Archive pour le Tag 'Français'

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Sondage tiers payant médecin : les français pour

Sondage  tiers payant médecin : les français pour

Une mesure soutenue par les français même si cela risque d’entrainer des coûts administratifs pour des généralistes (et des délais de paiement) déjà mal rémunérés.  Les Français semblent favorables à la généralisation du tiers payant, mesure annoncée par la ministre de la Santé Marisol Touraine jeudi 19 juin. Selon un sondage IFOP à paraître dans Dimanche Ouest-France, ils sont en effet une majorité à l’approuver. 54% des Français interrogés lors de ce sondage se disent ainsi favorables « à la généralisation du tiers payant car cela permettra aux plus modestes de pouvoir consulter un médecin alors qu’ils y renoncent parfois car ils ne peuvent pas avancer le prix d’une consultation ». De leur côté, 34% y seraient opposés « car cela va déresponsabiliser les patients, créer des abus et se traduire par une hausse des dépenses de santé ».  « Bien que d’une manière générale, sous l’effet de la crise économique et financière, l’opinion publique se montre de plus en plus sensible à la maîtrise des dépenses de santé et à la réduction des déficits publics, le risque d’un accroissement non maîtrisé du nombre de consultations, consécutif à la généralisation du tiers payant, n’est pas majoritairement partagé », relève l’institut IFOP. Les employés et ouvriers sont les plus nombreux à être favorables à la mesure (60%) contre seulement 29% des travailleurs indépendants et 40% chez les professions libérales et cadres supérieurs. Politiquement les sympathisants du Front de gauche plébiscitent cette mesure (80% favorables), tandis que les sympathisants PS sont à 61% d’opinion favorable et ceux de l’UMP seulement 38% et 50% pour les sympathisants FN.  Marisol Touraine avait également annoncé jeudi que la mesure figurerait dans la future loi de santé publique et que le tiers payant serait généralisé en 2017.

 

Sondage : Mélenchon, c’est la gauche pour les français

Sondage : Mélenchon, c’est la gauche  pour les français

 

On ne vote pas nécessairement pour lui, pourtant c’est Mélenchon qui représente  la vraie gauche. Pour 29% des personnes interrogées par BVA, le co-président du parti de gauche est en effet la personnalité symbolisant le mieux la gauche. Derrière lui, Martine Aubry convainc 25 % des sondés contre 23% pour Manuel Valls. Mais chez les sympathisants de gauche, la maire de Lille devance très légèrement Jean-Luc Mélenchon (33 % contre 32 %) quand le Premier ministre arrive loin derrière (16%). Quant à François Hollande et Arnaud Montebourg, crédités respectivement de 8% et 6%, ils peuvent difficilement rivaliser. Un écart qui se confirme au sein des sympathisants de gauche puisque le président arrive 7 points derrière le chef du gouvernement alors que le ministre de l’Economie enregistre 10 points de moins que Manuel Valls. Mais c’est surtout l’ancienne ministre du Logement, Cécile Duflot, qui fait figure de grande perdante du classement BVA. Elle arrive en dernière position avec seulement 1 % de convaincus (2% chez les sympathisants de gauche).  Selon ce même sondage, 45% des Français et 52% des sympathisants de gauche approuvent une possible alliance des députés socialistes frondeurs aux écologistes et communistes pour s’opposer ou s’abstenir sur les prochains textes budgétaires.

Américanisation du vin français ?

Américanisation du vin  français ?

