Coupe de France foot–le PSG gagne péniblement
Contre un club amateur de nationale 3, le PSG après un match relativement pénible a dû attendre la 88e minute pour dominer une valeureuse équipe. Un autre but a été ajouté ensuite par les parisiens.
Coupe de France foot–le PSG gagne péniblement
Contre un club amateur de nationale 3, le PSG après un match relativement pénible a dû attendre la 88e minute pour dominer une valeureuse équipe. Un autre but a été ajouté ensuite par les parisiens.
Foot- Coupe de France : l’OM battu par Lille aux tirs au but
Au stade Vélodrome, à l’issue d’une séance de tirs au but pleine de suspense, les Dogues ont éliminé, dès les 16es de finale, les Marseillais qui avaient égalisé dans les derniers instants du temps réglementaire.
Après prolongations, le Losc a éliminé l’Olympique de Marseille (1-1, 3-4 tab) en 16es de finale de la Coupe de France, ce mardi, au stade Vélodrome. Devant au score après un but d’Haraldsson (68e), les Dogues ont subi l’égalisation sur le gong de Luis Henrique (90e+6) avant de s’imposer aux tirs au but, ne ratant aucune de leurs tentatives. Impressionnant de résistance, le Losc a prolongé son invincibilité à 20 matches toutes compétitions confondues.
France : croissance zéro au quatrième trimestre
Comme attendu, l’activité économique se tasse de plus en plus et se dirige vers la stagnation comme le démontre la croissance zéro du quatrième trimestre 2024. La Banque de France (BdF) a en effet confirmé lundi anticiper une croissance nulle du produit intérieur brut (PIB) français au quatrième trimestre 2024, par rapport au troisième, en raison du «contrecoup» post-Jeux olympiques et paralympiques de Paris.
«L’économie française n’est pas actuellement en récession, même si l’activité demeure ralentie», a commenté Olivier Garnier, directeur général de la BdF, chargé des statistiques, des études économiques et des relations internationales, en présentant l’enquête mensuelle de conjoncture menée du 20 décembre au 7 janvier auprès d’environ 8.500 entreprises. Cela «nous conduit à confirmer notre estimation d’une progression du PIB de +0,2% au quatrième trimestre hors contrecoup des JO», soit «un PIB stable» en prenant en compte cet effet négatif estimé à -0,2%, a-t-il détaillé.
L’activité est restée relativement stable en décembre dans le bâtiment et l’industrie, où la vigueur de l’aéronautique et de l’agroalimentaire a contrasté avec un secteur automobile ou du textile-habillement en berne. Elle a augmenté dans les services, notamment l’hébergement-restauration qui a profité des fêtes de fin d’année et de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris. En janvier, l’activité est attendue en hausse dans les trois secteurs, mais la dynamique observée fin 2024 dans les services s’essoufflerait. En outre, les carnets de commande sont toujours jugés dégarnis dans le bâtiment et l’industrie, sauf l’aéronautique, «ce qui ne laisse pas prévoir d’accélération significative (de l’activité) au cours des mois qui viennent», a souligné Olivier Garnier.
À cela s’ajoutent des «incertitudes» liées au contexte politique français, qui maintiennent l’indicateur d’incertitude à un niveau «élevé». son inquiétude pour les finances publiques très dégradées de la France. «Pour l’année 2025, cette enquête reste compatible avec notre prévision de croissance à 0,9%», a souligné lundi le gouverneur. Ce qui paraît peut-être un peu optimiste.
Algérie : la France doit riposter
Le refus de l’Algérie de reprendre un influenceur algérien par ailleurs multirécidiviste ayant déjà été condamné à 11 ans de prison constitue une énième provocation du régime en vigueur à Alger. Il s’agit bien entendu notamment de la part de l’Algérie de protester contre la position de la France qui a considéré le Sahara occidental comme appartenant au Maroc. Mais il existe bien d’autres sujets de conflit notamment en matière d’immigration. L’Algérie a l’habitude de se servir de la martingale anti française pour dissimuler son régime antidémocratique et l’appropriation des richesses du pays par des autocrates soutenus par les militaires. La France doit riposter d’après le ministre français des affaires étrangères.
