Archive pour le Tag 'funérailles'

Société-Funérailles de Navalny: Le courage de Russes face à la couardise d’Européens

Société-Funérailles de Navalny:  Le courage de Russes face à la couardise d’Européens

En dépit de la dictature, des menaces et de la répression criminelle, des milliers de Russes n’ont pas hésité à affronter le pouvoir en participant aux obsèques d’Alexis Navalny. Le risque n’est pas mince. Les participants peuvent être interpellés, emprisonnés et condamnés y compris à vie. Voire assassinés en prison.

Ce courage exceptionnel est à mettre en parallèle avec la couardise de nombreux d’Européens et de leurs dirigeants y compris en France. En effet dans notre pays la plupart des responsables politiques ont d’emblée écarté l’hypothèse d’une éventuelle présence de troupes européennes en Ukraine oubliant que la mort de la démocratie en Ukraine contaminerait l’Europe du Nord et de l’Est et  de l’Ouest. Finalement la même couardise et l’esprit de Munich qui prévalait au moment des premières invasions Hitler. Avec en plus le retour à l’individualisme confortable qui permet d’ignorer les valeurs sociétales communes.

Plusieurs milliers de partisans d’Alexeï Navalny se sont rassemblés pour lui rendre hommage dans l’église. Selon le rite orthodoxe, le corps du principal adversaire de Vladimir Poutine a été brièvement exposé dans l’église, en présence notamment de ses parents. L’opposant russe, mort le 16 février à l’âge de 47 ans dans une prison de l’Arctique, a ensuite été enterré au cimetière de Borissovo à Moscou, entouré d’une partie de ses proches, a constaté l’AFP.

La foule réunie près du cimetière a scandé « Non à la guerre ! » en signe de protestation à l’assaut russe déclenché il y a plus de deux ans contre l’Ukraine. « Il n’avait pas peur et nous n’avons pas peur ! », ont encore lancé les sympathisants de Navalny, malgré un important dispositif policier dans la zone. « Nous ne pardonnerons pas ! », ont-ils aussi crié.

Dans la journée, les forces de l’ordre ont procédé à au moins 128 interpellations dans 19 villes russes, au cours de rassemblements en hommage à l’ancien militant anticorruption, selon l’ONG spécialisée OVD-Info.

Société- «Funérailles vertes» : le Modem pour le «compostage humain»

Société- «Funérailles vertes» : le Modem pour le «compostage humain»

Face à la crise systémique grave que vit le pays, la vice-présidente MoDem de l’assemblée nationale n’a rien trouvé de mieux que de proposer le « compostage humain « pour permettre des « funérailles vertes ».On peut légitimement se demander si l’intéressée et ceux qui la soutiennent n’ont pas fait un usage un peu immodéré des opioïdes ou s’ils n’ont pas fumé la moquette de l’Assemblée nationale.

Il paraît de plus en plus évident que le parti de François Bayrou s’ennuie de plus en plus dans une majorité qui d’ailleurs l’ignore. Et lui d’ailleurs ne fait pas grand-chose en termes d’innovation et de dynamique politique.

Plutôt que d’enterrer les humains à des fins de compostage, il serait sans doute préférable d’enterrer une réforme des retraites inefficace et injustesen même temps que l’ignorance crasse et condescendante de représentants de la majorité qui ignorent tout des réalités socio-économiques. Élodie Jacquier-Laforge a donc récemment déposé une proposition de loi pour expérimenter les «funérailles vertes». Une méthode interdite en France et controversée.

Il s’agit d’un «procédé naturel et écologique, qui ne porte pas atteinte à la dignité», fait valoir la vice-présidente centriste de l’Assemblée nationale, qui a déjà défendu cette initiative par voie d’amendement en 2021, sans succès. Dans son texte, enregistré le 31 janvier au Parlement, elle appelle à une «réflexion nationale» sur le sujet.

Autorisé dans six États américains, le «compostage humain» – aussi appelé «humusation» – consiste à accélérer la décomposition du corps du défunt. Celui-ci est alors placé dans un linceul biodégradable, une boîte en acier inoxydable ou une boîte en bois, avec des matières organiques – copeaux de bois, herbe, paille… Les os sont broyés. Après une période de plus d’un mois, la matière est restituée aux proches.

