Archive pour le Tag 'Français'

Page 84 sur 89

Sondage-déficits publics : 54% des français prêts pour des efforts

Sondage-déficits publics : 54% des français prêts pour  des efforts

 

Les français semblent de plus en plus conscients de la gravité de la situation financière de la France et veulent bien faire des efforts. Reste toutefois à préciser la nature et l’ampleur. Même si ils se plaignent de la pression fiscale, les Français semblent en effet disposés à contribuer davantage au redressement des comptes publics.  En effet, 54% des Français se disent prêts à faire personnellement des efforts dans ce but, selon un sondage IFOP à paraître le 13 avril pour Dimanche Ouest France. La proportion de volontaires n’était que de 44% en novembre 2013, note l’institut de sondage. En 6 mois, l’acceptation des efforts de la part des ouvriers a augmenté de 28 points et celle des employés de 13 points. En revanche, celle des professions intermédiaires n’a progressé que de 3 points tandis que celle des professions libérales et des cadres supérieurs reculait d’un point. Parmi les personnes interrogées, seulement 42% des sympathisants du Front de Gauche et 47% de ceux du Front National seraient prêts à ces efforts, contre 60% des sympathisants UMP et 74% de ceux du PS.

 

Les français semblent de plus en plus conscients de la gravité de la situation financière de la France et veulent bien faire des efforts. Reste toutefois à préciser la nature et l’ampleur. Même si ils se plaignent de la pression fiscale, les Français semblent en effet disposés à contribuer davantage au redressement des comptes publics.  En effet, 54% des Français se disent prêts à faire personnellement des efforts dans ce but, selon un sondage IFOP à paraître le 13 avril pour Dimanche Ouest France. La proportion de volontaires n’était que de 44% en novembre 2013, note l’institut de sondage. En 6 mois, l’acceptation des efforts de la part des ouvriers a augmenté de 28 points et celle des employés de 13 points. En revanche, celle des professions intermédiaires n’a progressé que de 3 points tandis que celle des professions libérales et des cadres supérieurs reculait d’un point. Parmi les personnes interrogées, seulement 42% des sympathisants du Front de Gauche et 47% de ceux du Front National seraient prêts à ces efforts, contre 60% des sympathisants UMP et 74% de ceux du PS.

Harlem Désir au gouvernement : les français désapprouvent massivement

Harlem Désir au gouvernement : les français désapprouvent massivement

Harlem désir complètement transparent comme secrétaire du PS et aussi charismatique qu’une planche à repasser n’est guère soutenu par les français après sa nomination à l’inutile poste de secrétaire d’Etat aux affaires européennes. Sans parler de son absentéisme au parlement européen. Une sorte de placard doré décidé par Hollande  pour permettre à Cambadélis de le remplacer (et sans consultation des militants !)  79% des Français  désapprouvent donc la nomination de Harlem Désir comme secrétaire d’Etat et seulement 35% connaissent son probable successeur Jean-Christophe Cambadélis, selon un sondage BVA pour iTélé-CQFD publié ce samedi 12 avril. A la question « approuvez-vous la nomination de Harlem Désir comme secrétaire d’Etat au sein du gouvernement », 79% des personnes interrogées répondent par la négative, 16% approuvent et 5% ne se prononcent pas. La désapprobation est particulièrement élevée parmi les sympathisants de droite, avec 95%, contre 3% qui approuvent et 2% qui ne se prononcent pas. Même les sympathisants du PS sont 61% à désapprouver cette entrée au gouvernement du chef du parti, contre 35% qui approuvent. 83% des personnes interrogées jugent que Désir a été un mauvais chef de parti. Pour 46% il était « un très mauvais premier secrétaire » du PS, 37% le qualifiant de « plutôt mauvais ». Parmi les personnes déclarant connaître Cambadélis suffisamment pour exprimer une opinion, 52% approuvent sa nomination comme premier secrétaire du PS, 39% désapprouvent, 9% ne se prononcent pas.

