Archive pour le Tag 'France'

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Crise : la France surtout victime du centralisme démocratique

Crise   : la France  surtout victime du centralisme démocratique
Peu d’experts auront sans doute observé que depuis des années la France se caractérise surtout par une gestion très pyramidale proche du centralisme démocratique chère aux marxistes mais aussi aux technocrates. La plupart des grands sujets sont bloqués au niveau central précisément parce qu’ils n’ont pas fait l’objet d’un débat décentralisé par les acteurs socio-économiques. Cette quasi absence de débat démocratique en profondeur est sans doute au cœur de notre crise politique

Le phénomène n’est pas nouveau mais Macron s’est fait une religion de torpiller les organes intermédiaires qui permettaient d’une part de procéder à des analyses partagées et à des compromis équilibrés entre les différents intérêts. C’est ainsi par exemple que on parle aujourd’hui essentiellement de la question des salaires, de la retraite, du chômage et des conditions de travail du service public essentiellement au plan national entre responsables politiques.

Faute de discussions préalables voir même de compréhension du réel, les positions sur nombre de sujets socio-économiques se figent et souvent s’affrontent pour conduire à la paralysie. Le Conseil économique et social par exemple a souvent dénoncé l’espace de plus en plus réduit du débat social et économique en France. Du coup tout est politisé, déformé voire ridiculisé.

La France souffre de son insuffisance chronique à associer les partenaires sociaux intermédiaires pourtant indispensables pour permettre la compréhension de problématiques souvent complexes et qu’on ne peut résoudre de façon simpliste, irresponsable et démagogique.

Le problème, c’est que cette culture de centralisme démocratique domine les partis politiques de droite comme de gauche. À droite on se sert de la raison technocratique pour imposer des solutions bâclées et rapidement obsolètes. ( Ne parlons pas de l’extrême droite qui conteste le concept de syndicalisme).  À gauche,  en tout cas dans la gauche de coloration marxiste du NFP, c’est l’idéologie marxiste qui commande l’adhésion au centralisme démocratique.

Un seul exemple la question des salaires qui ne peut se résumer qu’au seul relèvement du SMIC qui va encore écraser les grilles de salaires. Ce débat relativement technique doit évidemment être d’abord pris en compte par les acteurs sociaux et les organisations représentatives en tenant compte bien sûr des réalités de chaque branche. Il en est de même concernant le chômage qui doit intégrer les situations particulières des branches et des régions. Toute mesure d’autorité prise sans concertation d’abord n’est pas comprise voire est rejetée et se révèle rapidement inopérante. En outre la question- réelle – du pouvoir d’achat ne peut se réduire au seul problème de l’augmentation des salaires.

Crise politique : la France surtout victime du centralisme démocratique

Crise politique  : la France  surtout victime du centralisme démocratique
Peu d’experts auront sans doute observé que depuis des années la France se caractérise surtout par une gestion très pyramidale proche du centralisme démocratique chère aux marxistes mais aussi aux technocrates. La plupart des grands sujets sont bloqués au niveau central précisément parce qu’ils n’ont pas fait l’objet d’un débat décentralisé par les acteurs socio-économiques. Cette quasi absence de débat démocratique en profondeur est sans doute au cœur de notre crise politique

Le phénomène n’est pas nouveau mais Macron s’est fait une religion de torpiller les organes intermédiaires qui permettaient d’une part de procéder à des analyses partagées et à des compromis équilibrés entre les différents intérêts. C’est ainsi par exemple que on parle aujourd’hui essentiellement de la question des salaires, de la retraite, du chômage et des conditions de travail du service public essentiellement au plan national entre responsables politiques.

Faute de discussions préalables voir même de compréhension du réel, les positions sur nombre de sujets socio-économiques se figent et souvent s’affrontent pour conduire à la paralysie. Le Conseil économique et social par exemple a souvent dénoncé l’espace de plus en plus réduit du débat social et économique en France. Du coup tout est politisé, déformé voire ridiculisé.

