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« Fusion Nissan-Renault »: Valls dit non !

« Fusion Nissan-Renault »: Valls dit non !

Cette fois le conflit avec Carlos Ghosn se durcit encore. Déjà Macron avait clairement interpellé le patron de Renault sur ses projets de répartition du capital de Renault et Nissan (Nissan dont Renault est actionnaire mais dont le poids est désormais nettement supérieur à Renault). La solution avancée était une fusion avec dilution du capital détenu par l’Etat français. L’enjeu : prendre du champ par rapport à l’Etat français et pour Carlos Ghosn se mettre à labri des critiques concernant sa rémunération. Carlos Gohn est certes un très bon patron mais il a un peu tendance à confondre direction d’entreprise et propriété du capital. Notons enfin que la fusion totale avec un siège prévue en Hollande aurait auusi posé la question essentielle de la localisation des directions du groupe et des sites de production. L’Etat français, qui « peut baisser sa part » au capital de Renault, ne souhaite pas une fusion entre le constructeur automobile français et Nissan, dont l’alliance doit perdurer telle quelle, a déclaré dimanche Manuel Valls. « L’Etat est aujourd’hui à presque vingt (pour cent-NDLR), demain il peut baisser sa part, nous l’avons toujours dit, mais ce que nous voulons, nous, c’est conserver l’alliance. Nous ne souhaitons pas une fusion », a dit le Premier ministre français dans le cadre du « Grand Rendez-vous » Europe 1-Le Monde-iTélé. « Que cette alliance entre Renault et Nissan perdure, soit toujours aussi conquérante, dans un dialogue, telle qu’elle est », a-t-il souligné. « L’Etat joue pleinement son rôle d’actionnaire, à sa place, qu’il soit à 15 ou à 19% dans le capital, il joue pleinement son rôle et en même temps, nous faisons confiance aux managers de Nissan et de Renault dans un dialogue qui est normal », a-t-il ajouté. Le conseil d’administration de Renault (où siège Nissan)  n’est pas parvenu vendredi à résoudre le conflit sur la répartition des pouvoirs au sein de l’alliance entre le constructeur français et Nissan, mais est tombé d’accord pour soutenir de nouvelles discussions et tenter ainsi de sortir de l’impasse. Le bras de fer entre le PDG de Renault et Nissan, Carlos Ghosn, et le ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, s’est durci depuis la brusque montée de l’Etat au capital du groupe français en avril. Cette opération était destinée à assurer au principal actionnaire de Renault les droits de vote doubles prévus par la loi Florange. Mais Nissan, deuxième actionnaire, ne l’accepte pas alors que lui ne possède aucun droit de vote depuis la fondation de l’alliance en 2002.  Reuters a rapporté la semaine dernière que Nissan avait formulée en septembre des propositions confidentielles pour mettre fin au contrôle de Renault, via une augmentation de sa participation dans son partenaire français et une réduction de celle de Renault, actuellement de 43,4%, dans son capital.

 

Pour une fusion Renault-Nissan….. Mais à la française (Macron)

Pour une fusion Renault-Nissan….. Mais à la française (Macron)

Résumons, Carlos Ghosn -comme Macron- souhaite une fusion Nissan Renault mais Carlos Ghosn Veut diluer la part de l’Etat français (pour s’en affranchir)  tandis que Macron, lui, veut la concrétiser dans la nouvelle alliance. Il ya aussi divergence sur le calendrier, le PDG de Renault attend un environnement politique plus favorable à ses thèses (2017)  tandis que Macron veut accélérer pour que l’orientation ne soit pas remise en cause par le futur président de la république. Macron met donc  actuellement la pression sur le PDG de Renault Carlos Ghosn pour qu’il concrétise une fusion complète avec son partenaire Nissan mais selon des termes fixés par le gouvernement, a-t-on appris de sources au fait du dossier. Cette ambition du ministre de l’Economie éclaire sous un jour nouveau le bras de fer qui a éclaté au grand jour en avril quand l’Etat français, principal actionnaire de Renault, est monté au capital du groupe pour s’assurer les droits de vote doubles prévus par la loi Florange. Elle marque aussi un changement de position du gouvernement, plutôt réservé par le passé sur un tel approfondissement de l’alliance entre les deux constructeurs, de peur que le pouvoir de l’Etat sur l’évolution future de la nouvelle entité s’en trouve dilué. Macron exhorte ainsi depuis plusieurs mois Carlos Ghosn à mettre sur pied un groupe de travail conjoint avec les représentants du gouvernement pour explorer les scénarios de fusion permettant de sauvegarder usines et emplois en France, ont dit à Reuters plusieurs sources gouvernementales et proches de l’alliance Renault-Nissan. Selon elles, Carlos Ghosn a ignoré ces demandes et pourrait se trouver contraint, en lieu et place, de « réactiver » ses propres options en matière de consolidation. Parmi elles pourrait figurer le scénario d’une fusion complète avec une moindre influence de l’Etat français, déjà échafaudé en 2013 avec l’assistance de la banque Goldman Sachs puis mis de côté. « Voilà qui le contraint à aller plus vite que ce qu’il prévoyait », a dit une source proche de l’alliance. « Je pense qu’il ne faut jamais sous-estimer Ghosn. » Des porte-parole de Renault-Nissan et du gouvernement français ont refusé de faire un commentaire sur les scénarios étudiés et les discussions entre le PDG de Renault-Nissan et le ministre de l’Economie. Un porte-parole de Goldman Sachs n’avait pas de commentaire dans l’immédiat.

