Archive pour le Tag 'Gouvernement'

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Gouvernement : des changements cosmétiques

Gouvernement : des changements cosmétiques


Jean Garrigues, historien et spécialiste politique, réagit sur Franceinfo du jeudi 11 janvier à l’annonce par l’entourage de Rachida Dati de sa nomination au poste de ministre de la Culture dans le nouveau gouvernement du Premier ministre Gabriel Attal. « Le véritable problème pour le gouvernement, ce sera de trouver des majorités au Parlement », affirme-t-il, quelques minutes avant l’annonce officielle de la composition du gouvernement. L’historien questionne le rapport de Rachida Dati à la culture.

« Je ne suis pas sûr que le choix de Rachida Dati apporte quelque chose au projet de réarmement civique », analyse Jean Garrigues. Pour lui, les changements opérés dans le gouvernement sont « cosmétiques » et non pas « significatifs ». Le choix de Rachida Dati apparaît comme « un choix de stratégie politique », et non pas politique « au sens idéologique du terme », estime Jean Garrigues. Avec l’arrivée de Rachida Dati, le gouvernement est droitisé dans sa nouvelle composition. « C’est aussi un problème vis-à-vis de l’aile gauche de la macronie, (…) ça peut affaiblir encore plus le gouvernement de Gabriel Attal », conclut-il.

Le projet de nouveau gouvernement aussi sous les eaux !

Le projet de nouveau gouvernement aussi sous les eaux !

C’est la deuxième fois en peu de temps que le Nord est victime de graves inondations en particulier dans le pas de Calais. Et il aura fallu attendre presque une semaine pour que l’Élysée et le gouvernement se réveille enfin. Un gouvernement qui jusque-là était. té complètement figé par la perspective d’un remaniement.

Par cette évolution politique n’est pas vraiment la priorité des Français puisque 70 % estiment qu’un changement de gouvernement ne changerait pas grand chose en tout cas qu’ils n’en attendent rien attende rien.

Donc brusquement dimanche soir le président change son fusil d’épaule et s’intéresse enfin à la crise météo du nord de la France.

Cela témoigne à l’évidence de la versatilité d’un président qui tente désespérément de se rapprocher de français.

Cela cache sans doute l’échec de Macon concernant la perspective d’un nouveau gouvernement. Il y a de d’abord quelques poids-lourds qui n’en veulent pas comme le ministre de l’économie ou encore Bayrou. Par ailleurs et surtout le parti républicain ne veut pas se griller les ailes avec un président maintenant trop discrédité.
Enfin il y a la difficulté à trouver des personnalités de poids. Cela d’autant plus que Macon entend diriger seul et sans risque d’être contesté.

Bref le profil exigé pour ce poste rend inutile le changement surtout si c’est pour mettre un inconnu comme Élisabeth borne à la place de premier ministre.

Politique- Gouvernement – mini remaniement repoussé

Politique- Gouvernement – mini remaniement repoussé

Il ne fallait sans doute pas attendre grand-chose du mini remaniement du gouvernement envisagée un temps par Macron. Pas davantage que celui déjà en place. D’où la décision du président de reporter un éventuel changement après la défaite annoncée aux élections européennes.

Certes 66 % des Français souhaitent le départ d’Élisabeth Borne met 70 % n’attendent cependant rien de ce changement. Et pour cause, ce gouvernement pléthorique constitué surtout d’inconnus ne marquera pas l’histoire. Sur 40 ministres, à peine une dizaine peuvent être identifiés. Et le seul qui a un peu émergé de cet anonymat global, c’est Attal.

De ce mini changement de gouvernement aurait été de nommer un nouveau premier ministre. Mais pourquoi faire ?

Son remplacement n’est pas aisé car le président ne souhaite aucune concurrence, aucune personnalité qui lui fasse de l’ombre. Des grosses pointures comme Darmanin ou Bayrou n’ont donc aucune chance.

On pourra par contre distribuer à gogo des portefeuilles de débauchage car le gouvernement comprend une quarantaine de ministres dont la plupart ne sert pas grand chose.

