Archive pour le Tag 'Gouvernement'

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Un nouveau gouvernement : pour quoi faire ?

Un nouveau gouvernement :  pour quoi faire   ?

Évidemment d’un point de vue institutionnel et politique, l’absence d’un gouvernement constitue un problème qui pourrait d’ailleurs déboucher sur une crise institutionnelle en mettant notamment en cause le mode de désignation des députés voire la présence de Macron . La question se pose quand même de l’intérêt réel d’un gouvernement. D’ailleurs Darmanin a constaté avec malice que les choses allaient pas plus mal sans gouvernement officiel ! De toute manière en l’état des rapports de force, c’est-à-dire la division en trois camps totalement opposés à l’assemblée nationale , aucune majorité n’est possible sauf pour une motion de censure destinée à abattre un nouveau gouvernement. Pour la démolition il y a possibilité d’union mais pas pour la construction.

 

Notons surtout que les marges d ‘ action du nouveau gouvernement seront très réduites sur la question du budget. Il faut en effet réduire le déficit et la dette en même temps. Une dette abyssale qui sans plan d’amortissement même à long terme nous conduira sans doute sur le chemin de la Grèce. Nous empruntons en effet assez logiquement pour les investissements mais malheureusement aussi pour le fonctionnement ; bref pour faire tourner la boutique de l’État notamment payer salaires, allocations  et pensions. Le budget 2025 devra forcément ressembler à celui de 2024 avec au minimum une bonne dizaine de milliards d’économies au moins . Cette perspective va rencontrer des oppositions très fortes et sans doute justifier des motions de censure qui vont balayer le nouveau gouvernement. Heureusement juridiquement en cas de crise grave on peut toujours reconduire le budget précédent dans ses montants.

En l’état des divisions, il ne faut guère espérer qu’il y aura d’autres débats fondamentaux à l’Assemblée nationale peut-être seulement quelques lois de portée assez marginale et encore. En fait, le pays risque d’être géré tout simplement par l’administration. Ce qui est déjà largement le cas actuellement; dans les faits les politiques parlent mais l’administration gère de façon forcément technocratique et centralisée. Les inflexions politiques sont toujours à la marge.

Il faut en effet en cas de nouvelles lois sortirent aussi les décrets et les circulaires et la plupart des lois sont mal appliquées voire pas du tout tout. Avant de prévoir une nouvelle flambée de lois dites structurelles, on ferait mieux de procéder à un audit généralisé du dispositif législatif existant. Au lieu de cela, on promet évidemment la lune sans savoir d’ailleurs assez souvent de quoi on parle faute de concertation avec les corps intermédiaires et les organisations représentatives.

Bref le paysage politique relève surtout d’une forme d’agitation théâtrale et la France ne souffrirait peut-être pas d’une absence de gouvernement pendant une période d’une année par exemple.
On entend déjà les cris sur  les atteintes à la démocratie de la part de ceux qui sont surtout des professionnels de la politique qui cadenassent la démocratie  !

Hormis concernant le vote du budget,  il ne se passera rien à l’Assemblée nationale. On pourrait utilement mettre au silence les députés pendant un an sinon on va encore subir leurs bavardages contradictoires, démagogiques et fatigants. Et le même silence de Macron pendant une période ne traumatiserait   personne en attendant les prochaines élections législatives de l’été 2025.

 

 

Un nouveau gouvernement : pour faire quoi ?

Un nouveau gouvernement :  pour faire quoi  ?

Évidemment d’un point de vue institutionnel et politique, l’absence d’un gouvernement constitue un problème qui pourrait d’ailleurs déboucher sur une crise institutionnelle en mettant notamment en cause le mode de désignation des députés. La question se pose quand même de l’intérêt réel d’un gouvernement. D’ailleurs Darmanin a constaté avec malice que les choses allaient pas plus mal sans gouvernement officiel ! De toute manière en l’état des rapports de force c’est-à-dire la division en trois camps totalement opposés à l’assemblée nationale , aucune majorité n’est possible sauf pour une motion de censure destinée à abattre un nouveau gouvernement. Pour la démolition il y a possibilité d’union mais pas pour la construction.

