Archive pour le Tag 'Français'

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Vacances : les Français dépensent moins

Vacances : les Français dépensent moins

 

 

Plusieurs facteurs explicatifs, en premier les français partent moins en vacances (43% seulement, moins 4 points par rapport à 2013), ils partent moins loin, moins longtemps et surtout surveillent les cordons de la bourse pendant leur séjour. La saison touristique cet été a démarré lentement. Selon les premiers chiffres du mois de juillet, pas encore définitifs, les Français ont revu à la baisse leurs dépenses pour les vacances. Un effet de la crise et du mauvais temps ? Pas seulement. La Coupe du monde de Football serait aussi en cause, selon Jean-Pierre Nadir, le fondateur d’Easyvoyage.   »La coupe du Monde a conduit à un recul de 3 à 4% des départs sur la première quinzaine de juillet », constate le dirigeant sur BFM Business.  Mais ses effets auraient perduré bien après la fin de la compétition sportive. « Deux millions de gens ont acheté un écran plat. Du coup, ils n’ont plus de budget pour les vacances. De même ceux qui sont abonnés à BeIN Sports. Cet argent n’est plus là quand il s’agit d’acheter une glace », explique-t-il. Il est vrai que la chaîne sportive a gagné 850.000 abonnés grâce au Mondial 2014. Il s’appuie pour cela sur les remontées provenant des petits commerçants, dont les ventes sont en berne. « Visuellement, il y a les touristes, mais au niveau de la caisse enregistreuse, on ne les voit pas », conclut Jean-Pierre Nadir.

 

Big Mac français : trop cher !

Big Mac français : trop cher !

 

Autour de 2 euros en Chine et en Russie mais 3.90 en France ; En cause les charges sociales et la fiscalité en général. Le Big Mac, l’un des sandwichs les plus consommés dans le monde, est aussi un indicateur très utile pour de nombreux économistes qui souhaitent mesurer l’inflation autrement.  Créé en 1986 par The Economist, l’indice Big Mac est considéré comme un indicateur sérieux. Chaque année, l’hebdomadaire britannique établit une liste des différents prix du Big Mac dans les principales zones géographiques. En France, il s’élève à 3,90 euros : c’est l’un des plus chers au monde.  L’indice Big Mac est un bon moyen pour comparer l’évolution du prix moyen du hamburger par pays mais aussi pour mettre en lumière, s’il y en a, les écarts importants sur les marchés de changes.  Selon les prix de juillet 2014, dans la zone euro, un Big Mac coûte 3,68 euros en moyenne. De là, il est possible d’identifier si les pays, dans le monde, surévaluent ou sous-évaluent leur monnaie. L’Ukraine, dernière du classement avec un Big Mac à 1,22 euro, sous-évaluerait sa monnaie de l’ordre de 67,2% selon Challenges. En Norvège le Big Mac est le plus cher du monde, il coûte 5,79 euros. Un prix qui s’explique notamment par le fait que la couronne norvégienne est surévalué de 56% par rapport à l’Euro. 

 

Fruits et légumes français : baisse des ventes de 10%

Fruits et légumes français : baisse des ventes de 10%

Alors que les prix sont en baisse, les ventes sont en baisse de plus de 10% d’après les syndicats de producteurs. « On se pose beaucoup de questions parce que nos produits sont à disposition et ils sont très bons. En termes de chiffre d’affaires, c’est 20% en moins sur nos exploitations« , se désole Jacques Rouchaussé, président du syndical Légumes de France. Et la situation est d’autant plus inquiétante pour la filière que la production est en avance sur certains produits d’après Pascal Dujols, président du syndicat des détaillants en fruits, légumes et primeurs : « En général, on a surtout une crise de surproduction sur quelques produits. Cette année, les récoltes sont en avance sur les prunes. Les raisins, les poires vont également concurrencer les nectarines. On est très inquiets« . Autre motif d’inquiétude: la concurrence des produits étrangers dans les grandes surfaces. Ce qui pousse les producteurs français à casser leurs prix. C’est le cas par exemple des salades : « Ca se négocie entre 25 et 28 centimes, et c’est revendu entre 80 centimes et un euro dans les rayons« , d’après Denis Digel, producteur à Sélestat, en Alsace. Grosses tensions également sur la pêche. Début juillet, des arboriculteurs français ont bloqué des camions espagnols à la frontière pour protester contre la concurrence des pêches et des nectarines. Luc Barbier, président de la Fédération nationale des fruits, dénonce les pratiques commerciales des producteurs espagnols.