Un gouvernement qui ne peut apporter d’éléments très nouveaux puisque la question centrale n’est pas au gouvernement mais dans la majorité. Macron gouverne avec une minorité à l’Assemblée nationale. La seule solution serait de s’allier avec les républicains mais qui réclameraient alors les postes les plus importants . . Ce que ne souhaitent pas non plus Macron.

Conclusion, Le président a décidé de reporter à plus tard un changement qui de toute façon n’aurait pas modifié grand chose sur le plan des rapports politiques en particulier à l’Assemblée nationale.

Politique- Gouvernement : vers un mini remaniement

Politique- Gouvernement : vers un mini remaniement

Il est vraisemblable qu’on va assister assez rapidement à un remaniement du gouvernement. La première mise en cause sera la première ministre Élisabeth Bornes qui a été incapable de bâtir une majorité durable comme l’avait demandé le président.

Son remplacement n’est pas aisé car le président ne souhaite aucune concurrence, aucune personnalité qui lui fasse de l’ombre. Des grosses pointures comme Darmanin ou Bayrou n’ont donc aucune chance.

On pourra par contre distribuer à gogo des portefeuilles de débauchage car le gouvernement comprend une quarantaine de ministres dont la plupart ne sert pas grand chose.

Un gouvernement qui ne peut apporter d’éléments très nouveaux puisque la question centrale n’est pas au gouvernement mais dans la majorité. Macro gouverne avec une minorité à l’Assemblée nationale. La seule solution serait de s’allier avec les républicains mais qui vont réclamer alors les postes les plus importants et finalement prendre le pouvoir dans les institutions. Ce que ne souhaitent pas non plus Macron.

Conclusion quelques modifications pour la forme, peut-être une nouvelle promotion pour Attal mais pas d’arrivée de poids lourd susceptible de faire ombrage au monarque républicain.

Changement de Gouvernement : vers un mini remaniement

Changement de Gouvernement : vers un mini remaniement

Il est vraisemblable qu’on va assister assez rapidement à un remaniement du gouvernement. La première mise en cause sera la première ministre Élisabeth Bornes qui a été incapable de bâtir une majorité durable comme l’avait demandé le président.

Son remplacement n’est pas aisé car le président ne souhaite aucune concurrence, aucune personnalité qui lui fasse de l’ombre. Des grosses pointures comme Darmanin Bayrou n’ont donc aucune chance.

On pourra par contre distribuer à gogo des portefeuilles de débauchage car le gouvernement comprend une quarantaine de ministres dont la plupart ne sert pas grand chose.

Un gouvernement qui ne peut apporter d’éléments très nouveaux puisque la question centrale n’est pas au gouvernement mais dans la majorité. Macro gouverne avec une minorité à l’Assemblée nationale. La seule solution serait de s’allier avec les républicains mais qui vont réclamer alors les postes les plus importants et finalement prendre le pouvoir dans les institutions. Ce que ne souhaitent pas non plus Macron.

Conclusion quelques modifications pour la forme, peut-être une nouvelle promotion pour Attal mais pas d’arrivée de poids lourd susceptible de faire ombrage au monarque républicain.

Gouvernement : vers un mini remaniement

Gouvernement : vers un mini remaniement

Il est vraisemblable qu’on va assister assez rapidement à un remaniement du gouvernement. La première mise en cause sera la première ministre Élisabeth Bornes qui a été incapable de bâtir une majorité durable comme l’avait demandé le président.

Son remplacement n’est pas aisé car le président ne souhaite aucune concurrence, aucune personnalité qui lui fasse de l’ombre. Des grosses pointures comme Darmanin Bayrou n’ont donc aucune chance.

On pourra par contre distribuer à gogo des portefeuilles de débauchage car le gouvernement comprend une quarantaine de ministres dont la plupart ne sert pas grand chose.

Un gouvernement qui ne peut apporter d’éléments très nouveaux puisque la question centrale n’est pas au gouvernement mais dans la majorité. Macro gouverne avec une minorité à l’Assemblée nationale. La seule solution serait de s’allier avec les républicains mais qui vont réclamer alors les postes les plus importants et finalement prendre le pouvoir dans les institutions. Ce que ne souhaitent pas non plus Macron.

