Archive pour le Tag 'Français'

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Mondial foot fric : les Grecs renoncent à leurs primes….pas les Français

Mondial foot fric : les Grecs renoncent à leurs primes….pas les Français

 

Conscients de la difficulté économique et sociale de leur pays les joueurs grecs ne veulent pas de leurs primes. Contrairement (pour l’instant ?) aux français qui ont déjà encaissé 100  000 euros chacun (en plus évidemment des contrats pub spécifiques au Mondiale et évidemment aux rémunérations folles dans leur clubs). Eliminés dimanche en 8es de finale de la Coupe du monde par le Costa Rica, les joueurs grecs n’ont pas eu à rougir de leur prestation au Brésil cette année. Au contraire, puisque pour la première fois de son histoire, l’équipe nationale s’est hissée à ce stade de la compétition. Et pourtant, l’ensemble de la sélection a annoncé qu’elle renoncerait à toucher les primes prévues pour le Mondial. Dimanche, avant de céder face aux Costariciens après l’épreuve des tirs au but, les 23 joueurs ont adressé une lettre à Antonis Samaris, le premier Ministre afin d’expliquer leurs motivations. «Nous ne voulons pas de primes ou d’argent. Nous ne jouons que pour la Grèce et le peuple grec. Tout ce que nous attendons de vous, c’est une aide pour trouver un endroit et y construire un centre d’entraînement pour notre équipe nationale», peut-on lire sur le courrier.  Ce geste dans un pays encore lourdement frappé par la crise financière, est d’autant plus symbolique qu’il intervient quelques jours après l’annonce de différends sur la question des primes au sein des sélections camerounaise et ghanéenne. La semaine passée, à la demande de ses joueurs, le président ghanéen avait affrété spécialement un avion pour verser l’argent en liquide à ses joueurs, soit 3 millions de dollars

 

Automobiles : les français préfèrent les modèles pas chers

Automobiles : les français préfèrent les modèles pas chers

 

Effet de la crise sans doute mais auusi nouveau rapport culturel à la voiture qui redevient un simple outil de déplacement. Du coup les français choisissent surtout des modèles low-cost dépourvu d’équipements sophistiqués  (souvent inutiles) qui augmentent le prix de 5000 à 100 00 euros pour les petites voitures.  Sur les six premiers mois de l’année 2010, à peine plus de 3000 Dacia avaient été immatriculées en France. Au premier semestre 2014, elles étaient plus de 60.000. Cette performance illustre l’appétit des Français pour cette marque low-cost, filiale de Renault. En France, les immatriculations de voitures neuves, publiées le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), ne correspondent pas seulement aux voitures achetées par les particuliers, mais également par les entreprises, les administrations ou les loueurs. Les Français qui achètent des voitures neuves ne représentent même qu’une part relativement faible du total. Entre janvier et mai, 52 % des voitures immatriculées l’ont été par des particuliers. Sur ce marché, l’irruption de la marque Dacia a été irrésistible. Pour preuve, sur les cinq premiers mois de l’année, la Sandero occupe le deuxième rang, alors qu’elle se situe au 9e rang sur le marché global. Le SUV Duster est pour sa part 5e chez les particuliers, contre le 10e rang toute ventes confondues. Depuis le lancement de la marque en France, en 2004, la stratégie de Renault pour Dacia n’a pas varié: peu de dépenses marketing, des options simplifiées et une absence de remise. Il n’y a donc pas de ventes aux loueurs, qui demandent d’importances remises, ou aux entreprises, car le principe du low-cost passe mal. Conséquence: «Dacia s’adresse quasi exclusivement aux particuliers, avec 85 % de ses ventes», détaille Benard Cambier, directeur commercial France de Renault. Dans un climat économique dégradé, cette recette a fonctionné au-delà des attentes de ses concepteurs. Chez les particuliers, Dacia affiche une part de marché de 10,2 %, contre 6,2 % au niveau global. Désormais, «Dacia est la quatrième marque auprès des particuliers, devant Volkswagen», se félicite encore Bernard Cambier. La marque allemande est pourtant appréciée par les Français, puisqu’elle place deux voitures dans le top 10 des particuliers, la Polo au 8e rang et la Golf au 10e, alors qu’elle n’en compte aucune dans le Top 10 global. Pas de quoi résister au rouleau compresseur Dacia. Aucun constructeur n’est allé concurrencer la marque low-cost sur son terrain. Pourtant, certains ont également fait des particuliers leur cible privilégiée. C’est le cas de Peugeot comme Citroën, contraintes par les soucis financiers de leur maison-mère PSA. Car ce canal de distribution est financièrement intéressant. Philippe Narbeburu, directeur commercial France de Citroën, explique ainsi avoir «privilégié les particuliers depuis le début de l’année, car il s’agit du canal le plus rentable». En juin, le recul des immatriculations de la marque aux chevrons de 6,6 % s’explique exclusivement par la baisse des ventes aux loueurs. De même, la Peugeot 208 est la numéro un chez les particuliers, quand elle reste devancée par la Renault Clio sur le marché global. Les deux marques ne peuvent cependant pas adopter une démarche aussi radicale que Dacia, car elles n’ont pas le même outil de production et que les volumes écoulés via les autres canaux de distribution sont nécessaires pour remplir leurs usines. Dacia est partie d’une feuille blanche et c’était un réel atout.

