Archive pour le Tag 'Français'

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Sondage livre Trierweilller : les français contre en majorité, pourquoi ?

Sondage Livre Trierweilller : les français contre en majorité, pourquoi ? 

 

Curieuse cette réaction des Français qui désapprouvent en majorité la sortie du livre de Trierweiler qui «  égratigne » Hollande ». D’abord pour avoir une opinion il faudrait avoir lu l’ouvrage et non se contenter de quelques phrases chocs. Ensuite parce qu’on le veuille on non Trierweiler est devenu un personnage public dès lors que Hollande a installé (puis chassé) sa compagne à l’Elysée. En fait Trierweilller (il est vrai un peu froide)  n’a jamais été vraiment acceptée par l’opinion en raison de sa personnalité peut-être mais surtout du fait qu’elle n’était pas mariée à Hollande. Pour être clair, elle n’avait rien à faire à L’Elysée. D’une certaine manière les Français sont assez légitimistes et conformistes sur certaines questions. Légitimistes car même s’ils détestent Hollande, ils ne veulent qu’on s’attaque au roi, même nu. La monarchie républicaine a encore de l’avenir devant elle. Il faudra sans doute encore un ou deux quinquennat pour qu’on revoit cette constitution pourtant bien désuète. En clair qu’on touche vraimenet le fond pour s’interroger sérieusement sur le modèle démocratique français. Contrairement aux anglo-saxons notamment A juste titre les Français n’aiment pas l’étalage de la vie privée de nos élites, ils ont raison. Pour autant en la circonstance la nature de relations qu’entretient Hollande avec ses proches dans sa vie quotidienne rend bien compte du caractère du personnage et au-delà du profil psychologique de nos élus finalement surtout préoccupés de pouvoir. En cela le livre est intéressant. Pourtant  une nette majorité de Français désapprouve la publication du livre de Valérie Trierweiler dans lequel l’ex-compagne de François étrille le président de la République, selon deux sondages CSA et Harris Interactive publiés mercredi.  Valérie Trierweiler a écrit un livre, sorti le 4 septembre, «Merci pour ce moment» (Les Arènes), véritable succès en librairie, dans lequel elle revient sur sa relation avec François Hollande et sa vie à l’Elysée. 56% des sondés pensent qu’«elle a eu tort d’écrire cet ouvrage», 41% qu’elle a «eu raison», selon un sondage Harris Interactive pour VSD.  Dans un autre sondage CSA pour Nice-Matin, 67% des sondés désapprouvent la publication de ce livre (dont 39% «tout à fait») tandis que 33% approuvent (dont 12% «tout à fait»). En quatre jours, depuis sa sortie le jeudi 4 septembre, l’ouvrage de Mme Trierweiler s’est vendu à 145.000 exemplaires, dont 131.000 pour l’édition papier, selon l’institut GfK

 

Curieuse cette réaction des Français qui désapprouvent en majorité la sortie du livre de Trierweiler qui «  égratigne » Hollande ». D’abord pour avoir une opinion il faudrait avoir lu l’ouvrage et non se contenter de quelques phrases chocs. Ensuite parce qu’on le veuille on non Trierweiler est devenu un personnage public dès lors que Hollande a installé (puis chassé) sa compagne à l’Elysée. En fait Trierweilller (il est vrai un peu froide)  n’a jamais été vraiment acceptée par l’opinion en raison de sa personnalité peut-être mais surtout du fait qu’elle n’était pas mariée à Hollande. Pour être clair, elle n’avait rien à faire à L’Elysée. D’une certaine manière les Français sont assez légitimistes et conformistes sur certaines questions. Légitimistes car même s’ils détestent Hollande, ils ne veulent qu’on s’attaque au roi, même nu. La monarchie républicaine a encore de l’avenir devant elle. Il faudra sans doute encore un ou deux quinquennat pour qu’on revoit cette constitution pourtant bien désuète. En clair qu’on touche vraimenet le fond pour s’interroger sérieusement sur le modèle démocratique français. Contrairement aux anglo-saxons notamment A juste titre les Français n’aiment pas l’étalage de la vie privée de nos élites, ils ont raison. Pour autant en la circonstance la nature de relations qu’entretient Hollande avec ses proches dans sa vie quotidienne rend bien compte du caractère du personnage et au-delà du profil psychologique de nos élus finalement surtout préoccupés de pouvoir. En cela le livre est intéressant. Pourtant  une nette majorité de Français désapprouve la publication du livre de Valérie Trierweiler dans lequel l’ex-compagne de François étrille le président de la République, selon deux sondages CSA et Harris Interactive publiés mercredi.  Valérie Trierweiler a écrit un livre, sorti le 4 septembre, «Merci pour ce moment» (Les Arènes), véritable succès en librairie, dans lequel elle revient sur sa relation avec François Hollande et sa vie à l’Elysée. 56% des sondés pensent qu’«elle a eu tort d’écrire cet ouvrage», 41% qu’elle a «eu raison», selon un sondage Harris Interactive pour VSD.  Dans un autre sondage CSA pour Nice-Matin, 67% des sondés désapprouvent la publication de ce livre (dont 39% «tout à fait») tandis que 33% approuvent (dont 12% «tout à fait»). En quatre jours, depuis sa sortie le jeudi 4 septembre, l’ouvrage de Mme Trierweiler s’est vendu à 145.000 exemplaires, dont 131.000 pour l’édition papier, selon l’institut GfK