Renault et Nissan : rééquilibrage du capital et fusion

Renault et Nissan : rééquilibrage du capital et fusion

 

L’Etat français nourrit des soupçons à l’égard de Carlos Gohn sur l’évolution de l’alliance Renault-Nissan, de son coté Nissan ne voit pas d’un bon œil la montée en puissance de l’Etat français dans Renault. Nissan, sauvé dans les années 2000 par Renault, mais qui aujourd’hui vaut trois plus que Renault (Renault dont les profits dépendent pour ¾ des résultats de Nissan). La tentation est grande pour Carlos Gohn de rééquilibrer capital et pouvoir au profit du japonais (qui le demande), aussi de se débarrasser de la tutelle encombrante de l’Etat français Car les participations croisées entre Renault et Nissan donnent mécaniquement plus de poids à la France depuis que l’Etat français a augmenté sa participation. Du coup on pourrait assister à  un rééquilibrage important de l’alliance de telle sorte que chaque partenaire, à terme, dispose de 25 à 35% du capital. Emmanuel Macron a indiqué  en affirmant que « ceux qui proposent un rééquilibrage des pouvoirs avec un agenda caché prennent le risque d’abîmer l’alliance ».  Les deux groupes penseraient à « une société unique où cohabiteraient les actionnaires japonais de Nissan et ceux de Renault, et l’Etat français au premier chef ». Une société qui pourrait être basée aux Pays-Bas (l’alliance actuelle est déjà localisée au Pays-Bas). Le risque d’un mauvais rééquilibrage pour rénal c’est d’être absorbé par Nissan ce désormais 4 ème constructeur mondial avec des délocalisations des directions et de la production. Le risque c’est qu’il n’y  ait plus de constructeurs automobile français après PSA absorbé par les chinois, Renault serait mangé par les japonais. .

Fusion IR -CSG repoussée

Fusion IR -CSG repoussée

L’amendement Ayrault ne sera pas examiné en séance à l’Assemblée cette semaine. Le président Républicain de la commission des finances, Gilles Carrez, a considéré que le texte était irrecevable. Et ce pour deux motifs: la mesure n’ayant pas d’impact sur les comptes de l’État en 2016 doit être examinée plus tard dans le cadre du projet de Budget de l’État (en deuxième partie) ou alors, comme elle concerne la CSG, être traitée en projet de Budget de la Sécu. Ce faisant, Gilles Carrez enlève une épine dans le pied du gouvernement. Car l’exécutif ne voyait pas d’un bon œil l’idée de l’ancien premier ministre de regrouper sous une même têtière d’impôt citoyen sur le revenu, la CSG et l’IR. Une réunification «plus simple, plus claire et plus juste», selon le texte. Dans l’exposé de son amendement Jean-Marc Ayrault développe: «pour la moitié la plus modeste de nos concitoyens, l’impôt sur le revenu n’est pas progressif et commence à un taux très élevé: le taux de la CSG». En effet, la CSG est un prélèvement proportionnel, qui frappe par exemple les salaires à 7,5 %, que l’on soit smicard ou cadre. A l’inverse, plus une personne a des revenus élevés, plus son taux de taxation à l’IR grossit. Mais si l’ancien premier ministre propose un rapprochement de l’IR et de la CSG en vue de préparer leur fusion, le gouvernement Valls est beaucoup moins allant sur le sujet. C’est une perspective de long terme sur laquelle «il faut travailler», avec la mise en place du prélèvement à la source, a répondu, lundi, Michel Sapin. Une manière polie d’enterrer le sujet. «Fusionner les deux, non. Parce qu’aujourd’hui, ça voudrait dire baisser l’impôt pour certains mais l’augmenter pour la moitié des autres. Ca n’est pas le moment», a même ajouté le ministre des Finances. «Je ne veux pas qu’il y ait un message d’augmentation d’impôt au moment où nous mettons en place des baisses d’impôts», a-t-il insisté. «En outre, une fusion IR-CSG reposerait la question de la familialisation de l’impôt. Le nouveau prélèvement fusionné prendrait-il en compte la famille? En effet, l’impôt sur le revenu (IR) tient compte de celle-ci, pas la CSG», explique Mathieu Plane, économiste à l’OFCE.

