Archive pour le Tag 'Goldman Sachs'

Mario Draghi, le docteur de Goldman Sachs au chevet de l’Italie

 

Mario Draghi, le docteur de Goldman Sachs au chevet de l’Italie

 

 

Le sauveur Super Mario est appelé à la rescousse de l’Italie pour sauver son pays. Et la plupart des observateurs de souligner les talents exceptionnels de l’intéressé notamment lorsqu’il était à la tête de la banque centrale européenne lui attribuant même le sauvetage de l’euro. On a oublié ses piètres résultats comme gouverneur de la banque d’Italie. De la même manière qu’on a oublié que l’ancien responsable de Goldman Sachs pour l’Europe avait maquillé les chiffres de la Grèce pour favoriser son entrée dans l’union économique. Une entrée qui ensuite avait coûté très cher non seulement à l’union économique mais aussi à la Grèce. Avec le temps ,on trouve des vertus au vieux cacique. Pas étonnant , personne ne maîtrise plus rien en Italie. Ni sur le plan de la crise sanitaire ni sur le plan de la très grave dépression économique plus importante encore qu’ailleurs. En outre la classe politique est complètement divisé. En plus elle redoute de nouvelles élections qui pourraient favoriser le retour des troupes de Salvini et de l’extrême droite. On rappelle le bon docteur de Goldman Sachs pour  sauver l’Italie en même temps que pour éviter que l’immense enveloppe financière dont doit bénéficier l’Italie ne soit détournée notamment par des partis politiques ou la mafia.  Du coup , super Mario se voit attribuer des vertus qui doivent le surprendre lui-même. Mais comme d’habitude en Italie, pour combien de temps ?

Barroso chez Goldman Sachs : normal ! (union économique)

Barroso chez Goldman Sachs : normal ! (union économique)

 

 

 

Barroso n’a pas violé les règles européennes a déclaré la commission européenne qui ménage aussi sans doute les intérêts des technocrates qui voudront se recaser dans le privé. Barroso ancien président  de la commission européenne, ancien premier ministre portugais et ancien gauchiste Mao pourra donc utiliser son carnet d’adresses au service de Goldman Sachs. C’est  tout juste si on lui reproche un manque de jugement, un euphémisme ! Comme dessous beaucoup d’anciens responsables politiques de haut niveau Barroso veut gagner des sous. Pour cela il entend monnayer son carnet d’adresses européennes auprès de la sulfureuse banque Goldman Sachs. Notons que Sarkozy en France ne fait pas autre chose quand il fait payer ses conférences autour de 100 000 €. Mais juridiquement L’embauche de Barroso par Goldman Sachs n’a a priori violé aucune règle en étant recruté par la banque d’affaires américaine Goldman Sachs mais l’ancien président de la Commission européenne n’a pas fait preuve d’un « bon jugement », selon l’avis du comité d’éthique de l’exécutif de l’UE rendu public lundi. Son successeur Jean-Claude Juncker a ouvert en septembre une enquête sans précédent sur ce dossier dans le but de vérifier la conformité de cette embauche à la législation européenne. Goldman Sachs a annoncé début juillet avoir recruté José Manuel Barroso au poste de conseiller et président non exécutif de sa branche internationale basée à Londres. L’ex-chef du gouvernement portugais est chargé de conseiller la banque sur le Brexit, le départ du Royaume-Uni de l’Union européenne. Dans une lettre à Jean-Claude Juncker, José Manuel Barroso affirme qu’il n’a pas été engagé par Goldman Sachs pour faire du lobbying et qu’il a été recruté avant le référendum britannique. Le comité d’éthique reconnaît tout d’abord que la « période de refroidissement » réglementaire de 18 mois pendant laquelle un commissaire ne peut accepter un travail portant sur des dossiers qu’il avait à connaître à Bruxelles a été respectée. Ses membres soulignent qu’ils n’auraient donc théoriquement même pas dû être consultés mais que Jean-Claude Juncker a saisi le comité de manière « exceptionnelle ». Le comité estime que tout cela est « insuffisant pour établir que M. Barroso a violé son devoir d’intégrité et de discrétion », et qu’ »aussi longtemps » que Goldman Sachs « respecte les règles de droit, il n’est pas en soi illégal d’accepter de travailler pour la banque ». L’affaire Barroso est d’autant plus sensible qu’elle intervient au moment où l’UE doit lutter contre la perception du public qui la voit comme une pièce du capital mondial après la décision du Royaume-Uni de quitter l’Union européenne. Le président français François Hollande avait jugé le 14 juillet dernier que le recrutement annoncé de José Manuel Barroso, était « moralement inacceptable ». Le comité d’éthique comprend trois membres : un ancien juge néerlandais à la Cour de justice de l’Union, un social-démocrate allemand ancien membre du Parlement européen et un ancien haut responsable autrichien à la Commission européenne.