 

Sondage grève intermittents : les français contre

Sondage grève intermittents :  les français contre

 

Autant lavis des français était net vis-à-vis de la grève de la SNCF (80% contre) autant là c’est beaucoup plus confus même si 55% des français se déclarent contre. En fait beaucoup ignorent tout de ce régime ; il y a certes des abus notamment de vedettes surpayées aussi d’entreprises qui trichent (notamment les boites de production qui travaillent pour la télé. Mais on ne devient pas riche avec ce statut, tout juste de quoi survivre. Surtout cela permet de soutenir une culture qui en bien besoin (et qui mériterait mieux que les pathos nombrilistes ou mélodramatiques) ; Plus de la moitié (55%) des Français se déclarent opposés au mouvement des intermittents, selon un sondage Harris Interactive réalisé pour Le Parisien/Aujourd’hui en France de samedi. Ce sont surtout les hommes de plus de 65 ans aux revenus élevés qui se montrent les plus hostiles au mouvement des intermittents, note Le Parisien. A l’inverse, parmi les jeunes, les femmes et les plus modestes, ils sont 50% à afficher leur soutien au combat des professionnels du spectacle.  « Les Français n’ont pas le sentiment d’être face à des nantis. Ils perçoivent la précarité » des intermittents, note Jean-Daniel Lévy d’Harris Interactive.   Pour autant, à peine 33% des sondés connaissent les revendications exprimées par les intermittents. Ce qui n’empêche pas 56% des personnes interrogées, en particulier chez les plus âgés et les plus aisés, de penser que leur régime doit être supprimé. La mission d’information de l’Assemblée nationale a rendu son rapport sur les intermittents du spectacle. Cet épais rapport de 300 pages, fruit de sept mois de travail, permet de dresser un portrait type de l’intermittent, et notamment de décortiquer ses revenus.  Selon le rapport, un intermittent gagne en moyenne 2.322 euros par mois (2.590 euros pour un technicien et 2.020 euros pour un artiste).  Cette somme inclut à la fois le salaire et l’indemnité versée par l’assurance chômage au titre de l’intermittence. Cette allocation représente en moyenne 1.805 euros par mois, contre 1.123 pour un chômeur lambda. « Le montant et la durée de versement semblent plus avantageux que le droit commun », pointe le rapport.  Toutefois, l’allocation versée à un intermittent est encadrée: elle est au minimum de 31 euros par jour (soit 954 euros par mois si tout le mois est travaillé), et au maximum de 4.188 euros par mois.  Certains intermittents sont donc riches, mais ils sont peu nombreux: ainsi, 5.900 intermittents gagnent plus de 4.188 euros par mois, et même 1.900 gagnent plus de 5.400 euros par mois.   Le rapport montre que le nombre d’intermittents a explosé. Il cite notamment une étude du ministère de la culture, qui indique que leur nombre a triplé entre 1987 et 2006, passant de 40.000 à 123.000. « Parmi les artistes, la progression des effectifs a été la plus forte pour les musiciens dont le nombre est passé de 5.500 à 26.000 en vingt ans« , indique l’étude. Cette explosion est notamment due à l’extension du régime de l’intermittence à un nombre croisant de professions, comme l’avait relevé la Cour des comptes. Notamment, depuis 1999, peuvent en bénéficier machinistes, costumiers, éclairagistes, ainsi que les salariés travaillant dans l’édition musicale, la gestion de salles de spectacle, la production et la promotion de spectacles. Le rapport dresse aussi un portrait type de l’intermittent: c’est un homme (à 61%), qui habite l’Ile-de-France (à 44%), qui a un niveau d’études bac +3 (à 27%), et qui a une origine sociale favorisée, avec un père cadre moyen ou supérieur (à 49%).  L’explosion de l’intermittence (qui est en pratique un CDD) s’est traduite par une explosion de la précarité dans l’audiovisuel et du spectacle. Depuis 1998, la part des CDI est passée de 59% à 36%. L’analyse sur une longue période montre que le nombre de contrats d’intermittents a décuplé entre 1989 et 2007, passant de 220.778 à 2,1 million. « Cette progression est largement imputable au secteur audiovisuel« , indique le rapport.  Surtout, cette progression a été bien plus rapide que le nombre d’intermittents. Résultat: un intermittent effectue en moyenne 16 contrats par an, contre 5 il y a vingt ans.   Autre phénomène: le nombre d’intermittents a cru plus vite que le volume de travail (+77% entre 1989 et 2007). Autrement dit: le nombre de convives a cru plus vite que la taille du gâteau… Conclusion: chaque intermittent travaille de moins en moins: 67 jours par an, contre 103 auparavant.