 

 

L France n’a plus guère d’industrie mais il lui reste le vin, pourtant on veut américaniser le nom de domaines sur internet, en faiat une sorte de banalisation par le bas de la renommée des vins français. Des noms de domaines « .vin » ou « .wine » devraient bientôt faire leur apparition sur internet, malgré l’opposition de plusieurs États européens et des producteurs qui y voient une menace. Les sites internet pourraient bientôt s’enregistrer sous des noms de domaine en « .vin », ou son équivalent anglais « .wine ». L’Icann, la société de droit californien à but non lucratif chargée, entre autres, de l’autorisation des noms de domaines, a rejeté les requêtes demandant leur non-ouverture. Plusieurs États européens, dont la France, et des associations de producteurs viticoles, s’inquiètent des conséquences de l’apparition de ces extensions sur la réputation de leur production. Les ministres Laurent Fabius et Stéphane Le Foll et la secrétaire d’État Axelle Lemaire ont ainsi écrit le 5 juin au président de la Commission européenne José Manuel Barroso. Ils lui ont demandé de s’opposer à l’attribution de ces extensions qui, selon eux, menaceraient les appellations d’origine contrôlées (AOC) et les Indications géographiques contrôlées (IGC). Les viticulteurs s’inquiètent notamment de devoir payer pour enregistrer leurs IGC avec l’extension « .vin » ou « .wine », pour empêcher que celles-ci soient utilisées par des imposteurs ou à leurs dépends. C’est une société américaine,Donuts Inc., qui a fait la demande (onéreuse) d’autorisation de ces deux extensions auprès de l’Icann, afin de commercialiser ensuite ces adresses. Deux autres entreprises ont fait une offre sur l’extension « .wine ». Depuis, les professionnels du vin et ses défenseurs étatiques cherchent à s’opposer à l’Icann et à lui faire reconnaître et protéger sur internet des normes juridiques appliquées dans le monde réel. Le 12 juin, l’Icann a rendu ses conclusions quant aux requêtes qui lui ont été soumises demandant l’annulation de ces offres. Elle explique n’avoir trouvé aucune irrégularité dans la procédure d’attribution et réaffirme son intention d’autoriser ces extensions. La société de son côté peut compter sur le soutien du gouvernement américain. La procédure d’attribution des extensions « .vin » et « .wine » prendra encore quelques mois, mais l’Icann semble déterminée à la mener jusqu’au bout, estimant non-fondées les inquiétudes soulevées.

 

Immobilier français : beaucoup trop cher

Immobilier français : beaucoup  trop cher

 

 

Encore une explication supplémentaire qui faiat craindre la création d’une nouvelle bulle immobilière :  «La France est l’un des pays européens où il est le plus difficile d’accéder à la propriété», constate la troisième étude sur le marché immobilier européen du cabinet Deloitte. L’an dernier, les ménages ont dû débourser 7,9 années de salaire brut en moyenne, pour devenir propriétaires d’un logement neuf de 70 m². Certes, en un an, leur pouvoir d’achat s’est sensiblement amélioré (9,4 années en 2012). «Cette évolution s’explique par le très léger recul des prix de la pierre (-0,9 % en 2013), mais surtout par des taux de crédit bas et un changement du profil des acquéreurs, de plus en plus fortunés», décrypte Laure Silvestre-Siaz, associée chez Deloitte. La France fait partie avec le Royaume-Uni des pays les plus chers d’Europe. En 2013, les ménages britanniques ont dû consacrer en moyenne 8,5 années de revenus à l’achat d’un 70 m² neuf et beaucoup plus à Londres, capitale la plus chère du Vieux Continent, devant Paris. L’inflation des prix de la pierre a poussé le gouvernement à prendre des mesures pour calmer le jeu. Malgré une baisse des prix en 2013 (- 5 %), les Italiens doivent aussi fournir un important effort financier pour devenir propriétaires (7 ans de revenus). «Les inégalités de pouvoir d’achat immobilier se creusent en Europe», constate l’étude qui souligne des écarts très importants entre la Russie (10 ans de salaires) et le Danemark (2 ans). Contrairement à ce que certains pourraient penser, «les prix de l’immobilier ne semblent pas être significativement corrélés à l’économie d’un pays», note l’étude. C’est en effet au Danemark, en Allemagne, aux Pays-Bas, ou en Belgique, pays riches, que l’immobilier est le plus abordable. Paradoxalement, c’est au Danemark où les prix sont les plus chers d’Europe que les ménages (aux revenus élevés) bénéficient du meilleur pouvoir d’achat. Vient ensuite l’Allemagne où, l’an dernier, l’achat d’un 70 m² neuf équivalait à trois années de salaire. Soit près d’un an de plus qu’en 2012. Car, après de longues années de stagnation, les prix s’apprécient fortement outre-Rhin.  L’immobilier est aussi abordable au Portugal et en Espagne. La baisse des prix des logements espagnols depuis l’éclatement de la bulle immobilière (-13 % en 2013) a redonné un peu d’oxygène aux ménages: l’achat d’un 70 m² représentait l’an dernier 3,6 années de revenus contre près de 5 années en 2012.

