Archive pour le Tag 'front'

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Européennes : un Belge tête de liste au PS … et un Russe au Front National ?

Européennes : un Belge tête de liste au PS … et un Russe au Front National ?

Une bien curieuse cuisine se prépare pour les européennes car cette élection constitue un piège pour la plupart des formations politiques. Premier élément, on s’attend comme d’habitude à une abstention record, du coup les résultats dépendent en partie de la participation. Second élément, ces élections ne semblent pas constituer un enjeu majeur pour les électeurs, du coup ils en profitent assez souvent pour exprimer des mécontentements qui n’ont pas toujours à voir avec les européennes. Même le parti majoritaire en marche pourrait être sanctionné. Mais ce pourrait aussi être le cas pour des parties fragilisés comme le parti socialiste, les Républicains ou le Front National. Dans ces trois derniers partis, aucun grand leader ne veut d’ailleurs prendre le risque d’être en tête de liste. Mais le parti socialiste a trouvé la combine, un belge pourrait être liste du Parti socialiste aux prochaines élections européennes de mai 2019. Cette piste étudiée par Olivier Faure, et révélée mardi par Le Figaro, a été confirmée mercredi par Paul Magnette, le bourgmestre de Charleroi. «Oui, j’ai bien reçu une proposition du PS français, avec un certain étonnement je l’avoue, car ils me proposent la première place sur leur liste européenne, pas moins», a-t-il déclaré à nos confrères du journal Le Soir. Les citoyens européens peuvent candidater à ce scrutin dans un autre pays que le leur. Comme Marine Le Pen ne souhaite pas essuyer une nouvelle défaite politique, elle aussi refuse pour l’instant d’être en tête de liste du Front National. Pourquoi dès lors ne pas envisager un candidat russe, à défaut un candidat hongrois ou polonais puisque la Russie ne fait pas parti de l’union européenne. Pour les républicains on pourrait suggérer la candidature d’un proche de Trump ayant la double nationalité américaine et française, ce qui serait cohérent avec les positions antieuropéennes de Laurent Vauquiez ! !

Mélenchon : retour vers 1936 avec le Front populaire !

Mélenchon : retour vers 1936 avec le Front populaire !

 

Mélenchon qui voulait déjà faire un bond en arrière d’environ deux siècles avec sa proposition de constituante, cette fois recule de près de 80 ans avec l’idée de reconstituer un front populaire. Il y a cependant uen différence de taille entre 1936 et maintenant. En 36,  le front populaire regroupait toutes les forces de gauches. Or le front de Mélenchon regrouperait uniquement les gauchistes. Historiquement, le Front populaire est une coalition de partis de gauche, qui a gouverné la France de mai 1936 à avril 1938 et dont les importantes réformes sociales demeurent une des références de l’histoire politique française. Des formations politiques de gauche, dont LFI et le Parti communiste, et des syndicats comme la CGT, la FSU, Solidaires et l’organisation étudiante UNEF, ont appelé à manifester le 26 mai dans toute la France, afin de constituer une “marée populaire” contre la politique du chef de l’Etat, Emmanuel Macron.

“Je milite pour une forme d’unité populaire qui décloisonne le syndicalisme, la politique et le monde associatif”, a  expliqué Mélenchon. “Nous avons besoin de faire une démonstration de la profondeur de l’enracinement du refus de la société libérale.” “Nous pouvons, sur la base d’expériences de cette nature, avoir pour objectif la construction d’un front populaire en France, qu’on appellera sans doute le Front populaire”, a ajouté Jean-Luc Mélenchon.

Marseille front social de gauche : entre 6000 ou 58000 manifestants ?

Marseille front social de gauche : entre 6000 ou  58000 manifestants ?  

C’est la tradition à Marseille, l’évaluation des manifestants varient de 1 à 10 selon qu’elles émanent des syndicats ou de la police. Du cou, p tout ce qu’on peut dire c’est qu’il y avait des milliers de personnes à la manif de Mélenchon. Pas une grande victoire de mobilisation mais une manif quand même, à peine du niveau de participation habituelle.  Plusieurs milliers de personnes ont ainsi défilé samedi à Marseille à l’appel d’un collectif d’une quinzaine de syndicats, de partis et d’associations lors d’une marche “Stop à Macron” à laquelle a participé le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon. Plusieurs milliers de personnes ont défilé samedi à Marseille à l’appel d’un collectif d’une quinzaine de syndicats, de partis et d’associations lors d’une marche « Stop à Macron » à laquelle a participé le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon.  “Les syndicats ont pris l’initiative d’une mobilisation, quelque chose d’exemplaire que je souhaite voir reproduit dans tout le pays”, a dit le député de Marseille, estimant que cette manifestation n’était “qu’une étape à l’intérieur d’un cycle long de mobilisation”.  “Clairement, il y a une volonté d’envoyer un message et de faire baisser le niveau des tensions sociales dans le pays”, a-t-il ajouté. Le leader de La France insoumise a défilé en tête de la manifestation, qui a réuni 58.000 personnes selon la CGT, la police évoquant 6.000 manifestants. L’ex-candidat du NPA à l’élection présidentielle, Philippe Poutou, était également présent dans un cortège où les slogans hostiles au chef de l’Etat ont été nombreux. “On a l’impression qu’il s’est installé dans un rôle provocant et agressif qui ne permet de régler aucun problème”, a affirmé Jean-Luc Mélenchon. Le député communiste Pierre Dharréville a pour sa part exhorté Emmanuel Macron à ne pas “brutaliser la société” et à ne plus s’attaquer au “bien commun”. “Il faudra bien qu’il nous entende et qu’il arrête de nous faire la leçon, c’est insupportable”, a résumé Jean-Luc Mélenchon.

