Archive pour le Tag 'Goldman'

Goldman N°1 du top 50: le sacre du silence

Goldman N°1 du top 50: le sacre du silence

 

 

Analyse  Guillaume Erner, sociologue et animateur sur France Culture, analyse le triomphe de Goldman dans le TOP 50 des personnalités. Catalogue du showbiz, audimat, jeux olympiques de la popularité, thermomètre des politiques ? C’est un peu tout ça mélangé ce  sondage sur les personnalités préférées des Français. Le pire,  c’est que la personnalité qui serait préférée est un chanteur particulièrement discret et qui ne souhaitait plus figurer dans ce palmarès d’auberge espagnole. Interview de Guillaume Emer :

En 30 ans de Top 50, on est passé du Commandant Cousteau et l’Abbé Pierre à Jean-Jacques Goldman et Omar Sy. Les ressorts de la popularité ont-ils changé?
Ce n’est pas comme cela que je poserais la réflexion. D’abord, Cousteau et l’Abbé Pierre avaient de par leur histoire une sorte de singularité difficilement remplaçable aujourd’hui. Cousteau et Nicolas Hulot, par exemple, ne sont pas interchangeables. Mais le plus étonnant et celui sur lequel il faut s’attarder, pour moi, est Jean-Jacques Goldman. Après tout, il a eu une vie de chanteur et on pourrait se dire pourquoi lui et pas un autre? Mais c’est au contraire un cas unique. Sur le plan médiatique, il existe par son absence. On en sait finalement peu sur lui. C’est ce qui contribue à le rendre populaire.

 

Il est l’illustration que la popularité n’est pas qu’une affaire de visibilité…
C’est vertigineux : il ne dit rien et les Français célèbrent justement en lui le fait qu’il ne veuille pas jouer le jeu. Goldman représente précisément un contre-jeu médiatique, suffisamment puissant pour que les gens pensent encore à lui alors qu’il fait tout pour qu’on l’oublie! C’est un beau pied de nez à notre époque. Goldman ne rentre dans aucune case : on ne l’entend quasiment jamais, il n’est pas sur les réseaux sociaux… Aux antipodes, il y a les efforts désespérés de certains pour exister médiatiquement, sans que cela ne créé forcément de la popularité.

 

Mais après tout, arrive-t-on à expliquer objectivement la popularité?
Disons qu’il n’est en fait pas uniquement question ici de popularité mais aussi d’agrément. Dans ce domaine, on parle de « forme mode ». La forme mode, ce sont des individus qui existent socialement de manière quasiment indépendante, au-delà de ce qu’ils sont – car quelqu’un peut être très aimé par les Français sans qu’il soit lui-même très aimable – ou de ce qu’ils ont fait objectivement. Pour moi, c’est un champ de recherche passionnant. L’Abbé Pierre, on comprend facilement pourquoi il est populaire. Goldman, c’est déjà plus compliqué… Jean Rochefort ou Jean d’Ormesson aussi, c’était cela d’une certaine façon. Tout le monde n’a pas forcément en tête un film de Rochefort ni a lu un livre de Jean d’Ormesson, mais ça ne les empêchait pas d’être aimé des Français.

 

Que peut nous dire également ce classement de notre société?
Ce qui me parait le plus frappant, c’est qu’il est avant tout question ici de personnalités non-clivantes. Comme si la popularité était à rechercher dans le consensuel alors qu’on pourrait croire que nous sommes au contraire dans une époque qui a tendance à provoquer des personnages clivants, notamment ceux qui seraient rompus « au buzz ». Nous sommes dans une société médiatique et narcissique qui place la célébrité en valeur suprême. La problématique de certains est de fabriquer de la notoriété. L’important n’est alors non pas d’être aimé mais d’exister.