Conclusion quelques modifications pour la forme, peut-être une nouvelle promotion pour Attal mais pas d’arrivée de poids lourd susceptible de faire ombrage au monarque républicain.

Serbie : troubles sur soupçon d’élections truquées par un gouvernement pro Poutine

Serbie : troubles sur soupçon d’élections truquées par un gouvernement pro Poutine

Les manifestations violentes se multiplient en Serbie pour contester le résultat des élections législatives du 17 décembre dernier. Des élections qui aurait été truquées par le président nationaliste proche de Poutine. Une situation qui réjouit le dictateur russe dont l’influence s’avance mais sûrement à l’intérieur de l’Europe puisque la Serbie est candidate sérieuse à l’union européenne.

L’opposition conteste le résultat des élections législatives. Dimanche à Belgrade, une trentaine de manifestants ont été arrêtés et deux policiers « grièvement blessés », selon le président nationaliste Aleksandar Vucic. La Russie accuse les Occidentaux de « déstabilisation ».

Des irrégularités ont aussi été pointées par des observateurs internationaux de l’OSCE, l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. Dimanche, des manifestants ont tenté de s’introduire dans la mairie de Belgrade. La police anti-émeutes a repoussé l’assaut.

Le président serbe dément, de son côté, toute irrégularité. Aleksandar Vucic est dans une position d’équilibriste depuis plusieurs mois, à la fois proche de Moscou mais aussi désireux de rejoindre l’Union européenne. La Serbie est officiellement candidate, alors que les négociations d’adhésion ont débuté il y a près de dix ans.

Bayrou: Pour un changement de gouvernement

Bayrou: Pour un changement de gouvernement


François Bayrou: Les Français approuvent massivement cette loi, dans tous les courants de l’opinion, même à l’extrême gauche. Et tout responsable politique conscient devrait aussi approuver le principe d’une telle loi. Car c’est la situation actuelle qui est inacceptable, insupportable et inhumaine.
dans le JDD.

D’un côté, l’impression d’une impuissance généralisée face à la pression migratoire. Déclarations multipliées, mais efficacité jamais atteinte. Le droit d’asile est détourné. Le droit d’étudier souvent aussi.

D’un autre côté, la situation des migrants, livrés aux mafias de passeurs et, lorsqu’ils parviennent en France, enfermés dans la clandestinité. Dans une ville comme celle dont je suis maire, à Pau, ils sont plusieurs centaines. Des dizaines et des dizaines de jeunes hommes, confinés ensemble aux frais de l’État dans des hôtels réquisitionnés, interdits de travail, condamnés à l’oisiveté avec tous les risques de dérives, de bandes communautaires, que les associations et les mairies occupent comme elles peuvent en les faisant jouer au foot. Accepter que cette situation dure, cela aurait été pure lâcheté.

Mais que s’est-il passé pour parvenir à ce que vous avez vous-même qualifié de désordre ?

Le projet du gouvernement était équilibré. Il a été présenté d’abord au Sénat et amendé. Il aurait dû être ensuite débattu par l’Assemblée nationale. Mais il s’est passé un fait inédit. Les oppositions, extrêmes de droite et de gauche, ont additionné leurs voix pour décider que l’Assemblée ne devait pas examiner le texte ! Ils sont élus pour faire la loi et ils décident qu’ils ne feront pas leur travail ! Dès lors, le texte du Sénat restait le seul. Et la procédure où sept députés et sept sénateurs cherchent un accord était difficile.

On ne doit pas devenir français « à l’insu de son plein gré ».
S’en est suivi le coup de Trafalgar du Rassemblement national destiné à faire croire que c’est l’extrême droite qui était à l’origine de cette loi et que le gouvernement était pris en otage. Nous avons pu déjouer cette manœuvre en prouvant que les voix des extrêmes n’avaient pas été nécessaires à l’adoption. On est passé près d’un accident politique.

Que répondez-vous à ceux qui estiment que certains dispositifs consacrent la victoire idéologique du Rassemblement national ?

