Archive pour le Tag 'Gouvernement'

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Supermarchés : le gouvernement veut augmenter les prix !!

Supermarchés : le gouvernement veut augmenter les prix !!

 

Il n’y a pas si longtemps, on aurait sans doute vu un gouvernement agir pour que les prix n’augmentent pas dans la grande distribution. Maintenant c’est le contraire, le gouvernement (avec Valls, Le Foll et Macron)  invite les grands magasins à augmenter leurs prix. Tout cela pour ne pas écraser les producteurs surtout agricoles. En fait en procédant à un amalgame entre la situation des producteurs agricoles (vraiment en difficulté) et l’industrie agro-alimentaire, le gouvernement mélange tout. Les intérêts sont loin d’être les mêmes, ils sont même contradictoires. En outre c’est l’occasion d’opérer de reformes structurelles dans nos réseaux de distribution qui se gavent sur le dos des producteurs comme des consommateurs. De toute évidence le gouvernement est complètement perdu  et ne comprend pas grand-chose aux mécanismes économiques. La déflation n’est bonne pour personne », expliquait le ministre de l’Agriculture, Stephane Le Foll, lundi au Salon international de l’agroalimentaire (Sial). En compagnie de son collègue de l’Economie, Emmanuel Macron, le porte-parole du gouvernement convoque ce jeudi 23 octobre les distributeurs, les représentants de l’industrie agroalimentaire et des agriculteurs. Il s’agit de faire à nouveau le point sur la guerre des prix.  Le gouvernement a-t-il vraiment les armes pour faire remonter les prix? En tout cas, le ton se durcit. Manuel Valls et Stephane Le Foll ont multiplié les avertissements lors de leur visite au Sial. Le Premier ministre a mis en garde la grande distribution sur les pratiques commerciales abusives. Il a alerté sur un risque de « spirale perdant, perdant, perdant ». Un risque qui concerne « les producteurs agricoles et les industries alimentaires », mais aussi, « qu’elles m’écoutent bien, les enseignes de la grande distribution », a insisté le chef du gouvernement.  Dernier « perdant »: les consommateurs « si le tissu économique se déchire ». Manuel Valls a dénoncé « le mouvement de déflation, déjà puissant, qui menace l’activité économique et l’emploi ».  Stephane Le Foll, lui, a rappelé les fondements du crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi. Le CICE, a-t-il souligné, ne doit pas être transformé en outil de baisse de prix.  Le Sial, le grand rendez-vous de l’industrie alimentaire se tient cette semaine à Villepinte. En pleine guerre des prix, les acteurs du secteur ont compris… Ce jeudi, face aux acteurs de la distribution et de l’agroalimentaire au ministère de l’agriculture, les ministres devraient faire un rappel à la loi et promettre des contrôles sévères en cas de manquement. « Il faut qu’on arrête de tourner en rond », explique un acteur du dossier. Cela dit, les distributeurs font preuve de bonne volonté. Leclerc et la Fédération des entreprises du commerce et de la distribution, qui regroupe les distributeurs intégrés, viennent de signer des accords de bonne conduite avec les PME. Ils s’engagent aussi à nommer un médiateur interne à chaque enseigne pour résoudre les conflits lors des négociations commerciales.

 

Le PRG reste au gouvernement…ouf !

Le PRG reste au gouvernement…ouf !

C’est évidemment événement majeur de la période, la menace de part du PRG de quitter le gouvernement ; Un événement important car cela a été l’’oaccasion pour nombre de français qu’il y avait des ministres du parti radical de gauche dans l’équipe Valls. Comme c’était prévisible Jean Michel Baylet très en colère pour avoir été viré du sénat a menacé le gouvernement d’une crise politique puis s’est radouci en n’ obtenant pas grand-chose. Même sur les départements qu’il veut maintenir mais dont la suppression n’est pas prévue ! Jean-Michel Baylet a quand même estimé vendredi que le Parti radical de gauche avait été entendu par le gouvernement après avoir menacé de lâcher la majorité et de retirer ses trois ministres si son parti n’était pas mieux considéré. Le président du PRG a indiqué lors d’une conférence de presse que la décision finale appartiendrait au comité directeur du parti mais qu’à titre personnel, il était satisfait du « pacte de gouvernement » négocié avec le Premier ministre, Manuel Valls.   »En ce qui me concerne, je ne pousserai pas à la sortie du gouvernement compte tenu de la manière dont le président de la République et le Premier ministre nous ont tendu la main », a-t-il dit. « Je peux dire qu’on a été entendus, y compris quant à la méthode ». Jean-Michel Baylet a précisé avoir obtenu satisfaction sur « un grand nombre de nos demandes », dont le maintien pour moitié des départements ruraux dans le cadre de la réforme territoriale. De même, les radicaux de gauche seront associés « en amont » aux décisions gouvernementales, notamment lors des réunions de la majorité du mardi matin, a-t-il précisé. Jean-Michel Baylet n’a pas obtenu, en revanche, l’abandon de plusieurs mesures décidées par Matignon, comme la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu et des mesures d’économies dans la politique familiale. Le Premier ministre, Manuel Valls, avait déclaré un peu plus tôt « ne pas douter » que le PRG resterait au sein du gouvernement. Dernier allié du Parti socialiste, le PRG a fait jouer le fait que le gouvernement avait besoin du vote des 17 députés radicaux pour faire passer un certain nombre de textes. Jean-Michel Baylet a encaissé difficilement d’avoir perdu son poste de sénateur le 28 septembre dernier, rendant le couple exécutif responsable de sa chute.