En réalité l’Algérie est potentiellement très riche compte tenu notamment de ses ressources minières, du gaz et du pétrole. L’Algérie figure en tête en matière de richesse en Afrique en termes de PIB. Le problème est l’utilisation de cette richesse pour une grande partie détournée et qui ne sert pas la modernisation économique du pays et encore moins le développement social. Pour preuve un salaire moyen de 250 € par exemple en décalage complet avec le montant du PIB ( Produit surtout des exportations).
Le discours antifrançais permet ainsi de masquer la responsabilité d’un régime qui gaspille et détourne la richesse du pays sans parler évidemment des atteintes à la démocratie.
Au lendemain du renvoi en France d’un influenceur algérien, le ministre des affaires étrangères s’est dit «stupéfait» que les autorités algériennes aient «refusé de reprendre un de leurs ressortissants».
La France n’aura pas «d’autre possibilité que de riposter» si «les Algériens continuent cette posture d’escalade», a déclaré vendredi le ministre français des Affaires étrangères, alors qu’un influenceur algérien expulsé vers l’Algérie jeudi a été renvoyé vers la France.
Trois Algériens et une Franco-algérienne ont été récemment interpellés pour avoir mis en ligne des contenus haineux envers la France, incitant notamment à «brûler vif, tuer et violer», tout en appelant à des actes violents, souvent à l’encontre d’opposants au régime algérien.
Cette fois la guerre diplomatique est bien engagés entre la France et l’Algérie. D’un côté l’Algérie met en prison un intellectuel franco-algérien et de l’autre la France expulse des Influenceurs algériens comme Doualem . Retour à l’envoyeur l’Algérie ne veut pas de son extrémiste et le réexpédie en France. Il est clair que l’Algérie a nouveau ressort la martingale anti France afin de masquer les entraves à la démocratie et le pillage des richesses par le régime militaire qui soutient le gouvernement.
L’influenceur algérien Doualemn, expulsé ce jeudi du territoire français, a été refusé à son arrivée à l’aéroport en Algérie par les autorités locales, a appris Le Figaro de sources concordantes, confirmant une information d’Europe 1. Son avion de retour a atterri dans la soirée à Roissy ; il a ensuite été placé dans un centre de rétention administrative (CRA), au Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne).
Par contre Algérie conserve l’intellectuel franco-algérien Boualem Sansal qui a été arrêté par les autorités algériennes accusé « d’avoir porté atteinte à la sûreté de l’État. »
Cette guerre diplomatique repose évidemment sur le différend relatif à la possession du Sahara occidental dont la France estime qu’il appartient au Maroc et non à l’Algérie.
Il est communément admis que notre pays manque d’une direction claire. Cette instabilité, souvent attribuée à un paysage parlementaire fragmenté, découle surtout de l’absence de feuille de route stratégique, cohérente et attractive. Par Jean-Marc Pasquet Territoires de Progrès (*) dans La Tribune .
Ces derniers mois, le gouvernement Barnier a montré que la recherche d’une majorité la plus large possible pour faire adopter la Loi de Finances achoppait sur des prélèvements obligatoires élevés en comparaison de leur utilisation jugée de moins en moins satisfaisante au regard des attentes de la population. Faute de priorités claires, la réduction de la voilure budgétaire permet de rendre le navire France moins ardent au vent des taux d’intérêt qui souffle sur sa dette. Mais est-ce suffisant pour mobiliser un équipage stable et retrouver la route de la prospérité ?
