Archive pour le Tag 'garder'

Politique: « Macron doit garder ses nerfs » (Berger ,CFDT)

Politique: « Macron doit garder ses nerfs » (Berger ,CFDT)


Décidément la fébrilité de Macron gagne une grande partie du gouvernement qui hier a multiplié les attaques contre Laurent berger en multipliant notamment les mensonges quant à l’absence de contre-proposition syndicale.

Certains membres du gouvernement n’apprécient pas que le syndicat réformiste ait pris en quelque sorte la tête de la contestation. Hier encore, c’est Laurent Berger qui a donné le signal de départ de la réunion inutile avec Borne ( un départ qui avait été prévu par toute l’intersyndicale en cas de refus de négocier de Borne)).

Le gouvernement laisse entendre comme Macron que la CFDT n’a jamais fait de proposition. Un mensonge éhonté évidemment quand on sait que c’est même la CFDT qui est à l’origine depuis les années 2010 d’une réforme universelle des retraites. Que l’idée a été repris par Macron qui finalement a refusé de la mettre en œuvre se limiter à une réforme paramétrique.

Un véritable signe de fébrilité tant pour le chef de l’État que pour son entourage de plus en plus acculés dans leur entêtement et leur positionnement hors sol.

«J’appelle au calme. J’appelle à garder ses nerfs. J’appelle le président de la République à ne pas balancer des petites phrases (…) sinon il va finir par se mettre à dos l’ensemble des organisations syndicales», a déclaré Laurent Berger sur BFMTV visiblement excédé contre ces propos.

Depuis la Chine où le chef de l’État est en déplacement, l’entourage d’Emmanuel Macron a ciblé mercredi l’intersyndicale et en particulier la CFDT et son secrétaire général qui ont parlé à la sortie d’une réunion avec Élisabeth Borne de «crise démocratique» à propos du conflit sur les retraites.

«Faut arrêter, on n’est pas dans la cour d’école», a- déclaré Laurent Berger. «Nous, on n’est pas dans un combat politique», a-t-il ajouté. «Il n’y a pas d’affaire personnelle», a-t-il complété alors que les spéculations vont bon train sur une hypothétique animosité réciproque entre Emmanuel Macron et lui. «Le président de la République doit considérer qu’il y a une crise sociale, une crise démocratique avec un risque de montée de l’extrême droite», a encore posé le leader cédétiste.

Mobilisation écologiste : Garder l’espoir

 Mobilisation écologiste : Garder l’espoir

 

Là où la participation des Américains à la Journée de la Terre, le 22 avril 1970, a été massive, la pollution a plus diminué qu’ailleurs dans les décennies suivantes, rapporte l’économiste Pauline Grosjean, à l’université de Nouvelle-Galles du Sud (Australie) ,dans sa chronique.

 

Il est vrai qu’en ce moment le discours écolo ne fait guère recette en politique même si la sensibilité globale à cette question n’a pas perdu de vigueur. En France par exemple le représentant de l’écologie politique s’écroule dans les sondages mais la question environnementale vient en troisième position dans les préoccupations après le pouvoir d’achat et la guerre en Ukraine. NDLR

 

Chronique.

 

Un jeune sur deux sur cette planète souffre d’écoanxiété, une angoisse de la fin du monde due aux conséquences des dérèglements écologiques, combinée à un sentiment profond d’impuissance (« Young People’s Voices on Climate Anxiety, Government Betrayal and Moral Injury : a Global Phenomenon », Elizabeth Marks et alii, 7 septembre 2021). Pourtant, la question environnementale est complètement éclipsée de la campagne présidentielle, l’écologie politique plafonne à 5 % des intentions de vote, des militants écologistes de Greenpeace sont déclarés coupables de dégradation légère par le tribunal correctionnel de Bordeaux [le 26 janvier] pour avoir affiché des autocollants et dessiné à la craie sur une station-service Total, quand ils ne risquent pas, comme deux activistes allemands en Australie il y a quelques jours, l’annulation de leur visa et l’expulsion pour avoir causé un embouteillage en protestant contre l’extension d’un port qui accueille des porte-conteneurs géants. Même ceux qui répondent aux appels à manifester de Greta Thunberg se découragent, à l’instar du cinéaste et militant écologiste Cyril Dion, qui a récemment déclaré au Monde que ces marches « ne débouchent sur rien ».

Mais, il ne faut pas se décourager si vite, comme le montre une étude mettant en évidence l’efficacité de la mobilisation écologiste (« Every Day Is Earth Day : Evidence on the Long-Term Impact of Environmental Activism », Daniel Hungerman et Vivek Moorthy, American Economic Journal : Applied Economics, à paraître). Les auteurs évaluent l’impact de la mobilisation citoyenne, lors de la première Journée de la Terre, le 22 avril 1970, sur la pollution locale, la mortalité et la morbidité infantiles, indicateurs traditionnels des effets de la pollution. Cet événement fut, et reste à ce jour, la plus importante mobilisation environnementale aux Etats-Unis. Entre vingt et vingt-cinq millions d’Américains, soit un sur dix, participèrent à cette manifestation conçue par le sénateur démocrate Gaylord Nelson. Depuis les années 1990, la Journée de la Terre est devenue un événement mondial.

Cette première Journée de la Terre et l’énorme mobilisation qu’elle suscita furent suivies de changements politiques importants, comme la création de l’Agence de protection de l’environnement [des Etats-Unis]. Mais comment savoir si ces changements législatifs n’auraient pas eu lieu en l’absence de mobilisation ? De la même façon, une corrélation entre la participation à la Journée de la Terre et la réduction de la pollution locale peut simplement être due au fait que certaines communautés motivées décident à la fois de participer à cette manifestation et… de réduire leur consommation de carburant.

Les patrons et la CFDT d’accord pour «garder un service minimum de l’économie»

Les patrons  et la CFDT d’accord pour «garder un service minimum de l’économie»

 

Jusque-là les pouvoirs publics n’ont cessé de dénoncer les achats de panique qui sont susceptibles de provoquer des ruptures d’approvisionnement. Une évidence toutefois les pouvoirs publics ne peuvent assurer que les stocks seront éternellement suffisants si les usines de production de biens essentiels sont en arrêt. Il faudra bien qu’un minimum de production notamment pour les produits alimentaires et sanitaires continue de fonctionner. Le Medef et la CFDT à l’exemple d’ailleurs de l’Italie d’accord sur cette nécessité en actant toutefois le principe qu’il convenait d’assurer la plus grande sécurisation pour les salariés contraints de travailler. Alors que les syndicats et le patronat ont, de l’autre côté des Alpes, très vite conclu un protocole d’accord sur la sécurisation des conditions de travail, le seul principe d’une simple lettre commune, cosignée par les représentants des entreprises et des salariés, fait du sur place de ce côté-ci car ni FO ni la CGT ne veulent signer un tel protocole

Pourtant, tout a été mis en œuvre pour trouver un consensus afin de garantir la continuité de l’activité et éviter un effondrement total de l’économie française. Le Medef a traduit l’accord italien et l’a transmis à la CFDT pour une diffusion à l’ensemble des autres centrales syndicales. Et ce en respectant les formes pour trouver rapidement une position commune.

 

Notre-Dame-des-Landes: décision définitive …pour garder Hulot ?

Notre-Dame-des-Landes: décision définitive …pour garder Hulot ?

