Archive pour le Tag 'France'

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Attentat au Burkina Faso : la France toujours seule !

Attentat au Burkina Faso : la France toujours seule !

La France est toujours désespérément seule pour lutter contre les djihadistes  dans le Sahel même après l’attaque de Ouagadougou qui a fait 20 morts, dont un ressortissant français. Emmanuel Macron et son homologue burkinabé Roch Marc Christian Kaboré sont convenus de l’urgence « d’accélérer la mise en place de la force du G5 Sahel » contre les groupes djihadistes, écrit l’Elysée.

Une force G5 Sahel très actuelle qui repose essentiellement sur la France tandis que les autres pays de l’union européenne se désintéressent totalement de cette région immense aussi grande que l’Europe. Il faudrait trouver environ 1 milliard pour la financer et l’union européenne, une nouvelle fois temporise. Non seulement les autres pays européens ne sont pas engagés militairement mais ils rechignent à apporter leur contribution à une zone qui alimente à la fois le terrorisme et l’immigration clandestine. Tout manque pour constituer cette force G5 : les effectifs, la formation, les moyens militaires et financiers. Emmanuel Macron a pourtant salué dans un communiqué « la mobilisation efficace des autorités burkinabé » et s’est entretenu avec son homologue burkinabé Roch Marc Christian Kaboré. Certes il n’aurait peut-être pas été possible d’empêcher cet attentat mais il est cependant vital de lutter contre l’expansion jadis qui affecte le Sahel et qui demain pourraient contaminer l’Afrique de l’Ouest. Du coup l’appel du président français et du président qui n’avait apparaît un peu vain. Les deux présidents  »sont convenus de l’urgence de mettre en œuvre les décisions prises lors du sommet de Bamako du 2 juillet et d’accélérer la mise en place de la force du G5 Sahel. Ils auront tous les deux des contacts dans les prochains jours avec les autres chefs d’Etat de la région pour poursuivre cette mobilisation », peut-on lire dans un second communiqué. Les chefs d’Etat du G5 Sahel (Mali, Tchad, Mauritanie, Niger, Burkina Faso) ont lancé le mois dernier une force conjointe contre les groupes djihadistes qui continuent leurs activités meurtrières dans la région malgré la présence du contingent français de la force « Barkhane » et des casques bleus de la mission de l’Onu (Minusma). La force n’est cependant pas encore opérationnelle et connaît des difficultés budgétaires. La réalité est que la France supporte à peu près seule  le poids de sa présence militaire pour lutter contre le terrorisme dans cette immense région. 

 

 

 

Croissance France : du mieux

Croissance France : du mieux

Pour la Banque de France, la plupart des indicateurs économiques sont désormais revenus au vert d’après  son enquête mensuelle de conjoncture auprès des chefs d’entreprise. On  observe un rebond de la production industrielle en juillet qui devrait se poursuivre en août. Ce rebond est particulièrement important dans les secteurs de l’automobile, du plastique-caoutchouc et de la métallurgie. «Les carnets de commandes sont bien garnis, les stocks de produits finis sont revenus à leur bas niveau de 2010», précise la Banque de France. Par ailleurs, indique l’institution monétaire, l’activité dans le secteur du bâtiment continue de croître et les services restent toujours «dynamiques». C’est sans aucun doute une bonne nouvelle pour le président Emmanuel Macron. Et pour cause, si la croissance progresse bel et bien de 1,6 % en 2017 et non de 1,4 % comme initialement envisagé, les efforts budgétaires que l’exécutif doit réaliser encore cette année pour respecter les règles budgétaires européennes d’un déficit public à 3% pourraient ainsi être moins importants. Une révision à la hausse de la croissance se traduit en effet par une augmentation des recettes fiscales.

 

Consommation d’eau en France (CNRS)

Consommation d’eau en France (CNRS)

 

Les prélèvements totaux en eau dans le milieu naturel, en France, ont été estimés, pour l’année 1995, à 40 milliards de mètres cubes. Sur ce total, les consommations nettes (volumes d’eau non restitués immédiatement dans le milieu aquatique ou évaporés) s’élevaient à 5,6 milliards de mètres cubes, le reste (34,4 milliards de mètres cubes) ayant été restitué au milieu aquatique ou s’étant évaporé.