 

Le Parti radical de gauche menace de quitter le gouvernement, ah bon, c’est qui les ministres ?

Le Parti radical de gauche menace de quitter le gouvernement, ah bon,  c’est qui les ministres ?

Pas grand monde ne sait qu’il y a des ministres radicaux de gauches au gouvernement.  mais comme Baylet président des du mouvement annonce qu’ils vont quitter le gouvernement c’est une bonne manière de rappeler leur présence à savoir Sylvia Pinel, ministre de quelque chose et deux autres aussi sûrement en charge d’un portefeuille. Le Parti radical de gauche (PRG), dernier allié du Parti socialiste après le départ des écologistes du gouvernement, menace de quitter l’équipe de Manuel Valls faute d’obtenir « un pacte de gouvernement » du Premier ministre avant vendredi. Une réunion dans la soirée de lundi à Matignon entre responsables radicaux et socialistes autour du chef du gouvernement s’est achevée sans résultat.   »On continue à discuter », a déclaré à sa sortie le premier secrétaire du Parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, qui s’est dit ouvert à « un nouveau partenariat stratégique », alors que chez les radicaux, certains exprimaient leur frustration.   »On a plus rien à faire avec eux », estimait l’un des participants de la délégation radicale après son dîner avec le Premier ministre, dont la majorité serait gravement affaiblie en cas de rupture avec le PRG.  Ce dernier compte trois membres dans le gouvernement de Manuel Valls mais il demande aujourd’hui l’abandon de plusieurs mesures envisagées par Matignon, comme la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu et des mesures d’économies dans la politique familiale. Il réclame également une négociation sur la réforme territoriale, condition « sine qua non » à son maintien au gouvernement. Autant de conditions qui doivent être tranchées avant la réunion de son comité directeur vendredi.   »Si nous ne sommes là que pour le decorum, nous n’avons pas de raison de rester au gouvernement », a-a déclaré Jean-Michel Baylet dans un communiqué posté sur le site internet du parti.  Le patron du PRG est surtout en colère car il a été une victime emblématique de la défaite de la majorité aux élections sénatoriales, du fait notamment de la division de la gauche dans sa circonscription.  

 

Sénat nouvelle sanction contre le gouvernement

Sénat nouvelle sanction contre le gouvernement

 

C’est évidemment une sanction contre le gouvernement puisque le sénat passe à droite. La conséquence des résultats des récentes municipales mais aussi la grogne des élus locaux (95% des grands électeurs dont la plupart de petites communes) ) qui ne se reconnaissent dans une politique sans résultat économique,  qui abandonne les territoires ruraux et privilégient les urbains bobos. .  L’opposition de droite a donc reconquis dimanche le Sénat, après une parenthèse de trois ans à gauche inédite sous la Ve République, tandis que le Front national fait son entrée à la haute assemblée pour la première fois de son histoire avec deux élus. Les 158.159 grands électeurs (dont 95% de conseillers municipaux) étaient convoqués pour élire 178 des 348 sénateurs. La large victoire de l’UMP et des centristes de l’UDI aux élections municipales a eu les effets mécaniques attendus sur la composition de la chambre haute, mais la « vague bleue » espérée à droite n’est pas advenue. Selon des décomptes partiels portant sur 333 sièges, l’UMP, l’UDI et les divers droite détiennent désormais au moins 180 sièges, soit cinq de mieux que le seuil de la majorité absolue (175), la gauche 151 et le FN deux. « Il y a un rejet complet de la politique socialiste », notamment s’agissant de la réforme territoriale, a dit le sénateur UMP des Hauts-de-Seine, Roger Karoutchi. Le secrétaire général de l’UMP, Luc Chatel, s’est réjoui d’ »une défaite cinglante pour François Hollande », d’ »un nouveau vote sanction pour le gouvernement ». L’ancien ministre UMP François Baroin (76,58%), qui soutient Nicolas Sarkozy, fait son entrée à la haute assemblée après cinq mandats de député dans le département de l’Aube. Les centristes de l’UDI réalisent une percée, un résultat confortant leur volonté d’indépendance à l’égard du grand rassemblement qu’appelle de ses vœux Nicolas Sarkozy, candidat à la présidence de l’UMP.  

