Archive pour le Tag 'Gabriel'

Gabriel Attal pour une « assemblée plurielle »

Gabriel Attal pour une « assemblée plurielle »

 

À défaut de front républicain pluriel, Gabriel Attal se contenterait bien d’une assemblée composite. Il souhaite en effet une Assemblée nationale plurielle. En clair que le RN n’obtienne pas la majorité absolue. Tout est encore possible dans ce domaine. Les résultats globaux traduisent une influence majeure du RN dans le pays mais le jeu des désistements et des situations locales pourraient empêcher le rassemblement national d’atteindre cette majorité absolue.

Gabriel Attal a sans doute raison d’attirer l’attention sur les conséquences des législatives pour le porte-monnaie des Français. Cet aspect économique a pratiquement été éludé par les trois principaux camps : RN, front de gauche et camp de Macron. Tous sont tombés dans le panneau de promesses à la fois vaine et dangereuse faisant abstraction de la situation financière du pays caractérisé par un endettement catastrophique. Du coup, les programmes se caractérisent surtout par des promesses d’amélioration sociale évidemment non financées sérieusement. Bref, on va acheter du déficit au déficit est la conséquence directe sera l’augmentation de l’inflation qui viendra affecter d’autant plus la compétitivité et le pouvoir d’achat en France

Sur TF1, le premier ministre Gabriel Attal a mis en garde les électeurs : «Le risque c’est que le RN dispose d’une majorité absolue. Ce serait catastrophique pour les Français pour leur porte-monnaie.» Entre le RN et la gauche, le chef du gouvernement a tracé «un troisième chemin, une assemblée nationale plurielle», qui est nécessaire «pour protéger les Français» en cas de majorité relative du camp national.

Législatives : Gabriel Attal en tête dans les Hauts-de-Seine

Législatives : Gabriel Attal en tête dans les Hauts-de-Seine

Attal  arrive en tête ce dimanche soir au premier tour avec 44% des voix dans la 10e circonscription des Hauts-de-Seine., selon des résultats partiels (92 % des bulletins). Il affrontera au second tour la candidate du Nouveau Front populaire, Cécile Soubelet (35,6%).Pendant cette campagne éclair, Gabriel Attal – sonné par le couperet présidentiel – s’est émancipé de la figure d’Emmanuel Macron. Le trentenaire a même appelé les «Français» au «vote utile dès le premier tour» pour le «choisir» comme premier ministre. Plusieurs députés ont d’ailleurs choisi d’afficher son visage sur leurs propagandes électorales, plutôt que celui du chef de l’État.  Le résultat est cependant encore assez aléatoire car tout dépendra du report des voix.

Sondage politique : Gabriel Attal en baisse

Sondage politique : Gabriel Attal en baisse

Selon un sondage Ipsos pour le journal la tribune, la cote de popularité de Gabriel Attal continue de diminuer, prolongeant la baisse entamée depuis mars 2024 : 34% des Français déclarent porter un jugement positif sur son action en tant que premier Ministre, soit 4 points de moins qu’en mars. Le Premier ministre bénéficie toujours d’une opinion largement favorable auprès des sympathisants Renaissance-Modem-Horizons (86%,+2 points).

La cote de popularité d’Emmanuel Macron reste stable ce mois-ci avec 29% d’opinions favorables et 65% d’opinions défavorables (-2 points). Après une baisse auprès de son socle électoral, le président de la République connaît une hausse d’opinions favorables parmi les sympathisants Renaissance-Modem-Horizons (84%, + 7 points) revenant ainsi au niveau observé avant mars 2024. Emmanuel Macron connaît cette hausse d’opinions favorables également parmi les sympathisants EELV (30%, +6 points) et les sympathisants RN (16%, +9 points).

Parmi les différents ministres du nouveau gouvernement, Gérald Darmanin devient le meilleur ministre selon les Français (33%, +2 points), passant devant Bruno Le Maire pour la première fois depuis le début du baromètre. Bruno Le Maire occupe tout de même la deuxième position du classement (29%, – 6 points), suivi d’Eric Dupont-Moretti (24%, +3 points) et de Rachida Dati (23%, stable mais qui passe à la quatrième place après avoir occupé la troisième place depuis janvier).En dépit d’une baisse, Jean-Luc Mélenchon maintient sa place de principal opposant de gauche depuis janvier (21%, -3 points). Si 75% des sympathisants LFI l’identifie comme tel, seuls 24% des sympathisants EELV et 19% de ceux du PS l’identifient comme le meilleur opposant à gauche. Au niveau global, Jean-Luc Mélenchon est suivi de près par François Ruffin (18%) et par Fabien Roussel (15%).