 

Sondage : les Français tolèrent l’évasion fiscale

Sondage : les Français tolèrent l’évasion fiscale

 

Une évolution sans doute due au caractère devenu insupportable de la fiscalité. Selon une enquête Sociovision révélée par RTL, le rapport des Français à l’argent a grandement changé ces dernières années. S’ils sont 67% à considérer qu’il est compliqué d’afficher sa réussite, 74% des Français ne trouvent pas choquants qu’on dépense beaucoup lorsque l’on en a les moyens et 55% d’entre eux comprennent que l’on choisisse de s’exiler pour payer moins d’impôts. Les jeunes sont par ailleurs les moins frileux vis-à-vis de l’argent.  »Mes parents ne peuvent pas m’aider donc oui, ça a de l’importance. Sans argent, c’est très difficile de tenir le coup », explique Samia, 22 ans. Ils sont nombreux à estimer qu’il leur faudra partir à l’étranger pour atteindre leurs objectifs pécuniaires.
 Selon un Français qui a vécu en Australie, « les gens qui réussissent ne suscitent pas la même méfiance ». Pour preuve : 59% des Français regrettent que l’on laisse autant de pouvoir à l’argent.

 

14 juillet, ce que Hollande va dire aux Français : rien !

14 juillet, ce que Hollande va dire aux Français : rien !

 

Hollande va s’exprimer ce 14 juillet dans une intreview traditionnelle. Que va-t-il dire ? Rien évidemment sinon des banalités mille fois entendues. D’abord que la gouvernement est très déterminé pour gagner la bataille de la croissance et de l’emploi ( les chiffres 2014 malheureusement prouvent le contraire), qu’il n’y a aucune contradiction entre lui et le gouvernement notamment bis à vis de  Valls et Montebourg. Que c’est désormais le temps de reformes rapides, qu’il fait i trancher. Il évoquera auusi son ambition de redynamiser l’Europe ou de faire la paix au Proche-Orient  (cause toujours !).  Il reparlera de la fausse réforme territoriale. Auusi de s réformes de société pour amuser la galerie.  Enfin de l’indépendance de la justice (tu parles !) pour se dédouaner des poursuites contre Sarko (lequel il fauta bien le dire s’est mis tout seul dans le pétrin). Bref, des propos très convenus qui ne parviennent  plus à convaincre témoin les derneirs sondages qui maintiennent Hollande au plus bas. Le chef de l’État, François Hollande, donnera donc une traditionnelle interview télévisée lundi 14 juillet. Le message sera simple et optimiste. L’interview devra être courte et limpide : pas plus de 30 minutes. François Hollande, qui parlera lundi 14 juillet à 13h15, veut une intervention courte en ce jour de fête nationale. Les proches du chef de l’État le décrivent offensif et optimiste. Offensif car le message doit être simple avant l’été : « Sur les réformes, on fonce malgré les blocages et les frondes« , résume un proche. Optimiste parce que même concernant le boycott de la conférence sociale par les syndicats, le président parvient à voir le verre à moitié plein. « Sans eux, c’était plus rapide et plus productif. Et puis ils reviendront bien un jour à la table des négociations », commente ainsi un proche. François Hollande prévoit deux années pour s’attaquer aux problèmes de la vie quotidienne des Français et pour ressouder la gauche. Des textes sur le vieillissement, la fin de vie, l’énergie et l’apprentissage sont attendus d’ici 2016. Le chef de l’État s’attend également à une question sur Nicolas Sarkozy, mis en examen. Il répondra « sur les principes, dit-on, sans jamais entrer dans la polémique ».