 

Déficits : Lagarde (FMI) conteste les arguments du gouvernement

Déficits : Lagarde (FMI)  conteste les arguments du gouvernement

 

Ce que reproche surtout Lagarde du FMI au gouvernement français c’est de beaucoup parler et d’agir peu, à cet égard il est vrai que les 50 milliards d’économies promis par Hollande relève encore beaucoup du virtuel ; Dans une interview aux Échos , Lagarde  démonte un à un les arguments du gouvernement français pour expliquer ses difficultés à réduire ses déficits et relancer sa croissance. «Même si l’inflation est plus faible que prévu, elle ne peut pas être utilisée comme un paravent pour reporter les efforts nécessaires sur la dépense», explique-t-elle ce lundi, rejetant ainsi l’argument avancé par le ministre des Finances, Michel Sapin. Ce dernier avait plaidé la semaine dernière qu’«on ne peut pas avoir les mêmes objectifs (d’économies) avec une inflation qui devient très faible». Le gouvernement français a été contraint cet été de revoir à la baisse ses ambitions en matière de réduction du déficit.  Autre argument du gouvernement français démonté par le FMI: le niveau élevé de l’euro. «Nous ne pensons pas que l’euro soit surévalué par rapport au dollar, assure Christine Lagarde. Sa valeur est compatible avec la balance des paiements de la zone euro». Depuis l’annonce, jeudi dernier, du président de la Banque centrale européenne, Mario Draghi, de baisser les taux d’intérêt à 0,05%, la monnaie européenne est passé sous les 1,30 dollar. Une bonne nouvelle pour les exportations des entreprises françaises et une annonce que la dirigeante du FMI n’a pas manqué de saluer, tout en rappelant que les régulateurs devront se montrer «attentifs» au flot de liquidités que cette décision va engendrer. Christine Lagarde n’a pas manqué de défendre la stratégie de la BCE souvent prise en grippe par François Hollande et Manuel Valls. «La BCE fait beaucoup depuis deux ans, déclare-t-elle. Nous saluons le fait qu’elle soit prête à recourir à des mesures non conventionnelles supplémentaires si cela devenait nécessaire pour faire face au risque d’une période trop prolongée de faible inflation». Appelant la France à «passer des paroles aux actes», la dirigeante réclame que le pays accélère ses réformes pour réduire ses déficits. «Il faut garder le cap de la réduction des dépenses publiques», affirme l’ancienne ministre de l’Économie. En cela, Christine Lagarde salue la volonté de l’exécutif d’avancer par voie d’ordonnance. «Je m’en réjouis. Tout ce qui est de nature à accélérer la mise en œuvre de vraies réformes de fond va dans la bonne direction», conclut-elle.

 

Gel des retraites : une erreur de calcul du gouvernement

Gel des retraites : une erreur de calcul du gouvernement

 

D’abord une erreur de calcul mathématique car avec l’inflation très basse les économies espérées seront moitié moins que prévues (le gouvernement espérait en effet une plus forte inflation pour raboter davantage les retraites avec ce gel). Ensuite une erreur de calcul politique car on touche la moitié des retraités avec ce gel pour les pensions de plus de 1200 euros, donc beaucoup de Français. Erreur de calcul économique enfin car on imposant cette austérité on freine la consommation, la croissance et l’emploi.  En plus d’être impopulaire et d’avoir déchiré la majorité parlementaire, le gel des pensions de base s’avère donc moins lucratif que prévu pour les finances publiques. Afin de parvenir à économiser 50 milliards d’euros, Manuel Valls a notamment décidé, dans le cadre du Budget rectificatif de la Sécu, de ne pas revaloriser cette année les pensions de retraites supérieures à 1.200 euros. Cette mesure, qui touche la moitié des retraites, soit 8 millions de personnes, devait permettre d’économiser 1 milliard d’euros.  Mais selon une information du Figaro du 6 septembre, le gel des pensions de retraite de base devrait rapporter entre 500 et 600 millions d’euros en 2015. Soit environ deux fois moins que prévu.  Un manque à gagner que l’on doit à l’inflation, qui sera environ deux fois moins élevée qu’attendu. « L’année prochaine, là où sur une hypothèse d’inflation de 1,5% on faisait au-delà d’un milliard d’économies par le seul gel de prestations, aujourd’hui ces économies sont remises en cause », avait d’ailleurs expliqué le 2 septembre le ministre des Finances, Michel Sapin, sans préciser le montant de la perte occasionnée. Selon les économistes, il faut plutôt tabler sur une inflation comprise entre 0,7 et 0,5% en 2015.

Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Déclarer « J’aime les entreprises »  c’est bien  mais agir, c’est mieux ;  ce que pensent les Français. Une large majorité de Français a le jugement inverse : 63 % d’entre eux considèrent en effet que « Manuel Valls et le gouvernement n’en font pas assez pour les entreprises » contre 15 % qui jugent que l’exécutif en « fait trop » et encore 15 % qui estiment que ce n’est « pas assez ».  Sans surprise, la proportion de sondés qui pensent qu’il n’y en a « pas assez » pour les entreprises atteint des sommets chez les sympathisants de droite (81 %) de longue date acquis à la politique de l’offre. Une position partagée par 72 % des électeurs du FN. Plus intéressant encore sont les résultats de ce sondage chez les sympathisants de gauche : 44 %, soit une majorité relative, estiment aussi que le gouvernement n’en fait « pas assez », contre 22 % qui juge le dosage bon et 22 % qui l’estiment « trop » favorable aux entreprises. Le président de CSA, Bernard Sananès, voit deux raisons à ces résultats : «L’entreprise est perçue comme un acteur de la sortie de crise» et les Français considèrent désormais «qu’aider les entreprises, ce n’est pas aider les patrons mais l’emploi». De quoi faire écho aux propos du Premier ministre déclarant devant le Medef : «Il n’y a pas d’emplois sans employeurs. C’est pourquoi il est absurde de parler de «cadeau fait aux patrons» ».  A gauche, seuls les sympathisants du PCF et de Jean-Luc Mélenchon jugent majoritairement (47 %) que l’exécutif en « fait trop ». Les sympathisants écologistes pensent, au contraire, à 53 % que le gouvernement n’en fait « pas assez » pour les entreprises. Un avis partagé par 41 % d’électeurs socialistes contre 18 % estimant que c’est « trop ». Voilà qui devrait alimenter le débat entre le gouvernement et les frondeurs du PS, minoritaires dans leur électorat. Plus largement, la conversion des sympathisants de gauche à une politique pro-entreprise rappelle celle survenue dans les dernières années à propos de la fiscalité (les impôts étant devenus impopulaires même à gauche). «C’est une conversion de la même ampleur, mais celle sur les entreprises est plus positive et plus pragmatique», nuance Bernard Sananès, soulignant que, s’agissant des entreprises, les sondés ne se situent pas par rapport à leur cas particulier mais en fonction d’une vision de l’économie. Et d’assurer à la lumière d’autres enquêtes : «Il y a, dans l’opinion, une réhabilitation de l’entreprise.»

 

Le « chômage est un échec du gouvernement » (Rebsamen, ministre du travail) … ah bon !

Le « chômage est un échec du gouvernement »  (Rebsamen, ministre du travail) … ah bon !

 

Etonnant,  avec Michel Sapin, il y a avait toujours des motifs de se réjouir et surtout d’espérer la fameuse inversion mais du coup avec le nouveau ministre Rebsamen, le constat est sans appel c’est l’échec ce qui ne l’empêche pas d’espérer toujours avec la même rengaine : le pacte de responsabilité ! Le martelage sur le retournement de la courbe du chômage fait bel et bien partie du passé. Ce samedi, François Rebsamen, le ministre du Travail, évoque « un échec » à propos de la lutte contre le chômage depuis le début du quinquennat de François Hollande. Pour autant, le ministre se dit convaincu que la politique choisie est « adaptée à la situation économique » et « portera ses fruits ».  Interrogé sur France Info sur les 500.000 chômeurs supplémentaires depuis l’élection à la présidence en 2012 de François Hollande, François Rebsamen, qui a succédé à Michel Sapin au Travail en avril, a dressé un constat sombre.    »C’est un échec, chaque mois j’en mesure la gravité. Derrière les chiffes ce sont des hommes et femmes qui souffrent, qui ont perdu leur travail souvent dans des zones industrielles anciennes où les entreprises n’avaient pas su évoluer, s’adapter à la production de produits innovants », a poursuivi le ministre du Travail. « Je reste persuadé que la politique que nous menons est adaptée à la situation économique; il faut être pragmatique, elle va porter ses fruits », a-t-il affirmé. « C’est long, c’est trop long….C’est vrai, le président de la République en est persuadé, c’est d’ailleurs pour ça qu’il nous demande de booster à travers le pacte de responsabilité et de solidarité », a-t-il fait valoir.  Les derniers chiffres, publiés mercredi 27 août, ont fait état d’une forte hausse du chômage pour le mois de juillet. Plus de 26.000 chômeurs supplémentaires se sont inscrits à Pôle emploi. Le nombre de chômeurs n’ayant pas du tout travaillé a atteint le niveau record de 3,424 millions de demandeurs d’emploi. C’est le neuvième mois consécutif de hausse du chômage.  François Rebsamen a plusieurs fois revu les objectifs du gouvernement dans sa lutte pour l’emploi à la baisse. En avril, il estimait que repasser sous les 3 millions de chômeurs en 2017, comme promis par François Hollande, était « un objectif ambitieux ». En juin, il avait indiqué n’espérer désormais qu’une « stabilisation » du taux de chômage sous le seuil des 10% de la population active d’ici la fin 2014.

