Comme prévu, François de Tulle a reçu un bon coup de pied au séant au premier tour des départementales (ce que pensent 64% du bas peuple). Mais c’est pas forcément une victoire personnelle du duc Sarkozy d’après le même bas peuple. Dimanche soir dès 20h01, Valls de Vienne grille la politesse à tout le monde ( y compris au PS) et fait une brève et très calme allocution. Les médecins de Molière, experts en communication, l’avaient bourré de Lexomil avant son baratin pour éviter une nouvelle crise colérique. Autre mauvaise nouvelle pour le Roy de France et de Corrèze : ce sondage de popularité qui montre une chute de la personne royale mais surtout de Valls de Vienne. Heureusement, et surtout malheureusement, il y a ce crash de l’Airbus 320 et là Hollande et Valls , tous les ministres s’en donnent à cœur joie pour nous informer de ce qu’ils ignorent eux-mêmes. Esprit du 11 janvier es-tu là ? Tous les ministres se mobilisent même Royal qui n’a rien à dire mais qui l’exprime avec force et conviction. Présent partout, coté cour comme coté jardin, Valls de Vienne vient clamer son amour aux paysans lors du congrès de la FNSEA et sa haine des écolos politiques ( comprendre EELV°) qui apprécient évidemment la délicatesse. Pas de chance, alors que François de Tulle annonce pour la troisième fois la reprise de la croissance, le chômage reprend à la hausse ( en réalité il n’avait jamais baissé). Mais ça ira mieux en 23015, peut-être même avant clame Valls de Vienne qui se transforme en commentateur et découvre qu’il faut 1.5% pour recréer des emplois. Il pourra toujours se reconvertir en journaliste à Radio France , toujours en grève. Heureusement les courtisans veillent. Et diffusent la rumeur. : » ça va mieux. » Après la comtesse Marisol de Touraine qui a bricolé les comptes de la sécu et indique un moindre déficit de 3 milliards ( sur 450 de budget), c’est l’impayable prince Sapin de Noël qui , lui, annonce que le déficit public a diminué en 2014 Tu m’étonnes, on a emprunté 84 milliards de plus pour boucher les trous. Du coup la dette représente environ 30 000 euros pour chaque sujet du roi. Mais Valls de Vienne a raison de verser dans l’optimisme, les choses vont s’arranger. Surtout après les départementales où 60% de ceux qui se présentent pour le second tour sont fonctionnaires ; des vrais spécialiste de la dépense ces petits barons d’Etat. La fin de semaine se termine mal, même l’équipe de foot perd devant la Brésil, du coup on ne peut donner ni pain , ni jeux à ce peuple affamé. A moins de confirmer le vœu royal d’ organiser les JO en France . Mais des jeux réservés uniquement aux athlètes français. Avec aussi une épreuve de poésie où Hollande pourrait concourir comme jadis Néron.( et en espérant qu’il ait la même destinée)
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France-Croissance trop faible : 0.4% en 2012, 2013 et 2014
Depuis l’arrivée de Hollande c’est une catastrophe, la croissance en France ne décolle pas. Autour de 0.4% depuis trois ans. Mais désormais c’est l’optimisme béat tout simplement parce qu’on va atteindre 1% en 2015 et peut-être même un tout petit peu plus. Malheureusement avec 1% ( uen moyenne pour l’ensemble de l’économie qui cache de fortes disparités ), ce n’est pas un vrai redémarrage, pour preuve la production industrielle n’a pas redémarré en France ( contrairement à la zone euro). En outre les prix du secteur industriels sont tirés vers le bas , du coup les marges des entreprises se dégradent encore . En 2014, avec des investissements une nouvelle fois en baisse, une stagnation n’a été évitée sur les trois derniers mois que grâce à la consommation des ménages et aux exportations, mieux orientées du fait de la baisse des prix pétroliers pour les premiers, de celle de l’euro pour les secondes. Le taux de marge des entreprises a bondi de 0,4 point sur le trimestre, à 29,9%, mais accuse un recul décevant de 0,1 point sur l’ensemble de 2014, à 29,7%, malgré l’impact du Crédit d’impôt compétitivité emploi. Sur la base des chiffres du dernier trimestre, l’acquis de croissance pour 2015 atteint 0,2%. Axelle Lacan (Crédit agricole) estime toutefois qu’ »un certain nombre de facteurs se mettent en place qui confortent le scénario d’une accélération de la croissance. » »Le regain de confiance signalé par les enquêtes de l’Insee se traduit enfin dans les chiffres », dit-elle en insistant sur le rebond des marges des entreprises et la baisse de l’épargne des ménages qui a soutenu la consommation en fin d’année. Pour l’économiste, « les baisses de l’euro et du pétrole ont commencé à jouer en toute fin 2014 et permettent d’aborder 2015 sur une base plus dynamique », même si à ce stade, « l’investissement reste un gros point noir ». A partir de là, Michel Sapin estime que « le 1% de croissance pour 2015, il est acquis ». Mais le ministre s’est bien gardé d’aller plus loin que la prévision sur laquelle le gouvernement a bâti son budget, là où le Premier ministre Manuel Valls a assuré jeudi que la France ferait « bien mieux ».
