Archive pour le Tag 'François Hollande'

Hamon :  » popularité de François Hollande indexée sur la courbe du chômage »

Hamon :  » popularité de François Hollande indexée sur la courbe du chômage »

On ne sait pas si par cette déclaration Hamon défend ou enfonce le gouvernement. Si effectivement la popularité de Hollande est fonction du chômage on comprend mieux qu’il soit dégringolé à 23% et on voit mal avec les mesures fiscales qui plombent l’économie comment il en sera différemment demain. Hamon martèle cependant l’engagement du gouvernement : inverser la courbe du chômage d’ici la fin de l’année. Invité de RTL, Benoît Hamon a fait une prédiction ce lundi matin : « Je pense que la courbe de popularité du président de la République sera indexée à cet engagement-là. » François Hollande est actuellement au plus bas : seuls 23% des Français se disent satisfaits du chef de l’État, selon un sondage Ifop pour le Journal du Dimanche. Pour le ministre, tout se jouera sur le chômage, qui reste selon lui « l’échec de la classe politique depuis 20 ans », la « source pour les Français d’un scepticisme profond ». « Si nous réussissons cet engagement, cela peut aussi changer la nature du rapport entre les Français et les politiques », assure-t-il. Reste que les Français craignent pour leur pouvoir d’achat. Selon une étude du cabinet spécialisé Altavia, dévoilée vendredi par RTL, pour 43% d’entre eux, la fin du mois peut commencer dès la date du 15 ou même avant. « Malgré les difficultés économiques des Français à boucler les fins de mois, on a un niveau de consommation qui reste relativement stable », réagit Benoît Hamon. « Ce qui serait bien c’est que les investissements des entreprises prennent le relais [pour la croissance]. » Le ministre de la Consommation fait part de ses efforts pour « que les prix baissent lorsqu’ils le peuvent ». Benoît Hamon évoque les assurances automobiles, les assurances habitation, la libéralisation des ventes des tests de grossesses. « On joue sur les dépenses qui sont des formes de monopole », affirme-t-il. « Quand vous baissez les prix, vous augmentez le pouvoir d’achat. » Il n’y a pas une réunion du Conseil des ministres pour fixer le prix de la baguette toutes les semainesBenoît Hamon Mais est-ce bien suffisant ? Le gouvernement peut-il réellement avoir un impact sur les prix. « Il n’y a pas une réunion du Conseil des ministres pour fixer le prix de la baguette toutes les semaines, ce n’est pas à l’État de le faire », reconnaît Benoît Hamon, même s’il assure, qu’en additionnant « les sujets les uns après les autres », l’action de l’exécutif peut aider. Le ministre n’est en tout cas pas totalement convaincu par le « modèle allemand ».

François Hollande, encore sur le marché de Tulle ; pour quoi faire ?

François Hollande, encore sur le marché de Tulle ; pour quoi faire ?

 

C’est la énième visite de Hollande à Tulle, la ville dont il fut le maire. Une visite incognito, bien entendu, la preuve c’est qu’il a éprouvé le besoin d’aller serer des mains chez les commerçants et qu’il a été photographié par la presse. De la com.  bien sûr  pour tenter de  prouver sa proximité avec la province profonde qui,comme dirait Batho,  n’espère plus grand-chose de ce gouvernement. La visite, révélée par La Montagne, « est sur le point de se terminer », a indiqué vers 11h45 cette source à l’AFP en confirmant une information révélée par le quotidien. »On n’a pas son programme. C’est un déplacement privé », a-t-on ajouté de même source sans vouloir préciser si le chef de l’Etat resterait pour le déjeuner dans cette ville dont il fut le maire.  Peu avant midi il était encore en train de s’entretenir avec des commerçants et des habitants de Tulle, a-t-on encore précisé de source préfectorale.   »Je suis là de manière amicale. C’est toujours un plaisir de venir à Tulle », a déclaré M. Hollande à deux journalistes locaux venus à sa rencontre sur le marché de la préfecture de Corrèze, selon la Montagne.  Le journaliste du quotidien présent sur le marché a déclaré à l’AFP que le président de la République et ex-président du Conseil général de la Corrèze, était arrivé vers 9h30 sur le marché, serrant de nombreuses mains de touristes et de commerçants.

