Archive pour le Tag 'frère'

Royaume-Uni: Boris Johnson nomme son frère Jo à la Chambre des Lords

Royaume-Uni: Boris Johnson nomme son frère Jo à la Chambre des Lords

Le Premier ministre britannique Boris Johnson a offert à son frère Jo un siège à la Chambre des Lords, une distinction qui échappe en revanche à l’ancien président de la Chambre des communes John Bercow.

Publiée vendredi 31 juillet, la liste des 36 futurs nouveaux membres de la chambre haute du Parlement britannique comporte de nombreux Brexiters. Leur nomination revient officiellement à la reine Elizabeth II.

Jo Johnson, un fervent pro-européen, avait quitté le gouvernement de son frère aîné en septembre dernier en invoquant «l’intérêt national», jugeant trop radicale la stratégie du Premier ministre dans le dossier brûlant du Brexit. La liste comporte également des figures du parti conservateur comme Ken Clarke ou l’ancien ministre des Finances Philip Hammond, qui avaient été exclus, tout comme une vingtaine de frondeurs, après avoir voté avec l’opposition travailliste lors de l’un des nombreux votes sur le Brexit.

L’ancien «speaker» de la Chambre des Communes John Bercow, dont les tonitruants «Order order» lors des mêmes votes sur le Brexit ont fait le tour du monde, ne figure pas sur la liste. Une entorse à la tradition pour ce personnage haut en couleur aux cravates criardes, qui a été accusé de partialité de la part des rangs conservateurs dont il est issu, et qui a été accusé d’avoir harcelé et tyrannisé ses équipes, accusation qu’il dément avec force.

Terrorisme : Younès Abaaoud veut venger son frère

Terrorisme : Younès Abaaoud veut venger son frère

 

Un proche présumé des frères Abaaoud a écrit un message sur Facebook, disant que Younès, le benjamin de la fratrie, était «en route» pour venger son frère Abdelhamid, terroriste des attentats de Paris, tué dans l’assaut du Raid et de la BRI à Saint-Denis le 18 novembre.  Alors que le monde se demandait où était passé Younès Abaaoud, le plus jeune des frères d’Abdelhamid, l’un des organisateurs présumés des attentats du vendredi 13 novembre, l’adolescent refait parler de lui, par l’intermédiaire d’un islamiste sur les réseaux sociaux. Un certain Abu Soufiane Belgikimohajir a écrit, en arabe, sur Facebook: «Abu Omar al-Soussi (le nom de guerre d’Abdelhamid Abaaoud, Ndlr) est mort en martyr, mais son frère est toujours en vie. Nous sommes en route vers vous, adorateurs de la croix.» Le message suggère que le jihadiste de 15 ans est toujours en Syrie. Il est accompagné d’une photo du jeune homme, qui se fait appeler Abu Mansour et apparaît en treillis militaire. Si l’identité de ce soutien de l’Etat islamique et ses liens avec Younès Abaaoud restent à confirmer, le quotidien belge «Het Laatste Nieuws», qui a le premier repéré cette menace, souligne qu’il a de nombreux extrémistes occidentaux parmi ses contacts, y compris Michaël «Younes» Delefortrie, condamné en février dernier à trois ans de prison avec sursis par le tribunal correctionnel d’Anvers pour apologie du terrorisme, après avoir passé six semaines en Syrie. En décembre dernier, «Abu Soufiane» était «ami» avec une sœur Abaaoud. Benjamin de la fratrie de Molenbeek, Younès avait été kidnappé par Abdelhamid et emmené en Syrie début 2014, alors qu’il n’était âgé que de 13 ans. Le garçonnet était alors devenu le plus jeune «lionceau du Califat». Il serait notamment apparu sur une vidéo de l’Etat islamique (EI) en train de décapiter un officier de l’armée syrienne. Omar Abaaoud s’était alors porté partie civile contre son fils aîné et avait déclaré au «Het Laatste Nieuws» qu’il ne lui pardonnerait jamais d’avoir embrigadé son cadet. Abdelhamid avait été condamné par contumace le 29 juillet 2015 à 20 ans de prison, par le tribunal correctionnel de Bruxelles. A l’annonce de la mort d’Abdelhamid, son père s’est effondré : il aurait préféré qu’il soit capturé vivant, dans l’espoir de retrouver Younès. Abdelhamid Abaaoud, 28 ans, était l’homme le plus recherché de Belgique (et d’Europe) jusqu’à ce qu’il soit tué dans l’assaut du Raid et de la BRI à Saint-Denis le 18 novembre. Le ministre français de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a confirmé le mois dernier qu’outre les attaques de Paris et Saint-Denis, qui ont fait 130 morts, Abdelhamid Abaaoud avait été «impliqué dans quatre» des six attentats «évités ou déjoués par les services français depuis le printemps .