F00T- France Brésil : une équipe de France sans rythme
La défaite 3-1 de l’équipe de France est logique, le onze français s’est montré en effet emprunté pendant tout le match . Manque de rythme surtout, absence d’inspiration . Une équipe brésilienne qui pourtant n’était pas spécialement flamboyante, par ailleurs fébrile en défense, mais cependant supérieure surtout Neymar. . Il a manqué un créateur de jeu au milieu chez les bleus, l’envie sans doute aussi dans ce match sans enjeu. Le score aurait pu être encore plus sévère sans les arrêts de l’excellent gardien Français. Une rencontre à oublier très vite tellement elle était ennuyeuse. France-Brésil au stade de France de Saint-Denis, il n’y a pas à beaucoup chercher dans sa mémoire quand on est supporter français. Mais ce jeudi soir, l’équipe de France de football était bien loin de cette soirée enchanteresse de juillet 1998, lors de laquelle les Deschamps, Zidane and co avaient puni les auriverde pour remporter leur première – et seule – Coupe du Monde. 17 ans plus tard, les Bleus ont pâli, et la sélection brésilienne en a profité. Résultat : une victoire sans contestation possible (3-1) et une reconstruction en bonne marche après un Mondial 2014 à domicile terminé dans l’humiliation la plus totale. Tout cela sous les yeux des « centenaires » des Bleus (Deschamps, Henry, Desailly, Vieira et Zidane), les cinq joueurs à avoir franchi le cap des 100 sélections en équipe de France, et qui ont eu droit à un petit hommage avant la rencontre. Les hommes de Didier Deschamps ont très peu existé lors de ce match amical de prestige. La première mi-temps a fait quelque peu illusion, les Bleus se créant des situations chaudes et Raphaël Varane catapultant de la tête un bon corner de Mathieu Valbuena dans les buts de Jefferson. Las, cinq minutes avant la pause, le milieu de Chelsea Oscar se faufilait dans la surface française pour tromper Steve Mandanda et remettre les deux équipes à égalité à la pause. Pour Varane, la soirée de rêve allait se transformer en cauchemar, le jeune défenseur étant fautif sur les trois buts brésiliens. Au retour des vestiaires, on se disait en essayant d’y croire qu’il ne s’agissait là que d’un soubresaut qui serait vite effacé par Karim Benzema et Antoine Griezmann, entre autres. Après tout, on dit que les Brésiliens sont toujours atteints par leur cuisante élimination en demi-finale de « leur » Coupe du Monde l’été dernier (défaite 7-1 face à l’Allemagne, faut-il le rappeler). Sauf que, depuis, tous les Brésiliens semblent s’être remis en cause, le rugueux Dunga est revenu prendre en mains la Séleçao avec fermeté. Et les auriverde peuvent toujours compter sur leur génie, Neymar, auteur d’une frappe somptueuse en lucarne à la 57e minute, avant que Luiz Gustavo ne parachève le succès brésilien douze minutes plus tard. 3-1, le score est lourd mais juste pour les Français. Une défaite qui met un coup d’arrêt au bel élan des Bleus depuis le Mondial, mais qu’il conviendra aussi de relativiser. Les Brésiliens préparent la Copa America, en juin, tandis que les Bleus effectuaient là leur match de rentrée, alors qu’ils n’ont aucun match officiel à se mettre sous le crampon, étant exempté des qualifications pour l’Euro 2016, qui se déroulera à la maison. Pas de remise en question excessive, mais un gros avertissement à cette génération – qui a accueilli pour la première fois la star lyonnaise Nabil Fekir – talentueuse mais qui ne doit pas s’égarer. Prochaine étape ce mercredi à Saint-Etienne face au Danemark.
Croissance secteur manufacturier : dans le rouge en France, dans le vert en Allemagne
Le retard français est net pour le secteur manufacturier, toujours en contraction en France avec un PMI « flash » à 48,2 alors qu’en Allemagne, il est en croissance avec un chiffre de 52,4. ( 50 indique la limite entre croissance et régression). Même pour l’ensemble de l’économie, l’écart est encore significatif le PMI composite allemand ressort à 55,3 contre 51,7 seulement pour le français. Pour l’ensemble de la zone euro, L’indice des services, lui aussi au plus haut depuis mai 2011, ressort à 54,3 contre 53,7 alors que le consensus le donnait à 53,9 et celui du secteur manufacturier a progressé à 51,9, un plus haut de 10 mois, contre 51,0 le mois dernier et 51,5 attendu. Ces chiffres suggèrent une croissance de 0,3% du produit intérieur brut (PIB) de la zone euro au premier trimestre, précise Markit, soit un chiffre similaire à celui enregistré sur les trois derniers mois de l’an dernier mais inférieur à celui de 0,4% attendu en moyenne par les économistes interrogés par Reuters au début du mois. En outre, même si le sous-indice mesurant l’évolution des prix facturés a atteint un plus haut de huit mois à 49,0, il reste depuis trois ans sous le seuil de 50, ce qui implique que l’inflation est encore loin d’un rebond solide. La hausse des indices PMI a profité entre autres d’un afflux de nouveaux contrats, en particulier dans les services, où leur sous-indice a bondi à 54,6, son plus haut niveau depuis la mi-2011. Dans l’industrie manufacturière, les commandes en attente ont augmenté pour la première fois depuis près d’un an, une évolution encourageante pour l’activité des mois à venir. « Tous les indicateurs vont dans le sens d’une poursuite de la reprise, les entreprises augmentent leurs effectifs et c’est de bon augure pour l’année à venir. »
Croissance secteur privé : petite croissance encore fragile en mars
Ce n’est pas le Pérou mais ce n’est pas la stagnation .Finalement, une évolution qui s’ inscrit dans la trajectoire prévue par les experts autour de 1% de croissance en 2015. Un niveau évidemment insuffisant pour retourner les tendances du chômage mais quand même satisfaisant au regard des évolutions tendancielle mondiales. En tout état de cause, cette progression serait insuffisante pour enrayer la hausse du chômage, souligne Xavier Timbeau, directeur du département analyse et prévision de l’OCDE , qui estime à 1,5% le niveau de croissance qui permettrait de « stabiliser » le taux de chômage. L’institut table ainsi sur un taux de chômage de 9,8% l’an prochain, après 9,7% cette année. Et il estime que le déficit public ne devrait que faiblement se résorber, à 4,3% en 2015 après 4,5% cette année. Des chiffres encore une fois proches des prévisions du gouvernement, qui vise 4,4% en 2014 et 4,3% en 2015. Au plan mondial, A apert les Etats Unis ( et encore in a révisé à la baisse les prévisions), c’est l’atonie de l’activité qui domine. La preuve surtout avec le recul de la production manufacturière en Chine. L’usine du monde tourne au ralenti car la demande internationale se tasse. A noter aussi des mouvements de yo-yo dans l’activité qui sont la conséquence des interrogations des acteurs sur la reprise. Pour la France L’activité du secteur privé en France s’est maintenue en croissance en mars mais de manière un peu ralentie par rapport à février, a annoncé ce matin la société d’études économiques Markit en publiant un indice d’activité provisoire PMI à 51,7 points. Cet indice composite (industrie et services) était à 52,2 points en février. Même un peu plus bas, il reste donc, selon cette première estimation, au dessus de la barre des 50 points qui délimite les périodes de croissance et les périodes de récession.