 

Sondage Radars : « pompes à fric » pour les Français

Sondage Radars : « pompes à fric » pour les Français

De  toute  évidence le premier objet de radars est de ramasser du fric et l’Etat entend en développer partout. Certes les contrôles de vitesse sont nécessaires car c’est lune des deux causes principales des accidents (avec l’alcool) mais il conviendrait cependant de gérer ces contrôles avec intelligence. Autant un dépassement de 50 voire 100 kms-heure est condamnable autant un dépassement de 5 ou 10 kms-heure devrait être toléré. Or ce sont les petits dépassements qui rapportent le plus financièrement ( surtout de la part des radars mobiles) Selon un sondage « Harris Interactive » pour RTL, 64 % des Français estiment que les radars automatiques servent seulement à remplir les caisses de l’Etat. Selon le site de la Sécurité routière, 2209 radars fixes étaient déployés au 1er juin 2014. On compte également à cette date 712 radars feu rouge, 780 radars vitesse embarqués et 119 véhicules équipés de radars mobiles nouvelle génération. En 2011, le montant des amendes forfaitaires s’élevaient à 539 millions d’euros.

Sondage Jean-Marie Le Pen : détesté par les Français

Sondage Jean-Marie Le Pen : détesté par les  Français

 

Plus de neuf Français sur dix (91%) ont une mauvaise opinion de Jean-Marie Le Pen, dont l’image est dégradée même auprès des sympathisants FN, selon un sondage BVA. Seuls 8% des personnes interrogées ont une bonne opinion du président d’honneur du Front national dont les récents propos sur Patrick Bruel ont déclenché la polémique, y compris au sein du FN. Interrogés sur l’image personnelle de Le Pen, les sondés le trouvent à une très grande majorité « provocateur » (93%), « agressif » (88%), « extrémiste » (85%), « raciste » (83%), « antisémite » (81%), « ringard » (73%) et « démagogique » (67%). Les sympathisants du FN sont au moins 36% à lui attribuer chacun de ces défauts. Le Pen est en revanche jugé « bon orateur » par 72% des personnes interrogées et « courageux » par 45%.

