Archive pour le Tag 'Fusillade'

Encore une fusillade mortelle à Grenoble

Encore une fusillade mortelle à Grenoble

Plusieurs hommes ont fait feu avec au moins une arme de poing sur un groupe de jeunes mardi soir dans le quartier Hoche, près d’un important point de deal de drogue.

Un jeune homme est mort et un autre a été blessé mardi 22 octobre au soir à Grenoble après avoir été atteints par balles, en pleine rue près d’un point de deal. . L’un des blessés, touché à la tête, est décédé, et l’autre, atteint à une cuisse, a été transporté au centre hospitalier de la ville.

Selon le Dauphiné Libéré, plusieurs hommes auraient fait feu avec au moins une arme de poing sur un groupe de jeunes. Depuis le début de l’année, plus d’une vingtaine d’épisodes de violence par arme à feu liés au trafic de drogue ont été recensés sur le territoire de la métropole de Grenoble, les autorités n’hésitant plus à parler de «guerre des gangs».

Dimanche soir, c’est un homme de 47 ans qui a été tué par balle en pleine rue à Saint-Egrève, au nord de Grenoble. Le 10 octobre, un fourgon blindé de transport de fonds avait été attaqué par des hommes armés de kalachnikov qui ont fait feu en plein centre de la ville, sans toucher personne, avant de prendre la fuite les mains vides. Début septembre, Lilian Dejean, un employé municipal de Grenoble, a été tué par balle, pendant qu’il intervenait sur le site d’un accident de la route, par un homme toujours en cavale et connu de la justice notamment pour violences et trafic de stupéfiants.

 

Maine-et-Loire : Fusillade mortelle

Maine-et-Loire : Fusillade mortelle

Une fusillade mortelle s’est produite dans la petite ville de Saumur. Habituellement une petite cité relativement tranquille. Preuve que la banalisation de la violence, comme le trafic de drogue d’ailleurs, n’épargne plus aucune agglomération.

 

Un homme a ouvert le feu sur la terrasse d’un restaurant de type kebab à Saumur, dans le Maine-et-Loire, ce lundi en début de soirée, a appris Le Figaro de source policière, confirmant une information du Courrier de l’Ouest . Un jeune homme a été tué, un autre blessé.

Drogue : fusillade à Rennes

Drogue : fusillade à Rennes

Encore une fusillade cette fois à Rennes et la preuve que le fléau des réseaux de drogue s’étend dans toute la France comme les règlements de compte avec violence. Selon les sources il y aurait en France officiellement 4000 points de deal. . Désormais toutes les villes sont touchées, les grandes métropoles bien sûres, les villes moyennes mais aussi même les petites villes de moins de 10 000 habitants.
À Rennes, »Deux hommes, nés en 1994 et 2000, connus de l’institution judiciaire » ont été blessés dans la nuit du 9 au 10 mars dans une fusillade survenue dans le quartier du Blosne. D’après le procureur, les faits « paraissent s’inscrire dans la lutte conduite » pour le contrôle d’un point de deal.

Deux personnes ont été blessées, dont l’une grièvement, lors d’une fusillade survenue dans la nuit de samedi 9 à dimanche 10 mars dans un quartier du sud de Rennes, a appris l’AFP de source policière.

Le quotidien Ouest-France a publié sur son site une photo montrant plusieurs impacts dans la cuisine d’un riverain. « J’ai entendu de nombreuses déflagrations dans la nuit et en me levant j’ai découvert ma cuisine complètement esquintée », témoigne celui-ci.

« Une opération de sécurisation » a été conduite sur place par la police nationale, avec l’appui de l’antenne du Raid et du PSIG (gendarmerie) de Rennes, ajoute le parquet.

 Suite à ces événements, « le préfet d’Ille-et-Vilaine renforce la sécurité dans le quartier du Blosne à Rennes. Une présence continue des forces de l’ordre est assurée avec l’arrivée de la CRS 8 prenant le relais de la CRS 82 déployée cette nuit », a annoncé la préfecture.

 

Marseille Chicago : une fusillade extérieure qui touche les habitants dans leur appartement

Marseille Chicago : une fusillade extérieure qui touche les habitants dans leur appartement

Encore des règlements de comptes mortels et qui touchent des habitants chez eux; En effet, une nouvelle fusillade s’est produit ce dimanche soir à Marseille dans la cité Saint-Thys dans le 10e arrondissement de Marseille. Une jeune femme a été très gravement blessée à la tête par un tir de kalachnikov. Au moment des faits, la jeune femme se trouvait au 3e étage d’un immeuble de la cité. Elle était dans sa chambre au sein de son appartement qu’elle occupe avec sa mère. La jeune femme a été touchée à la tête par la balle qui a traversé un mur.

Âgée de 24 ans, elle a été prise en charge par les marins-pompiers puis transportée à l’hôpital avec un pronostic vital engagé.