Radio France : nouvelle grève inadmissible
Encore uen grève dans le « service public ». Au fait ils sont combien les grévistes à Paris ? 10% ? C’est cela qui empêche de diffuser. Drôle de conception du service public de la part des syndicats corpos comme le SNJ. . « Nous ne sommes pas en mesure de diffuser l’intégralité de nos programmes habituels ce lundi 23 mars, en raison d’un appel à la grève par plusieurs organisations syndicales, portant sur les difficultés budgétaires et la défense de l’emploi à Radio France. Nous vous prions de nous en excuser ». Ben voyons , en plus on se sert de l’antenne pour se faire de la pub. Comment qualifier ce qui caractérise le service dit public, gaspillages, bureaucratie, paresse . Radio France, Une entreprise de plusieurs milliers de personnes salariés (autour de 5 000, 4 fois plus que d’autres médias), un budget de 600 millions dont 90% pour les seules charges salariales , avec des salaires de cadres démentiels, des superstructures dignes de l’ancienne union soviétique, et globalement des programmes aussi insipides que les autres. En plus le contribuable est soumis à la redevance alors qu’aujourd’hui les chaînes et radios publiques sosnt de moins en moins regardées et ou écoutées . certes quelques médias se distinguent France info, France 2 pour certaines émissions, France culture ; pourtant globalement les médias publics sosnt peu différents des chaînes commerciales. Aujourd’hui l’info est diffusée par des milliers de médias audio-visuels ( exemple 600 radios associatives), pourquoi conserver un mastodonte public ( payant en plus) qui n’apporte globalement pas davantage que les supports privés ( à quelques exceptions près). En outre il fauta surtout prendre en compte le développement du numérique surtout d’internet. qui diffuse mieux, plus vite et moins cher l’info et sur tous les supports. On objectera que la mission de service public est essentielle. Mais précisément n’y a-t-il pas confusion entre le concept de service public, d’entreprise public et le statut du personnel. Dans ce domaine comme dans d’autres, le rôle de l’Etat est d’assurer sa tâche régalienne, de réguler pour tirer les programmes vers le haut , les rendre plus compétitifs aussi et non de faire tout lui-même. Bref France télévisions et Radio France comme nombre de services publics , c’est trop cher, trop bureaucratique et pas assez créatif. A moins évidemment que le pouvoir en place n’ait besoin de medias dociles pour diffuser la voix de son maître. Le gouvernement pour la télé a donc fixé mercredi les missions du prochain président de France Télévisions, se basant notamment sur le rapport de Marc Schwartz, l’ex-directeur financier de France Télévisions. Le futur président du groupe public devra notamment être plus audacieux dans la programmation, mais avec un budget resserré. La future direction de France Télévisions, dont le nouveau président sera nommé le 22 mai, est prévenue. Le prochain mandat sera très difficile. En s’appuyant sur le diagnostic sévère dressé par Marc Schwartz, ex-directeur financier de France Télévisions, le gouvernement a livré sa feuille de route mercredi. Pas d’annonces concrètes pour le moment mais les trois ministres concernés, Fleur Pellerin (Culture), Emmanuel Macron (Economie) et Michel Sapin (Finances), ont indiqué le chemin à suivre. Parmi ces annonces, être plus audacieuse dans les programmes, attirer un public jeune, promouvoir la culture ou encore développer le numérique et réformer France 3. Cependant, quelques suggestions de Marc Schwartz n’ont pas été retenues par les trois ministres. L’ex-directeur financier de France Télévisions parlait de la création d’une chaîne d’info en continu, ou encore de revenir à la pub après 20 heures. Pour le moment, il n’en est pas question. autre piste proposée par le gouvernement : l’élargissement de l’assiette de la redevance. L’idée n’est pas nouvelle puisque François Hollande l’avait déjà formulée fin 2014. Elle a déjà augmenté de trois euros cette année pour atteindre 136 euros. Ben voyons et pourquoi pas 1000 euros ?
