Archive pour le Tag 'fumé'

Macron chantant dans les rues a-t-il fumé la moquette

Macron chantant dans les rues a-t-il fumé la moquette

À peine la loi retraite promulguer, Macon n’a rien trouvé de mieux que d’aller chanter avec un groupe d’individus plutôt fachos.
On peut se demander si Macrno a un jour pris la dimension de sa fonction avec un tel comportement d’ado irresponsable. Évidemment personne n’imagine De Gaulle, Pompidou ou Mitterrand allant chanter dans les rues pour se faire bien voir de la jeunesse.

Le président de la République Emmanuel Macron a été aperçu lundi soir dans les rues de Paris en train de chanter une chanson aux côtés d’un groupe de jeunes, a appris BFMTV auprès de l’entourage du chef de l’État, confirmant une information du HuffPost.

Le chant repris par le président et les jeunes qui l’entourent est Le Refuge, un chant traditionnel des Pyrénées, ici repris par un groupe soutenant le Projet Canto, un projet controversé visant à « sauvegarder, faire vivre et transmettre la mémoire du chant populaire et traditionnel » Y compris des chants hitlériens.

La vidéo a été particulièrement partagée et commentée par des sympathisants de l’extrême-droite à l’instar de Stanislas Rigault – président de Génération Z et proche d’Éric Zemmour – sans que les jeunes qui aient interpellé le président soient forcément identifiés comme étant de cette mouvance.

Fiscalité carburant : la Cour des comptes a aussi fumé la moquette

Fiscalité carburant : la Cour des comptes a aussi fumé la moquette

 

En cette fin de décembre, le prix du carburant tend vers des records ( et ce n’est pas fini eu égard aux orientations de l’OPEP). Cela influence t-il pour autant la transition économique ? Nullement;  pourtant la Cour de comptes vient d’affirmer que la taxe carbone devait être rétablie sur le carburant., en clair qu’il fallait encore augmenter les prix de l’essence.  La  Cour des Comptes bénéficie en général d’une bonne image de marque quant à ses capacités d’expertise sur les données financières du pays. Par contre, quand elle s’éloigne parfois de son champ  habituel d’intervention, elle a un peu tendance à fumer la moquette car ses analyses sont trop partielles, trop superficielles . Témoin la  prise de position de la Cour des Comptes pour rétablir la « taxe carbone »-« La France ne peut faire autrement si elle veut atteindre ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre, » explique un rapport. Ces  « experts »  resservent donc le plat  de cette fiscalité. Une taxe  qui serait de nature à favoriser  la transition écologique. Une vision fiscaliste de l’environnement. L’ingénierie fiscale française est en effet sans limite, une pathologie qui touche toutes les sensibilités politiques, tous les technocrates, tous les écolos. Pour résumer, il s’agit de soigner le monde carboné par la saignée fiscale. Le remède radical des médecins de Molière qui guérissaient les malades, lesquels  mourraient de la thérapie de choc. Il est évident qu’en tuant l’économie française on aura aussi fait disparaître le carbone,  à un détail près : on aura reporté les émissions polluantes sur d’autres pays car il faudra bien toujours consommer… (Et accessoirement payer, mais avec quelle richesse ?).  En mal de reconnaissance, les économistes qui ont été presque tous nourris au lait du néo libéralisme ont donné une légitimité pseudo scientifique à la taxe carbone. Il s’agit d’abord d’une récupération indécente d’une question sociétale qui ne peut évidemment être seulement et prioritairement régulé par la fiscalité et les prix. Le signal prix cher aux économistes ultra libéraux constitue une sorte de récupération par les mécanismes de marché de la problématique environnementale. L’argumentation consiste à affirmer qu’il convient de limiter les émissions polluantes en leur donnant un prix afin de favoriser la seule régulation marchande. Si l’économie de marché est encore la meilleure chose (ou la moins pire) pour équilibrer l’offre et la demande,  il en va différemment lorsqu’il s’agit des champs sociétaux environnementaux. Certes on peut comprendre l’absolue nécessité d’une transition écologique notamment dans le domaine du transport. Encore faudrait-il qu’il existe une alternative pour permettre le changement de comportement. Or une politique des transports ne peut se conduire que sur le long terme pour  développer à la fois les transports collectifs, le concept du véhicule individuel et son utilisation. En l’absence de ces conditions,  la fiscalité dite écologique se réduit à un impôt classique qui au demeurant vient en plus affecter  le pouvoir d’achat, donc la croissance et l’emploi. Notons aussi que ces mesures carburant touche surtout les moins favorisés qui ne peuvent pas disposer d’une liberté d’horaire pour prendre un autre moyen de transport que leur véhicule individuel. Il y a évidemment d’autres moyens de réguler que l’arme de la fiscalité et des prix : la régulation par les normes et le développement système alternatif. Mais dans le contexte actuel des transports,  la fiscalité écologique constitue une fumisterie environnementale qui n’a d’autre objet que de donner une fausse légitimité scientifique à un impôt qui va se perdre dans le trou du budget. Faudrait-il rappeler aux économistes que leur science, certes utile,  n’est pas très exacte, qu’elle est même souvent approximative. Quant à celle de la cour des comptes, elle se limite –et ce n’est pas rien- aux comptes financiers du pays.

 

Affiche scolaire avec une mère voilée : La FCPE a fumé la moquette

Affiche scolaire avec une mère voilée : La FCPE a fumé la moquette

 

 

Nombre de responsables se demandent si la Fédération des conseils de parents d’élèves (FCPE) qui a récemment diffusé une affiche de campagne défendant le droit pour les mères voilées de participer à des sorties scolaires n’a pas fumé la moquette. Cette fédération de parents d’élèves marquée à gauche semble sans doute ignorer que le foulard n’est nullement un symbole de liberté individuelle ou religieuse mais une sorte de porte-drapeau idéologique pour servir les théories extrémistes d’activistes proches des Frères musulmans et du wahhabisme de l’Arabie Saoudite. La même démarche que celle qui consiste à réclamer le droit se baigner entièrement habillé dans les piscines. Le port du voile n’a en effet rien de religieux. Pour preuve aucun texte ne le prévoit et pendant des centaines et des centaines d’années jusque dans les années 70 pratiquement personne ne le portait, ni en France ni dans les pays musulmans.

Jean-Michel Blanquer, a jugé ce mardi «regrettable» cette campagne. «Il faut avoir le sens de l’histoire. Cette fédération de parents d’élèves a été fondée sur la laïcité donc c’est extrêmement paradoxal. Je pense que c’est une erreur de leur part, j’espère qu’ils vont la corriger», a-t-il déclaré. Le ministre a ensuite enfoncé le clou: «C’est un tout petit peu inquiétant ; il y a des élections de parents d’élèves dans quelques semaines, le fait qu’on ait maintenant des organisations qui essayent de flatter le communautarisme pour avoir des voix n’est pas une bonne chose», a-t-il ajouté, demandant à la FCPE de «corriger» cette «erreur».




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol