Archive pour le Tag 'générales'

Réforme des retraites : vers des grandes grèves générales en janvier

Réforme des retraites : vers une grande grève générale en janvier


Contrairement aux habitudes, les syndicats ont pris le temps de la réflexion sur la stratégie à conduire pour contrer la réforme des retraites du gouvernement. Ils ont sans doute aussi tenu compte de leurs différentes appréciations concernant la nécessité d’une réforme et ses modalités. Pour l’instant, l’objectif est de construire une solide unité pour préparer de grandes grèves générales sans doute en janvier.

Des grèves qui seront largement soutenues par les syndicats des salariés des régimes spéciaux mais aussi par tous les salariés.

En effet pour diviser, le pouvoir a prévu d’appliquer la clause du grand-père aux régimes spéciaux ; en clair n’appliquer la réforme des retraites qu’aux nouveaux entrants alors que la réforme s’appliquera dès maintenant dans le privé pour les salariés nés à partir de 1961.

Une inégalité qui pourrait bien renforcer la mobilisation du privé d’autant que les fonctionnaires pourront être complètement exemptés. Bref on est loin de la réforme universelle et égalitaire.

Dans un communiqué commun, publié ce mardi, ils mettent en garde l’exécutif : « Les organisations sont comme la très grande majorité de la population, fermement opposées à tout recul de l’âge légal de départ en retraite comme à toute augmentation de la durée de cotisation ». Et de menacer : « Si le gouvernement demeurait arc-bouté sur son projet, il y aurait des mobilisations et grèves unitaires en janvier ». Ou encore « le gouvernement en s’entêtant, porterait l’entière responsabilité d’un conflit social majeur ».

Le climat général pourrait effectivement se détériorer car la conjoncture sociale est relativement inflammable notamment avec l’inflation qui tue le pouvoir d’achat. L’inflation sur les produits alimentaires, ainsi que sur les coûts de l’énergie ne cesse de grimper. Et ce n’est pas terminé : en janvier prochain, le gouvernement va réduire son soutien aux ménages, en supprimant par exemple la ristourne à la pompe, ou encore en limitant les effets du bouclier tarifaire sur le gaz et l’électricité.

Jusqu’alors les revendications portaient sur les salaires et les conditions de travail, mais la retraite, thème fédérateur par excellence, pourrait être l’étincelle qui met le feu aux poudres.
Surtout que le projet du gouvernement est ambitieux. La semaine dernière, Elisabeth Borne a fait savoir, dans un entretien au Parisien -Aujourd’hui en France, qu’elle souhaitait reculer l’âge de départ de 62 ans à 65 ans… Et ce pour dès la génération née en 1961. Sans compter que l’exécutif veut aller vite, et voir entrer en vigueur sa réforme dès l’été 2023. Il vise la présentation de son projet mi-décembre, pour un envoi au conseil d’Etat en fin d’année, une inscription en conseil des ministres en janvier, et une discussion parlementaire en début d’année.prix de l’énergie à 10 %, Comité d’entreprises etc… )

Il n’empêche, malgré le risque d’embrasement social que comporte ce projet de réforme, et le contexte dans lequel il va être présenté, le gouvernement se montre déterminé.
Selon plusieurs ministres : « il n’y a jamais de bons moments pour faire ce type de réformes ». Il en va, selon eux, de la réussite du quinquennat. « Emmanuel Macron doit transformer radicalement la société. Or, pour le pouvoir la réforme des retraites est la mère des réformes, c’est sans doute ce qui pourra seulement rester de la gestion de Macron mais cette réforme pourrait aussi être son tombeau.

Fermeture de Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

Fermeture de Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

 