 

A droite, les évolutions sont un peu plus marquées. Lors de la dernière vague, Marine Le Pen et Jordan Bardella étaient au coude à coude. Marine Le Pen creuse l’écart avec Jordan Bardella : 39% des Français estiment qu’elle est la meilleure opposante à droite (+5 points). Jordan Bardella conserve sa deuxième place (34%, – 4 points). Parmi les sympathisants de gauche, Marine Le Pen est identifiée comme la meilleure opposante (34% parmi les sympathisants LFI, 29% parmi ceux d’EELV et du PS). En revanche, parmi les sympathisants Renaissance-Modem-Horizons et LR-UDI, Xavier Bertrand est identifié comme le meilleur opposant de droite à Emmanuel Macron et son gouvernement (respectivement 31% et 30%).

Sondage : Gabriel Attal en baisse

Sondage : Gabriel Attal en baisse

Selon un sondage Ipsos pour le journal la tribune, la cote de popularité de Gabriel Attal continue de diminuer, prolongeant la baisse entamée depuis mars 2024 : 34% des Français déclarent porter un jugement positif sur son action en tant que premier Ministre, soit 4 points de moins qu’en mars. Le Premier ministre bénéficie toujours d’une opinion largement favorable auprès des sympathisants Renaissance-Modem-Horizons (86%,+2 points).

La cote de popularité d’Emmanuel Macron reste stable ce mois-ci avec 29% d’opinions favorables et 65% d’opinions défavorables (-2 points). Après une baisse auprès de son socle électoral, le président de la République connaît une hausse d’opinions favorables parmi les sympathisants Renaissance-Modem-Horizons (84%, + 7 points) revenant ainsi au niveau observé avant mars 2024. Emmanuel Macron connaît cette hausse d’opinions favorables également parmi les sympathisants EELV (30%, +6 points) et les sympathisants RN (16%, +9 points).

Parmi les différents ministres du nouveau gouvernement, Gérald Darmanin devient le meilleur ministre selon les Français (33%, +2 points), passant devant Bruno Le Maire pour la première fois depuis le début du baromètre. Bruno Le Maire occupe tout de même la deuxième position du classement (29%, – 6 points), suivi d’Eric Dupont-Moretti (24%, +3 points) et de Rachida Dati (23%, stable mais qui passe à la quatrième place après avoir occupé la troisième place depuis janvier).En dépit d’une baisse, Jean-Luc Mélenchon maintient sa place de principal opposant de gauche depuis janvier (21%, -3 points). Si 75% des sympathisants LFI l’identifie comme tel, seuls 24% des sympathisants EELV et 19% de ceux du PS l’identifient comme le meilleur opposant à gauche. Au niveau global, Jean-Luc Mélenchon est suivi de près par François Ruffin (18%) et par Fabien Roussel (15%). 

 

A droite, les évolutions sont un peu plus marquées. Lors de la dernière vague, Marine Le Pen et Jordan Bardella étaient au coude à coude. Marine Le Pen creuse l’écart avec Jordan Bardella : 39% des Français estiment qu’elle est la meilleure opposante à droite (+5 points). Jordan Bardella conserve sa deuxième place (34%, – 4 points). Parmi les sympathisants de gauche, Marine Le Pen est identifiée comme la meilleure opposante (34% parmi les sympathisants LFI, 29% parmi ceux d’EELV et du PS). En revanche, parmi les sympathisants Renaissance-Modem-Horizons et LR-UDI, Xavier Bertrand est identifié comme le meilleur opposant de droite à Emmanuel Macron et son gouvernement (respectivement 31% et 30%).

Secteur Santé : Annonce de Gabriel Attal bien insuffisante

Secteur Santé : Annonce de Gabriel Attal bien insuffisante

« Nos compatriotes ne trouvent pas suffisamment de médecins », a constaté rle Premier ministre. Il a en conséquence multiplié les annonces visant à optimiser ce « temps médical », de la sanction financière pour les rendez-vous non honorés par les patients à la restauration des obligations de garde pour les médecins libéraux, dans certains départements. Des annonces utiles mais bien insuffisantes.

Gabriel Attal a menacé de restaurer les obligations de gardes pour les médecins libéraux, dans les départements où le service d’accès aux soins (SAS) ne parviendraient pas à se mettre en place. « Dans les départements où il n’y aurait toujours pas de service d’accès aux soins » d’ici l’été prochain, « je suis prêt à aller plus loin, en restaurant des obligations de gardes pour les médecins libéraux, en soirée ou le week-end, dans leurs cabinets, à l’hôpital ou en maisons de santé », a déclaré le chef du gouvernement.

Alors qu’Emmanuel Macron avait déjà annoncé, il y a deux semaines, la régularisation de praticiens d’autres nationalités sur le territoire, Gabriel Attal souhaite aller plus loin pour lutter contre les déserts médicaux. Il a promis mardi de nommer un émissaire « chargé d’aller chercher à l’étranger des médecins qui voudraient venir exercer en France ». « Nous devons trouver les moyens de faire revenir nos jeunes Français qui sont partis étudier à l’étranger », a également estimé le Premier ministre.

« Nous allons accélérer le passage de 6 000 à 10 000 assistants médicaux qui permettront aux médecins de pouvoir se consacrer davantage aux patients et moins aux formalités administratives », a par ailleurs précisé le chef du gouvernement. Concrètement, il estime que cela représentera « 2,5 millions de consultations supplémentaires libérées tous les ans » pour les patients.