 

François Hollande, « président économe » à plus de 100 millions de dépenses

François Hollande, « président économe » à plus de 100 millions de dépenses

La Cour des comptes a sans doute voulu se racheter des critiques qu’elle émet régulièrement sur la gestion de l’Etat. Elle félicite Hollande pour la gestion des dépenses de l’Elysée 100 millions au lieu de 110 ; Et les médias de reprendre en cœur la bonne gestion. Sans se poser la question du bon nouveau de dépenses ; en réalité l’Elysée doublonne complètement tous les ministères et constitue un gouvernement bis, pas moins de 900 personnes autour de Hollande ! Sans doute dix fois de trop.  Le rapport complaisant sur les comptes et la gestion des services de la Présidence de la République, rendu public lundi 15 juillet, prend la forme d’un véritable satisfecit de la part des Sages de la rue Cambon. Ces derniers ont en effet décrypté les comptes de l’Elysée, au cours de l’année 2012. Le bilan global est positif : la Cour note ainsi que « le total des charges a diminué de 110,6 millions d’euros en 2011 à 101,6 millions en 2012. » Mais si les efforts avaient été initiés lors du mandat de Nicolas Sarkozy, la Cour des comptes relève que certains ont largement été accentués à partir du 15 mai, date de l’entrée en fonction de François Hollande. Notamment en ce qui concerne « les dépenses de presse (buffets, cars, etc.) », ou « les aménagements audiovisuels ».  Au rayon des économies, les mauvaises langues pourraient y voir un clin d’œil aux tourments judiciaires de Nicolas Sarkozy. La Cour indique en effet que ce dernier avait commandé pour 77.381 euros de sondages, une dépense réduite à néant sous François Hollande. De même, plus de 100.000 euros ont été dépensés en « études » diverses par l’ancien chef de l’Etat. Son successeur, lui, n’en a commandé aucune. Les Sages ont également attribué un bon point à François Hollande pour ses économies lors de ses déplacements. Prenant l’exemple d’un déplacement à Bruxelles, la Cour note ainsi que la décision du président d’utiliser le train en a réduit le coût de près de 22.000 euros, en comparaison avec un voyage effectué en avion, en janvier 2012.  Enfin, l’allègement des dépenses de personnel a ravi la Cour des comptes. Cette dernière estime que la diminution des effectifs, engagée lors du quinquennat précédent, y a grandement participé. Mais également la baisse de salaire consentie par François Hollande lors de sa prise de fonction (de 19.721 à 13.764 euros net mensuels). Au total, l’économie totale sur les dépenses de personnel représente 900.000 euros sur l’année 2012. Autre point, peut-être moins essentiel, relevé par les Sages : le montant des achats de fleurs a été considérablement réduit en 2012, passant de 230.000 à 130.000 euros. Il faudrait sans doute jouter le coût des fleurs  que vient d’adresser la Cour des comptes à Hollande !

 

Espionnage : François Hollande menace ! Du pipeau

Espionnage : François Hollande menace ! Du pipeau

Les menaces de Hollande sur la négociation de libre échange entre l’Europe et les Etats-Unis risquent de rester bien vaines. D’abord parce tous les grands Etats espionnent les autres, la France y compris ; ensuite parce que pour les questions européennes Hollande n’est pas en position d’influencer la politique. .Fleur Pellerin, elle, semblait convaincue, lundi matin, au micro de BFMTVFleur Pellerin l’assurait, à contre-courant des discours répétés depuis samedi : les soupçons d’espionnage des Etats-Unis sur l’Union européenne ne devaient pas remettre en cause les accords de libre-échange actuellement négociés entre les deux rives de l’Atlantique.  Il ne faut pas mélanger tous les sujets. Fleur Pellerin « Vous êtes d’un côté dans une négociation commerciale qui porte sur un accord de libre-échange, et de l’autre sur une affaire qui est d’ordre diplomatique et politique », commentait la ministre déléguée aux PME, à l’Innovation et à l’Économie numérique. « Il ne faut pas mélanger tous les sujets », ajoutait-elle, soulignant l’absence, qui plus est, de « preuves » dudit espionnage.  Ce discours allait à l’encontre d’autres, prononcés dès samedi et la publication des informations du Der Spiegel. Sur l’antenne de RTL, dimanche, Daniel Cohn-Bendit proposait d’arrêter « tout de suite les négociations pour un accord de libre échange » avec l’administration Obama, et même d’aller plus loin en dénonçant « tous les accords passés avec les Américains ».