Sur ces 5,6 milliards de mètres cubes d’eau de consommations nettes :

  • 43 % ont été consommés par l’agriculture, via l’irrigation. Cette consommation agricole connaît un accroissement rapide, les surfaces irriguées ayant pratiquement quadruplé entre 1970 et 1997. Il faut, selon les cultures, de 500 à 4 000 mètres cubes d’eau par hectare en irrigation par aspersion, en année moyenne.
  • 42 % sont liés à la consommation en eau potable par les collectivités locales. On estime, en moyenne, que la consommation française en eau potable est de 150 litres par jour et par habitant.
  • 7 % ont été consommés par les activités industrielles. Les secteurs industriels les plus « gourmands » en eau sont notamment la métallurgie (il faut 300 à 600 litres d’eau pour produire un kilogramme d’acier), la chimie, l’agroalimentaire (il faut 300 à 400 litres d’eau pour produire 1 kilogramme de sucre), les raffineries de pétrole et l’industrie de la pâte à papier (il faut 40 à 500 litres d’eau pour fabriquer 1 kilogramme de papier, mais seulement 1 à 10 litres pour fabriquer 1 kilogramme de papier recyclé).
  • 8 % ont été consommés par la production d’électricité. En réalité, la très grande majorité de l’eau prélevée pour le fonctionnement des centrales électriques est restituée dans le milieu naturel… qu’elle peut perturber par sa température plus élevée.

Les prélèvements en eau représentent en France 24 % de la ressource annuelle disponible : 40 milliards de mètres cube, sur les 170 milliards de mètres cubes disponibles. Ce pourcentage est comparable à celui d’autres grands pays européens : Allemagne (25 %), Espagne (29 %) et Italie (32 %). En revanche, l’Irlande, la Suède et la Norvège ne prélèvent que 2 % de leurs ressources disponibles.

en France, 63 % de l’eau potable provient des eaux souterraines, et 37 % est produite à partir des eaux superficielles (eau des fleuves, des rivières et des lacs). La France compte environ 32 400 captages d’eau potable, dont 96 % sont d’origine souterraine (puits, forages ou sources), et seulement 4 % d’origine superficielle (lacs ou cours d’eau). Mais ce sont ces 4 % de captages superficiels qui produisent 37 % de l’eau d’alimentation française.

Fiscalité des multinationales de l’internet : Lemaire menace veut taxer en France

Fiscalité des multinationales  de l’internet : Lemaire menace veut  taxer en France

Bruno Lemaire, ministre de l’économie menace de taxer en France les GAFA si l’Europe n’harmonise pas la fiscalité.  L’optimisation fiscale ne touche pas que les GAFA mais la plupart des grandes multinationales. De quoi s’agit-il ? Tout simplement d’externaliser les profits dans un pays à la fiscalité avantageuse et d’internaliser les coûts où au contraire la pression fiscale est forte. Différentes méthodes sont utilisée comme la localisation bidon dans un paradis fiscal (une simple boite aux lettres comme siège social  comme ils en existent au Luxembourg et dans des pays exotiques), la surfacturation des prestations entre filiales, la minimisation des chiffres d’affaires et leurs transferts dans des pays fiscalement tolérants. Tout cela avec parfois la complicité de la justice. Exemple Google, récemment condamné  à une amende fiscale de 2,4 milliards et annulé par le tribunal administratif au motif que Google ne disposait pas d’un établissement « stable » en France. Justement ce qui lui est reproché !  Mais cette optimisation fiscale ne concerne pas seulement Google, Amazon, Facebook ou Apple mais toutes les multinationales y compris françaises.  L les pratiques d’optimisation fiscale des géants du Net comme Google, Apple, Facebook, Amazon ou encore Airbnb, qui paient un impôt dérisoire par rapport aux millions d’euros de chiffre d’affaires qu’ils réalisent dans le pays, apparaissent de plus en plus insupportables aux yeux de l’opinion. Hier encore, Le Parisien révélait qu’Airbnb a payé moins de 100.000 euros d’impôts en France en 2016, soit autant qu’une PME, alors qu’il s’agit de son deuxième marché mondial derrière les Etats-Unis. C’est pourquoi le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, s’est fendu d’un communiqué menaçant lundi soir. Le locataire de Bercy réclame une harmonisation fiscale menée à l’échelle européenne, « dans des délais raisonnables« , pour aboutir à une « juste imposition » des entreprises du numérique « dans les pays où leurs profits sont réalisés« . Pour cela, Bruno Le Maire réclame une harmonisation, à l’échelle européenne, du taux d’imposition sur les sociétés. « L’Europe doit mettre fin aux divergences des législations nationales, exploitées par les entreprises dans un but d’optimisation, ainsi qu’à la concurrence entre Etats », affirme-t-il dans le communiqué. Car aujourd’hui, les opérations européennes des géants du numérique ne sont imposables que dans le pays où elles ont implanté leur filiale. Google vient ainsi d’échapper à un redressement fiscal de 1,115 milliard d’euros en France, car le tribunal administratif de Paris n’a pu que constater que sa filiale irlandaise, responsable de ses opérations sur le Vieux Continent, n’était pas imposable en France. « ‘L’Europe doit apprendre à défendre ses intérêts économiques avec beaucoup plus de fermeté. C’est ce que fait la Chine, c’est ce que font les États-Unis. Quand vous opérez en France, vous devez y payer des impôts. Vous ne pouvez pas profiter de faire du business en France ou en Europe, sans payer des impôts comme en paient les entreprises françaises ou européennes en France ou en Europe » déclare Lemaire. Bercy veut ainsi limiter l’impôt sur les sociétés à 25%, contre 33% actuellement, « afin de rejoindre la moyenne européenne« . Le ministre de l’Economie estime « qu’on ne peut plus continuer » d’avoir dans la zone euro 19 membres et 19 niveaux de fiscalité différents. La question de l’harmonisation fiscale en Europe, qui relève à la fois du protectionnisme économique et de la souveraineté, est un vieux serpent de mer dont on parle depuis des années. Les obstacles sont nombreux, déjà pour harmoniser la fiscalité entre la France et l’Allemagne, puis pour pousser les « petits pays » comme l’Irlande et le Luxembourg, qui attirent les géant du numérique avec une fiscalité très avantageuse, à jouer le jeu. C’est pourquoi Bruno Le Maire précise dans son communiqué que « la France est attachée à ce que ces initiatives puissent aboutir dans des délais raisonnables« . Sans préciser ce qu’est un « délai raisonnable« , il indique que si tel n’était pas le cas,  »elle en tirerait les conséquences dans sa législation nationale« .

