Raphaël Glucksmann prépare d’ores et déjà l’opinion à une séparation avec Mélenchon lors de la prochaine dissolution de l’Assemblée nationale. Il dénonce une «stratégie du tout ou rien, dictée par Jean-Luc Mélenchon dès 20h02 le soir du deuxième tour et appliquée par des gens tétanisés à l’idée de lui déplaire», qui «a produit le rien». «C’était voué à l’échec». Déplorant l’intransigeance des principaux leaders du NFP qui n’ont pas voulu négocier sur le programme dans la foulée de leur victoire relative, le parlementaire européen rappelle que la coalition «n’avait pas de majorité».
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Pour Glucksmann, Macron est un ado qui a ouvert les portes de l’enfer
L’eurodéputé «comprend» dans une tribune au Monde publiée mardi soir le «trouble de ses nombreux électeurs qui ont voté le 9 juin pour la voie sociale-démocrate, écologiste et pro-européenne ouverte pendant la campagne», il les appelle à «hiérarchiser les périls» face à une «l’extrême droite aux portes du pouvoir».Il estime que Macron a ouvert les portes de l’enfer.
Raphaël Glucksmann exhorte les Français à faire la part des choses: «Qui peut décemment croire que la principale menace sur la République vient d’une France insoumise divisée et diluée dans une large coalition électorale dont elle n’a pas la maîtrise quand le Rassemblement national seul peut conquérir la majorité absolue à l’Assemblée dans moins de trois semaines ?».
Il n’épargne pass la décision du président de la République, officialisée après la défaite cinglante de la liste Renaissance. Il y voit un «fait du prince ouvrant la voie à une campagne de vingt jours avec un système électoral réduisant de facto l’expression du pluralisme.» Et de charger un peu plus le comportement d’Emmanuel Macron, qui aurait ouvert «les portes de l’Enfer» : «Nous sommes présidés par un adolescent qui s’amuse à craquer des allumettes dans une station-essence sous les vivats énamourés de trois conseillers obscurs.»
LES ÉLECTEURS DE ZEMMOUR ET GLUCKSMANN SONT « COCUS » ( DUPOND-MORETTI)
« Comme d’ailleurs les électeurs de Raphaël Glucksmann sont aujourd’hui cocus », a repris Éric Dupond-Moretti dans un nouvel assaut cette fois-ci adressé au Parti socialiste, qui a rejoint en début de semaine le nouveau « Front populaire. »
« Monsieur Faure a vendu le Parti socialiste, qui était un grand parti de gouvernement, pour un plat de lentilles, pour quelques places. Qui serait leur Premier ministre si par malheur ils gagnaient, monsieur Mélenchon, monsieur Boyard, madame Panot, c’est ça qu’on veut pour la France? », a-t-il encore tancé.
SONDAGE » les Echos » – Européennes 2024 : Hayer et Glucksmann dans un mouchoir
Pour résumer, encore un sondage qui démontre la grande victoire du Front National, l’écroulement du parti au pouvoir mais aussi des « Républicains », du parti de Mélenchon et des écolos.
Débat Européennes : « les Insoumis » à la dérive ciblent Glucksmann
Sondage après sondage pour les élections européennes se confirme le naufrage du parti de Mélenchon qui obtient moitié moins que Glucksmann. Du coup ces derniers devient la cible privilégiée et ce dernier lors du dernier débat de lundi soir a demandé au insoumis : « de lui lâcher les baskets » et de se concentrer plutôt contre l’extrême droite. Pendant ce temps-là le Front National profite des contradictions de la gauche et de la droite Même s’il s’agit davantage d’intentions de vote d’opposition que d’adhésion.
Ce qui inquiète évidemment les insoumis c’est la perte très nette de leur leadership sur la gauche qui va évidemment se reconstituer autour du pôle de Glucksmann. Les insoumis toujours aussi révolutionnaires risquent même de se marginaliser totalement voire suivre le sort du parti communiste.
Pendant ce temps-là le Front National se réjouit de la faiblesse de ses adversaires et se nourrit de leurs contradictions voire de leur insignifiance. Ainsi Bardella la continue toujours de progresser pour atteindre 33,5 % soient plus du double que la majorité.