François Hollande sur Capital M6 : une conversation du café du commerce

François Hollande sur Capital M6 : une conversation du café du commerce

 

 

Pas vraiment une émission politique, pas vraiment une émission économique mais un peu un mélange de tout, confus, proche du niveau du café du commerce  où Hollande comme d’habitude entretient l’art de passer du coq à l’âne pour éviter le questions embarrassantes. Beaucoup d’approximations aussi et surtout d’affirmations gratuites sans démonstration.  Pas digne d’une émission économique avec un président pas au niveau. Pourtant  depuis un an, les effets de la politique économique du gouvernement tardent à se faire sentir. Le chômage bat des records (plus de 3 millions de personnes inscrites à Pôle emploi à la fin avril), le pouvoir d’achat est en berne et la croissance négative. Au mois de mai, le moral des Français a atteint son plus bas historique, selon l’Insee. Au plus bas dans les sondages jusqu’au mois de mai, François Hollande est remonté légèrement dans l’estime des Français au mois de juin. Dans le dernier baromètre IFOP-Paris Match publié le 11 juin, le chef de l’Etat recueille 44% de bonnes opinions, soit une hausse de sa popularité de 6 points. « Vous croyez que je n’ai pas vu la crise quand j’ai vu le chômage augmenter pendant des mois ? Ce n’est pas facile quand on vient de dire: « ça va être dur », je l’ai fait. On a pris la mesure et on a pris les mesures », a dit François Hollande. Parmi les « verrous », selon lui, figurent le chômage et « une compétitivité dégradée ». Mais pour avoir des résultats, « cela prend du temps ». « Mais si je n’avais pas pris toutes ces réformes, je ne pourrais pas comme je le fais encore ce soir dire « on va inverser la courbe du chômage, on va rétablir notre compétitivité » », a-t-il dit.  « Nous devrions construire 500 000 logements si nous voulons répondre à tous les besoins », a rappelé le président concernant le dossier des logements. Il a annoncé la mise en place d’un abattement exceptionnel pour 2014 sur les plus-values de cessions immobilières. Objectif : ramener de la fluidité sur le marché du logement. « On n’aura plus besoin d’attendre 30 ans pour être exonéré d’impôt » lors d’une cession immobilière. « On va ramener ça à 22 ans, ce qui était le système précédent, et il y aura même un abattement exceptionnel pour l’année 2014 », a-t-il déclaré. « Oui, la courbe du chômage va s’inverser à la fin de l’année », a-t-il rappelé. « La croissance n’est pas là depuis deux ans. Mon objectif c’est d’en recréer. Elle reviendra en 2014 », a assuré François Hollande. Si la courbe du chômage ne s’inverse pas, « le premier responsable, c’est moi ». « Je ne partirai pas mais je mettrai en place d’autres politiques ». François Hollande a exclu « pour l’instant » un coup de pouce pour le Smic. « L’âge légal ne bougera pas. C’est sur la durée des cotisations que nous devons agir », a-t-il assuré. « Notre durée de cotisation doit suivre l’espérance de vie qui augmente », a-t-il ajouté. « Le gouvernement, à partir du rapport Moreau et des discussions avec les partenaires sociaux, prendra ses responsabilités à la fin de l’été ». « Tout le monde fera des efforts, et les mêmes efforts », pour les salariés du privé et du public. « La réforme des régimes sociaux a déjà eu lieu, en 2008 », a souligné François Hollande. François Hollande a incité l’ancien cadre de la banque Reyl, qui affirme qu’une quinzaine d’hommes politiques ont des comptes en Suisse à « donner les noms ». « Qu’il donne les noms! » a-t-il lancé. A la question de savoir s’il était inquiet au sujet de cette liste, il a répondu : « Pas du tout ». « J’ai deux intérêts à protéger », a déclaré François Hollande. D’abord « l’entreprise Orange ». « Tant que Stéphane Richard peut être dirigeant de cette entreprise », c’est-à-dire sans que la procédure judiciaire ne vienne entraver ses fonctions, il le restera. « J’ai un autre intérêt, celui de l’Etat », a-t-il ajouté, rappelant que l’Etat s’était déjà porté partie civile. « Nous faisons en sorte qu’il y ait un recours en révision », concernant l’arbitrage Tapie, a-t-il annoncé.

 

« François Hollande doit être clair », Barbara Pompili (députée EELV, les verts) ; malheureusement ce n’est pas son métier !

« François Hollande doit être clair », Barbara Pompili (députée EELV, les verts) ; malheureusement ce n’est pas son métier !