La France souffre de son insuffisance chronique à associer les partenaires sociaux intermédiaires pourtant indispensables pour permettre la compréhension de problématiques souvent complexes et qu’on ne peut résoudre de façon simpliste, irresponsable et démagogique.

Le problème, c’est que cette culture de centralisme démocratique domine les partis politiques de droite comme de gauche. À droite on se sert de la raison technocratique pour imposer des solutions bâclées et rapidement obsolètes. ( Ne parlons pas de l’extrême droite qui conteste le concept de syndicalisme).  À gauche,  en tout cas dans la gauche de coloration marxiste du NFP, c’est l’idéologie marxiste qui commande l’adhésion au centralisme démocratique.

Un seul exemple la question des salaires qui ne peut se résumer qu’au seul relèvement du SMIC qui va encore écraser les grilles de salaires. Ce débat relativement technique doit évidemment être d’abord pris en compte par les acteurs sociaux et les organisations représentatives en tenant compte bien sûr des réalités de chaque branche. Il en est de même concernant le chômage qui doit intégrer les situations particulières des branches et des régions. Toute mesure d’autorité prise sans concertation d’abord n’est pas comprise voire est rejetée et se révèle rapidement inopérante. En outre la question- réelle – du pouvoir d’achat ne peut se réduire au seul problème de l’augmentation des salaires.

Crise politique en France : le pays surtout victime du centralisme démocratique

Crise politique en France : le pays surtout victime du centralisme démocratique

 
Peu d’experts auront sans doute observé que depuis des années la France se caractérise surtout par une gestion très pyramidale proche du centralisme démocratique chère aux marxistes mais aussi aux technocrates. La plupart des grands sujets sont bloqués au niveau central précisément parce qu’ils n’ont pas fait l’objet d’un débat décentralisé par les acteurs socio-économiques.

Le phénomène n’est pas nouveau mais Macron s’est fait une religion de torpiller les organes intermédiaires qui permettaient d’une part de procéder à des analyses partagées et à des compromis équilibrés entre les différents intérêts. C’est ainsi par exemple que on parle aujourd’hui essentiellement de la question des salaires, de la retraite, du chômage et des conditions de travail du service public essentiellement au plan national entre responsables politiques.

Faute de discussions préalables voir même de compréhension du réel, les positions sur nombre de sujets socio-économiques se figent et souvent s’affrontent pour conduire à la paralysie. Le conseil économique et social par exemple a souvent dénoncé l’espace de plus en plus réduit du débat social et économique en France. Du coup tout est politisé, déformé voire ridiculisé.

La France souffre de son insuffisance chronique à associer les partenaires sociaux intermédiaires pourtant indispensables pour permettre la compréhension de problématiques souvent complexes et qu’on ne peut résoudre de façon simpliste, irresponsable et démagogique.

Le problème c’est que cette culture de centralisme démocratique domine les partis politiques de droite comme de gauche. À droite on se sert de la raison technocratique pour imposer des solutions bâclées et rapidement obsolètes. ( Ne parlons pas de l’extrême droite qui conteste le concept de syndicalisme).  À gauche,  en tout cas dans la gauche de coloration marxiste du NFP, c’est l’idéologie marxiste qui commande l’adhésion au centralisme démocratique.

Un seul exemple la question des salaires qui ne peut se résumer qu’au seul relèvement du SMIC qui va encore écraser les grilles de salaires. Ce débat relativement technique doit évidemment être d’abord pris en compte par les acteurs sociaux et les organisations représentatives en tenant compte bien sur des réalités de chaque branche. Il en est de même concernant le chômage qui doit intégrer les situations particulières des branches et des régions. Toute mesure d’autorité prise sans concertation d’abord n’est pas comprise voire est rejetée et se révèle rapidement inopérante.