La prospérité dépend approximativement de deux piliers : la richesse créée par habitant et le nombre de personnes qui contribuent à la produire. Or, la France se distingue par la proportion d’inactifs particulièrement élevée chez les jeunes, les seniors et certaines catégories dans la force de l’âge qui renoncent à chercher un emploi. Si l’on atteignait les taux d’activité des mieux-disants européens, comme le Danemark ou les Pays-Bas, ce sont d’un à cinq millions d’actifs potentiellement disponibles ici et maintenant qui pourraient renforcer notre économie. Ces pays sont confrontés à des « contraintes » européennes et à des défis technologiques, éducatifs, sociaux, démographiques très semblables aux nôtres. Aucun coup de rabot sur nos dépenses ne résoudra l’équation de l’équilibre budgétaire sans toucher à cette variable de la population active, trop faible dans notre pays. Notre base de cotisants étroite fragilise notre État social tandis que nous évoquons régulièrement un demi-million d’emplois vacants et des secteurs en tension. L’enjeu n’est pas seulement quantitatif et doit mobiliser la sphère publique.
Dès l’école, nos performances de lecture, d’écriture et de calcul décrochent, fragilisant l’accès aux compétences techniques et scientifiques nécessaires à notre avenir industriel. Investir dans ces compétences est une condition sine qua non de notre productivité. Au lieu de quoi, nos salaires demeurent faibles, souvent soutenus artificiellement par des aides publiques tandis que les secteurs clés peinent à recruter. Paradoxalement, la qualité de nos infrastructures n’a rien à envier à l’Allemagne, mais elle est entravée par un excès de normes et de réglementations, enserrés dans une bureaucratie omniprésente, qui pénalisent tant les entreprises que les citoyens. Pourtant, les services publics continuent d’être évalués à l’aune de leur coût plutôt que de leur qualité, voire de leur réalité, tant ils manquent souvent en face de l’usager, pour assurer protection et justice, aider, faciliter, simplifier la vie. Nous manquons de considération vis-à-vis des agents publics qui éduquent et soignent. Nous négligeons les difficultés des ménages, des plus jeunes en particulier, qui doivent garder leurs petits, se loger et se transporter pour travailler. Enfin, relancer notre productivité exige de répondre aux besoins énergétiques de l’industrie et des services. Cela suppose de garantir un accès à une énergie abondante, compétitive et decarbonnée, condition essentielle pour concilier notre modèle économique avec les défis environnementaux.
Si les relations sociales doivent être apaisées, elles appellent de la part de l’exécutif de la considération et de l’engagement. En parallèle, il faut redonner ses lettres de noblesse au travail. Ce qui implique de valoriser les efforts de ceux qui trouvent un emploi, en dotant ceux à la peine de bagages adaptés, en créant des incitations valorisantes, en leur offrant des solutions pour alléger leurs charges familiales. Ce pacte de prospérité repose sur un principe simple : valoriser celles et ceux qui travaillent et les politiques publiques qui contribuent à en accroître le nombre. Dans cette dialectique du « mieux travailler », c’est moins la critique de ceux qui occupent un emploi et davantage les conditions dans lesquelles ils l’exercent qui doit nous mobiliser. Pour réduire accidents, maladies professionnelles et absences, l’enjeu est de construire un monde du travail à la fois plus productif et plus humain.
Nous avons déjà prouvé, dans des moments historiques ou sportifs, notre capacité à nous rassembler autour d’un objectif commun. Aujourd’hui, il s’agit de mobiliser toutes les forces vives de la nation autour d’un pacte de production, de redistribution et de transition. Un « travaillisme à la française » qui nous unit par gros temps.
______
(*) Jean-Marc Pasquet est délégué de Territoires de Progrès (TdP), membre du Conseil National, premier signataire du texte d’orientation « Convergences Progressistes : les Travaillistes! » déposé pour le Congrès de TdP en janvier 2025.