Il est évidemment de bon ton de taper très fort sur Bridgestone dont effectivement la fermeture d’usine constitue un véritable drame pour les travailleurs intéressés mais aussi pour l’économie française. Curieusement, toutes les voix s’unissent celle de gauche, celle de droite celle des syndicats et celle du gouvernement pour cogner sur la société japonaise. Pourquoi pas !  Les Japonais eux-mêmes n’ont pas pris de gants quand il s’agissait de cogner sur la France et  Renault impliqués dans la gestion de Nissan. À tel point que l’affaire a pris les dimensions économiques bien sûr mais aussi juridiques et politiques. On peut cependant être étonné de la surprise de la plupart des responsables qui savent très bien que le processus de désertification industrielle est largement entamé en France depuis qu’on a décidé de délocaliser dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. À cela s’ajoute évidemment les conditions de la compétitivité française plombée par la fiscalité et les procédures. S’ajoutent aussi le sujet tabou de la productivité et des 35 heures qui ont fini de tuer les performances de nombre d’entreprises. Évidemment, il est plus facile de taper sur une entreprise étrangère que sur une entreprise française comme Michelin qui vient tout juste de faire la même chose à la Roche-sur-Yon.  L’industrie du pneu souffre du même malaise que l’ensemble de l’industrie: insuffisance de compétitivité et de qualité sauf dans que les rares secteurs comme l’aéronautique.  Une industrie délaissée par des ingénieurs eux-mêmes qui préfèrent se recaser dans le monde de la finance. Une industrie méprisée par les technocrates et les prophètes de salon qui rêvent d’une économie composée uniquement de start-ups du numérique et de mondialisation sans contrainte. Sans parler de la responsabilité de certains syndicats gauchistes qui ont tout fait pour rendre impossible le dialogue social et pour neutraliser les velléités d’adaptation conjoncturelle mais aussi structurelle. Bref l’incompétence et l’hypocrisie est générale. Dans quelques mois on passera un autre sujet et on aura oublié ce nouvel exemple de désindustrialisation du pays. En cause le manque de vision stratégique, la sous culture économique qui gangrène le pays, l’absence de dialogue dans les entreprises, le poids des prélèvements obligatoires, la bureaucratie , le double langage permanent des responsables politiques etc.

 

Il est évidemment de bon ton de taper très fort sur Bridgestone dont effectivement la fermeture d’usine constitue un véritable drame pour les travailleurs intéressés mais aussi pour l’économie française. Curieusement, toutes les voix s’unissent celle de gauche, celle de droite celle des syndicats et celle du gouvernement pour cogner sur la société japonaise. Pourquoi pas !  Les Japonais eux-mêmes n’ont pas pris de gants quand il s’agissait de cogner sur la France et  Renault impliqués dans la gestion de Nissan. À tel point que l’affaire a pris les dimensions économiques bien sûr mais aussi juridiques et politiques. On peut cependant être étonné de la surprise de la plupart des responsables qui savent très bien que le processus de désertification industrielle est largement entamé en France depuis qu’on a décidé de délocaliser dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. À cela s’ajoute évidemment les conditions de la compétitivité française plombée par la fiscalité et les procédures. S’ajoutent aussi le sujet tabou de la productivité et des 35 heures qui ont fini de tuer les performances de nombre d’entreprises. Évidemment, il est plus facile de taper sur une entreprise étrangère que sur une entreprise française comme Michelin qui vient tout juste de faire la même chose à la Roche-sur-Yon.  L’industrie du pneu souffre du même malaise que l’ensemble de l’industrie: insuffisance de compétitivité et de qualité sauf dans de rares secteurs comme l’aéronautique.  Une industrie délaissée par des ingénieurs eux-mêmes qui préfèrent se recaser dans le monde de la finance. Une industrie méprisée par les technocrates et les prophètes de salon qui rêvent d’une économie composée uniquement de start-ups du numérique et de mondialisation sans contrainte. Sans parler de la responsabilité de certains syndicats gauchistes qui ont tout fait pour rendre impossible le dialogue social et pour neutraliser les velléités d’adaptation conjoncturelle mais aussi structurelle. Bref l’incompétence et l’hypocrisie est générale. Dans quelques mois on passera un autre sujet et on aura oublié ce nouvel exemple de désindustrialisation du pays. En cause le manque de vision stratégique, la sous culture économique qui gangrène le pays, l’absence de dialogue dans les entreprises, le poids des prélèvements obligatoires, la bureaucratie , le double langage permanent des responsables politiques etc.

Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

 

Il est évidemment de bon ton de taper très fort sur Bridgestone dont effectivement la fermeture d’usine constitue un véritable drame pour les travailleurs intéressés mais aussi pour l’économie française. Curieusement, toutes les voix s’unissent celle de gauche, celle de droite celle des syndicats et celle du gouvernement pour cogner sur la société japonaise. Pourquoi pas !  Les Japonais eux-mêmes n’ont pas pris de gants quand il s’agissait de cogner sur la France et  Renault impliqués dans la gestion de Nissan. À tel point que l’affaire a pris les dimensions économiques bien sûr mais aussi juridiques et politiques. On peut cependant être étonné de la surprise de la plupart des responsables qui savent très bien que le processus de désertification industrielle est largement entamé en France depuis qu’on a décidé de délocaliser dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. À cela s’ajoute évidemment les conditions de la compétitivité française plombée par la fiscalité et les procédures. S’ajoutent aussi le sujet tabou de la productivité et des 35 heures qui ont fini de tuer les performances de nombre d’entreprises. Évidemment, il est plus facile de taper sur une entreprise étrangère que sur une entreprise française comme Michelin qui vient tout juste de faire la même chose à la Roche-sur-Yon.  L’industrie du pneu souffre du même malaise que l’ensemble de l’industrie: insuffisance de compétitivité et de qualité sauf dans que les rares secteurs comme l’aéronautique.  Une industrie délaissée par des ingénieurs eux-mêmes qui préfèrent se recaser dans le monde de la finance. Une industrie méprisée par les technocrates et les prophètes de salon qui rêvent d’une économie composée uniquement de start-ups du numérique et de mondialisation sans contrainte. Sans parler de la responsabilité de certains syndicats gauchistes qui ont tout fait pour rendre impossible le dialogue social et pour neutraliser les velléités d’adaptation conjoncturelle mais aussi structurelle. Bref l’incompétence et l’hypocrisie est générale. Dans quelques mois on passera un autre sujet et on aura oublié ce nouvel exemple de désindustrialisation du pays. En cause le manque de vision stratégique, la sous culture économique qui gangrène le pays, l’absence de dialogue dans les entreprises, le poids des prélèvements obligatoires, la bureaucratie , le double langage permanent des responsables politiques etc.

Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

 

Il est évidemment de bon ton de taper très fort sur Bridgestone dont effectivement la fermeture d’usine constitue un véritable drame pour les travailleurs intéressés mais aussi pour l’économie française. Curieusement, toutes les voix s’unissent celle de gauche, celle de droite celle des syndicats et celle du gouvernement pour cogner sur la société japonaise. Pourquoi pas !  Les Japonais eux-mêmes n’ont pas pris de gants quand il s’agissait de cogner sur la France et  Renault impliqués dans la gestion de Nissan. À tel point que l’affaire a pris les dimensions économiques bien sûr mais aussi juridiques et politiques. On peut cependant être étonné de la surprise de la plupart des responsables qui savent très bien que le processus de désertification industrielle est largement entamé en France depuis qu’on a décidé de délocaliser dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. À cela s’ajoute évidemment les conditions de la compétitivité française plombée par la fiscalité et les procédures. S’ajoutent aussi le sujet tabou de la productivité et des 35 heures qui ont fini de tuer les performances de nombre d’entreprises. Évidemment, il est plus facile de taper sur une entreprise étrangère que sur une entreprise française comme Michelin qui vient tout juste de faire la même chose à la Roche-sur-Yon.  L’industrie du pneu souffre du même malaise que l’ensemble de l’industrie: insuffisance de compétitivité et de qualité sauf dans que les rares secteurs comme l’aéronautique.  Une industrie délaissée par des ingénieurs eux-mêmes qui préfèrent se recaser dans le monde de la finance. Une industrie méprisée par les technocrates et les prophètes de salon qui rêvent d’une économie composée uniquement de start-ups du numérique et de mondialisation sans contrainte. Sans parler de la responsabilité de certains syndicats gauchistes qui ont tout fait pour rendre impossible le dialogue social et pour neutraliser les velléités d’adaptation conjoncturelle mais aussi structurelle. Bref l’incompétence et l’hypocrisie est générale. Dans quelques mois on passera un autre sujet et on aura oublié ce nouvel exemple de désindustrialisation du pays. En cause le manque de vision stratégique, la sous culture économique qui gangrène le pays, l’absence de dialogue dans les entreprises, le poids des prélèvements obligatoires, la bureaucratie , le double langage permanent des responsables politiques etc.

 




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