À aucun moment et sur aucun article du texte cette affirmation n’est justifiée. Par exemple, ceux qui voulaient supprimer l’aide médicale ont été écartés. Soigner les malades, d’où qu’ils viennent, c’est le devoir de tout médecin. Enlever la nationalité française à des binationaux auteurs de crimes, c’est la moindre des choses.

Lorsque François Hollande proteste aujourd’hui, il oublie que c’est lui, lorsqu’il était président, qui a voulu l’introduire. Quant au droit du sol, demander à un jeune qui souhaite devenir français à 18 ans d’en faire simplement la demande solennelle, c’est prendre au sérieux son choix et l’appartenance à notre nation. On ne doit pas devenir français « à l’insu de son plein gré ». Ernest Renan disait : « La nation, c’est un plébiscite quotidien. » Nous ne devons pas être un pays qui braderait sa nationalité.

Vous souscrivez à tout ?

Bien sûr que non, je n’approuve pas l’obligation d’exiger une caution pour les étudiants étrangers. Cela signifie que les plus pauvres n’auraient pas la chance de venir étudier chez nous. On aurait ainsi écarté Senghor ? De la même façon, la possibilité de régularisation par le travail, par la langue et par la formation à nos valeurs républicaines aurait pu être mieux rédigée.

Les deux blocs, c’est fini ! Le pluralisme est la loi de l’avenir.

La majorité présidentielle a montré des signes de grande fébrilité, ça aurait pu finir plus mal. Comment l’expliquez-vous ?

Nous n’avons pas encore appris les règles et la pratique parlementaire d’une assemblée sans majorité absolue. On ne comprend pas que le pluralisme est la loi de la démocratie, et que cela ne cessera pas. Les deux blocs, c’est fini ! À droite, certains députés étaient favorables à la loi, d’autres y étaient opposés. À gauche, les anciens amis de Manuel Valls, ceux de Bernard Cazeneuve, l’auraient sans doute votée.

Le pluralisme est la loi de l’avenir. Mais il faut en réapprendre la pratique. Grâce à nos institutions, le pluralisme ne conduit plus au désordre. C’est pour cela que la Ve République a été créée par le général de Gaulle. C’est au président, élu au suffrage universel, de prendre en compte les différentes sensibilités, et à son chef de gouvernement de chercher le consensus le plus large sur les lois qu’ils portent.

Vous appelez Emmanuel Macron à prendre « un nouveau départ » après les fêtes. En clair, plaidez-vous pour un changement de Premier ministre et de gouvernement ?

Je ne donne pas d’injonction au président de la République. Je dialogue avec lui et ne mets jamais en cause les prérogatives de sa fonction. Le cap qui est le sien, porter toutes les réformes nécessaires, tout en gardant le pays uni, c’est pour moi l’essentiel.

Il y a deux sortes de politiques : il y a ceux qui cherchent leur carburant politique dans la division, dans la détestation et la haine de l’adversaire. C’est ce que fait Trump par exemple. Et c’était mon désaccord avec Nicolas Sarkozy. Et il y a ceux qui ne perdent pas de vue l’indispensable et vitale unité du pays. C’est en cela que le cap d’Emmanuel Macron est pour moi fort et juste. Quitte à affronter des tempêtes, à commettre des erreurs.

On garde le cap, mais on change de Premier ministre et de gouvernement ?

Avec cette loi sur l’immigration s’achève une période de dix-huit mois qui a été très difficile. Les suites du covid, la guerre en Ukraine, l’inflation, la loi sur les retraites, l’immigration, les tensions dans le pays, dans le gouvernement parfois, c’était dur et il a fallu résister. Une nouvelle page s’ouvre. Il faut un élan nouveau, un renouvellement. Mais avec quelles personnalités, quelle architecture gouvernementale semblable ou différente, la même ou plus resserrée, comme je le souhaite ? C’est au président de le décider.

Faut-il ouvrir le gouvernement à des personnalités issues des Républicains ou du Parti socialiste ?

La Ve République, ce ne sont pas des accords d’appareil, avec des partis qui tirent à hue ou à dia. C’est un projet, porté par une personnalité élue au suffrage universel, autour de laquelle on forme une équipe. Cette équipe doit garder sa cohérence et son centre de gravité. Dès lors, les personnalités différentes, riches d’expérience sont les bienvenues.