La semaine de François de Tulle, , normal 1er , Roy de France et de Corrèze
La semaine a débuté avec un sondage qui démontrait que 75% des Français étaient mécontents de François de Tulle, Roy de France et de Corrèze. Dimanche ce sont les médecins de Molière qui décidaient de ne plus faire de saignées, en cause un édit royal nationalisant la profession. Heureusement les lobbys s’unissent pour exterminer le french bashing et pour cela avec François de Tulle chante « tout va très bien madame la marquise ». Sauf que rien ‘n’est sûr y compris en ce qui concerne la reprise en Chine, l’usine du monde dont la production industrielle stagne ou recule. Du coup Valls de Vienne détourne l’attention sur l’enjeu des départementales : la cible, le FN ; on ne parle plus d’élections locales mais d’enjeux de partis ; Une erreur fatale car la nationalisation du débat va lui retomber sur le nez. Le bas peuple se moque des partis royaux, ce qu’il veut c’est des résultats sur la croissance et l’emploi. Le bas peuple ne comprend rien à la politique ! La preuve Valls de Vienne dégringole de 10 points dans les sondages. Devant la catastrophe électorale qui s’annonce, la cour s’agite ; Les verts proposent le vote obligatoire. Le duc de Cambadélis , ex marxiste reconverti dans les ordres royaux approuve. Une élection obligatoire avec un seul bulletin , celui de la gauche. Sourcilleuse la justice fait la moue. Mais on peut attendre 25 ou 50 ans avant qu’elle ne régisse. Comme pour l’affaire Balkany en cours depuis les années 90 ou l’affaire Tapie ou encore l’affaire de l’ avionneur Dassault ( au fait on en est où aussi pour les affaires de gauche , Cahuzac par exemple ?). . Pourtant François Roy de France fait ce qu’il peut pour la justice sociale. Il menace même les multinationales ( avec l’Europe) de leur faire payer l’impôt royal. Les multinationales tremblent évidemment. Heureusement il ya encore 25 000 milliards encore bien à l’abri dans les paradis fiscaux. Valls la menace, dit aussi Valls de Vienne, lui aussi milite pour la justice sociale et il annonce en grandes pompes ( il chausse du 52, une pointure proportionnelle à son ambition) que les retraités vont toucher 40 euros pour compenser 3 ans de gel des pension. Ça fait 1.11 euros par mois. Excessif comme d’habitude le colérique Valls. Hollande lui touchera 34 000 euros, normal pour un monarque pas même républicain. A la cour , certains parlent de fuir dès dimanche soir à Monaco, à Ouarzazate ou à Tulle. D’autres pensent quitter la cour et se reconvertir dans les affaires ( c’est déjà fait pour une partie denter eux). Montebourg par exemple nommé vice président de France habitat, Macron lui pourrait obtenir un poste de vendeur chez Ikea. Mais Valls de vienne restera à Versailles, il tiendra bon. Dès dimanche soit il a programmé uen crise colérique historique. On dit que les abstentionnistes de gauche pourraient être embastillés sitôt après la clôture du scrutin. La duchesse Taubira va devoir construire des établissements pénitentiaires pour environ 5 millions d’électeurs Soit 5000 prisons de 1000 détenus coupables de ne pas avoir voté pour le PS menacé maintenant de disparition. De quoi relancer la croissance , l’impact serait de 2.5% sur le PIB. De ce fait ‘inversion du chômage pourrait se produite et le retour du Roy en exil à Tulle serait possible.
God save the King
Radio France : le gâchis financier
Radio France encore en grève, une sorte de rituel mode SNCF. Un groupe de radio financé à 90% par la redevance avec des sureffectifs partout. Un budget de plus de 600 millions dont 90% pour la masse salariale. Une réfection du siège qui a couté 500 millions, la réfection du bureau du patron qui a couté 100 000 euros. Sauf exception ( France culture, radio classique, France info parfois) des programmes aussi insipides que ceux des radios privées. Comme tout le monde on se contente de reprendre les dépêches d’agences, du gouvernement ou des lobbys, le plus souvent sans commentaire ou analyse. . On attend avec impatience le rapport de la cour des comptes qui sortira en avril, ce devrait être gratiné. Pourquoi un groupe de radios d’Etat aussi important aujourd’hui ? Quand on peut écouter des dizaines et des dizaines de radios privées, lire des centaines de sites internet . Malgré tout un déficit de 50 millions ! Surréaliste, un exemple du gâchis financier de l’Etat qui intervient dans un champ qui n’est pas particulièrement régalien sauf pour diffuser la voix de son maître. Avec des syndicats corpos qui scient la branche sur laquelle ils sont assis. Et un président qui n’a pas honte : Le groupe public se retrouve en effet dans une impasse financière. En début de semaine, comme l’a indiqué « Le Monde », son président Mathieu Gallet a tiré la sonnette d’alarme dans une lettre adressée aux cadres du groupe. Il y évoque une « situation financière très préoccupante » alors que Radio France négocie actuellement avec sa tutelle son nouveau contrat d’objectifs et de moyens (COM), dont la durée (2015-2019) couvre celle du mandat de son président. Nommé par le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) en février, Mathieu Gallet a pris ses fonctions en mai. En octobre, il avait alerté son conseil d’administration sur un déficit d’exploitation anticipé pour 2014 de l’ordre de 5 millions d’euros. Deux mois plus tard, il met le sujet sur la place publique. « Radio France n’a plus les moyens de continuer à fonctionner comme par le passé avec un financement public en baisse régulière comme elle le connaît depuis ces dernières années, explique-t-il aux « Echos ». Le groupe ne peut plus économiser grand chose, et la marge de manœuvre sur ses ressources propres, qui représentent 10% de son budget, est faible». Ben voyons et c’est à peu près la même chose dans nombre de services dépendant de l’Etat, ce qui aboutit à une fiscalité au record mondial qui tue la compétitivité et l’initiative. Au chômage de masse aussi. Pour radio France, comme pour les autres services de l’Etat il serait temps de ne pas confondre taches régalienns, entreprises publiques et statuts du personnel. Il est plus urgent pour Radio France comme pour les autres entreprise publiques de recentrer l’action de l’Etat sur le management des tâches réellement régaliennes et non d’ intervenir comme opérateurs là ou d’autres peuvent faire mieux, et moins cher ( par recours à la délagtion de service public ou par transfert au privé). Autre exemple très proche de radio France, France télévision , 10 000 salariés !! . France télévision qui comme radio France vit essentiellement d’une redevance imposée à tous y compris à ceux qui n’écoute pas les radios publiques ou ne regarde pas les télés publiques.