2017 : Non à une candidature de Hollande pour 85% des Français

2017 : Non à une candidature de Hollande pour 85% des Français

 

Petit a petit tous les sondages tendent vers les mêmes chiffres,  Hollande a tout au plus 15% de partisans chez les Français, Un rejet global de sa politique actuelle et maintenant surtout le souhait ne plus le revoir en 2017. Une situation historique ; Autant de Français estiment d’ailleurs qu’il sera dans l’incapacité de se représenter. Selon un sondage IFOP-JDD, 85% des Français ne souhaitent pas que le Président postule à un second mandat. Ce qui constituerait une première (excepté le cas de Georges Pompidou) dans l’histoire de la Ve République. Même les sympathisants socialistes (65%) ne souhaitent pas que François Hollande se représente. Le pronostic est plus serré. Il reste minoritaire puisque 55% des personnes pensent qu’il ne sera pas candidat en 2017. Seulement 16% jugent qu’il sera « certainement » sur la ligne de départ de la prochaine présidentielle. Que peut faire François Hollande après la folle semaine? Plus de trois Français sur dix Français lui conseillent de ne « rien » faire et d’attendre la fin de son mandat. Cela ressemble à de la résignation. La carte du remaniement n’est plus réclamée que par 11% des Français. Il faut dire que le gouvernement de Manuel Valls est en place depuis cinq mois et a déjà subi des replâtrages. La vraie surprise c’est la tentation de la dissolution qui passe en moins de trois mois de 17 à 23%. Avec sans surprise des pics au FN (46%) et à l’UMP (31%). Au rayon des reproches faits au Président, ce sont les promesses non tenues qui arrivent en tête (33%). Vient ensuite la façon dont François Hollande incarne la fonction présidentielle (24%) et le manque de résultats de la politique économique (19%).

 

Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Sondage : le gouvernement n’en fait pas assez pour les entreprises pour 63% des Français

Déclarer « J’aime les entreprises »  c’est bien  mais agir, c’est mieux ;  ce que pensent les Français. Une large majorité de Français a le jugement inverse : 63 % d’entre eux considèrent en effet que « Manuel Valls et le gouvernement n’en font pas assez pour les entreprises » contre 15 % qui jugent que l’exécutif en « fait trop » et encore 15 % qui estiment que ce n’est « pas assez ».  Sans surprise, la proportion de sondés qui pensent qu’il n’y en a « pas assez » pour les entreprises atteint des sommets chez les sympathisants de droite (81 %) de longue date acquis à la politique de l’offre. Une position partagée par 72 % des électeurs du FN. Plus intéressant encore sont les résultats de ce sondage chez les sympathisants de gauche : 44 %, soit une majorité relative, estiment aussi que le gouvernement n’en fait « pas assez », contre 22 % qui juge le dosage bon et 22 % qui l’estiment « trop » favorable aux entreprises. Le président de CSA, Bernard Sananès, voit deux raisons à ces résultats : «L’entreprise est perçue comme un acteur de la sortie de crise» et les Français considèrent désormais «qu’aider les entreprises, ce n’est pas aider les patrons mais l’emploi». De quoi faire écho aux propos du Premier ministre déclarant devant le Medef : «Il n’y a pas d’emplois sans employeurs. C’est pourquoi il est absurde de parler de «cadeau fait aux patrons» ».  A gauche, seuls les sympathisants du PCF et de Jean-Luc Mélenchon jugent majoritairement (47 %) que l’exécutif en « fait trop ». Les sympathisants écologistes pensent, au contraire, à 53 % que le gouvernement n’en fait « pas assez » pour les entreprises. Un avis partagé par 41 % d’électeurs socialistes contre 18 % estimant que c’est « trop ». Voilà qui devrait alimenter le débat entre le gouvernement et les frondeurs du PS, minoritaires dans leur électorat. Plus largement, la conversion des sympathisants de gauche à une politique pro-entreprise rappelle celle survenue dans les dernières années à propos de la fiscalité (les impôts étant devenus impopulaires même à gauche). «C’est une conversion de la même ampleur, mais celle sur les entreprises est plus positive et plus pragmatique», nuance Bernard Sananès, soulignant que, s’agissant des entreprises, les sondés ne se situent pas par rapport à leur cas particulier mais en fonction d’une vision de l’économie. Et d’assurer à la lumière d’autres enquêtes : «Il y a, dans l’opinion, une réhabilitation de l’entreprise.»