Non à la fusion Bouygues- SFR ( Macron)

Non à la fusion Bouygues- SFR ( Macron)

 

Pour l’instant Macron ne veut pas de la fusion SFR-Bouygues. Il a sans doute deux bonnes raisons pour cela , d’abord il craint évidemment la vague de licenciements qui ferait suite inévitablement à ce regroupement . La période n’est pas très favorable pour encaisser une telle  vague. Second aspect, la suppression d’un opérateur serait de nature à défavoriser le consommateur, avec sans doute des hausses de prix à attendre à terme. Dans un entretien à l’AFP, le ministre de l’Economie souligne les conséquences négatives d’une consolidation dans les télécoms en matière d’emploi, d’investissement et de qualité du service aux consommateurs.  « Une consolidation » dans le secteur des télécoms n’est « pas souhaitable », a indiqué dimanche le ministre de l’Economie Emmanuel Macron dans une déclaration à l’AFP, à propos d’informations du journal JDD selon lesquelles le groupe Numericable-SFR a fait une offre sur son concurrent Bouygues Telecom. « Je dis et répète que la consolidation n’est pas aujourd’hui souhaitable pour le secteur. L’emploi, l’investissement et le meilleur service aux consommateurs sont les priorités. Or les conséquences d’une consolidation sont à ces égards négatives, comme l’ont prouvé les cas récents en Europe », a déclaré le ministre. « Que chacun se concentre sur les engagements pris en matière d’investissement, sur l’innovation, sur l’attribution imminente de la bande (de fréquences) 700 MHz et sur les opérations. C’est cela qui est bon pour l’emploi dans le secteur, pour la production et l’équipement du pays », selon lui. « Je continuerai à être très vigilant sur l’ensemble de ces sujets et sur le respect des engagements pris par les opérateurs. Je les réunirai à nouveau le 16 juillet prochain afin de faire le point entre autres sur le très haut débit », ajoute le ministre de l’Economie ( avec AFP).

 

Impôts : plus de fusion impôt sur le revenu et CSG ( Sapin)

Impôts : plus  de fusion impôt sur le revenu et CSG ( Sapin)

Finie la grande reforme fiscale annoncée par Hollande lors de sa campagne, notamment la fusion CSG-IR Michel Sapin a exclu dimanche tout projet de fusion IR-CSG, pourtant promis par François Hollande, car il a convenu que cela   »augmenterait l’impôt » alors que le gouvernement assure vouloir les baisser. En clair, les grandes réformes économiques sont mise désormais entre parenthèses jusqu’en 2017 pour raison électorale, d’abord bien sûr les régionales mais surtout les présidentielles. Peut-être aussi l’aveu que la fiscalité sur les entreprise bien sûr amis aussi sur les ménages à contribué à tuer la croissance et l’emploi.  Interrogé sur BFM TV-RMC-Le Point sur l’objectif d’une fusion de l’impôt sur le revenu et la CSG, promesse de campagne de François Hollande, Michel Sapin a répondu que le gouvernement avait « mis des bases » en 2012. « On impose de la même manière le capital et le travail au titre de la CSG comme au titre de l’impôt sur le revenu » et « c’est une très bonne chose », a-t-il dit. Mais « la fusion des deux aujourd’hui, ce serait annoncer l’augmentation des impôts pour la moitié des Français », a-t-il ajouté. « Une augmentation des impôts, la réponse est non, parce que ça voudrait dire que la CSG augmente pour la moitié des Français », a-t-il insisté. Une récente étude a montré que seulement 47% des foyers fiscaux sont imposables à l’impôt sur le revenu et le chiffre devrait encore baisser avec la récente suppression de l’impôt pour 9 millions de contribuables, votée dans le budget 2014. Le gouvernement aurait bien aimé d’ailleurs écrire un courrier aux personnes concernées par la nouvelle, mais semble devoir y renoncer car l’informatique fiscale ne permet par de le faire dans les délais, c’est-à-dire avant le paiement du « troisième tiers » en septembre. « Les Français aujourd’hui, ce qu’ils veulent voir, c’est des baisses d’impôts », a réaffirmé Michel Sapin. « Nous les avons stabilisés en 2014 (…) En 2015, ils commencent à baisser ». Le ministre des finances avait pourtant, quand il était ministre du Travail, plaidé pour une « CSG progressive ». Désormais à Bercy, il reconnaît que « la grande réforme fiscale (…) ça n’existe pas. Il y a des réformes qui arrivent et qui se mettent en place progressivement ». Le ministre a toutefois estimé que le gouvernement avait « trop augmenté les impôts et trop vite ». Il était temps !