Front national : changement de nom ou de propriétaire ?

Front national : changement de nom ou de propriétaire ?

 

Pour justifier le changement de nom du Front National, Marine Le Pen  évoque la nécessité d’en faire un parti de gouvernement. Au-delà du changement de nom, il pourrait s’agir d’un changement de propriétaire de l’organisation. Jusque-là le Front National conservait un lien historique avec Jean-Marie Le Pen. En appelant le Front National « Marine «, comme c’est probable, ce serait une espèce de changement de propriété. Un changement de propriété d’autant plus nécessaire que Marine Le Pen  se trouve pour la première fois contestée dans son rôle à incarner la responsable d’un éventuel parti du gouvernement. Il ne faut pas oublier non plus que le Front National est surtout une affaire familiale les intérêts personnels sont très liés à ceux du parti. Une manière peut-être aussi pour Marine Le Pen de bétonner l’organisation pour empêcher sa nièce Marion Maréchal Le Pen d’en prendre un jour la direction. Marine Le Pen s‘est donc  prononcée dimanche pour un changement du nom de la formation d‘extrême droite afin d‘illustrer sa transformation en “parti de gouvernement”. “Je suis plutôt pour un changement de nom”, a-t-elle dit lors d‘une conférence de presse à Alençon (Orne) dans le cadre de la tournée pour la “refondation” du Front national qu‘elle a entamée à la rentrée de septembre. “Le Front national va devenir un autre mouvement, un mouvement qui s‘ouvre, un mouvement qui va faire des alliances, et par conséquent il faut acter cette transformation d‘un parti d‘opposition en parti de gouvernement et l‘acter notamment par le changement de nom”, a-t-elle dit. Alors que RTL a rapporté cette semaine que 80% des adhérents du Front national étaient hostiles à un tel changement dans le cadre de la consultation menée fin 2017 par le parti, Marine Le Pen a indiqué que “nous n‘avons pas encore dépouillé assez de questionnaires pour tirer une tendance de fond”. ”Je comprends bien qu‘on ait de l‘attachement pour un mouvement politique mais un mouvement politique n‘est qu‘un outil et, s‘il faut changer de non pour que cet outil soit plus performant, alors changeons le nom !, a-t-elle encore déclaré.

Front national : »sortir de la tambouille interne» (Philippot)

Front national : »sortir de la tambouille interne» (Philippot)

Mis en demeure par Marine Le Pen de clarifier sa situation,  Florian Philippot a refusé de quitter la présidence de son courant « les patriotes ».  Sur le fond, il a même indiqué qu’il serait prêt à partir si le Front National abandonnait la sortie de l’euro. Au-delà de la bataille d’ego des différents lieutenants de Marine Le Pen ce qui se joue au Front National c’est la priorité à accorder respectivement au problème économique et au problème identitaire. Mise en défaut sur les questions économiques,  Marine Le Pen semblerait vouloir privilégier désormais la dimension identitaire et mettre en veilleuse les questions économiques notamment la sortie de l’euro. Pour cela on demande à Florian Philippot de clarifier sa position.  « Ce qu’il faudrait clarifier pour le coup, ce serait qu’on sorte de la tambouille interne et qu’on soit extrêmement audible sur le fond face à Macron », a lancé un Florian Philippot offensif sur France Inter. Une réplique sans ambiguïté à Marine Le Pen. La députée avait déclaré vendredi dans Le Parisien que « oui », Florian Philippot devait « clarifier sa situation » actuelle puisqu’il était à la fois vice-président du FN et à la tête de sa propre association, « Les Patriotes ».  »Bien évidemment, je ne quitterai pas la présidence des Patriotes », a tranché l’énarque lundi. Il a même précisé ne « pas savoir » ce que lui demandait Marine Le Pen. « Ma position est extrêmement claire », a-t-il encore assuré.  »Je dirige une association [..] qui vise à la refondation, qui travaille [...] Ce n’est pas une opposition. Il y a déjà eu et il y a encore actuellement d’autres vice-présidents qui dirigent des associations », a poursuivi le vice-président du FN. Un clin d’oeil au « Club idées nation » présidé par Louis Aliot mais aussi peut-être à « Générations Le Pen », qui avait été lancé par Marine Le Pen en 2002 au sein du FN.  »Ce qui ne serait pas clair, c’est que nous ne soyons plus sûrs de nos convictions. Soyons sûrs de nos convictions sur l’Union européenne », a par ailleurs défendu Florian Philippot, répétant qu’il quitterait le parti s’il abandonnait la sortie de l’euro dans son projet. « Je ne vois pas pourquoi elle (Marine Le Pen, NDLR) ferait cela. Mais bon, si elle veut faire cela, écoutez oui, ce sera sans moi », a-t-il dit sur France Inter. Le secrétaire général du FN Nicolas Bay a estimé que l’association des Patriotes donnait « le sentiment qu’elle organise de façon un peu distincte, en doublonnant un peu, la procédure de refondation qui se mène à l’intérieur du Front national ».  »Il peut y avoir des associations qui gravitent à la périphérie du mouvement. Là, dans le cas précis c’est une association qui a un peu les caractéristiques (…) d’un parti politique », a-t-il déclaré.