 

Europe : les Français travaillent le moins

Europe : les Français travaillent le moins

 

Il y a la durée hebdomadaire légale, la durée réelle mais ce qui compte surtout c’est le nombre d’heures total travaillé par an. 1.661 heures par an pour les Français, soit bien moins qu’en Italie (1.781 heures), Allemagne (1.847 heures) ou au Royaume-Uni (1.900 heures). Il n’ya donc pas de secret les Français sont moins productifs que leurs voisins et cela s’ajoute au  poids de la fiscalité pour plomber ce qui reste de la compétitivité. On objectera qu’il faut tenir compte des cadences, mais ces dernières ne sont pas plus faibles en Allemagne ou en Grande Bretagne par exemple,  deux pays dont l’économie est notoirement plus saine que celle de laFrance.  Résultat pas de croissance et un record du chômage historique.  Les Français travaillent en moyenne 40,7 heures par semaine. C’est moins que la majorité des pays européens. Le nouveau ministre de l’Économie, Emmanuel Macron, a déjà été recadré par Matignon pour avoir déclaré, avant d’être nommé au gouvernement, qu’il était favorable à une dérogation des 35 heures.  De nombreux ajustements ont déjà été apportés à cette loi sur la limite du temps de travail. En réalité les Français travaillent en moyenne 40,7 heures par semaine, selon les données d’Eurostat. C’est moins que dans les pays voisins, hormis en Italie. Les Allemands, les Belges et les Espagnols travaillent environ 41,7 heures par semaine. Au Royaume-Uni, la moyenne est à 42,8 heures ; soit deux heures de plus qu’au Luxembourg. De tous les pays d’Europe, c’est en Turquie que les salariés passent le plus de temps au travail : 52 heures par semaine. Parmi les États membres de l’UE, la Grèce arrive en tête avec 44,1 heures. À l’inverse, c’est au Danemark que les semaines sont le moins chargées avec 38,8 heures de travail hebdomadaire. Ce classement change toutefois si le temps de travail est calculé à l’année. Les Français travaillent 1.661 heures par an, soit bien moins qu’en Italie (1.781 heures), Allemagne (1.847 heures) ou au Royaume-Uni (1.900 heures).

 

Rentrée scolaire – réforme des notes : 59% des Français contre

Rentrée scolaire – réforme des notes : 59% des Français contre

 

 

Après l’inutile réforme des rythmes scolaires, c’est l’inutile reforme de notes qui est contestée par l’opinion. En fait le gouvernement porte davantage attention à la forme qu’au fond de l’enseignement  pourtant en pleine décomposition si l’on en juge par les classements internationaux. A la limite pourquoi encore des notes ? D’autant qu’on rechigne à faire redoubler les élèves ! Un système qui en fin de scolarité mène tout droit à pôle emploi ! Le système de notation-sanction en France n’est peut-être pas parfait, pourtant il semble convenir à la majorité des Français. Selon un sondage réalisé par le CSA pour RTL à l’occasion de la rentrée scolaire, la majorité d’entre eux ne juge « pas du tout » ou « pas vraiment » nécessaire de réviser la manière de noter les élèves. Pourtant, c’était l’un des chantiers en cours de l’ancien ministre de l’Éducation Benoît Hamon qui voulait éviter ce système de notation dit « sanction ». Un chantier qui sera peut-être abandonné par Najat Vallaud-Belkacem, héritière du portefeuille de l’Éducation nationale, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Car cet avis, partagé par 59% des Français, semble faire dans cette majorité l’unanimité entre les différentes classes sociales, que l’on soit ouvrier (55%), cadre (59%) ou profession intermédiaire (59%).  De plus, les sympathisants de droite et de gauche sont plutôt d’accord, puisque 59% des partisans du PS sont du même avis que les 69% des adeptes de l’UMP.  C’est surtout chez les jeunes de 18-24 ans que le débat est partagé puisque 50% d’entre eux sont pour la révision quand l’autre moitié la rejette.