 

Notons surtout que les marges d ‘ action du nouveau gouvernement seront très réduites sur la question du budget. Il faut en effet réduire le déficit et la dette en même temps. Une dette abyssale qui sans plan d’amortissement même à long terme nous conduira sans doute sur le chemin de la Grèce. Nous empruntons en effet assez logiquement pour les investissements mais malheureusement aussi pour le fonctionnement ; bref pour faire tourner la boutique de l’État notamment payer salaires, allocations  et pensions. Le budget 2025 devra forcément ressembler à celui de 2024 avec au minimum une dizaine de milliards d’économies au moins . Cette perspective va rencontrer des oppositions très fortes et sans doute justifier des motions de censure qui vont balayer le nouveau gouvernement. Heureusement juridiquement en cas de crise grave on peut toujours reconduire le budget précédent dans ses montants.

En l’état des divisions, il ne faut guère espérer qu’il y aura d’autres débats fondamentaux à l’Assemblée nationale peut-être seulement quelques lois de portée assez marginale et encore. En fait, le pays risque d’être géré tout simplement par l’administration. Ce qui est déjà largement le cas actuellement; dans les faits les politiques parlent mais l’administration gère de façon forcément technocratique et centralisée. Les inflexions politiques sont toujours à la marge.

Il faut en effet en cas de nouvelles lois sortirent aussi les décrets et les circulaires et la plupart des lois sont mal appliquées voire pas du tout tout. Avant de prévoir une nouvelle flambée de lois dites structurelles, on ferait mieux de procéder à un audit généralisé du dispositif législatif existant. Au lieu de cela, on promet évidemment la lune sans savoir d’ailleurs assez souvent de quoi on parle faute de concertation avec les corps intermédiaires et les organisations représentatives.

Bref le paysage politique relève surtout d’une forme d’agitation théâtrale et la France ne souffrirait peut-être pas d’une absence de gouvernement pendant une période d’une année par exemple.
On entend déjà les cris sur  les atteintes à la démocratie de la part de ceux qui sont surtout des professionnels de la politique qui cadenassent la démocratie  !

Hormis concernant le vote du budget,  il ne se passera rien à l’Assemblée nationale. On pourrait utilement mettre au silence les députés pendant un an sinon on va encore subir leurs bavardages contradictoires, démagogiques et fatigants. Et le même silence de Macron pendant une période ne traumatiserait   personne en attendant les prochaines élections législatives de l’été 2025.

 

 

« Pour un gouvernement 100% société civile ! »

« Pour un gouvernement 100% société civile  ! » 

La crise politique actuelle renforce la défiance déjà criante envers les responsables politiques. 85% des jugements des Français sur les politiques sont négatifs, nous apprend la fondation Jean-Jaurès, le Cevipof et l’institut Montaigne dans une étude publiée ce 30 août. Les Français rejettent plus que jamais les partis politiques, dont on a pourtant besoin pour faire vivre notre démocratie. Aucun ne dispose d’une majorité, ni n’a la capacité de participer à une coalition suffisante pour obtenir une majorité. Aucun ne peut espérer appliquer son programme et rien que son programme, même certains continuent à dire le contraire. On peut le regretter (à titre personnel, je le regrette bien évidemment), mais il faut maintenant l’accepter. Et que les partis politiques arrêtent cet entre-soi qui désespère un peu plus chaque jour les citoyen-nes, qui n’ont d’autres solutions que de se résigner à ne plus s’y intéresser.

 

par  Matthieu Orphelin, Ancien député écologiste, la solution passe désormais par « un exécutif entièrement pensé sur la compétence, l’action et la cohérence ». dans La Tribune 

Le nom du prochain locataire de Matignon sera connu dans les heures ou jours à venir. S’il est issu de la classe politique actuelle, il ne pourra satisfaire une majorité de français. Par ses pairs, il sera jugé trop à gauche ou trop à droite, dans une aventure personnelle, et ne disposera en aucun cas de majorité à l’Assemblée. Donc le bazar continuera quelques mois, jusqu’à, sans doute, une prochaine dissolution, dans l’hypothèse où il n’est pas immédiatement censuré.

Une solution serait d’innover en faisait le choix de nommer exclusivement des ministres aujourd’hui dans la société civile, reconnus chacun-e dans son domaine d’intervention. Y compris le Premier ou la Première d’entre eux. Certains d’entre eux pourraient avoir eu par le passé des expériences politiques, pourvu qu’ils en soient aujourd’hui totalement retirés. Il ne s’agirait pas d’un gouvernement d’ouverture, avec quelques noms en tête de gondole, mais d’un exécutif entièrement pensé sur la compétence, l’action et la cohérence. Avec ce gouvernement 100 % société civile, pas de jeux politiques, pas de plans pour 2027, juste l’intérêt général.