France : déficit commercial en hausse

France : déficit commercial en hausse

Signe du manque de compétitivité structurelle, le déficit commercial de la France s’est à nouveau creusé en juin sur fond de ralentissement des échanges, contribuant à porter le déficit cumulé au cours du premier semestre à son plus haut niveau depuis le premier semestre 2012(Un déficit qui s’ajoute à celui du budget de l’Etat. Au 30 juin, les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) s’établissaient à 201,5 milliards d’euros contre 193,9 milliards un an plus tôt, soit une hausse de 3,9% (2,9% à périmètre constant) par rapport à fin juin 2016. En 2016, le déficit de l’Etat s’est élevé à 69,0 milliards d’euros. Pour 2017, la loi de finances l’anticipe en légère hausse, à 69,3 milliards d’euros. Pour le commerce extérieur, le déficit de juin s’est établi à 4,7 milliards d’euros, en hausse par rapport au déficit de mai, qui a été revu à 4,4 milliards d’euros contre 4,9 milliards en première estimation. Sur les six premiers mois de 2017, le déficit cumulé atteint 34,4 milliards contre 23,0 milliards au cours du premier semestre 2016, un plus haut depuis le premier semestre 2012. Le début de l’année a notamment été pénalisé par des livraisons d’Airbus en berne et l’alourdissement de la facture énergétique, conduisant le ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, à qualifier d’ »extraordinairement préoccupants » les chiffres du commerce extérieur, dans un entretien publié le mois dernier dans Les Echos. Au cours du premier semestre, la croissance des importations est restée dynamique (+4,4%, après +3,1% au deuxième semestre 2016 et -0,9% au premier semestre 2016). Le rythme de croissance des exportations a en revanche ralenti (+1,3%, après +2,0% au deuxième semestre 2016 et -1,2% au premier semestre 2016). Pour Philippe Waechter, chef économiste de Natixis AM, cette accélération des importations sans effet majeur sur les exportations depuis le printemps dernier est « un peu préoccupante ». « On n’a pas le sentiment que l’exportation française en moyenne a bénéficié de l’accélération du commerce mondial », a-t-il déclaré à Reuters. Selon lui, la dynamique ne va pas se modifier fondamentalement au cours des prochains mois. Les exportations vont probablement s’améliorer – au vu de la progression du sentiment des chefs d’entreprise sur les commandes à l’export dans les enquêtes de conjoncture ces derniers mois – mais la croissance va parallèlement tirer les importations à la hausse. De son côté, l’Insee a estimé dans sa note de conjoncture de juin que la combinaison d’un rebond des exportations et des importations vigoureuses permettrait au commerce extérieur de moins pénaliser la croissance cette année qu’en 2016 : après avoir plombé l’activité l’an dernier, avec une contribution négative de 0,8 point, il ne devrait amputer la croissance que de 0,3 point cette année. En résumé, « le commerce extérieur reste un point faible de la conjoncture française, pour des raisons liées à une incapacité à exporter des produits de qualité », estime Philippe Waechter.  Dans le détail, sur le mois de juin, les importations ont atteint un montant de 43,8 milliards, soit une baisse de 2,0% par rapport à mai. Les exportations ont également reflué – accusant notamment le contrecoup de la livraison du paquebot Meraviglia en mai – et s’inscrivent en recul de 2,8% à 39,2 milliards d’euros. Le déficit des seuls produits manufacturés a atteint 3,98 milliards d’euros contre 3,40 milliards en mai. Le mois de juin a été marqué par une moindre performance d’Airbus, les livraisons du mois de l’avionneur représentant un total de 2,68 milliards d’euros (31 appareils) contre 2,93 milliards (32 appareils) un mois plus tôt.