Il y aura prochainement une décision définitive concernant le projet d’aéroport de Notre-Dame des Landes a déclaré ce matin  le porte-parole du gouvernement. Une décision qui pourrait être influencée par le souci de Macron de conserver Hulot  au gouvernement. D’après certaines informations,  il se pourrait en effet que le gouvernement choisisse de reporter à plus tard la création d’un deuxième aéroport nantais. La solution qui serait choisie consisterait à accroître les capacités de l’aéroport actuel. Dans cette affaire,  il y a longtemps que les cartes sont biaisées. En effet si le gouvernement devait annoncer le lancement définitif d’un nouvel aéroport à Notre-Dame des Landes, la crédibilité de Nicolas Hulot serait alors complètement affectée au point sans doute qu’il n’aurait d’autre solution que de quitter le gouvernement. Ce que ne souhaite pas macro car Nicolas Hulot est sa caution écolo. Jusque-là le ministre actuel de l’écologie a avalé de nombreuses couleuvres et pas seulement sur le nucléaire. Il lui faut donc une victoire symbole qui témoigne de sa sincérité à l’égard de ses anciens engagements concernant l’environnement. Pas étonnant si Jean-Marc Ayrault fervent  défenseurs du projet considère que passer outre le référendum organisé en Loire-Atlantique serait un déni de démocratie  Alors que le gouvernement doit prendre d’ici la fin de l’année une décision au sujet de cet aéroport controversé, prévu près de Nantes, l’ancien maire de la ville affirme que si cette décision était de ne pas le construire« cela voudrait dire que l’Etat de droit n’a pas prévalu ».  « Ce projet a fait l’objet de toutes les concertations possibles. Plus de 180 recours ont été déposés par les opposants, tous ont été perdus. Le projet a donc été approuvé juridiquement et démocratiquement puisque le référendum organisé par le président Hollande a validé le transfert de l’aéroport à plus de 55 % », soutient-il. « Aujourd’hui, la question de NDDL n’est plus abordée de façon rationnelle. C’est devenu un totem. On veut un scalp, regrette-t-il. Est-ce que le président de la République prendra le risque d’aller contre l’intérêt général et la prise en compte des besoins du Grand Ouest et des métropoles de Nantes et Rennes, en plein développement ? C’est un test, et un rendez-vous extrêmement important. ». Reste que l’argument démocratique reposant sur un référendum sur une zone aussi réduite que la Loire atlantique est d’une grande fragilité car il ne s’agit pas d’un aéroport d’intérêt local mais d’intérêt national et international.

 

Simonnet (LFI) : veut garder son logement social !

Simonnet  (LFI) : veut garder son logement social !

 

 De toute évidence certains insoumis ont du mal à mettre en cohérence  leurs principes  de solidarité et leur pratique personnelle. Pour tout dire ils entretiennent aussi des relations ambiguës avec l’argent. Après les affaires de Garrido en délicatesse avec les différentes  cotisations qu’elle doit, après le couple Garrido-Corbière, qui s’est illustré en rechignant à quitter l’habitation à loyer modéré(HLM) qu’il occupe à Paris, c’est désormais Danielle Simonnet qui refuse délibérément de quitter le logement social au motif surréaliste qu’elle ne veut pas participer à la spéculation immobilière !  L’intéressé occupe en effet un logement social dans le XXe arrondissement de la capitale. , un appartement de 83m² avec balcon pour 1300€ par mois. Ce tarif, dont elle jouit depuis qu’il a été fixé par la Régie immobilière de la Ville de Paris en 1999, est très largement en-dessous de ceux du marché. Mas cela ne semble pas déranger l’élue francilienne. Interrogée par le quotidien, la conseillère de Paris - dont le revenu mensuel brut s’élève à 4190€ bruts -, explique qu’elle n’entend absolument pas quitter ce logement. «Je ne veux pas me loger dans le privé, enrichir un propriétaire privé et participer à la spéculation immobilière», justifie-t-elle.

 

Moralisation: le groupe LR veut garder les emplois familiaux !

Moralisation: le groupe LR veut garder les emplois familiaux !