Sondage : les Français pour la réduction des dépenses publiques

Sondage : les Français pour la  réduction des dépenses publiques

Il n’y a que le gouvernement pour ne pas comprendre qu’il faut réduire le train de vie de l’Etat et réaliser des économies pour relancer l’économie. De ce fait, Les Français perdent un peu plus confiance dans l’avenir économique du pays. Moins d’un quart d’entre eux se déclare « plutôt plus confiant » depuis ces dernières semaines, soit deux points de moins que le mois dernier, selon le baromètre BVA-BFM-Challenges-Axys paru début  avril. En revanche, près des trois-quarts des sondés se disent « plutôt moins confiants ». Le gouvernement de Manuel Valls , annoncé mardi 2 avril, redonnera confiance aux Français ? En effet, ce sondage a été réalisé les 27 et 28 mars, avant le second tour des Municipales et le remaniement.   Selon ce baromètre, une seule mesure parait efficace aux yeux des Français pour stimuler la croissance: « réduire fortement les dépenses publiques « . Cette idée est reprise aussi bien par les sympathisants de droite (87%) que de gauche (62%). Les autres mesures seraient même jugées « peu » voir « pas du tout efficace ». Ainsi, 37% seulement des personnes interrogées estiment que « moins taxer les revenus du capital que ceux du travail pour favoriser l’investissement » serait efficace pour stimuler la croissance. 27% seulement des Français jugent par ailleurs que « supprimer les cotisations familiales payées par les entreprises en compensant ce manque à gagner par une hausse de la TVA ou de la CSG » constituerait une mesure efficace. Et moins d’un Français sur quatre (23%) estime par ailleurs que le gel du Smic afin de limiter les freins à l’embauche serait efficace pour stimuler la croissance

Municipales : les français ont des doutes sur la politique en général (Cosse-EELV)

Municipales : les français ont des doutes sur la politique en général (Cosse-EELV)

Pas très à laisse finalement la responsable des verts qui doit à la fois justifier la présence écolo au gouvernement et en même temps critiquer la politique menée. D’autant qu’il n’est pas certain que les verts demeurent dans ce gouvernement après l’éjection d Ayrault. Duflot a déjà annoncé qu’elle partirait si Valls devient Premier Ministre. Il ya d’autres raisons qui justifieraient un départ des verts, surtout leur faible influence sur la politique menée y compris en matière d’environnement. La secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts, Emmanuelle Cosse, a exprimé sur RTL vendredi 28 mars des doutes sur la politique menée par la majorité, à laquelle sont parti appartient. « De nombreux électeurs de gauche ne se sont pas déplacés », a reconnu Emmanuelle Cosse sur RTL vendredi 28 mars, en réaction aux résultats décevants du premier tour des élections municipales. La patronne des Verts « espère » qu’il y aura « un sursaut électoral », et ce « quels que soient les sentiments [des Français] par rapport au gouvernement ». « Des personnes ont un doute très fort, sur la politique en général », estime Emmanuelle Cosse. Mais d’après elle, ce sont « les marqueurs envoyés par le gouvernement » qui « ne sont pas les bons ».  La secrétaire nationale d’Europe Ecologie-Les Verts a, par exemple, « toujours eu un énorme doute sur les 50 milliards d’euros d’économies« , envisagées par l’équipe de Jean-Marc Ayrault. Elle préférerait « qu’une partie des niches fiscales disparaissent ». »Le Président décide, mais il a une assemblée élue » pour travailler avec lui, rappelle Emmanuelle Cosse, qui croit savoir que « François Hollande a du mal à trouver mon téléphone ». Pour elle : « Il faut faire plus de social et d’écologie, et aller plus vite sur d’autres sujets, comme la fin de vie, ou les reformes institutionnelles comme la décentralisation. »

La Redoute: des salariés demandent le soutien des Français contre l’avis des syndicats

La Redoute: des salariés demandent le soutien des Français contre l’avis des syndicats

 