Risques de cas de Mpox en France

Risques de  cas de Mpox en France 

Dans une interview à la Tribune, le ministre de la santé Français attire l’attention sur le risque de cas de MTOX en France( variole du singe). Face à la propagation du nouveau variant du virus Mpox, l’OMS a rehaussé vendredi son état d’alerte au niveau maximal. 

 

 

LA TRIBUNE DIMANCHE - Des cas du nouveau variant du virus ont-ils été détectés en France?

FRÉDÉRIC VALLETOUX - Jusqu’à présent, aucun. Chaque suspicion fait l’objet d’un séquençage. Pour l’instant, cela n’a pas donné lieu à la découverte d’un patient atteint par ce nouveau variant du Mpox.

Faut-il tout de même se préparer à voir la maladie surgir aussi dans le pays?

La France n’est pas isolée. Donc oui, on s’attend, comme tous les pays européens, à des cas déclarés, notamment en raison des allées et venues avec les zones d’Afrique touchées. Je ne suis pas devin et je ne peux pas prédire combien de cas il y aura. Mais il y a de fortes chances que des cas sporadiques apparaissent, et sans doute prochainement.

L’OMS a lancé une alerte mondiale. Faut-il s’en inquiéter?

Cet appel de l’OMS a surtout un double objectif. Le premier est de mettre en garde contre un virus d’une forme nouvelle qui doit être pris au sérieux et faire l’objet d’une solidarité internationale. C’est pour cela que l’OMS fait appel à une mobilisation de financement pour des vaccins, parce que le virus concerne surtout des pays aux systèmes de santé fragiles. C’est la raison pour laquelle le président de la République a décidé de donner des vaccins aux pays les plus touchés. Le second est de mettre en alerte l’ensemble des systèmes de santé de façon que chacun soit vigilant et en capacité de réagir. On parle d’un type d’épidémie dont le mode de diffusion et de contamination n’a rien à voir avec le Covid

Qu’est-ce qui a été mis en place depuis le lancement de cette alerte?

Tous les professionnels de santé ont été alertés par le ministère et les agences régionales de santé. Nous allons également avertir toutes les personnes qui ont voyagé dans les zones touchées, au départ et à l’arrivée de chaque vol. Nous allons poursuivre la vaccination. Elle ne concerne cependant pas la totalité de la population, seulement le public le plus exposé. Les rapports sexuels sont le mode de contamination le plus courant pour le clade 1B [nouvelle souche du virus], c’est pourquoi nous allons sensibiliser en particulier les publics les plus exposés à ce risque par le biais d’associations et de réseaux adaptés.

Aucun dispositif spécial n’est donc prévu?

Depuis 2022 et la première vague épidémique de clade 2, la France a mis en place un système de surveillance, de dépistage et de traitement qui a démontré son efficacité. Cette année-là, nous avions détecté à peu près 5000 cas sur le territoire. Puis il y en a eu 52 en 2023. Et pour l’instant, nous en sommes à 107 en 2024. Le système que nous avons déployé a permis la vaccination d’environ 150 000 personnes sur les trois dernières années.

Mais les vaccins valaient pour la précédente souche. Sont-ils également efficaces avec ce nouveau variant?

Ce nouveau virus a certes une létalité plus forte en Afrique. Il est trop tôt pour avoir des certitudes sur le niveau d’efficacité des vaccins sur ce variant. Aujourd’hui, nous avons des stocks robustes qui permettent une réponse adaptée. Nous en avons plus qu’en 2022 et nous pouvons en commander rapidement si besoin.

L’alerte lancée par l’OMS rappelle évidemment la période Covid. Prévoyez-vous une campagne de sensibilisation pour éviter la panique?