Les différentes dégradations de la note de la France ont placé la note souveraine de la France à son niveau le plus bas jamais enregistré, à savoir AA-, ou Aa3 sur l’échelle équivalente de Moody’s. Fitch, qui doit réexaminer la note du pays à la mi-mars, l’a assortie d’une « perspective négative », ce qui équivaut à un avertissement avant une nouvelle dégradation.
« Nous voyons des risques raisonnables (30%-40%) de nouvelles décisions de notation négative en France si le gouvernement s’avère incapable de mettre en oeuvre un plan d’assainissement budgétaire crédible à moyen terme », écrit JPMorgan dans une note publiée lundi soir, faisant référence soit à un abaissement complet de la note, soit à une réduction des perspectives.
Météo: Des rafales en France lundi
Des rafales qui pourraient atteindre localement de 110 à 120 km/h. Météo-France a placé en vigilance orange vents violents 19 départements de la façade ouest au nord-est de l’Hexagone à partir de minuit, dimanche 5 janvier. Il s’agit de l’Aisne, les Ardennes, l’Eure-et-Loir, l’Indre-et-Loire, le Loir-et-Cher, le Loiret, le Maine-et-Loire, la Marne, la Meuse, la Sarthe, la Vendée et les huit départements d’Ile-de-France (Paris, Seine-et-Marne, Yvelines, Essonne, Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis, Val-de-Marne et Val-d’Oise). La Loire et le Rhône étaient, eux, concernés dès 20 heures par cette alerte, après un bulletin matinal de l’agence météorologique.
Conséquence sans doute du réchauffement climatique et du dérèglement général des températures, des dizaines de degrés de différence en 24 heures en Frances. À Pierrefontaine-les-Varans, dans le Doubs, les habitants se sont réveillés en ayant grappillé 30°C, ce dimanche 5 janvier. Selon La Chaîne Météo, 7,1°C ont été relevés à 7 heures, contre -23,4°C la veille, à la même heure.
Cette hausse des températures s’explique par le spectaculaire redoux que la France a connu ce dimanche. La veille, pourtant, 30 départements d’une partie nord-est du pays, dont le Doubs, avaient été placés en vigilance orange à la neige et au verglas, depuis levée par Météo-France.
Dans ces coins, des températures extrêmes avaient été relevées: jusqu’à -33°C dans le Jura; -28,1°C, au plus froid de la nuit de vendredi à samedi, dans le hameau du Reculfoz. Rien à voir avec les données relevées ce dimanche matin. Dans le hameau, 7°C ont été enregistrés à 9 heures, selon les données de Météo-France.
Société : La France vers le chaos
Grâce à l’incongrue dissolution de l’Assemblée nationale qui a bouleversé tout le calendrier politique et à l’irresponsabilité totale de la plupart des partis politiques, la France se dirige tranquillement vers le chaos politique mais surtout aussi économique, financier et social. Le tout pouvant aller vers une crise de régime où tous les pouvoirs pourraient devenir obsolètes : celui du gouvernement, celui du Parlement celui aussi du président de la république.
Manquerait plus qu’une éclosion sociale ou sociétale pour plonger durablement le pays dans un marasme ingérable. Précisément une hypothèse choisie par Mélenchon le révolutionnaire de papier qui rêve de transformer la France en pays sous-développé mais communiste avec évidemment une dictature du prolétariat assuré par des oligarques pour la plupart anciens fonctionnaire (ou dépendant de crédits publics) . L’extrême droite a l’air de se résoudre aussi à accélérer la décomposition du régime en poussant Macron dehors alors que visiblement si le RN croit indiscutablement dans l’opinion par contre ce parti est loin d’être cohérent sur les orientations économiques, sociales et financières.
Dans les autres partis la confusion est encore plus grande au parti socialiste évidemment toujours écartelé entre les néo marxistes et sociaux démocrates, chez les écolos partagés entre la sensibilité environnementale et leurs agitations gauchistes irresponsables. Chez les républicains et les anciens macronistes, c’est la lutte des leaders qui étouffent les priorités du moment.