 

Sondage tiers payant médecin : les français pour

Sondage  tiers payant médecin : les français pour

Une mesure soutenue par les français même si cela risque d’entrainer des coûts administratifs pour des généralistes (et des délais de paiement) déjà mal rémunérés.  Les Français semblent favorables à la généralisation du tiers payant, mesure annoncée par la ministre de la Santé Marisol Touraine jeudi 19 juin. Selon un sondage IFOP à paraître dans Dimanche Ouest-France, ils sont en effet une majorité à l’approuver. 54% des Français interrogés lors de ce sondage se disent ainsi favorables « à la généralisation du tiers payant car cela permettra aux plus modestes de pouvoir consulter un médecin alors qu’ils y renoncent parfois car ils ne peuvent pas avancer le prix d’une consultation ». De leur côté, 34% y seraient opposés « car cela va déresponsabiliser les patients, créer des abus et se traduire par une hausse des dépenses de santé ».  « Bien que d’une manière générale, sous l’effet de la crise économique et financière, l’opinion publique se montre de plus en plus sensible à la maîtrise des dépenses de santé et à la réduction des déficits publics, le risque d’un accroissement non maîtrisé du nombre de consultations, consécutif à la généralisation du tiers payant, n’est pas majoritairement partagé », relève l’institut IFOP. Les employés et ouvriers sont les plus nombreux à être favorables à la mesure (60%) contre seulement 29% des travailleurs indépendants et 40% chez les professions libérales et cadres supérieurs. Politiquement les sympathisants du Front de gauche plébiscitent cette mesure (80% favorables), tandis que les sympathisants PS sont à 61% d’opinion favorable et ceux de l’UMP seulement 38% et 50% pour les sympathisants FN.  Marisol Touraine avait également annoncé jeudi que la mesure figurerait dans la future loi de santé publique et que le tiers payant serait généralisé en 2017.

 

Sondage : Mélenchon, c’est la gauche pour les français

Sondage : Mélenchon, c’est la gauche  pour les français

 

On ne vote pas nécessairement pour lui, pourtant c’est Mélenchon qui représente  la vraie gauche. Pour 29% des personnes interrogées par BVA, le co-président du parti de gauche est en effet la personnalité symbolisant le mieux la gauche. Derrière lui, Martine Aubry convainc 25 % des sondés contre 23% pour Manuel Valls. Mais chez les sympathisants de gauche, la maire de Lille devance très légèrement Jean-Luc Mélenchon (33 % contre 32 %) quand le Premier ministre arrive loin derrière (16%). Quant à François Hollande et Arnaud Montebourg, crédités respectivement de 8% et 6%, ils peuvent difficilement rivaliser. Un écart qui se confirme au sein des sympathisants de gauche puisque le président arrive 7 points derrière le chef du gouvernement alors que le ministre de l’Economie enregistre 10 points de moins que Manuel Valls. Mais c’est surtout l’ancienne ministre du Logement, Cécile Duflot, qui fait figure de grande perdante du classement BVA. Elle arrive en dernière position avec seulement 1 % de convaincus (2% chez les sympathisants de gauche).  Selon ce même sondage, 45% des Français et 52% des sympathisants de gauche approuvent une possible alliance des députés socialistes frondeurs aux écologistes et communistes pour s’opposer ou s’abstenir sur les prochains textes budgétaires.

Américanisation du vin français ?

Américanisation du vin  français ?

 

 