On parle d’un type d’épidémie dont le mode de diffusion et de contamination n’a rien à voir avec le Covid. Il faut donc rassurer la population de ce point de vue-là: les réponses ne seront absolument pas les mêmes. Cependant, je sais qu’à chaque suspicion d’épidémie ou à chaque alerte un certain nombre de fausses informations circulent. Il faut seulement expliquer ce qu’est le Mpox et les gestes de prévention à adopter pour rassurer la population. À ce jour, nous avons un appareil de santé qui permet des prises en charge sûres et limite la propagation, comme cela a pu être le cas en 2022

Santé -Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Santé :-Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Le premier ministre français déclare une vigilance urgente vis-à-vis de la variole du singe (mpox) surtout après le cas constaté en Suède. Le ministre français de la santé n’exclut pas des cas en France. 

La Suède a   déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse. L’Europe craint aussi une contagion plus large.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Le premier ministre français déclare une vigilance urgente vis-à-vis de la variole du singe (mpox) surtout après le cas constaté en Suède. La Suède a en effet  déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse. L’Europe craint aussi une contagion plus large.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Variole du singe : Urgence aussi en France après un cas en Suède

Variole du singe  : Urgence aussi en France après un cas en Suède

La Suède a déclaré ce jeudi 15 août qu’elle avait confirmé un premier cas de mpox, une infection virale qui se propage par contact étroit. Il s’agit d’une première hors d’Afrique. «Dans l’après-midi, nous avons eu la confirmation qu’il y avait un cas en Suède de la forme la plus grave de la variole, celle appelée Clade I», a déclaré Jakob Forssmed, ministre de la santé et des affaires sociales, lors d’une conférence de presse.

 

Mercredi, l’OMS a déclaré que la variole constituait une urgence de santé publique mondiale pour la deuxième fois en deux ans, à la suite d’une épidémie survenue en République démocratique du Congo et qui s’est propagée à d’autres pays. Cette maladie, anciennement connue sous le nom de variole du singe, a été recensée dans 16 pays africains depuis janvier 2022, date de la dernière épidémie mondiale, avec une augmentation des décès de 160% des cas en 2024.

 

Actuellement, la majorité des 13.000 cas recensés depuis 2024 en Afrique sont liés au clade 1. Mais les préoccupations de l’OMS portent sur une souche émergente, distincte de celles déjà connues. Elle a été identifiée sous le nom de clade 1B par des chercheurs de l’Institut national de recherche biomédicale à Kinshasa dans une publication de la revue Nature Medicine, le 13 juin 2024.

 

Céréales : prix mondial en baisse mais récoltes catastrophiques en France

Céréales : prix mondial en baisse mais récoltes catastrophiques en France

Une très bonne production mondiale des céréales provoque un repli des cours du blé sur les marchés mondiaux . Par contre en France production et qualités sont catastrophiques du fait des aléas météorologiques.

La situation s’apparente à une double pleine pour les producteurs en France, où la moisson de blé tendre s’annonce comme la plus faible depuis les années 1980. «En plus d’une petite production, on a une qualité catastrophique», indique Damien Vercambre, analyste pour la société Inter Courtage. Les taux de protéines semblent bons mais le «poids spécifique», un critère important pour les exportateurs, n’est pas au rendez-vous, estime-t-il. «Les grains sont petits et pas très remplis», explique le spécialiste.

 

France : des gouvernements provisoires pour longtemps

France : des gouvernements provisoires pour longtemps

Avant les JO beaucoup se préoccupaient  de la constitution du nouveau gouvernement et particulièrement de la désignation du Premier ministre. Depuis la parenthèse olympique,  cette problématique semble devenir secondaire à tel point d’ailleurs que la candidate désignée par le nouveau front de gauche se débat avec beaucoup de maladresse dans son anonymat.

 

Pour l’instant ce qu’on connaît d’elle c’est qu’elle veut augmenter la fiscalité des expatriés et qu’elle fait par à la terre entière de son coming out dont  tout le monde se fout éperdument. Si par hypothèse  elle devenait  premier ministre, elle serait sans doute immédiatement sanctionnée par une motion de censure. Mais ceci vaut aussi pour tout autre candidat puisqu’il n’y a aucune majorité possible au Parlement.