Enfin, il souhaite mieux reconnaître l’expérience du personnel de santé. Ainsi, une « infirmière anesthésiste, qui a un bac +5, plusieurs années de carrière et d’expérience, doit pouvoir si elle le souhaite entrer directement au moins en 3e année de médecine », a-t-il proposé.

Gabriel Attal a enfin évoqué la réforme prochaine de l’aide médicale d’Etat (AME), une promesse qu’Elisabeth Borne a faite à la droite lors des négociations sur le projet de loi immigration. « Nous le ferons avant l’été par voie réglementaire », a-t-il précisé. Le chef du gouvernement assure que la réforme s’appuiera sur « une base qui est connue : le rapport Evin-Stefanini ».

Crise Agriculture : les annonces de Gabriel Attal

Crise Agriculture : les annonces de Gabriel Attal

La mesure la plus connue concerne l’annulation de la hausse de la taxe du gazole non routier. La seconde vise au renforcement de la loi et Egalim pour mieux prendre en compte le coût des productions et donc les revenus des agriculteurs; enfin, il y a une série de simplifications de procédures envisagées et des aides particulières en fonction des secteurs. Autant de mesures qu’il conviendra évidemment d’approfondir et de confirmer et qui vont amener vraisemblablement les agriculteurs à prolonger leur mouvement sur au moins encore une semaine

Annulation de la hausse de la taxe du gazole non routier (GNR)

Gabriel Attal a annoncé son annulation pure et simple : «On va arrêter avec cette trajectoire de hausse du GNR». Autre point central, les remises de taxe sur ce GNR seront déduites à l’achat, et non plus après coup sur justificatif, dans les prochains mois. «D’ici à l’été, quand vous serez livrés de votre carburant, la déduction sera faite immédiatement et l’État compensera le distributeur pour la déduction. C’est une mesure de simplification et de trésorerie», a détaillé le premier ministre sur ce dossier très technique.

Dix mesures de simplification immédiates

Le gouvernement va prendre «dix mesures de simplification immédiate», par décret, dès ce samedi, a annoncé Gabriel Attal. Le délai exceptionnel pour les autorisations de retenues d’eau sera notamment ramené à deux mois au lieu de quatre, et les recours vont être simplifiés par la suppression d’un échelon administratif. Sur ce même sujet, une «présomption d’urgence» va être créée «pour que le juge se prononce en moins de dix mois» contre un recours.

Le contrôle administratif des exploitants ne pourra pas avoir lieu plus d’une fois par an.
Le e premier ministre a également annoncé une simplification des réglementations sur les haies (une seule au lieu de 14 à l’heure actuelle), la sortie «d’un certain nombre d’incohérences sur le débroussaillement» et une «pause» sur le sujet des zones humides pour discuter du zonage.


Une simplification de la PAC

Gabriel Attal A également manifester son intention de simplifier l’application de la politique agricole commune, il «s’engagera sur ce sujet la semaine prochaine au Conseil européen». Le président devrait également demander une nouvelle dérogation sur la question des jachères.


Une aide d’urgence de 50 millions d’euros pour la filière bio

Le gouvernement va débloquer 50 millions d’euros d’aide d’urgence pour le bio, a promis Gabriel Attal. Une enveloppe qui permettra de venir au chevet de cette filière en difficulté. Le gouvernement s’était déjà engagé en 2023 à leur verser 94 millions d’euros.

Hausse des aides d’urgence pour les maladies bovines

L’hôte de Matignon a aussi annoncé une augmentation des indemnisations pour soutenir les exploitations les plus en difficulté face à la maladie hémorragique épizootique (MHE), une nouvelle pathologie qui affaiblit les vaches. Gabriel Attal a par ailleurs évoqué un «budget de 50 millions d’euros» et promis une «augmentation du taux d’indemnisation à 90%» pour les éleveurs touchés par cette maladie apparue dans des élevages du sud-ouest. Et ce, quelques jours après avoir fixé à 80% l’indemnisation de la valeur des vaches mortes et des frais vétérinaires.

«Opposition» à la signature du Mercosur
«La France s’oppose de manière très claire» à «la signature» de l’accord commercial controversé entre l’Union européenne et les pays latino-américains du Mercosur, a fait valoir Gabriel Attal. «Je le redis ici de manière très claire, très nette.
Outre les annonces, le premier ministre a également critiqué, sur un plan plus politique, «celles et ceux qui opposent la défense de nos agriculteurs et la défense de l’environnement», considérant que les agriculteurs étaient «les premières victimes de la dégradation de l’environnement». «Dans les priorités de notre action, ne pas laisser notre agriculture à la merci de la concurrence déloyale est un enjeu absolument majeur», a-t-il aussi dit .