PDG de Radio France : 100.000 euros pour rénover son bureau
Un exemple des gaspillages de l’Etat qui explique la fiscalité , la bureaucratie et illustre les dégâts de l’oligarchie. Alors que radio France est en pleine déconfiture financière, le directeur selon le Canard enchaîné, Mathieu Gallet a fait faire 100.000 euros de travaux pour rénover son bureau. Pas étonnant, le directeur est un pur produit de l’oligarchie, sorti d’un institut d’études politiques puis passé conseiller ministériel et « récompensé » par un poste à Radio France. Un modèle de gestion avec un déficit 21,3 millions d’euros cette année. Pourquoi conserver radio France, la télévision publique et les redevances qui vont avec alors qu’aujourd’hui on peut écouter des dizaines de radios, voir des centaines de chaines. Pour la qualité ? mais quelle qualité , à part de temps en temps France Info, France culture et radio classique. Pour lire bêtement les dépêches du gouvernement, des lobbys, des agences de presse ? Faire des radio-trottoirs populistes ou corpos ? Pour servir le gouvernement en place ? Il y a sûrement uen erreur d’agenda au ministère de la culture ( pourquoi pas un ministère de l’air ou de la boulangerie ?), nous somme en 2015 pas en 1915 !. Dans un article du Canard enchaîné à paraître ce mercredi, on apprend que Mathieu Gallet, le PDG de Radio France, aurait dépensé environ 105.000 euros pour rénover son bureau situé au troisième étage de la Maison de la Radio dans le 16e arrondissement de Paris. Selon l’hebdomadaire, factures à l’appui, il aurait fait refaire la moquette, la peinture, les stores électriques, et changé presque tout le mobilier qui datait de 1963. Ce bureau du PDG de Radio France avait déjà été rénové dans le cadre du grand chantier de réhabilitation de la Maison de la Radio, en novembre 2013. Arrivé en poste en mai 2014, après avoir été nommé en février, Mathieu Gallet aurait également fait refaire une partie des murs ornés de boiseries précieuses en palissandre. Une rénovation très coûteuse nécessitant un ébéniste spécialisé, le bois étant une essence rare. Ses deux prédécesseurs auraient eux repoussé ces travaux de boiserie, selon le journal. Catherine Sueur, directrice générale, interrogée par France Info, explique que ces dépenses n’ont « rien d’excessif« , comparé au montant total de la réhabilitation de la Maison de la radio, de 430 millions d’euros. Dans un communiqué, la direction indique également que « la restauration des boiseries et meubles de ce bureau et de ses annexes était prévue dans le budget 2014 adopté en décembre 2013« . Le Canard publie un document interne à Radio France, où la ligne « bureau du président » indique une estimation de 34.500 euros, puis une dépense réelle de 72.494 euros selon un « coût revu à la hausse ». Cela correspond seulement aux boiseries, indique le journal. En ajoutant 20.000 euros de nouveaux meubles et 15.000 euros de travaux, on parvient à plus de 105.000 euros (107.494 euros exactement). Cette affaire rappelle celle de la rénovation du bureau de Thierry Lepaon, ex-secrétaire général de la CGT, pour la somme de 62.000 euros. Mais cette annonce intervient surtout au plus mauvais moment pour le PDG de Radio France, alors que plusieurs syndicats ont déposé un nouveau préavis de grève pour la journée de jeudi. Il s’agit du troisième appel à la grève en un mois face aux craintes de mesures d’économies. Car Radio France et l’Etat doivent prochainement conclure un nouveau COM (Contrat d’objectifs et de moyens), la maison cherchant à faire 50 millions d’économies et le moyen de compenser le déficit de 21,3 millions d’euros prévu cette année. Dans ce contexte social, pour le syndicat Sud, le PDG va devoir s’expliquer. Il est intolérable, dit un de ses représentants, que de tels frais aient été engagés alors même que les salariés de Radio France et les moyens de production sont soumis au régime sec.