Cette option se révèle économique et écologique, soutiennent ses partisans. Fabrication du cercueil, transport, entretien, produits polluants comme le formol pour préserver les corps… Les méthodes traditionnelles sont «extrêmement polluantes», soulignent les signataires de la proposition de loi : «la crémation dégage près de 3% des émissions annuelles de CO2 d’un citoyen, l’inhumation quatre fois plus». À les entendre, le «compostage humain» aurait aussi le mérite de répondre au manque de place dans les cimetières.

«Funérailles vertes» : le Modem pour le «compostage humain»

«Funérailles vertes» : le Modem pour le «compostage humain»

Face à la crise systémique grave que vit le pays, la vice-présidente MoDem de l’assemblée nationale n’a rien trouvé de mieux que de proposer le « compostage humain « pour permettre des « funérailles vertes ».On peut légitimement se demander si l’intéressée et ceux qui la soutiennent n’ont pas fait un usage un peu immodéré des opioïdes ou s’ils n’ont pas fumé la moquette de l’Assemblée nationale.

Il paraît de plus en plus évident que le parti de François Bayrou s’ennuie de plus en plus dans une majorité qui d’ailleurs l’ignore. Et lui d’ailleurs ne fait pas grand-chose en termes d’innovation et de dynamique politique.

Plutôt que d’enterrer les humains à des fins de compostage, il serait sans doute préférable d’enterrer une réforme des retraites inefficace et injustesen même temps que l’ignorance crasse et condescendante de représentants de la majorité qui ignorent tout des réalités socio-économiques. Élodie Jacquier-Laforge a donc récemment déposé une proposition de loi pour expérimenter les «funérailles vertes». Une méthode interdite en France et controversée.

Il s’agit d’un «procédé naturel et écologique, qui ne porte pas atteinte à la dignité», fait valoir la vice-présidente centriste de l’Assemblée nationale, qui a déjà défendu cette initiative par voie d’amendement en 2021, sans succès. Dans son texte, enregistré le 31 janvier au Parlement, elle appelle à une «réflexion nationale» sur le sujet.

Autorisé dans six États américains, le «compostage humain» – aussi appelé «humusation» – consiste à accélérer la décomposition du corps du défunt. Celui-ci est alors placé dans un linceul biodégradable, une boîte en acier inoxydable ou une boîte en bois, avec des matières organiques – copeaux de bois, herbe, paille… Les os sont broyés. Après une période de plus d’un mois, la matière est restituée aux proches.

Cette option se révèle économique et écologique, soutiennent ses partisans. Fabrication du cercueil, transport, entretien, produits polluants comme le formol pour préserver les corps… Les méthodes traditionnelles sont «extrêmement polluantes», soulignent les signataires de la proposition de loi : «la crémation dégage près de 3% des émissions annuelles de CO2 d’un citoyen, l’inhumation quatre fois plus». À les entendre, le «compostage humain» aurait aussi le mérite de répondre au manque de place dans les cimetières.

Politique-Election Présidentielle 2022 : les funérailles du parti socialiste

Politique-Election Présidentielle 2022 : les funérailles du parti socialiste

L’élection présidentielle de 2022 pourrait bien représenter une sorte de funérailles pour le parti socialiste qui va connaître sans doute le sort de son ancêtre la SFIO et disparaître du paysage politique.

Il est clair qu’avec un score autour de 2 %, le parti socialiste ne peut rester en l’état de mort clinique. D’ores et déjà,  on s’agite dans la coulisse et par exemple François Hollande qui a largement contribué à discréditer le parti qui l’a a conduit à l’Élysée s’imagine à nouveau en successeur de Mitterrand pour ramasser ce qui reste et recréer une dynamique à gauche.

Le problème c’est que ce sont les mêmes qui ont coulé le parti socialiste depuis 40 ans qui revendiquent une légitimité pour le redresser.

La dégringolade a commencé depuis longtemps. Depuis exactement l’époque de Mitterrand auquel on reconnaît quelques qualités mais qui évidemment n’a jamais été socialiste et deux ans après son élection a  tourné le dos complètement à ses orientations.