Le passé trouble de Mohamed Abdeslam, le frère des deux tueurs

Le passé trouble de Mohamed Abdeslam, le frère des deux tueurs

Le soir des attentats, le frère des deux tueurs de la fratrie Abdeslam, Mohamed s’est largement expliqué dans les médias pour affirmer qu’il était complètement étranger aux attentats et que sa vie témoignait de son comportement de citoyen modèle. La vérité est moins belle puisqu’on apprend 15 jours après les événements tragiques que Mohamed a lui aussi connu un parcours de délinquant pour des actes graves et répétés. Du coup ses déclarations de transparence et de vérité se trouvent  gravement entachées  par l’oubli relatif de son passé. Cela n’en fait pas forcément un coupable mais des interrogations sur les liens avec les deux tueurs sont légitimes. Après sa garde à vue, Mohamed Abdeslam s’était en effet vigoureusement défendu. «J’étais accusé d’actes terroristes (…) mais en aucun cas je n’ai été lié de près ou de loin à une intervention à Paris. Je suis employé communal depuis dix ans, je n’ai jamais eu de problème avec qui que ce soit. Les gens de la commune savent de quoi je suis capable et de quoi je ne suis pas capable. Je n’ai jamais eu d’ennuis avec la justice. J’avais un alibi. (…) Nous sommes une famille ouverte qui n’a jamais eu de problème avec la justice. Mes parents sont sous le choc de la tragédie. Mes deux frères sont normaux, je n’ai jamais rien remarqué», avait-il déclaré Le problème est qu’il a menti. Car il a déjà eu affaire à la justice de son pays. Selon plusieurs médias belges, en 2005, quelques ambulanciers avaient été suspectés de détrousser les défunts lors des transferts vers la morgue ou le funérarium. Le plus souvent, il s’agissait de dépouilles mortelles de personnes âgées. Quatorze braquages post-mortem ont ainsi été recensés.  En 2010, sept personnes ont été renvoyées devant le tribunal correctionnel dans cette affaire dite des «ambulanciers charognards». Parmi elles, Mohamed Abdeslam, alors âgé de 18 ans, sera condamné par défaut à une peine de deux ans de prison avec sursis. Nathalie Gallant, son avocate, a réagi auprès du journal La Dernière Heure, indiquant que son « client a été jugé par défaut. Il a encore la possibilité de faire opposition et reste donc présumé innocent. De plus, les faits remontent à plus de dix ans.» Mohamed Abdeslam a tenté d’éteindre l’incendie auprès de la RTBF, le groupe audiovisuel public belge. Le jeune homme, qui s’exprime très bien face aux caméras, a évoqué une époque où il «ne réfléchissait pas trop». «C’est une affaire qui date de plus de 11 ans et des faits commis à l’âge de 18 ans. J’étais encore un jeune garçon immature et pas très responsable», se défend-il, parlant d’une «grosse erreur de jeunesse».  Le frère de Salah et Brahim Abdeslam prétend ne plus avoir jamais fait parler de lui sur le plan judiciaire.

 

Le frère de Bernadette Chirac en HLM à Paris !

Le frère de Bernadette en  Chirac  HLM à Paris !

La vie est dure pour tout le monde même pour cette famille de bourgeois, sans doute pourquoi le frère de Bernadette Chirac bénéficie d’un HLM cossu mais à prix modéré. C’est le journal Le Monde qui a révélé l’information ce jeudi. Plusieurs proches de Jacques Chirac occupent des appartements HLM de la ville de Paris, pour des prix modiques. C’est le cas du beau-frère de l’ancien chef de l’Etat, Jérôme Chodron de Courcel, le frère de Bernadette Chirac. Selon le journal, il habite un immeuble cossu du Marais, le IVème arrondissement de la capitale. Il y aurait déménagé au début des années 80, à l’époque où Jacques Chirac était le maire de Paris. Non seulement l’immeuble est tranquille, mais les voisins sont de bonne compagnie. Ainsi l’ancien secrétaire d’Etat Pierre Mazeaud, 86 ans aujourd’hui, qui a siégé au gouvernement entre 1974 et 1976. Le Premier ministre s’appelait… Jacques Chirac. Alors que les prix du quartier tournent autour de la trentaine d’euros par mètre carré, ceux des heureux locataires VIP de la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP), culminent à 11 euros par mètre carré. Ces appartements, longtemps gérés par une société d’économie mixte toute dévouée à la chiraquie parisienne, la SAGI, ont été transmis à la RIVP en 2011, sous la pression de la municipalité Delanoë. Ils sont aujourd’hui conventionnés, c’est à dire que leurs loyers restent modérés, ce qui bénéficie aussi aux locataires actuels, puisque la révision des baux n’intervient que tous les six ans. Et encore, le rythme de progression des loyers ne permet pas un réajustement immédiat avec le niveau du parc privé. Il faudra une dizaine d’années. Environ 130.000 personnes attendent un logement social à Paris.




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