 

Sondage conférence sociale : les partenaires sociaux pas représentatifs pour 76% des Français

Sondage conférence sociale : les partenaires sociaux pas représentatifs pour 76% des Français

 

Apparemment les Français sont fatigués du simulacre de dialogue social et des dissensions ; ils souhaitent que Hollande décide enfin. Pour les Français, les syndicats ne sont plus représentatifs. « Quitte à mécontenter certains partenaires » sociaux, une majorité de Français souhaite que le gouvernement « tranche » sur l’économique et le social dans le cadre des discussions de la conférence sociale, selon un sondage publié ce samedi.  Une majorité de Français, 53%, souhaite que le gouvernement « tranche quitte à mécontenter certains partenaires » sociaux en matière économique et sociale, selon un sondage BVA pour i-Télé rendu public ce samedi 12 juillet 2014. Au lendemain de la troisième conférence sociale du quinquennat de François Hollande qui s’est achevée sur un goût d’échec avec notamment le boycott de certains syndicats, les Français semblent plébisciter la fermeté et la rapidité de la part de l’exécutif. A l’inverse, ils sont 44% à souhaiter que le gouvernement « continue à réunir les partenaires sociaux afin qu’ils se mettent d’accord ». Pour le reste, 3% ne se prononcent pas. La méthode du « passage en force » séduit toutefois beaucoup moins la base électorale de la gauche. Ils sont 36% à la plébisciter chez les sympathisants de gauche contre 66% parmi les sympathisants de droite. Cet appel à des solutions rapides dans le domaine économique et social n’est sans doute pas étranger à la crise de légitimité dont souffrent les syndicats. Ainsi, une écrasante majorité des sondés, 76%, estiment que les partenaires sociaux présents aux négociations ne les représentent pas. « Cette défiance traverse toutes les catégories de la population : que les Français soient salariés (73%), à leur compte (93%) ou chômeurs (80%), qu’ils soient cadres supérieurs (81%), employés (76%) ou encore ouvriers (68%) », note la directrice de BVA Opinion.

 

 

UMP : 48 % des Français pour la dissolution

UMP :  48 % des Français pour la dissolution  

 

Près d’un tiers des sympathisants UMP (32%) souhaitent que leur formation soit dissoute et remplacée par un nouveau parti alors qu’ils n’étaient que 15% il y a deux semaines, selon un sondage BVA pour le Parisien-CQFD-ITélé. Au niveau de l’ensemble des Français, ils sont maintenant 48% à le souhaiter (contre 41% fin juin). « L’aggravation de la crise à l’UMP, avec la révélation cette semaine de la dette abyssale du parti, a produit en peu de temps des effets spectaculaires sur l’opinion », juge BVA. 71% des sondés (et 92% des sympathisants UMP) font par ailleurs porter la responsabilité de la crise à l’UMP à « l’ensemble des cadres du parti » contre 21% qui l’attribuent « surtout à Nicolas Sarkozy ».

 

Les jeunes Français nuls en économie

Les jeunes Français nuls en économie

 

Encore une évaluation internationale qui démontre le délabrement de l’enseignement en France. Selon un classement de l’OCDE qui a évalué leurs compétences, les collégiens français n’ont pas la moyenne en culture financière. Il leur était demandé de décrypter une offre de crédit ou de lire un cours de la bourse. Les Français de 15 ans sont 80% à avoir un compte en banque et 67% à gagner de l’argent, mais ils n’ont pas la moyenne en « culture financière ». Pour évaluer les compétences des adolescents dans ce domaine, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a soumis à une enquête 29.000 élèves dans 18 pays, sur le modèle de ce qu’elle fait pour l’enquête Pisa. Résultat, les jeunes Français affichent un score de 486, alors que la moyenne des pays évalués est à 500. L’évaluation a été faite en 2012 à partir d’un questionnaire écrit. Les 1.068 Français interrogés devaient par exemple faire la différence entre une facture à régler et une facture déjà payée, lire un cours de bourse pour choisir à quel moment acheter des actions… Le test était complété par des évaluations en mathématiques et en compréhension écrite, ainsi que par des questions plus personnelles sur l’environnement familial ou l’expérience de l’argent. Pour l’OCDE, les résultats des Français en matière financière  « semblent indiquer que les compétences de base acquises à l’école ne donnent pas aux jeunes les outils nécessaires pour obtenir de bons résultats à l’évaluation de leur culture financière« . L’organisation note qu’en France, un élève sur cinq n’atteint pas une « compétence de base » en matière financière, et, au mieux, peut « faire la différence entre besoins et souhaits » ou « sait à quoi servent les documents financiers courants tels qu’une facture« . Les élèves les mieux classés sont les jeunes Chinois vivant à Shanghai (603 points), les Belges de langue flamande (541 ponts), les Estoniens, les Australiens et les Tchèques. Les lanternes rouges sont la Colombie (379 points) et l’Italie (466 points). L’Espagne et ses 484 points n’est pas très loin de la France. Pour expliquer le classement, la direction des affaires financières et des entreprises à l’OCDE avance des « aspects peut-être culturels, liés au fait qu’on ne parle pas facilement d’argent en famille » dans les pays latins. A l’inverse, les bonnes performances des pays d’Europe de l’Est pourraient être liées, toujours seront l’OCDE, au caractère « plus égalitaire » de ces sociétés ainsi qu’aux efforts faits après la chute des régimes communistes « pour intégrer les jeunes générations au système économique et financier« .