Le parti socialiste n’a jamais réussi à tuer les vipère installées en son sein c’est-à-dire celles représentées par les technocrates, les bobos et les arrivistes. Convaincus  de représenter la classe ouvrière et les couches moyennes, les dirigeants du parti socialiste ont toujours manifesté le plus grand mépris pour ces catégories sociales. Des catégories sociales complètement absentes des instances dirigeantes et encore davantage évidemment du gouvernement.

En outre avec en plus des contradictions internes d’autres bobos marxistes et même communistes aussi coupés des réalités sociales que les autres mais qui prêchaient la révolution ! Une posture surréaliste qui a largement participé à coulé l’inefficace Hollande.

*Au cours d’un dîner « secret » mercredi soir entre Anne Hidalgo, Martine Aubry, François Hollande et d’autres figures du Parti socialiste aurait abordé la recomposition de la gauche et du PS, sans convier son premier secrétaire, Olivier Faure. Révélé par Le Monde, ce dîner ne semble être que le dernier épisode d’une crise au sein des cadres du parti.

Le feuilleton de la mésentente socialiste continue donc  : mercredi soir, Anne Hidalgo dînait à la questure du Sénat, un dîner officieux organisé par Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Palais du Luxembourg, en compagnie plusieurs figures socialistes : la maire de Lille Martine Aubry, la maire de Nantes Johanna Rolland, directrice de la campagne d’Anne Hidalgo, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, et aussi François Hollande. Selon Le Monde, l’ex-Premier ministre Bernard Cazeneuve était aussi convié, mais n’était pas disponible.

Un dîner de travail, oui, mais pas vraiment destiné à organiser les dernières minutes de la campagne présidentielle , à seulement quelques jours du premier tour. L’ordre du jour aurait plutôt été centré sur l’avenir du Parti socialiste, et de la gauche, après une campagne présidentielle qui semble avoir scellé le destin du PS tel qu’il fonctionne actuellement. Selon Le Monde , les participants à ce dîner veulent envisager une large recomposition dans un « nouveau mouvement social-démocrate qui dépasserait le PS », et qui pourrait jusqu’à aller chercher des écologistes, communistes et des radicaux de gauche. Bref la vision mitterrandienne dans une troisième version qui connaîtra le même sort que les deux précédentes si elles sont conduites par ceux qui ont déjà détournél’objet du parti socialiste soit par leur collusion avec les pouvoirs financiers, soit au contraire par l’irresponsabilité de leur posture pseudo révolutionnaire de bobo.

 

PS, 2% ou les funérailles du parti socialiste

PS, 2% ou les funérailles du parti socialiste

L’élection présidentielle de 2022 pourrait bien représenter une sorte de funérailles pour le parti socialiste qui va connaître sans doute le sort de son ancêtre la SFIO et disparaître du paysage politique.

Il est clair qu’avec un score autour de 2 %, le parti socialiste ne peut rester en l’état de mort clinique. D’ores et déjà,  on s’agite dans la coulisse et par exemple François Hollande qui a largement contribué à discréditer le parti qui l’a a conduit à l’Élysée s’imagine à nouveau en successeur de Mitterrand pour ramasser ce qui reste et recréer une dynamique à gauche.

Le problème c’est que ce sont les mêmes qui ont coulé le parti socialiste depuis 40 ans qui revendiquent une légitimité pour le redresser.

La dégringolade a commencé depuis longtemps. Depuis exactement l’époque de Mitterrand auquel on reconnaît quelques qualités mais qui évidemment n’a jamais été socialiste et deux ans après son élection a  tourné le dos complètement à ses orientations.

Le parti socialiste n’a jamais réussi à tuer les vipère installées en son sein c’est-à-dire celles représentées par les technocrates, les bobos et les arrivistes. Convaincus  de représenter la classe ouvrière et les couches moyennes, les dirigeants du parti socialiste ont toujours manifesté le plus grand mépris pour ces catégories sociales. Des catégories sociales complètement absentes des instances dirigeantes et encore davantage évidemment du gouvernement.

En outre avec en plus des contradictions internes d’autres bobos marxistes et même communistes aussi coupés des réalités sociales que les autres mais qui prêchaient la révolution ! Une posture surréaliste qui a largement participé à coulé l’inefficace Hollande.