Suppression de 300 millions : un état d’urgence pour les villes ou pour la France

Suppression de 300 millions : un état d’urgence pour les villes ou pour la France

On croit rêver avec cette tribune commune de plusieurs maires de l’opposition qui considèrent que la France est en état d’urgence du fait de la suppression de 300 millions de crédit d’investissement. En plus en mélangeant tous les problèmes faute de réelle argumentation.  En effet la véritable urgence c’est l’endettement de la France de plus de 2000 milliards, soit 33000 euros par français !

« Aujourd’hui, de nombreuses villes sont au bord de l’épuisement. Elles connaissent des difficultés sociales immenses et sans solutions. Les quartiers se sont ghettoïsés, les trafics s’y sont largement intensifiés. Dans ces quartiers dits prioritaires, notre pays est menacé d’explosion à tout moment. De nouvelles problématiques majeures s’y sont ajoutées avec l’arrivée de réfugiés, la hausse du décrochage scolaire et, bien sûr, le phénomène alarmant de la radicalisation. »

« Tout cela concerne l’ensemble de la société française et fragilise notre République.
On ne peut donc que s’étonner de cette décision quand on connaît l’impact positif d’un investissement majeur dans les quartiers, permettant par exemple le relogement dans des conditions décentes de plusieurs millions de personnes (rénovation urbaine sous Jean-Louis Borloo, pour 45 milliards d’euros). »

« Une nouvelle ère de la politique de la ville doit s’ouvrir, elle est vitale. C’est ici que réside l’état d’urgence. Ne pas prendre la mesure de cette situation serait une faute lourde de conséquences pour notre pacte républicain. Un changement radical de méthode s’impose : lançons dès la rentrée un Grenelle de la fraternité dans les quartiers, en regroupant acteurs, experts, collectivités, grands leaders associatifs, monde scolaire, entreprises engagées… »

 » « Pour sortir les quartiers de leur marasme inquiétant, ouvrons sans attendre un grand débat pour définir quelques grandes priorités avec l’ensemble de la société française et les élus locaux, premiers concernés. La politique de la ville doit être repensée en s’appuyant sur ceux qui ont réussi et qui s’engagent, comme le réseau des Zèbres. »

« La moitié des champions olympiques qui nous ont enthousiasmés l’été dernier ont grandi dans ces quartiers. Redonnons de la fierté à leurs habitants. Luttons contre la fatalité qui ne voit les quartiers sensibles que comme des problèmes alors qu’ils regorgent de solutions innovantes dans lesquelles il faut oser avoir confiance. Les entreprises doivent se mobiliser pour recruter différemment, à l’instar du programme Déclics sportifs, lancé par l’Agence pour l’éducation par le sport et le Crédit agricole, qui insère des jeunes talents sans diplôme partout en France. »

« Les femmes isolées sont surreprésentées dans les quartiers de zones urbaines sensibles (ZUS), où plus du quart des familles sont monoparentales. Un peu plus d’une famille monoparentale sur trois vit en dessous du seuil de pauvreté. Ces femmes se démènent pour tenter d’éduquer leurs enfants et survivre. Soutenons-les pour les aider à s’en sortir. »

« Enfin, chaque rapport pointe des chiffres trop importants de jeunes sortant du système scolaire sans diplôme et de plus en plus tôt. Des mesures ambitieuses, comme les internats d’excellence, doivent être relancées. Une vague de nouveaux élus vient de déferler à l’Assemblée : qu’ils aient l’audace et le courage, avec les maires, de faire le pari d’une nouvelle politique de la ville pour l’avenir de notre pays. »

Plus irresponsablee et plus faux-culs tu meurs !

La VIe République pour sauver la France ?

La VIe République pour sauver la France ?

 

Après Mélenchon, Montebourg, Cécile Duflot, Benoît Hamon et c’est le sarkosyste  Guillaume Larrivé  qui veut une VI ème république. Pour sauver la démocratie. En fait pour instaurer un régime parlementaire. Au motif que le président  serait  trop puissant ou en donnerait l’illusion, au choix ! Larrivé veut cependant se distinguer de Mélenchon.  Au-delà du numéro de la République, il faut parler du contenu. Le modèle de Jean-Luc Mélenchon c’est le modèle de la dictature vénézuélienne, donc ce n’est pas vraiment mon genre de beauté.» Bref pour d’autres motifs, du bricolage démocratique qui nous ramènerait à la IV ème avec ses sulfureuses et éphémères alliances. Pas vraiment la priorité du moment. Sans doute Macron en fait-il un peu trop en matière de com. mais on l’attend surtout sur l’enjeu la période : la croissance et l’emploi en plus de assainissement des équilibres financiers. La vérité sans doute c’est que le parti Les Républicains ne parvient pas à se mettre d’accord sur une vision et un projet  économique et qu’il se réfugie dans une remise en cause du rôle du président de la république, remise en cause bien peu gaulliste. «Au-delà du numéro de la République, il faut parler du contenu.  Si Guillaume Larrivé préconise, lui, l’émergence d’une VIe république, c’est pour gommer «les inconvénients du système présidentialiste français». L’un des points qui gêne le plus Guillaume Larrivé dans la Ve république est l’élection, tous les cinq ans, du président au suffrage universel direct. Cette «rencontre d’un homme et d’un peuple», décidée en 1962 est pourtant l’un des ferments du gaullisme-héritage politique que revendiquent logiquement les troupes de droite. Guillaume Larrivé s’est rallié à la fronde anti Ve République après avoir médité sur le déroulement de la présidentielle. Le député ne digère pas l’élection d’Emmanuel Macron qui a été porté au second tour par seulement 24% des voix. «Il a été élu par défaut, sur une base assez réduite», dénonce Guillaume Larrivé qui fustige également le calendrier électoral du système actuel. Curieux car nombre de présidents précédents ont été élus dans les mêmes conditions et même pires que Macron.