Crise Agriculture : les annonces de Gabriel Attal

Crise Agriculture : les annonces de Gabriel Attal

La mesure la plus connue concerne l’annulation de la hausse de la taxe du gazole non routier. La seconde vise au renforcement de la loi et Egalim pour mieux prendre en compte le coût des productions et donc les revenus des agriculteurs; enfin, il y a une série de simplifications de procédures envisagées et des aides particulières en fonction des secteurs. Autant de mesures qu’il conviendra évidemment d’approfondir et de confirmer et qui vont amener vraisemblablement les agriculteurs à prolonger leur mouvement sur au moins encore une semaine

Annulation de la hausse de la taxe du gazole non routier (GNR)

Gabriel Attal a annoncé son annulation pure et simple : «On va arrêter avec cette trajectoire de hausse du GNR». Autre point central, les remises de taxe sur ce GNR seront déduites à l’achat, et non plus après coup sur justificatif, dans les prochains mois. «D’ici à l’été, quand vous serez livrés de votre carburant, la déduction sera faite immédiatement et l’État compensera le distributeur pour la déduction. C’est une mesure de simplification et de trésorerie», a détaillé le premier ministre sur ce dossier très technique.

Dix mesures de simplification immédiates

Le gouvernement va prendre «dix mesures de simplification immédiate», par décret, dès ce samedi, a annoncé Gabriel Attal. Le délai exceptionnel pour les autorisations de retenues d’eau sera notamment ramené à deux mois au lieu de quatre, et les recours vont être simplifiés par la suppression d’un échelon administratif. Sur ce même sujet, une «présomption d’urgence» va être créée «pour que le juge se prononce en moins de dix mois» contre un recours.

Le contrôle administratif des exploitants ne pourra pas avoir lieu plus d’une fois par an.
Le e premier ministre a également annoncé une simplification des réglementations sur les haies (une seule au lieu de 14 à l’heure actuelle), la sortie «d’un certain nombre d’incohérences sur le débroussaillement» et une «pause» sur le sujet des zones humides pour discuter du zonage.


Une simplification de la PAC

Gabriel Attal A également manifester son intention de simplifier l’application de la politique agricole commune, il «s’engagera sur ce sujet la semaine prochaine au Conseil européen». Le président devrait également demander une nouvelle dérogation sur la question des jachères.


Une aide d’urgence de 50 millions d’euros pour la filière bio

Le gouvernement va débloquer 50 millions d’euros d’aide d’urgence pour le bio, a promis Gabriel Attal. Une enveloppe qui permettra de venir au chevet de cette filière en difficulté. Le gouvernement s’était déjà engagé en 2023 à leur verser 94 millions d’euros.

Hausse des aides d’urgence pour les maladies bovines

L’hôte de Matignon a aussi annoncé une augmentation des indemnisations pour soutenir les exploitations les plus en difficulté face à la maladie hémorragique épizootique (MHE), une nouvelle pathologie qui affaiblit les vaches. Gabriel Attal a par ailleurs évoqué un «budget de 50 millions d’euros» et promis une «augmentation du taux d’indemnisation à 90%» pour les éleveurs touchés par cette maladie apparue dans des élevages du sud-ouest. Et ce, quelques jours après avoir fixé à 80% l’indemnisation de la valeur des vaches mortes et des frais vétérinaires.

«Opposition» à la signature du Mercosur
«La France s’oppose de manière très claire» à «la signature» de l’accord commercial controversé entre l’Union européenne et les pays latino-américains du Mercosur, a fait valoir Gabriel Attal. «Je le redis ici de manière très claire, très nette.
Outre les annonces, le premier ministre a également critiqué, sur un plan plus politique, «celles et ceux qui opposent la défense de nos agriculteurs et la défense de l’environnement», considérant que les agriculteurs étaient «les premières victimes de la dégradation de l’environnement». «Dans les priorités de notre action, ne pas laisser notre agriculture à la merci de la concurrence déloyale est un enjeu absolument majeur», a-t-il aussi dit .

Agriculture : les mesures annoncées par Gabriel Attal

Agriculture : les mesures annoncées par Gabriel Attal

La mesure la plus connue concerne l’annulation de la hausse de la taxe du gazole non routier. La seconde vise au renforcement de la loi et Egalim pour mieux prendre en compte le coût des productions et donc les revenus des agriculteurs; enfin, il y a une série de simplifications de procédures envisagées et des aides particulières en fonction des secteurs. Autant de mesures qu’il conviendra évidemment d’approfondir et de confirmer et qui vont amener vraisemblablement les agriculteurs à prolonger leur mouvement sur au moins encore une semaine

Annulation de la hausse de la taxe du gazole non routier (GNR)

Gabriel Attal a annoncé son annulation pure et simple : «On va arrêter avec cette trajectoire de hausse du GNR». Autre point central, les remises de taxe sur ce GNR seront déduites à l’achat, et non plus après coup sur justificatif, dans les prochains mois. «D’ici à l’été, quand vous serez livrés de votre carburant, la déduction sera faite immédiatement et l’État compensera le distributeur pour la déduction. C’est une mesure de simplification et de trésorerie», a détaillé le premier ministre sur ce dossier très technique.