Majorité : un changement de gouvernement ou la dissolution de l’assemblée début 2024

Majorité : un changement de gouvernement ou la dissolution de l’assemblée début 2024

Après la très grande confusion qui a caractérisé le vote de la loi immigration, force est de constater la crise qui va sans doute s’installer de manière durable au sein même de la majorité. En effet un quart des députés de la majorité n’ont pas voulu soutenir le projet qui s’est dégagé de la commission mixte paritaire du Parlement soutenu par le gouvernement. Pire certains responsables et même des ministres ont menacé de démissionner.

A minima, le président sera donc bien obligé de procéder à un changement ministériel voire même un changement de gouvernement tellement la première ministre voire même le ministre de l’intérieur ont été usés par les péripéties de cette loi.

On pourrait aussi imaginer que face à une crise d’une telle ampleur que la dissolution de l’Assemblée nationale remette les compteurs à zéro pour repréciser l’appartenance des uns et des autres à la majorité comme à l’opposition.

Compte tenu du caractère particulier du président qui n’a cessé d’afficher des contradictions en même temps que son immobilisme, on peut imaginer que le pouvoir décidera de réformer a minima le gouvernement.

Pourtant avec cette réforme de l’immigration sonne la fin officielle de ce qu’on appelait le macronisme sorte de parenthèse politique confuse qui se traduit surtout par la gestion du pays par un homme seul, inexpérimenté, contradictoire et responsable d’amplification de grandes faiblesses dans le pays

Majorité : un changement de ministres, de gouvernement ou la dissolution

Majorité : un changement de ministres, de gouvernement ou la dissolution

Après la très grande confusion qui a caractérisé le vote de la loi immigration, force est de constater la crise qui va sans doute s’installer de manière durable au sein même de la majorité. En effet un quart des députés de la majorité n’ont pas voulu soutenir le projet qui s’est dégagé de la commission mixte paritaire du Parlement soutenu par le gouvernement. Pire certains responsables et même des ministres ont menacé de démissionner.

A minima, le président sera donc bien obligé de procéder à un changement ministériel voir même un changement de gouvernement tellement la première ministre voire même le ministre de l’intérieur ont été usés par les péripéties de cette loi.

On pourrait aussi imaginer que face à une crise d’une telle ampleur que la dissolution de l’Assemblée nationale remette les compteurs à zéro pour repréciser l’appartenance des uns et des autres à la majorité comme à l’opposition.

Compte tenu du caractère particulier du président qui n’a cessé d’afficher des contradictions en même temps que son immobilisme, on peut imaginer que le pouvoir décidera de réformer a minima le gouvernement.

Pourtant avec cette réforme de l’immigration sonne la fin officielle de ce qu’on appelait le macronisme sorte de parenthèse politique confuse qui se traduit surtout par la gestion du pays par un homme seul, inexpérimenté, contradictoire et responsable d’amplification de grandes faiblesses dans le pays.

Immigration: Les Français veulent un changement de gouvernement

Immigration: Les Français veulent un changement de gouvernement

Globalement peu de français soutiennent le projet de texte qui a été rejeté par l’Assemblée nationale. Pire, maintenant ils souhaitent un changement de gouvernement et notamment de première ministre. D’après un sondage Odoxa-Backbone Consulting , Une majorité des Français estiment que le gouvernement a subi un grave échec; un «échec» pour Gérald Darmanin (62%), mais aussi Élisabeth Borne (62%) et Emmanuel Macron (61%). Plus d’un sondé sur deux (54%) estime même que le chef de l’État aurait dû accepter la démission du ministre de l’Intérieur, qui la lui a présentée au soir du camouflet reçu au Palais Bourbon.

Résultat, dans le contexte actuel, le pays réclame un remaniement gouvernemental d’ampleur, avec un changement de premier ministre (63%). Quelque 56% disent aussi souhaiter une dissolution de l’Assemblée nationale, en dépit de la fin de non-recevoir que le président de la République a opposée sur ce sujet aux demandes du Rassemblement national et de La France Insoumise.