Un tel gouvernement pourrait contribuer à redonner confiance aux citoyennes et aux citoyens. Pour illustrer mon propos, prenons quelques noms en exemples (qui, j’espère, me pardonneront, je ne les ai évidemment pas consultés).

Imaginez un gouvernement où Laurence Tubiana sera à la transition climatique, Jean-Louis Borloo à la cohésion nationale, Valérie Masson-Delmotte à l’enseignement supérieur et la recherche, Tony Estanguet aux sports, Dominique Méda au Travail, Didier Migaud aux Comptes publics, Cécile Duflot aux solidarités, Thomas Jolly à la Culture, Christophe Robert au logement, Selma Mahfouz aux retraites, Emmanuel Faber à l’économie, Delphine Ernotte aux médias et la démocratie participative, Jean-Pisany Ferry au budget et aux investissements, Catherine Guillouard aux entreprises et à l’emploi durable, Dominique de Villepin aux Affaires Etrangères… Qui pourrait vouloir le censurer a priori, à part le RN et les Ciottistes ? Qui pourrait douter de ses compétences ?

Il ne s’agit en rien de gommer les blocs politiques. Les batailles politiques, dont on a besoin dans une démocratie, se feront à l’Assemblée nationale et au Sénat, revivifiant au passage notre parlementarisme. Pour arbitrer les options proposées par le gouvernement, texte par texte, mais aussi par les journées d’initiative parlementaire dont on pourrait demander qu’elles soient plus nombreuses. L’exécutif trouverait ainsi un nouveau rôle d’animation des débats et pourrait préparer en amont les débats parlementaires, en travaillant avec toutes les forces républicaines.

Cela serait tout sauf un gouvernement purement technique. Je le vois chaque jour : la société civile fait elle aussi de la politique, à sa façon et en permanence, en s’organisant dans des coalitions larges et en trouvant les consensus que les partis politiques échouent à atteindre. Elle connait les mesures les plus utiles et les blocages qu’il faudrait lever dans chaque domaine.

Ce gouvernement pourrait commencer par des textes courts, centrés sur les priorités pour les Françaises et les Français. Thème par thème, deux ou trois mesures consensuelles puis une option forte qui sera tranchée par les parlementaires. Prenons quelques exemples. Sur les déserts médicaux, qui pourrissent la vie de millions d’entre nous, un travail transpartisan a depuis longtemps identifié des mesures d’urgences consensuelles ; la régulation de l’installation des nouveaux médecins, mesure clivante, pourrait quant à elle être tranchée au parlement… Dans un texte (ou un PLFR) sur le pouvoir d’achat, des accords de branche on un renforcement de l’intéressement salarial trouveront un large soutien et le relèvement du SMIC, sujet hautement clivant politiquement parlant, être arbitré par les votes des deux chambres.

Sur la fiscalité juste, un impôt sur les superprofits commence à convaincre et pourrait être dessiné par l’exécutif, les parlementaires arbitreront le niveau idoine et sa durée dans le temps. Par ailleurs, les groupes parlementaires auront aussi enfin plus de places pour leurs propositions de loi… Texte par texte, les majorités se feront, et les rôles entre l’exécutif et le législatif seront enfin rééquilibrés. Quant au budget 2025, qui se prépare dans un timing et des conditions dégradées jamais vues, je suis convaincu que des ministres déjà connaisseurs de leurs sujets et des priorités sauront, mieux que d’autres, agir dès début septembre pour le préparer du mieux possible et sortir des lettres de cadrage actuelles (qui sont plus qu’insuffisantes, notamment sur l’écologie).

Voilà donc une proposition pour sortir du chaos. Ayons bien en tête que, malheureusement, contre le RN et ses tristes alliés, le front républicain ne marchera pas à chaque fois. 22 % des Français regrettent déjà d’avoir joué le jeu aux dernières législatives. Et 45 % déclarer penser que c’est d’abord une tactique des forces politiques pour garder le pouvoir.

Alors, partis et responsables politiques, à vous de jouer et de faire confiance à la société civile pour sortir de la crise !

Un nouveau gouvernement : mais pour quoi faire vraiment ?