FO pour un front commun syndical, pour quoi faire ?

FO pour un front commun syndical, pour quoi faire ?

 

FO souhaiterait un front commun au plan syndical pour s’opposer aux orientations du gouvernement qui vise à décentraliser le dialogue social au plan des entreprises. Finalement une sorte de front du refus pour demeurer dans l’immobilisme. On voit mal comment se front pourrait ce constituer et surtout perdurer en l’état des positions très opposées des organisations. Certes sur certains points l’union pourra se faire mais fondamentalement les idéologies respectives sont trop différentes pour une coopération durable des fédérations syndicales. Il y a d’un côté les syndicats réformistes ouverts à des transformations sociales et de l’autre des syndicats opposés à toute évolution. D’un côté les syndicats étatistes comme la CGT et FO, syndicat crypto marxistes et de l’autre des syndicats progressistes. Des syndicats  fortement divisés depuis les mobilisations contre la loi Travail du précédent quinquennat entre les organisations dites contestataires – la CGT et FO – et les organisations dites réformistes – la CFDT, la CFTC et l’Unsa – devraient mettre leurs désaccords de côté. Le front commun éventuel pourra cependant se faire sur la défense des prérogatives des branches qui donnent leur légitimité aux puissantes fédérations qui négocient notamment les conventions collectives. En défendant les prérogatives des branches,  les confédérations défendent en fait les fédérations. Reste à savoir si cette ligne de défense boutiquière pourra durer longtemps. Jean-Claude Mailly et son homologue de la CFDT Laurent Berger, par exemple, ne se parlaient plus depuis septembre 2015 lors de la réforme sur les retraites complémentaires, et n’ont repris le dialogue qu’à l’automne dernier. Ils essaient donc de mettre leurs désaccords de côté et s’appellent pour définir ensemble les « lignes rouges » que le gouvernement ne devrait pas franchir, selon Jean-Claude Mailly. Parmi celles-ci, la possibilité pour les dirigeants d’entreprise de consulter leurs salariés par référendum pour décider d’un accord qui n’aurait pas pu être conclu avec les délégués syndicaux. « C’est du court-circuitage », explique Jean-Claude Mailly. « Ça veut dire que vous remettez en cause un principe démocratique qui est que les syndicats sont les structures de négociation. » Le gouvernement n’en a pas fait l’annonce, mais le sujet avait été abordé par Emmanuel Macron dans son programme. Les organisations syndicales comptent également demander au gouvernement que les partenaires sociaux puissent décider ensemble des thèmes qu’ils pourraient « verrouiller » au niveau de la branche. Cela signifie que ces thèmes ne pourraient pas être négociés en entreprise, sauf si les employés en retirent des bénéfices supplémentaires. Bref le contraire de ce que souhaitait macro y proposait dans sa campagne une inversion des normes, c’est-à-dire la suprématie des accords d’entreprise sur les accords de branche.

Front national : l’écu, le sou, le franc ou l’euro ?

 

 