Automobiles France : hausse

Automobiles France : hausse

En juillet, avec 147.523 immatriculations de voitures particulières, les ventes de voitures neuves ont progressé de près de 11% sur un an (10,93%). Renault et Peugeot tirent ces ventes: le premier a vu ses ventes croître 13,08% et le second de 12,71% par rapport à juillet 2016. De son côté, le CCFA a revu ses prévisions de croissance sur l’année: les ventes devraient désormais augmenter de 3 à 4%, contre 2% initialement envisagés.

36 milliards d’investissements français en Italie, 3 milliards en France pour l’Italie

La balance est en effet très déséquilibrée. Sur les cinq dernières années, les investissements français dans des entreprises italiennes ont atteint 36 milliards d’euros. Dans le même temps, les Italiens ont réalisé pour seulement 3 milliards d’acquisitions en France. Le géant du luxe LVMH, déjà propriétaire de Fendi ou Pucci, vient de s’offrir le joaillier romain Bulgari pour 3,7 milliards d’euros. Alors que le luxe italien occupe une part comparable sur le marché mondial à celle des acteurs français, le secteur, dominé par des joyaux familiaux (Armani, Prada, Ferragamo…), n’a pas su faire émerger de groupes cotés en Bourse capables de rivaliser avec les champions tricolores LVMH ou PPR (famille Pinault), propriétaire de Gucci et Bottega Veneta. Les mouvements inverses sont beaucoup plus modestes. La famille Borletti, actionnaire des grands magasins Rinascente, a racheté Le Printemps aux Pinault, avec le soutien majoritaire de financiers. Le patron du chausseur Tod’s, Diego Della Valle, a relancé la petite marque française ­Roger Vivier. Il a aussi investi au capital de l’enseigne américaine Saks. C’est d’ailleurs l’une des rares figures du capitalisme transalpin qui aspire encore à jouer un rôle de consolidateur. Il s’est récemment positionné comme un recours face à Vincent Bolloré qui détient 5% du géant bancaire Mediobanca. L’homme d’affaires breton, également actionnaire et vice-président de l’assureur ­Generali, vient de jeter un pavé dans la mare en refusant d’en approuver les comptes, dénonçant leur manque de transparence, ce qui a été perçu comme un exemple de l’arrogance française. La défense de l’italianité peine toutefois à émerger. Il y a deux ans, le sauvetage de la faillite d’Alitalia par Air France avait suscité une levée de boucliers incarnée jusqu’au sommet de l’État par Berlusconi. Or, dans ce cas comme dans les autres, le patronat italien n’a pas su élaborer d’alternative.

Nationalisation STX France :une vraie menace ?