 

Immobilier: les pistes du gouvernement…. des gadgets

Immobilier: les pistes du gouvernement…. des gadgets

 

 

Come d’habitude le gouvernement va se satisfaire de gadgets pour faire face à la crise catastrophique que subit le logement. 250 000 logements neufs devraient en effet être construits au lieu des 500  000 promis par Hollande. La question centrale, c’est le prix de la construction et donc la solvabilité des acquéreurs surtout des primo-accédants. La solution pourrait passer par la location du foncier (comme dans certains pays,  sur 100 ans par exemple) ou la vente du patrimoine foncier public en priorité pour le logement ainsi que par l’ allongement de la durée des pr^st jusqu’à 40 ans (là encore comme dans d’autres pays) et par une fiscalité nettement plus avantageuses. Le Premier ministre Manuel Valls en personne annoncera vendredi 29 août son plan de relance de l’immobilier. Certaines pistes sont d’ores et déjà évoquées mais pour certaines elles relèvent surtout du gadget. .  Tout d’abord, il est question d’autoriser ceux qui achètent grâce au dispositif Duflot à louer à leur famille. Concrètement, ces propriétaires auront le droit de louer leurs biens à leurs parents ou leurs enfants. Une piste qui pourrait notamment rendre service aux étudiants, qui peinent à trouver un logement, et qui en loueraient ainsi un directement auprès de leurs parents.  Le gouvernement prévoirait en outre un allègement de la fiscalité sur les terrains à bâtir. L’idée serait de rendre plus vite disponible ces terrains. Tout l’inverse de ce qui a cours aujourd’hui, où plus vous attendez pour vendre, moins vous payez d’impôts sur la plus-value.  Ensuite, le gouvernement voudrait réduire les normes de construction de 10% afin de relancer les mises en chantier.  Du côté de la fiscalité, le dispositif Duflot qui permet, sous conditions, une réduction d’impôt lors d’un achat immobilier pourrait être changée. Ce dispositif pourrait évoluer vers une version encore plus avantageuse fiscalement.  

 

Sondage nouveau gouvernement : 63% mécontents

Sondage nouveau gouvernement : 63% mécontents

Pas étonnant que les français ne soient pas satisfaits de la composition du gouvernement puisque ce sont à peu prés les mêmes. Finalement une opération de communication pour montrer que Hollande et Valls ont de l’autorité. Bref beaucoup de bruit pour rien. Dans un sondage IFOP-Fiducial pour Sud-Radio publié mercredi, près des deux tiers des Français (63%) se disent insatisfaits de la composition du gouvernement et, pour la moitié d’entre eux (51%), de la reconduction de Manuel Valls à Matignon.  Il n’y aura pas de nouvel élan pour l’exécutif. Selon un sondage IFOP-Fiducial pour Sud-Radio diffusé mercredi *, près des deux tiers des Français (63%) se déclarent mécontents de la composition du nouveau gouvernement de Manuel Valls. Un chiffre évidemment très haut pour les sympathisants de l’UMP et du FN, bien moins pour ceux du PS (64% de satisfaits).  La moitié des personnes interrogées (51%) est même insatisfaite de la reconduction du Premier ministre à Matignon. Les Français sont également partagés sur le passage de Najat Vallaud-Belkacem au ministère de l’Education nationale (41% satisfaits, 43% mécontents) ainsi que sur la nomination d’Emmanuel Macron (28% satisfaits, 30% mécontents, 42% ne le connaissant pas suffisamment). En revanche, la grande majorité de l’opinion ne regrettera pas les trois principaux départs de ce gouvernement : Arnaud Montebourg (seuls 31% des sondés affirment le contraire), Benoît Hamon (20%) et Aurélie Filippetti (19%).

Nouveau gouvernement : tout ce cirque pour ça !!

Nouveau gouvernement : tout ce cirque pour ça !!