 

Mais la « peopolisation » n’a pas forcément pris corps dans le Top 50.
Non, il n’y a pas de personnalités issues de la téléréalité, notamment. On peut faire la distinction entre notoriété exogène et notoriété endogène. La notoriété exogène, c’est par exemple Teddy Riner : il est très bon judoka et devient connu pour cela. D’autres au contraire, prenons Kim Kardashian, ont développé une notoriété telle qu’on ne se souvient pas pourquoi ils sont connus. C’est de la notoriété endogène et on ne la retrouve effectivement pas dans ce classement. Une explication : à l’heure de la « peopolisation », on peut être connu pour une ou deux caractéristiques. Ici, c’est un classement de personnalités qui ont, dans la représentation que les individus en ont, une plus forte densité. Entre eux et les Français, c’est à la fois une relation plus complexe et plus englobante.

 

Goldman Sachs mouillée dans la déréglementation financière de Trump

Goldman Sachs mouillée  dans la déréglementation financière de Trump

 

On soupçonne la banque Goldman Sachs d’être mouillée vis-à-vis de l’intention du nouveau président de la république des États-Unis de mettre en place une dérégulation financière profitable aux établissements financiers concernés. En gros,  de faire sauter les règles prudentielles pour donner davantage de liberté aux banques créant peut-être ainsi les conditions d’une crise semblable à celle de 2008. Du coup,  deux membres du Sénat américain ont demandé par écrit au PDG de l’influente banque d’affaires Goldman Sachs de s’expliquer sur l’implication éventuelle de salariés de son groupe dans la rédaction de certains des décrets présidentiels signés par Donald Trump sur la réglementation bancaire et financière. Dans leur lettre, datée du 9 février et rendue publique vendredi, les élues démocrates Elizabeth Warren et Tammy Baldwin demandent à Lloyd Blankfein des précisions sur les activités de « lobbying » de la banque liées à la remise en question de la loi Dodd-Frank et de la règle fiduciaire sur le conseil en investissement. Blankfein est également prié de détailler les profits que pourrait réaliser Goldman Sachs si ces réformes entraient en vigueur. « Nous n’avons joué aucun rôle dans la rédaction d’un quelconque décret présidentiel », a déclaré vendredi un porte-parole de la banque. En décembre, Donald Trump a nommé Gary Cohn, ancien président et directeur général adjoint de Goldman Sachs, à la tête du Conseil économique national de la Maison blanche, une instance chargée de coordonner la politique économique fédérale. La semaine dernière, le président a ordonné par décret un réexamen des règles d’encadrement des activités bancaires entrées en vigueur depuis la crise financière de 2008, s’attirant des critiques du camp démocrate, qui lui reproche de défendre les intérêts de Wall Street. « Les décrets présidentiels publiés par le président Trump vendredi de la semaine dernière nous conduisent à nous demander à quel point les conseils de Cohn à Trump sont bons pour Wall Street mais mauvais pour les Américains », écrivent les deux sénatrices. « Goldman Sachs serait un important bénéficiaire de ces efforts de dérégulation du secteur financier. » Outre Gary Cohn, Donald Trump a choisi un autre ancien de Goldman Sachs, Steven Mnuchin, comme secrétaire au Trésor. Dans leur lettre, Elizabeth Warren et Tammy Baldwin demandent que leur soient transmis tous les échanges entre des salariés de la banque et Cohn, Mnuchin, Jay Clayton, pressentie pour prendre la présidence de la SEC, le gendarme des marchés américains, ou encore Steve Bannon, « stratège en chef » de la Maison blanche.

Après brexit, Goldman Sachs à Paris ou Francfort

Après brexit, Goldman Sachs à Paris ou Francfort

 

 

 