Un nouveau gouvernement : mais pour quoi faire ?

Évidemment d’un point de vue institutionnel et politique, l’absence d’un gouvernement constitue un problème qui pourrait d’ailleurs déboucher sur une crise institutionnelle en mettant notamment en cause le mode de désignation des députés. La question se pose quand même de l’intérêt réel d’un gouvernement. D’ailleurs Darmanin a constaté avec malice que les choses allaient pas plus mal sans gouvernement officiel ! De toute manière en l’état des rapports de force c’est-à-dire la division en trois camps totalement opposés à l’assemblée nationale , aucune majorité n’est possible sauf pour une motion de censure destinée à abattre un nouveau gouvernement. Pour la démolition il y a possibilité d’union mais pas pour la construction.

 

Notons surtout que les marges d ‘ action du nouveau gouvernement seront très réduites sur la question du budget. Il faut en effet réduire le déficit et la dette en même temps. Une dette abyssale qui sans plan d’amortissement même à long terme nous conduira sans doute sur le chemin de la Grèce. Nous empruntons en effet assez logiquement pour les investissements mais malheureusement aussi pour le fonctionnement ; bref pour faire tourner la boutique de l’État notamment payer salaires, allocations  et pensions. Le budget 2025 devra forcément ressembler à celui de 2024 avec au minimum une dizaine de milliards d’économies au moins . Cette perspective va rencontrer des oppositions très fortes et sans doute justifier des motions de censure qui vont balayer le nouveau gouvernement. Heureusement juridiquement en cas de crise grave on peut toujours reconduire le budget précédent dans ses montants.

En l’état des divisions, il ne faut guère espérer qu’il y aura d’autres débats fondamentaux à l’Assemblée nationale peut-être seulement quelques lois de portée assez marginale et encore. En fait, le pays risque d’être géré tout simplement par l’administration. Ce qui est déjà largement le cas actuellement; dans les faits les politiques parlent mais l’administration gère de façon forcément technocratique et centralisée. Les inflexions politiques sont toujours à la marge.

Il faut en effet en cas de nouvelles lois sortirent aussi les décrets et les circulaires et la plupart des lois sont mal appliquées voire pas du tout tout. Avant de prévoir une nouvelle flambée de lois dites structurelles, on ferait mieux de procéder à un audit généralisé du dispositif législatif existant. Au lieu de cela, on promet évidemment la lune sans savoir d’ailleurs assez souvent de quoi on parle faute de concertation avec les corps intermédiaires et les organisations représentatives.

Bref le paysage politique relève surtout d’une forme d’agitation théâtrale et la France ne souffrirait peut-être pas d’une absence de gouvernement pendant une période d’une année par exemple.
On entend déjà les cris sur  les atteintes à la démocratie de la part de ceux qui sont surtout des professionnels de la politique  !

 

Un nouveau gouvernement : mais pour quoi faire ?

Un nouveau gouvernement : mais pour quoi faire ?

Évidemment d’un point de vue institutionnel et politique, l’absence d’un gouvernement constitue un problème qui pourrait d’ailleurs déboucher sur une crise institutionnelle en mettant notamment en cause le mode de désignation des députés. La question se pose quand même de l’intérêt réel d’un gouvernement. D’ailleurs Darmanin a constaté avec malice que les choses allaient pas plus mal sans gouvernement officiel ! De toute manière en l’état des rapports de force c’est-à-dire la division en trois camps totalement opposés à l’assemblée nationale , aucune majorité n’est possible sauf pour une motion de censure destinée à abattre un nouveau gouvernement. Pour la démolition il y a possibilité d’union mais pas pour la construction.

 

Notons surtout que les marges d ‘ action du nouveau gouvernement seront très réduites sur la question du budget. Il faut en effet réduire le déficit et la dette en même temps. Une dette abyssale qui sans plan d’amortissement même à long terme nous conduira sans doute sur le chemin de la Grèce. Nous empruntons en effet assez logiquement pour les investissements mais malheureusement aussi pour le fonctionnement ; bref pour faire tourner la boutique de l’État notamment payer salaires, allocations  et pensions. Le budget 2025 devra forcément ressembler à celui de 2024 avec au minimum une dizaine de milliards d’économies au moins . Cette perspective va rencontrer des oppositions très fortes et sans doute justifier des motions de censure qui vont balayer le nouveau gouvernement. Heureusement juridiquement en cas de crise grave on peut toujours reconduire le budget précédent dans ses montants.