Les salariés de la Redoute ne veulent pas voir leur entreprise disparaître. Plusieurs centaines d’entre-eux viennent de créer le collectif « Signez pour la Redoute », favorable à la signature du protocole d’accord sur le plan social. Ils appellent au soutien des Français.   Une « lettre ouverte aux Français qui se sentent concernés par La Redoute » a été publiée samedi 22 mars sur le compte Twitter @AvenirLaRedoute, pour recevoir des témoignages de soutien. « Aujourd’hui l’existence de La Redoute est menacée », explique le collectif, qui affirme représenter « la majorité des salariés de La Redoute tous statuts confondus, sites de Roubaix, Tourcoing et Wattrelos, en faveur d’une signature en l’état ».  Vendredi « a été une journée émouvante pour tout le monde. On a été vraiment sous le choc à la constatation qu’à 14H00 la signature n’avait pas eu lieu », explique un porte-parole. La direction de La Redoute a remis vendredi le sort de l’entreprise entre les mains du tribunal de commerce après un nouveau refus de la CGT, de SUD et de la CFDT de signer le protocole d’accord sur le plan social. Selon le collectif, le tribunal de commerce informé devrait réagir d’ici lundi soir. D’ici là, les salariés sont mobilisés. « On va essayer d’actionner un maximum de leviers pour dire que ce n’est pas possible, d’essayer de comprendre pourquoi il n’y a pas eu de signature et pourquoi il y a 3.400 personnes qui sont sans doute, même s’il reste un infime espoir, sur le carreau », a ajouté ce salarié. La décision divise les salariés. Depuis plusieurs semaines, des manifestations de soutien aux syndicats contre la signature du protocole ont réuni plusieurs centaines de personnes. Le groupe Kering (ex-PPR) a engagé la cession de La Redoute à Nathalie Balla et Eric Courteille, respectivement PDG de La Redoute et secrétaire général de sa maison mère Redcats, pour se recentrer sur le luxe. Ces derniers ont annoncé le 9 janvier la suppression de 1.178 des 3.437 postes de La Redoute.

 

Mensonges de Taubira : 71% des français condamnent

 

Mensonges de Taubira : 71% des français condamnent

Dans un sondage pour I télé,  60% des Français pensent qu’il n’est « pas grave » que la Ministre de la Justice ait été informée du dossier « Sarkozy ». Même les sympathisants de droite, pourtant à la fois très attachés à Nicolas Sarkozy et très hostiles à Christiane Taubira ne sont qu’une courte majorité de 55% à juger qu’il s’agit là de quelque chose de « grave ». En revanche qu’elle ait menti en prétendant ne pas être au courant est « grave » pour une écrasante majorité de 71% de Français. Tous, ou presque, sont unanimes à ce sujet, mais cette fois pour condamner le mensonge de la Ministre. Que 93% des sympathisants de droite soient de cet avis n’est pas surprenant, mais ce qui est plus préoccupant pour la ministre de la Justice, c’est que 41% des sympathisants de gauche partagent cette opinion.  S’agissant de la sanction à appliquer, les Français sont plus partagés : 50% pensent qu’elle devrait démissionner contre 48% qui ne le pensent pas. Ce souhait émanant des sympathisants de droite (84%) est souvent antérieur à cette affaire.  S’ils étaient justifiés, les reproches les plus graves dans cette affaire concerneraient bien davantage Nicolas Sarkozy (62%) que Christiane Taubira (34%). Les sympathisants de gauche en sont tous convaincus (87%), mais même ceux de droite sont près de quatre sur dix (38%) à le concéder. Ces derniers restent une majorité (58%), contrairement à l’ensemble de la population, à estimer que « l’affaire Taubira » serait plus grave que « l’affaire Sarkozy ».

De moins en moins de vacances pour les français ; trop cher

De moins en moins de vacances pour les français ; trop cher

 

 

D’après  une étude menée par le cabinet Protourisme, l’an dernier, seuls 29,5 millions de Français (adultes et enfants) ont passé au moins une nuit en hébergement marchand soit 41% de la population contre 45% en 2012. Selon les calculs du cabinet spécialisé, ce seraient 3,5 millions d’habitants de l’Hexagone qui auraient renoncé à ce genre de sortie depuis 2010. Le camping affiche un recul de 3 millions de nuitées, tout comme les locations meublées tandis que l’hôtellerie perd 2 millions de nuitées. Seuls les villages de vacances et les résidences de tourisme tirent à peu près leur épingle du jeu dans une quasi stabilité. «C’est un niveau de départ extrêmement faible et le recul affecte toutes les catégories de clientèle», souligne Didier Arino, directeur de Protourisme. Même les vacances subventionnées dans les villages de vacances associatifs sont en recul. Néanmoins, le niveau de vie reste déterminant pour continuer à s’offrir des vacances. Si les trois quarts des foyers disposant de revenus mensuels nets supérieurs à 3500 euros partent toujours, ils ne sont plus que 56% chez ceux gagnant entre 2500 et 3499 euros et 38% dans les classes moyennes pouvant compter sur 1500 à 2499 euros mensuels. Quant aux foyers avec un revenu inférieur à 1500 euros, la proportion de ceux qui se permettent de s’offrir ce genre de séjour ne dépasse pas 23%. De mauvais chiffres qui rendent Didier Arino pessimiste pour l’avenir. «Si les clientèles étrangères progressent un peu et les catégories socioprofessionnelles supérieures se maintiennent, le cœur du marché se réduit, explique-t-il. Il sera de plus en plus compliqué et coûteux de toucher une nouvelle clientèle. Avec la hausse de la TVA et des charges, la seule manière de s’en sortir pour les plus fragiles sera de se regrouper vers les marques les plus fortes du secteur.»  Un mouvement qui ne se fera pas sans quelques victimes, selon lui, du côté des clubs de vacances ou de l’hôtellerie. Ces professionnels ont d’ailleurs d’autant plus de mal à maintenir leurs marges que le poids des intermédiaires en ligne ne cesse de progresser. L’an dernier 84% des acheteurs d’hébergements marchands se sont renseignés sur le Web, et 72% de ces internautes ont au moins acheté une prestation touristique payante au cours de l’année 2013.