Dix mesures de simplification immédiates

Le gouvernement va prendre «dix mesures de simplification immédiate», par décret, dès ce samedi, a annoncé Gabriel Attal. Le délai exceptionnel pour les autorisations de retenues d’eau sera notamment ramené à deux mois au lieu de quatre, et les recours vont être simplifiés par la suppression d’un échelon administratif. Sur ce même sujet, une «présomption d’urgence» va être créée «pour que le juge se prononce en moins de dix mois» contre un recours.

Le contrôle administratif des exploitants ne pourra pas avoir lieu plus d’une fois par an.
Le e premier ministre a également annoncé une simplification des réglementations sur les haies (une seule au lieu de 14 à l’heure actuelle), la sortie «d’un certain nombre d’incohérences sur le débroussaillement» et une «pause» sur le sujet des zones humides pour discuter du zonage.


Une simplification de la PAC

Gabriel Attal A également manifester son intention de simplifier l’application de la politique agricole commune, il «s’engagera sur ce sujet la semaine prochaine au Conseil européen». Le président devrait également demander une nouvelle dérogation sur la question des jachères.


Une aide d’urgence de 50 millions d’euros pour la filière bio

Le gouvernement va débloquer 50 millions d’euros d’aide d’urgence pour le bio, a promis Gabriel Attal. Une enveloppe qui permettra de venir au chevet de cette filière en difficulté. Le gouvernement s’était déjà engagé en 2023 à leur verser 94 millions d’euros.

Hausse des aides d’urgence pour les maladies bovines

L’hôte de Matignon a aussi annoncé une augmentation des indemnisations pour soutenir les exploitations les plus en difficulté face à la maladie hémorragique épizootique (MHE), une nouvelle pathologie qui affaiblit les vaches. Gabriel Attal a par ailleurs évoqué un «budget de 50 millions d’euros» et promis une «augmentation du taux d’indemnisation à 90%» pour les éleveurs touchés par cette maladie apparue dans des élevages du sud-ouest. Et ce, quelques jours après avoir fixé à 80% l’indemnisation de la valeur des vaches mortes et des frais vétérinaires.

«Opposition» à la signature du Mercosur
«La France s’oppose de manière très claire» à «la signature» de l’accord commercial controversé entre l’Union européenne et les pays latino-américains du Mercosur, a fait valoir Gabriel Attal. «Je le redis ici de manière très claire, très nette.
Outre les annonces, le premier ministre a également critiqué, sur un plan plus politique, «celles et ceux qui opposent la défense de nos agriculteurs et la défense de l’environnement», considérant que les agriculteurs étaient «les premières victimes de la dégradation de l’environnement». «Dans les priorités de notre action, ne pas laisser notre agriculture à la merci de la concurrence déloyale est un enjeu absolument majeur», a-t-il aussi dit .

Sandrine Rousseau : attaque Ignoble et hypocrite contre Gabriel Attal

Sandrine Rousseau : attaque Ignoble et hypocrite contre Gabriel Attal

La radicalité de Sandrine Rousseau touche cette fois à des sommets d’hypocrisie avec son attaque contre Gabriel Attal. Une attaque doublement hypocrite en plus quand elle le désigne comme « juif et gay » mais affirme » en même temps ne pas se livrer à une attaque.

Sandrine Rousseau montre là sa véritable personnalité sulfureuse qui cette fois touche les limites du racisme. Une déclaration totalement inacceptable pour une élue nationale sans scrupules et dontle projet politique est en permanence uniquement de faire parler d’elle.

L’élue EELV est par ailleurs revenue sur un tweet controversé, publié après la nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre. «Gabriel Attal est juif et gay. Très bien. Aucune attaque, de près ou de loin, de manière directe ou indirecte, là-dessus. Jamais.», écrivait-elle alors. Si elle assure avoir voulu «dénoncer les attaques antisémites» à l’égard du nouveau locataire de Matignon et le «défendre», Sandrine Rousseau a jugé la formulation de son message «maladroit». «Je continuerai à le défendre là-dessus», a-t-elle renchéri.

Curieuse façon de défendre quelqu’un que de l’enfoncer davantage. Cette radicalité coûtera cher aux différentes élections pour des écolos désormais en pleine errance politicienne. La première facture pourrait intervenir aux élections européennes

Ignoble et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

Ignoble et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

La radicalité de Sandrine Rousseau touche cette fois à des sommets d’hypocrisie avec son attaque contre Gabriel Attal. Une attaque doublement hypocrite en plus quand elle le désigne comme « juif et gay » mais affirme » en même temps ne pas se livrer à une attaque.

Sandrine Rousseau montre là sa véritable personnalité sulfureuse qui cette fois touche les limites du racisme. Une déclaration totalement inacceptable pour une élue nationale sans scrupules et dontle projet politique est en permanence uniquement de faire parler d’elle.