    • Nationalisation STX France :une vraie menace ?
    • C’est une menace que fait planer la France après le refus du gouvernement italien de partager le pouvoir dans cette entreprise. Une menace cependant qui a peut-être peu de chances d’être entendue parler l’Italie dans la mesure où actuellement nombre d’entreprises françaises s’approprient  des entreprises italiennes par exemple dans les télécoms. Du coup on pourrait aboutir à un accord pour une participation de l’État français dans STX qui lui confère un réel pouvoir de blocage. L’enjeu est en effet de se protéger des risques de délocalisation d’une entreprise techniquement très performante et financièrement rentable. La crainte porte sur le risque de transfert à l’étranger du savoir-faire français dans des domaines où le pays fait preuve à la fois d’une grande technicité et d’une bonne compétitivité. La France a lancé mercredi un ultimatum à l’Italie dans le dossier STX France, menaçant de nationaliser les chantiers navals de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) si Rome n’accepte pas un partage à 50-50 de son capital avec des intérêts publics hexagonaux. « Les Italiens ont jusqu’à jeudi pour se décider sur le sujet », a dit le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire sur Franceinfo ce mercredi matin. « Si jamais nos amis italiens nous disent ‘cette proposition ne nous va pas’, l’Etat français exercera son droit de préemption sur STX France pour que nous puissions rouvrir le dossier », a-t-il indiqué. En Italie, l’administrateur délégué du groupe Fincantieri, qui souhaite conserver la majorité de STX depuis qu’il en a racheté les deux tiers - le dernier tiers étant dans les mains de l’Etat français – auprès de sa maison mère sud-coréenne en difficulté au printemps, a réagi en déclarant qu’il n’avait pas un « besoin à tout prix » des chantiers de Saint-Nazaire. « Nous sommes Européens et, sur STX (France), nous ne pouvons accepter d’être moins bien traités que des Coréens », a dit Giuseppe Bono, patron de Fincantieri, lors d’une conférence téléphonique. Une source proche du Trésor italien avait rejeté mardi soir la proposition française d’un partage à 50-50 des chantiers de Saint-Nazaire, déclarant : « La ligne rouge c’est, au minimum, une participation légèrement majoritaire et un contrôle du conseil. »La France dispose jusqu’à vendredi d’un droit se préemption sur la totalité du capital. Elle avait déjà brandi la menace d’une nationalisation temporaire lors des discussions qui ont abouti en avril à un accord prévoyant le rachat de 55% STX France de Saint-Nazaire par le groupe public italien (pour 48%) associé à une fondation transalpine (7%). « L’accord négocié par le précédent gouvernement ne nous satisfait pas », a souligné Bruno Le Maire, se faisant l’écho des propos tenus fin mai par Emmanuel Macron. « Nous ne voulons prendre aucun risque (…) dans un site industriel aussi stratégique de Saint-Nazaire », spécialisé dans la construction de paquebots mais aussi de très grandes coques comme celle d’un porte-avions, a-t-il encore dit. « Parce que c’est un site stratégique, nous refuserons de laisser une majorité à un investisseur étranger. » Les dernières propositions françaises, dévoilées mardi par le ministre de l’Economie, laisseraient à Fincantieri 50% du capital, le reste étant détenu par des intérêts publics français (l’Etat, Naval Group, Bpifrance) et le personnel. Paris y a ajouté une offre de coopération renforcée entre la France et l’Italie dans le naval militaire. Pour Bruno Le Maire, qui a évoqué un montant de « dizaines de millions d’euros » nécessaire à l’opération, une nationalisation temporaire permettrait de donner du temps « pour renégocier un nouveau pacte d’actionnaires dans des conditions très sereines ».

Croissance France : la reprise au deuxième trimestre

Croissance France : la reprise au deuxième trimestre

 

Ce pourrait être une bonne nouvelle pour alimenter la confiance chez les patrons. Les résultats de la croissance du second trimestre permettent  en effet d’espérer une hausse du PIB de 1,9 % voire 2 %, au-delà des prévisions du gouvernement, de la Banque de France et du FMI. Au deuxième trimestre, comme au premier et dernier trimestre de 2016, le PIB a augmenté de 0,5% selon l’Insee. L’acquis de croissance, à savoir l’évolution du PIB cette année si l’activité stagnait au cours du deuxième semestre, s’élève à +1,4% au 30 juin. De fait, à moins d’une catastrophe, l’objectif de croissance annuelle de 1,6% retenu par l’Insee devrait être atteint. De son côté, le gouvernement vise une augmentation annuelle de l’activité de 1,5%. Dans le détail, la demande intérieure finale, traditionnel moteur de la croissance française, a contribué positivement au PIB du trimestre, à hauteur de 0,4 point, soit le même niveau qu’au trimestre précédent. Le commerce extérieur a contribué positivement à la croissance (+0,8 point après -0,6 point), en lien avec le fort rebond des exportations (+3,1% après -0,7%) – les chantiers STX France ont livré un mega-paquebots à leurs clients en mai… – et du net ralentissement des importations (+0,2% après +1,2%) sur les trois mois à fin juin. Toujours très volatile, la contribution des variations des stocks des entreprises a été négative de 0,6 point. Elle avait apporté 0,7 point à la croissance au cours des trois premiers mois de l’année.

STX France : nationalisation ?

STX France : nationalisation ?

