24 ans et 75% des personnes de 65 ans et plus. Dans les différentes catégories socioprofessionnelles, 82% des employés et ouvriers, 78% des personnes sans activité professionnelle et 71% des cadres et professions intellectuelles supérieures jugent que le gouvernement est incapable de gérer la crise migratoire.

En ce qui concerne les affiliations politiques des sondés, on observe des divergences. D’après le sondage, la totalité des sympathisants de gauche, avec 69% en général et 85% pour ceux de La France insoumise, ainsi que ceux de droite, avec 87% en général et 98% pour les proches du Rassemblement national, déclarent ne pas faire confiance au gouvernement pour cette question.

Écologie: recul du gouvernement face aux agriculteurs

Écologie: recul du gouvernement face aux agriculteurs

Pour calmer les agriculteurs nombre de mesures environnementales sont mises entre parenthèses notamment concernant l’usage des pesticides .

« Nous le mettons à l’arrêt le temps de mettre en place un nouvel indicateur et de reparler des zonages et de la simplification (…) », a annoncé Gabriel Attal, pour qui ce travail doit commencer « dès la semaine prochaine » et aboutir avant le Salon international de l’agriculture, qui commencera le 24 février.
Le nouveau plan « Ecophyto 2030 », encore en consultation, prévoyait en effet de réduire de moitié l’utilisation des pesticides d’ici à 2030 (par rapport à 2015-2017), tout en accélérant la recherche de solutions alternatives. Bien que critiqué notamment par l’Association générale des producteurs de blé et autres céréales (AGPB), le gouvernement avait décidé de maintenir cet objectif même après le rejet par le Parlement européen, en novembre, d’une législation poursuivant le même but.

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