 

Banque suisse : L’argent français ça marche toujours fort

Banque suisse : L’argent français ça marche toujours fort

Sil y a bien eu de repentis français qui se sont mis en situation de régularisation avec le fisc français par contre l’afflux de capitaux en Suisse continue mais sous des formes fiscalement aseptisées (comprendre plus sophistiquées), ce que font depuis longtemps les grandes fortunes. L’association des banquiers privés suisse a expliqué ce 16 janvier que les capitaux français « conformes fiscalement » font toujours le bonheur des banques helvétiques. Elle estime que cette tendance est une preuve du savoir-faire bancaire du pays.  L’affaire Cahuzac ne semble pas avoir fait trop de mauvaise publicité à la Finance helvétique. Ainsi, selon l’Association des banquiers privés suisses, qui tenait ce jeudi 16 janvier une conférence de presse à Berne, l’argent français « légal » continue d’être logé dans les banques du pays.Nicolas Pictet, vice-président de cette association et un des dirigeants de la banque éponyme, a ainsi déclaré que « l’afflux dans les banques suisses de capitaux nouveaux, parfaitement conformes sur le plan fiscal », dont des capitaux français, « montre que le savoir-faire suisse en matière bancaire est reconnu ». Il n’a toutefois pas donné d’indications chiffrées. Le banquier a cependant admis que l’expression « compte en Suisse » est actuellement « un handicap en France », par rapport à ce qu’elle représentait il y a 50 ans.  Contrairement aux grandes banques suisses comme UBS et Credit Suisse, les banques privées, spécialisées dans la gestion de fortune, n’ont pas envoyé de courrier ultimatum à leurs clients français non-déclarés au fisc en France pour qu’ils se régularisent. « C’est chaque banque qui décide de sa stratégie », a indiqué Christophe Gloor, président de cette association, qui regroupe 11 banques suisses entièrement privées, et non cotées en Bourse. « La disposition des clients français à se régulariser a beaucoup augmenté, du fait de l’affaire Cahuzac », a-t-il néanmoins ajouté. « Certains clients sont cependant plus réticents, et c’est à nous de les convaincre », a-t-il poursuivi.  Mercredi 15 janvier, le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, a indiqué que, depuis le mois de juin, 11.000 personnes avaient déposé des demandes de régularisation auprès de l’administration fiscale. Il précisait que ce chiffre représentait « une recette potentielle de plus d’un milliards d’euros ». Quant à la Suisse, une enquête menée par l’agence ATS, révélée mercredi 15 janvier, montre que le nombre d’auto-dénonciations pour fraude fiscale a explosé l’année dernière. 2013 a ainsi été un record pour le canton de Genève, avec 498 auto-dénonciations, contre 265 en 2012.

 

Sondage Municipales : 77% des français vont voter

Sondage Municipales : 77% des français vont voter

Plus des trois quarts des Français se disent « certains d’aller voter » aux municipales et les enjeux locaux comptent avant tout dans le choix du vote, selon un sondage Harris Interactive pour LCP-Assemblée nationale publié jeudi. 77 % des personnes interrogées se déclarent « tout à fait certaines d’aller voter » au premier tour des municipales, une certitude encore plus prononcée chez les sympathisants du Front de gauche. 74 % sont « beaucoup »‘ ou « assez intéressés par ce rendez-vous. Les « enjeux locaux » compteront beaucoup ou assez (pour 90 % des sondés), de même que le « bilan du maire » (84 %), devant « l’étiquette politique » (65 %) et les « enjeux nationaux » (48 %).  Enquête réalisée en ligne par l’Institut Harris Interactive du 4 au 6 mars, auprès d’un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus (selon la méthode des quotas).