La loi de moralisation n’est certes pas une merveille mais apporte  cependant quelques améliorations pour éviter les dérives financières des responsables politiques. Parmi ces améliorations : l’interdiction des emplois familiaux. Or les députés les Républicains ont introduit un recours contre cette décision qu’ils considèrent comme une discrimination à l’embauche.  plus faux-cul tu meurs ! En effet les Républicains veulent pérenniser les petites combines qui consistent à arrondir leurs fins de mois en embauchant un membre de leur famille comme collaborateur y compris avec une production plus ou moins fictive. On notera d’ailleurs que les députés les républicains n’ont pas  l’exclusivité de ce petit arrangement financier ;  nombre d’autres parlementaires sont aussi concernés au parti socialiste ou encore au MoDem. Pour preuve le récent ministre de la justice lui-même, ancien sénateur vient d’être pris la main dans le sac avoir embauché ces deux filles dont une d’ailleurs se trouvait  physiquement à Londres. Du coup le ministre de la justice a perdu son portefeuille ministériel et le poste qu’il convoitait au conseil constitutionnel. Le recours des Républicains concerne aussi le flou concernant le projet de création d’une banque de la démocratie. Une contestation plus légitime celle-là car on voit mal pourquoi il conviendrait de mettre en place une structure bancaire spécifique pour les politiques, une nouvelle cathédrale administrative qui couvrirait en fait peu de monde. Une autre solution plus simple aurait été ouvrir un petit guichet à la caisse des dépôts ou de prévoir une garantie de l’État dans les autres établissements bancaires. 

Bouygues souhaite garder ses 29,3% d’Alstom, c’est quoi ce cirque ?

Bouygues souhaite garder ses 29,3% d’Alstom, c’est quoi ce cirque ?

Bouygues change de fusil d’épaule et annonce maintenant  vouloir garder les 30% qu’il détient. Du coup on se demande pourquoi tout ce cirque Or on sait que pour l’essentiel c’est la volonté de Bouygues de se débarrasser de se parts qui avait justifié la mise en venet par appartements d’Alstom. Il serait temps que le gouvernement mette les pieds dans le plat et décide dune stratégie dans la mesure où pour l’essentiel les commandes d’Alstom sont des commandes publiques (TGV, centrales électriques etc.) de la France notamment. Le groupe Bouygues a en effet affirmé mardi soir vouloir conserver les 29,3% qu’il détient dans Alstom, adressant ce qui s’apparente à une fin de non-recevoir à l’offre du conglomérat japonais Mitsubishi Heavy Industries (MHI) de lui racheter jusqu’à près d’un tiers de cette participation. « Bouygues souhaite rester un actionnaire de long terme d’Alstom à hauteur de 29,3% », a déclaré un porte-parole de Bouygues interrogé par l’AFP. Dans sa proposition commune avec Siemens portant sur la branche énergie d’Alstom, MHI avait annoncé souhaiter monter jusqu’à 10% du capital d’Alstom en rachetant une partie des parts de Bouygues.

Fagor Brandt : Cévital veut garder 1.200 employés, pour combien de temps ?

Fagor Brandt : Cévital veut garder 1.200 employés, pour combien de temps ?

1200 salariés repris sur 1800, repris par une société algérienne, de quoi limiter la casse sociale. Reste à savoir si ces emplois seront pérennes ou s’il ne s’agit pas d’un rachat de marque dont tout ou partie de la production sera ensuite délocalisée. De ce point de vue le fait de retenir l’offre «  la plus disante » n’est pas nécessairement un critère très pertinent. Pour les appels d’ordres on vient par exemple très récemment ( et bien tardivement)  de s’apercevoir  que les moins disants sur les prix n’étaient pas forcément les plus performants ; Il en es t sans doute de même en matière d’emplois. La société algérienne a fait la meilleure offre de reprise du groupe d’électroménager en redressement judiciaire. En redressement judiciaire depuis début novembre, Fagor Brandt semble proche de la reprise. Le groupe d’électroménager a dévoilé, comme prévu, le nom de quatre candidats à l’issue d’un comité central d’entreprise. Selon Le Figaro, le groupe algérien Cévital, le fonds Sun capital, le groupe de Mayenne Variance Technologie et le fabricant de moteurs de lave-linge Selmi ont déposé des offres vendredi dernier. La CGT et la CFE-CGC ont indiqué ce mercredi 22 janvier que le groupe algérien Cévital était celui qui avait formulé la meilleure offre. Il propose en effet de garder 1.200 personnes sur 1.800. Le projet porte sur la reprise de quatre sites : les usines d’Orléans (Loiret) et Vendôme (Loir-et-Cher), ainsi que le siège de l’entreprise à Rueil-Malmaison et les services après-vente réunis à Cergy-Pontoise (Val d’Oise).

 




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