La bataille est engagée au sein du Front National pour savoir s’il faut ou non abandonner l’euro pour gagner enfin les élections. Ce que résume un « brillant »  économiste du FN de manière fort simpliste « Je fais un constat. Ça fait deux présidentielles où on parle de la sortie de l’euro. On sait que l’euro est déjà mort, tout le monde le sait. On est là comme lanceurs d’alerte. Mais manifestement, les électeurs ont rejeté en bloc la question ». Reste à savoir si ce brillant expert conseille  le retour au franc, à l’écu ou au  sou puisque l’euro serait déjà mort.  Et le député Gilbert Collard, autre expert économique d’ajouter   »Pour nous, la question de l’euro, c’est terminé, le peuple a fait son référendum dimanche dernier. Pourtant Philippot et Marine Le Pen maintiennent  la ligne qui consiste à proposer un futur monétaire orienté vers le passé.  Marine Le Pen  en effet propose de restaurer l’écu et le franc. Bref un petit voyage rétrospectif vers le Moyen Âge. L’écu a été utilisé un moment comme unité de compte entre 79 et 2000 en Europe ;  par contre sa véritable origine remonte à 1202 sous Louis IX et il a subsisté pendant des siècles. Le franc lui aussi est très ancien  Les premiers francs furent frappés à Compiègne en 1360 pour payer la rançon du roi Jean II. Les choix sémantiques du front national ne sont sans doute pas un hasard, ils traduisent la nostalgie du passé. Pourtant,  c’est sur le plan économique et surtout monétaire que la proposition du Front National est la plus contestée. En effet seulement de l’ordre  30 % des Français approuvent la suppression de l’euro. Ils ont évidemment raison car en l’état des équilibres de la France,  le retour à une monnaie nationale se traduirait inévitablement par une dévaluation d’au moins 20 % avec une inflation au moins équivalente surtout avec les promesses de nouvelles dépenses. En clair et pour simplifier le pouvoir d’achat s’écroulait d’environ 20 %. La croissance et  l’emploi avec. En fermant les frontières, en surtaxe en les échanges voire en les empêchant on se demande bien à qui on vendrait nos biens actuellement exportés comme la construction aéronautique, aérospatiale, ferroviaire, automobile, ou encore les produits agricoles ou le BTP. Le programme économique du Front National est évidemment complètement surréaliste et même au sein de ce parti. Pas étonnant, perspective rebute même une grande partie de l’électorat de Marine Le Pen. Le Front National revient sans doute sur ses propositions économiques et monétaires parce qu’elles sont particulièrement incomprises et incohérentes. Comme la campagne de François Fillon, la campagne de Marine Le Pen piétine et d’une certaine façon s’enfonce dans ses contradictions. Pas surprenant quand on mélange des mesures économiques étatistes, nationalistes,  corporatistes et xénophobes. Sur le terrain économique en tout cas les grandes  orientations paraissent pour le moins incongrues et hors sol. Certes on ne peut nier l’audience du front national mais  il s’agit surtout d’une adhésion protestataire comme celle dont bénéficient les syndicats gauchistes ou corpos. D’ailleurs le Front National dans sa philosophie et plus proche d’un syndicat que d’un parti politique à ambition gouvernementale. Une sorte de néo poujadisme qui additionne fantasmes, peurs et revendications de type moyenâgeux. La réaffirmation récente de ces propositions monétaires aura du mal à convaincre.  Marine Le Pen a en effet évoqué mercredi l’idée d’introduire une simple monnaie commune européenne, sur le lointain modèle de l’écu, coexistant avec une nouvelle devise franco-française après la disparition de l’euro qu’elle appelle de ses vœux. Son parti, le Front national, fait campagne de longue date pour une sortie de la monnaie unique, nuisible selon lui à l’économie française, alors même que cette perspective rebute notamment l’électorat âgé, celui qui lui fait le plus défaut. Mais l’abandon de l’euro ne reviendrait pas pour autant à rompre les amarres avec les autres pays européens, assure la candidate d’extrême droite, qui invoque l’exemple de l’unité de compte en vigueur de 1979 jusqu’en 1999. « L’écu a toujours existé avec une monnaie nationale (…) Qu’il puisse y avoir une coexistence entre une monnaie nationale et une monnaie commune n’a aucune conséquence sur la vie quotidienne des Français », a-t-elle déclaré. Marine Le Pen a également évoqué à cette occasion le système monétaire européen, un autre dispositif d’avant l’euro, qui servait à limiter les fluctuations entre monnaies. « Un serpent monétaire, je pense que c’est quelque chose qui apparaît raisonnable ».  Mais un serpent qui pourrait bien être le poison qui limite les ambitions électorales.

Front National : divisions autour de l’euro

Front National : divisions autour de l’euro

 

 