*Au cours d’un dîner « secret » mercredi soir entre Anne Hidalgo, Martine Aubry, François Hollande et d’autres figures du Parti socialiste aurait abordé la recomposition de la gauche et du PS, sans convier son premier secrétaire, Olivier Faure. Révélé par Le Monde, ce dîner ne semble être que le dernier épisode d’une crise au sein des cadres du parti.

Le feuilleton de la mésentente socialiste continue donc  : mercredi soir, Anne Hidalgo dînait à la questure du Sénat, un dîner officieux organisé par Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Palais du Luxembourg, en compagnie plusieurs figures socialistes : la maire de Lille Martine Aubry, la maire de Nantes Johanna Rolland, directrice de la campagne d’Anne Hidalgo, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, et aussi François Hollande. Selon Le Monde, l’ex-Premier ministre Bernard Cazeneuve était aussi convié, mais n’était pas disponible.

Un dîner de travail, oui, mais pas vraiment destiné à organiser les dernières minutes de la campagne présidentielle , à seulement quelques jours du premier tour. L’ordre du jour aurait plutôt été centré sur l’avenir du Parti socialiste, et de la gauche, après une campagne présidentielle qui semble avoir scellé le destin du PS tel qu’il fonctionne actuellement. Selon Le Monde , les participants à ce dîner veulent envisager une large recomposition dans un « nouveau mouvement social-démocrate qui dépasserait le PS », et qui pourrait jusqu’à aller chercher des écologistes, communistes et des radicaux de gauche. Bref la vision mitterrandienne dans une troisième version qui connaîtra le même sort que les deux précédentes si elles sont conduites par ceux qui ont déjà détournél’objet du parti socialiste soit par leur collusion avec les pouvoirs financiers, soit au contraire par l’irresponsabilité de leur posture pseudo révolutionnaire de bobo.

 

Election Présidentielle 2022 : les funérailles du parti socialiste

Election Présidentielle 2022 : les funérailles du parti socialiste

L’élection présidentielle de 2022 pourrait bien représenter une sorte de funérailles pour le parti socialiste qui va connaître sans doute le sort de son ancêtre la SFIO et disparaître du paysage politique.

Il est clair qu’avec un score autour de 2 %, le parti socialiste ne peut rester en l’état de mort clinique. D’ores et déjà,  on s’agite dans la coulisse et par exemple François Hollande qui a largement contribué à discréditer le parti qui l’a a conduit à l’Élysée s’imagine à nouveau en successeur de Mitterrand pour ramasser ce qui reste et recréer une dynamique à gauche.

Le problème c’est que ce sont les mêmes qui ont coulé le parti socialiste depuis 40 ans qui revendiquent une légitimité pour le redresser.

La dégringolade a commencé depuis longtemps. Depuis exactement l’époque de Mitterrand auquel on reconnaît quelques qualités mais qui évidemment n’a jamais été socialiste et deux ans après son élection a  tourné le dos complètement à ses orientations.

Le parti socialiste n’a jamais réussi à tuer les vipère installées en son sein c’est-à-dire celles représentées par les technocrates, les bobos et les arrivistes. Convaincus  de représenter la classe ouvrière et les couches moyennes, les dirigeants du parti socialiste ont toujours manifesté le plus grand mépris pour ces catégories sociales. Des catégories sociales complètement absentes des instances dirigeantes et encore davantage évidemment du gouvernement.

En outre avec en plus des contradictions internes d’autres bobos marxistes et même communistes aussi coupés des réalités sociales que les autres mais qui prêchaient la révolution ! Une posture surréaliste qui a largement participé à coulé l’inefficace Hollande.

*Au cours d’un dîner « secret » mercredi soir entre Anne Hidalgo, Martine Aubry, François Hollande et d’autres figures du Parti socialiste aurait abordé la recomposition de la gauche et du PS, sans convier son premier secrétaire, Olivier Faure. Révélé par Le Monde, ce dîner ne semble être que le dernier épisode d’une crise au sein des cadres du parti.