« il n’y a pas d’austérité en France » !! Berger (CFDT) dérape
En voulant contrer à la fois FO, la CGT et le FN , Laurent berger le secrétaire général de la CFDT se prend les pieds dans le tapis en affirmant qu’il n y a pas d’austérité en France. Etonnant de la part d’un leader syndical d’ordinaire mesuré et relativement pertinent dans ses analyses. Cette fois il est victime d’un regrettable dérapage médiatique. Bien entendu l’ austérité n’est pas comparable à celle de l’Espagne, de l’Italie encore moins de la Grèce. Mais il y a bien quand même uen austérité. Austérité qui se caractérise notamment par la montée de la pauvreté et des difficultés croissantes de nombre de Français moyens ( comment expliquer par exemple la crise de l’immobilier, la crise de automobile, le nombre croissant de ménages rencontrant des difficultés financières , sans parler évidemment du chômage). D’une certaine manière Berger – encore uen fois souvent pertinent- est victime du syndrome de l’oligarchie syndicale quand les responsables se préoccupent davantage de l’intérêt boutiquier de leur organisation que de l’intérêt des salariés. En clair quand ils se coupent des réalités sociales. Pas étonnant quand comme Berger , on est permanent depuis près de 20 ans ( en plus quand on n’ a jamais travaillé dans la production). Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, se démarque donc des autres centrales syndicales CGT et FO en affirmant dans Les Echos de ce lundi qu’ »il n’y a pas d’austérité en France ». La CFDT ne s’est pas associée à l’appel à la grève contre l’austérité lancé par les syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires pour la journée du 9 avril. »Les mots ont un sens. Il y a de la rigueur, des gens en bavent mais il n’y a pas d’austérité en France. Nous avons obtenu une hausse des minima sociaux, les salaires n’ont pas baissé… », affirme Laurent Berger. »La France n’est pas l’Espagne, le Portugal ou la Grèce. Le problème de la France, c’est le poids des inégalités », ajoute le numéro un de la CFDT. A une semaine du premier tour des départementales, Laurent Berger assure que « pour contrer la montée du FN, nous devons dire haut et fort que nous n’avons pas la même vision du progrès social, mais aussi faire attention à ne pas nourrir la désespérance sociale en affirmant que tout va mal partout ». Comme l’indique Berger , les mots ont un sens. Donc rappel de la définition de l’austérité :
« Politique économique visant à réduire l’ensemble des revenus disponibles pour la
consommation, par le recours à l’impôt, au blocage des salaires, à l’emprunt
forcé, aux restrictions de crédit ……… (Le but
recherché est le retour aux grands équilibres, le carré
magique.) » définition Larousse
Les revenus disponibles ont bien diminué du fait des impôts( 80 milliards en plus depuis l’arrivée de Hollande-la TVA par exemple-, les salaires sont bloqués, les crédits sont restreints et évidemment le chômage est historique. Berger oublie aussi que l’indice qui mesure l’inflation est obsolète du fait de la déformation de la structure de consommation. Les ménages modestes consacrant de plus en plus aux dépenses contraintes, du coup leur revenus disponibles diminuent. La morale de cette histoire, c’est qu’il serait temps-de limiter le temps des permanents syndicaux qui se coupent petit petit des réalités sociales et économiques et cela d’autant plus qu’il n’ont pas ou peu travaillé dans la production ( en clairi qu’ils ont été essentiellement fonctionnaires ou assimilés). Certes FO, la CGT , le FN tirent uen peu trop sur la corde du misérabilisme par démagogie mais à l’inverse il ne faudrait pas que la CFDT ( Berger en occurrence) chante trop souveit « tout va bien madame la marquise » car cela ne sert pas non plus le syndicalisme.
La semaine de François de Tulle, Roy de France( 15 mars 2015)
Une semaine ordinaire mais qui commence bien avec la réception de 100 femmes à l’Elysée : le rêve pour le Roy dont on dit à la cour qu’il ne serait pas insensible aux thèses islamistes du mariage pratiquées notamment dans les émirats. L’idée de transformer la république en émirat serait une solution pour éviter en même temps les procédures électorales superflues. Mais Taubira, l’orthodoxe, a décidé de s’opposer à cet éventuel ajustement des institutions. Valls de Vienne, lui ,est surtout occupé par la lecture des sondages, de plus en plus mauvais. Du coup comme habitude, il crie, il hurle, il vocifère pour masquer une peur qu’il avoue quand même. Il attaque même un philosophe, Onfray. Et sur son terrain. Retour de balle immédiat : « Valls n’a pas de culture, c’est un crétin » dit Onfray. La presse pour une fois pas trop servile condamne l’affolement de Valls. Pendant ce temps là le FN se banalise y compris en détournant l’objet des financements de l’Europe normalement destinés à rémunérer des assistants qui travaillent réellement pour l’Europe. Un faux procès en vérité car tous les partis utilisent les financements de ces assistaats en en détournant l’objet et l’argent ( en Europe et en France), bref le FN devient un parti comme les autres. A la cour, le petit prince Sarko essaye d’exister mais ce n’est pas facile ; en dépit des talonnettes il a du mal à se mettre à la hauteur. Il a promis « 10 à 15 mesures fortes pour début 2016 ». On attend avec impatience ! Mais la presse est davantage sensible aux 50 millions qu’il aurait touchés de Kadhafi en 2007. Un mensonge évidemment. Comme cette affaire de transferts de fonds de 500 000 euros de même provenance dans laquelle est impliqué Guéant. Une injustice même. Guéant ne peut évidemment produire de documents écrit sur ces tableaux puisqu’ils ont été achetés 30 euros dans un vide grenier il y a 20 ans. Et revendus 500 000 euros à un riche amateur inconnu. C’est pourtant clair ! Ces petits juges rouges sont vraiment incontrôlables. Même dans l’ affaire Tapie, ils osent impliquer Christine Lagarde pour « négligence ». Une honte ! Pour 400 millions qu’elle a attribués illégalement à Tapie . Le bas peuple ne lui en veut même pas puisque les Français la choisissent même comme la femme de France préférée. Drôle de choix d’amour ou alors il faudra éteindre la lumière. A la cour toujours les même petites intrigues après les frondeurs , ce sont les écolos qui se manifestent. Le parti pourrait exploser. Du coup même une cabine téléphonique sera trop grande pour réunir chacun de deux camps ( on parle de 2% aux départementales). Et Valls de Vienne qui tempête encore, contre tout, pour rien. Il ne comprend pas que les immigrés ne parviennent à ‘s’intégrer. Et de se citer en exemple . Pas sûr cependant qu’il soit possible pour tous les immigrés de devenir Premier ministre . Valls lui a réussi ce pari sans avoir jamais travaillé en passant par la case oligarque. Une belle réussite. Suffit de se bouger. Faudra aussi bouger les électeurs (pour les départementales) qui persistent dans leur intention d’aller à la pêche. Le vicomte de Ruby ( vert, EELV) envisage donc interdire la pêche le jour des élections. Mieux de rendre le vote obligatoire, de punir les absents. Certains extrémistes envisagent même de rendre obligatoire le vote à gauche. Bref de gros progrès en matière d’ingénierie démocratique. Le bas peuple se désespèrent de ces controverses politiciennes et ne veut plus croire dans le système et leurs représentants. Le peuple a tort de désespérer car un grande découverte scientifique vieet de prouver qu’on pouvait greffer des neurones dans le cerveau des souris. Pourquoi pas chez les politiques . Un cerveau de souris c’este quand même mieux qu’un cerveau d’oligarque !