Fusion Alsthom General Electric : remise en cause par Bruxelles ?

Fusion Alsthom General Electric : remise en cause  par Bruxelles ?

 

Alsthom a bradé sa filière énergie à General Electric mettant ainsi  en cause la maitrise de la politique énergétique. Et éventuellement les critères environnementaux relatifs aux turbines à gaz.  Mais la commission européenne reproche surtout au nouveau groupe sa position dominante sur le marché  mondial de l’ordre de 50%. La Commission européenne a donc ouvert le 23 février une enquête approfondie sur la vente du pôle énergie d’Alstom à l’américain General Electric (GE). Elle estime que cette opération à 12 milliards d’euros pourrait poser des problèmes de concurrence sur le marché des turbines à gaz de haute puissance.   »L’opération réunirait les activités de GE et d’Alstom, évinçant ainsi de ce marché l’un des trois principaux concurrents de GE dans le monde », explique la Commission dans un communiqué. La Commission craint que cette opération ne conduise à une hausse des prix, un choix réduit pour les consommateurs et à une moindre innovation dans le secteur. Il faut savoir que ces fameuses turbines sont considérées comme cruciales par l’Union « pour permettre à l’Europe d’honorer ses engagements environnementaux ». Cette enquête approfondie ne préjuge pas de l’issue de la procédure. La Commission, qui coopère sur ce dossier avec le ministère de la justice américain, a jusqu’au 8 juillet pour arrêter une décision.  Si la fusion GE-Alstom aboutissait, elle donnerait naissance à un nouvel acteur mondial, ultra-dominant, avec près de 50 % de parts de marché, en Europe et dans le monde, exception faite de la Chine. En revanche, la Commission ne voit pas de problèmes « pour ce qui est des équipements de production d’énergie destinés aux centrales à charbon et aux centrales nucléaires, éoliennes et hydroélectriques, ni pour les équipements de transport d’électricité ». L’Etat français avait donné son feu vert formel en novembre au rachat pour 12,35 milliards d’euros du pôle énergie (70% des activités) du fleuron industriel français, après avoir longuement et âprement négocié avec Alstom et GE au printemps 2014. Cette opération doit aboutir à la transformation d’Alstom en une entreprise dédiée aux transports, un secteur que le groupe juge plus porteur., ce qui constitue uen erreur stratégique qu’Alstom va bientôt payer car malheureusement en raison des restrictions budgétaires partout dans le monde l’heure n’est pas au développement des investissements ferroviaires.

 

 

Fusion prime pour l’emploi et RSA

Fusion prime pour l’emploi et RSA

 