En plus de l’appartement de la jeune femme de 24 ans, deux autres logements ont été touchés par les tirs de kalachnikov sans faire davantage de blessés. Il s’agit des appartements d’une femme de 79 ans qui habite juste au-dessus, au 4e étage de l’immeuble.

Le logement d’une autre femme, âgée elle de 86 ans, a également été « impacté » par les tirs.

Marseille Chicago: nouvelle fusillade mortelle

Marseille Chicago: nouvelle fusillade mortelle

Un homme de 26 ans a été tué ce mardi 15 août dans la soirée au cours d’une fusillade boulevard Casanova, dans le 14e arrondissement de Marseille, a appris Le Figaro du parquet de Marseille.
Les faits se sont déroulés à 19h30. La victime, connue des services de police et de justice pour trafic de stupéfiants, se trouvait sur un trottoir du boulevard, lorsqu’elle a été la cible de tirs de kalachnikov. L’homme n’a pas survécu à ses blessures. Il venait de purger une peine de prison de longue durée au centre pénitentiaire des Baumettes pour son implication dans le trafic de stupéfiants. Déjà plus de 30 morts à Marseille sur fond de drogue. De quoi s’interroger sur la dérive de la violence.

Un papier de l’Opinion regrette que Marseille soit engagé dans l’engrenage des violences

Il y a quelque chose de pourri dans la cité phocéenne. Ces dernières heures, deux jeunes ont été assassinés dans le cadre de règlements de compte crapuleux. Le premier, âgé de 21 ans, dans une fusillade dans les quartiers nord de la ville ; le second, âgé de 28 ans, quelques heures plus tard, dans une épicerie du 14e arrondissement.

Quatre jours plus tôt, c’est un homme de 39 ans qui a été retrouvé mort dans une voiture criblée d’une trentaine de balles. Le dimanche précédent, la victime avait 32 ans. Cinq jours avant, c’est un corps calciné qui a été retrouvé près d’une voiture incendiée.

Cette litanie macabre est devenue routine à Marseille, où l’on compte davantage de victimes du trafic de drogues en six mois que sur toute l’année dernière (une trentaine). Effet collatéral de la guerre en Ukraine où les Famas français et les MK16 américains ont remplacé les vieilles Kalachnikov, la cité phocéenne est aujourd’hui inondée de fusils d’assaut russes, qui se monnaient pour moins de 300 euros désormais.

A cette brutale accélération de la violence sont venues se greffer des émeutes face auxquelles certains policiers, notamment à Marseille, ont répliqué d’une manière qui n’a pas déparé dans ce triste tableau. Hedi, Mohamed… Les affaires, qui toujours concernent des tirs de LBD, se multiplient.

La mise en détention provisoire d’un policier a déclenché une vague de protestation il y a quinze jours dans les services, où les arrêts maladie se sont étendus un peu partout en France. Jeudi, les trois policiers du Raid mis en examen pour « violences avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner », suite au décès dans la nuit du 1er au 2 juillet de Mohamed B., ont été placés sous contrôle judiciaire. Dans les deux cas, l’état de droit a été respecté. C’est malheureusement de moins en moins le cas dans la cité phocéenne.

Drogue : encore une fusillade à Paris

Drogue : encore une fusillade à Paris

Presque quotidiennement la France enregistre des fusillades entre bandes rivales des réseaux de drogue. Cette fois encore une fusillade s’est déroulée à Paris et s’est terminée par la mort d’un agent immobilier. Il s’agit vraisemblablement d’un nouveau règlement de compte.

À Marseille on compte déjà plus d’une vingtaine de morts pour règlement de comptes entre bandes rivales pour la maîtrise des réseaux de drague. Une drague qui pénètre partout en France dans toutes les couches de la société. On considère en général qu’il y a quotidiennement 1,2 millions de consommateurs réguliers en France et entre 1000 et 2000 points de deal .Un agent immobilier a été tué par balle ce mercredi, dans le 8e arrondissement de Paris. Au moins cinq coups de feu ont été tirés, a appris Le Figaro de sources policières.

La victime a été exécutée dans un salon de massage alentour où elle s’était réfugiée. Malgré l’intervention des secours, l’homme n’a pu être réanimé. La victime était «connue de la justice pour divers faits de violence et de droit commun», a précisé le parquet de Paris.

Seine-Saint-Denis : nouvelle fusillade pour la drogue

Seine-Saint-Denis : nouvelle fusillade pour la drogue

 

En Seine-Saint-Denis comme dans les zones très sensibles, les règlements mortels se multiplient même en plein jour parfois. Le motif est souvent le même: l’affrontement entre des bandes rivales pour maîtriser les zones de commercialisation de la drogue. Deux jeunes hommes de 17 et 25 ans ont été tués et un troisième, âgé de 16 ans, blessé dans une fusillade à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) dans la nuit du lundi 14 au mardi 15 septembre, a indiqué une source proche de l’enquête. Une personne majeure et un mineur ont été interpellés mardi et étaient toujours en garde à vue dans la soirée, a indiqué le parquet de Bobigny à l’AFP. L’enquête a été confiée à la brigade criminelle.