 

Sondage Rythmes scolaires : 60% des français contre

Sondage Rythmes scolaires : 60% des français contre

 

 

Pas étonnant que les Français soient contre car les activités périscolaires sont souvent des gadgets quand ils ne se transforment pas en simple garderie dans les petites communes. Il aurait sans doute été plus pertinent de s’attaquer au contenu des programmes compte tenu de  l’état  de délabrement de l’enseignement  en France. Les nouveaux rythmes scolaires, généralisés cette année à toutes les écoles publiques, sont considérés comme « une mauvaise chose » par 60% des Français, selon un sondage CSA pour RTL dévoilé lundi 1er septembre. Il y a un an, peu avant l’adoption de la réforme par les communes pionnières, ils étaient au contraire 53% à avaliser la réforme. Désormais, l’approbation ressort majoritaire chez les sympathisants de gauche (58%), mais le rejet l’emporte chez les sympathisants de droite (71%). Par ailleurs, près de six sondés sur dix (59%) considèrent que le chantier de l’évaluation des élèves engagé par l’ex-ministre Benoît Hamon pour éviter une notation-sanction n’est pas nécessaire (55% des sympathisants de gauche sont contre et 69% des sympathisants de droite). La moitié des 18-24 ans y sont en revanche favorables. Une majorité de sondés, 57%, estime que l’école ne permet pas d’assurer l’égalité des chances. Pour remédier aux inégalités sociales, deux tiers des personnes interrogées (67%) préconisent le retour de l’uniforme dans les écoles françaises.

 

Sondage : la disparition du PS pour 76% des Français

Sondage : la disparition du PS pour 76% des Français

 

 

La gauche peut mourir et surtout le PS, c’est ce que pensent les Français. A juste titre car le PS en faiat n’a jamais eu grand-chose de socialiste plutôt conglomérat d’ancien marxistes reconvertis au libéralisme (comme le premier secrétaire actuel, Jospin et d’autres), de fonctionnaires à la recherche d’une job plus rémunérateur, d’étatistes, de libéraux et surtout d’arrivistes. Le PS est sans doute le sel parti socialiste qui ne compte pas ouvriers, de paysan, de chef d’entreprise, de syndicaliste, d’employé du privé dans les rangs de sa direction. D’ailleurs au gouvernement on compte 13 ministre énarques, pas tout à faiat sociologiquement ce qu’on peut attendre d’un parti socialiste. il n’y a pas de ligne au PS. Dans l’opposition on promet tout et n’importe quoi et au pouvoir on gère-plutôt encore plus mal-que les autres. Et cela dure depuis Mitterrand ! Du coup  A la question posée par l’IFOP sur le risque d’éclatement du Parti socialiste d’ici 2017, ils répondent oui à 76%. Plus incroyable encore 64% des sympathisants socialistes jugent cette éventualité probable. Le pronostic d’une mort du PS tel qu’il existe depuis sa renaissance à Epinay sous la houlette de François Mitterrand est écrasant. Voilà qui devrait faire réfléchir les camarades socialistes réunis jusqu’à dimanche à La Rochelle où ils entendront le discours de Manuel Valls dans un climat de grande confusion. « Le PS d’Epinay est en voie d’implosion. Jamais le risque d’éclatement n’a été aussi grand dans un parti qui a connu de nombreuses secousses depuis les tensions Mitterrand/Rocard, le choc de 2002 après l’élimination de Lionel Jospin au premier tour de la présidentielle et la fraude au congrès de Reims », rappelle Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. Par ailleurs, toujours interrogés par l’Ifop pour le JDD, les Français sont sans surprise très sévères avec leurs partis politiques. Seuls 37% les jugent « utiles », 24% estiment qu’ils peuvent réformer, mais ils sont seulement 17% à penser qu’ils sont adaptés à la situation actuelle du pays et 14% à l’écoute des attentes des Français. L’impuissance et la déconnexion restent donc bien les deux mots qui caractérisent les partis politiques de l’Hexagone. Interrogés sur la cote des partis (PS, UMP et FN), les réponses des Français sont globalement peu variables. Certes, l’UMP s’en tire le mieux (31% de bonnes opinion mais 67% de mauvaises opinions). Mais sa mauvaise cote n’est pas si éloignée de celle du FN (25) et du PS (24). Les partis n’ont plus la cote. On remarquera quand même que le FN de Marine Le Pen, qui sort d’une victoire aux européennes, devance le PS qui est au pouvoir.