D’après le journal Le Monde, suite au brexit, La banque d’affaires américaine Goldman Sachs hésite entre Paris et de Francfort pour transférer 1.000 à 2.000 emplois actuellement basés à Londres. La possible perte du « passeport européen », qui assure l’accès aux marchés de l’Union européenne, obligerait les sociétés régulées à Londres à obtenir un agrément dans un pays de l’UE, ce qui suscite la convoitise de nombreuses places financières comme Paris, Francfort, Milan, Amsterdam ou Dublin. « Selon nos informations, la banque américaine (…) se concentre désormais sur la capitale française ou le centre financier allemand », avance le quotidien, qui précise qu’officiellement, Goldman Sachs dit n’avoir pris encore aucune décision. Un porte-parole de la banque à Paris n’était pas immédiatement joignable pour commenter l’article du Monde. La publication de cette information intervient alors que certains représentants de la Place de Paris craignent que la décision des députés de durcir la Taxe sur les transactions financières (TTF) dans le cadre du projet de budget 2017 nuise à la vaste campagne lancée par Paris pour séduire les investisseurs internationaux dans le cadre du Brexit.

(Avec Reuters)

Barroso chez Goldman Sachs:  » inacceptable » (Hollande)

Barroso chez Goldman Sachs:  » inacceptable » (Hollande)

À l’occasion de son interview du 14 juillet François Hollande n’a pas manqué de condamner le recrutement de Barroso ancien président  de la commission européenne par Goldman Sachs.  Barroso, ancien gauchiste finira en effet  sa carrière chez Goldman Sachs. Celui qui fut Président des étudiants maoïstes (MRPP),  Premier ministre du Portugal et  président de la Commission européenne de 2004 à 2014 vient d’être embauché par une des banques les plus puissantes (et controversées) du monde, pour la conseiller sur l’ère post-Brexit.  Les relations troublent entre la politique et le monde de la finance ne sont pas nouvelles au plan européen. Il faut en effet notamment se souvenir que Draghi  l’actuel président de la banque centrale européenne à orienté l’adhésion de la Grèce à l’union européenne en tant que responsable pour l’Europe de Goldman Sachs (en tordant  les chiffres pour forcer cet adhésion). Notons aussi que Jean-Claude Juncker l’actuel président de la commission européenne était premier ministre luxembourgeois lorsqu’on a trouvé des petits arrangements fiscaux entre son pays d’origine et les grandes multinationales. Bref la politique et la finance entretiennent  parfois des liens consanguins. Du coup «Bras d’honneur», «conflit d’intérêt», «indécent»: une pluie de critiques, venant même du gouvernement, s’est abattue ce samedi en France sur l’ex-président de la Commission européenne, José Manuel Barroso qui va rejoindre la banque d’affaires américaine Goldman Sachs. « José Manuel Barroso, ce n’est pas moi qui l’ai choisi, hein, certains se reconnaîtront dans ce choix », a souligné le chef de l’Etat à l’adresse de ses prédécesseurs Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, qui ont contribué à la nomination à Bruxelles en 2004 puis à la reconduction en 2009 de l’ancien Premier ministre portugais. Ce dernier dirigeait la Commission « au moment où il y a eu cette crise provoquée par ce qu’on appelle les subprimes, dont Goldman Sachs était un des établissements-phares », a encore reproché François Hollande lors de son interview sur TF1 et France 2.  »Goldman Sachs qu’on retrouve dans l’affaire (de la dette) grecque, puisque c’est Goldman Sachs qui conseillait les Grecs et maquillait les chiffres (des comptes publics) que la Grèce il y a quelques années avait donnés à l’Union européenne », a-t-il encore pointé.   »Et on apprend quelques années plus tard que José Manuel Barroso va rejoindre Goldman Sachs ?

 

Barroso, ancien gauchiste, recasé chez Goldman Sachs

Barroso, ancien gauchiste, recasé chez Goldman Sachs

 