 

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

Sondage 2017 : Sarkozy toujours champion à l’UMP, pas des Français

 

Nicolas Sarkozy est toujours le champion à l’UMP, dont 78% des sympathisants souhaitent qu’il soit candidat en 2017, mais est rejeté par l’ensemble des Français, 59% ne voulant pas qu’il se présente, selon un sondage IFOP pour le Journal du Dimanche. A la question « souhaitez-vous que Nicolas Sarkozy soit candidat à l’élection présidentielle » de 2017?, 78% des sympathisants répondent oui, contre 22% non. La proportion est inverse avec l’ensemble des Français : 41% veulent sa candidature, 59% non. Les sympathisants UMP sont favorables à 52% à une candidature du maire de Bordeaux, Alain Juppé, 47% n’y étant pas favorable (1% ne se prononcent pas). 45% des Français souhaitent sa candidature, 54% n’y sont pas favorables (1% ne se prononcent pas). François Fillon obtient les mêmes résultats que Juppé auprès de l’ensemble des Français. 52% des sympathisants UMP ne veulent pas sa candidature (47% oui, 1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP souhaitent à 68% que Sarkozy, mis en examen notamment pour corruption active, soit candidat à la présidence de l’UMP en novembre, 32% ne le veulent pas. 39% des Français le désirent, 60% non (1% ne se prononcent pas). Les sympathisants UMP verraient pour 64% d’entre eux d’un bon œil une candidature d’Alain Juppé et pour 58% celle de Fillon. A la question « qui incarne aujourd’hui le mieux le renouveau de l’UMP? », 23% des sympathisants UMP répondent François Baroin (18% des Français), devant Nathalie Kosciusko-Morizet (15% à l’UMP, 17% de l’ensemble des Français), Bruno Le Maire (14%, 16%), Xavier Bertrand (12% à l’UMP, 14% de l’ensemble), Laurent Wauquiez (9%, 8%), Valérie Pécresse (8%, 10%) et Hervé Mariton (2%, 2%).  16% des sympathisants UMP ne répondent « aucune de ces personnalités », comme 9% des Français.  4% ne se prononcent pas à l’UMP, (3% de l’ensemble). Ce sondage a été réalisé par téléphone les 4 et 5 juillet auprès d’un échantillon représentatif de 968 personnes de 18 ans et plus (méthode des quotas).

 

Sondage justice : Sarkozy est traité normalement pour 63% des Français

Sondage justice : Sarkozy est traité normalement  pour 63% des Français

 

Dans  un sondage BVA-Opinion 63% des personnes interrogées (+15 par rapport à mars) ont le sentiment que l’ancien président de la République, mis en examen dans la nuit de mardi à mercredi, est « traité comme n’importe quel justiciable ». Quelque 35% (-14 en trois mois) pensent à l’inverse qu’il est « particulièrement durement traité pour des raisons politiques ». 2% ne se prononcent pas. Si 72% (-4) des Français jugent qu’il est « solide », 62% (-1) « charismatique », 49% (+1) « rassembleur », une majorité (59%, +11) pense qu’il a « fait son temps ». Seuls 23% (-5) le trouvent honnête.  A la question de savoir quel est le candidat préféré pour représenter l’UMP à la présidentielle de 2017, même s’il maintient une nette avance (50% contre 31%) parmi les sympathisants UMP, l’ex-président est nettement devancé (20%, -3) par Alain Juppé (35%, =) devant François Fillon (14%, +2), Bruno Le Maire (9%, +1), Nathalie Kosciusko-Morizet (7%, =), Xavier Bertrand (4%, +1) et Jean-François Copé (1%, -1). A la question « qui souhaiteriez-vous voir à la tête de l’UMP ? », Alain Juppé –qui a déjà dit qu’il ne serait pas candidat à ce scrutin interne de novembre– se classe toujours en tête du classement (21%, -2), devant Nicolas Sarkozy, François Fillon et François Baroin, tous trois à égalité à 12%, puis Bruno Le Maire (8%), NKM et Laurent Wauquiez (7%), Jean-Pierre Raffarin (5%), Xavier Bertrand et Jean-François Copé (3%).