God save the King !
Déficit : la France le très mauvais élève de l’Europe ( Draghi)
Pour Draghi la France est le très mauvais élève des grands pays de l’Europe en ne respectant pas les 3% de déficit ( il faut rappeler qu’à l’origine c’est la France qui a créé le concept et l’a imposé avec l’Allemagne à toute l’Europe). Draghi est donc en colère et Sapin le comprend ! En attendant, la France évite une amende et surtout une humiliation. La France bénéficiera bien de deux années supplémentaires pour faire passer son déficit sous les 3% du PIB. Après que la Commission européenne s’est prononcée pour ce délai, les ministres des Finances de l’Union européenne, réunis à Bruxelles ce mardi, ont validé cette décision. Paris a donc jusqu’en 2017 pour respecter la norme européenne. C’est la troisième fois depuis 2009 que la deuxième puissance économique de la zone euro obtient un sursis. Dans ses préconisations, rendues publiques le 25 février, la Commission européenne avait proposé de repousser la date butoir de 2015 à 2017 en exigeant du gouvernement français davantage d’efforts de réduction du déficit public du pays. Ce nouveau report n’est pas allé de soi, suscitant quelques grincements de dents parmi les partenaires européens de la France et jusque dans les rangs de la Commission. La Lettonie, la Pologne, et le Danemark voulaient ainsi sanctionner Paris, a rapporté la presse. Mario Draghi, le président de la Banque centrale lui-même, aurait fait savoir à l’Eurogroupe, lundi, qu’il jugeait trop souple l’attitude envers la France et l’Italie. « On comprend l’agacement de Mario Draghi, qui constate que presque tous les pays européens se conforment à la règle des 3% excepté un très mauvais élève parmi les grands pays », souligne Jean-Charles Simon, économiste et fondateur de FactaMedia, dans Good Morning Business. Or donner du temps à la France « c’est un signe de laxisme qui tombe mal. L’indice de confiance des investisseurs dans la zone euro, paru lundi, est à son plus haut niveau depuis août 2007. Donc le président de la BCE se dit sans doute qu’il est en train de réussir son opération pour redonner confiance aux marchés et faire baisser l’euro. Tous les ingrédients sont réunis. Mais il faut désormais que les Etats jouent le jeu, budgétairement, de la reprise » décrypte l’analyste. Michel Sapin, le ministre français des Finances, a dit comprendre l’énervement de certains responsables européens, mais a expliqué qu’une réduction plus rapide du déficit aurait eu des conséquences graves pour toute la zone euro.
Drones : 100.000 vendus l’an passé en France, pour quoi faire ?
Il ya les jouets dont on peut se servir dans sa cour. Il y a aussi ceux qu’on peut utiliser pour survoler des lieux publics. Et là c’est de l’inconscience totale. Dans un environnement de terrorisme généralisé, on sait bien qu’un tordu un jour ou l’autre va balancer un engin explosif à partir d’un drone. On interdit certes le survol de certains lieux à certaines conditions mais pour autant le phénomène drone se développe par provocation ou pure idiotie ; On attend quoi pour interdire la commercialisation des drones dangereux ? Il faut une commission enquête parlementaire, une conférence internationale, une information judicaire, une réunion extraordinaire de l’assemblée nationale ? D’après l’institut GFK, qui tient le registre de la commercialisation de produits de consommation, 100.000 drones de loisirs ont été achetés en France, en 2014. Les drones font désormais partie de notre quotidien. On ne parle pas uniquement des survols de lieux interdits, qui se multiplient, mais plus précisément de leurs ventes. Selon des chiffres obtenus par l’institut GFK, qui tient le registre de la commercialisation de produits de consommation (électroniques, particulier), Noël 2014 aura été la période la plus faste pour les ventes de ces objets volants. Elle indique, en effet, que 100.000 drones de loisirs ont été achetés en France, en 2014. Ce chiffre recouvre les ventes de ces appareils facturés entre 50 et 100 euros. Par ailleurs, ceux qui ont survolé les lieux interdits pèsent près d’un kilo et coûte plutôt près de 500 euros.