Indiscutablement le Front national a perdu de nombreuses voix avec sa proposition de sortir de l’euro et de rétablir le franc. Du coup, deux  camps  s’affrontent : ceux  toujours pour  l’abandon de la monnaie unique et ceux  qui pour des raisons électorales sont prêts à enterrer  ce qui faisait le cœur du programme de Marine Le Pen. Le choix est cornélien. Si  pour des raisons électorale, le Front National se résout au maintien de l’euro, il risque de se banaliser et de ne plus se distinguer des autres partis saufs sur les dimensions identitaires. Ce qui se joue c’est aussi la place de Florian Philippot dont le souverainisme excessif constituerait un frein à la progression du front national pour certains. Florian Philippot a déclaré jeudi qu’il quitterait le Front national si le parti abandonnait sa proposition d’abroger la monnaie unique, au coeur des controverses internes depuis la défaite de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle. Le clivage s’est accentué depuis dimanche au sein du parti d’extrême droite, où certains jugent que le discours anti-euro de la candidate lui a coûté cher face à Emmanuel Macron et plaident pour une inflexion de toute urgence, voire un aggiornamento. Le sujet est même devenu un casus belli, à en croire le vice-président du FN, par ailleurs proche conseiller de Marine Le Pen, qui s’est exprimé sur RMC. Prié de dire s’il resterait au FN dans l’hypothèse d’une volte-face sur l’euro, Florian Philippot a répondu : « Non. Je ne suis pas là pour garder un poste à tout prix et défendre l’inverse de mes convictions profondes. » « Mais je ne crois pas un seul instant qu’un parti qui défend la nation, la France, dans sa grandeur, dans son indépendance, dans sa souveraineté renonce à un combat qui est essentiel », a poursuivi le député européen, venu au FN en 2011 par attachement au souverainisme. Florian Philippot n’est pas le seul sur cette ligne au sein de l’appareil, qui a fait de l’opposition à l’Union européenne l’un de ses marqueurs depuis les années 1980. « Il n’y a pas de remise en cause de notre position là-dessus », a par exemple dit à Reuters le directeur du Front national de la jeunesse, Gaëtan Dussausaye. « Sans souveraineté monétaire, il n’y a pas de vraie politique de compétitivité ou de protection de notre modèle social. » Jean Messiha, qui a supervisé la rédaction du programme présidentiel, estime pour sa part qu’un revirement du FN le disqualifierait « définitivement ». Mais, pour d’autres, la promesse d’un abandon de la monnaie unique relève de la cause perdue. « Pour nous, la question de l’euro, c’est terminé, le peuple a fait son référendum dimanche dernier. Marine doit entendre ce message », selon le député Gilbert Collard, cité dans l’édition de jeudi du Parisien. Un point de vue partagé par le maire de Béziers Robert Ménard, proche du FN, et des cadres qui n’hésitent plus à s’exprimer publiquement, comme Pascal Gannat, chef de file du parti au conseil régional des Pays-de-Loire. Selon un sondage Ifop pour Le Figaro et la Fondation Robert-Schuman paru fin mars, près de trois quarts des Français (72%) se déclarent hostiles à une disparition de la monnaie unique.

 

Le Front républicain insuffisant parce que les Français ont oublié la guerre

Le Front républicain insuffisant parce  que les Français ont oublié la guerre

 

 

Il est clair que le front républicain ne rencontre plus l’adhésion massive aussi bien dans les organisations politiques démocratiques que chez les responsables et les citoyens. Un des facteurs explicatifs tient dans le fait que la plupart des Français ont oublié la guerre et le fascisme. Les derniers témoins directs de la montée des nationalismes qui a amené à la guerre la plus sanglante de l’histoire ont aujourd’hui autour de 100 ans. Du coup beaucoup se sont endormis dans le confort de la démocratie considérant celle-ci comme acquise définitivement alors qu’elle n’est que le produit d’un combat permanent. Or  cette démocratie est menacée par le parti fascisant de Marine Le Pen qui par exemple veut faire une croix sur la responsabilité du gouvernement de l’époque concernant la rafle du Vel’ d’Hiv’ mais cette démocratie est également menacée par les gauchistes qui rêvent d’un régime politique de type bolivarien où la dictature du peuple aurait davantage de légitimité que le choix des urnes. Bref le retour du communisme.  Pour preuve la dérive des lycéens qui ont participé à des manifestations violentes pour refuser le choix entre Le Pen et macro. « Ni Marine, Ni Macron. Ni patrie, Ni patron », tel était le mot d’heures de ses lycéens violents qui auraient pu ajouter « ni démocratie ». D’une certaine manière cette démocratie est minée en France par les extrêmes qui ont par ailleurs de nombreux points communs saut sur certaines thématiques sociétales et encore car le souverainisme se trouve souvent teinté de nationalisme. Si la France et l’Europe ont pu enregistrer autant de progrès économique en 50 ans davantage que pendant  des siècles et des millénaires,  c’est essentiellement grâce à une longue période de paix et de démocratie. Une paix qui pourrait bien être menacée par la montée des nationalismes dans plusieurs pays européens.  Tous les nationalismes ont toujours conduit soient à la guerre, soit à la dictature, soit aux deux. De ce point de vue responsables politiques et mêmes citoyens manquent de culture et de mémoire. Les années 30 ont été en grande partie oubliées. C’est sur une crise économique, sur la détérioration sociale qu’ont pu se développer les populismes transformés rapidement en nationalismes et qui ont finalement abouti à la guerre et aux dictatures. La défiance légitime vis-à-vis des du système politique de certains de leurs représentants ne saurait cependant justifier l’oubli de l’histoire.