(Avec Reuters)

Juncker veut des clarifications sur Barroso, ancien gauchiste, recasé chez Goldman Sachs

Juncker veut des clarifications sur  Barroso, ancien gauchiste, recasé chez Goldman Sachs

Jean-Claude Juncker exige maintenant des clarifications de la part de José Manuel Barroso sur « ses nouvelles responsabilités et les termes de son contrat avec chez Goldman Sachs. Celui qui fut Président des étudiants maoïstes (MRPP),  Premier ministre du Portugal et  président de la Commission européenne de 2004 à 2014 a été  embauché par une des banques les plus puissantes (et controversées) du monde, pour la conseiller sur l’ère post-Brexit.  Les relations troublent entre la politique et le monde de la finance ne sont pas nouvelles au plan européen. Il faut en effet notamment se souvenir que Draghi  l’actuel président de la banque centrale européenne à orienté l’adhésion de la Grèce à l’union européenne en tant que responsable pour l’Europe de Goldman Sachs (en tordant  les chiffres pour forcer cet adhésion). Notons aussi que Jean-Claude Juncker l’actuel président de la commission européenne était premier ministre luxembourgeois lorsqu’on a trouvé des petits arrangements fiscaux entre son pays d’origine et les grandes multinationales. Bref la politique et la finance entretiennent  parfois des liens consanguins. Du coup «Bras d’honneur», «conflit d’intérêt», «indécent»: une pluie de critiques, venant même du gouvernement, s’est abattue ce samedi en France sur l’ex-président de la Commission européenne, José Manuel Barroso qui va rejoindre la banque d’affaires américaine Goldman Sachs.

L’euro à 0.95 dollar en 2015 ( Goldman Sachs)

L’euro à 0.95 dollar en 2015 ( Goldman Sachs)

 

L’Euro à 0.95 dollars c’est le pronostic de Goldman Sachs qui pourraiat bien être justifié car le différentiel de croissance (2,7% aux Etats-Unis en 2015, pour 1.5% en Europe) aussi par le relèvements des taux américains qui va drainer les flux financiers °. De toute manière en l’état des résultats  de la croissance  l’euro était surévalué. En outre l’euro souffre des disparités économiques de la zone. Ainsi l’euro devrait valoir autour de 1.5 dollars en Allemagne ou en Autriche, autour de 0.95 dollar pour la France et environ 0.60 dollar pour la Grèce. La prévision de Goldman Sachs encore hypothétique pourrait cependant se réaliser si la zone euro s’enlise dans la croissance molle pendant encore plusieurs années. Cette prévision de Goldman Sachs est la plus sévère de tous les établissements financiers. La banque américaine estime qu’un euro vaudra 95 cents dans les 12 mois.  Goldman Sachs a revu ses estimations à la baisse. Il considère désormais que l’euro va rapidement enfoncer très rapidement le seuil de la parité face au dollar américain. Et ce, dans l’espace d’un an, pour inscrire un nouveau plus bas record d’ici la fin 2017. Goldman Sachs voit ainsi l’euro à 95 cents dans les 12 mois, au lieu de 1,08 dollar anticipé dans les prévisions de fin janvier. La monnaie unique européenne passera à 85 cents d’ici la fin 2016 et à 80 cents à la fin de l’année 2017, selon l’établissement financier. La prévision de la banque d’investissement américaine est dorénavant la plus sévère pour la monnaie unique, parmi les établissements financiers, et tombe à la fin d’une semaine au cours de laquelle la Banque centrale européenne (BCE) a lancé son programme d’assouplissement quantitatif (QE) et plusieurs banques ont sabré leurs projections pour la monnaie unique.