 

Le permis de conduire français trop cher

Le permis de conduire français trop cher

 

La critique vient des Etats-Unis le permis de conduire français est trop cher et trop compliqué ; Une observation évident d’autant que la préparation est essentiellement centrée sur la conduite de automobile et non sur ce qui est fondamental à savoir la gestion du risque. Conduire ne suffit pas, la conduite sécurisée implique de prévoir en permane le risque potentiel de la route et des autres usagers.  Avec un prix (1400 euros en moyenne), une durée (18 mois en moyenne), et un taux d’échec (41%) supérieurs à ses voisins européens, le permis français ne fait pas rêver et le secteur de l’auto-école s’enlise. Chaque année, des centaines de Français passent leur permis à l’étranger pour échapper aux frais excessifs de l’examen et bénéficier d’une procédure plus flexible. L’e-learning, des cours de conduite entre 6h et 23h réservables en ligne, et surtout la possibilité de les prendre partout en France, sont des solutions évidentes à une demande toujours stable, estime le New York Times. Alors pourquoi met-on des bâtons dans les roues d’Ornikar? Le journal américain s’interroge, la start-up ayant pourtant selon lui tout pour réussir. Il fustige la réglementation du secteur, dont profitent les auto-écoles pour étouffer la compétition et gonfler les prix au détriment des consommateurs. Pour les journalistes, les syndicats repoussent tout simplement la fin du monopole des auto-écoles traditionnelles, annoncée par le nouveau modèle prôné par Ornikar. Défenseur d’une concurrence libre qui doit servir à proposer au consommateur les prix les plus bas, le New York Times en profite pour rappeler que 36 autres professions sont elles aussi réglementées et rencontrent le même type de problèmes. L’article pointe également du doigt l’obligation pour les auto-écoles de disposer d’une télé et d’un lecteur DVD pour pouvoir faire passer l’examen du permis de conduire… qui n’en exige pourtant pas l’usage. Et l’étonnement des Américains ne s’arrête pas là. Ils ne comprennent pas non plus pourquoi le gouvernement, qui n’a pas les moyens de proposer un nombre illimité d’examens chaque année, ne facture pas aux élèves la possibilité de passer le permis quand ils le souhaitent. Lorsque le FMI, la BCE et la Commission Européenne ont accepté de renflouer la Grèce, une condition a été imposée: que toutes les réglementations visant à protéger certains secteurs soient levées. Pour le New York Times, c’est la preuve ultime que la France, qui les conserve coûte que coûte, court à sa perte. Cela mettrait à mal ses possibilités d’innovation et entraînerait le déclin de sa propre compétitivité ainsi que la fuite de ses entrepreneurs. Un comble pour un pays dont l’économie chancelle: elle devrait plutôt tendre la main à ces jeunes cerveaux, estime le New York Times. Seul espoir pour Alexandre et Benjamin: que le gouvernement, qui cherche par tous les moyens à regagner des points de popularité, lâche du lest pour faire un geste vis à vis de l’entrepreneuriat, imagine le New York Times. Philippe Colombani, le président de l’Union Nationale des Indépendants de la Conduite, balaye quant à lui d’un revers les arguments d’Ornikar et nie les avantages que présenterait ce nouveau modèle. Pour lui, Ornikar est un «monstre libéral», mené par des individus qu’il qualifie de «sous-doués révoltés».