Conscientes de la victoire qu’ils ont remportée face à l’exécutif – une première depuis le début de la législature -, les différentes forces d’opposition tentent depuis de capitaliser sur la séquence. Notamment auprès de leurs électorats respectifs qui, contrairement aux Français dans leur ensemble, leur en savent plutôt gré : Marine Le Pen est saluée par 66% des sympathisants RN contre 36% du pays ; Jean-Luc Mélenchon par 45% (Nupes) contre 31% ; et Éric Ciotti par 36% (LR) contre 21%. Une opération que chacun aura donc réussi auprès de sa base.

Société:Remettre certains Français au travail : le véritable objectif du gouvernement

Société:Remettre certains Français au travail : le véritable objectif du gouvernement


En termes technocratiques , le gouvernement affirme qu’il veut libéraliser le marché du travail pour atteindre le plein emploi et soutenir l’économie. La vérité est plus crue, il s’agit pour les pouvoirs publics de remettre au travail certains actifs dont beaucoup se satisfont des différentes aides sociales.À la décharge de certains chômeurs, le fait que le travail est souvent mal rémunéré. Ainsi le bas des grilles de salaires est assez souvent inférieur au SMIC. Du coup, il est plus avantageux de toucher des aides sociales que de faire face aux dépenses nécessaires pour se rendre au travail. Et certains s’installent dans une forme d’assistance sociale.

Nombre de secteurs, pour ne pas dire presque tous les secteurs, souffrent d’un manque de qualification mais surtout de la baisse de la valeur travail. Officiellement il y a autour de 3 millions de chômeurs et du coup dans nombre de tâches un peu difficile, la France compte à la place sur des centaines de milliers d’immigrés. Le phénomène s’est encore aggravé évidemment depuis les 35 heures qui non seulement ont diminué la productivité mais ont installé une ambiance RTT chez de nombreux salariés y compris les cadres. Du coup, nombre d’activités ont été délocalisées pour cette raison mais pour d’autres aussi liés au maquis administratif et fiscal.

Ces dernières semaines, le ministre de l’Economie n’a pas caché l’offensive qui est la sienne de s’attaquer au marché du travail, et à l’Assurance chômage, beaucoup trop rigides à son goût. Si le locataire de Bercy cherche à se positionner sur ces sujets, c’est qu’il est convaincu qu’ils constituent les principales voies pour faire baisser le chômage dans l’Hexagone, alors que celui-ci commence à montrer des signes préoccupants avec une légère remontée ces derniers mois et que l’activité économique fait du surplace.

Le plein emploi est la priorité affichée du gouvernement pour 2024. Elisabeth Borne a ainsi demandé à certains ministres de lui faire remonter des propositions. Mais le problème n’est pas seulement économique ou sociale mais aussi culturel. C’est l’ensemble du rapport à la formation et au travail qu’il faut remettre sur le tapis mais en concertation avec les partenaires sociaux et non de manière technocratique, morceau par morceau ; ce qui conduit nécessairement à des contradictions. Exemple les séniors dont on règle la question des retraites avant d’étudier leurs conditions d’emploi.

Les inactifs ne sont pas responsables cependant de cette insuffisance de qualification. C’est le système scolaire lui-même qui a voulu pousser à peu près tous les jeunes vers des études supérieures générales au détriment des qualifications techniques et professionnelles.

Les syndicats sortir de leur zone de confort et de la seule posture de défense des acquis pour co construire une stratégie économique et sociale cohérente, partagée et à la hauteur des handicaps du pays en particulier en matière de compétitivité et de taux d’activité.

Société-En Allemagne, tous les musulmans doivent condamner le Hamas d’après le gouvernement

Société-En Allemagne, tous les musulmans doivent condamner le Hamas d’après le gouvernement

Comme d’habitude, l’Allemagne ne transige pas avec la sécurité d’Israël et ne joue pas comme d’autres pays l’équilibrisme pour contenter tout le monde dans les pires contradictions. En effet, certains pays et certaines forces politiques mettent sur le même pied d’égalité la responsabilité du Hamas et Israël dans le conflit engagé depuis le 7 octobre. Une manière de se concilier les opinions les plus contradictoires. Un manque évidemment de courage, de pertinence et de lucidité.