 

Mondial foot fric : les Grecs renoncent à leurs primes….pas les Français

Mondial foot fric : les Grecs renoncent à leurs primes….pas les Français

 

Conscients de la difficulté économique et sociale de leur pays les joueurs grecs ne veulent pas de leurs primes. Contrairement (pour l’instant ?) aux français qui ont déjà encaissé 100  000 euros chacun (en plus évidemment des contrats pub spécifiques au Mondiale et évidemment aux rémunérations folles dans leur clubs). Eliminés dimanche en 8es de finale de la Coupe du monde par le Costa Rica, les joueurs grecs n’ont pas eu à rougir de leur prestation au Brésil cette année. Au contraire, puisque pour la première fois de son histoire, l’équipe nationale s’est hissée à ce stade de la compétition. Et pourtant, l’ensemble de la sélection a annoncé qu’elle renoncerait à toucher les primes prévues pour le Mondial. Dimanche, avant de céder face aux Costariciens après l’épreuve des tirs au but, les 23 joueurs ont adressé une lettre à Antonis Samaris, le premier Ministre afin d’expliquer leurs motivations. «Nous ne voulons pas de primes ou d’argent. Nous ne jouons que pour la Grèce et le peuple grec. Tout ce que nous attendons de vous, c’est une aide pour trouver un endroit et y construire un centre d’entraînement pour notre équipe nationale», peut-on lire sur le courrier.  Ce geste dans un pays encore lourdement frappé par la crise financière, est d’autant plus symbolique qu’il intervient quelques jours après l’annonce de différends sur la question des primes au sein des sélections camerounaise et ghanéenne. La semaine passée, à la demande de ses joueurs, le président ghanéen avait affrété spécialement un avion pour verser l’argent en liquide à ses joueurs, soit 3 millions de dollars

 

Automobiles : les français préfèrent les modèles pas chers

Automobiles : les français préfèrent les modèles pas chers

 

