Archive pour le Tag 'fréquentation'

Ferroviaire en Europe : hausse de la fréquentation..sauf pour le fret

Ferroviaire en Europe : fausse de la fréquentation..sauf pour le fret

 L’institut européen des statistiques, Eurostat, recense ainsi 429 milliards de voyageurs-kilomètres en train en 2023, contre 386 milliards en 2022 (+11,2%). Concrètement, cela veut dire que l’ensemble des clients du rail ont parcouru 429 milliards de kilomètres, en cumul, à travers l’Union européenne.

Sur son site, Eurostat précise qu’il s’agit du nombre le plus élevé relevé par les principales entreprises ferroviaires européennes depuis le début de la collecte de données il y a dix ans. Dans le détail, sur les 8 milliards de voyageurs ferroviaires enregistrés en 2023 dans l’UE, ils sont 34% à s’être rendu au moins une fois en Allemagne et 15% en France. Le nombre de clients a également augmenté de 29% en Croatie, de 28% en Irlande et 25% au Luxembourg.

 

Le transport de marchandises, lui, enregistre une légère baisse avec 378 milliards de tonnes-kilomètres ferroviaires en 2023, soit un recul de 4,9% par rapport à 2022. Le niveau de 2023 est ainsi le plus bas depuis 2015, selon Eurostat, à l’exception de l’année 2020 marquée par le ralentissement des activités dû au Covid-19. «Les performances du fret ferroviaire ont diminué au cours de tous les trimestres de 2023 par rapport aux mêmes trimestres de 2022, la plus forte baisse étant observée au deuxième (-9,2%) et au troisième trimestre (-7,5%)», conclut l’étude d’Eurostat.

 

Nouvelle baisse de fréquentation de la télévision

Nouvelle baisse de fréquentation de la télévision

 

 

En avril, le temps passé devant le petit écran a sévèrement décroché. Il s’est élevé à 3h27 en moyenne par jour, selon les chiffres de Médiamétrie. Soit 32 minutes de moins qu’il y a un an et 13 minutes de moins qu’en avril 2019, avant la pandémie. Simple trou d’air passager? Pas tout à fait. En mars, la baisse a atteint 22 minutes sur un an et 10 minutes en comparaison avec 2019.

À la rentrée, les audiences avaient eu un coup de mou encore plus sérieux. Au mois d’octobre, les téléspectateurs passaient en moyenne 3h22 devant leur poste. Soit 34 minutes de moins qu’à la même période en 2020.

Observons cependant que le relatifs hau niveau d’audience de la télévision est surtout assuré par la fidélité des téléspectateurs les plus anciens.

Sécurité routière : des incivilités qui augmentent

Sécurité routière : des incivilités qui augmentent

 

Des comportements de plus en plus dangereux et violent indique une enquête menée par l’association Prévention Routière et l’assureur Wakam. Des scènes vont être jouées par des acteurs de théatre de rue à Paris, Lyon, Marseille et Bordeaux pour sensibiliser le public.

Plus de 80% des Français ont déjà vécu une situation désagréable lors d’un trajet et 57% reconnaissent avoir peur de faire face à de telles situations sur la route ou dans la rue, d’après une étude OpinionWay* pour l’association Prévention Routière et l’assureur Wakam.

Parmi les incivilités les plus fréquentes « 45% des Français citent principalement des comportements intentionnellement dangereux (queue de poisson, refus de priorité, non-respect des distances de sécurité…) puis des gestes d’impatience manifestes (34%) ou encore des gestes obscènes (29%) et des insultes (20%). Pire, 6% d’entre eux déclarent avoir été incités à se battre et 10% des femmes déclarent avoir été victimes de propos misogynes ou sexistes », note le communiqué relayant cette enquête.

 

 

 

Fréquentation des centres commerciaux en baisse

Fréquentation des centres commerciaux en baisse

 

 

La cinquième vague endémique aura porté un nouveau coup d’arrêt à la fréquentation des centres commerciaux. Nombres de consommateurs ont tendance à changer leur comportement pour éviter trop de promiscuité. Un phénomène qui touche les centres commerciaux mais aussi l’hôtellerie et la restauration. Ainsi dans la restauration, on constate aussi un certain changement des les habitudes chez certains consommateurs mêmes si parallèlement la vente à emporter se développe.La question qui se pose est de savoir si ce tassement sera uniquement conjoncturel ou s’il ne provoquera pas des modifications plus structurelles avec par exemple pour certains produits davantage d’achat via Internet.