 

Dans quelques jours one ne parlera même plus de ce pseudo événement que constitue le nouveau gouvernement qui n’est que la reproduction de l’ancien avec l’énarque banquier Macron en plus. En faiat on prend les mêmes et on recommence. La preuve il y13 hauts fonctionnaires dans ce gouvernement (avec surtout des énarques ou de sous  marques de sciences po et institut politiques). Bref la plupart qui ne connaît rie aux réalités économiques et sociales concrètes. Dès ce soir avec les nouveaux chiffres catastrophiques on passera à autre choser et dès demain ce sera à la une des grands médias. Des médias incapables e pus souvenait de faire le lien entre tous les facteurs explicatifs de la crise et qui passe du coq à l’âne ou bien le pus souvent caricature les débats. Exemple sur les déficits où le conformisme ambiant défend l’austérité au non de la réduction des déficits alors qu’en réalité ces déficits ne se réduisent pas  malgré cette austérité. Le secrétaire général de l’Elysée a annoncé ce mardi la composition du nouveau gouvernement. L’équipe des ministres est toujours paritaire et davantage orientée vers la droite de la gauche, et tous se réuniront pour un premier conseil des ministres mercredi à dix heures.

Deux nouveaux

Emmanuel Macron remplace Arnaud Montebourg au ministère de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique. Banquier d’affaires de profession, ancien secrétaire général de l’Elysée et un temps conseiller économique de François Hollande, sa nomination par le président qui annonçait pourtant au Bourget que « son ennemi (c’est) la finance » montre la volonté du couple exécutif de s’entourer de ministres en accord avec la ligne officielle, et plus à droite de la gauche.

Patrick Kanner remplace Najat Vallaud-Belkacem au ministère de la Ville, de la Jeunesse et des Sports. Ancien adjoint de Pierre Mauroy, il est président du Conseil général du Nord depuis 2011.

Deux déménagements

Fleur Pellerin, jusque là secrétaire d’Etat chargée du Commerce extérieur, du Développement du tourisme et des Français de l’étranger, remplace Aurélie Filippetti au ministère de la Culture et de la Communication. Cette dernière avait fait savoir dans une lettre qu’elle ne souhaitait pas retrouver son poste. Fleur Pellerin hérite d’un ministère dans lequel elle devra gérer des dossiers compliqués comme la crise des intermittents, qui ont fait grève tout l’été.

Najat Vallaud-Belkacem, ministre du Droit des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports dans le gouvernement Valls I, remplace Benoît Hamon au ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche : elle est la première femme à être nommée à ce poste. Avant elle, Ségolène Royal avait été ministre déléguée à l’Enseignement scolaire de 1997 à 2000.

►►RENDEZ-VOUS | Najat Vallaud-Belkacem sera l’invitée de France Info mercredi à 8h15

Ceux qui restent à leur poste

Laurent Fabius, aux Affaires étrangères et au Développement durable
Bernard Cazeneuve, à l’Intérieur
Michel Sapin, aux Finances et aux Comptes publics
Christiane Taubira, à la Justice
Jean-Yves Le Drian, à la Défense
Marisol Touraine, aux Affaires sociales et à la Santé
Ségolène Royal, à l’Ecologie, au Développement durable et à l’Energie
Stéphane Le Foll, à l’Agriculture
François Rebsamen, au Travail et à l’Emploi
Sylvia Pinel au Logement, à l’Egalité des territoires et à la Ruralité
Marylise Lebranchu, à  la Décentralisation et à la Fonction publique
George Pau-Langevin, aux Outre-Mers

Auprès du premier ministre
Jean-Marie Le Guen, secrétaire d’Etat chargé des Relations avec le Parlement
Thierry Mandon, secrétaire d’Etat chargé de la Réforme de l’Etat et de la Simplification:
  
Auprès du ministre des Affaires étrangères et du Développement international
Harlem Désir, secrétaire d’Etat chargé des Affaires européennes
Mme Annick Girardin, secrétaire d’Etat chargée du Développement et de la Francophonie
M. Thomas Thevenoud, secrétaire d’Etat chargé du Commerce extérieur, de la
Promotion du tourisme et des Français de l’étranger
 
Auprès de la ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie
M. Alain Vidalies, secrétaire d’Etat chargé des Transports, de la Mer et de la Pêche
 
Auprès de la ministre de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Geneviève Fioraso, secrétaire d’Etat chargée de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
 
Auprès du ministre des Finances et des Comptes publics
Christian Eckert, secrétaire d’Etat chargé du Budget
 
Auprès du ministre de la Défense
Kader Arif, secrétaire d’Etat chargé des Anciens combattants et de la Mémoire
 
Auprès de la ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes
Laurence Rossignol, secrétaire d’Etat chargée de la Famille, des Personnes âgées et de l’Autonomie
Ségolène Neuville, secrétaire d’Etat chargée des Personnes handicapées et  de la Lutte contre l’exclusion
Pascale Boistard, secrétaire d’Etat chargée des Droits des femmes
 
Auprès du ministre de l’Economie, de l’Industrie et du Numérique
Carole Delga, Secrétaire d’Etat chargée du Commerce, de l’Artisanat, de la Consommation et de l’Economie sociale et solidaire
Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat chargée du Numérique
 
Auprès de la ministre de la Décentralisation et de la Fonction publique
André Vallini, secrétaire d’Etat chargé de la Réforme territoriale
 