Exiger de Hollande qu’il soit clair c’est demander l’inaccessible, pourtant la députée verte Pompili rêve encore (normal, c’est son métier) »J’ai besoin que le président de la République redonne confiance aux Français et pour cela il faut être clair ». Pour l’écologiste, la France ne connaît pas une crise conjoncturelle mais bien structurelle. D’ailleurs, elle trouve que les déclarations de l’exécutif, qui estime que « le pire est dernier nous », sont « un peu optimistes ». « Sortir de la crise structurelle demande des réformes de fond, ça demande vraiment beaucoup de courage », explique-t-elle, rejoignant la vision de Ségolène Royal  Elle demande ainsi « des lignes directrices claires ».  « La ligne, c’est de dire : on est complètement dépassés, on ne peut plus continuer à piller les ressources, on est dans un monde complètement sans règle où on nous demande d’être compétitif avec des esclaves au Bangladesh. », ajoute-t-elle.  Avoir une meilleure vision est aussi nécessaire « pour répondre aux questions du chômage », continue-t-elle. Pour cela, il faut viser les secteurs d’avenir, comme ceux de la transition énergétique, explique-t-elle, avant de prendre exemple sur l’Allemagne. La création d’emploi permettra aussi de résoudre « une grande partie » du problème des retraites, dit-elle, estimant que le dialogue social entrepris par François Hollande est « la bonne méthode ». « Il faut que les syndicats comprennent l’opportunité absolue de cette méthode, qu’ils reprennent un peu le pouvoir et montrent aux gens qu’il faut être syndiqué parce qu’enfin, on aura des partenaires sociaux qui seront aux manettes ». Concernant le contenu de la réforme des retraites, une chose est sûre pour elle : « On ne veut pas encore reculer l’âge de la retraite », souligne-t-elle.

 

Chômage :record historique

Chômage :record historique

 

 

Le record historique atteint en janvier 1997 pourrait être dépassé mardi. Primo, l’effet du rouleau compresseur de la crise qui, depuis un an, fait gonfler de plus de 25.000 personnes, en moyenne chaque mois, les inscrits en catégorie A. Secundo, l’actualisation chaque fin février des coefficients de correction des variations saisonnières et des jours ouvrables qui ont servi à redresser les séries des douze mois précédents. Cette révision peut avoir des effets importants, notamment en cas de forte hausse du chômage, comme en 2012 (+284.500 inscrits). En 2009, certains mois annoncés en baisse ayant été revisés à la hausse, le nombre de chômeurs avait mécaniquement enflé de près de 25.000. Soit, d’un seul coup, 5,7 % de chômeurs en plus! Et tertio, à cause d’une modification des règles de gestion des radiations depuis le 1er janvier. «Ce changement aura pour effet de diminuer les sorties au titre des radiations et, donc, d’augmenter d’autant le nombre de demandeurs d’emploi en fin de mois», prévient déjà le ministère du Travail qui estime l’impact de la hausse attendue «entre 10.000 et 30.000».

 

 

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François Hollande : pas d’accord le budget de l’Union européenne

François Hollande : pas d’accord le budget de l’Union européenne

Le sommet européen des 7et 8 février prochain s’annonce tendu. Mario Monti, président du Conseil italien, a formulé, ce dimanche 3 février, le vœu de « trouver un accord sur l’enveloppe budgétaire pour la période 2014-2020 la semaine prochaine en essayant de respecter le paquet qu’on avait eu du mal à négocier en novembre. J’espère que le système qui en découlera sera plus juste ». Un souhait honorable mais difficilement réalisable, pour François Hollande qui estime que les conditions « n’étaient pas encore réunies » pour un accord. « Nous constatons que la négociation est très difficile parce qu’elle touche à une conception de l’Europe fondée à nos yeux sur la solidarité et sur la croissance mais également à des intérêts nationaux. Et il est bien légitime que chaque chef d’Etat ou de gouvernement défende le sien. Donc nous faisons tout pour que, lors du prochain conseil (européen), nous puissions trouver un accord mais les conditions ne sont pas encore, à ces heures, réunies. Mais il nous reste encore quelques jours, et j’imagine une nuit entière, pour aboutir au résultat que nous souhaitons tous, c’est-à-dire une négociation réussie », a –t-il déclaré ce dimanche alors qu’il recevait Mario Monti. Samedi 2 février, la chancelière allemande, Angela Merkel, avait déjà déclaré : « On ne peut pas encore dire aujourd’hui si les discussions aboutiront. Je sais seulement que les négociations seront très difficiles ».

 

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Mali : les islamistes prennent 40 otages en Algérie

Mali : les islamistes prennent 40 otages  en Algérie

Une quarantaine d’otages occidentaux étaient mercredi soir encore entre les mains d’un groupe islamiste armé qui a attaqué dans la nuit de mardi à mercredi la base de vie d’un site gazier d’In Amenas, à 1500 km au sud-est d’Alger, à la frontière avec la Libye. Les kidnappeurs ont annoncé à deux sites d’information mauritaniens détenir, entre autres, des Américains, des Français, des Britanniques et des Japonais travaillant pour le groupe Japan Gas Corp. Le ministère français des Affaires étrangères a activé une cellule de crise, mais le président français, François Hollande, a déclaré qu’il n’y avait pas de certitude concernant la présence de ressortissants français sur le site. Washington a en revanche confirmé que des Américains figuraient parmi les captifs.  D’après l’APS, l’agence de presse algérienne, deux étrangers, un Britannique et un Algérien, seraient décédés tandis que six autres auraient été blessés dans l’attaque. Le ministère britannique des Affaires étrangères a confirmé dans la nuit de mercredi à jeudi la mort de ce ressortissant britannique, la qualifiant de «meurtre de sang-froid». Sur les quelque 400 personnes retenues, dont 150 employés algériens de la société française CIS Catering (hôtellerie, logistique), des travailleurs algériens ont déjà été relâchés par petits groupes. Jointe par téléphone, une de ces personnes retenues par les djihadistes raconte avoir vu un expatrié «se faire tuer à bout portant» avant de préciser que tous les otages ne se trouvaient pas au même endroit. RTL affirme ce jeudi matin que la quasi-totalité du personnel algérien aurait été relâché dans la nuit par les islamistes. Les ravisseurs souhaiteraient se concentrer sur leurs otages occidentaux.

 

Florange : lettre d’E. Martin à François Hollande

Florange : lettre d’E. Martin à François Hollande

 

Edouard Martin, chef de file de la CFDT à l’usine ArcelorMittal de Florange, dénonce « tous les mensonges et toutes les absurdités » sur ce dossier dans une lettre ouverte adressée à François Hollande. Le feuilleton du projet de nationalisation du site ArcelorMittal de Florange, défendue par le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg, est clos, a déclaré le 19 décembre la porte-parole du gouvernement. Mais dans sa lettre, le syndicaliste lui demande de reconsidérer le plan de nationalisation temporaire. « Monsieur le président, après vos promesses, nous laissez-vous être sacrifiés sans comprendre, et arrêter cette mécanique à nous broyer ? », écrit Edouard Martin, figure emblématique de la lutte des salariés de Florange. En fonction de l’accord signé par le gouvernement et le sidérurgiste, ArcelorMittal s’est engagé à annuler son projet de plan social à Florange et à y investir 180 millions d’euros durant cinq ans. Il assure être toujours prêt à soutenir Ulcos, projet européen de production d’acier à faible émission de CO2, qu’il a toutefois retiré au dernier moment de l’appel d’offres européen qui venait à échéance début décembre.  Mais Edouard Martin estime que « les Français se font berner par Mittal » qui va en réalité « supprimer 800 emplois si on englobe la filiale GEPOR ». Parmi les mensonges, le syndicaliste cite l’affirmation selon laquelle l’usine de Florange serait trop petite pour être rentable. « La plupart des usines continentales sont d’une taille voisine »,affirme-t-il. « Dire qu’on fera Ulcos, c’est faux. On nous dira dans deux ans ce qu’on nous dit aujourd’hui: que les chercheurs n’ont pas trouvé », ajoute-t-il. De même, Edouard Martin dit ne pas croire aux 180 millions d’investissements annoncés. « Ce montant contient les dépenses opérationnelles et de maintenance. Ce qui reste pour les investissements stratégiques est insuffisant », assure-t-il. Pour le syndicaliste, « la vérité, c’est que l’usine de Florange est compétitive, y compris sa filière chaude, ses hauts fourneaux, son aciérie ».

 

François Hollande attaque la Chine

François Hollande attaque la Chine

« Nous devons être compétitifs mais faut-il encore que l’échange soit juste, c’est-à-dire qu’il n’y ait pas de concurrence déloyale », a-t-il déclaré à la presse en marge du sommet Asie-Europe (Asem) au Laos, dénonçant des « coûts de main d’oeuvre » très bas et la faiblesse artificielle de certaines monnaies.  Des voix critiques aux Etats-Unis et dans d’autres pays développés accusent la Chine de maintenir volontairement la valeur de sa monnaie à un niveau faible, pour pouvoir exporter plus facilement ses produits.   »Une partie des pays d’Asie, et notamment la Chine, ont des monnaies qui ne sont pas convertibles. Nous devons faire en sorte qu’il y ait une réforme du système bancaire international et que nous puissions avoir des échanges qui soient mieux équilibrés », a ajouté M. Hollande.   »La France doit faire des efforts de compétitivité mais en même temps l’Asie doit également comprendre que nous devons rééquilibrer nos échanges commerciaux », a-il dit.  Pointant de nouveau Pékin du doigt, il a ajouté : « Le déficit entre la France et la Chine, c’est 27 milliards d’euros par an, c’est-à-dire près de 40% de notre déficit commercial. Nous ne pouvons pas l’accepter ».  Le yuan, aussi appelé « renminbi » (« monnaie du peuple »), s’est apprécié de plus de 5% par rapport au dollar ces deux dernières années, alors que la Chine essayait de combattre l’inflation. Il s’est renchéri de 30% depuis 2005, lorsque Pékin a relâché son emprise sur sa monnaie.  La Chine répond systématiquement aux critiques en disant que l’évaluation progressive de sa monnaie prendra du temps.  L’idée sur laquelle s’entendent désormais les pays du G20 est de faire en sorte que le yuan devienne à terme totalement convertible et qu’il soit intégré au panier de monnaie constituant le droit de tirage spécial (DTS), l’unité de compte du FMI, et actif de réserve international.  Ces critiques du président français sont intervenues alors qu’Européens et Asiatiques sont réunis à Vientiane pour un sommet organisé tous les deux ans.  L’Union européenne entend convaincre ses partenaires que la crise de la dette est désormais sous contrôle et que le continent n’est pas en perdition.  Plusieurs responsables de part et d’autres ont répété combien les économies étaient désormais dépendantes les unes des autres, et combien les deux blocs avaient intérêt à multiplier investissements et échanges commerciaux pour accélérer la reprise.

 

Confiance des ménages : en baisse

Confiance des ménages : en baisse 

La confiance des ménages st  en baisse ; en cause, surtout le  pouvoir d’achat, le  matraquage fiscal, le  chômage  La confiance des Français a continué de se détériorer en octobre. Une lente érosion, constatée depuis mai dernier, qui se traduit aujourd’hui par un niveau d’inquiétude rarement atteint: les ménages sont de plus en plus nombreux à voir leur «situation financière personnelle future» s’assombrir, selon l’enquête mensuelle publiée hier par l’Insee. Ils considèrent même que leur niveau de vie va encore se dégrader dans les mois à venir.  La séquence budgétaire – qui a marqué tout le début du quinquennat et vient de se terminer – a laissé des traces. Et les Français en ont surtout retenu l’idée qu’un matraquage fiscal les attendait. «Sur ce front-là, nous avons perdu la bataille de la communication», reconnaît-on à l’Élysée, en admettant «des erreurs». Celle d’avoir voulu s’attaquer à des corporations «qui parlent très fort et qui manipulent les symboles». Mais aussi d’avoir sous-estimé que «les Français ont mal, y compris aux impôts qu’ils ne paient pas», concède un proche du chef de l’Etat. Ces erreurs de communication politique, l’exécutif voudrait éviter de les commettre à nouveau. Et vite faire oublier le mauvais départ de l’autre grande séquence qui s’ouvre maintenant, celle de la compétitivité. Histoire de ne pas donner de nouvelles raisons d’inquiétudes aux Français, qui ne savent pas à quoi s’attendre dans ce domaine et entendent parler de hausse de TVA ou de CSG depuis plusieurs semaines. François Hollande a repris la main jeudi soir sur le sujet: devant un parterre de chefs d’entreprise, le président de la République a indiqué qu’il mettrait en œuvre un «pacte de compétitivité» sur le quinquennat, comprenant très certainement un allégement de charges pour les entreprises afin de baisser le coût du travail – mais pas les 30 milliards réclamés par le patronat -, ainsi que des mesures en faveur de l’innovation, la formation, le marché du travail et une réforme de l’impôt sur les sociétés qui devrait davantage favoriser les PME. Réunis vendredi en séminaire à Matignon, les membres du gouvernement, qui n’hésitaient pas, jusqu’à présent, à donner individuellement leurs idées sur la question, sont désormais au clair sur le message qu’ils doivent faire passer: l’objectif du gouvernement est «de conforter l’économie française, de la redresser, pas de la choquer, pas de la brutaliser», a indiqué Pierre Moscovici, à l’issue de la réunion

 

 




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