 

La fréquentation des commerces spécialisés des métropoles reste loin de son niveau pré-épidémique, d’après la fédération d’enseignes Procos lundi, qui s’inquiète des conséquences du télétravail obligatoire sur la fréquentation des magasins et des restaurants.

A l’approche de la période des soldes, qui débutent le 12 janvier, Procos estime que « tous les centres commerciaux, les grandes rues marchandes situées à proximité de lieux à forte concentration de bureaux, ainsi que les gares des grandes villes sont très fortement touchés, avec une fréquentation en baisse de -30 à -40% » depuis la propagation de la vague du variant Omicron, par rapport à son niveau de 2019.

Par  rapport à 2019, l’activité des magasins reste en 2021 en recul dans l’ensemble du commerce spécialisé (-8,7%), avec des résultats inégaux selon les secteurs.

La chaussure a chuté de 20,3%, le secteur des jouets, des jeux, de la culture et des loisirs de 13,6%. Pour la beauté et la santé la baisse est de 14,4% quand l’habillement a vu ses résultats baisser de 12,5%.

La branche qui a le mieux résisté à la crise est l’équipement pour la maison (+11,4%).

« Gilets jaunes » : la fréquentation du commerce a rebondi de 6% avant Noël

« Gilets jaunes » : la fréquentation du commerce a rebondi de 6% avant Noël

Il est clair que le mouvement des gilets jaunes a perturbé certains commerces mais aussi l’organisation logistique des processus de production et de distribution. En fait il semblerait que le commerce ait rebondi de 6 % avant Noël. Après un repli de 17% le samedi 8 décembre ou encore de 14% le samedi 24 novembre, journées de mobilisation des « gilets jaunes », la fréquentation est repartie à la hausse dans les centres commerciaux. Ceci étant on fait endosser sans doute aux gilets jaunes une baisse qui ne leur est pas totalement imputable. En effet la baisse de la consommation des ménages s’inscrit dans une tendance baissière bien avant le mouvement des gilets jaunes et depuis le début de l’année. . Les derniers résultats de la consommation des ménages sont catastrophiques et signifie un écroulement de la croissance pour la fin de l’année  2018 et l’année 2019. La consommation des ménages en France (2/3 du PIB)  s’est repliée de 0,3% en novembre, sous l’effet d’une baisse de l’alimentaire (-0,5%) et des biens fabriqués (-0,6%), tandis que la progression de la consommation d’énergie a ralenti à 0,7%, a annoncé vendredi l’Insee.  La consommation des biens durables s’est repliée « nettement » de 1,1%, tirée vers le bas par les matériels de transport, tandis que les dépenses d’habillement ont très légèrement diminué (-0,1%). Les instituts économiques de l’État ont mis du temps pour s’apercevoir du net tassement économique de la France en 2018. Ce n’est qu’il y a quelques jours que la Banque de France a enfin convenu que l’objectif de 1,7 % d’augmentation du PIB en 2018 était illusoire. De même que les objectifs de 2019. La perspective de 2018 est ramenée à 1,5 %., celle de 2019 à 1.3%. La vérité c’est que cette consommation des ménages atones ne tire plus la croissance dont elles représentent les deux tiers. Ceci étend il y a quand même un phénomène de rattrapage juste avant Noël.  »Juste avant Noël, les consommateurs ont retrouvé le chemin des pôles commerciaux, qu’ils soient situés en centre-ville où en périphérie », a déclaré mercredi dans un communiqué Gontran Thüring, délégué général du Conseil national des centres commerciaux (CNCC). Il a souligné qu’ »après cinq week-ends en forte baisse, c’est une bonne nouvelle même si ce rattrapage tardif ne permettra pas de récupérer le chiffre d’affaires qui aurait dû être réalisé sans la crise des gilets jaunes ».

Selon l’organisation professionnelle, son indice – le CNCC/Quantflow, basé sur un comptage automatique réalisé dans 280 centres commerciaux sur les 800 que compte le pays – a enregistré le week-end dernier une hausse de fréquentation plus de 6%, contre un repli de 17% le samedi 8 décembre ou encore de 14% le samedi 24 novembre. Le CNCC avait indiqué la semaine dernière que les cinq week-ends de méventes d’affilée avaient coûté deux milliards d’euros au secteur du commerce.