 

Sondage : trois Français sur quatre opposés à la grève des cheminots

Sondage : trois Français sur quatre opposés à la grève des cheminots

Alors qu’en 1995 la grève des cheminots était très largement soutenue par l’opinion, cette fois c’est le contraire car les trois français sur quatre condamnent le mouvement actuel complètement incompris. Mais  dans le même temps les français condamnent aussi l’incompétence du gouvernement dans ce dossier. L’opinion est exaspérée par le blocage des trains en plein bac. Et elle ne comprend pas les motivations des cheminots. Un sondage Harris Interactive révèle en effet que seul un Français sur trois (34 %) voit précisément de quoi il retourne et comprend les raisons d’une grève qui dure maintenant depuis une semaine.  Résultat, la grande majorité des Français (76 %)* condamne le mouvement des cheminots.  Problème, ces mêmes Français ne font pas confiance au gouvernement pour sortir de cette crise. C’est «un rejet inédit», relève Jean-Daniel Lévy, directeur d’Harris Interactive.

Valls : baisses d’impôts des classes moyennes quand les français seront morts

Valls : baisses d’impôts des baisses dimpôts des classes moyennes quand les français seront morts

 

 

Valls est comme Hollande : dans le potage. Il promet des baisses d’impôt pour les classes moyennes mais seulement quand la dépense publique aura diminué. Ce net pas pour demain puisque malgré la politique d’austérité le déficit ne fait que s’aggraver ; Pas vraiment un cercle vertueux plutôt le chat qui courre après sa queue.  Après le récent geste fiscal en direction des foyers modestes, Manuel Valls veut faire baisser les impôts des classes moyennes, mais une fois la dépense publique réduite. C’est ce qu’il a affirmé devant le Conseil national du PS, ce samedi 14 juin.  « Il nous faudra explorer d’autres chemins, sans tabou. Je pense à la baisse de la fiscalité des ménages et notamment des classes moyennes. Car je l’ai dit, les impôts sont trop lourds. Mais nous ne pourrons nous engager dans cette voie que si nous avons réduit la dépense publique« , a-t-il dit. Mais sans donner de date précise… S’exprimant à quelques jours de l’examen des projets de loi mettant en musique les mesures du pacte de responsabilité, il a lancé en direction des socialistes: le choix de la politique de l’offre, « je l’assume » et « je n’ai qu’une certitude: prendre un autre chemin nous conduirait à l’échec. C’est pourquoi je suis très déterminé à quelques jours des votes importants que nous avons au Parlement. C’est notre crédibilité qui est en jeu ». Face à la grogne de la gauche du PS, il a ajouté: « la radicalité en interne ou dans la société mène à une impasse. C’est le réformisme qui est en jeu. Tenir dans la durée. Nous avons encore trois ans pour nous. Trois ans pour réussir et pour continuer à gouverner. Autour du président de la République, autour de François Hollande ».  Pour lui, les socialistes doivent avoir « l’obsession » d’ »en finir avec la gauche du ‘un petit tour et puis s’en va’ ».