La semaine économique de François de Tulle, Roy de France (7 mars 2015)
Une semaine qui commence mal et se termine de la même manière, comme souvent. D’abord cette affaire de centrale de Fessenheim qui tombe en panne et s’arrête totalement. François de Tulle, Normal 1er aurait dû être satisfait puisque c’était sa promesse de 2012. Enfin une promesse tenue. Mais non maintenant il veut la maintenir ! Un caprice d’enfant sûrement. Ça mériterait bien une fessée. Malheureusement l’Europe vient de condamner la France : la fessée est aussi interdite. Un petit motif de satisfaction, le Duc de Sarko se plante dans son interview au Figaro en inventant un truc bizarre le FN-PS. D’abord c’est du plagiat ensuite le bas peuple n’y comprend rien. Pas en forme en ce moment le Duc. La mayonnaise ne prend pas. A la cour, une rumeur agaçante a propos des parlementaires en Syrie, le Roy savait ou ne savait pas ? Fabius avoue que tout le monde savait. Le traitre ! sans doute une petite vengeance vis-à-vis de la royale personne de François de Tulle ; cela parce que ce dernier a nommé Jospin à la place de Fabius au conseil constitutionnel. Poli, pédant même Fabius mais velléitaire quand même. « Personne ne comprend rien à ma politique » déclare François de Tulle. Il décide donc de parler directement aux lecteurs du Parisien. Et là : stupeur , rien, que des banalités royales. Extraits « Pour le chômage il n’y a pas de solution magique ». Lui aussi, il plagie, c’est du Mitterrand « pour le chômage on a tout essayé. « deuxième banalité ‘ c’est dans les PME qu’il faut créer de emploi ». Un proche de l’Elysée avoue que cette découverte a été faite par François en lisant « Modes et travaux » . troisième découverte pour le Roy François « Total devrait payer des impôts », toujours dans la rubrique économique de « modes et travaux » on apprend en effet que Total n’a pas payé d’impôts sur les sociétés pendant des années. Dernière annonce importante: les énarques qui vont gérer le service civique peut –être même le service militaire facultatif réinventé. Le théâtre d’opération pourraiat être le désert après de Gao ( Mali) ou se trouve déjà Le Groupement tactique interarmes (GTIA désert) ; la crainte avec les compétences de gestion des énarques c’est qu’ils ne réclament avant un an ‘d’importer du sable. Intimité enfin , la président a présenté la chienne de l’Elysée Philae à ses interlocuteurs du parisien. La presse pour uen fois pas docile fusille cette interview sans intérêt. Aussitôt pour se rattraper le Roy annonce qu’il n’y aura pas d’impôts d’ici 2017. Pas de chance encore: c’est déjà fait ( 80 milliards depuis le début du septennat). Le Roy oublie de parler de la fiscalité locale ( 2000 euros en moyenne par foyer), qui, elle, va crîitre de façon considérable sous le triple effet de la réduction de la dotation, de l’endettement local et de la dérives des dépenses ‘(surtout de personnel). Et c’est pas prêt de s’arrêter puisque 50%des candidats aux départementales sont des fonctionnaires. Coté dépenses des champions, coté fiscalité aussi ! l le bas peuple n’est pas dupe , la cote de François de Tulle et Valls de Vienne plonge. Aussitôt Valls de Vienne refait le coup du Clemenceau d’opérette. « je ne céderai pas, de l’autorité, de l’autorité » déclame-t-il pour la centième fois. » Au fait à propos de quoi ? On ne sait plus; normal à force, on n’écoute plus les paroles de la chanson. Pas content Valls de Vienne. Et il en remet ne n couche sur l’apartheid dans les banlieues :un milliard pour repeindre les cages d’escalier. De quoi combattre en même temps la violence, le terrorisme et la ghettoïsation. Il y a longtemps qu’il ne doit plus habiter dans un HLM le sieur Vals de Vienne pour être aussi certain de l’efficacité d’une telle politique. Et comme annoncé la semaine se termine mal avec les sondages des départementales ; élections par ailleurs illégales puisqu’on ne connait pas le rôle des départements que justement Hollande voulait supprimer en 2020. Faut suivre la pensée du Roy, pas évident. A la cour on chuchote que les partisans serviles(PS) ne conserveraient que 10 départements. 90 % des autres à l’opposition. « Sire , c’est une révolution » s’est écrié le petit prince de Macron qui ne mâche pas ses mots. A la cour il se murmure que le soir du dépouillement, le Roy pourrait s’enfuir à Varenne, Baden-Baden, Monaco ou Tulle. Mais Valls de Vienne lui tiendra bon face à la jacquerie, il restera : ‘ je ne tolérerai ….. » la suite, on connaît. Quelle autorité ! En plus quand il parle il rougit de plus en plus, comme un coq ; normal il veut régner à la pace du calife sur la basse cour.
Plan européen Juncker¨ La France annonce 8 milliards d’euros on les prend où ?
Réponse dans la poche du déposant du livret A notamment ( via la caisse de dépôts). La France connait toujours de déficits record, pour autant le gouvernement annonce une contribution de 8 milliards au plan européen de relance de Juncker. Un plan qui d’effet de levier en effet de levier très hypothétiques part de 21 pour aboutir à plus de 300. En réalité c’est surtout le secteur privé qui va payer. Un plan de relance européen, ce peut être une très bonne chose, c’est même nécessaire. Mais encore uen fois ces 300 milliards sont très théoriques . En outre on peut s’étonner que la France trouve aussi facilement 8 milliards ( alors qu’elle n’est pas capable de réduire de 2 milliards son déficit budgétaire). De toute façon, il ‘s’agit de 8 milliards virtuels à tirer sur la BPI et la caisse de dépôt quand les investissements auront prouvé leur rentabilité et leur financement privé ( c’est pas pour demain car il s’agira surtout d’investissements publics). Bref come pour tous les plans de relance européen, beaucoup de bruit médiatique pour pas grand résultat. La France va engager huit milliards d’euros dans le cadre du plan d’investissements de la Commission européenne, a annoncé vendredi François Hollande. « La Banque publique d’investissement et la Caisse des dépôts vont abonder de huit milliards » le plan de la Commission, a dit le président français à Luxembourg lors d’un entretien avec le président de la Banque européenne d’investissement (BEI), selon des propos rapportés par son entourage. Le président de l’exécutif européen, Jean-Claude Juncker, a dévoilé en novembre dernier un plan qui devrait permettre de mobiliser 315 milliards d’euros sur trois ans. Le Fonds européen pour les investissements stratégiques (FEIS) disposera d’un capital garanti de 21 milliards d’euros apportés pour 16 milliards par le budget de l’UE et pour cinq milliards par la Banque européenne d’investissement. Chaque euro public est supposé engendrer 15 euros d’investissement privé selon une estimation qualifiée de « prudente » par la Commission. La garantie de 21 milliards d’euros doit ainsi permettre d’en lever 63, donc trois fois plus, sur les marchés afin de réaliser les premiers investissements – prêts, participations directes ou indirectes, entre autres. La Commission espère que la contribution du secteur privé multipliera ensuite ce montant par cinq, pour arriver à 315 milliards.