L France n’a plus guère d’industrie mais il lui reste le vin, pourtant on veut américaniser le nom de domaines sur internet, en faiat une sorte de banalisation par le bas de la renommée des vins français. Des noms de domaines « .vin » ou « .wine » devraient bientôt faire leur apparition sur internet, malgré l’opposition de plusieurs États européens et des producteurs qui y voient une menace. Les sites internet pourraient bientôt s’enregistrer sous des noms de domaine en « .vin », ou son équivalent anglais « .wine ». L’Icann, la société de droit californien à but non lucratif chargée, entre autres, de l’autorisation des noms de domaines, a rejeté les requêtes demandant leur non-ouverture. Plusieurs États européens, dont la France, et des associations de producteurs viticoles, s’inquiètent des conséquences de l’apparition de ces extensions sur la réputation de leur production. Les ministres Laurent Fabius et Stéphane Le Foll et la secrétaire d’État Axelle Lemaire ont ainsi écrit le 5 juin au président de la Commission européenne José Manuel Barroso. Ils lui ont demandé de s’opposer à l’attribution de ces extensions qui, selon eux, menaceraient les appellations d’origine contrôlées (AOC) et les Indications géographiques contrôlées (IGC). Les viticulteurs s’inquiètent notamment de devoir payer pour enregistrer leurs IGC avec l’extension « .vin » ou « .wine », pour empêcher que celles-ci soient utilisées par des imposteurs ou à leurs dépends. C’est une société américaine,Donuts Inc., qui a fait la demande (onéreuse) d’autorisation de ces deux extensions auprès de l’Icann, afin de commercialiser ensuite ces adresses. Deux autres entreprises ont fait une offre sur l’extension « .wine ». Depuis, les professionnels du vin et ses défenseurs étatiques cherchent à s’opposer à l’Icann et à lui faire reconnaître et protéger sur internet des normes juridiques appliquées dans le monde réel. Le 12 juin, l’Icann a rendu ses conclusions quant aux requêtes qui lui ont été soumises demandant l’annulation de ces offres. Elle explique n’avoir trouvé aucune irrégularité dans la procédure d’attribution et réaffirme son intention d’autoriser ces extensions. La société de son côté peut compter sur le soutien du gouvernement américain. La procédure d’attribution des extensions « .vin » et « .wine » prendra encore quelques mois, mais l’Icann semble déterminée à la mener jusqu’au bout, estimant non-fondées les inquiétudes soulevées.

 

Immobilier français : beaucoup trop cher

Immobilier français : beaucoup  trop cher

 

 

Encore une explication supplémentaire qui faiat craindre la création d’une nouvelle bulle immobilière :  «La France est l’un des pays européens où il est le plus difficile d’accéder à la propriété», constate la troisième étude sur le marché immobilier européen du cabinet Deloitte. L’an dernier, les ménages ont dû débourser 7,9 années de salaire brut en moyenne, pour devenir propriétaires d’un logement neuf de 70 m². Certes, en un an, leur pouvoir d’achat s’est sensiblement amélioré (9,4 années en 2012). «Cette évolution s’explique par le très léger recul des prix de la pierre (-0,9 % en 2013), mais surtout par des taux de crédit bas et un changement du profil des acquéreurs, de plus en plus fortunés», décrypte Laure Silvestre-Siaz, associée chez Deloitte. La France fait partie avec le Royaume-Uni des pays les plus chers d’Europe. En 2013, les ménages britanniques ont dû consacrer en moyenne 8,5 années de revenus à l’achat d’un 70 m² neuf et beaucoup plus à Londres, capitale la plus chère du Vieux Continent, devant Paris. L’inflation des prix de la pierre a poussé le gouvernement à prendre des mesures pour calmer le jeu. Malgré une baisse des prix en 2013 (- 5 %), les Italiens doivent aussi fournir un important effort financier pour devenir propriétaires (7 ans de revenus). «Les inégalités de pouvoir d’achat immobilier se creusent en Europe», constate l’étude qui souligne des écarts très importants entre la Russie (10 ans de salaires) et le Danemark (2 ans). Contrairement à ce que certains pourraient penser, «les prix de l’immobilier ne semblent pas être significativement corrélés à l’économie d’un pays», note l’étude. C’est en effet au Danemark, en Allemagne, aux Pays-Bas, ou en Belgique, pays riches, que l’immobilier est le plus abordable. Paradoxalement, c’est au Danemark où les prix sont les plus chers d’Europe que les ménages (aux revenus élevés) bénéficient du meilleur pouvoir d’achat. Vient ensuite l’Allemagne où, l’an dernier, l’achat d’un 70 m² neuf équivalait à trois années de salaire. Soit près d’un an de plus qu’en 2012. Car, après de longues années de stagnation, les prix s’apprécient fortement outre-Rhin.  L’immobilier est aussi abordable au Portugal et en Espagne. La baisse des prix des logements espagnols depuis l’éclatement de la bulle immobilière (-13 % en 2013) a redonné un peu d’oxygène aux ménages: l’achat d’un 70 m² représentait l’an dernier 3,6 années de revenus contre près de 5 années en 2012.