 

Front national : la direction KO après le débat

Front national : la direction KO après le débat

 

Nombre de membres de la direction sont encore ko debout  après la défaite de Marine Le Pen lors du débat avec Macron.  D’un coup, tout s’est  écroulé ;  la bulle médiatique du parti extrême a explosé. Elle a d’abord révélé l’ignorance de ce parti vis-à-vis des réalités économiques. Elle a mis en évidence l’incohérence totale des orientations  Des orientations irresponsables que n’aurait pas nié le parti communiste dans les années 60 –Le débat a mis au jour le manque de consistance politique de Marine Le Pen. Une Marine Le Pen qui a détruit sa perspective de présidentiable avec  sa grossièreté, sa vulgarité et sa brutalité. Bref le Front National avec son vrai visage utilisant même l’intox  pour discréditer l’adversaire. Ainsi Marine Le Pen a  évoqué un hypothétique compte offshore de Macron en se fondant sur des informations dites d’origine américaine mais alimentées par les sites  Russes anti Macron. Après le dépôt de plainte de Macron, une enquête judiciaire a d’ailleurs été entamée. Après la déroute de Marine Le Pen il faut s’attendre à de sérieuses secousses  au sein national. Entre la tendance par le vice président  Philippot sorte de néo communiste à la sauce fasciste, de l’autre celle incarnée par Marion Maréchal Le Pen qui fait du combat identitaire le socle de son fonds de commerce. Une Marine Le Pen qui a  détruit sa perspective de présidentiable Le second tour de l’élection présidentielle approchant, Marine Le Pen a fait des choix qui ont brouillé son discours et son image, en particulier lors du tumultueux débat avec Emmanuel Macron qui a semé le doute dans ses rangs sur sa stature réelle. Malentendus sur l’euro, plagiat d’un discours de François Fillon et promotion d’un cadre de la première heure accusé de négationnisme : les impairs ont rythmé la fin de campagne après une première semaine d’entre-deux-tours pourtant menée sous le signe du volontarisme et du coup d’éclat tactique. Les instituts de sondages mesurent toutefois un tassement des intentions de vote en sa faveur et, mécaniquement, une remontée d’Emmanuel Macron, crédité de près de 25 points d’avance à deux jours du scrutin. La série noire a commencé avec la nomination de Jean-François Jalkh à la tête du parti d’extrême droite pour assurer l’intérim de Marine Le Pen, en « congé » de la présidence. Aussitôt, la presse a exhumé des déclarations prêtées à ce dirigeant historique mais jusque-là resté dans l’ombre, dans lesquelles il cite les thèses d’un auteur négationniste concernant l’usage de Zyklon B dans les chambres à gaz nazies. A partir du week-end dernier, c’est un pan essentiel du programme – la volonté d’abandonner la monnaie unique européenne – qui a donné lieu à un imbroglio au sommet de la hiérarchie frontiste. L’accord de gouvernement scellé avec Nicolas Dupont-Aignan et révélé le 29 avril précise que cette mesure, sur laquelle Marine Le Pen fonde l’essentiel de son programme économique, n’avait rien d’un « préalable », ouvrant la voie à des interprétations divergentes. Une partie de l’état-major semble avoir déjà fait une croix sur la présidentielle et songe désormais à l’étape suivante, les législatives du mois de juin, la jauge qui permettra d’évaluer la place exacte du parti au cours des cinq prochaines années – à la marge ou au coeur du jeu politique. Au-delà, se pose la question du sort de Marine Le Pen, créditée de 38% des intentions de vote dans un sondage Odoxa publié vendredi. « Si ce résultat se confirme dimanche prochain, ce sera un sérieux coup dur pour Marine Le Pen qui, malgré sa qualification en finale, ne sera pas/plus forcément la mieux placée pour incarner l’opposition à Emmanuel Macron et se mettre en bonne situation pour les législatives », note l’institut.

Le système de détournement des fonds européens par le Front National

Le système de détournement des fonds européens par le Front National

Dans un courrier paru dans le monde les deux juges en charge de l’enquête sur le détournement des fonds européens démontent le système de financement du Front National Selon ce courrier, cité par Le Monde, les investigations menées à ce stade sur une partie des collaborateurs des 24 députés européens du FN « permettent de constater l’absence totale de tout travail d’assistant parlementaire et au contraire un travail effectif au profit du Front national en France ». Les deux magistrats évoquent également dans leur lettre des documents découverts dans le bureau du trésorier du FN, Wallerand de Saint Just. Ces documents révèlent « la volonté du FN de réaliser de substantielles économies au détriment du Parlement européen par la prise en charge par celui-ci de salariés du parti au titre d’assistants parlementaires », écrivent-ils, selon Le Monde. Selon Claire Thépaut et Renaud Van Ruymbeke, « des notes manuscrites saisies, attribuées à Wallerand de Saint Just (font) le lien entre le nombre de députés européens FN et un certain nombre de recettes pour le parti ». Les deux juges réitèrent leur volonté d’entendre Marine Le Pen, candidate du FN à l’élection présidentielle, qui affrontera le 7 mai au second tour l’ex-ministre de l’Economie Emmanuel Macron. Le Monde avait déjà publié en mars un document aux mains de la justice, dans lequel Wallerand de Saint Just s’inquiète d’une hausse des dépenses du FN auprès de Marine Le Pen. Document dont le Front national a contesté l’interprétation qu’en a faite Le Monde. Le Parlement européen estime désormais à près de cinq millions d’euros le préjudice potentiel qu’il a subi dans cette affaire du 1er avril 2012 au 1er avril 2017.

