Archive pour le Tag 'gagné'

Foot-Ligue des champions : le PSG (enfin !) gagne face à City

Foot-Ligue des champions : le PSG (enfin !)   gagne face à City

Le PSG a réalisé une performance de référence en ligue des champions face à Manchester City. Après avoir été mené deux à zéro, les parisiens se sont révoltés, ont dominé City pour triompher 4 à 2.

Grosse performance du PSG qui s’impose 4-2 face à Manchester City après avoir été mené 2-0 !

Brillant vainqueur de Manchester City (4-2), le PSG a fait un grand pas vers la qualification pour la phase finale de la Ligue des champions.

Pep Guardiola: « Ils ont été meilleurs, ils avaient un joueur de plus au milieu avec leur faux numéro 9 et c’était dur de le presser. On va apprendre de ça. Je savais qu’ils allaient jouer de cette façon, mais c’est difficile car ils avaient un joueur de plus. Le PSG est une équipe exceptionnelle, avec aussi de très bons défenseurs. J’ai félicité Luis Enrique. »

 

Coupe de France foot–le PSG gagne péniblement

Coupe de France foot–le PSG gagne péniblement

Contre un club amateur de nationale 3, le PSG après un match relativement pénible a dû attendre la 88e minute pour dominer une valeureuse équipe. Un autre but a été ajouté ensuite par les parisiens.

Foot: L’OM gagne à Rennes

Foot: L’OM gagne à Rennes
Samedi soir, l’OM a gagné à Rennes (1-2), revient à quatre points du PSG (1er) et prend cinq points d’avance sur Monaco qui complète le podium.

L’OM a assuré à Rennes ce samedi soir (1-2) et revient à quatre points du PSG, premier, qui affrontera Saint-Étienne ce dimanche soir. Kalimuendo avait ouvert la marque pour les Rennais (43e) mais le remuant Greenwood a égalisé avant la pause (45e). En seconde période, l’international Rabiot a redonné l’avantage aux siens (49e). Les Rennais, eux, piétinent et restent à la 13e place.

Ligue 1 foot : Angers gagne à Monaco

Ligue 1 foot : Angers gagne à Monaco

En ouverture de la 10e journée de Ligue 1, l’AS Monaco – Deuxième du championnat-a été battue (0-1) devant son public. Un exploit mérité pour le Sco. À l’image de cette frappe totalement dévissée de Henrique (36e), l’ASM passait à côté de son début de match. Et de sa première période en fait, avec encore des situations pour Angers (0-1 MT) et  Les sifflets de Louis II.

 

 

le PSG gagne en France: 3-0 contre l’OM

le PSG gagne en France: 3-0 contre l’OM

Après les déconvenues au plan européen, le PSG sera sur en battant nettement Marseille trois à zéro. club de la capitale conforte de place de leader et prend six longueurs d’avance sur l’OM, troisième derrière l’AS Monaco et à égalité de points avec Lille.

Allemagne- Brandebourg: Olaf Scholz gagne de peu de contre l’AfD

Allemagne- Brandebourg: Olaf Scholz gagne de peu  de contre  l’AfD

Selon un sondage de la chaîne ARD, le SPD a obtenu 31 % des suffrages, battant d’une courte tête l’AfD qui lui contestait son hégémonie (30 %).

Dans le Brandebourg, on  pourrait, selon les premières estimations, reconduire l’actuelle coalition qui regroupe la CDU et les Verts. Malgré leur revers électoral, les écologistes conservent leur chance de rester aux affaires. Ces derniers sont devenus très impopulaires dans le Brandebourg, et, durant la campagne électorale, certains de leurs candidats ont été victimes d’agressions. Avec 12 % des voix, la formation de Sahra Wagenknecht (BSW) obtient la troisième place du scrutin et confirme son ancrage dans l’est du pays.

Allemagne : pourquoi la gauche anti-immigration change la donne – l’analyse de Patrick Moreau
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Venezuela : l’opposant coupable d’avoir gagné les élections !

Venezuela : l’opposant coupable d’avoir gagné les élections !

 La justice vénézuélienne a décidé de l’arrestation de celui qui pourtant a gagné les élections avec au moins 60 % des voix !

 

Le parquet vénézuélien a sollicité lundi 2 septembre l’arrestation d’Edmundo Gonzalez Urrutia, le candidat de l’opposition qui revendique la victoire à la présidentielle du 28 juillet dont Nicolas Maduro a été proclamé vainqueur. Dans le texte publié sur les réseaux sociaux, le parquet lance «l’ordre d’arrestation contre le citoyen Edmundo Gonzalez Urrutia» pour les crimes et délits de «désobéissance», «conspiration» et «sabotage».

Le parquet a envoyé la demande d’arrestation à un tribunal spécialisé dans le terrorisme qui a délivré un mandat d’arrêt.

Ou la justice et la démocratie à la sauce Maduro ! Justement ce que soutient Mélenchon !

Le président socialiste Nicolas Maduro, dont la victoire a été validée par la Cour suprême, a été proclamé vainqueur avec 52% des voix par le Conseil national électoral (CNE) qui n’a cependant pas rendu publics les procès-verbaux des bureaux de vote, se disant victime d’un piratage informatique. Une telle attaque est jugée peu crédible par l’opposition et de nombreux observateurs, qui y voient une manœuvre du pouvoir pour éviter de divulguer le décompte exact. Selon l’opposition, qui a publié les procès-verbaux fournis par ses scrutateurs, Edmundo Gonzalez Urrutia a obtenu plus de 60% des voix.

Après l’annonce de la réélection de Nicolas Maduro, des manifestations spontanées ont fait 27 morts et 192 blessés, tandis que quelque 2.400 personnes ont été arrêtées, de source officielle.

Réindustrialisation et compétitivité : c’est pas gagné

Réindustrialisation et compétitivité : c’est pas gagné

 

Si les « gros » investissements sont au rendez-vous depuis quelques années, il n’y a pas globalement de forte hausse des investissements directs étrangers vers la France. Des projets qui restent par ailleurs peu créateurs d’emplois d’après un papier de BFM. 

 
Un millésime record. 15 milliards d’euros d’annonces d’investissements de la part de grands groupes étrangers, et des patrons de multinationales toujours plus nombreux à se presser à Versailles pour le sommet Choose France. Pour l’exécutif, ces bons chiffres sont le fruit d’une politique pro-business qui n’a pas varié d’un iota depuis 2017.

 

Emmanuel Macron y voit ainsi « la reconnaissance du travail mené depuis sept ans basé sur la valorisation de nos savoir-faire, le maintien de notre énergie décarbonée, la création d’un cadre normatif favorable et la stabilité fiscale. »
Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire de son côté se félicitait ce matin que « la nation de consommateurs [redevenait] une nation de producteurs. »

Ces chiffres flatteurs suivent de quelques jours le rapport annuel du cabinet EY qui plaçait début mai la France en tête du classement de l’attractivité en Europe et ce pour la cinquième année consécutive. Avec 1194 projets d’implantation ou d’extension de sites, l’Hexagone fait mieux que le Royaume-Uni (985) et l’Allemagne (733).

Dans une Europe prise en étau entre les États-Unis et leurs généreuses subventions et la Chine prête à redécoller, la France semble faire figure d’exception.

Les facteurs d’attractivité sont nombreux. Position géographique centrale en Europe, qualité des infrastructures routières et de transports, formations d’excellence dans les domaines des mathématique et de l’ingénierie, énergie disponible, décarbonée et relativement peu coûteuse grâce au nucléaire… Ce sont les éléments mis en avant par les grands patrons de passage à Versailles.

La politique favorable aux entreprises depuis sept ans y a aussi contribué. Avec la baisse des impôts de production, la réduction du taux d’impôt sur les sociétés ou encore la création de la « flat-tax » sur la fiscalité du capital.