En l’état des divisions, il ne faut guère espérer qu’il y aura d’autres débats fondamentaux à l’Assemblée nationale peut-être seulement quelques lois de portée assez marginale et encore. En fait, le pays risque d’être géré tout simplement par l’administration. Ce qui est déjà largement le cas actuellement; dans les faits les politiques parlent mais l’administration gère de façon forcément technocratique et centralisée. Les inflexions politiques sont toujours à la marge.

Il faut en effet en cas de nouvelles lois sortirent aussi les décrets et les circulaires et la plupart des lois sont mal appliquées voire pas du tout tout. Avant de prévoir une nouvelle flambée de lois dites structurelles, on ferait mieux de procéder à un audit généralisé du dispositif législatif existant. Au lieu de cela, on promet évidemment la lune sans savoir d’ailleurs assez souvent de quoi on parle faute de concertation avec les corps intermédiaires et les organisations représentatives.

Bref le paysage politique relève surtout d’une forme d’agitation théâtrale et la France ne souffrirait peut-être pas d’une absence de gouvernement pendant une période d’une année par exemple.
On entend déjà les cris sur  les atteintes à la démocratie de la part de ceux qui sont surtout des professionnels de la politique !

 

Un gouvernement NFP enterré par Macron

Un gouvernement NFP enterré par Macron

 

Cette fois Macron a clairement enterré toute perspective de gouvernement de gauche NF P. En cause, l’instabilité politique qui se serait installée dans le pays puisque la plupart des autres forces politiques aurait rapidement dégainé une motion de censure.

Cela d’autant plus que le programme du NFP dont l’objet principal était d’empêcher le rassemblement national d’arriver pouvoir-objectif atteint- ne pouvait en aucun cas constituer une plate-forme de gouvernement. S’y ajoutaient évidemment les contradictions internes à la gauche et l’impossibilité de trouver un leader commun au point d’aller chercher une énarque inconnue dans le seul fait d’armes aura été de creuser un peu plus le déficit de la Ville de Paris.

Ceci étant, Macron se retrouve toujours pris dans les mailles du filet de la dissolution qui n’a a pu accoucher de la moindre majorité relative crédible encore moins d’une majorité absolue. Le nouveau gouvernement, sans doute du centre avec des débauchages, sera en permanence sous la menace d’une motion de censure. Bref la crise est loin d’être terminée

Nouveau gouvernement: sans insoumis mais avec le programme des insoumis !

Nouveau gouvernement:  sans insoumis mais avec le programme des insoumis !

C’est la dernière proposition piège de Mélenchon à Macron. La ficelle est un peu grosse mais elle va gêner le président de la république victime de son irresponsabilité avec la dissolution de l’assemblée nationale.

Mélenchon pour contrer les menaces de censure contre un gouvernement du NSP propose tout simplement l’absence des insoumis dans un éventuel gouvernement mais avec le programme des insoumis.

La vérité c’est que cette proposition va occuper le terrain médiatique pendant quelques jours mais qu’elle va se révéler rapidement incohérente en effet la plupart des forces du centre et de droite s’opposent surtout au programme du NFP incohérent, démagogique et non financé.

Il est donc vraisemblable qu’à la première proposition reprenant les orientations des insoumis un gouvernement du NFP serait sanctionné par motion de censure.

Lors de la première phase de consultation organisé par Macron, le centre et la droite avait concentré sur leurs attaques sur l’éventuelle présence des  insoumis dans le gouvernement. En réalité, c’est non seulement le programme des insoumis mais celui du NFP -sorte de copier coller- qui sont en cause.

Ce programme du NFP n’était d’ailleurs pas destiné à présenter des orientations gouvernementales. Il s’agissait surtout de promesses électorales pour empêcher le rassemblement national d’accéder au pouvoir. Et personne au NFP pensait que la question se poserait pour une  participation à un éventuel gouvernement. Aujourd’hui le NFP se trouve lui-même piégé en tout cas les socialistes responsables par un programme qui n’en est pas et qui  provoquera, après remise en cause,  de gros remous au sein de la gauche elle-même.