Effet de la crise sans doute mais auusi nouveau rapport culturel à la voiture qui redevient un simple outil de déplacement. Du coup les français choisissent surtout des modèles low-cost dépourvu d’équipements sophistiqués  (souvent inutiles) qui augmentent le prix de 5000 à 100 00 euros pour les petites voitures.  Sur les six premiers mois de l’année 2010, à peine plus de 3000 Dacia avaient été immatriculées en France. Au premier semestre 2014, elles étaient plus de 60.000. Cette performance illustre l’appétit des Français pour cette marque low-cost, filiale de Renault. En France, les immatriculations de voitures neuves, publiées le Comité des constructeurs français d’automobiles (CCFA), ne correspondent pas seulement aux voitures achetées par les particuliers, mais également par les entreprises, les administrations ou les loueurs. Les Français qui achètent des voitures neuves ne représentent même qu’une part relativement faible du total. Entre janvier et mai, 52 % des voitures immatriculées l’ont été par des particuliers. Sur ce marché, l’irruption de la marque Dacia a été irrésistible. Pour preuve, sur les cinq premiers mois de l’année, la Sandero occupe le deuxième rang, alors qu’elle se situe au 9e rang sur le marché global. Le SUV Duster est pour sa part 5e chez les particuliers, contre le 10e rang toute ventes confondues. Depuis le lancement de la marque en France, en 2004, la stratégie de Renault pour Dacia n’a pas varié: peu de dépenses marketing, des options simplifiées et une absence de remise. Il n’y a donc pas de ventes aux loueurs, qui demandent d’importances remises, ou aux entreprises, car le principe du low-cost passe mal. Conséquence: «Dacia s’adresse quasi exclusivement aux particuliers, avec 85 % de ses ventes», détaille Benard Cambier, directeur commercial France de Renault. Dans un climat économique dégradé, cette recette a fonctionné au-delà des attentes de ses concepteurs. Chez les particuliers, Dacia affiche une part de marché de 10,2 %, contre 6,2 % au niveau global. Désormais, «Dacia est la quatrième marque auprès des particuliers, devant Volkswagen», se félicite encore Bernard Cambier. La marque allemande est pourtant appréciée par les Français, puisqu’elle place deux voitures dans le top 10 des particuliers, la Polo au 8e rang et la Golf au 10e, alors qu’elle n’en compte aucune dans le Top 10 global. Pas de quoi résister au rouleau compresseur Dacia. Aucun constructeur n’est allé concurrencer la marque low-cost sur son terrain. Pourtant, certains ont également fait des particuliers leur cible privilégiée. C’est le cas de Peugeot comme Citroën, contraintes par les soucis financiers de leur maison-mère PSA. Car ce canal de distribution est financièrement intéressant. Philippe Narbeburu, directeur commercial France de Citroën, explique ainsi avoir «privilégié les particuliers depuis le début de l’année, car il s’agit du canal le plus rentable». En juin, le recul des immatriculations de la marque aux chevrons de 6,6 % s’explique exclusivement par la baisse des ventes aux loueurs. De même, la Peugeot 208 est la numéro un chez les particuliers, quand elle reste devancée par la Renault Clio sur le marché global. Les deux marques ne peuvent cependant pas adopter une démarche aussi radicale que Dacia, car elles n’ont pas le même outil de production et que les volumes écoulés via les autres canaux de distribution sont nécessaires pour remplir leurs usines. Dacia est partie d’une feuille blanche et c’était un réel atout.

 

Sondage grève intermittents : les français contre

Sondage grève intermittents :  les français contre

 

Autant lavis des français était net vis-à-vis de la grève de la SNCF (80% contre) autant là c’est beaucoup plus confus même si 55% des français se déclarent contre. En fait beaucoup ignorent tout de ce régime ; il y a certes des abus notamment de vedettes surpayées aussi d’entreprises qui trichent (notamment les boites de production qui travaillent pour la télé. Mais on ne devient pas riche avec ce statut, tout juste de quoi survivre. Surtout cela permet de soutenir une culture qui en bien besoin (et qui mériterait mieux que les pathos nombrilistes ou mélodramatiques) ; Plus de la moitié (55%) des Français se déclarent opposés au mouvement des intermittents, selon un sondage Harris Interactive réalisé pour Le Parisien/Aujourd’hui en France de samedi. Ce sont surtout les hommes de plus de 65 ans aux revenus élevés qui se montrent les plus hostiles au mouvement des intermittents, note Le Parisien. A l’inverse, parmi les jeunes, les femmes et les plus modestes, ils sont 50% à afficher leur soutien au combat des professionnels du spectacle.  « Les Français n’ont pas le sentiment d’être face à des nantis. Ils perçoivent la précarité » des intermittents, note Jean-Daniel Lévy d’Harris Interactive.   Pour autant, à peine 33% des sondés connaissent les revendications exprimées par les intermittents. Ce qui n’empêche pas 56% des personnes interrogées, en particulier chez les plus âgés et les plus aisés, de penser que leur régime doit être supprimé. La mission d’information de l’Assemblée nationale a rendu son rapport sur les intermittents du spectacle. Cet épais rapport de 300 pages, fruit de sept mois de travail, permet de dresser un portrait type de l’intermittent, et notamment de décortiquer ses revenus.  Selon le rapport, un intermittent gagne en moyenne 2.322 euros par mois (2.590 euros pour un technicien et 2.020 euros pour un artiste).  Cette somme inclut à la fois le salaire et l’indemnité versée par l’assurance chômage au titre de l’intermittence. Cette allocation représente en moyenne 1.805 euros par mois, contre 1.123 pour un chômeur lambda. « Le montant et la durée de versement semblent plus avantageux que le droit commun », pointe le rapport.  Toutefois, l’allocation versée à un intermittent est encadrée: elle est au minimum de 31 euros par jour (soit 954 euros par mois si tout le mois est travaillé), et au maximum de 4.188 euros par mois.  Certains intermittents sont donc riches, mais ils sont peu nombreux: ainsi, 5.900 intermittents gagnent plus de 4.188 euros par mois, et même 1.900 gagnent plus de 5.400 euros par mois.   Le rapport montre que le nombre d’intermittents a explosé. Il cite notamment une étude du ministère de la culture, qui indique que leur nombre a triplé entre 1987 et 2006, passant de 40.000 à 123.000. « Parmi les artistes, la progression des effectifs a été la plus forte pour les musiciens dont le nombre est passé de 5.500 à 26.000 en vingt ans« , indique l’étude. Cette explosion est notamment due à l’extension du régime de l’intermittence à un nombre croisant de professions, comme l’avait relevé la Cour des comptes. Notamment, depuis 1999, peuvent en bénéficier machinistes, costumiers, éclairagistes, ainsi que les salariés travaillant dans l’édition musicale, la gestion de salles de spectacle, la production et la promotion de spectacles. Le rapport dresse aussi un portrait type de l’intermittent: c’est un homme (à 61%), qui habite l’Ile-de-France (à 44%), qui a un niveau d’études bac +3 (à 27%), et qui a une origine sociale favorisée, avec un père cadre moyen ou supérieur (à 49%).  L’explosion de l’intermittence (qui est en pratique un CDD) s’est traduite par une explosion de la précarité dans l’audiovisuel et du spectacle. Depuis 1998, la part des CDI est passée de 59% à 36%. L’analyse sur une longue période montre que le nombre de contrats d’intermittents a décuplé entre 1989 et 2007, passant de 220.778 à 2,1 million. « Cette progression est largement imputable au secteur audiovisuel« , indique le rapport.  Surtout, cette progression a été bien plus rapide que le nombre d’intermittents. Résultat: un intermittent effectue en moyenne 16 contrats par an, contre 5 il y a vingt ans.   Autre phénomène: le nombre d’intermittents a cru plus vite que le volume de travail (+77% entre 1989 et 2007). Autrement dit: le nombre de convives a cru plus vite que la taille du gâteau… Conclusion: chaque intermittent travaille de moins en moins: 67 jours par an, contre 103 auparavant.