Le Front républicain ne mobilise plus parce que les Français ont oublié la guerre

Le Front républicain ne mobilise plus parce que les Français ont oublié la guerre

 

 

Il est clair que le front républicain ne rencontre plus l’adhésion massive aussi bien dans les organisations politiques démocratiques que chez les responsables et les citoyens. Un des facteurs explicatifs tient dans le fait que la plupart des Français ont oublié la guerre et le fascisme. Les derniers témoins directs de la montée des nationalismes qui a amené à la guerre la plus sanglante de l’histoire ont aujourd’hui autour de 100 ans. Du coup beaucoup se sont endormis dans le confort de la démocratie considérant celle-ci comme acquise définitivement alors qu’elle n’est que le produit d’un combat permanent. Or  cette démocratie est menacée par le parti fascisant de Marine Le Pen qui par exemple veut faire une croix sur la responsabilité du gouvernement de l’époque concernant la rafle du Vel’ d’Hiv’ mais cette démocratie est également menacée par les gauchistes qui rêvent d’un régime politique de type bolivarien où la dictature du peuple aurait davantage de légitimité que le choix des urnes. Bref le retour du communisme.  Pour preuve la dérive des lycéens qui ont participé à des manifestations violentes pour refuser le choix entre Le Pen et macro. « Ni Marine, Ni Macron. Ni patrie, Ni patron », tel était le mot d’heures de ses lycéens violents qui auraient pu ajouter « ni démocratie ». D’une certaine manière cette démocratie est minée en France par les extrêmes qui ont par ailleurs de nombreux points communs saut sur certaines thématiques sociétales et encore car le souverainisme se trouve souvent teinté de nationalisme. Si la France et l’Europe ont pu enregistrer autant de progrès économique en 50 ans davantage que pendant  des siècles et des millénaires,  c’est essentiellement grâce à une longue période de paix et de démocratie. Une paix qui pourrait bien être menacée par la montée des nationalismes dans plusieurs pays européens.  Tous les nationalismes ont toujours conduit soient à la guerre, soit à la dictature, soit aux deux. De ce point de vue responsables politiques et mêmes citoyens manquent de culture et de mémoire. Les années 30 ont été en grande partie oubliées. C’est sur une crise économique, sur la détérioration sociale qu’ont pu se développer les populismes transformés rapidement en nationalismes et qui ont finalement abouti à la guerre et aux dictatures. La défiance légitime vis-à-vis des du système politique de certains de leurs représentants ne saurait cependant justifier l’oubli de l’histoire.

 

 

« Le vieux front républicain tout pourri » : la rhétorique d’une fascho vulgaire

 « Le vieux front républicain tout pourri » : la rhétorique d’une  fascho vulgaire

Jusque là peu ont dénoncé la grossièreté et surtout la vulgarité des propos de Marine Le Pen comme si elle bénéficiait d’uen sorte d’immunité intellectuelle et morale (comme l’immunité parlementaire dont elle use pour ne pas se rendre aux convocations de la justice). Finalement les observateurs se sont habitués à la rhétorique de marchande  de poissons et d’une certaine manière’ ont cautionnée. .Une rhétorique simpliste du type » plus c’est gros plus ça passe » et un vocabulaire de bistrot pour incarner la candidate du peuple qui a cependant un peu de mal à faire oublier qu’elle est la riche héritière de Jean-Marie Le Pen. Héritière du nom mais aussi du parti en infraction avec toutes les règles démocratiques et héritière de l’immense fortune de Jean-Marie Le Pen. Comme candidate du peuple, sociologiquement il y a plus pointu. Le vieux front républicain tout pourri est  cependant un principe essentiel dans nos sociétés modernes, il vise à préserver la démocratie et à s’opposer à toute dictature et pouvoir fascisant et raciste.  « Le vieux front républicain tout pourri, dont plus personne ne veut, que les Français ont dégagé avec une violence rare, essaie de se coaliser autour de M. Macron. J’ai presque envie de dire tant mieux ! » , a en effet lancé Mme Le Pen, en visite sur un marché à Rouvroy (Pas-de- Calais). Un marché elle n’a passé que 15 minutes, dommage car c’est là sa vraie place avec son vocabulaire provocateur, indigne et vulgaire. On n’en vient évidemment à regretter le père coutumier lui aussi d’incartades scandaleuses  mais au moins cultivé même si les fondements idéologiques de Jean-Marie Le Pen sont encore davantage condamnables.  Ceci étant,  il est bien difficile d’identifier  avec précision la philosophie de Marine Le Pen qui s’appuie en même temps sur l’étatisme gauchisant de Philippot et la réaction  fascisante de groupuscules d’extrême droite. Des contradictions qui ne semblent ne pas troubler l’’ame de Marine Le Pen dont l’état se nourrit surtout du pouvoir, de l’argent et de la haine.