« Des efforts ont été faits, qui ont mis la France sur le devant de la scène, ça vaut donc la peine de les poursuivre, estime Ted Pick, le patron de la banque américaine Morgan Stanley. La France met beaucoup de sérieux et d’attention à être considérée comme un acteur mondial fiable et solide. C’est important. »
Évidemment, pour s’attirer les bonnes grâces des investisseurs internationaux, la France déroule le tapis rouge et n’hésite pas à sortir le chéquier. Pour convaincre par exemple le fabricant de batteries ProLogium d’installer son usine à Dunkerque, une subvention publique de 1,5 milliard d’euros a été proposée au groupe taïwanais. Mais c’est ce que font tous les États désireux d’attirer d’importants investissements. L’Allemagne a ainsi subventionné à hauteur de 10 milliards d’euros la future méga-usine d’Intel de Magdebourg.

Il faut néanmoins relativiser ces bons chiffres de l’attractivité française. D’abord parce que ces investissements restent peu créateurs d’emplois. Les 15 milliards d’euros de Choose France devraient créer en moyenne 179 emplois par projet (10.000 emplois annoncés pour l’ensemble des 56 projets). L’année dernière, les investissements n’étaient « que » de 13 milliards mais les emplois plus nombreux: 285 par projet (8.000 emplois annoncés pour 28 projets).

De son côté, l’étude EY (qui porte sur un autre périmètre) recence 35 emplois créés en moyenne par investissement étranger en France contre 49 en Allemagne, 61 au Royaume-Uni ou encore 299 en Espagne.

Coût du travail qui reste plus élevé que la moyenne européenne, peu de main d’oeuvre disponible, droit du travail plus contraignant… La question de l’emploi reste préoccupante en France.
Mais plus globalement, certains économistes estiment que ces annonces sont un peu l’arbre qui cache la forêt. Derrière ces annonces spectaculaires et bienvenues, l’attractivité de la France ne serait pas sur une pente aussi ascensionnelle que ça.

« L’évolution des IDE (investissements directs à l’étranger) entrants et sortants évolue en dents de scie, indique Sylvain Bersinger, du cabinet Asteres. Dans l’ensemble, il ne semble pas y avoir eu de hausse régulière de flux d’IDE entrants depuis une dizaine d’années. Au vu de la variation des flux d’IDE, il semblerait que l’attractivité du pays ait globalement stagné. »

Ainsi si les investissements étrangers se sont élevés à 34,6 milliards d’euros en 2022 en France, indique l’Insee, le montant du flux était supérieur à 35 milliards en 2018 et avait même frôlé les 40 milliards en 2015.

Concernant l’industrie, s’il y a bien un sursaut dans le pays depuis quelques années avec notamment plus de 100.000 emplois recréés, la production a elle tendance à stagner.

« En mars 2024, le volume de production industrielle était identique à ce qu’il était en janvier 2010, constate Sylvain Bersinger. [...] cela signifie que la productivité moyenne des emplois industriels diminue, ce qui peut être un signe inquiétant quant au niveau de gamme de l’industrie française si la tendance s’avérait durable. »
Si les signaux envoyés par Chose France sont positifs, le chemin vers la réindustrialisation est encore très long.

Combien gagne Tony Estanguet, Président du comité des JO de Paris ?

Combien gagne Tony Estanguet, Président du comité des JO de Paris ?

D’après France_Info, Tony Estanguet a perçu une rémunération annuelle de 270 000 euros brut jusqu’en 2020, selon des chiffres communiqués en 2018 par le comité d’organisation des Jeux.Le problème, c’est qu’il touche aussi une rémunération en tant que prestataire. On objectera que la fonction exige un engagement total. Mais de quoi faire réagir les milliers et les milliers de dirigeants volontaires qui s’investissent aussi quotidiennement de manière totalement gratuite et pendant des années et des années.

( Personnellement, je pense à mes frères, Raymond, Serge, Guy et Alain présidents de clubs de football, de basket et d’athlétisme) NDLR. Gaston René Bessay

Cette rémunération de Tony Estanguet évolue dans la limite de 20%, en fonction de certains critères de performance, précisait le Cojop à l’époque. « Le montant de la rémunération n’a pas bougé depuis », a assuré le directeur général délégué du Cojop, Michaël Aloiso, cité par l’AFP. A titre de comparaison, Sebastian Coe, président du comité d’organisation des Jeux de Londres 2012, touchait une rémunération de quelque 360 000 livres (422 000 euros) par an.