Le feuilleton de la mésentente socialiste continue donc  : mercredi soir, Anne Hidalgo dînait à la questure du Sénat, un dîner officieux organisé par Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Palais du Luxembourg, en compagnie plusieurs figures socialistes : la maire de Lille Martine Aubry, la maire de Nantes Johanna Rolland, directrice de la campagne d’Anne Hidalgo, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, et aussi François Hollande. Selon Le Monde, l’ex-Premier ministre Bernard Cazeneuve était aussi convié, mais n’était pas disponible.

Un dîner de travail, oui, mais pas vraiment destiné à organiser les dernières minutes de la campagne présidentielle , à seulement quelques jours du premier tour. L’ordre du jour aurait plutôt été centré sur l’avenir du Parti socialiste, et de la gauche, après une campagne présidentielle qui semble avoir scellé le destin du PS tel qu’il fonctionne actuellement. Selon Le Monde , les participants à ce dîner veulent envisager une large recomposition dans un « nouveau mouvement social-démocrate qui dépasserait le PS », et qui pourrait jusqu’à aller chercher des écologistes, communistes et des radicaux de gauche. Bref la vision mitterrandienne dans une troisième version qui connaîtra le même sort que les deux précédentes si elles sont conduites par ceux qui ont déjà détournél’objet du parti socialiste soit par leur collusion avec les pouvoirs financiers, soit au contraire par l’irresponsabilité de leur posture pseudo révolutionnaire de bobo.

 

Présidentielle 2022 : les funérailles du parti socialiste

Présidentielle 2022 : les funérailles du parti socialiste

L’élection présidentielle de 2022 pourrait bien représenter une sorte de funérailles pour le parti socialiste qui va connaître sans doute le sort de son ancêtre la SFIO et disparaître du paysage politique.

Il est clair qu’avec un score autour de 2 %, le parti socialiste ne peut rester en l’état de mort clinique. D’ores et déjà,  on s’agite dans la coulisse et par exemple François Hollande qui a largement contribué à discréditer le parti qui l’a a conduit à l’Élysée s’imagine à nouveau en successeur de Mitterrand pour ramasser ce qui reste et recréer une dynamique à gauche.

Le problème c’est que ce sont les mêmes qui ont coulé le parti socialiste depuis 40 ans qui revendiquent une légitimité pour le redresser.

La dégringolade a commencé depuis longtemps. Depuis exactement l’époque de Mitterrand auquel on reconnaît quelques qualités mais qui évidemment n’a jamais été socialiste et deux ans après son élection a  tourné le dos complètement à ses orientations.

Le parti socialiste n’a jamais réussi à tuer les vipère installées en son sein c’est-à-dire celles représentées par les technocrates, les bobos et les arrivistes. Convaincus  de représenter la classe ouvrière et les couches moyennes, les dirigeants du parti socialiste ont toujours manifesté le plus grand mépris pour ces catégories sociales. Des catégories sociales complètement absentes des instances dirigeantes et encore davantage évidemment du gouvernement.

En outre avec en plus des contradictions internes d’autres bobos marxistes et même communistes aussi coupés des réalités sociales que les autres mais qui prêchaient la révolution ! Une posture surréaliste qui a largement participé à coulé l’inefficace Hollande.

*Au cours d’un dîner « secret » mercredi soir entre Anne Hidalgo, Martine Aubry, François Hollande et d’autres figures du Parti socialiste aurait abordé la recomposition de la gauche et du PS, sans convier son premier secrétaire, Olivier Faure. Révélé par Le Monde, ce dîner ne semble être que le dernier épisode d’une crise au sein des cadres du parti.

Le feuilleton de la mésentente socialiste continue donc  : mercredi soir, Anne Hidalgo dînait à la questure du Sénat, un dîner officieux organisé par Patrick Kanner, président du groupe socialiste au Palais du Luxembourg, en compagnie plusieurs figures socialistes : la maire de Lille Martine Aubry, la maire de Nantes Johanna Rolland, directrice de la campagne d’Anne Hidalgo, Carole Delga, présidente de la région Occitanie, et aussi François Hollande. Selon Le Monde, l’ex-Premier ministre Bernard Cazeneuve était aussi convié, mais n’était pas disponible.