Politique-Un gouvernement provisoire qui pourrait en cacher d’autres

Politique-Un  gouvernement provisoire qui pourrait en cacher d’autres

 

Consultation ou pas, on voit mal comment pourrait se former rapidement un gouvernement durable en France. Certes le premier ministre sera vraisemblablement désigné mais son gouvernement sera rapidement balayé par une motion de censure car les trois grandes composantes politiques qui s’opposent en France veulent en découdre politiquement. Du coup,  le président pourrait être contraint de désigner encore un gouvernement provisoire après une motion de censure. D’une certaine manière, ce serait alors le retour d’une certaine instabilité comme sous la IVe République.

Sans doute pour donner l’impression d’occuper le terrain politique, Macron  organise à partir de ce vendredi 23 août des consultations des principaux responsables politiques dont aucun n’a vraiment envie d’un compromis pour trouver une majorité parlementaire.

La seule solution possible serait alors de nommer un personnage crédible–type technocrate–qui n’aurait pas d’ambition vis-à-vis de la prochaine élection présidentielle. En effet le véritable enjeu qui s’oppose à une union entre les trois grands courants est la perspective de l’échéance électorale présidentielle. Faire des compromis aujourd’hui , c’est hypothéquer la crédibilité des positions de demain pour la succession de Macron. Pour résumer le Rassemblement national observe et attend. À gauche on fait semblant de vouloir le pouvoir avec un programme inapplicable. À droite et au centre-droit ( les Républicains et les macronistes)  ,on soutient mais sans se mouiller. Comme Vauquiez- ou Attal- qui ne souhaite pas devenir premier ministre d’un gouvernement…… très provisoire.

Gouvernement : avec ou sans LFI le programme NFP aussi dangereux

Gouvernement : avec ou sans LFI le programme NFP aussi dangereux

 

 
Pas d’ambiguïté pour l’ex majorité qui dénonce le tour de passe-passe de Mélenchon qui propose l’absence des insoumis au gouvernement mais la prise en application du programme du NFP, lui-même produit des insoumis.

L’idée d’un gouvernement de gauche sans LFI est un «tour de passe-passe», a estimé dimanche François Bayrou, justifiant son «opposition» au Nouveau Front populaire en raison de son «programme dangereux pour le pays». Le patron du Modem était invité sur LCI à réagir à la proposition de Jean-Luc Mélenchon, d’une non-participation des Insoumis à un gouvernement dirigée par la candidate du NFP à Matignon, Lucie Castets.
«C’est une blague et il est parfaitement conscient du tour de passe-passe qu’il essaie de faire», a répondu M. Bayrou, expliquant que «l’opposition à la formation d’un gouvernement autour de LFI, ce n’est pas du tout pour des questions d’étiquette, de personnalité, ni même de style», mais «principalement en raison du programme qui est annoncé».
«C’est un programme dangereux pour le pays», car il contient «des choses extrêmement lourdes» notamment en matière d’immigration et de dépenses publiques, a-t-il insisté, jugeant «impossible» de prendre des décisions communes sur ces sujets, comme sur la sécurité, le nucléaire ou l’Europe.
Même son de cloche du chef des députés Horizons, Laurent Marcangeli, qui affirme que le programme du NFP «s’il était appliqué, provoquerait une crise». Par conséquent «nous nous y opposerons avec tous les instruments que la Constitution nous offre», ce qui pourrait «passer par le vote d’une motion de censure».

Au fond, pour les chefs du camp présidentiel – qu’Emmanuel Macron a reçu à l’Élysée vendredi – «le sujet c’est autant les ministres LFI que l’application stricte d’un programme du NFP lui-même inspiré de LFI», résume un proche du chef de l’État.

 

 

Un gouvernement provisoire qui pourrait en cacher d’autres

Un  gouvernement provisoire qui pourrait en cacher d’autres

 

Consultation ou pas, on voit mal comment pourrait se former rapidement un gouvernement durable en France. Certes le premier ministre sera vraisemblablement désigné mais son gouvernement sera rapidement balayé par une motion de censure car les trois grandes composantes politiques qui s’opposent en France veulent en découdre politiquement. Du coup,  le président pourrait être contraint de désigner encore un gouvernement provisoire après une motion de censure. D’une certaine manière, ce serait alors le retour d’une certaine instabilité comme sous la IVe République.

Sans doute pour donner l’impression d’occuper le terrain politique, Macron  organise à partir de ce vendredi 23 août des consultations des principaux responsables politiques dont aucun n’a vraiment envie d’un compromis pour trouver une majorité parlementaire.