 

Le « nouveau modèle français » à l’allemande ?

Le « nouveau modèle français » à l’allemande ?

 

Pour Ayrault, c’est fait la France a choisi le modèle allemand, c’est le tournant social démocrate à l’allemande. Il y a pourtant encore du chemin à parcourir car le modèle français est encore très étatisé et les syndicats français demeurent à la fois très divisés et surtout peu représentatifs. Surtout les réformes structurelles sont loin d’être à la hauteur de l’enjeu. Avec le pacte de responsabilité, François Hollande, social-démocrate désormais assumé, voudrait cependant  rapprocher la France du modèle allemand en faisant du dialogue social une des pierres angulaires de sa politique économique. Après la réforme du marché du travail et celle de la formation professionnelle, un accord entre le patronat et les syndicats réformistes sur ce pacte, dont les jalons ont été posés mercredi, validerait sa stratégie de délégation aux « corps intermédiaires » décriés par Nicolas Sarkozy.   »Nous avons fait vivre le dialogue social », a dit jeudi sur RMC et BFMTV Jean-Marc Ayrault, qui a pris comme exemple l’Autriche, où des relations sociales pragmatiques sont selon lui à l’origine du quasi plein emploi. « C’est cela mon objectif, c’est d’arriver au même résultat », a expliqué le Premier ministre, qui a revendiqué un premier succès sur le front de l’emploi avec la baisse du chômage au quatrième trimestre 2013 au sens du Bureau international du travail (BIT). En réalité, le chômage a encore progressé en 2013.  Si l’accord sur le pacte de responsabilité permet au gouvernement d’éviter que la baisse du coût du travail apparaisse comme un chèque en blanc au patronat, il conforte aussi le virage social-démocrate du président.

Sondage confiance des Français : rechute

Sondage confiance des Français : rechute

Après le flop de l’inversion du chômage, c’est le flop du pacte de responsabilité et de la politique économique de Hollande. 72% des Français se déclarent « plutôt moins confiants en l’avenir », contre 26% « plutôt plus confiants ». C’est ce qui ressort du dernier baromètre BVA pour BFM et Challenges publié ce 6 mars. L’indice a chuté de 2% depuis février, mais de 9% entre janvier et mars. Il retrouve ainsi son niveau de la fin 2013. « Tout le bénéfice des annonces de la politique de l’offre et du pacte de responsabilité s’envole », note Marc Sailly, le PDG d’Axys Consultants. La faute, selon lui, au gouvernement, qui « n’a pas su entretenir la dynamique avec des mesures rapides et concrètes » Chez les sympathisants de droite, la proportion des anxieux atteint les 90%, contre 46% des sympathisants de l’autre bord. En outre, les Français jugent sérieusement insuffisants les efforts d’économie du gouvernement. 71% des interrogés estiment qu’ils ne sont « pas assez importants » contre 12% qui les considèrent, à l’inverse « trop importants ». Les sympathisants de gauche eux-mêmes sont 49% à penser que le gouvernement n’en fait « pas assez ». En cause, selon Marc Sailly: « le même problème de décalage entre communications et actions ». Soit l’absence d’annonce de mesures concrètes qui  » garantiraient l’objectif de réduction de 15 milliards annuels des dépenses publiques ».

Sondage économie : la situation aggravée en 2014, selon 67% des Français

Sondage économie : la situation aggravée  en 2014, selon 67% des Français

Seulement 20% des sondés font confiance au gouvernement  et  la situation économique de la France va s’aggraver cette année, selon 67% des Français qui, dans leur grande majorité, font dans ce contexte confiance aux PME pour « proposer des solutions constructives », indique un sondage Ipsos diffusé mercredi 26 février au matin. Selon 36% des personnes interrogées, la situation va même « beaucoup s’aggraver » tandis que 23% estiment qu’elle va s’améliorer, précise ce sondage de l’institut Ipsos et l’agence Comfluence, réalisé pour l’Ofop (Observatoire des fédérations et des organisations professionnelles). « Dans ce contexte », 67% des Français, font « confiance » aux PME « pour proposer des solutions constructives pour faire face à la crise », loin devant d’autres entités. 44% font confiance aux fédérations professionnelles, représentant les entreprises d’un secteur donné, 30% aux syndicats de salariés, 27% aux grandes entreprises, 24% aux organisations patronales. 24% font confiance à l’Union européenne et 20% au gouvernement. L’enquête a été menée en ligne du 22 au 27 janvier auprès de 1.008 personnes, constituant un échantillon national représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

Les gouvernements français et allemand réunis : pour quoi faire ?