Auprès du ministre de la Ville, de la Jeunesse et des Sports
Myriam El Khomri, secrétaire d’Etat chargée de la Politique de la ville
Thierry Braillard, secrétaire d’Etat chargé des Sports

Un gouvernement d’énarques, de copains et de coquins

Un gouvernement d’énarques, de copains et de coquins

 

Ps vraiment un vrai gouvernement socialiste plutôt un gouvernement à tendance sociale libérale confuse avec surtout des copains. Des coquins auusi qui font à peu près le contraire de ce pourquoi ils ont été élus. Hollande a préféré une équipe de copains  à la diversité. Sapin, son ami de toujours reste au finances, Cazeneuve à l’intérieur Fabius aux affaires étrangère, Pellerin mute à la culture, Nadaud Belkacem à l’éducation et surtout l’ancien banquier , ancien conseiller de Hollande remplace Montebourg. Comme prévu un jeu de chaises musicales dont la seule surprise est la nomination de l’énarque Emmanuel Macron.  . Ancien conseiller économique de François Hollande à l’Élysée, ancien banquier d’affaires chez Rothschild, Emmanuel Macron est particulièrement décrié sur l’aile gauche du PS où on l’accuse d’avoir largement inspiré le virage social-libéral du président de la République. Son arrivée à la place d’Arnaud Montebourg a d’ailleurs été très mal perçue par l’aile gauche et les frondeurs. «Un gouvernement hollando-hollandiste avec la provocation d’Emmanuel Macron», a grincé Guillaume Balas, secrétaire général d’Un monde d’avance, le courant de Benoît Hamon. Mardi soir, sur France 2, Valls a dénoncé «les étiquettes surannées» accolées à Macron. «Il y a des années qu’on crève de débats idéologiques», a-t-il déploré, affirmant avoir le soutien de l’immense majorité des députés PS, de beaucoup d’écologistes et du PRG. D’ailleurs, il a annoncé qu’il demanderait un vote de confiance au Parlement. Autre signal fort de ce remaniement: la nomination de Najat Vallaud-Belkacem à l’Éducation nationale en remplacement de Benoît Hamon. Un choix qui a immédiatement suscité le tollé des adversaires du mariage pour tous alors que l’ex-ministre des Droits des femmes, de la Ville, de la Jeunesse et des Sports s’est particulièrement illustrée sur ce dossier. Semi-surprise aussi, et seule concession, l’icône de la gauche Christiane Taubira est maintenue à la Justice. Pour le reste, après la fracassante démission du gouvernement Valls I lundi matin, la constitution de Valls II mardi soir a surtout fait figure de ravalement cosmétique. Fleur Pellerin arrive à la Culture à la place d’Aurélie Filippetti. Un proche d’Arnaud Montebourg, le député Thomas Thévenoud, hérite certes du secrétariat d’État au Commerce extérieur, mais au bout du compte, le gouvernement paraît déséquilibré, éloigné du centre de gravité du PS, encore plus de celui de la gauche.

 

Nouveau gouvernement Valls : jeu de chaises musicales et on recommence

Nouveau gouvernement Valls : jeu de chaises musicales et on recommence

 

Il ne faut pas s’attendre à des changements majeurs concernant les personnalités du gouvernement Valls 2. Il y aura au moins 3 partants, Filippetti, Hamon, Montebourg, peut-être Taubira et la venue de 2 ou 3 nouveaux avec un jeu de chaises musicales. En fait tout ça pour ça  alors que l’objectif visait surtout à se séparer de Montebourg.  Aurélie Filippetti, ministre de la Culture, ne retrouvera pas son  portefeuille dans le prochain gouvernement. Pour cette dernière, l’intéressée elle-même l’a confirmé dans une lettre à François Hollande et Manuel Valls, où elle affirme qu’elle n’est « pas candidate à un nouveau poste ministériel ». Arnaud Montebourg a confirmé lui aussi lors d’une conférence de presse lundi après-midi à Bercy qu’il « croyait nécessaire de reprendre sa liberté ». Il a été suivi lundi soir par Benoît Hamon qui, sur France 2, a annoncé qu’il ne participerait « pas au nouveau gouvernement » de Manuel Valls. « J’ai décidé de partir, je m’en suis livré très librement » au président et au Premier ministre, a-t-il affirmé. « Il aurait été incohérent, alors que j’ai exprimé un désaccord, que je reste au gouvernement. », a-t-il ajouté. François Hollande et Manuel Valls pourraient promouvoir André Vallini, actuel secrétaire d’État chargé de la Réforme territoriale, au ministère de la Justice en remplacement de Christiane Taubira. Ségolène Royal hériterait d’un grand ministère de l’Éducation nationale et de la Culture. Michel Sapin, ministre des Finances et des Comptes publics, pourrait récupérer le portefeuille d’Arnaud Montebourg, ou cela pourrait être Louis Gallois, dont le nom est également cité. D’autres noms circulent comme celui de Robert Hue ! Ancien secrétaire général du Parti communiste, il est un proche de François Hollande, qu’il avait activement soutenu pendant la campagne présidentielle. Jean-Michel Baylet, président du Parti radical de gauche (PRG), a pour sa part été reçu lundi soir à Matignon par Manuel Valls. Selon nos informations, le leader des radicaux de gauche aurait deux exigences : le maintien de certains conseils généraux et un assouplissement de la règle du non-cumul des mandats. François Rebsamen a affirmé lundi soir « souhaiter » rester au ministère du Travail, un portefeuille qu’il détient depuis mars 2014. EELV, qui avait décidé en avril de ne pas participer au gouvernement, après le départ de Cécile Duflot, ne se sent pas « concerné » par ce remaniement. Pour eux, l’orientation politique ne change pas. Reste à savoir si les ministrables verts (Jean-Vincent Placé, François de Rugy, Denis Baupin ou Barbara Pompili) obéiront à la consigne.