Front national : mise en examen

Front national : mise en examen

 

C’est la première mise en examen dans l’affaire des emplois fictifs financés par l’union européenne. En effet la chef de cabinet de Marine Le Pen a été Catherine Griset, chef de cabinet de Marine peine, a été mise en examen pour recel d’abus de confiance. D’autre mise en examen pourrait suivre car plusieurs sont impliqués dans cette affaire d’emploi fictif. Une casserole qui n’est sans doute pas la plus grave pour le Front national qui cumule les affaires depuis 2007. Il y a en particulier cette histoire de détournement de fonds publics qui consistait à vendre des kits de campagne (des investitures) via une société écran pour alimenter le micro parti d’abord de Jean-Marie Le Pen puis de Marine Le Pen. Alors qu’on sait  que les frais de campagne sont remboursés par le contribuable. Il n’y avait donc pas lieu de les facturer et en plus de les détourner via des officines. Détournement qui aurait permis aux Le Pen d’acheter aussi des biens immobiliers puisque des fonds de micro parti se sont retrouvés sur les comptes personnels. Évidemment Marine Le Pen, qui réfute les soupçons d’emplois fictifs, dénonce une instrumentalisation de la justice destinée à déstabiliser sa campagne présidentielle. « Les Français savent exactement faire la différence entre des vraies affaires et des cabales politiques », a-t-elle déclaré lors d’un déplacement à Meaux (Seine-et-Marne), avant la mise en examen de sa collaboratrice. Marcel Ceccaldi, l’un des avocats de Marine Le Pen, dénonce lui aussi une « instrumentalisation politique de la justice ». « La perquisition de lundi a eu lieu alors que Marine Le Pen se trouvait au Liban, ce que les autorités judiciaires ne pouvaient ignorer », a-t-il dit à Reuters. Une argumentation assez spécieuse ! « Cette perquisition était un moyen de contourner l’immunité parlementaire de Mme Le Pen et, par ailleurs, constitue une atteinte au libre exercice de sa fonction de présidente de formation politique », a-t-il ajouté. Le rapport de l’Olaf met à mal sa défense, selon Mediapart et Marianne, pour qui la candidate est soupçonnée d’avoir notamment fabriqué un faux contrat de travail pour Thierry Légier. Le garde du corps aurait ainsi été rémunéré par l’UE de septembre à décembre 2009 – 1.620 euros net par mois pour 12 heures de travail par semaine – puis d’octobre à décembre 2011 – près de 7.240 euros net par mois pour un trois quarts temps.

Le Front National veut priver d’école des enfants immigrés

Le Front National veut priver d’école des enfants immigrés

Visiblement bousculé par le radicalisme des positions de François Fillon, le FN sort de son chapeau des mesures particulièrement injustes qui visent des enfants d’immigrés. . Des enfants qui seraient privés de l’école obligatoire et gratuite. Tout cela pour « sauver le système de solidarité nationale ». . Sur le plan économique les économies à attendre de cette proposition seraient très marginales. Elles seraient particulièrement anti sociales, illégales en outre au regard des textes internationaux. On peut comprendre évidemment qu’il faille mieux réguler les flux migratoires mais les enfants ne sont nullement responsables de la situation juridique de leurs parents. Encore une fois ces spropositions  sont purement démagogiques et anecdotiques. Elle confirme en tout cas le caractère relativement improvisé du programme Front National dans sur le plan économique que sur le plan sociétal. Cette attaque contre les enfants et particulièrement inadmissibles Florian Philippot a donc répondu jeudi sur BFMTV à la polémique déclenchée par les derniers propos de Marine Le Pen. La présidente du Front national et candidate à la présidentielle a déclaré devant la presse vouloir mettre fin à la gratuité de l’accès à l’école pour les enfants d’étrangers en situation irrégulière et demander une contribution pour assurer la scolarité des enfants immigrés en situation régulière dont les parents n’ont pas d’activité professionnelle. Face à Olivier Truchot ce jeudi soir, le numéro deux du FN a affirmé que Marine Le Pen souhaitait simplement « l’application de la loi ». Il a aussitôt développé son raisonnement: « Quand vous êtes en situation irrégulière vous n’avez qu’un droit: être reconduit à la frontière. Et ça tranche d’avoir quelqu’un qui dit la loi dans ces temps de laxisme généralisé. » Florian Philippot a voulu justifier cette mesure prônée par le Front national, à même selon lui de « sauver la solidarité nationale ». :

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