Hollande vient d’annoncer  a annoncé la fusion de « la prime pour l’emploi (PPE) et le RSA activité pour favoriser la reprise du travail et améliorer la rémunération des salariés précaires ». A eux deux, ces dispositifs destinés à encourager les chômeurs à occuper des emplois mal rémunérés coûtent entre 3,5 et 4 milliards d’euros par an à l’Etat. Mais ils sont l’objet de nombreuses critiques. La PPE est « distribuée très largement, ce qui aboutit à un saupoudrage de la dépense publique et à un ciblage insuffisant des publics bénéficiaires », dénonçait le rapport du député PS Christophe Sirugue en juillet 2013. Elle est en effet attribuée à un foyer fiscal, à condition que l’un des deux travaille, et pas à un individu. La Cour des comptes la juge « trop complexe », pas assez « redistributive » et « illisible ». Une personne rémunérée au Smic peut toucher la même PPE que son conjoint inactif ou percevant un revenu pouvant aller jusqu’à deux fois le Smic. L’inspection générale des finances la considère comme une niche fiscale « peu efficiente ».  Dernier défaut, elle fait doublon avec le RSA activité. Alors que celui-ci, du fait de sa « complexité » reconnue par le premier ministre de l’époque Jean-Marc Ayrault, est sous-distribué. 68% des personnes qui pouvaient y prétendre en 2013 ne le demandaient pas.    »Je maintiens le cap et je force l’allure ». Dans une interview au Monde ce mercredi, François Hollande annonce qu’il « aller plus vite » sur les réformes.   Pour ce faire, le chef de l’État entend s’appuyer sur deux grands piliers. Le premier concerne la fusion de la prime pour l’emploi (PPE) et du RSA. Le deuxième vise à « rendre plus juste » l’impôt sur le revenu. La fusion permettra de « favoriser la reprise du travail et améliorer la rémunération des salariés précaires », assure Hollande. Quant à la révision du barème de l’impôt sur le revenu, elle visera « notamment les premières tranches ». Concernant le pacte de responsabilité, le président de la République prévient le patronat : « Chacun doit respecter ses engagements ». Le locataire de l’Élysée en a profité pour rappeler les frondeurs à l’ordre. Excluant  »toute godille », François Hollande les met en garde : « À ceux qui disent qu’il faut revoir la stratégie alors même que les mesures viennent tout juste d’être votées, je réponds que toute godille ou tout  zigzag rendrait incompréhensible notre politique et ne produirait pas de résultats. » Le Président a également annoncé une série de lois qui seront étudiées dès le début du mois de septembre. Ainsi, un projet de loi sur les professions réglementées sera annoncé, ainsi qu’un ajustement dans l’ouverture des magasins le dimanche. François Hollande a par ailleurs confirmé sa volonté d’introduire une dose de proportionnelle aux élections législatives.  »J’avais indiqué pendant la campagne que y j’étais favorable, a-t-il rappelé. J’y suis prêt si une majorité peut s’accorder sur cette orientation, avec une réduction du nombre de parlementaires », a-t-il ajouté.

 

 

Réforme Régions : pour une fusion de la Corse et de la Bretagne

Réforme Régions : pour une fusion de la Corse  et de la Bretagne

Hollande s’amuse avec le redécoupage administratif et tout seul puisqu’il n’a consulté personne. Pourquoi dès lors ne pas autoriser chaque français à faire son propre découpage. Si possible un redécoupage auusi incohérent. Pourquoi pas la fusion de la Corse et de la Bretagne, qu’on pourrait appeler la « Corsage » ou la Brecorse ». Certains esprits chagrins vont faire remarquer qu’il n’existe aucune proximité culturelle, historique, économie ou géographique et alors ? Ces également vrai avec la réforme Hollande. On pourrait envisager des régions entièrement dédiées aux intérêts des barons locaux du PS. La preuve Ségolène voulait récupérer les Pays de Loire ; Au nom de quelle logique ? Le plus caricatural c’est évidemment le regroupement du Centre, du limousin et de Poitou Charentes entièrement offert à Ségolène ; sous l’ancien régime le monarque royal attribuait de terres à ses favoris, pourquoi le monarque républicain ne pourrait pas en faire autant ? Hollande pourrait auusi assurer ses arrières et créer une région pour protéger son exil en créant la région de Tulle : Normal Premier, duc de Tulle, une reconversion honorable et préférable au sort de Louis XVI. Le rapprochement entre la Corse et la Bretagne n’est pas auusi incohérent que cela surtout si on parvient à faire dériver la Corse vers l’ouest grâce au x mouvements des continents et des intérêts électoraux. Certains vont affirmer qu’il s’agit d’une fausse reforme, que cela ne procurera aucune économie puisque les départements, communes et syndicats intercommunaux ne sont pratiquement pas touchés alors que ce sont les plus dépensiers. Justement une grande reforme qui ne change rien, c’est le must ; pour montrer que le Président Normal en a dans le pantalon. Un président qui veut changer auusi l’Europe, alors pourquoi pas aussi redécouper auusi l’Europe, par exemple regrouper Chypre et la France deux pays à peu près dans la même situation financière catastrophique, enfin une vraie logique !