Qui paye ?
Le Cojop est une association de type loi 1901, et la rémunération de ses dirigeants est en théorie plafonnée par la loi à des niveaux sensiblement inférieurs à celle de Tony Estanguet, avec un plafond de 11 600 euros brut par mois, soit 139 000 euros par an. Mais le comité explique qu’il a pour particularité d’être une association financée à 96% par des fonds privés et qu’il bénéficie, à ce titre, d’une dérogation, le caractère lucratif lui ayant été « confirmé par un rescrit fiscal ». Cela détermine le caractère d’une gestion non désintéressée au sens fiscal, poursuit le comité, avec des impôts commerciaux comme le TVA et aucun « plafond de salaire ». Ainsi, Etienne Thobois, directeur général et salarié du Cojop, perçoit une rémunération de 260 000 euros par an.

« Avoir un contrat de travail aurait créé un lien de subordination avec quelqu’un au-dessus de lui, ce qui n’a pas de sens juridiquement », a détaillé Blandine Sorbe, ancienne magistrate à la Cour des comptes et directrice déléguée au Cojop, citée par l’AFP. « On a eu des échanges avec l’administration sociale et le contrôleur général et financier qui représente le ministère des Finances au sein de l’association », ce qui a abouti à la solution du régime « de travailleur indépendant ».

Comment est-ce contrôlé ?
Tony Estanguet, via une société qu’il a créée, perçoit donc sa rémunération sous forme de bénéfices non commerciaux. Le Cojop a fait valoir que la rémunération de Tony Estanguet avait « été décidée et validée par le premier conseil d’administration du comité d’organisation le 2 mars 2018, qui a statué en son absence, de façon souveraine et indépendante ».

Le montant a été décidé sur proposition d’un « comité des rémunérations » composé « d’experts indépendants chargés de s’assurer de la pertinence de notre politique de rémunération », a-t-il ajouté. Les « modalités de versement (…) ont été validées par le contrôleur général économique et financier, après consultation de l’Urssaf », a également souligné le comité d’organisation.

Enfin, le montant des factures fait l’objet d’un audit annuel par une « cellule interne indépendante de l’exécutif du comité d’organisation » ainsi que « d’un examen par le comité des rémunérations », a encore précisé l’instance. Cette démarche, affirme-t-elle, ne correspond « à aucune obligation juridique » mais répond « à une volonté de transparence ».

Pourquoi ce montage interroge ?
Tony Estanguet est donc à la fois président du comité et prestataire. Début 2021, deux rapports de l’Agence française anticorruption (AFA) sur l’organisation des Jeux notaient des « risques d’atteintes à la probité » et de « conflits d’intérêts ». Dans l’un de ces rapports, l’AFA évoquait le cas de l’entreprise de Tony Estanguet, pointant un « montage atypique dans le cadre d’une association de loi 1901″, qui « n’est pas sans poser de difficultés », rappelait récemment Le Canard enchaîné, cité par l’AFP.

La question des rémunérations des principaux dirigeants du comité d’organisation était devenue sensible dès l’attribution des Jeux à Paris par le CIO en septembre 2017 à Lima (Pérou). Le Canard enchaîné avait évoqué à cette époque un salaire de 450 000 euros annuels pour Tony Estanguet, immédiatement démenti par le triple champion olympique de canoë. L’organisation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris fait déjà l’objet de trois autres enquêtes financières distinctes, notamment pour des soupçons de favoritisme et de détournements de fonds publics lors de l’attribution des marchés.