Un dîner de travail, oui, mais pas vraiment destiné à organiser les dernières minutes de la campagne présidentielle , à seulement quelques jours du premier tour. L’ordre du jour aurait plutôt été centré sur l’avenir du Parti socialiste, et de la gauche, après une campagne présidentielle qui semble avoir scellé le destin du PS tel qu’il fonctionne actuellement. Selon Le Monde , les participants à ce dîner veulent envisager une large recomposition dans un « nouveau mouvement social-démocrate qui dépasserait le PS », et qui pourrait jusqu’à aller chercher des écologistes, communistes et des radicaux de gauche. Bref la vision mitterrandienne dans une troisième version qui connaîtra le même sort que les deux précédentes si elles sont conduites par ceux qui ont déjà détournél’objet du parti socialiste soit par leur collusion avec les pouvoirs financiers, soit au contraire par l’irresponsabilité de leur posture pseudo révolutionnaire de bobo.

 

Covid Royaume-Uni : un pot festif de Boris Johnson la veille des funérailles du prince Philip

Covid Royaume-Uni : un pot festif de Boris Johnson la veille des funérailles du prince Philip

Boris Johnson se rapproche de plus en plus de la sortie en effet un pot festif a été organisé à Downing Street résidence du Premier ministre la veille des funérailles du prince Philip. Une nouvelle révélation  du journal The Telegraph,  qui s’ajoute à d’autres montrant le caractère irresponsable et irrévérencieux de Boris Johnson.  Ce dernier de plus en plus critiqué au sein même de sa majorité pourrait bien être amené à démissionner de son poste.

 

En cause aussi sa piètre gestion du brexit qui jusque-là n’a pas donné les résultats escomptés et notamment créer une vaste pagaille des approvisionnements.

Enfin la politique sanitaire est également particulièrement contestée puisque le Royaume-Uni fait parti des pays les plus touchés avec des mesures très contradictoires d’une part, très laxiste d’autre part qui ont grandement favorisé les contaminations

La République en marche : bientôt les funérailles

La République en marche : bientôt les funérailles

Rien ne va plus dans ce pseudo parti de la république en marche. Un pseudo parti puisqu’il ne compte pas de militants ou de responsables et que tout repose sur le référent départemental, sorte de préfet du parti. Les défaites succédant aux défaites électorales, le parti vient de changer 70 préfets sur 130 afin de tenter de renouveler ces responsables sortis de nulle part et recrutés pour la plupart sur Internet.

 

Ces « préfets » du mouvement, comme ils sont surnommés, sont désignés par le siège national pour une durée de trois ans. Ceux remplacés aujourd’hui étaient donc arrivés aux manettes au début du quinquennat, voire avant l’élection d’Emmanuel Macron, à une époque où les marcheurs imaginaient encore que la bienveillance pouvait changer à elle seule le pays.

A seize mois de la prochaine présidentielle, un changement de cap s’impose. « Les référents passent du rôle de moteur à celui d’exécutant », résume Philippe Peruchon, qui vient de passer la main en Indre-et-Loire.

À noter que la désignation des nouveaux responsables d’une structure à la fois baroque et centralisée. En effet cette tâche incombe aux 12 membres de la « commission nationale des talents », parmi lesquels l’ex-ministre Sibeth Ndiaye et Jean-Marc Borello, délégué général adjoint de LREM.

En fait les prochaines élections locales (départementales et régionales) devraient constituer une sorte de funérailles pour le parti en marche qui devra changer de nom, de contenus et de dynamique si Macron veut être réélu. Adieu donc le recrutement par Internet et vivent les accommodements avec les partis classiques pour réunir les forces !

Primaire PS : un vote de funérailles

Primaire PS : un vote de funérailles

 