Le discrédit de la majorité est tel, que le parti de Macron est complètement inaudible même lorsque les leaders ont parfois raison. Le rejet est politique mais aussi culturel. Le principal carburant pour la progression du Front National, c’est en fait le rejet de Macon
Élections Européennes 2024 : Glucksmann monte à 15 %
Les intentions de vote de ce mardi 21 mai 2024 :
LO – Lutte Ouvrière (Nathalie Arthaud) : 1 % (+0.5)
NPA – Nouveau Parti Anticapitaliste (Selma Labib) : 0 % (-0.5)
LFI – La France Insoumise (Manon Aubry) : 7,5 % (+0.5)
PC – Parti Communiste (Léon Deffontaines) : 2 % (-0.5)
PS – Parti Socialiste, Place Publique (Raphaël Glucksmann) : 15 % (+0.5)
Parti Radical de Gauche, de Régions et Peuples Solidaires et du Mouvement des citoyens (Guillaume Lacroix) : 0,5 % (=)
Changer l’Europe, Nouvelle Donne (Pierre Larrouturou) : 0,5 % (-0.5)
Les Écologistes, ex-EELV (Marie Toussaint) : 5,5 % (=)
Écologistes au centre (Jean-Marc Governatori) : 0,5 % (-0.5)
PA – Parti Animaliste (Hélène Thouy) : 1,5 % (=)
La liste Ecologie positive et territoires : 0,5% (+0.5)
Renaissance, Modem, Horizons et UDI (Valérie Hayer) : 16,5 % (=)
LR – Les Républicains (François-Xavier Bellamy) : 7,5 % (-0.5)
Alliance Rurale (Jean Lassalle) : 1 % (=)
Reconquête (Marion Maréchal) : 6 % (=)
RN – Rassemblement National (Jordan Bardella) : 32 % (=)
Union Populaire Républicaine (François Asselineau ) : 1 % (+1)
Les Patriotes (Florian Philippot) : 0 % (+1)
La liste « Free Palestine Party » : 0 % (-0.5)
Une autre liste : 0,5 % (-0.5)
Sondage européenne : la liste Glucksmann monte à 15 %La liste PS-PP atteint 15 % des intentions de vote
Pour la première fois depuis le lancement du Rolling IFOP le 8 avril 2024, la liste PS-PP atteint 15 % des intentions de votes, juste derrière la liste de la majorité présidentielle, qui stagne à 16,5 %.
La liste conduite par Raphaël Glucksmann est particulièrement populaire chez les cadres et professions intellectuelles supérieures (35 %), les diplômés des 2e et 3e cycles du supérieur (24 %) et chez les électeurs habitant l’agglomération parisienne (22 %). Elle peine cependant à mobiliser les jeunes qui se situent à gauche de l’échiquier politique, en réunissant seulement 8 % des intentions de vote des moins de 35 ans, contre 9 % pour Les Ecologistes et 15 % pour LFI.
Sondage européennes : hausse de Glucksmann
Glucksmann en hausse fait le double des insoumis. L’écart se resserre à nouveau entre le candidat des socialistes et son adversaire macroniste Valérie Hayer, selon le «rolling» Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI, Sud Radio publié ce jeudi.La liste de du pouvoir plafonne à 16 % tandis que le front national se maintient à 32 % et la liste socialiste progresse à 14,5 %. Les autres partis sont assez marginalisés notamment ceux de gauche comme les insoumis est encore davantage les écologistes notamment plombés par le radicalisme anachronique de Sandrine Rousseau. Le même radicalisme de Mélenchon qui plombe les insoumis.
Raphaël Glucksmann va-t-il réussir son pari ? Celui de dépasser Valérie Hayer dans les sondages, avec l’espoir que ce croisement de courbe lui permette de s’installer à la deuxième place jusqu’aux élections européennes du 9 juin. Si la tête de liste PS-Place publique reste pour l’instant troisième, derrière sa concurrente macroniste, il rattrape petit à petit son retard, d’après la dernière vague du «rolling» quotidien Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI, et Sud Radio publiée jeudi. Dans une bonne dynamique depuis la fin de la semaine dernière, l’essayiste renoue avec son plus haut score, à 14,5% d’intentions de vote (+0,5). Une performance qu’il n’avait plus réalisée depuis la fin du mois d’avril. Cette poussée lui permet de réduire l’écart qui le sépare de la tête de liste Renaissance, à deux petits points de lui.
La remontée de Raphaël Glucksmann est entre autres liée aux parts de marché qu’il reprend chez les actifs de 35 à 49 ans (19%, +6), chez les cadres et les professions intellectuelles. Ces tendances sont confirmées dans un autre sondage de France Info et du Parisien.
La dynamique de la tête de liste du PS et de Place publique, Raphaël Glucksmann, se confirme avec 14,5% des intentions de vote (+1,5 point en un mois) aux élections européennes des 8 et 9 juin prochains, et l’écart se réduit avec la candidate Renaissance Valérie Hayer, qui se stabilise à 16%, selon un sondage Ipsos pour Radio France et Le Parisien publié mercredi 15 mai.
À moins d’un mois du scrutin, les socialistes comme la majorité présidentielle restent largement distancés par le Rassemblement national. La liste portée par Jordan Bardella est créditée de 31% des intentions de vote, soit un point de moins qu’en avril dernier.
Derrière ce trio de tête, les autres candidats affichent toujours des scores à un chiffre. La liste de La France insoumise portée par Manon Aubry gagne un point par rapport au mois dernier, avec 8% d’intentions de vote. Tandis que François-Xavier Bellamy et la liste Les Républicains, pointent à 7% d’intentions de vote (+0,5%). La liste des Écologistes portée par Marie Toussaint passe à 6,5% (-0,5%). Quant à la liste Reconquête! de Marion Maréchal, elle, perd 0,5 point mais reste au-dessus du seuil minimum pour élire des eurodéputés, avec 6% des intentions de vote. Le Parti communiste, porté par Léon Deffontaines, perd un point (2%). Les autres listes recueillent entre 0 et 1,5% des intentions de vote.