 

Moral des français : en baisse

Moral des français : en baisse

Le moral des Français baisse légèrement. Le baromètre BVA-BFM-Challenges-Axys, publié ce jeudi 12 juin montre, en effet, que l’indice de confiance régresse de 5 points par rapport au mois dernier. Il se situe à -47. Les Français expriment aussi leur ras-le-bol fiscal. En dépit de leur souhait de voir des mesures de soutien à la compétitivité des entreprises mises en places, ils sont de plus en plus nombreux à préférer une baisse des impôts des particuliers (à 68% soit +6 points depuis février) plutôt qu’une baisse de ceux des entreprises (28% soit -7 points).  Mais que le gouvernement se rassure, les sympathisants de gauche sont plus optimistes (à 51%, en hausse de 6 points) que ceux de droite (à 9%, en baisse de 7 points) et ceux sans couleur politique affichée (11%, en baisse de 11 points). De plus, cette tendance pourrait s’inverser. En effet, la majorité de Français interrogée considère que les axes d’attaque du gouvernement sont efficaces pour stimuler la croissance. Ainsi, 71% des sondés considèrent efficace le soutien à l’investissement dans l’innovation, 69% la diminution des dépenses de l’Etat et la dette publique, et 67% les mesures de soutien à la compétitivité des entreprises. Les mesures destinées à développer l’attractivité de la France pour les investisseurs et les mesures d’incitation à l’embauche sont quant à elles considérées comme efficaces par près de six Français sur dix.

 

Sondage Royal : 49% des français contre sa politique

Sondage Royal : 49% des français contre sa politique

Visiblement Royal déçoit sitôt son arrivée au ministère de l’écologie, il faut dire qu’elle défend des positions assez brouillonnes et contradictoires sue le nucléaire, l’écotaxe ou encore le gaz de schiste. La fantasque ministre paraît désormais disqualifiée pour 2017. Dans un gouvernement peu populaire, Ségolène Royal s’en sort relativement bien aux yeux de l’opinion. Son action – qui débute – est approuvée par 47% des Français, selon un  sondage IFOP-JDD. « Elle réalise un score encourageant au regard de l’impopularité de l’exécutif », relève Frédéric Dabi, directeur à l’Ifop. Caution de gauche, la ministre de l’Ecologie rassemble une majorité de sympathisants du Front de gauche et des Verts autour d’une image volontariste et populaire. Les déçus sont, sans surprise, des électeurs de droite (63%), qui rejettent massivement l’équipe Hollande-Valls. Aurait-elle un statut « à part » au sein du gouvernement? Non, répondent 59% des Français, même si une majorité d’électeurs UMP sont d’un avis contraire. En revanche, la finaliste de la présidentielle en 2007 n’apparaît plus en position de concourir pour l’Elysée. Seuls 31% des sondés (45% des sympathisants PS) considèrent qu’elle a l’étoffe d’un chef de l’Etat.

Réforme territoriale : les français contre

Réforme territoriale : les français contre

 

Le bricolage de Hollande concernant les nouvelles régions n’a pas convaincu. Pas étonnant ce nouveau découpage ne tient pas compte des réalités économiques, culturelles et historiques (à quelques exceptions près). Des français très lucides qui voient auusi là une manipulation de communication.  Les Français n’ont, dans leur majorité, pas apprécié que l’on touche à leur région. Le projet de François Hollande de redécouper les 22 régions pour n’en garder que 14 ne satisfait pas 56% des Français, selon un sondage BVA pour I-Télé. Seules 42% des personnes interrogées disent être satisfaites du nouveau découpage. Le projet du chef de l’Etat présenté lundi n’emporte l’adhésion que chez les sympathisants de gauche (61% contre 29% de satisfaits à droite). Autre mauvais point pour l’exécutif, une majorité de 54% estime en outre que la réforme est « uniquement destinée à donner une meilleure image du gouvernement » contre 44% qui la jugent « importante pour permettre de donner plus de poids aux régions et de réduire la dépense publique ».