Les gouvernements français et allemand réunis : pour quoi faire ?

 

On peut se demander sur quoi va déboucher cette réunion des gouvernements français et allemand au grand complet. Sûrement pas sur grand-chose car Hollande et Merkel sont à peu en désaccord sur tout. Sur la politique économique et fiscale bien sûr, sur le rôle de l’Europe et en particulier sur celui de la BCE. On peut s’attendre à des propos très généraux sur l’énergie, la fiscalité et à quelques promesse en matière de défense. Une centaine de  soldats allemand en Afrique sans doute pour aider la France très isolée, ni soutenue vraiment par l’Allemagne, l’Europe ou même les Etats –Unis. Bref plutôt une rencontre pour faire semblant d’entre unis alors que tout nous sépare. De la Com. comme l’aime Hollande.  Dès son arrivée, Mme Merkel se rendra à l’Elysée pour un entretien d’une heure avec le président François Hollande, tandis que les ministres se retrouveront pour une série de rencontres bilatérales. La situation en Ukraine, où les affrontements entre le pouvoir et l’opposition pro-européenne ont fait au moins 16 morts depuis mardi, devrait s’imposer dans les discussions entre les chefs des diplomaties allemande et française. Le social-démocrate Frank-Walter Steinmeier et le socialiste Laurent Fabius ont déjà condamné mardi chacun de leur côté l’escalade de la violence.  Défense, énergie ou fiscalité: quelques décisions devraient sortir de ce conseil des ministres hors normes mais selon une progression à pas comptés.  Présentée à Paris comme un « symbole fort », la décision la plus concrète devrait être l’officialisation du déploiement en juin au Mali d’un contingent de quelque 250 soldats de la brigade franco-allemande. « Davantage de convergences sont possibles », notamment dans la coopération militaire au Mali et en Centrafrique, a souligné samedi la chancelière allemande.  Il y a un mois, M. Steinmeier avait toutefois prévenu que son pays n’enverrait pas de troupes de combat en Afrique. Sous commandement français, le contingent franco-allemand devrait donc se cantonner à des missions de formation des forces maliennes dans le cadre de la mission européenne (EUTM).  Il s’agira du premier engagement sous la bannière européenne de cette unité souvent considérée comme sous-employée par les experts militaires.  Seconde dominante du conseil: l’énergie. En janvier, François Hollande avait évoqué l’idée d’ »une grande entreprise franco-allemande pour la transition énergétique », un « Airbus de l’énergie ». Mais Paris ne parle plus désormais que d’une simple « plateforme » de partenariats industriels et technologiques autour des réseaux, des énergies renouvelables ou du stockage de l’électricité.   »Evidemment, la transition énergétique ce n’est pas l’aéronautique et 2014 n’est pas la fin des années 60″, reconnaît-on à l’Elysée. Le rôle de l’Etat se bornera donc à « identifier des axes stratégiques de coopération » entre industriels, instituts de recherche et institutions financières.  Au chapitre fiscal, les progrès devraient être ténus. L’Elysée avance un « programme de convergence » avec un « travail immédiat sur la structure de taxation des entreprises » et les investissements croisés, ainsi qu’une « impulsion » qui serait donnée aux laborieuses discussions à Bruxelles sur une directive fixant une assiette commune de l’impôt sur les sociétés.  La France, a par ailleurs souligné mardi le ministre des Finances Pierre Moscovici, attend de ce conseil une « position commune » sur la taxe sur les transactions financières afin de parvenir à une proposition solide avant les élections européennes de mai. Mais l’Elysée relève que des « travaux techniques » sont encore nécessaires.  Dans le secret de sa rencontre avec Angela Merkel, François Hollande pourrait aussi évoquer le débat sur la relance de la consommation intérieure d’une Allemagne forte d’un excédent record de sa balance commerciale de près de 200 milliards d’euros l’an dernier. Le président français ferait valoir de son côté les efforts qu’il déploie en faveur d’une économie de l’offre.  D’une manière générale, Paris compte « s’appuyer » sur la présence des sociaux-démocrates au gouvernement à Berlin qui a déjà permis d’annoncer la création d’un salaire minimum en Allemagne, répondant aux griefs sur le dumping social allemand.