La France vers le chaos
Grâce à l’incongrue dissolution de l’Assemblée nationale qui a bouleversé tout le calendrier politique et à l’irresponsabilité totale de la plupart des partis politiques, la France se dirige tranquillement vers le chaos politique mais surtout aussi économique, financier et social. Le tout pouvant aller vers une crise de régime où tous les pouvoirs pourraient devenir obsolètes : celui du gouvernement, celui du Parlement celui aussi du président de la république.
Manquerait plus qu’une éclosion sociale ou sociétale pour plonger durablement le pays dans un marasme ingérable. Précisément une hypothèse choisie par Mélenchon le révolutionnaire de papier qui rêve de transformer la France en pays sous-développé mais communiste avec évidemment une dictature du prolétariat assuré par des oligarques pour la plupart anciens fonctionnaire (ou dépendant de crédits publics) . L’extrême droite a l’air de se résoudre aussi à accélérer la décomposition du régime en poussant Macron dehors alors que visiblement si le RN croit indiscutablement dans l’opinion par contre ce parti est loin d’être cohérent sur les orientations économiques, sociales et financières.
Dans les autres partis la confusion est encore plus grande au parti socialiste évidemment toujours écartelé entre les néo marxistes et sociaux démocrates, chez les écolos partagés entre la sensibilité environnementale et leurs agitations gauchistes irresponsables. Chez les républicains et les anciens macronistes, c’est la lutte des leaders qui étouffent les priorités du moment.
Politique: La France vers le chaos
Grâce à l’incongrue dissolution de l’Assemblée nationale qui a bouleversé tout le calendrier politique et à l’irresponsabilité totale de la plupart des partis politiques, la France se dirige tranquillement vers le chaos politique mais surtout aussi économique, financier et social. Le tout pouvant aller vers une crise de régime où tous les pouvoirs pourraient devenir obsolètes : celui du gouvernement, celui du Parlement celui aussi du président de la république.
Manquerait plus qu’une éclosion sociale ou sociétale pour plonger durablement le pays dans un marasme ingérable. Précisément une hypothèse choisie par Mélenchon le révolutionnaire de papier qui rêve de transformer la France en pays sous-développé mais communiste avec évidemment une dictature du prolétariat assuré par des oligarques pour la plupart anciens fonctionnaire (ou dépendant de crédits publics) . L’extrême droite a l’air de se résoudre aussi à accélérer la décomposition du régime en poussant Macron dehors alors que visiblement si le RN croit indiscutablement dans l’opinion par contre ce parti est loin d’être cohérent sur les orientations économiques, sociales et financières.
Dans les autres partis la confusion est encore plus grande au parti socialiste évidemment toujours écartelé entre les néo marxistes et sociaux démocrates, chez les écolos partagés entre la sensibilité environnementale et leurs agitations gauchistes irresponsables. Chez les républicains et les anciens macronistes, c’est la lutte des leaders qui étouffent les priorités du moment.
Environnement-Énergie renouvelable : la France devant l’Allemagne !
Il y a les discours sur fond idéologique mais il y a aussi les réalités. L’Allemagne qui ne cesse de critiquer la France pour sa politique énergétique en réalité a eu moins recours aux énergies renouvelables que la France. Notons par parenthèse le revirement de certains responsables allemands vis-à-vis des perspectives du nucléaire.
Selon de nouvelles données d’Eurostat, les énergies renouvelables ont représenté 22,3% de la consommation énergétique finale de la France en 2023, contre 21,5% pour l’Allemagne. Si l’on se concentre sur l’électricité, l’Hexagone reste sur le podium des plus faibles émetteurs de gaz à effet de serre.
Selon EDF, puisqu’en 2023, l’atome participait à plus de 65% de la production d’électricité du pays.