 

Sondage dissolution de l’assemblée : 63 % des Français pour

Sondage dissolution de l’assemblée : 63 % des Français pour

Une  large majorité de sondés (59%) approuve le limogeage du ministre de l’Economie, «coupable» d’avoir tiré à boulets rouges sur la politique conduite par le gouvernement auquel il appartenait.  Au fond, même s’ils peuvent approuver certaines des idées de Montebourg, ce que retiennent avant tout des Français plutôt légitimistes, c’est le côté fauteur de trouble d’un homme qui paraît jouer contre son camp.  Du coup, l’acte d’autorité de Valls et Hollande est salué par l’opinion, et même plébiscité par les sympathisants du PS (75% approuvent le renvoi, contre 57% des amis de la droite). Au passage, le Premier ministre apparaît de plus en plus, révèle notre enquête, comme l’homme fort du tandem exécutif. Mais ensuite les choses se gâtent pour l’Elysée et Matignon. Car le «gouvernement de clarté» souhaité hier par Hollande ne convainc pas, loin s’en faut. Huit Français sur dix pensent que sa politique économique ne sera ni claire, ni juste, ni surtout efficace ! «Même les sympathisants de gauche ne sont qu’une minorité à penser que cette politique sera claire (36% seulement) et efficace (34%)», souligne Gaël Sliman, président d’Odoxa.  Du coup, la petite musique distillée par une bonne partie de la droite commence à marquer les esprits : une majorité de plus en plus large de Français souhaitent désormais une dissolution de l’Assemblée nationale : 63% des sondés demandent à Hollande de dissoudre, alors qu’ils n’étaient que 52% en novembre 2013. «L’exécutif pourra néanmoins se rassurer en constatant que cette demande émane pour l’essentiel des sympathisants de droite (à 86%), nuance Sliman. Les amis de la gauche, eux, sont moins d’un tiers à envisager ce qui s’apparenterait à un suicide politique». Et si les Français jugeaient majoritairement (52%) il y a neuf mois qu’une dissolution et des élections législatives anticipées n’auraient pas d’impact sur la situation du pays, c’est aujourd’hui l’inverse : 52% pensent que ça irait mieux après une «purge» électorale !  Entre une opinion sceptique et une gauche rétive, Manuel Valls a du pain sur la planche. Bravache, il a annoncé hier sur France 2 qu’il soumettra son gouvernement au vote de confiance du Parlement, alors qu’il n’y est pas juridiquement obligé. Mais sur une dissolution, il a été clair : il «n’imagine pas» un tel cadeau à la droite !

 

Une autre politique économique : ou le conformisme des élites face à la résignation des français

Une autre politique économique : ou le conformisme des élites face à la résignation des français

 

Aujourd’hui avec la le départ de Montebourg, il est de bon ton d’enfoncer le ministre et d’affirmer qu’il n’y a pas d’autre politique possible que l’austérité, que la relance par la demande est utopique. En fait experts médiatisé et journalistes des grands médias rejoignent le conformisme des élites sans chercher une voie qui équilibrait la nécessaire recherche d’une plus grande compétitivité pour les entreprises et un desserrement des contraintes de pouvoir d’achat qui pèsent sur les ménages. Certes Montebourg aura davantage brillé par sa verve que par sa compétence mais en la circonstance précisément il n’a pas complètement tort, la politique d’austérité de l’Europe mène au suicide. Ce que dit clairement Lagarde du FMI et même maintenant Draghi (une nouveauté) et bien d’autres observateurs  internationaux. Montebourg est viré au moment où sans doute il avait raison sur ce point. Bien sûr la gestion budgétaire grâce au déficit n’este pas tenable mais il est irresponsable de penser qu’on peut régler une situation d’endettement qui dure depuis trente ans en quelques années. Il faudra nécessairement détendre le calendrier de réduction de la dette. On peut par exemple réduite de 0.5% du PIB la dette par an, sur 8 ans au lieu de 2015 (ce qui sera impossible pour la France qui sera encore près de 4% compte tenu de la croissance et du niveau de rentrée fiscale). En France, les élites sont peu imaginatives et elles suivent la direction du vent. Hier très silencieuse sur ce déficit chronique aujourd’hui étendard au venet pour défendre l’austérité. A cet égard si la crise est économique, sociale et politique, elle est auusi culturelle avec d’un coté des élites d’un conformisme affligeant et de l’autre des français complètement résignés qui ne les  croient plus. Bref le pacte de confiance est totalement détruit entre ceux qui dirigent, orientent et commentent  et ceux qui subissent. En fait une sorte de crise de civilisation, avec d’un coté ses castes, son oligarchie, de l’autre les acteurs du terrain qui ne veulent plus entendre ces discours scientistes. A propos,  ces élites, ils ont déjà mis les pieds dans une entreprise ? Ils ont déjà été au chômage ?   Ils ont déjà dirigé une boite (la leur, pas celle dont on hérite ou qu’on obtient après être passé dans les cabinets ministériels)?