L’élue EELV est par ailleurs revenue sur un tweet controversé, publié après la nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre. «Gabriel Attal est juif et gay. Très bien. Aucune attaque, de près ou de loin, de manière directe ou indirecte, là-dessus. Jamais.», écrivait-elle alors. Si elle assure avoir voulu «dénoncer les attaques antisémites» à l’égard du nouveau locataire de Matignon et le «défendre», Sandrine Rousseau a jugé la formulation de son message «maladroit». «Je continuerai à le défendre là-dessus», a-t-elle renchéri.

Curieuse façon de défendre quelqu’un que de l’enfoncer davantage. Cette radicalité coûtera cher aux différentes élections pour des écolos désormais en pleine errance politicienne. La première facture pourrait intervenir aux élections européennes

La honteuse et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

La honteuse et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

La radicalité de Sandrine Rousseau touche cette fois à des sommets d’hypocrisie avec son attaque contre Gabriel Attal. Une attaque doublement hypocrite en plus quand elle le désigne comme « juif et gay » mais affirme » en même temps ne pas se livrer à une attaque.

Sandrine Rousseau montre là sa véritable personnalité sulfureuse qui cette fois touche les limites du racisme. Une déclaration totalement inacceptable pour une élue nationale sans scrupules et dontle projet politique est en permanence uniquement de faire parler d’elle.

L’élue EELV est par ailleurs revenue sur un tweet controversé, publié après la nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre. «Gabriel Attal est juif et gay. Très bien. Aucune attaque, de près ou de loin, de manière directe ou indirecte, là-dessus. Jamais.», écrivait-elle alors. Si elle assure avoir voulu «dénoncer les attaques antisémites» à l’égard du nouveau locataire de Matignon et le «défendre», Sandrine Rousseau a jugé la formulation de son message «maladroit». «Je continuerai à le défendre là-dessus», a-t-elle renchéri.

Curieuse façon de défendre quelqu’un que de l’enfoncer davantage. Cette radicalité coûtera cher aux différentes élections pour des écolos désormais en pleine errance politicienne. La première facture pourrait intervenir aux élections européennes

Gabriel Attal  « croit aux forces de l’écrit »

Gabriel Attal  »croit aux forces de l’écrit »

Dans une tribune au « Monde », le ministre de l’éducation, Gabriel Attal, rappelle l’aspect fondamental de l’acquisition de la lecture et de l’écriture. Et annonce faire de la lutte contre la baisse de niveau « une urgence républicaine ».

La tribune publiée le 5 septembre dans les colonnes du Monde par des artistes et intellectuels engagés pour l’écriture a connu une résonance considérable. Auprès des parents, grands-parents d’élèves, bien sûr, qui n’attendent pour eux rien d’autre que le meilleur. Auprès des enseignants, évidemment, qui rivalisent d’efforts, de ressources, de créativité souvent, pour leur permettre de s’élever. En réalité, chacun de nos concitoyens s’y retrouve.

Les frontières s’estompent, les repères se troublent, les modes de l’instant menacent l’immanence de notre héritage, à la fois si profond et toujours fragile. L’écrit, c’est ce qui situe, et ce qui reste. C’est ce qui rend possible à la fois le raisonnement cartésien et l’imaginaire fécond de chacun. Pour le ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse que je suis, ce fut le rappel d’une responsabilité immense. L’école doit, toujours, rester la source d’une société d’intelligences libres et d’esprits émancipés. Au croisement de tous les arts, nourrie de la sensibilité de chacun, l’écriture doit être le support de la créativité des élèves, afin qu’ils puissent « écrire comme personne » avec « les mots de tout le monde », pour paraphraser Colette.

Je suis un ministre lucide. Les savoirs fondamentaux, et singulièrement la lecture et l’écriture, sont ceux qui rendent possibles tous les autres. Partant, l’absence de leur maîtrise est ce qui rend tout impossible. Au moment où je prends mes fonctions, en France, pays des plus merveilleux auteurs et des plus grands talents qui ont marqué notre histoire intellectuelle, qui continue d’éclairer le monde de ses plus beaux textes, près d’un élève sur trois ne sait pas lire ou écrire convenablement à son entrée en 6ᵉ. Une baisse de niveau qu’il faut nommer sans fard et sans détour : une urgence républicaine.

J’ai annoncé, dès ma nomination, mon ambition d’un « choc des savoirs » pour nos élèves, préalable absolu pour élever le niveau, bâtir une école qui émancipe et qui rend heureux. C’est l’objectif qu’a fixé le président de la République dès 2017, et grâce à son implication, l’investissement qui a été consenti ces six dernières années n’a connu aucun précédent dans l’histoire récente. Sa détermination nous a permis d’agir avec trois constantes claires : l’effort massif sur les petites classes, la volonté farouche d’agir pour l’égalité des chances et l’éducation prioritaire, et la prééminence des savoirs fondamentaux.