 

Sondage Municipales : amateurisme des hommes pour 51% des français

Sondage Municipales : amateurisme des hommes pour 51% des français

Aujourd’hui, seuls 13,8% des postes de maire sont occupés par des femmes, et les Français voudraient que cela change. Selon un sondage IFOP pour Femmes Actuelles et RTL, 70% des Français souhaitent qu’il y ait plus de femmes maires, surtout les électeurs de gauche et les jeunes (72% des 18-24 ans).   Mais en ce qui concerne leur propre commune, les Français semblent étrangement moins enclins au changement : 54% des Français veulent qu’une femme soit à la tête de leur ville. Dans le détail, ce sont surtout les femmes qui y sont favorables, à 59%, pour 48% chez hommes. Une grande majorité de Français, 62%, font autant confiance aux hommes qu’aux femmes pour gérer une commune. En revanche, 55% d’entre eux estiment qu’hommes et femmes font de la politique de manière différente. C’est ce que pensent 61% des femmes et 48% des hommes. Côté différence entre les hommes et femmes politiques, 72% des Français jugent les femmes plus au contact des réalités que les hommes, et 82% les considèrent plus à l’écoute des citoyens.  Les hommes seraient par ailleurs plus lâches, selon 92% des sondés, tandis que les femmes seraient plus honnêtes, selon 89% d’entre eux. 51% des Français accusent les hommes d’amateurisme, un défaut qui était attribué aux femmes par 58% des sondés en 2001. Les clichés ont toutefois la vie dure, puisque 60% des hommes critiquent le manque de professionnalisme des femmes.  Concernant les préoccupations, 82% des femmes attendent de leur maire qu’il agisse en priorité sur l’emploi.

Discrimination positive : les français contre

Discrimination positive : les français contre

 

 

L’enfer est souvent pavé de bonnes intentions mais aussi d’illusions. Pour faire « gauche » sur le plan sociétal, le gouvernement accumule les propositions. De quoi masquer son échec total  dans le domaine économique et social ; Il propose maintenant la discrimination positive pour permettre aux étrangers accéder à la fonction publique. Sil est nécessaire, indispensable même,  de favoriser l’intégration, one ne saurait en effet soutenir une telle proposition sans remettre en cause le principe même d’égalité (et du statut de la fonction publique).une fois de plus le gouvernement est à coté de ses baskets en voulant privilégier de reformes sociétales et en dédaignant les réformes économiques. Une vraie discrimination positive celle-là. !  Le sociétal avant économique pour faire avaler la pilule amère de l’échec de la gouvernance.  Cette  discrimination positive «ne serait pas une bonne chose» pour une grande majorité de Français. Trois jours avant une réunion interministérielle pour établir la feuille de route du gouvernement sur l’intégration des immigrés, le sondage BVA pour I>télé-CQFD-Le Parisien/Aujourd’hui en France de ce samedi risque de faire quelques vagues à la tête de l’Etat. Alors que Matignon «envisage de faciliter l’accès des immigrés à la fonction publique» selon le Parisien, 67% des personnes interrogées estiment que la discrimination positive ne serait pas une bonne chose contre 29% qui croient le contraire. Chez les sympathisants de gauche les avis sont partagés, 48% pour et 49% contre. A droite en revanche, la majorité est contre (83%), seuls 14% pensent que la discrimination positive est une bonne idée. D’autre part, 21% des sondés se sentent plus proches de l’idée que «c’est avant tout la société française qui doit donner les moyens aux personnes d’origine étrangère de s’intégrer». Ils sont 77% à penser plutôt que «ce sont avant tout les personnes étrangères qui doivent se donner les moyens de s’intégrer». Depuis la création du ministère de l’Identité nationale en 2007, puis sa fusion dans celui de l’Intérieur, une partie des politiques d’intégration ont été rattachées à la place Beauvau. La réunion interministérielle de mardi à Matignon devrait redistribuer les cartes. La politique d’intégration sera bâtie autour de deux piliers, «l’accueil des primo-arrivants» et la «lutte contre les discriminations» envers les étrangers et leurs enfants, selon Matignon. Outre la question de la gouvernance, la réunion de mardi devrait être l’occasion de présenter des propositions concrètes.

 

1...8283848586...89



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol