Archive pour le Tag 'France Inter'

Audiences radio : France Inter toujours nettement en tête.

Audiences radio : France Inter toujours nettement en tête.

France inter bénéficie d’une audience record de plus de 12% , soit plus de 7 millions d’auditeurs« Les Français n’ont jamais été aussi nombreux à écouter France Inter. Ces vingt dernières années, aucune radio n’a tout simplement jamais rassemblé autant de monde chaque jour », se félicite auprès du Figaro Adèle Van Reeth, directrice de France Inter.

 

France Inter creuse l’écart avec sa concurrente privée RTL (propriété du groupe M6), qui a perdu 233.000 auditeurs en un an pour un total de 5,375 millions. Elle perd 1,2 point en part d’audience, à 11,4%.

Dernière des généralistes, Europe 1,  réunit désormais 2,387 millions d’auditeurs quotidiens, soit 223.000 personnes de plus en un an. .

Europe 1 passe devant RMC (groupe Altice) entre 7h et 9h. Sur cette dernière, en cours de vente au groupe CMA CGM de Rodolphe Saadé, «Apolline matin» a fédéré une moyenne de 469.000 auditeurs entre 6h30 et 8h30. 

Parmi les stations musicales enfin, NRJ conserve son statut de leader (7,9% d’audience cumulée, -0,3 point). Nostalgie continue de faire danser toujours plus d’auditeurs (6,3%, +0,8 point), et Skyrock reste stable (5,9%).

Globalement, le média radio perd des auditeurs au fil des années avec désormais 38,73 millions de personnes branchées chaque jour, toutes ondes confondues. Soit un million d’auditeurs en moins sur un an.

Audience radio: France Inter solidement installée en tête

Audience radio: France Inter solidement installée en tête

France Inter reste Toujours nettement en tête avec 12,5 % d’audience cumulée. Le « 7/9.30 » de Nicolas Demorand et Léa Salamé, avec Sonia Devillers, rassemble chaque matin 4,5 millions d’auditeurs et reste la première matinale de France, avec une audience cumulée de 8,1 % et une part d’audience de 17,9 %. « Nous avons vécu une saison de performances et stabilisé France Inter, Franceinfo, France Culture et France Musique à des niveaux élevés », souligne Sibyle Veil, la présidente de Radio France. Seul bémol, la station France Bleu, qui voit encore son audience cumulée baisser sur cette vague à 4,5 %, contre 4,8 % en avril-juin 2022.

Toujours bien installée à la deuxième place du classement, devant la station thématique Franceinfo, RTL s’essouffle sur un an, avec une audience cumulée qui glisse de 10,1 % en avril-juin 2022 à 9,5 % sur cette dernière vague d’audience de la saison. La station du groupe M6 fédère près de 5,3 millions d’auditeurs quotidiens (contre un peu moins de 5,6 millions en 2022). La vraie surprise de cette enquête trimestrielle de Médiamétrie concerne Nostalgie, propriété du groupe NRJ de Jean-Paul Baudecroux, qui, avec une audience cumulée de 6,2 % (contre 5,5 % un an plus tôt), dame le pion à la généraliste RMC (5,6 % d’audience cumulée) et à la musicale Skyrock (5,8 %) et prend ainsi la cinquième place des radios en France avec près de 3,5 millions d’auditeurs. De son côté, NRJ souffre encore avec une audience cumulée de 7,7 % contre 7,9 % et 4,3 millions de fidèles. La situation est plus tendue pour les stations du groupe Lagardère News. Après s’être stabilisée au premier trimestre, Europe 1, qui est en passe d’être cédée au groupe Vivendi de Vincent Bolloré, descend sous les 2 millions d’auditeurs quotidiens, à 1,963 million, et son audience cumulée passe de 3,8 % à 3,5 %.

France Inter et France Info grimpent devant les radios populistes

France Inter et France Info grimpent devant les radios populistes

Les radios en général subissent des reculs provenant de la crise sanitaire. Des radios moins écoutées notamment pendant les trajets domicile travail. Des exceptions toutefois avec les stations de Radio France. Il faut évidemment distinguer l’audience des radios d’information de celle des radios musicales.

 

Pour les radios d’information, il semble bien que le public commence à se fatiguer des radios populistes, qui parlent comme on discute dans un bistrot de manière simpliste et même souvent vulgaire. Le fait de vouloir parler  » comme les gens » n’est pas forcément une garantie de pertinence.

 

 

«France Info devient la troisième radio de France devant NRJ. Les informés du matin, avec Renaud Dély et Marc Fauvelle, installés à la rentrée fonctionne bien» se félicite le nouveau directeur de la station Jean-Philippe Baille.

Il faut enfin noter le record historique touché par France Culture qui atteint 3,2 % d’audience cumulée. «Nous avons doublé notre audience en 10 ans. France Culture est devenue une radio grand public» souligne Sandrine Treiner, directrice de la station.

 

«Au total, les sept stations de Radio France rassemblent 16 millions d’auditeurs par jour, un record historique. C’est rassurant de voir qu’en ce moment, un groupe qui propose une offre exigeante d’information et de culture parvienne à élargir son public vers les plus jeunes» constate Dana Hastier, directrice des antennes et de la stratégie de Radio France.

Pourquoi France inter devient la première radio

Pourquoi France inter devient la première radio

 

France Inter détrône encore  RTL comme première radio en France. D’une façon générale, toutes les chaînes de Radio France progressent. À l’inverse, les chaînes privées à caractère plutôt populiste et qui en réalité soutiennent Macron voient leur audience diminuer (RTL, RMC, Europe 1, etc.). Un phénomène qui s’explique par le fait que la politique de Macron est globalement critiquée par 70 % de l’opinion publique et que cette opinion publique est surtout attentive aux informations et aux analyses critiques. Par contre les radios privées qui se montrent souvent populistes pour racoler sont par contre clairement en faveur de la politique de Macron. Cette ligne éditoriale des radios privées qui essayent de combiner la provocation mais aussi le soutien au pouvoir ne passe plus.

Les dessous du rachat d’Alstom par General Electric (France inter)

Les dessous du rachat d’Alstom par General Electric (France inter)