Sondage Gabriel Attal , Ministre de l’éducation, soutenu par l’opinion

Sondage Gabriel Attal , Ministre de l’éducation, soutenu par l’opinion

Gabriel Attal fait une rentrée politique relativement efficace auprès de l’opinion. D’après l’étude Odoxa Backbone consulting les annonces du ministre de l’éducation sont bien accueillies. Qu’il s’agisse de l’interdiction l’abaya ou du rétablissement des épreuves de spécialité du bac au moins de juin, respectivement soutenues par 74% et 76% de citoyens. L’objectif de «faire de la lutte contre le harcèlement à l’école une priorité absolue» fait aussi consensus (88%), tout comme la volonté, dans une moindre mesure, d’expérimenter l’uniforme ou la tenue unique à l’école (63%). «Notons tout de même que sur ce dernier sujet, comme pour l’interdiction de l’abaya, que les plus directement concernés, c’est-à-dire les parents et surtout les élèves eux-mêmes sont nettement plus circonspects», fait remarquer Gaël Sliman.

Enfin, l’image de Gabriel Attal est globalement positive. Le ministre est salué comme étant «courageux», «sympathique» et «compétent» par six Français sur dix. Dans un gouvernement longtemps critiqué pour être trop technique, le macroniste est aussi perçu comme un «vrai» politique. Avec les défauts qui peuvent y être associés, à savoir le fait d’être «ambitieux» (80%) mais surtout «pas sincère» (51%). Ses points faibles se trouvent aussi du côté des jeunes générations – élèves et parents -, moins nombreux à le plébisciter que les seniors.

Euro numérique : une révolution monétaire

Euro numérique : une révolution monétaire

Par Gabriel Gaspard, Chef d’entreprise à la retraite, spécialiste en économie financière explique que l’euro numérique constituerait une révolution monétaire pour l’Europe ( la Tribune, extrait)

 

C’est quoi un euro numérique ?

« Le but de nos travaux est de veiller à ce qu’à l’ère numérique, les ménages et les entreprises aient toujours accès à la forme de monnaie la plus sûre : la monnaie de Banque centrale »Christine Lagarde, présidente de la BCE. L’euro numérique devrait être disponible entre 2023 et 2026. D’après la BCE, il serait le bienvenu dans les situations où les ménages et les entreprises ne souhaitent plus payer en espèces. Il éviterait aux européens d’utiliser des instruments de paiement numériques non émis et contrôlés par l’Europe.

Ce que l’euro numérique pourrait changer au quotidien

Cet euro digital serait une forme électronique de monnaie de la BCE. Il est envisagé que chaque européen puisse déposer directement cette monnaie auprès de la Banque centrale dont l’accès est jusqu’ici réservé aux banques commerciales. Les transactions seraient instantanées.

Ne nécessitant pas de règlement interbancaire l’euro digital sera disponible 24h/24 et 7j/7. Pour éviter la fuite des épargnants vers cette monnaie électronique, et échapper aux frais excessifs d’un compte de dépôt classique (2,4% par an), la BCE prévoit de limiter le nombre d’euros numériques que chacun pourrait placer chez elle. Reste que le risque pour la création d’une monnaie entièrement numérique est la traçabilité des transactions et l’anonymat.

La fuite en avant de la BCE depuis 2008

En 2008 face à la crise financière, la BCE a injecté 4.000 milliards d’euros de 2011 à 2017 qui représentent un tiers du PIB de la zone euro. Elle a abaissé son taux directeur à zéro et elle a acheté de la dette publique et privée. Pour la France il n’y a pas eu de ruissellement et plusieurs milliards d’euros se sont établis dans les pays d’Europe du Nord. En 10 ansla crise financière a coûté approximativement 1.541 milliards d’euros en termes de produit intérieur brut (PIB) selon les calculs d’Éric Dor, directeur des études économiques à IESEG School of Management.

Avec la propagation de la pandémie de la Covid en Europe, les Banques centrales ont abaissé leurs taux d’intérêts comme premier choc. Malheureusement pour l’Europe, le taux directeur de la BCE était déjà à zéro, pas moyen d’une nouvelle baisse. En 2020 pour contrer les effets de la Covid, la BCE a préféré lancer un nouveau programme de rachats de dette souveraine de 750 milliards d’euros baptisé Programme d’achats d’urgence pandémique (PEPP). Le 4 juin 2020, le Conseil des gouverneurs de la BCE a de nouveau décidé d’augmenter l’enveloppe consacrée au programme PEPP, la portant à un total de 1.850 milliards d’euros.

Avec un rebond de l’inflation en zone euro et les taux d’emprunt des États en forte hausse, il y a une grande pression sur la BCE pour réduire son programme de rachat des dettes. Les politiques d’endettement de plusieurs pays européens, dont la France, sont tragiquement élevés. La BCE n’a plus beaucoup de moyens pour créer des liquidités. C’est le moment d’introduire l’euro digital et de recourir aux économies des ménages européens. Dans le cas contraire, les politiques d’austérité en Europe deviendraient inévitables au vu de la diminution des facilités.