Sondage européennes: Glucksman toujours en hausse
Dans les sondages pour les européennes les scores des partis tendent désormais à se stabiliser avec toujours nettement en tête le Front National avec 31 % d’après le dernier sondage IFOP pour le Figaro. À noter cependant la hausse légère mais continue de Glucksman qui atteint 13 %, son plus haut niveau. La liste de Macron plafonne toujours autour de 17 %. Le parti républicain est bloqué à 8 %. À gauche les insoumis, les écolo semble également chacun bloqués à 8 %.Le dernier discours du président de la république pourrait temporairement faire remonter le score de la majorité. Mais un discours cependant inaudible qui sera oublié dans quelques jours.
Sondage européennes : légère progression pour Valérie Hayer et Raphaël Glucksmann
Selon la dernière enquête «rolling» Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI, et Sud Radio, publiée ce mercredi, La liste Raphaël Glucksmann progresse légèrement à 12,5 % tandis que les écolos stagnent à 7,5 % et les insoumis de Mélenchon à 7 %. La liste de Macon enregistre aussi une petite progression et atteint 12,5 %. Tout cela loin et RN à 31 %.
. Avec 17,5% d’intentions de vote, la présidente du groupe «Renew» au Parlement européen retrouve un peu d’oxygène. C’est la première fois depuis le lancement des enquêtes glissantes que la macroniste grignote du terrain. Quant à celui qui porte les couleurs du PS et de Place-Publique, il atteint, avec 12,5%, à nouveau son plus haut niveau mesuré par l’institut sondagier.
Européenne : Glucksmann pour limiter la casse à gauche
Une nouvelle fois les socialistes avanceront masquer derrière Glucksmann plus présentable que la plupart des autres dirigeants socialistes. De toute manière, la gauche s’apprête à recevoir comme le pouvoir une belle déculottée. On pourra donc faire porter le chapeau à Glucksmann qui n’appartient pas au PS mais à un micro parti.(Place publique)
Dans tous les sondages, le rassemblement national vient nettement en têteaux alentours de 25 % d’intentions de vote , le RN a depuis largement consolidé sa place de leader dans les sondages, flirtant désormais avec la barre des 30 %. Dans une étude d’opinion réalisée début février pour le Huffington Post, YouGov place même le parti lepéniste à 32 %.
La majorité présidentielle, elle, peine à combler son retard sur son principal opposant. Donnée à environ 19 % en mai, elle a entamé une lente remontée dans les sondages avant de repasser nettement sous la barre des 20 % courant novembre. Depuis, Renaissance stagne. L’absence de tête de liste, qui tarde à être désignée, semble jouer en la défaveur de la liste macroniste, récemment créditée de 16,5 % d’intentions de vote par Elabe, son plus faible total.
Derrière le RN et Renaissance, plusieurs listes se battent pour la troisième place, autour des 10 % d’intentions de vote. Le Parti socialiste est régulièrement donné entre 9 et 10 %. La France insoumise, sondée au départ aux alentours de 10 % également, a dégringolé dans les études d’opinion jusqu’en décembre (7 %), avant de remonter légèrement depuis aux environs de 8 %. Europe Ecologie Les Verts stagne, lui aussi, autour de 8 % depuis décembre.
A droite, Les Républicains peinent désormais à dépasser la barre des 7 %. Ils pourraient bientôt jouer des coudes avec Reconquête. La courbe d’évolution du parti d’Eric Zemmour oscille depuis dix mois entre 6 et 7 %. Pour le reste des listes sondées, la barre cruciale des 5 % des suffrages, seuil minimal pour envoyer des élus au Parlement européen, n’a jamais été atteinte.
Élections européennes : Raphaël Glucksmann cible des écologistes, des « insoumis » et des communistes
À défaut de présenter un front uni et cohérent sur les questions européennes, la gauche se déchire. Au lieu de proposer des orientations pour l’Europe et de combattre le pouvoir actuel, elle choisit de s’entre-déchirer. Haro notamment sur Raphaël Glucksmann qui figure en tête de la gauche dans les sondages.
La vérité c’est que toute la gauche est en pleine décomposition ; les plus radicaux se sont complètement discrédités du fait de leur radicalité et du caractère illusoire de leurs propositions. ( Exemple quitter l’Europe pour sauver l’agriculture !).
Certes, le parti socialiste n’est pas non plus dans un très bel état. Il est d’ailleurs aussi divisé entre marxistes et sociaux-démocrates. Mais pour les européennes Raphaëlle Glucksmann qui n’est pas encarté pourrait permettre aux socialistes de se refaire une santé même si cela ne résoudra pas leurs problèmes internes
Ce week-end, Raphaël Glucksmann, qui conduira, sauf surprise, la campagne du PS pour ce scrutin, et qui devance les autres candidats à gauche dans les sondages, a été la cible d’EELV, de La France insoumise (LFI), et du Parti communiste (PCF). Les jours précédents, l’eurodéputé, considéré comme un refuge potentiel pour les déçus du macronisme, avait multiplié les interventions médiatiques, donnant des sueurs froides aux écologistes, qui bataillent pour le même électorat.