 

Démission du gouvernement : au mauvais moment, pour un mauvais motif

Démission du gouvernement : au mauvais moment, pour un mauvais motif

 

C’est le pire qui pouvait arriver à Hollande, la démission du gouvernement au moment précis où Valls et lui-même plongent dans les sondages. Un plongeon justifié par des résultats économiques catastrophiques. Or c’est précisément ce que Montebourg (et d’autres) reprochent au gouvernement : l’inefficacité de cette politique économique. Finalement Montebourg est puni pour la pertinence de son analyse ; Une analyse que partage la plupart des Français puisqu’ils  sont plus de 80% à condamner les orientations de Hollande dans ce domaine. Certes du point de vue du fonctionnement bureaucratique d’un gouvernement les déclarations de Montebourg et de Hamon font un peu désordre, un désordre qui s’ajoute aux autres confusions et contradictions. Valls a voulu faire triompher sa seule vertu son volontarisme d’opérette qui n’est qu’un autoritarisme de façade. Come ministre de l’intérieur, il a surtout fait de déclaration (comme Sarkozy en son temps) sans vraiment s’attaquer à, l’insécurité montante. La politique de Valls et sa stratégie se résume au coup de menton. Il veut montre qu’il sait décider, qu’il commande, que c’est lui le patron. Un fond de caractère qui n’est pas critiquable forcément quant il est mis au service d’objectifs concrets cohérents. Valls se conduit en fait en maitre décolle d’antan. Ce n’est pas en affirmant chaque «  j’ai de l’autorité, j’ai de l’autorité » qu’il parviendra à en persuader les français. L’autorité ne se déclame pas, elle se mérite et elle doit se concrétiser dans la pratique et sur des objets pertinents.

 

C’est le pire qui pouvait arriver à Hollande, la démission du gouvernement au moment précis où Valls et lui-même plongent dans les sondages. Un plongeon justifié par des résultats économiques catastrophiques. Or c’est précisément ce que Montebourg (et d’autres) reprochent au gouvernement : l’inefficacité de cette politique économique. Finalement Montebourg est puni pour la pertinence de son analyse ; Une analyse que partage la plupart des Français puisqu’ils  sont plus de 80% à condamner les orientations de Hollande dans ce domaine. Certes du point de vue du fonctionnement bureaucratique d’un gouvernement les déclarations de Montebourg et de Hamon font un peu désordre, un désordre qui s’ajoute aux autres confusions et contradictions. Valls a voulu faire triompher sa seule vertu son volontarisme d’opérette qui n’est qu’un autoritarisme de façade. Come ministre de l’intérieur, il a surtout fait de déclaration (comme Sarkozy en son temps) sans vraiment s’attaquer à, l’insécurité montante. La politique de Valls et sa stratégie se résume au coup de menton. Il veut montre qu’il sait décider, qu’il commande, que c’est lui le patron. Un fond de caractère qui n’est pas critiquable forcément quant il est mis au service d’objectifs concrets cohérents. Valls se conduit en fait en maitre décolle d’antan. Ce n’est pas en affirmant chaque «  j’ai de l’autorité, j’ai de l’autorité » qu’il parviendra à en persuader les français. L’autorité ne se déclame pas, elle se mérite et elle doit se concrétiser dans la pratique et sur des objets pertinents.

Démission du gouvernement

 

Valls n’aura sans doute pas voulu manger son chapeau face à l’incident Montebourg. Il parait évident que Hollande a refusé de démettre Montebourg ;  du coup ce qui faut la seule vertu de Valls à savoir l’autoritarisme a pris le dessus et Valls a présenté la démission du gouvernement vers 9h15. au président de la République .

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