Issu du traité de Rome de 1957, le traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE) interdit le financement monétaire des États par la BCE et limite le recours aux instruments de politique monétaire (article 123). La BCE ne peut pas financer directement les dettes publiques des États membres de la zone euro. D’après le traité de Rome il ne serait pas possible de forcer l’épargne privée à financer directement la croissance des dettes publiques. Mais voilà avec la pandémie, la France a déjà dévié ces règles

« L’ensemble constitué des banques commerciales et de la Banque centrale a donc recyclé l’épargne des ménages pour prêter à l’État« , explique Agnès Bénassy-Quéré, Chef économiste de la DG trésor

 La question qui se pose au vu de la situation actuelle : la BCE imagine-t-elle une nouvelle révolution monétaire qui sera proche du « Plan de Chicago » de 1936 ?

Il est peut-être déflationniste :

« En période d’expansion économique, la croissance est généralement accompagnée d’une augmentation de la masse monétaire, elle-même corrélée à l’inflation. En revanche, en période de contraction, telle que celle que nous avons traversée après 2008, la masse monétaire se resserre. Elle conduit, selon l’économiste américain Irving Fisher (1867-1947) à la déflation par la dette ».

Bruno Colmant, Membre de l’Académie Royale de Belgique. Les économistes à cette époque avaient imaginé un système de réserves obligatoires à 100% : tout ce qu’une banque commerciale peut récolter comme dépôts doit être intégralement entreposé à la Banque centrale.

Avec l’euro digital, il suffit que la BCE demande aux banques commerciales de déposer une fraction des épargnes des ménages en euro numérique sur leurs comptes à la BCE. Son passif va automatiquement augmenter. Ce passif pourra compenser de nouvelles dettes publiques qu’elle détiendrait à son actif. L’épargne des ménages européens financerait alors partiellement et directement l’endettement des États.

La France ne peut pas emprunter directement à la BCE, elle ne peut emprunter qu’aux banques commerciales. C’est la conséquence de la loi du 3 janvier 1973 ou celle de1993 après la loi sur l’indépendance de la Banque de France, votée dans le cadre de la transposition du traité de Maastricht dans la loi française. Le périmètre d’intervention de la BCE doit être clarifié. Avec le traité de Maastricht la BCE a un mandat principal : « maintenir la stabilité des prix » interprété par la BCE comme maîtriser l’inflation proche de, mais inférieure à 2%La BCE change son objectif après 18 ans et porte la cible de l’inflation à 2%. Il est très probable qu’en 2021 ce mandat ne puisse plus être assuré.

L’Europe doit répondre à la question : faut-il changer le mandat de la BCE ? L’euro numérique peut-il voir le jour sans remettre en question les traités de Rome et de Maastricht ?

Gabriel Gaspard

Covid «La troisième vague n’est pas terminée » (Gabriel Attal)

Covid «La troisième vague n’est pas terminée » (Gabriel Attal)

Les déclarations du porte-parole du gouvernement révèlent la profondeur et l’ampleur d’une crise sanitaire dont personne ne peut définir à la fois la durée et l’ampleur. En clair, le pessimisme affiché par Gabriel Attal prépare sans doute une prolongation des mesures restrictives qui devaient être limitées à quatre semaines. Une première prolongation sans doute en mai juin et qui pourrait y compris affecter une partie de l’été pour certaines activités.

 

Selon Gabriel Attal, «la situation épidémique reste très contrastée. Si certains signaux sont encourageants et montrent que les mesures de freinage fonctionnent, il est encore trop tôt pour constater une pleine efficacité de ces mesures au niveau national».

L’Île-de-France, les Hauts-de-France et la Provence-Alpes-Côte d’Azur «sont toujours les régions qui connaissent l’incidence la plus élevée», et «la situation semble toujours se dégrader» en Auvergne-Rhône-Alpes, dans le Grand Est, et en Bourgogne Franche-Comté, a détaillé le porte-parole. «L’évolution est même plus préoccupante encore dans certains départements» comme le Massif central et la Drôme, tandis que la Meuse, la Moselle et la Meurthe-et-Moselle «connaissent toujours une situation fragile», selon M. Attal.

 

En Bourgogne-Franche-Comté, «l’évolution paraît plus dégradée» dans les départements de l’est de la région, la Haute-Saône, le Doubs, le Territoire de Belfort et le Jura, mais «meilleure» dans la Nièvre. La tendance est en revanche «relativement plus favorable» en Provence-Alpes-Côte d’Azur et dans les Alpes-Maritimes, où le taux d’incidence est passé de 488 fin mars à 286 ces derniers jours, a-t-il souligné, en notant aussi une évolution «très favorable» dans l’Aube, avec une baisse de près de 40% de l’incidence.

 

Une évolution «un peu plus favorable» qu’à l’échelle nationale s’observe également dans l’Eure et en Seine-Maritime. En Outre-mer, Garbiel Attal a relevé «une amélioration de la situation dans l’Océan indien, mais une dégradation aux Antilles et en Guyane», frontalière du Brésil, où circulent de nombreux variants.

La France comptait presque 6000 malades du Covid-19 dans les services de réanimation ce mardi et près de 32.000 personnes hospitalisées, avec 39.113 nouveaux cas enregistrés en 24 heures.

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