 

Les français souhaitent la dissolution de l’UMP

Les français souhaitent la dissolution de l’UMP

 

Plus de deux Français sur trois (65%) estiment « plutôt » ou « tout à fait » qu’il faudrait « dissoudre l’UMP pour créer un nouveau parti d’opposition »selon une enquête de OpinionWay pour Clai/metronews/LCI publiée ce vendredi 6 juin. Ils sont 40% à considérer qu’aucun des partis habituels ne  »s’oppose le mieux au gouvernement ».  Pour 34% des sondés, le Front national est la formation politique qui offre la meilleure opposition, loin devant l’UMP, citée par 14% des personnes interrogées. Par rapport à la dernière enquête, remontant à mai 2013, le FN progresse de 13 points et l’UMP chute de 7 points.  Après le FN et l’UMP viennent ensuite le Front de gauche (7%, -11), le MoDem (3%, +1), l’UDI, stable à 2%. Sondage réalisé auprès d’un échantillon de 1.004 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus et interrogé par téléphone à domicile du 2 au 4 juin. Méthode des quotas.

 

Progression du FN : 65% des Français inquiets

Progression du FN : 65% des Français inquiets

 

 

 

Le FN a de toute évidence été le réceptacle de tous les mécontentements et de toutes les contradictions, une sorte de syndicat politique  d’opposition. Avec le score de près de 25%, il suscite maintenant l’  inquiétude compte tenu des valeurs qu’il porte et aussi sans doute du fait de  l’incohérence de son programme (Euro, frontière démocratie etc.). Fort de 24,95% des voix, devant les 20,79% de l’UMP et les 13,98% du PS, le succès du FN aux élections européennes passe mal pour deux tiers des Français. Selon un sondage* BVA pour I-Télé-CQFD publié samedi 31 mai, 65% des personnes interrogées estiment que le score du parti de Marine Le Pen est inquiétant pour la vie politique française. Ce constat est partagé quasi unanimement par les sympathisants de gauche (90%) mais également par ceux du MoDem (78%), de l’UDI (70%) et de l’UMP (62%). 53% de Français estiment par ailleurs que le FN devrait être considéré à présent comme un parti comme un autre. Ils étaient 58% à partager cette opinion au soir du deuxième tour des élections municipales. « Ce recul de 5 points fait état d’un risque latent pour le Front national », indique BVA. « Si le parti de Marine Le Pen pouvait jusqu’alors bénéficier d’une certaine mansuétude d’individus le considérant plutôt comme un trouble-fête, la progression de ses scores électoraux suscite un regain de méfiance des Français ».

 

Alstom: un « plan C » avec capitaux français

Alstom: un « plan C » avec capitaux français
Il a raison de se secouer Montebourg car si Alstom disparait en tant qu’entreprise française, le fantasque ministre de l’économie pourrait disparaitre du paysage politique et rejoindre la troupe des humoristes de « on ne demande qu’à en rire de France 2. (Mais là on pourra auusi pleurer).  Montebourg a donc indiqué l’existence de ce « plan C » lors d’une rencontre, ce jeudi 22 mai, avec les syndicats d’Alstom au cours de laquelle il a réaffirmé son opposition aux offres en l’état des deux prétendants étrangers du groupe. « Nous avons mis à l’étude le plan C », a-t-il par ailleurs déclaré à Reuters en marge d’une visite à la Cité de la Mode et du Design, en précisant qu’il reposait sur des capitaux « de boîtes privées (et) peut-être de boîtes publiques ». « Le plan A c’est GE, le plan B c’est Siemens, le plan C c’est une solution ‘maison France’, a-t-il ajouté.   Selon Philippe Pillot, délégué syndical FO d’Alstom Transport, le ministre a indiqué clairement la veille que « ni l’offre de GE ni celle de Siemens ne lui conviennent » en l’état et qu’il était prêt à utiliser le décret récemment publié sur les acquisitions d’entreprises stratégiques pour les bloquer. « Il a dit qu’à sa demande, ses services étudiaient un plan C dans le style de celui qui a été fait en 2003″, a ajouté le syndicaliste en faisant référence au plan de sauvetage qui avait abouti à l’entrée de l’Etat français dans le capital d’Alstom à hauteur de 21% pour un montant, à l’époque de 720 millions d’euros.