 

Sondage : trois Français sur quatre opposés à la grève des cheminots

Sondage : trois Français sur quatre opposés à la grève des cheminots

Alors qu’en 1995 la grève des cheminots était très largement soutenue par l’opinion, cette fois c’est le contraire car les trois français sur quatre condamnent le mouvement actuel complètement incompris. Mais  dans le même temps les français condamnent aussi l’incompétence du gouvernement dans ce dossier. L’opinion est exaspérée par le blocage des trains en plein bac. Et elle ne comprend pas les motivations des cheminots. Un sondage Harris Interactive révèle en effet que seul un Français sur trois (34 %) voit précisément de quoi il retourne et comprend les raisons d’une grève qui dure maintenant depuis une semaine.  Résultat, la grande majorité des Français (76 %)* condamne le mouvement des cheminots.  Problème, ces mêmes Français ne font pas confiance au gouvernement pour sortir de cette crise. C’est «un rejet inédit», relève Jean-Daniel Lévy, directeur d’Harris Interactive.

Valls : baisses d’impôts des classes moyennes quand les français seront morts

Valls : baisses d’impôts des baisses dimpôts des classes moyennes quand les français seront morts

 

 

Valls est comme Hollande : dans le potage. Il promet des baisses d’impôt pour les classes moyennes mais seulement quand la dépense publique aura diminué. Ce net pas pour demain puisque malgré la politique d’austérité le déficit ne fait que s’aggraver ; Pas vraiment un cercle vertueux plutôt le chat qui courre après sa queue.  Après le récent geste fiscal en direction des foyers modestes, Manuel Valls veut faire baisser les impôts des classes moyennes, mais une fois la dépense publique réduite. C’est ce qu’il a affirmé devant le Conseil national du PS, ce samedi 14 juin.  « Il nous faudra explorer d’autres chemins, sans tabou. Je pense à la baisse de la fiscalité des ménages et notamment des classes moyennes. Car je l’ai dit, les impôts sont trop lourds. Mais nous ne pourrons nous engager dans cette voie que si nous avons réduit la dépense publique« , a-t-il dit. Mais sans donner de date précise… S’exprimant à quelques jours de l’examen des projets de loi mettant en musique les mesures du pacte de responsabilité, il a lancé en direction des socialistes: le choix de la politique de l’offre, « je l’assume » et « je n’ai qu’une certitude: prendre un autre chemin nous conduirait à l’échec. C’est pourquoi je suis très déterminé à quelques jours des votes importants que nous avons au Parlement. C’est notre crédibilité qui est en jeu ». Face à la grogne de la gauche du PS, il a ajouté: « la radicalité en interne ou dans la société mène à une impasse. C’est le réformisme qui est en jeu. Tenir dans la durée. Nous avons encore trois ans pour nous. Trois ans pour réussir et pour continuer à gouverner. Autour du président de la République, autour de François Hollande ».  Pour lui, les socialistes doivent avoir « l’obsession » d’ »en finir avec la gauche du ‘un petit tour et puis s’en va’ ».

 

Moral des français : en baisse

Moral des français : en baisse

Le moral des Français baisse légèrement. Le baromètre BVA-BFM-Challenges-Axys, publié ce jeudi 12 juin montre, en effet, que l’indice de confiance régresse de 5 points par rapport au mois dernier. Il se situe à -47. Les Français expriment aussi leur ras-le-bol fiscal. En dépit de leur souhait de voir des mesures de soutien à la compétitivité des entreprises mises en places, ils sont de plus en plus nombreux à préférer une baisse des impôts des particuliers (à 68% soit +6 points depuis février) plutôt qu’une baisse de ceux des entreprises (28% soit -7 points).  Mais que le gouvernement se rassure, les sympathisants de gauche sont plus optimistes (à 51%, en hausse de 6 points) que ceux de droite (à 9%, en baisse de 7 points) et ceux sans couleur politique affichée (11%, en baisse de 11 points). De plus, cette tendance pourrait s’inverser. En effet, la majorité de Français interrogée considère que les axes d’attaque du gouvernement sont efficaces pour stimuler la croissance. Ainsi, 71% des sondés considèrent efficace le soutien à l’investissement dans l’innovation, 69% la diminution des dépenses de l’Etat et la dette publique, et 67% les mesures de soutien à la compétitivité des entreprises. Les mesures destinées à développer l’attractivité de la France pour les investisseurs et les mesures d’incitation à l’embauche sont quant à elles considérées comme efficaces par près de six Français sur dix.