Le chaos raciste gagne des universités aux États-Unis

Le chaos raciste gagne des universités aux États-Unis

Nombre d’universités américaine tombe dans le gauchisme le plus absolu confirmant ainsi la dérive ou autiste. Mais le pire c’est que les responsables de ces universités refusent de sanctionner les atteintes racistes notamment antisémites. Bref un chaos total qui démontre l’anarchie idéologique qui règne actuellement aux États-Unis Et d’ailleurs qui commence à contaminer des grandes écoles françaises dont les élèves suivent la mode américaine avant de rejoindre l’élite bourgeoise et technocratique une fois adulte !

Appeler au génocide des juifs revient-il à violer le code de conduite ou les règles de votre université ? Sally Kornbluth du MIT, Liz Magill de l’université de Pennsylvanie et Claudine Gay de Harvard ont refusé de répondre par l’affirmative à cette question simple. La députée républicaine de New York, Elise Stefanik, l’a resservie plusieurs fois, exaspérée par leurs propos fuyants.


Il y a infraction « si des individus sont visés, pas s’il s’agit d’une déclaration publique », a expliqué Sally Kornbluth, en ajoutant ne pas avoir entendu d’appels au génocide au MIT, mais tout de même « des chants qui peuvent être antisémites en fonction du contexte quand ils appellent à l’élimination de juifs ». Pour que l’administration enquête au motif d’un « harcèlement », il faut que cela soit « propagé » ( « pervasive ») et « sévère », a-t-elle ajouté.

« Si le discours se transforme en conduite, cela peut être du harcèlement, oui », a répondu Liz Magill de U-Penn. « C’est-à-dire l’acte de commettre le génocide. C’est inacceptable », s’est scandalisée Elise Stefanik.

De même, Claudine Gay a jugé que la « rhétorique antisémite » sur le campus de Harvard devait être réprimée « lorsqu’elle se mêle à une conduite » et lorsqu’elle « cible un individu ».

Ces dirigeantes ont assuré qu’elles avaient l’antisémitisme en horreur, cependant elles se sont continûment retranchées derrière la liberté d’expression pour justifier leur inaction.

Elise Stefanik a sur le champ demandé aux trois présidentes de démissionner. Elles méritent d’être limogées pour leur « dépravation morale », a-t-elle défendu par la suite sur Fox News. « Si vous posiez la même question à trois collégiens à travers l’Amérique, ils répondraient correctement, ils diraient que c’est mal », a-t-elle comparé, en appelant à « supprimer les financements publics » des universités d’élite « corrompues ».

A la suite de ces auditions, la commission éducation de la Chambre, présidée par une républicaine, va lancer une commission d’enquête sur « l’environnement éducatif, les règles et les procédures disciplinaires » dans ces trois universités.

Energie-voiture électrique : c’est pas gagné !

Energie-voiture électrique : c’est pas gagné !

Voiture électrique : la moitié des Français ignorent l’interdiction de production à partir de 2035


C’est pas encore gagné pour la voiture électrique puisque à peu près la moitié des Français ignorent encore l’interdiction de production d’automobiles thermiques à partir de 2035 . Une étude 2024 de l’Observatoire Cetelem, publiée mardi, montre que les automobilistes français, connaissent mal les réglementations et le futur de l’automobile. Par exemple, si l’UE a entériné en mars dernier la fin de la vente de voitures thermiques à partir de 2035, seul un Français sur deux (53%) est au courant de l’existence de cette interdiction future.

Par ailleurs, de plus en plus d’automobilistes doutent de l’intérêt de la voiture électrique. Seulement 19 % des Européens veulent changer de véhicule dans les 12 prochains mois contre 27 % il y a encore deux ans.

La plus grande partie des automobilistes ne croit pas au progrès technologique et environnemental de la voiture électrique. Cependant ce refus pourrait être nourri en réalité par le coût que représente l’investissement. En moyenne en effet une voiture électrique coûte le double d’une voiture à moteur thermique. Sans parler évidemment de l’interrogation sur un jour une fiscalité sur électricité consommée par les voitures.

Les Français demeurent moins bien informés que les Allemands (66%), les Britanniques (62%) ou encore les Espagnols (62%).