Magasins: baisse de fréquentation du fait du terrorisme

Magasins: baisse de fréquentation du fait du terrorisme

Contrairement à ce que déclarait Moscovici commissaire européen les attentats ont bien des conséquences économiques en particulier sur le tourisme et sur le commerce. Samedi  Moscovici commissaire européen aux affaires économiques avait affirmé que la croissance n’aura pas à pâtir des attentats. Des affirmations de Moscovici qui relève surtout de la méthode Coué. Dans un entretien à France Inter diffusé samedi, Pierre Moscovici estimait  que les exemples passés en Europe ne laissent pas craindre de rechute économique après ces attaques qui ont fait 130 morts et plus de 350 blessés le 13 novembre. « Je ne crois pas pour ma part que cette croissance soit affaiblie par ce qu’il se produit actuellement, ou menacée », a-t-il dit, alors que le gouverneur de la banque d’Italie, Ignazio Visco, s’est inquiété, lui, d’un poids négatif sur la reprise. La croissance de la zone euro est attendue à 1,6% du PIB cette année, puis à 1,8% en 2016 et 1,9% en 2017, a rappelé Pierre Moscovici. Pour la France, les estimations de la Commission tablent sur 1,1% puis 1,4% et 1,7%. Des prévisions qui pourraient être remises en cause par les conséquences du terrorisme. Par exemple les magasins d’habillement de centre-ville ont enregistré une baisse de fréquentation de 20 à 30% en France depuis les attentats du 13 novembre, a indiqué dimanche Bernard Morvan, président de la Fédération nationale de l’habillement. « On constate une baisse sur les villes partout en France, du Nord au Sud de l’Est à l’Ouest, de 20 à 30% de fréquentation dans les centres-villes », a-t-il déclaré sur RTL. Cette fédération représente 50.000 boutiques indépendantes, dont 6.000 en Ile-de-France.    »Certains magasins peuvent comptabiliser les passages à l’entrée des magasins, on sait donc dire précisément qu’il y a une chute de fréquentation depuis samedi dernier », a-t-il précisé. « Notre besoin c’est que la ville soit sécurisée, que les rues commerçantes soient sécurisées avec plus de présence policière dans les villes », selon lui. Les grands magasins parisiens avaient déjà indiqué jeudi subir une chute de leur fréquentation, de l’ordre de 30% pour le Printemps et de 50% pour les Galeries Lafayette.

SNCF : baisse fréquentation, la hausse de TVA ne va rien arranger

SNCF : baisse fréquentation, la hausse de TVA ne va rien arranger

La baisse de fréquentation est générale, en cause surtout la crise. La hausse prévue de la TVA en 2014 ne va rien arranger et constitue de ce point de vue une contradiction avec la politique environnementale. L’été n’a pas été bon pour la SNCF. Les voyageurs, qui se ruent sur les petits prix du TGV, délaissent les voitures de premières classes. Résultat: les recettes de la branche Voyages – qui comprend les TGV – ont reculé de 1,7% au dernier trimestre (de juin à septembre). Elles s’étaient déjà repliées de 1,2% au premier semestre. L’analyse de la SNCF peut surprendre: les voyageurs d’affaires – pourtant peu nombreux pendant les mois d’été – désertent les premières classes et voyagent à moindre coût. La désaffection des voyageurs serait-elle liée aux catastrophes successives de Brétigny et de Saint-Jacques de Compostelle? La direction financière du groupe ne «voit» pas ce phénomène dans les comptes. Pourtant, il y a quelques jours, Barbara Dalibard, la directrice générale de SNCF Voyages, avait souligné que ces accidents avaient certainement pesé dans le choix des voyageurs, ce qui se traduirait par quelques millions d’euros en moins. Ces mauvaises performances devraient dégrader le niveau de marge de l’activité TGV déjà fragile en raison du poids des péages versés à RFF pour l’utilisation du réseau. En effet le modèle économique du TGV ne fonctionne qu’avec des trains pleins. La baisse de trafic ne concerne pas seulement les TGV. Au cours des neuf premiers mois de l’année, le trafic des trains régionaux (TER) a reculé de 0,5% par rapport à l’an dernier. C’est la première fois que cette activité marque un recul. Même phénomène sur les Transiliens (les trains d’Ile-de-France) où le volume de voyageurs est en retrait de 0,7%. Les trains Intercités (Corail) sont aussi touchés avec une baisse de 6,7% du trafic que le groupe impute aux mauvaises conditions économiques et aussi à la réalisation de travaux importants sur le réseau.




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