Impôts : 80% des français vont payer plus

 

Impôts : 80% des français vont payer plus

 

350 à 700 euros de ristourne pour 3.3 millions de français pour mieux faire passer les augmentations que vont subir 80% des autres français. Et tout cela pour rien ou à peu près puisque les déficits ne diminuent pas, la croissance est en berne et le chômage toujours en croissance ; Bref une politique de gribouille. Les avis d’imposition arrivent   chez les contribuables, et ce jusqu’au 5 septembre. Les 37 millions de foyers fiscaux français vont donc savoir s’ils vont payer plus ou moins que l’an dernier. Or, pour beaucoup, la surprise risque d’être… mauvaise. Pour 3,7 millions de contribuables, pas de problème. Ils vont bénéficier de la ristourne de 350 euros (700 euros pour un couple) annoncée par Manuel Valls au printemps. Ce sont ceux gagnant l’équivalent d’1,1 Smic par mois. Jusqu’à 1,13 Smic, le crédit d’impôt sera dégressif. Sur ces 3,7 millions de contribuables, 1,9 million ne paiera plus d’IR du tout grâce à cette ristourne.  Ces contribuables devraient par ailleurs bénéficier en 2015 de la pérennisation de cette baisse ainsi que d’une nouvelle mesure destinée à compenser le rejet par le Conseil constitutionnel de la baisse des cotisations salariales prévues par le Pacte de responsabilité.  Mais ces générosités ne concernent finalement que 10% des contribuables. Pour les autres, la note 2014 devrait être plus salée qu’en 2013. Gilles Carrez, le président UMP de la Commission des finances de l’Assemblée, estime que 12 à 15,5 millions de contribuables sur 19 millions qui paient l’IR vont voir leur impôt sur le revenu augmenter dans les jours qui viennent. D’ailleurs, le gouvernement attend 3,5 milliards d’euros de recettes d’IR en plus en 2014. Il faut bien que quelqu’un paie ! A cela plusieurs explications. D’abord, les revenus ont un peu augmenté en 2013, accroissant d’autant les revenus imposables. Et ce, même si le barème de l’IR a bien été indexé sur l’inflation.  Malheureusement, les réformes fiscales votées les années précédentes vont contribuer à alourdir la note. Il s’agit du plafonnement de l’avantage lié au quotient familial (1.500 euros par part au lieu de 2.000), la fiscalisation de la part patronale des mutuelles complémentaires santé, ainsi que le plafonnement à 10.000 euros des niches fiscales. Sans parler de la fiscalisation de la majoration de pension de 10% pour les retraités ayant eu trois enfants.  François Hollande et Manuel Valls ont à plusieurs reprises annoncé des baisses d’impôts pour les classes moyennes. Il y a urgence politique à ce qu’ils les précisent après l’arrivée de ces avis d’imposition.

Vacances : les Français dépensent moins

Vacances : les Français dépensent moins

 

 

Plusieurs facteurs explicatifs, en premier les français partent moins en vacances (43% seulement, moins 4 points par rapport à 2013), ils partent moins loin, moins longtemps et surtout surveillent les cordons de la bourse pendant leur séjour. La saison touristique cet été a démarré lentement. Selon les premiers chiffres du mois de juillet, pas encore définitifs, les Français ont revu à la baisse leurs dépenses pour les vacances. Un effet de la crise et du mauvais temps ? Pas seulement. La Coupe du monde de Football serait aussi en cause, selon Jean-Pierre Nadir, le fondateur d’Easyvoyage.   »La coupe du Monde a conduit à un recul de 3 à 4% des départs sur la première quinzaine de juillet », constate le dirigeant sur BFM Business.  Mais ses effets auraient perduré bien après la fin de la compétition sportive. « Deux millions de gens ont acheté un écran plat. Du coup, ils n’ont plus de budget pour les vacances. De même ceux qui sont abonnés à BeIN Sports. Cet argent n’est plus là quand il s’agit d’acheter une glace », explique-t-il. Il est vrai que la chaîne sportive a gagné 850.000 abonnés grâce au Mondial 2014. Il s’appuie pour cela sur les remontées provenant des petits commerçants, dont les ventes sont en berne. « Visuellement, il y a les touristes, mais au niveau de la caisse enregistreuse, on ne les voit pas », conclut Jean-Pierre Nadir.