De même, sur les zones à faibles émissions (ZFE), ces zones urbaines dont l’accès est limité aux véhicules les moins polluants, le degré d’information demeure lui aussi parcellaire. Si 77% des Français connaissent leur existence, seuls 48% savent précisément de quoi il s’agit. L

Dans l’Hexagone, 11 métropoles ont jusqu’ici mis en place une zone à faibles émissions, dont Paris, Lyon, Marseille ou Strasbourg. Mais seuls six Français sur dix (59%) savent que ces ZFE sont bel et bien présentes dans l’Hexagone. «C’est en Allemagne, Belgique, Royaume-Uni et aussi en France que l’on recense les scores les plus élevés, nations qui ont mis en place des ZFE ou envisagent leur déploiement», précise l’Observatoire.

À ce «brouillard», comme l’appelle l’étude, s’ajoute le «doute qu’a jeté sur la voiture électrique» l’augmentation des prix de l’électricité à la suite de la guerre en Ukraine, a expliqué à l’AFP le directeur de l’Observatoire, Flavien Neuvy. Les «gens se demandent si c’est vraiment une bonne idée», affirme-t-il, alors que le passage à l’électrique est nécessaire pour limiter le réchauffement climatique. Ainsi, comme le résume l’Observatoire Cetelem, cette étude «montre en tout cas que les automobilistes sont dans l’expectative à maints égards, jusqu’à faire preuve de suspicion et de scepticisme» sur la voiture électrique.

Voiture électrique : c’est pas gagné !

Voiture électrique : c’est pas gagné !

Voiture électrique : la moitié des Français ignorent l’interdiction de production à partir de 2035


C’est pas encore gagné pour la voiture électrique puisque à peu près la moitié des Français ignorent encore l’interdiction de production d’automobiles thermiques à partir de 2035 . Une étude 2024 de l’Observatoire Cetelem, publiée mardi, montre que les automobilistes français, connaissent mal les réglementations et le futur de l’automobile. Par exemple, si l’UE a entériné en mars dernier la fin de la vente de voitures thermiques à partir de 2035, seul un Français sur deux (53%) est au courant de l’existence de cette interdiction future.

Par ailleurs, de plus en plus d’automobilistes doutent de l’intérêt de la voiture électrique. Seulement 19 % des Européens veulent changer de véhicule dans les 12 prochains mois contre 27 % il y a encore deux ans.

La plus grande partie des automobilistes ne croit pas au progrès technologique et environnemental de la voiture électrique. Cependant ce refus pourrait être nourri en réalité par le coût que représente l’investissement. En moyenne en effet une voiture électrique coûte le double d’une voiture à moteur thermique. Sans parler évidemment de l’interrogation sur un jour une fiscalité sur électricité consommée par les voitures.

Les Français demeurent moins bien informés que les Allemands (66%), les Britanniques (62%) ou encore les Espagnols (62%).

De même, sur les zones à faibles émissions (ZFE), ces zones urbaines dont l’accès est limité aux véhicules les moins polluants, le degré d’information demeure lui aussi parcellaire. Si 77% des Français connaissent leur existence, seuls 48% savent précisément de quoi il s’agit. L

Dans l’Hexagone, 11 métropoles ont jusqu’ici mis en place une zone à faibles émissions, dont Paris, Lyon, Marseille ou Strasbourg. Mais seuls six Français sur dix (59%) savent que ces ZFE sont bel et bien présentes dans l’Hexagone. «C’est en Allemagne, Belgique, Royaume-Uni et aussi en France que l’on recense les scores les plus élevés, nations qui ont mis en place des ZFE ou envisagent leur déploiement», précise l’Observatoire.

À ce «brouillard», comme l’appelle l’étude, s’ajoute le «doute qu’a jeté sur la voiture électrique» l’augmentation des prix de l’électricité à la suite de la guerre en Ukraine, a expliqué à l’AFP le directeur de l’Observatoire, Flavien Neuvy. Les «gens se demandent si c’est vraiment une bonne idée», affirme-t-il, alors que le passage à l’électrique est nécessaire pour limiter le réchauffement climatique. Ainsi, comme le résume l’Observatoire Cetelem, cette étude «montre en tout cas que les automobilistes sont dans l’expectative à maints égards, jusqu’à faire preuve de suspicion et de scepticisme» sur la voiture électrique.