Politique: La France vers le chaos
Grâce à l’incongrue dissolution de l’Assemblée nationale qui a bouleversé tout le calendrier politique et à l’irresponsabilité totale de la plupart des partis politiques, la France se dirige tranquillement vers le chaos politique mais surtout aussi économique, financier et social. Le tout pouvant aller vers une crise de régime où tous les pouvoirs pourraient devenir obsolètes : celui du gouvernement, celui du Parlement celui aussi du président de la république.
Manquerait plus qu’une éclosion sociale ou sociétale pour plonger durablement le pays dans un marasme ingérable. Précisément une hypothèse choisie par Mélenchon le révolutionnaire de papier qui rêve de transformer la France en pays sous-développé mais communiste avec évidemment une dictature du prolétariat assuré par des oligarques pour la plupart anciens fonctionnaire (ou dépendant de crédits publics(. L’extrême droite a l’air de se résoudre aussi à accélérer la décomposition du régime en poussant Macron dehors alors que visiblement si le RN croit indiscutablement dans l’opinion contre ce parti est loin d’être cohérent sur les orientations économiques, sociales et financières.
Dans les autres partis la confusion est encore plus grande au parti socialiste évidemment toujours écartelé entre les néo marxistes et sociaux démocrates, chez les écolos partagés entre la sensibilité environnementale et leurs agitations gauchistes irresponsables. Chez les républicains et les anciens macronistes, c’est la lutte des leaders qui étouffent les priorités du moment.
Bref les partis politiques ligotent Bayrou qui en outre lui-même ne semble pas prendre la mesure de l’ampleur et de l’urgence de la situation et qui paraît maintenant déboussolé dans un costume trop grand pour lui. À tel point que certains l’ont comparé à Jo Biden. L’intéressé ne semble pas disposer de la vigueur qu’il faut face à la rudesse de la tâche.
Les échéances sont sans doute être encore repoussées notamment celle du budget voire du gouvernement. Le problème c’est que la situation globale va rapidement se dégrader et les statistiques confirmer que la France est engagée maintenant sur une tendance de récession caractérisée par de nombreux plans sociaux et une dégradation financière concernant les comptes publics. Les institutions internationales pourraient bien entrer dans le jeu d’ici quelques semaines pour arbitrer des différends entre des partis politiques complètement irresponsables , incompétents et sans courage.
Gaz à effet de serre France : la hausse
Selon les données publiées ce vendredi par le Citepa, les émissions de gaz à effet de serre en France ont augmenté de 0,5% au troisième trimestre 2024 par rapport à la même période en 2023. Cette progression tranche avec les baisses enregistrées au premier (-5%) et au deuxième (-2,2%) trimestres. Sur les neuf premiers mois de 2024, la tendance reste cependant à la baisse avec une réduction de 2,4%, hors puits de carbone. Toutefois, cette diminution est bien moins marquée qu’en 2023, où la baisse atteignait 6% sur la même période. « La tendance sur douze mois glissants actuellement est de -3,1% (année mobile) », relativise le Citepa, dont les données restent pour l’heure provisoires.
En France, l’augmentation des émissions au troisième trimestre 2024 trouve principalement son origine dans les secteurs du bâtiment et des transports. Le bâtiment enregistre une hausse notable de 11,8%, et plus particulièrement « la hausse des émissions associée au chauffage des bâtiments résidentiels et tertiaires au mois de septembre 2024 ».
L’année 2024 s’est imposée comme la plus chaude jamais enregistrée, selon le réseau de scientifiques World Weather Attribution (WWA). Cette chaleur exceptionnelle a alimenté cyclones, vagues de chaleur et autres phénomènes météorologiques extrêmes à travers le monde.
Friederike Otto, climatologue au WWA, résume la situation : « Les impacts du réchauffement causé par les énergies fossiles n’ont jamais été aussi clairs ni aussi dévastateurs qu’en 2024. Nous vivons dans une nouvelle ère dangereuse. »