 

Big Mac français : trop cher !

Big Mac français : trop cher !

 

Autour de 2 euros en Chine et en Russie mais 3.90 en France ; En cause les charges sociales et la fiscalité en général. Le Big Mac, l’un des sandwichs les plus consommés dans le monde, est aussi un indicateur très utile pour de nombreux économistes qui souhaitent mesurer l’inflation autrement.  Créé en 1986 par The Economist, l’indice Big Mac est considéré comme un indicateur sérieux. Chaque année, l’hebdomadaire britannique établit une liste des différents prix du Big Mac dans les principales zones géographiques. En France, il s’élève à 3,90 euros : c’est l’un des plus chers au monde.  L’indice Big Mac est un bon moyen pour comparer l’évolution du prix moyen du hamburger par pays mais aussi pour mettre en lumière, s’il y en a, les écarts importants sur les marchés de changes.  Selon les prix de juillet 2014, dans la zone euro, un Big Mac coûte 3,68 euros en moyenne. De là, il est possible d’identifier si les pays, dans le monde, surévaluent ou sous-évaluent leur monnaie. L’Ukraine, dernière du classement avec un Big Mac à 1,22 euro, sous-évaluerait sa monnaie de l’ordre de 67,2% selon Challenges. En Norvège le Big Mac est le plus cher du monde, il coûte 5,79 euros. Un prix qui s’explique notamment par le fait que la couronne norvégienne est surévalué de 56% par rapport à l’Euro. 

 

Fruits et légumes français : baisse des ventes de 10%

Fruits et légumes français : baisse des ventes de 10%

Alors que les prix sont en baisse, les ventes sont en baisse de plus de 10% d’après les syndicats de producteurs. « On se pose beaucoup de questions parce que nos produits sont à disposition et ils sont très bons. En termes de chiffre d’affaires, c’est 20% en moins sur nos exploitations« , se désole Jacques Rouchaussé, président du syndical Légumes de France. Et la situation est d’autant plus inquiétante pour la filière que la production est en avance sur certains produits d’après Pascal Dujols, président du syndicat des détaillants en fruits, légumes et primeurs : « En général, on a surtout une crise de surproduction sur quelques produits. Cette année, les récoltes sont en avance sur les prunes. Les raisins, les poires vont également concurrencer les nectarines. On est très inquiets« . Autre motif d’inquiétude: la concurrence des produits étrangers dans les grandes surfaces. Ce qui pousse les producteurs français à casser leurs prix. C’est le cas par exemple des salades : « Ca se négocie entre 25 et 28 centimes, et c’est revendu entre 80 centimes et un euro dans les rayons« , d’après Denis Digel, producteur à Sélestat, en Alsace. Grosses tensions également sur la pêche. Début juillet, des arboriculteurs français ont bloqué des camions espagnols à la frontière pour protester contre la concurrence des pêches et des nectarines. Luc Barbier, président de la Fédération nationale des fruits, dénonce les pratiques commerciales des producteurs espagnols.

 

Sondage : les Français tolèrent l’évasion fiscale

Sondage : les Français tolèrent l’évasion fiscale

 

Une évolution sans doute due au caractère devenu insupportable de la fiscalité. Selon une enquête Sociovision révélée par RTL, le rapport des Français à l’argent a grandement changé ces dernières années. S’ils sont 67% à considérer qu’il est compliqué d’afficher sa réussite, 74% des Français ne trouvent pas choquants qu’on dépense beaucoup lorsque l’on en a les moyens et 55% d’entre eux comprennent que l’on choisisse de s’exiler pour payer moins d’impôts. Les jeunes sont par ailleurs les moins frileux vis-à-vis de l’argent.  »Mes parents ne peuvent pas m’aider donc oui, ça a de l’importance. Sans argent, c’est très difficile de tenir le coup », explique Samia, 22 ans. Ils sont nombreux à estimer qu’il leur faudra partir à l’étranger pour atteindre leurs objectifs pécuniaires.
 Selon un Français qui a vécu en Australie, « les gens qui réussissent ne suscitent pas la même méfiance ». Pour preuve : 59% des Français regrettent que l’on laisse autant de pouvoir à l’argent.

 

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