La vraie question aujourd’hui est de de savoir quand se produira cette motion de censure qui mettra fin au gouvernement. Du coup faute de majorité possible, le président pourrait être contraint de nommer des gouvernements provisoires qui pourraient durer longtemps !Pas forcément une mauvaise posture pour Macron qui occuperait alors presque seul le champ politique en se gargarisant des divisions de toute la classe politique. Le risque étant cependant celui d’une crise institutionnelle et de la paralysie d’une grande partie du pays.

Politique France : des gouvernements provisoires pour longtemps

Politique  France : des gouvernements provisoires pour longtemps

Avant les JO beaucoup se préoccupaient  de la constitution du nouveau gouvernement et particulièrement de la désignation du Premier ministre. Depuis la parenthèse olympique,  cette problématique semble devenir secondaire à tel point d’ailleurs que la candidate désignée par le nouveau front de gauche se débat avec beaucoup de maladresse dans son anonymat.

 

Pour l’instant ce qu’on connaît d’elle c’est qu’elle veut augmenter la fiscalité des expatriés et qu’elle fait par à la terre entière de son coming out dont  tout le monde se fout éperdument. Si par hypothèse  elle devenait  premier ministre, elle serait sans doute immédiatement sanctionnée par une motion de censure. Mais ceci vaut aussi pour tout autre candidat puisqu’il n’y a aucune majorité possible au Parlement.

La vraie question aujourd’hui est de de savoir quand se produira cette motion de censure qui mettra fin au gouvernement. Du coup faute de majorité possible, le président pourrait être contraint de nommer des gouvernements provisoires qui pourraient durer longtemps !Pas forcément une mauvaise posture pour Macron qui occuperait alors presque seul le champ politique en se gargarisant des divisions de toute la classe politique. Le risque étant cependant celui d’une crise institutionnelle et de la paralysie d’une grande partie du pays.

Société- »Panem et circenses » : la martingale politique pour la France !

Société- »Panem et circenses » : la martingale politique pour la France !

 

La recette n’est pas nouvelle sous l’empire romain déjà on considérait  que le bonheur des peuples était conditionné par la satisfaction de jouir suffisamment de pain et des jeux ( panem et circenses). En France, les JO ont été l’occasion pour une société qui  doute sérieusement d’elle-même et qui craint son déclassement de découvrir à nouveau la joie des jeux. Une ambiance qui tranche avec la tristesse voire le tragique de la situation économique et politique.

Au plan économique en  effet,  la France se dirige lentement mais sûrement vers une faillite financière qui rappelle celle de la Grèce et au plan politique le pays pourrait connaître une crise institutionnelle du fait de la paralysie de toutes les institutions,  présidence de la république y compris.

Le pays souffre d’immobilisme car noyauté par une élite incompétente et condescendante dont Macron représente sans doute l’exemple le plus caractéristique. La France a livré le pays aux énarques et autres diplômés d’instituts politiques . Ni technocrates véritablement, ni techniciens ni même très cultivés, les énarques ont mis la main sur les postes clés de l’économie et de la politique. La plupart mettraient en faillite en moins de six mois la moindre épicerie si on leur en confiait la gestion. Du coup,  les Français attendent désespérément le pain dont une grande partie est désormais financée par la dette. Faute de pain suffisant et mieux réparti, l’opinion se gave pour un temps de l’heureuse parenthèse des jeux.

Bilan JO: La France valeureuse en sport collectif mais nulle en athlétisme

Bilan JO: La France valeureuse en sport collectif mais nulle en athlétisme

Peut-être que pour compenser une situation économique et politique catastrophique, les Français s’enivrent de la joie des JO et des médailles obtenues par le pays. Indiscutablement la France a mieux fait que d’ordinaire à un détail près elle remporte surtout ses trophées dans les sports collectifs ou les disciplines techniques voire marginales. Par contre, c’est le grand vide en athlétisme. Comment se gargariser des victoires françaises aux JO avec une seule médaille dans l’épreuve reine que constitue l’athlétisme ?