La seule solution possible serait alors de nommer un personnage crédible–type technocrate–qui n’aurait pas d’ambition vis-à-vis de la prochaine élection présidentielle. En effet le véritable enjeu qui s’oppose à une union entre les trois grands courants est la perspective de l’échéance électorale présidentielle. Faire des compromis aujourd’hui , c’est hypothéquer la crédibilité des positions de demain pour la succession de Macron. Pour résumer le Rassemblement national observe et attend. À gauche on fait semblant de vouloir le pouvoir avec un programme inapplicable. À droite et au centre-droit ( les Républicains et les macronistes)  ,on soutient mais sans se mouiller. Comme Vauqiez- ou Attall- qui ne souhaite pas devenir premier ministre d’un gouvernement très provisoire.

Un gouvernement sans insoumis mais avec le programme des insoumis

Un gouvernement sans insoumis mais avec le programme des insoumis !

C’est la dernière proposition piège de Mélenchon à Macron. La ficelle est un peu grosse mais elle va gêner le président de la république victime de son irresponsabilité avec la dissolution de l’assemblée nationale.

Mélenchon pour contrer les menaces de censure contre un gouvernement du NST propose tout simplement l’absence des insoumis dans un éventuel gouvernement mais avec le programme des insoumis.

La vérité c’est que cette proposition va occuper le terrain médiatique pendant quelques jours mais qu’elle va se révéler rapidement incohérente en effet la plupart des forces du centre et de droite s’opposent surtout au programme du NFP incohérent, démagogique et non financé.

Il est donc vraisemblable qu’à la première proposition reprenant les orientations des insoumis un gouvernement du NFP serait sanctionné par motion de censure.

Politique-Un gouvernement provisoire qui pourrait en cacher un autre

 

Politique-Un  gouvernement provisoire qui pourrait en cacher un autre

 

Consultation ou pas, on voit mal comment pourrait se former rapidement un gouvernement durable en France. Certes le premier ministre sera vraisemblablement désigné mais son gouvernement sera rapidement balayé par une motion de censure car les trois grandes composantes politiques qui s’opposent en France veulent en découdre politiquement. Du coup,  le président pourrait être contraint de désigner encore un gouvernement provisoire après une motion de censure. D’une certaine manière, ce serait alors le retour d’une certaine instabilité comme sous la IVe République.

Sans doute pour donner l’impression d’occuper le terrain politique, Macron  organise à partir de ce vendredi 23 août des consultations des principaux responsables politiques dont aucun n’a vraiment envie d’un compromis pour trouver une majorité parlementaire.

La seule solution possible serait alors de nommer un personnage crédible–type technocrate–qui n’aurait pas d’ambition vis-à-vis de la prochaine élection présidentielle. En effet le véritable enjeu qui s’oppose à une union entre les trois grands courants est la perspective de l’échéance électorale présidentielle. Faire des compromis aujourd’hui , c’est hypothéquer la crédibilité des positions de demain pour la succession de Macron. Pour résumer le Rassemblement national observe et attend. À gauche on fait semblant de vouloir le pouvoir avec un programme inapplicable. À droite et au centre-droit ( les Républicains et les macronistes)  ,on soutient mais sans se mouiller. Comme Vauqiez- ou Attall- qui ne souhaite pas devenir premier ministre d’un gouvernement très provisoire.

Nouveau gouvernement : Macron et les partis touchés aussi par la fièvre ovine ?

Il y a quelque chose de surréaliste dans les postures depuis maintenant plusieurs semaines tout autant du président de la république que des partis. Pour résumer les uns et les autres s’agitent mais en faisant du surplace. Ainsi répètent -t-il sans arrêt qu’ils  sont prêts à élargir leur champ d’influence mais sans les autres. !

Pour la gauche,  c’est une évidence il n’y a aucune réserve de négociation avec d’autres formations politiques compte tenu du caractère ésotérique et irresponsable du programme qu’ont imposé les »Insoumis » . Les « Républicain » revendiquent leur superbe isolement et ne veulent surtout pas trop  se mouiller avec les macronistes . Des macronistes qui cherchent donc désespérément des alliés ou  à défaut des débauchages individuels. Bref au total du bricolage car chaque grand bloc politique campe sur ses positions mêmess’il affirme parfois le contraire. Et le Rassemblement national attend et observe mais se tient évidemment à l’écart aussi d’une éventuelle union nationale ou même de la recherche d’une majorité.