Le vote de la primaire socialiste pourrait bien prendre la forme d’uen cérémonie de funérailles. D’après  les récents sondages, il semblerait que la mobilisation soit faible  pour des élections primaires qui ne présentent qu’un intérêt accessoire puisqu’il s’agit surtout de préparer le projet congrès socialiste et non de prétendre pour une qualification aux présidentielles. En effet dans toutes les hypothèses, le candidat socialiste n’obtiendra que la cinquième position au premier tour des présidentielles. Si Valls est élu il pourrait flirter avec les 10 % mais si,  comme probable, c’est  Benoît Hamon ou Montebourg,  il faudra alors se contenter de 7 %. Ce serait alors l’enterrement du parti socialiste. Le vote au primaire de la gauche constituant alors une sorte de préliminaire. Aucun candidat à cette primaire n’émerge réellement pour redonner une dynamique à un parti socialiste envoie d’obsolescence. Au-delà des présidentielles le danger le plus inquiétant est celui d’une quasi-disparition des députés socialistes. Des députés socialistes qui sont aujourd’hui 250 dans l’hémicycle mais qui pourraient se retrouver à 50 voire 30. Cela d’autant plus qu’Emmanuel Macron a d’entrée a fixé les règles : le ralliement tout de suite c’est-à-dire avant le 29 janvier et sans condition et surtout pas d’accord avec les appareils. Avec aussi la promesse de faire émerger 50 % de candidats nouveaux, ce qui élimine d’autant les candidats socialistes des circonscriptions visées. On voit mal ce qui pourrait mobiliser les sympathisants socialistes pour se déplacer à cette primaire où la seule idée à peu près nouvelle est complètement utopique et dangereuse à savoir le fameux revenu universel de Benoît Hamon (qui viendrait suppléer la disparition du travail)  et dont on ne sait pas comment il serait remboursé financer sauf à faire prendre en compte notre dette par les Allemands comme le propose aussi Benoît Hamon !  

Rapport Gallois, préparation des funérailles

Rapport Gallois, préparation des funérailles

Faute de politique industrielle, le gouvernement comptait sur le rapport Gallois ; Ce rapport est une véritable bombe, il prend le contrepied de ce que dit et fait le gouvernement. Alors plusieurs ténors de la majorité se sont relayés ce week-end pour rappeler qu’elles n’engageront en rien le gouvernement et le président. «Le rapport Gallois est un élément qui sera extrêmement sérieux mais ce n’est pas le seul point de vue qui compte», a minimisé Michel Sapin. Le ministre du Travail a ainsi rappelé que le Haut Conseil au financement de la protection sociale a été mandaté pour faire un état des lieux puis un rapport sur le sujet pour début 2013. «Le gouvernement tranchera à ce moment-là», a-t-il assuré. Même mise à mal par ­Jacques Attali. «La compétitivité ne se réduit pas à la baisse des charges sociales mais c’est l’innovation, la recherche, le goût du risque», a insisté l’ancien sherpa de François Mitterrand et auteur de deux célèbres rapports sur la croissance.  «Le pouvoir d’achat, c’est très important, mais nous ne voulons pas de réforme qui, dans un contexte difficile pour le pouvoir d’achat, brutalise la société française», a pour sa part prévenu Pierre Moscovici, le ministre de l’Économie et des Finances, en réponse à une hausse nécessaire mais impopulaire de la CSG pour compenser un transfert de cotisations patronales. Un avis partagé par Marisol Touraine, la ministre de la Santé, qui a déclaré dimanche ne pas être favorable à un transfert de cotisations qui «amènerait un choc pour nos concitoyens». Elle a qualifié d’«Arlésienne du moment» le rapport attendu de l’ancien patron d’EADS. «Indépendamment du rapport, il y a un débat sur la possibilité d’un choc de compétitivité», a dit la ministre lors de l’émission BFM Politique/Le Point/RMC Info. «Aujourd’hui notre pays est dans une situation de redressement», a-t-elle rappelé. Concernant le financement de la protection sociale, «nous pouvons réfléchir à ce que les cotisations sociales n’augmentent pas d’avantage, ce qui passe pas des économies de structure, et (…) nous pouvons travailler sur un paquet de mesures fiscales (taxes environnementales, comportementales) (…)», a ajouté la ministre. Louis Gallois a toutefois reçu un appui. Et de taille, de Carlos Ghosn. «Si nous voulons créer des emplois et si nous voulons que l’industrie n’émigre pas de manière massive hors de France, nous avons besoin de réduire les charges qui pèsent sur le travail», a rappelé le patron de Renault. «Il faut traiter ce problème, on n’a pas besoin d’un rapport de plus», a-t-il juré.  Jean-Marc Ayrault réunit cet après-midi ses principaux ministres pour une première réunion sur le ­sujet.

 

 




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