Pour ne pas gâter cette atmosphère d’unité exceptionnelle, les experts et autres commentateurs se font très rares pour commenter cette absence totale ou presque de la France en athlétisme.

Le tableau des médailles de la France offre un visage très positif mais surtout grâce à de nombreuses disciplines ajoutées sans cesse et qui permettent  à la France de briller quand même un peu.

Le bilan en athlétisme caractérise un pays qui n’a jamais été très sportif et qui a caché sa faiblesse derrière quelques athlètes exceptionnels mais beaucoup trop rares. En cause évidemment une politique sportive inexistante ou presque dans le système scolaire où la plupart des autres nations recrutent  leurs futurs champions. On objectera peut-être que l’éducation physique et sportive n’est pas le premier objectif de l’enseignement en France. Mais on fera remarquer également que dans les matières essentielles comme la maîtrise de la langue- ou les mathématiques- la France figure aussi en bas du tableau international.

Bien sûr il n’y a pas lieu de bouder son plaisir des récompenses reçues aux JO et surtout de cette joie collective qui remplace provisoirement l’humeur particulièrement déprimée concernant notre situation économique, financière et politique. Macron ne s’y est pas trompé alors qu’il est complètement englué dans l’immobilisme au plan politique ,il multiplie visites et embrassades sur les différents plateaux sportifs- surtout très télévisés- pour récupérer un peu de sa popularité perdue. En vain, car cette instrumentalisation des JO et sa récupération n’empêcheront pas de constater à la rentrée que le roi est nu et pathétique en même temps.

 

La France : un pays de sport ?

La France : un pays de sport ?

Et si la France devenait un pays de sport s’interroge Stéphane Collinot dans la Tribune

Pendant ses vacances bretonnes, Marie-George Buffet se délecte en famille des Jeux olympiques, comme des millions de Français. À ceci près qu’entre deux médailles ses réflexes militants la rattrapent. « J’ai envie de lancer une pétition nationale, confie la très respectée ministre de la Jeunesse et des Sports de Lionel Jospin, entre 1997 et 2002. Après avoir vécu ces choses magnifiques, on ne peut pas continuer avec un budget ridicule. Ce que le monde de la culture a obtenu en se mobilisant dans les années 1980, le sport doit le réclamer à son tour : 1% du budget de l’État, et non 0,3% comme aujourd’hui. Il doit se faire entendre par des initiatives et des rassemblements. »

 

Surfer sur cette vague populaire pour faire du sport un levier puissant de cohésion, de bien-être et de fierté, beaucoup y songent. À commencer par Emmanuel Macron, qui a décrété l’activité physique et sportive grande cause nationale en 2024, et par la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, qui promeut trente minutes d’activité physique quotidienne. Ce match n’est pas gagné. Même les idoles de cet été enchanté sont sceptiques. À peine avaient-ils épongé leur sueur et quitté des Arena en feu que Teddy Riner et Florent Manaudou rafraîchissaient l’atmosphère. « La France n’est pas un pays de sport », ont-ils asséné tour à tour, rejoints par Marie-José Pérec et Yannick Noah.

Persuadé que les médailles et l’engouement de la quinzaine reposent souvent sur le sable d’exploits individuels, Florent Manaudou s’inquiète pour le haut et le bas de la pyramide sportive. Il s’interroge sur la pérennisation des aides accordées depuis trois ans aux athlètes de haut niveau et se désole de l’état de nos installations sportives. Qu’il compare à la qualité époustouflante des gymnases ou piscines universitaires aux États-Unis. « La moitié de nos équipements a plus de trente ans », confirme Guillaume Dietsch, enseignant agrégé, coauteur d’Une histoire politique de l’EPS (De Boeck).