Barroso, ancien gauchiste finira donc sa carrière chez Goldman Sachs. Celui qui fut Président des étudiants maoïstes (MRPP),  Premier ministre du Portugal et  président de la Commission européenne de 2004 à 2014 vient d’être embauché par une des banques les plus puissantes (et controversées) du monde, pour la conseiller sur l’ère post-Brexit.  Les relations troublent entre la politique et le monde de la finance ne sont pas nouvelles au plan européen. Il faut en effet notamment se souvenir que Draghi  l’actuel président de la banque centrale européenne à orienté l’adhésion de la Grèce à l’union européenne en tant que responsable pour l’Europe de Goldman Sachs (en tordant  les chiffres pour forcer cet adhésion). Notons aussi que Jean-Claude Juncker l’actuel président de la commission européenne était premier ministre luxembourgeois lorsqu’on a trouvé des petits arrangements fiscaux entre son pays d’origine et les grandes multinationales. Bref la politique et la finance entretiennent  parfois des liens consanguins. Du coup «Bras d’honneur», «conflit d’intérêt», «indécent»: une pluie de critiques, venant même du gouvernement, s’est abattue ce samedi en France sur l’ex-président de la Commission européenne, José Manuel Barroso qui va rejoindre la banque d’affaires américaine Goldman Sachs. «Desservir les citoyens, se servir chez Goldman Sachs: #Barroso, représentant indécent d’une vieille Europe que notre génération va changer», a twitté le secrétaire d’Etat français au Commerce extérieur, Matthias Fekl. Comme le ministre socialiste, les eurodéputés PS français jugent «scandaleux» ce qu’ils qualifient de «nouveau pantouflage, qui ressemble fort à un conflit d’intérêt». «Nous exigeons une révision des règles pour empêcher de tels recrutements d’anciens Commissaires européens», écrivent-ils dans un communiqué intitulé «De quoi Barroso est-il le nom?».

(Avec Reuters)

 

Goldman, le silencieux, personnalité préférée des Français

Goldman, le silencieux,  personnalité préférée des Français

Bien que ce palmarès puisse prêter à discussion compte tenu du caractère hétéroclite des personnalités, d’une certaine manière Jean-Jacques Goldman, qui n’apparaît plus depuis longtemps de manière publique sauf pour la cérémonie des restos du cœur, reçoit ainsi le prix de la discrétion, du silence et cela pour la sixième fois consécutive, Jean-Jacques Goldman s’ancre au sommet du Top 50 IFOP-JDD. Pourtant Jean-Jacques Goldman a déclaré à plusieurs reprises qu’il ne souhaitait pas figurer dans ce classement. Une preuve supplémentaire que la discrétion est appréciée sans doute en réaction aussi au bavardage inutile tant  d’artistes nombrilistes que de politiques verbeux (type Depardieu ou Morano). D’une certaine manière, il s’agit là d’une attitude dont pourrait s’inspirer nombre de politiques et où d’artistes dont les propos sont d’autant plus prolifiques que leur philosophie est sulfureuse. De quoi aussi décourager cette armée d’experts en com’ qui pense que la vanité de l’exhibitionnisme peut faire office de philosophie,  d’éthique et de talent. La bienveillance de son répertoire, la discrétion de sa vie privée, la constance de son engagement pour les Restos du cœur, autant de traces profondes qui relient Jean-Jacques Goldman homme aux Français : ils en savent finalement l’essentiel, la sincérité. Pour Maxime Le Forestier Jean-Jacques Goldman et un ami « fiable, fidèle, qui tient ses engagements ». « Un honnête homme, comme on disait avant », résume le chanteur, autre figure authentique.  Comme en juillet, le podium est complété par Omar Sy, très discret en 2015, et par Simone Veil, l’ancienne ministre de Giscard et Balladur est d’ailleurs la personnalité préférée des sympathisants de gauche !