Popularité : Macron gagne un point…. d’après le Figaro !

Popularité : Macron gagne un point…. d’après le Figaro !

D’après le Figaro, la popularité du président Emmanuel Macron a légèrement augmenté à 32% en octobre, par rapport au mois précédent, contrairement à sa première ministre Élisabeth Borne, en recul à 30%, selon un sondage mensuel Ifop/Fiducial pour Paris-Match et Sud-Radio publié mardi 3 octobre.Autant dire que cette progression n’a rien de significatif et n’est même pas pertinente du point de vue méthodologique. On sait en effet que les marges d’erreur se situent entre 1 et 3 %. En outre un échantillon de 1000 personnes n’est pas représentatif de la population surtout pour faire apparaître une évolution de 1 %.

Paradoxalement le même sondage fait apparaître que seuls 20% des Français pensent qu’Emmanuel Macron est «proche de leurs préoccupations», mais davantage (39%) considèrent qu’il est «capable de réformer le pays». Ils sont 31% à estimer qu’il a «une vision pour l’avenir des Français» et qu’il «mène une bonne politique économique».

Selon ce baromètre mensuel, l’inflation des prix, le harcèlement scolaire et la vente de carburants à prix coûtant ont été les trois principaux sujets de conversation des Français dernièrement, loin devant les élections sénatoriales ou l’annonce de la planification écologique.

Sondage réalisé en ligne les 28 et 29 septembre par questionnaire auto-administré auprès d’un échantillon représentatif de 1000 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, avec une marge d’erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points de pourcentage.

Drogue: Le cancer qui gagne toute la société française

Drogue: Le cancer qui gagne toute la société française

La drogue est devenue un véritable business qui ne touche plus seulement les grandes agglomérations mais également les villes moyennes et même les zones rurales. Ce business de la drogue représenterait autour de 250 milliards au plan mondial d’après l’ONU. En France, l’enjeu de ce business dépasserait 4 milliards et occuperait l’équivalent de 20 000 emplois à plein temps .L’une des conséquences est la montée de la violence sous différentes formes notamment avec 700 morts par an sur la route. On compterait jusqu’à 4 à 5000 « boutiques » de drogue en France dans les quartiers sensibles où les trafiquants font désormais la loi .

Ce montant mirifique est celui des revenus générés par le trafic de stupéfiants à l’échelle de la planète selon l’Office des Nations Unis contre la Drogue et le Crime. Ce n’est bien sûr qu’une estimation, mais elle reflète le poids économique du business de la drogue. Celui-ci est supérieur au PIB de la Finlande (236 milliards) ou de la Colombie (237 milliards). 243 milliards d’euros, c’est davantage que le coût des catastrophes naturelles qui ont ravagé la planète en 2021, entre la tempête Ida sur l’Est des Etats-Unis, la vague de froid au Texas et les inondations en Belgique et en Allemagne. L’assureur Swiss Ré l’estime à 220 milliards d’euros.

Plus de 4 milliards, selon les derniers calculs de l’Insee, le montant qu’ont dépensé les Français en 2020 pour s’approvisionner en cannabis, cocaïne, héroïne, crack et autres produits stupéfiants. Faut-il y voir un effet des longs mois de confinement ? C’est en tout cas 7% de plus que l’année précédente et surtout deux fois davantage qu’en 2009 (2,08 milliards). À titre de comparaison, les achats de livres n’ont pesé, la même année, que 3,75 milliards dans le budget des consommateurs.