Amélie Oudéa-Castéra fait valoir que près de 1 milliard d’euros a été investi en deux quinquennats et que 5 000 équipements de proximité sont en train de sortir de terre. « C’est peu, et on parle de beaucoup d’espaces publics sportifs, comme des city stades, des skateparks, recadre Guillaume Dietsch. C’est très bien, mais ça ne bénéficiera pas aux gens éloignés du sport si on n’y met pas d’éducateurs. » Il en faudra d’autres dans les clubs pour accueillir à la rentrée les foules inspirées par le pongiste Félix Lebrun, la vététiste Pauline Ferrand-Prévot ou encore le nageur Léon Marchand.
Comment les attirer ? Dans son rapport « Pour un sport plus démocratique, plus éthique et plus protecteur », coécrit avec l’ancien athlète Stéphane Diagana, Marie- George Buffet a préconisé des mesures pour faire basculer le mouvement sportif dans une autre ère. « Un bénévole pourrait bénéficier d’une décharge en entreprise, ou d’une indemnité financée par les moyens publics, qui compterait pour sa retraite », suggère-t-elle.

Encore faudrait-il que le sport, absent des derniers débats électoraux, suscite l’intérêt de la classe politique. « À l’Assemblée, quand on se retrouvait avec les référents sports des différents partis, se souvient Marie-George Buffet, on rigolait parce que personne ne voulait notre place, alors que tout le monde avait un avis sur la culture. »

On doit réclamer 1% du budget de l’État, et non 0,3% comme aujourd’hui

L’ancienne ministre des Sports Marie-George Buffet

Nombre de députés ont également des idées sur l’Éducation nationale. Où le sport n’a rien d’une priorité. « Il n’y a que deux heures hebdomadaires d’EPS au lycée », s’est encore étranglé Florent Manaudou. « C’est même une heure vingt en moyenne, à cause des temps de transport vers les installations, et ce à l’âge précis où il y a le plus d’abandon de la pratique », regrette Guillaume Dietsch, tout en jugeant que la bataille se perd bien plus tôt, dès la maternelle : « Quand on emmène un enfant de 3 ans vers le sport, on développe l’apprentissage par le corps, des compétences cognitives et psychosociales. On pourrait lutter contre les inégalités, transformer les mentalités et construire un pays de sport, alors qu’aujourd’hui la France n’est qu’un pays de sportifs. »

L’enseignant plaide pour un sport mixte et intergénérationnel, qu’il ne constate pas sur les playgrounds de basket et autres terrains de jeu. Ce qu’ont su faire certains pays du nord de l’Europe et anglo-saxons. Cofondateur de l’agence OverBoarder, qui place des sportifs européens dans des universités américaines, Benoit Matival constate qu’outre-Atlantique le sport est central dans les réunions de parents. « Ça développe une culture, y compris pour aller supporter le club local, souligne-t-il. Et ça amène une vision différente des sportifs, très valorisés dans le monde de l’entreprise. »
Malgré des progrès notables, le regard des Français sur la pratique physique reste à améliorer. « Depuis Descartes, on a séparé l’esprit et le corps, qui est dévalorisé, rappelle Béatrice Barbusse, sociologue, vice-présidente de la Fédération française de handball. Tout sportif de haut niveau a vécu ce dénigrement. À Normale sup, je ne disais pas que je l’étais. Pourtant, faire des choix en un centième de seconde, c’est de l’intelligence. »

Pour certains universitaires, le système est néanmoins loin d’être à jeter. « Certaines formulations m’agacent prodigieusement, car la France est déjà une grande nation sportive », a déclaré l’historien Patrick Clastres dans le magazine de l’Ufolep, première fédération sportive multisports. Il en veut pour preuve les « 16 millions de licenciés, et autant de pratiquants autonomes ». Il précise également que « pour ce qui est des médailles, le chercheur libanais Nadim Nassif a montré que, rapporté à sa population, la France se situait au deuxième rang mondial derrière les États-Unis » tous sports confondus (olympiques et non olympiques).