 

L’euro à 0.80 dollar en 2017 ( Goldman Sachs)

L’euro à 0.80 dollar en 2017 ( Goldman Sachs)

 

L’Euro plonge, il va rapidement atteindre 1 dollar. Mais certains comme Goldman Sachs envidage une baisse encore plus importante d’ici 2017 : à 0.80 dollar. En cause d’abord la bonne santé des Etats-Unis à l’inverse de l’atonie de la croissance européenne. Aussi la politique maintenant très accommandante de la BCE qui a décidé nettement de racheter des actifs d’Etat. Bref de faire tourner la planche à billets . ( comme lavait fait la FED)°. De toute manière en l’état des résultats  de la croissance  l’euro était surévalué. En outre l’euro souffre des disparités économiques de la zone. Ainsi l’euro devrait valoir autour de 1.5 dollars en Allemagne ou en Autriche, autour de 0.95 dollar pour la France et environ 0.60 dollar pour la Grèce. La prévision de Goldman Sachs encore hypothétique pourrait cependant se réaliser si la zone euro s’enlise dans la croissance molle pendant encore plusieurs années. Cette prévision de Goldman Sachs est la plus sévère de tous les établissements financiers. La banque américaine estime qu’un euro vaudra 95 cents dans les 12 mois.  Goldman Sachs a revu ses estimations à la baisse. Il considère désormais que l’euro va rapidement enfoncer très rapidement le seuil de la parité face au dollar américain. Et ce, dans l’espace d’un an, pour inscrire un nouveau plus bas record d’ici la fin 2017. Goldman Sachs voit ainsi l’euro à 95 cents dans les 12 mois, au lieu de 1,08 dollar anticipé dans les prévisions de fin janvier. La monnaie unique européenne passera à 85 cents d’ici la fin 2016 et à 80 cents à la fin de l’année 2017, selon l’établissement financier. La prévision de la banque d’investissement américaine est dorénavant la plus sévère pour la monnaie unique, parmi les établissements financiers, et tombe à la fin d’une semaine au cours de laquelle la Banque centrale européenne (BCE) a lancé son programme d’assouplissement quantitatif (QE) et plusieurs banques ont sabré leurs projections pour la monnaie unique. Pour rappel, l’euro a touché cette semaine un pic de 12 ans à 1,0494 dollar. Son plus bas  de 82,25 cents, a été atteint en octobre 2000. A 12h20, l’euro valait 1,0589 dollar

Bruxelles : amende pour Goldman Sachs

Bruxelles : amende pour  Goldman Sachs

La banque américaine Goldman Sachs, et une foule de fabricants de câble seront notifiés avant Pâques, donc le 20 avril, des amendes que s’apprête à leur infliger la Commission européenne, indique Reuters ce 21 mars. L’exécutif européen, qui a entamé son enquête il y a cinq ans, peut en principe réclamer aux entités jugées coupable d’entente sur les prix des amendes jusqu’à 10% de leur chiffre d’affaires. Parmi les entreprises visées: le numéro un mondial Prysmian, le français Nexans, mais aussi les japonaises Exsym Corporation, J-Power Systems corporation, Viscas Corporation et LS Cable & system. Seule à y échapper: ABB, qui a alerté la Commission sur l’entente nouée entre ces sociétés. Goldman Sachs est impliquée dans cette affaire en tant qu’ancien premier actionnaire de Prysmians, via un de ses fonds de Private Equity. La banque à la réputation sulfureuse a depuis vendu sa participation de 16,80% en plusieurs parties.  Les autorités japonaises, sud-coréennes et australiennes ont déjà infligé plusieurs millions d’euros d’amendes à des acteurs du secteur pour pratiques anticoncurrentielles. Et la justice américaine enquête elle aussi sur le marché du câble.  Le câble intéresse de près le monde bancaire, à l’heure de la globalisation du trading haute fréquence. Dans cette course à la vitesse pour spéculer, le moindre millième de seconde d’avance sur son concurrent peut faire gagner des millions au plus rapide, et perdre autant au plus lent. Les banques et fonds misent ainsi des réseaux ultramodernes pour optimiser leur vitesse de passage d’ordre. Un câble entre New York et Londres, destiné à cet usage, est d’ailleurs actuellement en construction. Un investissement de 300 millions de dollars pour gagner… 5 millièmes de secondes.




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