Goldman Sachs veut lancer sa monnaie virtuelle

Goldman Sachs veut lancer sa monnaie virtuelle

La banque d’affaires Goldman Sachs veut lancer sa propre monnaie virtuelle sur le style du Bitcoin pour faciliter les opérations de courtage, selon des brevets déposés auprès des autorités américaines. Cette monnaie, baptisée SETLCoin, sera utilisée pour faciliter le courtage des produits financiers (actions, obligations d’entreprises, bons du Trésor …) ainsi que le règlement de ces transactions, indique la prestigieuse banque new-yorkaise. Si les salles de marché de grandes banques et de maisons de courtage disposent d’ordinateurs effectuant des opérations en millièmes de secondes, il faut encore des jours pour que l’argent et les titres ou produits financiers changent effectivement de mains. Cette procédure est connue sous le nom de règlement. Or pendant ce laps de temps l’acheteur ou le vendeur peut avoir fait faillite. Goldman Sachs affirme que SETLCoin garantit « une exécution et un règlement quasi-instantanés » des échanges. SETLCoin n’est toutefois pas du Bitcoin mais est développée d’après la technologie sous-tendant la fameuse monnaie virtuelle. En effet, pour ne pas se laisser dépasser par la révolution des crypto-monnaies, des grandes banques traditionnelles testent depuis des mois la technologie « Blockchain » dans l’espoir d’offrir leur propre monnaie virtuelle. La technologie « Blockchain » se présente sous la forme d’un logiciel qui alimente et régule la crypto-monnaie bitcoin. Les acteurs impliqués dans une transaction l’authentifient en utilisant ce logiciel. La transaction est alors ajoutée à la plateforme d’échange sous forme d’une longue ligne de code chiffrée qui retrace toute l’opération.

 

L’euro à 0.95 dollar en 2015 ( Goldman Sachs)

L’euro à 0.95 dollar en 2015 ( Goldman Sachs)

 

L’Euro à 0.95 dollars c’est le pronostic de Goldman Sachs qui pourraiat bien être justifié car le différentiel de croissance (2,7% aux Etats-Unis en 2015, pour 1.5% en Europe) aussi par le relèvements des taux américains qui va drainer les flux financiers °. De toute manière en l’état des résultats  de la croissance  l’euro était surévalué. En outre l’euro souffre des disparités économiques de la zone. Ainsi l’euro devrait valoir autour de 1.5 dollars en Allemagne ou en Autriche, autour de 0.95 dollar pour la France et environ 0.60 dollar pour la Grèce. La prévision de Goldman Sachs encore hypothétique pourrait cependant se réaliser si la zone euro s’enlise dans la croissance molle pendant encore plusieurs années. Cette prévision de Goldman Sachs est la plus sévère de tous les établissements financiers. La banque américaine estime qu’un euro vaudra 95 cents dans les 12 mois.  Goldman Sachs a revu ses estimations à la baisse. Il considère désormais que l’euro va rapidement enfoncer très rapidement le seuil de la parité face au dollar américain. Et ce, dans l’espace d’un an, pour inscrire un nouveau plus bas record d’ici la fin 2017. Goldman Sachs voit ainsi l’euro à 95 cents dans les 12 mois, au lieu de 1,08 dollar anticipé dans les prévisions de fin janvier. La monnaie unique européenne passera à 85 cents d’ici la fin 2016 et à 80 cents à la fin de l’année 2017, selon l’établissement financier. La prévision de la banque d’investissement américaine est dorénavant la plus sévère pour la monnaie unique, parmi les établissements financiers, et tombe à la fin d’une semaine au cours de laquelle la Banque centrale européenne (BCE) a lancé son programme d’assouplissement quantitatif (QE) et plusieurs banques ont sabré leurs projections pour la monnaie unique.

 