De son côté le président grandement coupable du chaos politique avec sa dissolution irresponsable ressemble à un canard dont on a la coupé la tête. Il s’agite toujours pour donner l’impression qu’il maîtrise une situation qui en réalité est ingérable.
La vérité c’est qu’aucun gouvernement ne pourra tenir longtemps. À chaque fois il sera balayés par une motion de censure et la France devra se satisfaire pendant de longues périodes d’un gouvernement provisoire. La fin de l’histoire se terminera avec une crise institutionnelle et la mise en cause de Macron. Lequel s’accrochera au pouvoir jusqu’au dernier moment quitte à enfoncer le pays  dans le chaos le plus total.

L’absence de gouvernement en tant que tel n’est pas pour l’instant une catastrophe mortelle. Le problème c’est qu’à terme elle va créer un peu plus d’incertitude politique bien sûr mais aussi économique et sociale. Or la France se contente aujourd’hui d’une petite croissance inférieure. à 11 %. Le tassement économique concerne le monde entier y compris et surtout la Chine. Les soubresauts politiques en France malheureusement risquent de contribuer à un plus grand affaiblissement de la croissance donc de la richesse nationale.

Un gouvernement provisoire qui pourrait en cacher un autre

Un  gouvernement provisoire qui pourrait en cacher un autre

 

Consultation ou pas, on voit mal comment pourrait se former rapidement un gouvernement durable en France. Certes le premier ministre sera vraisemblablement désigné mais son gouvernement sera rapidement balayé par une motion de censure car les trois grandes composantes politiques qui s’opposent en France veulent en découdre politiquement. Du coup,  le président pourrait être contraint de désigner encore un gouvernement provisoire après une motion de censure. D’une certaine manière, ce serait alors le retour d’une certaine instabilité comme sous la IVe République.

Sans doute pour donner l’impression d’occuper le terrain politique, Macron  organise à partir de ce vendredi 23 août des consultations des principaux responsables politiques dont aucun n’a vraiment envie d’un compromis pour trouver une majorité parlementaire.

La seule solution possible serait alors de nommer un personnage crédible–type technocrate–qui n’aurait pas d’ambition vis-à-vis de la prochaine élection présidentielle. En effet le véritable enjeu qui s’oppose à une union entre les trois grands courants est la perspective de l’échéance électorale présidentielle. Faire des compromis aujourd’hui , c’est hypothéquer la crédibilité des positions de demain pour la succession de Macron. Pour résumer le Rassemblement national observe et attend. À gauche on fait semblant de vouloir le pouvoir avec un programme inapplicable. À droite et au centre-droit ( les Républicains et les macronistes)  ,on soutient mais sans se mouiller. Comme Vauqiez ou Attall qui ne souhaite pas devenir premier ministre d’un gouvernement très provisoire.

Nouveau gouvernement : la Belgique attend aussi depuis deux mois

Nouveau gouvernement : la Belgique attend aussi depuis deux mois

Il y a déjà deux mois que se sont déroulées les législatives en Belgique qui attend toujours la formation d’un gouvernement. La première tentative du leader du parti conservateur chargé par le roi de former ce gouvernement a échoué. En cause, comme en France un problème de fiscalité et la menace d’un accroissement du déficit public. La Belgique est d’ailleurs comme la France sous le coup d’une procédure d’infraction aux principes européens dans ce domaine.

 

Un nouveau négociateur devrait être désigné par le roi Philippe.. Celles-ci pourraient durer encore plusieurs semaines, comma c’est généralement le cas dans ce royaume. Réputée ingouvernable, la Belgique avait vécu 541 jours sans gouvernement de plein exercice en 2010-2011.

Un record dont le pays n’était pas si loin quand la coalition de sept partis dirigée par l’actuel premier ministre Alexander De Croo avait enfin vu le jour à l’automne 2020, 493 jours après les élections de 2019. Le vote du 9 juin -concomitant aux élections européennes – a été marqué par une victoire de la droite et du centre-droit, avec un alignement inédit de la Wallonie (sud francophone) sur la Flandre (nord néerlandophone) où la droite est traditionnellement majoritaire.
Le premier ministre sortant a été chargé de gérer les affaires courantes jusqu’à la désignation de son successeur.

 

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