Au moment où la société Alstom négociait avec Général Electric la vente de sa branche énergie, le groupe français faisait l’objet de poursuites judiciaires dans une affaire de corruption aux Etats Unis. Plusieurs responsables politiques et industriels sont aujourd’hui convaincus que ce contentieux a pesé dans la négociation.  Depuis plusieurs années, les autorités américaines enquêtent sur le groupe Alstom. Grâce à une fuite, le département américain de la Justice a appris que des pots de vins auraient été très certainement versés par Alstom en 2003 en Indonésie pour obtenir un contrat de 118 millions dans le cadre de la construction d’une centrale à charbon.  Le 15 avril 2013, Frederic Pierucci, le vice-président monde de la division chaudière d’Alstom est interpellé aux États Unis. Il va effectuer 14 mois de détention dans une prison de haute sécurité. Trois autres cadres (dont un ancien très haut dirigeant du groupe) sont également poursuivis. Au siège d’Alstom en France, l’état-major est inquiet. Le FBI a débloqué des moyens considérables pour mener à terme ces investigations. Une vingtaine d’enquêteurs est mobilisée. Un infiltré chez Alstom a réussi à siphonner l’intégralité des échanges mails.  Jusqu’à quel niveau de la hiérarchie va remonter la justice américaine ? C’est dans ce contexte tendu qu’arrive la proposition d’achat de la société américaine Général Electric. Même si, officiellement, la direction dément le moindre lien entre les négociations avec l’un des géants de l’énergie et cette affaire de corruption, en interne, certains cadres de très haut niveau ne partagent pas le même avis. Nous avons pu en rencontrer deux qui ont accepté de nous faire part de leur sentiment de manière confidentielle.  Au sein de l’état-major d’Alstom, je peux vous dire que tout le monde sait parfaitement que les poursuites américaines ont joué un rôle déterminant dans le choix de vendre la branche énergie. (…) Lors des négociations secrètes, curieusement, une personne a été associée tout de suite à la discussion.  Il s’agit de Keith Carr, le directeur des affaires juridiques. C’est étrange car normalement sa principale mission c’est de traiter le règlement des affaires de corruption. Des cadres ne sont pas les seuls à avoir eu des doutes. Au sein du cabinet d’Arnaud Montebourg, on s’est également interrogé sur ces poursuites américaines. Un petit commando de trois conseillers techniques a été mobilisé trois semaines. Les conseillers ont même demandé à leur ministre d’activer les grandes oreilles françaises, les services secrets, pour vérifier si Alstom n’était pas victime d’une déstabilisation. Mais Arnaud Montebourg, pour des raisons politiques, n’a pas donné suite.  D’autres responsables politiques ont encore aujourd’hui de gros doutes, comme Daniel Fasquelle, député UMP, vice-président de la commission des affaires économiques de l’assemblée nationale : Le dossier Alstom est une incroyable mystification. On a trompé les Français. En aucun cas on a sauvé Alstom et il faut quand même s’interroger sur les difficultés d’Alstom aux Etats Unis et les procès en cours. Le rachat par Général Electric, c’était aussi une façon commode pour Alstom de se sortir du piège judiciaire dans lequel la société est tombée aux Etats Unis.  L’accord passé avec le groupe américain prévoit que Général Electric reprend la totalité du passif (y compris pénal) d’Alstom, donc les conséquences des poursuites judiciaires. Un passif que ne souhaitait pas récupérer en revanche l’autre repreneur possible, l’Allemand Siemens.  À combien vont se monter en définitive les amendes qu’Alstom va devoir verser à la justice américaine ? Selon l’agence Bloomberg, une transaction pourrait être finalisée dans les prochains jours. Alstom se verrait infliger une amende d’un montant de 700 millions de dollars. Si ce chiffre est confirmé, il s’agirait de la plus grosse pénalité jamais infligée à une entreprise par la justice américaine dans une affaire de corruption internationale. 

Lu dans France inter.

France Inter c’est « Radio bolcho »( Marine Le Pen)

France Inter c’est « Radio bolcho »(Le pen)

« Radio bolcho » : c’est ainsi que Marine Le Pen surnomme France Inter. La patronne du FN était invitée de la radio mercredi matin et s’est emportée. La raison? Nelson Mandela, dont elle ne pense que du bien : « L’Apartheid était un système profondément condamnable et injuste », a-t-elle expliqué, avant de confier que « Mandela voulait rencontrer Jean-Marie Le Pen, mais Jacques Chirac est intervenu pour faire capoter ce voyage ». Le piège tendu par le journaliste Patrick Cohen a été facilement évité jusqu’à ce que ce dernier lui rappelle que la mairie de Vitrolles (Bouches-du-Rhône), quand elle était dirigée par le Front national Bruno Mégret, avait décidé de débaptiser la place « Nelson Mandela ». « Vous savez que le maire de Vitrolles n’était pas particulièrement un ami de Marine Le Pen, c’est le moins qu’on puisse dire … », s’est-elle d’abord défendue. Puis le ton est monté : « C’est la preuve qu’au FN, il y a des sensibilités différentes, pas comme à France Inter », réplique Le Pen. Quelle sensibilité?, a demandé Patrick Cohen.  »Oh, un vieux relent de bolchévisme. Vous savez qu’à l’extérieur, on vous appelle Radio Bolcho?. Oui, on est toujours les plus mal informés sur soi-même ». Sans trop de cohérence, elle est allée, quelques minutes plus tard, taxer les journalistes de France Inter d’ »atlantistes », ce qui n’est pas compatible avec le bolchévisme. Oubliée la « dédiabolisation » du parti, la fille de Jean-Marie Le Pen reprend les accents de son père le temps de ces quelques secondes. Et revoit un peu l’histoire au sujet du cofondateur du Front national. En 1990, dans l’émission L’Heure de vérité sur Antenne 2, il qualifiait Nelson Mandela de « terroriste » :

 




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