La ministre allemande de l’Intérieur a appelé ce mardi 21 novembre les organisations musulmanes en Allemagne à condamner clairement les attaques lancées par le Hamas le 7 octobre contre Israël, tout en mettant en garde contre tout racisme anti-musulmans. «J’attends des organisations musulmanes qu’elles se positionnent clairement et prennent leur responsabilité dans la société», a déclaré Nancy Faeser. «Cela doit être clair, nous sommes aux côtés d’Israël», a-t-elle ajouté.

Environ 5,5 millions de personnes de confession musulmane vivent en Allemagne, dont la moitié possède la nationalité allemande, selon la conférence de l’islam allemand, instance de coopération entre le gouvernement allemand et les organisations musulmanes. Les musulmans représentent 6,6% de la population du pays, un pourcentage qui fait d’eux le deuxième plus gros groupe religieux, derrière les chrétiens (toutes Églises confondues) qui sont 45 millions, soit la moitié de la population en Allemagne.

« Bien vieillir » : une loi bâclée par l’Assemblée nationale et le gouvernement

« Bien vieillir » : une loi bâclée par l’Assemblée nationale et le gouvernement

Le gouvernement et la majorité ne cessent de repousser sans cesse le grand débat concernant le financement de la dépendance liée à l’âge. Du coup pour faire semblant de combler le vide, on a en toute hâte bâcler l’adoption d’une loi intitulée « bien vieillir ». En fait, une disposition réglementaire sur des mesures très accessoires qui portent sur la lutte contre l’isolement des personnes âgées et un dispositif pour signaler les cas de maltraitance.

Seuls les groupes PCF et LFI ont voté contre, LR ne participant pas au vote. Dans ses explications de vote, la députée LFI Martine Étienne a dénoncé une loi qui se résume à une « succession de mesurettes, de fausses bonnes idées et d’effets d’annonce » masquant « l’inaction [du gouvernement] sur la question de l’autonomie ».

Pour LR, Ian Boucart a dit ne vouloir voter ni pour ni contre une loi « sympathique » et avec même quelques « petites avancées », mais qui « se contente à ce stade de bonnes intentions », loin du grand texte promis au début de son premier quinquennat par Emmanuel Macron. Il a rappelé que l’examen de la loi avait été interrompu en avril, pour ne reprendre que sept mois plus tard, ce qui « en dit beaucoup sur la priorité qu’accorde la majorité à cette question ».

En Allemagne, tous les musulmans doivent condamner le Hamas d’après le gouvernement

En Allemagne, tous les musulmans doivent condamner le Hamas d’après le gouvernement

Comme d’habitude, l’Allemagne ne transige pas avec la sécurité d’Israël et ne joue pas comme d’autres pays l’équilibrisme pour contenter tout le monde dans les pires contradictions. En effet, certains pays et certaines forces politiques mettent sur le même pied d’égalité la responsabilité du Hamas et Israël dans le conflit engagé depuis le 7 octobre. Une manière de se concilier les opinions les plus contradictoires. Un manque évidemment de courage, de pertinence et de lucidité.

La ministre allemande de l’Intérieur a appelé ce mardi 21 novembre les organisations musulmanes en Allemagne à condamner clairement les attaques lancées par le Hamas le 7 octobre contre Israël, tout en mettant en garde contre tout racisme anti-musulmans. «J’attends des organisations musulmanes qu’elles se positionnent clairement et prennent leur responsabilité dans la société», a déclaré Nancy Faeser. «Cela doit être clair, nous sommes aux côtés d’Israël», a-t-elle ajouté.

Environ 5,5 millions de personnes de confession musulmane vivent en Allemagne, dont la moitié possède la nationalité allemande, selon la conférence de l’islam allemand, instance de coopération entre le gouvernement allemand et les organisations musulmanes. Les musulmans représentent 6,6% de la population du pays, un pourcentage qui fait d’eux le deuxième plus gros groupe religieux, derrière les chrétiens (toutes Églises confondues) qui sont 45 millions, soit la moitié de la population en Allemagne.

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