 

Travail : les Français démotivés, le principal facteur explicatif de la crise

Travail : les Français démotivés, le principal facteur explicatif de la crise

 

Il y a bien entendu de nombreux facteurs explicatifs interactifs qui expliquent la crise économique française à commencer par la formation et l’éducation des parents mais il y a surtout un élément tabou : la perte de la valeur travail. En clair beaucoup, beaucoup trop ne veuillent plus travailler ou ne travaillent pas assez (exemple 13 jours de congés en mai en moyenne avec les ponts !!). Certes ceux sont à la recherche d’un emploi aimeraient bien travailler mais ceux qui en ont ne travaillent pas assez. Du coup la productivité est faible, les charges sociales élevées. Et les 35 heures ont fini par tuer le peu d’envie qui restait. C’est la génération RTT. Encore une fois un sujet complètement tabou qui caractérise cependant une société en plein déclin et qui permet de faire l’économie d’analyse économiques sophistiquées (même sil en faut quand même) pour expliquer la situation catastrophique du pays. Selon un sondage pour France –Info, 38% de salariés qui disent que leur motivation baisse en France, c’est 15% de plus que les Allemands. Et, c’est ce qui est inquiétant, le mouvement est constant depuis plusieurs années. La confiance envers l’avenir de leur entreprise, n’est pas terrible non plus : 59% des Français se disent confiants sur l’avenir de leur entreprise, bien en-deçà de leurs voisins : les Allemands sont à 90% de confiance. L’indice de confiance français est toutefois en légère hausse, de trois points, par rapport à l’an dernier. Pourtant, malgré ce pessimisme, les Français se disent heureux au travail. C’est l’un des rares points sur lesquels nous sommes à l’unisson avec les autres pays étudiés : Allemagne, Belgique, Espagne, Grande-Bretagne, Italie, Portugal et Suède. Quelque 88% des salariés français se disent heureux au travail. Un score comparable à celui de nos voisins, même si là encore il est plutôt en queue de classement. Comment expliquer que fort niveau de satisfaction, si on est à la fois démotivés et pessimistes ? On est heureux au travail d’abord parce qu’on a un travail. Près de six salariés français sur dix jugent qu’il leur serait difficile de retrouver un travail comparable s’ils le perdaient. Près d’un sur trois a pour première préoccupation le maintien de l’emploi, avant le salaire ou le temps de travail. Pour autant, on peut être déçu par son travail, comme l’explique Eric Albert, psychiatre et fondateur de l’Institut français d’action sur le stress. Selon lui les Français attendent beaucoup de leur travail, ce qui peut en faire parmi les meilleurs salariés du monde quand ils y trouvent de la satisfaction. Et d’ailleurs, toujours selon ce sondage, les trois-quarts des salariés français estiment qu’ils consacrent trop de temps à leur travail. 75%, c’est beaucoup ? Oui, mais c’est moins que nos voisins : la moyenne européenne est de 85%. Les Français, démotivés, seraient donc aussi « engagés ». Leur démotivation est liée au fait qu’ils ne se sentent pas assez reconnus dans leur travail. C’est un autre des points saillants de cette enquête : 52% des salariés français ne sont pas satisfaits de la reconnaissance de leur implication, contre 46% seulement dans le reste de l’Europe.