Entre les importateurs, les grossistes, les logisticiens, les revendeurs, les « choufs » (guetteurs) et les « nourrices » (ceux qui cachent les produits chez eux), le marché de la came fait travailler beaucoup de monde en France. « Un nombre important d’intermédiaires dont le trafic de drogue n’est pas la principale source de revenus », précise l’Insee qui évalue cette activité à 21 000 équivalents temps plein. Soit 0,08% de la main d’oeuvre nationale. Mais sans déclaration à l’Ursaff, ni charges sociales.
3275 points de deal

En décembre 2020, le ministère de l’Intérieur dénombrait 4000 supermarchés de la drogue, ou « fours » dans le jargon des trafiquants. Un chiffre que l’action des forces de l’ordre aurait permis de ramener à 3275 un an plus tard. La géographie, elle, ne change pas. Les points de deal se concentrent dans les zones géographiques les plus densément peuplées, au coeur des métropoles régionales à forte population étudiante et dans les départements périurbains ou situés à proximité des grandes agglomérations.

900 000, c’est le nombre de personnes qui, chaque jour en France, vapotent, fument ou mangent du cannabis, sous l’une ou l’autre de ses différentes formes – herbe, résine ou huile. Selon l’Observatoire français des drogues et des tendances addictives, le nombre d’amateurs réguliers, s’adonnant en moyenne dix fois par mois à leur goût du cannabis, s’élèverait à 1,4 million. Les adeptes plus occasionnels seraient, eux, 5 millions. Près de la moitié des adultes y aurait déjà goûté. Ces chiffres placent l’Hexagone en tête du classement européen des pays consommateurs, devant le Danemark et l’Espagne.

Duel Macron -Le Pen : Macon a gagné pour les médias détenus par les financiers

 

 

 

 

La quasi-totalité des médias étant détenues par des financiers, le résultat du duel Macron Le Pen était connu d’avance : une victoire de l’actuel président de la république. Normal, ce sont ces mêmes financiers qui ont porté Macron pouvoir et qui continue de le soutenir.

Exemple de la tonalité de l’analyse de ces journalistes, celui du très libéral journal « l’Opinion « :

 

« ….. Emmanuel Macron a gagné ce débat. Le président-candidat a abordé la confrontation en challenger, multipliant les attaques. La députée du Pas-de-Calais a été sur la défensive, ne voulant visiblement pas commettre la moindre faute, voulant afficher avant tout une certaine présidentialité. Sur les retraites ou le pouvoir d’achat, deux sujets qui sont au coeur de sa campagne contre le chef de l’Etat, elle n’a pas marqué le point. C’est donc son adversaire, visiblement très préparé, donnant parfois un peu trop le sentiment de savoir qu’il dominait sa concurrente, qui l’a pris. Si à la fin du débat, sur le nucléaire, la sécurité ou l’immigration, Marine Le Pen s’est montrée plus efficace, cela n’aura pas suffi.« 

Autre exemple de commentaire, celui du Figaro ( propriété de Dassault)

« Ce mercredi soir, le débat d’entre-deux-tours entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen a rapidement tourné à l’avantage du président-candidat, son adversaire RN restant trop spectatrice. Silencieuse durant les deux premiers tiers de l’émission, comme paralysée par le traumatisme de sa prestation d’il y a cinq ans, cette dernière s’est finalement désinhibée en évoquant les questions liées au régalien et aux institutions. Match retour du face-à-face de 2017, la confrontation entre les deux finalistes de l’élection présidentielle de 2022 a donc été de meilleure tenue sur la forme, mais n’a cependant pas manqué de virer à l’affrontement par moments »

 

Très peu notent cependant que ce débat n’était pas à la hauteur puisqu’il a davantage ressemblé à une discussion d’épicier qu’à une confrontation de candidats à la présidence de la république. Pour ne pas froisser des Français on a évité de procéder à une analyse approfondie des forces et des faiblesses du pays, de définir les grands enjeux mis en perspective et de proposer une vision prospective qui dépasse la durée du mandat présidentiel.

La vraie conclusion sans doute qui sera vérifié dans les sondages c’est que ce débat n’aura pas changé grand-chose. D’ailleurs d’une façon générale 70 % des Français n’attendent pas de l’élection de changement fondamental. Et pour cause la plupart des promesses ne seront pas tenus soit pour des motifs politiques, soit par insuffisance de financement.

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