 

Sondage Royal : 49% des français contre sa politique

Sondage Royal : 49% des français contre sa politique

Visiblement Royal déçoit sitôt son arrivée au ministère de l’écologie, il faut dire qu’elle défend des positions assez brouillonnes et contradictoires sue le nucléaire, l’écotaxe ou encore le gaz de schiste. La fantasque ministre paraît désormais disqualifiée pour 2017. Dans un gouvernement peu populaire, Ségolène Royal s’en sort relativement bien aux yeux de l’opinion. Son action – qui débute – est approuvée par 47% des Français, selon un  sondage IFOP-JDD. « Elle réalise un score encourageant au regard de l’impopularité de l’exécutif », relève Frédéric Dabi, directeur à l’Ifop. Caution de gauche, la ministre de l’Ecologie rassemble une majorité de sympathisants du Front de gauche et des Verts autour d’une image volontariste et populaire. Les déçus sont, sans surprise, des électeurs de droite (63%), qui rejettent massivement l’équipe Hollande-Valls. Aurait-elle un statut « à part » au sein du gouvernement? Non, répondent 59% des Français, même si une majorité d’électeurs UMP sont d’un avis contraire. En revanche, la finaliste de la présidentielle en 2007 n’apparaît plus en position de concourir pour l’Elysée. Seuls 31% des sondés (45% des sympathisants PS) considèrent qu’elle a l’étoffe d’un chef de l’Etat.

Réforme territoriale : les français contre

Réforme territoriale : les français contre

 

Le bricolage de Hollande concernant les nouvelles régions n’a pas convaincu. Pas étonnant ce nouveau découpage ne tient pas compte des réalités économiques, culturelles et historiques (à quelques exceptions près). Des français très lucides qui voient auusi là une manipulation de communication.  Les Français n’ont, dans leur majorité, pas apprécié que l’on touche à leur région. Le projet de François Hollande de redécouper les 22 régions pour n’en garder que 14 ne satisfait pas 56% des Français, selon un sondage BVA pour I-Télé. Seules 42% des personnes interrogées disent être satisfaites du nouveau découpage. Le projet du chef de l’Etat présenté lundi n’emporte l’adhésion que chez les sympathisants de gauche (61% contre 29% de satisfaits à droite). Autre mauvais point pour l’exécutif, une majorité de 54% estime en outre que la réforme est « uniquement destinée à donner une meilleure image du gouvernement » contre 44% qui la jugent « importante pour permettre de donner plus de poids aux régions et de réduire la dépense publique ».

 

Les français souhaitent la dissolution de l’UMP

Les français souhaitent la dissolution de l’UMP

 

Plus de deux Français sur trois (65%) estiment « plutôt » ou « tout à fait » qu’il faudrait « dissoudre l’UMP pour créer un nouveau parti d’opposition »selon une enquête de OpinionWay pour Clai/metronews/LCI publiée ce vendredi 6 juin. Ils sont 40% à considérer qu’aucun des partis habituels ne  »s’oppose le mieux au gouvernement ».  Pour 34% des sondés, le Front national est la formation politique qui offre la meilleure opposition, loin devant l’UMP, citée par 14% des personnes interrogées. Par rapport à la dernière enquête, remontant à mai 2013, le FN progresse de 13 points et l’UMP chute de 7 points.  Après le FN et l’UMP viennent ensuite le Front de gauche (7%, -11), le MoDem (3%, +1), l’UDI, stable à 2%. Sondage réalisé auprès d’un échantillon de 1.004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et interrogé par téléphone à domicile du 2 au 4 juin. Méthode des quotas.

 

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