Ciment: fusion officielle Lafarge et Holcim

Ciment: fusion officielle  Lafarge et Holcim

 

 

Les deux sociétés précisent que le siège social de la nouvelle entité sera basé en Suisse et sera à la fois cotée à Paris et Zurich. Ils espèrent finaliser l’opération au 1er semestre 2015. Lafarge et Holcim s’uniront via une offre publique d’échange réalisée par le groupe suisse sur son homologue français. Les actionnaires de Lafarge se verront proposer d’échanger une action de l’entreprise tricolore contre une action Holcim.  Bruno Lafont, le patron de Lafarge, deviendra le directeur général de la nouvelle entreprise, tandis que le conseil d’administration sera présidé par Wolfgang Reitzle, un administrateur  d’Holcim. La nouvelle entité créée pèsera pour un total de 32 milliards de chiffre d’affaires et sera présente dans 90 pays. Elle devrait, selon les deux groupes, être capable de dégager 1,4 milliard d’euros de synergies en année pleine, au bout de trois ans, dont un tiers atteint dès la première année.  Cette alliance doit permettre aux deux entreprises de mieux faire face au prix de l’énergie et à une demande qui n’a pas retrouvé ses niveaux d’avant la crise économique mondiale de 2008. Les deux groupes tireraient aussi profit de complémentarités géographiques. Lafarge, société du CAC 40 la plus exposée aux pays émergents, y réalise 60% de son chiffre d’affaires. Il dispose notamment d’une forte présence en Afrique et au Moyen-Orient. De l’autre côté, l’Amérique latine et l’Asie-Pacifique comptent pour environ 65% des ventes de ciment de Holcim, qui réalise 80% de ses ventes de granulats en Europe et en Amérique du Nord.

 

« Pas de fusion avec SFR Bouygues à ce stade» » ! Olivier Roussat… mais ça y ressemble

« Pas de fusion avec SFR Bouygues  à ce stade» » ! Olivier Roussat… mais ça y ressemble

Ce n’est pas une fusion mais un rapprochement technique. Pour autant du fait de le concurrence de Free les rentabilités sont d’être ce qu’elles étaient (- 20% chez SFR en 2012) et au-delà du rapprochement technique , on pourrait assister à la disparition d’un opérateur d’ici quelque  temps.Bouygues Telecom et SFR ont désormais scellé leur accord de mutualisation des réseaux. Dans un communiqué publié lundi 3 février, les deux groupes ont indiqué attendre les premiers fruits de ce contrat pour 2017. Bouygues Télécom table sur des économies de 100 millions d’euros par an. Invité de Good Morning Business, ce mardi 4 février, son PDG, Olivier Roussat, explique que « le paradoxe de la fusion des réseaux est qu’elle nécessite de surinvestir avant d’en tirer parti ». Les deux groupes vont ainsi devoir se délester de 7.000 antennes, ce qui représente « un surcoût », a-t-il poursuivi.  Mais la véritable question est de savoir si cet accord n’est pas la première pierre d’une fusion plus large entre les deux opérateurs. Arnaud Montebourg a d’ailleurs récemment vanté les mérites d’un marché avec un opérateur français en moins. Interrogé, Olivier Roussat a répondu : « ce n’est pas une question qui se pose à ce stade », affirmant que « les pouvoirs publics ont insisté pour que la fusion des réseaux ne soit pas un prélude à une fusion entre opérateurs ». Il a également rappelé que le gouvernement a interdit « la fusion à 100% des réseaux » excluant « les zones très denses », c’est-à-dire les villes de plus de 200.000 habitants. Le PDG de Bouygues Telecom a, par ailleurs, largement insisté sur l’intérêt de cet accord de mutualisation pour le consommateur. Selon lui, il va permette à SFR et Bouygues « d’améliorer la couverture dans les zones grises », zones où seul un ou deux opérateurs, souvent Orange, sont présents. « Ce que cherche le client, c’est avoir le choix. Avec ce type de mutualisation nous améliorons la concurrence », a-t-il assuré.

Publicis-Omnicom: les risques de la fusion notamment la délocalisation

Publicis-Omnicom: les risques de la fusion

En un week-end, le nouveau numéro du secteur de la publicité est né. Après des fuites samedi, le Français Publicis et l’Américain Omnicom ont annoncé, dimanche 28 juillet, leur fusion. Concrètement, ce mariage donnera naissance à un groupe dont le chiffre d’affaires est estimé 17,7 milliards d’euros et la capitalisation boursière à 26,5 milliards. Il sera codirigé par Maurice Lévy et John Wren , patrons de Publicis et Omnicom, qui espèrent finaliser l’opération fin 2013 ou au premier trimestre 2014. Pour Bruno Hareng, analyste chez Oddo et Cie, spécialiste du secteur média, « cette opération a pris tout le monde de court ». Interviewé sur BFM Business, ce lundi 29 juillet, il a expliqué que les deux entreprises « ont un réseau d’agence de premier plan, un portefeuille client qualitatif et un management référend dans l’industrie ». Il a estimé que cette annonce devrait avoir les faveurs, ce lundi, de la Bourse de Paris. Pour lui, il peut s’agir d’une belle opération, si le management arrive à gérer quatre risques.  Le projet de fusion est soumis à l’approbation des différentes autorités de la concurrence. Selon Reuters, la nouvelle entité devra faire face à des examens antitrust dans plus de 45 pays.  « La question est de savoir si la fusion peut coincer dans certains pays », a détaillé, Bruno Hareng, évoquant en particulier la Chine, les Etats-Unis ou le Royaume-Uni. Sur une activité plus particulière, l’achat d’espaces publicitaires, Bruno Hareng a calculé que la nouvelle entité possédera environ 44% du marché en Chine et 42% aux Etats-Unis. Dans ce dernier pays, le nouveau groupe pourrait donc être contraint de céder des entités plus petites pour des raisons de concurrence.  Les deux entreprises ont dans leurs portefeuilles de clients des entreprises rivales. Pour donner un exemple simple, Omnicom compte Pepsi parmi ses clients et Publicis travaille avec Coca-Cola.  Vont-ils vouloir tous traiter avec cette entité fusionnée ? « Si les clients ont la certitude que des murailles de Chine seront respectées lorsque les deux entreprises seront fusionnées, les clients devraient tirer des avantages car « le client aura accès à des services encore meilleurs après cette fusion ».  « Cela m’étonnerait qu’il y ait beaucoup de pertes de clients », a-t-il déduit, parlant d’un risque « qui existe mais qui est mesuré ».  Bruno Hareng explique qu’il y « un risque de pertes de talents » et se demande « si tous les collaborateurs vont adhérer à la fusion » ou s’ils vont préférer « quitter le groupe pour éventuellement créer leurs structures ».  La fusion étant « transformante », la difficulté pour Maurice Lévy et John Wren va être de ne pas trop délaisser leurs clients, pour préparer cette mégafusion. Dernier  risue et non des moindres pour la France, la délocalisation. Les groupes prévoient de fusionner au sein de Publicis Omnicom Group, une maison-mère qui sera cotée à Paris et New York. La direction opérationnelle sera maintenue dans ces deux villes, mais le siège social sera établi aux Pays-Bas. Un choix effectué par souci de neutralité et non pour des motifs fiscaux, ont assuré les deux dirigeants. !

Aérien : fusion American Airlines et US Airways

Aérien : fusion American Airlines et US Airways

Lesconseils d’administration se réuniront mercredi pour discuter de la fusion, avec une annonce possible le jour même ou jeudi, affirme le Wall Street Journal, une information que les responsables des deux compagnies ont refusé de commenter.   »Les discussions sont toujours en cours mais aucune décision n’a été prise », a indiqué lundi une source proche du dossier.  US Airways avait évoqué dès début 2012 la perspective d’un mariage avec American, une idée qui avait reçu quelques mois plus tard le soutien des représentants syndicaux.  La maison-mère en faillite d’American, AMR, au départ opposée à l’opération, avait finalement annoncé en août qu’elle discutait avec US Airways en vue d’une éventuelle fusion.   »On a probablement passé le point de non retour », estime John Thomas, spécialiste des questions aériennes pour la société L.E.K Consulting.  La fusion entre American et US Airways s’ajouterait à une longue liste de rapprochements dans le secteur aérien. Les concurrentes United et Delta Air Lines se sont hissées aux deux premières places sur le marché américain en achetant respectivement leurs concurrentes Continental et Northwest Airlines.  En Europe, British Airways a notamment fusionné avec l’espagnole Iberia pour former IAG, Air France s’est rapprochée de la néerlandaise KLM et l’allemande Lufthansa a racheté Swiss, Austrian et Brussels Airlines.  Ensemble, American et US Airways afficheraient une flotte d’environ 1.530 appareils et un chiffre d’affaires combiné de 38,7 milliards de dollars en 2012, légèrement supérieur à ceux de United Continental (37,15 milliards) et de Delta (36,7 milliards).  Le rapprochement permettrait de renforcer l’offre d’American dans le nord-est des Etats-Unis et vers Phoenix (Arizona, sud-ouest), où US Airways est davantage présente et a ses principaux hubs.  Il permettrait aussi de réaliser davantage d’économies, en mettant par exemple plus de passagers dans des avions plus gros, relèvent les experts.  Les médias ont évoqué la possibilité de dégager 1,2 milliard d’économies dans les secteurs administratifs.  AMR s’était elle-même mise sous la protection de la loi sur les faillites en novembre en vue de faire des économies, notamment en réduisant les salaires de ses pilotes.  Les économies ont joué un grand rôle dans la reprise du secteur aérien, avec la mise en place de paiements séparés pour les bagages enregistrés ou les repas à bord, qui génèrent environ 8 milliards de dollars par an, selon M. Thomas.  Il souligne toutefois que la fusion devra être validée non seulement par les actionnaires et les régulateurs, mais aussi par la justice américaine, qui supervise la procédure de faillite d’AMR.  Les autorités de la concurrence pourraient aussi obliger la nouvelle entité à céder certaines lignes, relève M. Thomas, mais il y a relativement peu de recoupements entre les deux compagnies.  D’après les médias, l’actionnariat du nouveau groupe reste à définir, de même que le rôle de l’actuel directeur général d’American, Tom Horton. C’est celui d’US Airways, Doug Parker, qui dirigerait la nouvelle entité.  Les syndicats soutiennent pour leur part l’opération car ils espèrent « de meilleures conditions » salariales pour les employés qu’au sein d’une compagnie American indépendante, selon Tom Hoban, responsable de la communication du syndicat de pilotes Allied Pilot Association.   »Les salariés sont fortement derrière cette fusion. Les banques d’investissement la soutiennent. Les dirigeants d’American s’y mettent en retard et avec réticence », a-t-il commenté.