Le 4 juillet, un homme âgé d’une trentaine d’années avait été blessé par balles dans ce même quartier sur fond de trafic de stupéfiants, selon une source policière. L’enquête avait été confiée à la police judiciaire du département. «Tout doit être mis en oeuvre pour qu’enfin on puisse dire “plus jamais ça” à propos de ces événements meurtriers, à commencer par la mise en place de moyens d’enquêtes judiciaires à la hauteur et la lutte contre le trafic d’armes», a poursuivi l’élu.

Juste près la fusillade, onze personnes ont été interpellées sur les lieux puis placées en garde à vue pour meurtre et tentative de meurtre en bande organisée avant d’être remises en liberté, a indiqué le parquet de Bobigny. «Ils ont tiré dans la cave, puis dans le hall, il y avait du sang partout», a relaté à l’AFP le gardien de l’immeuble. «Les jeunes nous forcent à leur donner les clés des caves, je me suis fait agresser il y a un mois, cette cité se dégrade depuis des années», a-t-il ajouté. «Cela fait cinquante ans que je vis dans la cité, j’ai vu la dégradation, la drogue a miné le quartier», a témoigné Yves, un retraité qui y habite. «Que voulez-vous faire quand des jeunes gagnent plus en une journée que leurs parents en un mois?», s’est-il interrogé.

Fusillade à Nice: encore des promesses

Fusillade à Nice: encore des promesses

 

C’est le rituel habituel, après des crimes très médiatisés, le ministre -voire le Premier ministre -se rend sur place pour manifester sa compassion et promettre qu’à l’avenir cela ne se reproduira pas. Après la fusillade en plein jour à Nice entre bandes de trafiquants, d’armada n’a pas failli à la tradition. Un petit tour sur place, des mesurettes et la promesse que tout va changer. La vérité,  c’est que l’État de droit a disparu depuis longtemps dans certains quartiers sensibles abandonné complètement à l’économie de drogue et à l’insécurité. Une nouvelle fois les propos du ministre paraissent bien désuets  “L’ensemble des élus et tous les citoyens sont partout chez eux en République. Il n’y a pas de zones de non-droit, il n’y a pas d’endroits où on ne va pas en République”, a déclaré Darmanin devant la presse.

“Je viens là où la police fait son travail, parfois un travail difficile, reprendre des mètres carrés aux trafiquants de drogue qui empoisonnent la vie des quartiers.”

Gérald Darmanin a précisé que le Premier ministre Jean Castex se rendrait samedi dans la métropole de la Côte d’Azur, accompagné de lui-même et du ministre de la Justice Eric Dupond-Moretti, et qu’il “ferait des annonces” dans le domaine de la sécurité.

Après la Fusillade sur les Champs-Elysées, risque sur la campagne

Après la Fusillade sur les Champs-Elysées, risque sur la campagne

 

Trois candidats ont fort justement annulé leurs déplacements pour vendredi : Macron, Le Pen et Fillon  Il s’agit d’une attaque terroriste qui devrait interroger les Pouvoirs publics sur la poursuite de la campagne. Des menaces pèsent clairement et notamment lors des meetings dont les conditions de sécurité sont très approximatives. Pour preuve, les incidents concernant notamment Fillon et Le Pen où des opposants se sont approchés des candidats pour manifester leur mécontentement.  Il serait sans doute peu responsable d’autoriser les meetings dans les conditions dans lesquelles ils se déroulent actuellement. Ce serait prendre un grand risque que d’attendre un nouvel acte de terrorisme pour prendre des décisions assurant une réelle sécurité. Le caractère terroriste de l’acte commis sur les Champs-Élysées ne fait en effet plus aucun doute. L’assaillant faisait l’objet d’une « fiche S » des services de renseignements, selon une source policière, que ne confirme pas à ce stade le ministère de l’Intérieur, ni le parquet de Paris. L’organisation djihadiste EI a revendiqué dans la soirée cette attaque via son canal habituel de communication, l’agence Amaq. Un policier a été tué et deux autres ont été blessés, l’un sérieusement, l’autre plus légèrement. Cet événement est survenu à la fin d’une campagne présidentielle déjà marquée cette semaine par l’arrestation de deux hommes, à Marseille, soupçonnés d’avoir planifié des attentats imminents. Le 18 mars, un homme a été abattu dans l’aérogare d’Orly, au sud de Paris, en agressant des soldats de l’opération Sentinelle.




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