Sondage personnalités préférées : numéro un Goldman, 48 ème Hollande

  • Sondage personnalités préférées : numéro un Goldman, 48 ème Hollande
  • Hollande devrait s’inspirer de Goldman et sec taire. Sa boulimie de communication ne le sert pas et il est toujours vers la 50 éme pace dans le classement du JDD.  Goldman Le chanteur Jean-Jacques Goldman est la personnalité préférée des Français devant l’acteur et humoriste Omar Sy et un autre acteur, Jean Dujardin, selon un sondage du Journal du Dimanche. Dans la suite du classement viennent dans l’ordre Simone Veil, Sophie Marceau, Jean Reno, Dany Boon, Renaud, Mimie Mathy et Florence Foresti se classe à la 10è place. Le classement établi deux fois par an porte sur les 50 personnalités préférées des Français. Parmi les hommes politiques c’est Nicolas Sarkozy qui arrive en tête mais à la 42ème place alors qu’il était 29ème dans le dernier classement de juillet 2014. Le maire de Bordeaux, Alain Juppé occupe la 47ème place (+2), devant le Président de la République, François Hollande (inchangé), et Ségolène Royal (inchangée) à l’avant-dernier rang. Le patron de l’opérateur Free, Xavier Niel, ferme le peloton, tout comme dans le dernier classement. Chez les sportifs c’est Sébastien Loeb, neuf fois champion du monde des rallyes, qui se classe le mieux, en l’occurrence à la 14è place (+16) devant Yannick Noah (18è, -1) et Zidane (20è, +4). Jean-Jacques Goldman a été classé premier par les femmes et les sondés de droite. Les hommes et les jeunes de 15 à 24 ans ont voté majoritairement pour Omar sy. Les séniors de plus de 65 ans ont élu Simone Veil et les sondés de gauche le chanteur Renaud. Jean-Jacques Goldman avait déjà été élu personnalité préférée des Français dans les trois derniers sondages, en juillet et décembre 2013 puis en juillet 2014. Le sondage de janvier 2015 a été effectué du 16 au 19 décembre dernier par internet auprès d’un échantillon de 1002 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus.Goldman reste le préféré des Français.

Sondage TOP 50 personnalités : Goldman et ….Sarkozy

Sondage TOP 50 personnalités : Goldman et ….Sarkozy

Le chanteur, âgé de 61 ans, arrive dimanche en tête du classement des 50 personnalités préférées des Français, réalisé par l’Ifop pour le Journal du Dimanche. Un sacre honorifique qui récompense un artiste en retrait de la scène publique depuis de nombreuses années. Même phénomène pour Sarkozy en 20 ème position. En période d’incertitude retour de la nostalgie ! Dix ans que Jean-Jacques Goldman n’était pas apparu dans le Top 50 des personnalités préférées des Français du JDD, et pour cause : le chanteur avait lui-même demandé que son nom ne soit plus proposé aux sondés.  Il a visiblement eu tort, puisque la popularité du chanteur-compositeur semble ne pas s’être essoufflée auprès de ses fans, qui l’ont élu personnalité des Français pour ce premier semestre 2013. Le sondage a été réalisé sur internet du 11 au 17 juillet auprès d’un échantillon de 1.001 personnes représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas. Le chanteur, qui s’est rendu célèbre avec des tubes comme Quand la musique est bonne (1982), Je te donne (1985) ou encore Là-bas (1987) est donc apprécié par toutes les générations.  Un succès auprès des plus jeunes qui s’explique aussi, peut-être, par les reprises de ses tubes par un collectif de chanteurs baptisé Génération Goldman, une bande d’artistes nés au milieu des années 80 et qui ont donc grandi avec les chansons de Goldman. Après avoir mis sa carrière solo entre parenthèses – sa dernière tournée date de 2002 – Jean-Jacques Goldman s’est consacré depuis à l’écriture et à la composition de chansons pour d’autres artistes. Il a ainsi travaillé avec Céline Dion, Gérald de Palmas ou Johnny Hallyday. Il a également fait quelques apparitions sur scène, lors de festivals et avec les Restos du Cœur. Deux acteurs complètent le podium : Omar Sy, personnalité des Français lors du dernier sondage, et Sophie Marceau. Le reste du classement, publié ce dimanche dans le Journal du Dimanche, montre également que Yannick Noah, plusieurs fois personnalités des Français entre 2005 et 2012, se classe à la dixième place. Ce Top 50 marque un retour en force des valeurs sûres du cinéma français – Jean Reno, Jean-Paul Belmondo, Daniel Auteuil – aux dépens des humoristes (Gad Elmaleh, Florence Foresti, Jamel Debbouze). Enfin, la première personnalité politique de ce classement est l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy. Il se classe à la vingtième place.




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