 

C’est une menace que fait planer la France après le refus du gouvernement italien de partager le pouvoir dans cette entreprise. Une menace cependant qui a peut-être peu de chances d’être entendue parler l’Italie dans la mesure où actuellement nombre d’entreprises françaises s’approprient  des entreprises italiennes par exemple dans les télécoms. Du coup on pourrait aboutir à un accord pour une participation de l’État français dans STX qui lui confère un réel pouvoir de blocage. L’enjeu est en effet de se protéger des risques de délocalisation d’une entreprise techniquement très performante et financièrement rentable. La crainte porte sur le risque de transfert à l’étranger du savoir-faire français dans des domaines où le pays fait preuve à la fois d’une grande technicité et d’une bonne compétitivité. La France a lancé mercredi un ultimatum à l’Italie dans le dossier STX France, menaçant de nationaliser les chantiers navals de Saint-Nazaire (Loire-Atlantique) si Rome n’accepte pas un partage à 50-50 de son capital avec des intérêts publics hexagonaux. « Les Italiens ont jusqu’à jeudi pour se décider sur le sujet », a dit le ministre de l’Economie et des Finances Bruno Le Maire sur Franceinfo ce mercredi matin. « Si jamais nos amis italiens nous disent ‘cette proposition ne nous va pas’, l’Etat français exercera son droit de préemption sur STX France pour que nous puissions rouvrir le dossier », a-t-il indiqué. En Italie, l’administrateur délégué du groupe Fincantieri, qui souhaite conserver la majorité de STX depuis qu’il en a racheté les deux tiers - le dernier tiers étant dans les mains de l’Etat français – auprès de sa maison mère sud-coréenne en difficulté au printemps, a réagi en déclarant qu’il n’avait pas un « besoin à tout prix » des chantiers de Saint-Nazaire. « Nous sommes Européens et, sur STX (France), nous ne pouvons accepter d’être moins bien traités que des Coréens », a dit Giuseppe Bono, patron de Fincantieri, lors d’une conférence téléphonique. Une source proche du Trésor italien avait rejeté mardi soir la proposition française d’un partage à 50-50 des chantiers de Saint-Nazaire, déclarant : « La ligne rouge c’est, au minimum, une participation légèrement majoritaire et un contrôle du conseil. » La France dispose jusqu’à vendredi d’un droit se préemption sur la totalité du capital. Elle avait déjà brandi la menace d’une nationalisation temporaire lors des discussions qui ont abouti en avril à un accord prévoyant le rachat de 55% STX France de Saint-Nazaire par le groupe public italien (pour 48%) associé à une fondation transalpine (7%). « L’accord négocié par le précédent gouvernement ne nous satisfait pas », a souligné Bruno Le Maire, se faisant l’écho des propos tenus fin mai par Emmanuel Macron. « Nous ne voulons prendre aucun risque (…) dans un site industriel aussi stratégique de Saint-Nazaire », spécialisé dans la construction de paquebots mais aussi de très grandes coques comme celle d’un porte-avions, a-t-il encore dit. « Parce que c’est un site stratégique, nous refuserons de laisser une majorité à un investisseur étranger. » Les dernières propositions françaises, dévoilées mardi par le ministre de l’Economie, laisseraient à Fincantieri 50% du capital, le reste étant détenu par des intérêts publics français (l’Etat, Naval Group, Bpifrance) et le personnel. Paris y a ajouté une offre de coopération renforcée entre la France et l’Italie dans le naval militaire. Pour Bruno Le Maire, qui a évoqué un montant de « dizaines de millions d’euros » nécessaire à l’opération, une nationalisation temporaire permettrait de donner du temps « pour renégocier un nouveau pacte d’actionnaires dans des conditions très sereines ».

 

STX France: la bataille pour le contrôle de l’entreprise

STX France: la bataille pour le contrôle de l’entreprise

 

Le gouvernement italien refuse la proposition française de partager le pouvoir pour le contrôle de l’entreprise. Pour la France,  le risque du contrôle par les Italiens de STX c’est la possibilité à terme d’une délocalisation de la production et du savoir-faire de l’entreprise. STX est une entreprise rentable qui possède une maîtrise technique remarquable et dont le carnet de commandes est bien rempli. La prise de contrôle par les Italiens pourrait menacer un jour l’existence même de la société. D’où cette insistance de la France à obtenir un partage du capita  entre la France et Italie  Or le gouvernement italien a rejeté mardi la proposition de Paris d’un partage à 50-50 du capital de STX France et demandé que le groupe Fincantieri, détenu par l’Etat, obtienne une majorité des parts et contrôle le conseil. Le ministre français de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, avait auparavant déclaré devant une commission du Sénat que la France donnait à l’Italie jusqu’à la fin de la semaine pour accepter ce partage sous peine d’en tirer « toutes les conséquences ». Le droit de préemption de l’Etat français sur l’ensemble du capital de STX Group expire à la fin du mois. Paris proposait en outre qu’un éventuel accord soit assorti d’ »une « vraie coopération dans le domaine naval militaire » avec l’Italie. « La réponse du gouvernement italien à la proposition de 50-50 est non. (…) La ligne rouge c’est, au minimum, une participation légèrement majoritaire et un contrôle du conseil », a dit une source proche du Trésor italien. Le ministre français de l’Economie s’est refusé à tout commentaire après cette réaction. Le gouvernement français estime que l’accord conclu par son prédécesseur, prévoyant le rachat de 54% des chantiers navals STX France de Saint-Nazaire par le groupe italien Fincantieri associé à une fondation transalpine, ne garantit « pas suffisamment les intérêts stratégiques » des chantiers navals de Saint-Nazaire. Dans ce schéma, l’Etat français aurait conservé sa minorité de blocage de 33% dans la société, qui était mise en vente par son actionnaire majoritaire coréen, et aurait fait monter à ses côtés le groupe public Naval Group (ex-DCNS). « Nos amis italiens, un grand industriel comme Fincantieri, sont les bienvenus mais nous souhaitons rester à parts égales », a expliqué Bruno Le Maire. Pour y parvenir, le ministre a évoqué des prises de participation, aux côtés de l’Etat, de Naval Group, de la banque publique d’investissement bpifrance et du personnel de STX, Fincantieri détenant le solde de 50%.