 

Sondage Radars : « pompes à fric » pour les Français

Sondage Radars : « pompes à fric » pour les Français

De  toute  évidence le premier objet de radars est de ramasser du fric et l’Etat entend en développer partout. Certes les contrôles de vitesse sont nécessaires car c’est lune des deux causes principales des accidents (avec l’alcool) mais il conviendrait cependant de gérer ces contrôles avec intelligence. Autant un dépassement de 50 voire 100 kms-heure est condamnable autant un dépassement de 5 ou 10 kms-heure devrait être toléré. Or ce sont les petits dépassements qui rapportent le plus financièrement ( surtout de la part des radars mobiles) Selon un sondage « Harris Interactive » pour RTL, 64 % des Français estiment que les radars automatiques servent seulement à remplir les caisses de l’Etat. Selon le site de la Sécurité routière, 2209 radars fixes étaient déployés au 1er juin 2014. On compte également à cette date 712 radars feu rouge, 780 radars vitesse embarqués et 119 véhicules équipés de radars mobiles nouvelle génération. En 2011, le montant des amendes forfaitaires s’élevaient à 539 millions d’euros.

Sondage Jean-Marie Le Pen : détesté par les Français

Sondage Jean-Marie Le Pen : détesté par les  Français

 

Plus de neuf Français sur dix (91%) ont une mauvaise opinion de Jean-Marie Le Pen, dont l’image est dégradée même auprès des sympathisants FN, selon un sondage BVA. Seuls 8% des personnes interrogées ont une bonne opinion du président d’honneur du Front national dont les récents propos sur Patrick Bruel ont déclenché la polémique, y compris au sein du FN. Interrogés sur l’image personnelle de Le Pen, les sondés le trouvent à une très grande majorité « provocateur » (93%), « agressif » (88%), « extrémiste » (85%), « raciste » (83%), « antisémite » (81%), « ringard » (73%) et « démagogique » (67%). Les sympathisants du FN sont au moins 36% à lui attribuer chacun de ces défauts. Le Pen est en revanche jugé « bon orateur » par 72% des personnes interrogées et « courageux » par 45%.

 

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