 

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Fusion Fiat-Chrysler en 2014

Fusion Fiat-Chrysler en 2014

La fusion entre Fiat et Chrysler se confirme. L’annonce a été faite par Sergio Marchionne, le patron du groupe automobile italien. Le mariage devrait être célébré l’année prochaine. Après Renault-Nissan, PSA-Général Motors, cette fusion devrait donner naissance à un nouveau géant de l’industrie automobile. Quand Fiat devient actionnaire de Chrysler en 2009, le constructeur américain est alors en faillite. Depuis, c’est devenu la planche à billets de Fiat. Sans la contribution de Chryler, le groupe italien aurait été lourdement déficitaire en 2012.   Fiat détient 60% de Chrysler. Sergio Marchionne veut donc aller plus loin. Absorber la filiale américaine permettra de sécuriser l’avenir de Fiat, car contrairement à la marque italienne, Chrysler est présent sur les principaux marchés au monde. Mais avant que la fusion soit effective, l’Italien devra trouver un accord avec l’autre actionnaire de Chrysler, le puissant syndicat automobile américain. L’United Auto Workers (UAW) va vouloir monnayer très cher son désengagement. Autres points délicats à régler, le nom du futur groupe et la localisation de son siège social. Deux questions très sensibles en Italie où Fiat est un symbole de l’industrie nationale.

 

 

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Aérien: fusion US Airways-American Airlines

Aérien: fusion US Airways-American Airlines

Les deux compagnies aériennes, ainsi que les créanciers d’AMR et les détenteurs d’obligations de la société, ont récemment redoublé d’efforts pour parvenir à un accord de fusion, qui pourrait intervenir au cours des deux prochaines semaines, ont ajouté les sources. AMR et American Airlines ont déposé le bilan en novembre 2011, essentiellement en raison de coûts du travail plus élevés que la moyenne du secteur. Un rapprochement avec US Airways permettrait à American Airlines d’être en meilleure position de concurrencer ses rivales United Continental et Delta Air Lines. Début décembre, des sources proches du dossier avaient dit que US Airways avait transmis à AMR une offre formelle de fusion qui donnerait naissance à un nouvel ensemble représentant 8,5 milliards de dollars (6,6 milliards d’euros), soit autant que Delta Air Lines. Un rapprochement avec US Airways a les faveurs de la plupart des syndicats d’American – pilotes, personnel navigant et personnels au sol. Tom Horton, directeur général d’AMR, avait rejeté une proposition de rachat de US Airways juste après que l’entreprise se soit mise sous la protection du chapitre 11 de la loi sur les faillites. Il avait dit à l’époque privilégier pour AMR une sortie de ce régime en tant qu’entité indépendante, quitte à prendre en compte par la suite la possibilité de rapprochements. Depuis, après des discussions avec les créanciers du groupe et avec US Airways, Tom Horton a assoupli sa position, se disant désormais ouvert à toutes les options.

 

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