Redressement fiscal : transaction en France avec Google

 

Redressement fiscal : transaction en France avec Google

 

Le gouvernement français serait prêt à transiger avec Google à propos du redressement fiscal de plus d’un milliard d’euros. Redressement annulé par le tribunal administratif de Paris au motif que Google ne disposerait pas d’établissement stable en France. Or précisément c’est ce qui est reproché à Google à savoir de ne déclarer en France qu’un établissement quasi virtuel pour des activités pourtant bien réelles qui sont facturées à l’étranger par le siège. Ce n’est pas la première fois que les tribunaux administratifs prennent des décisions surprenantes et la justification de certaines décisions paraissent  parfois surréalistes. Conscient que la bataille juridique risque de durer pendant longtemps le gouvernement cependant S’est déclaré lundi prêt à une transaction avec Google après avoir subi une défaite judiciaire dans sa volonté d’imposer un redressement fiscal de 1,115 milliard d’euros au géant de l’internet. Le tribunal administratif de Paris a jugé le 12 juillet que Google n’était pas imposable en France sur la période de 2005 à 2010 et ne pouvait donc être astreint à ce redressement. « La France a l’intention de faire appel de cette décision parce que c’est important pour nos finances publiques mais c’est aussi une question de principe. Google, c’est 93% de parts de marché parmi les moteurs de recherche en France », déclare le ministre de l’Action et des Comptes publics, Gérald Darmanin, dans une interview à paraître mardi dans Les Echos. « En même temps, personne ne souhaite un long contentieux qui retarde le recouvrement de l’impôt : si Google est prêt à entrer dans une démarche sincère auprès du gouvernement français pour régulariser sa situation dans le cadre d’un accord transactionnel intelligent pour l’entreprise mais aussi pour les deniers publics, notre porte est ouverte », ajoute-t-il. Bercy estimait que la société américaine avait déclaré en Irlande des prestations publicitaires réalisées en France et avait donc échappé indûment, pendant cinq ans, notamment à des impôts sur les sociétés et à la TVA. Mais le tribunal administratif de Paris a considéré que le géant d’internet ne disposait pas d’ »établissement stable » en France et que les salariés de Google France ne pouvaient procéder eux-mêmes à la mise en ligne des annonces publicitaires commandées par les clients français. Gérald Darmanin continue à contester cette interprétation, soulignant que « les profits réellement générés dans notre pays dépassent les sommes modestes aujourd’hui déclarées ». Mais il se dit prêt à emprunter la voie de la transaction, comme au Royaume-Uni, où cela a été vivement contesté. « Nous ne ferons pas un accord pour faire un accord. Notre objectif est d’encaisser les recettes correspondant à l’activité réelle de Google en France », dit-il.

France : la productivité en panne

France : la productivité en panne

 

 

Les gains de productivité en France sont de plus en plus en faibles.  Les grains de productivité sont depuis 2012 de 0,2% par an, soit trois fois moins qu’avant la crise (0,7%). Entre 2008 et 2012, ils ont même été négatifs (-0,3% par an).Or comme le rappelle France Stratégie dans une note publiée cette semaine, ce sont ces gains qui « sont à la source d’un surcroît de revenu généré par le cycle productif donc d’une élévation du niveau de vie »( en plus du boulet de la fiscalité). La chute de la productivité française depuis la crise est surtout due à un phénomène simple. Face à la crise et à la chute de la demande, les entreprises n’ont pas ajusté leurs outils et leurs capacités de production, ce qui a ainsi occasionné un important recul de leur productivité. Ce phénomène a frappé plus particulièrement l’industrie manufacturière et la construction « du fait de la profondeur de la crise et d’une moindre facilité à adapter rapidement leurs capacités de production à des ventes plus faibles », écrit France Stratégie. « Le secteur de la cokéfaction et du raffinage, qui a subi le recul le plus important - de près d’un tiers - de son niveau de la productivité est emblématique de ce mouvement », poursuivent les auteurs de l’étude. L’autre raison d’être optimiste : les gains de productivité potentiels énormes avec la digitalisation: seulement 12% de son économie est digitalisée contre 18% pour les États-Unis ».

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