Le parallèle avec l’Inde, 1,4 milliard d’habitants et cinq médailles à Paris (64e place), invite à relativiser l’autoflagellation, cette discipline que l’Hexagone pourrait survoler si elle était olympique. Mais d’autres questions affleurent alors que le top 5, l’objectif assigné, est en vue. Pourquoi la France est-elle absente de la discipline reine, l’athlétisme ? Pourquoi les Australiens, les Néerlandais ou les Norvégiens nous dominent-ils au classement par PIB ou par population ? « Le regard sur le sport peut changer, mais ça prendra du temps car il est ancré dans notre culture, émet Béatrice Barbusse. Ces JO peuvent y participer. Si des moyens sont mis, le sport sera progressivement replacé dans le champ normal des activités. »
Stéphane Colineau

JO basket F: Une équipe de France encore exemplaire

JO basket F: Une équipe de France encore exemplaire

 

Pour la première fois depuis longtemps l’équipe féminine de basket des États-Unis a tremblé devant l’équipe de France. Les bleues ont finalement perdu d’un seul petit point mais ont été exemplaire notamment grâce à leur défense de fer. L’équipe des États-Unis n’a évidemment pas démérité, elle a aussi offert un spectacle de bonne qualité. Finalement c’est le hasard qui a tranché avec une pointe de pieds sur la ligne des trois points ( donc 2 au lieu de troispoints au liue de 3) sur le dernier tir français.

Bilan JO: La France valeureuse en sport collectif mais nulle en athlétisme

Bilan JO: La France valeureuse en sport collectif mais nulle en athlétisme

Peut-être que pour compenser une situation économique et politique catastrophique, les Français s’enivrent de la joie des JO et des médailles obtenues par le pays. Indiscutablement la France a mieux fait que d’ordinaire à un détail près elle remporte surtout ses trophées dans les sports collectifs ou les disciplines techniques voire marginales. Par contre, c’est le grand vide en athlétisme. Comment se gargariser des victoires françaises aux JO avec une seule médaille dans l’épreuve reine que constitue l’athlétisme ?

Pour ne pas gâter cette atmosphère d’unité exceptionnelle, les experts et autres commentateurs se font très rares pour commenter cette absence totale ou presque de la France en athlétisme.

Le tableau des médailles de la France offre un visage très positif mais surtout grâce à de nombreuses disciplines ajoutées sans cesse et qui permettent  à la France de briller quand même un peu.

Le bilan en athlétisme caractérise un pays qui n’a jamais été très sportif et qui a caché sa faiblesse derrière quelques athlètes exceptionnels mais beaucoup trop rares. En cause évidemment une politique sportive inexistante ou presque dans le système scolaire où la plupart des autres nations recrutent  leurs futurs champions. On objectera peut-être que l’éducation physique et sportive n’est pas le premier objectif de l’enseignement en France. Mais on fera remarquer également que dans les matières essentielles comme la maîtrise de la langue- ou les mathématiques- la France figure aussi en bas du tableau international.

Bien sûr il n’y a pas lieu de bouder son plaisir des récompenses reçues aux JO et surtout de cette joie collective qui remplace provisoirement l’humeur particulièrement déprimée concernant notre situation économique, financière et politique. Macron ne s’y est pas trompé alors qu’il est complètement englué dans l’immobilisme au plan politique ,il multiplie visites et embrassades sur les différents plateaux sportifs- surtout très télévisés- pour récupérer un peu de sa popularité perdue. En vain, car cette instrumentalisation des JO et sa récupération n’empêcheront pas de constater à la rentrée que le roi est nu et pathétique en même temps.

 

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