Sondage- Réduction dimpôts ; les Français ne croient pas Valls

Sondage- Réduction dimpôts ; les Français ne croient pas Valls

 

 

Les formules très alambiquées de Valls sur les futurs  bénéficiaires des réductions d’impôts ne rassurent pas les français ; D’autant qu’il s’agit d’une grosse ficelle avant les européennes et que les vraies mesures ne sont pas encore connues. Seulement 40% des Français pensent que le gouvernement tiendra ses engagements en matière de réduction de la fiscalité, selon un sondage* IFOP à paraître dans Dimanche Ouest-France réalisé pour partie avant les nouvelles mesures annoncées vendredi par le premier ministre Manuel Valls. Selon ce sondage « 40% (des sondés) pensent que le gouvernement tiendra cet engagement » de réduction fiscale mais avec une grande disparité, à la fois selon les sympathies politiques ou le niveau de revenu. Chez les sympathisants socialistes, le niveau de crédibilité accordé à la parole gouvernementale est de 81%. Il est de 67% chez les sympathisants EELV, 51% au Front de Gauche, mais seulement de 24% chez les sympathisants de l’UMP et 18% chez ceux du FN. Si cette crédibilité « est très légèrement majoritaire parmi les plus hauts revenus (51% parmi les ménages gagnant plus de 4.000 euros par mois) », ce sont les foyers aux revenus plus modestes qui doutent davantage. Ils ne sont ainsi que 36% à y croire dans les foyers gagnant entre 1.200 et 2.000 euros, « et 38% pour ceux dont le foyer gagne entre 2.000 et 3.000 euros, soit précisément la tranche des personnes gagnant entre 1,2 et 1,3 fois le Smic ciblée par le premier ministre », relève l’institut de sondage. »Ainsi, cette annonce peine à convaincre les principaux concernés et pourrait alimenter le discours +anti-assistanat+ dans les tranches de revenus moyennes et supérieures qui constateraient que le gouvernement, après les avoir fortement mis à contribution, décide de faire un geste en direction d’une autre catégorie de la population », commente l’IFOP. Le scepticisme le plus important est atteint chez les jeunes de 18 à 24 ans qui sont seulement 27% à faire confiance au gouvernement pour tenir ses engagements, contre 48% des plus de 65 ans. L’IFOP relève cependant « une crédibilité nettement plus importante de la parole gouvernementale sur la question fiscale qu’à l’été 2012″ où 84% des personnes interrogées ne croyaient pas aux annonces fiscales du gouvernement Ayrault.

 

Ségolène Royal : «handicap » pour Hollande pour 6 Français sur 10

Ségolène Royal : «handicap » pour Hollande pour 6 Français sur 10

Les français ont raison Ségolène constitue un handicap supplémentaire pour Hollande. D’abord, Il y a la vie privée de l’ancien couple qui est loin d’être soldée, ensuite Ségolène ne pense qu’à une chose se replacer dans la course pour 2017 ensuite parce sur nombre de dossiers elle ne connait strictement rien (comme Hollande lui-même). Une majorité de Français juge donc que la présence de Ségolène Royal au sein du gouvernement est un « handicap » pour François Hollande, selon un sondage. Près de six Français sur dix (59%) estiment que Ségolène Royal est « plutôt un handicap » qu’un « atout » pour François Hollande, selon un sondage BVA pour I-télé paru ce samedi 17 mai. Ce résultat intervient quelques jours après que la ministre de l’Ecologie et de l’Energie eut revendiqué sa liberté de parole pour donner son avis dans le dossier Alstom. Dans une interview à Paris-Match, Ségolène Royal avait notamment taclé d’autres membres du gouvernement. Mais pour une majorité de sympathisants de gauche, elle demeure toutefois un atout (58% contre 38%). Sur l’écotaxe, autre dossier épineux sur l’application duquel la ministre de l’Ecologie a fait part de son scepticisme, près de deux tiers des Français (65%) souhaitent qu’elle soit remaniée, contre 33% qui veulent sa suppression (2% ne se prononcent pas).

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