Archive pour le Tag 'fragilisé'

Trump: un retour très fragilisé

Trump: un retour très fragilisé

C’est officiel, Trump un peu dans la précipitation a annoncé sa prochaine candidature aux élections présidentielles américaines . Mais cette fois un retour très hypothétique car d’une part l’intéressé a perdu de sa superbe auprès de l’opinion et il est même très concurrencé au sein du camp des « Républicains ».

Le retour de Trump comme candidat aux présidentielles dans deux ans pourrait bien être assez hypothéqué par le relatif échec des « Républicains » aux élections intermédiaires. On attendait en effet une vague des candidats supportés par l’ancien président des États-Unis. Cette vague n’a pas eu lieu et les candidats soutenus par Trump ont particulièrement déçu.

Du coup, Trump lance prématurément sa campagne en se préparant à déclarer sa candidature. Il est en effet maintenant menacé notamment par le gouverneur de Floride largement élu.

«Le président Trump annoncera mardi qu’il est candidat à l’élection présidentielle. Et ce sera une annonce très professionnelle a déclaré son conseiller Jason Miller sur «War Room», le podcast de Steve Bannon, autre proche de Donald Trump. Le républicain de 76 ans juge que la question de sa candidature «ne se pose même pas», a expliqué M. Miller.

«Bien sûr que je me présente. Je vais le faire, et je veux m’assurer que les gens savent que je suis gonflé à bloc et que nous devons remettre le pays sur les rails», a assuré Donald Trump. «Tout le monde sait que je vais me présenter, donc allons-y», aurait-il ajouté.

La candidature de Donald Trump sera sa troisième à la Maison Blanche. Mais même si son influence sur le parti républicain reste indéniable, il sort fragilisé des élections de mi-mandat de mardi dernier, lors desquelles nombre de ses lieutenants ont déçu.Il est surtout menacé par la candidature probable du républicain gouverneur de Floride très charismatique.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis, réélu triomphalement, est auréolé de l’image de grand gagnant de cette saison électorale. La victoire de cette nouvelle star de la droite dure a conforté sa place de potentiel rival de l’ex-président pour l’investiture républicaine. Cela n’a pas échappé au milliardaire, qui a enchaîné cette semaine piques et moqueries contre celui qu’il surnomme «Ron-la-Morale».Il y a aussi la menace de Marc Spence son ancien vice-président qui avait retourné sa veste lors des événements du Capitole.

Le retour de Trump fragilisé

Le retour de Trump fragilisé

Le retour de Trump comme candidat aux présidentielles dans deux ans pourrait bien être assez hypothéqué par le relatif échec des « Républicains » aux élections intermédiaires. On attendait en effet une vague des candidats supportés par l’ancien président des États-Unis. Cette vague n’a pas eu lieu et les candidats soutenus par Trump ont particulièrement déçu.

Du coup, Trump lance prématurément sa campagne en se préparant à déclarer sa candidature. Il est en effet maintenant menacé notamment par le gouverneur de Floride largement élu.

«Le président Trump annoncera mardi qu’il est candidat à l’élection présidentielle. Et ce sera une annonce très professionnelle a déclaré son conseiller Jason Miller sur «War Room», le podcast de Steve Bannon, autre proche de Donald Trump. Le républicain de 76 ans juge que la question de sa candidature «ne se pose même pas», a expliqué M. Miller.

«Bien sûr que je me présente. Je vais le faire, et je veux m’assurer que les gens savent que je suis gonflé à bloc et que nous devons remettre le pays sur les rails», a assuré Donald Trump. «Tout le monde sait que je vais me présenter, donc allons-y», aurait-il ajouté.

La candidature de Donald Trump sera sa troisième à la Maison Blanche. Mais même si son influence sur le parti républicain reste indéniable, il sort fragilisé des élections de mi-mandat de mardi dernier, lors desquelles nombre de ses lieutenants ont déçu.Il est surtout menacé par la candidature probable du républicain gouverneur de Floride très charismatique.

Le gouverneur de Floride Ron DeSantis, réélu triomphalement, est auréolé de l’image de grand gagnant de cette saison électorale. La victoire de cette nouvelle star de la droite dure a conforté sa place de potentiel rival de l’ex-président pour l’investiture républicaine. Cela n’a pas échappé au milliardaire, qui a enchaîné cette semaine piques et moqueries contre celui qu’il surnomme «Ron-la-Morale».Il y a aussi la menace de Marc Spence son ancien vice-président qui avait retourné sa veste lors des événements du Capitole.

Un Poutine fragilisé mais encore davantage dangereux

Un Poutine fragilisé mais encore davantage dangereux

 

Les médias rapportent des prises de position surprenante en Russie condamnant la politique de Poutine. Des prises de position encore loin d’être majoritaires tellement les médias sont cadenassées et la population sous informée. Même sur la télévision cependant des interrogations naissent à propos de la pertinence de l’opération spéciale de Poutine en Ukraine. De fait Poutine subit actuellement des reculs militaires significatifs aussi bien dans l’Est que dans le Sud. Il est cependant encore trop tôt pour en tirer des conclusions quant aux possibilités de victoire de l’Ukraine. De toute évidence, Poutine est affaiblie après ses échecs militaires mais l’individu qui ne connaît que le mensonge et la terreur pourrait recourir à des armes encore davantage destructrices notamment tactiques y compris sur les populations civiles. On craint évidemment aussi un recours au nucléaire et aux armes hypersoniques.En attendant, les avancées ukrainiennes et les prises de position anti Poutine marquent un tournant même si elles sont encore très minoritairesAinsi deux groupes de députés municipaux à Saint-Pétersbourg, puis à Moscou, ont exigé, vendredi 9 septembre, que Vladimir Poutine quitte le pouvoir, sur fond de fiasco militaire en Ukraine et d’élections locales à travers le pays. Le motif invoqué par les élus est cinglant : le président russe a, selon eux, failli.

Le conseil des députés de la municipalité de Smolninskoïe (un quartier de Saint-Pétersbourg) a envoyé une missive officielle à la Douma, la chambre basse du Parlement, réclamant la destitution du chef de l’Etat. Le texte indique que les hostilités en Ukraine « nuisent à la sécurité de la Russie et de ses citoyens », ainsi qu’à l’économie, et qu’elles ne sont pas parvenues à arrêter la progression de l’OTAN vers les frontières russes. Selon ces élus municipaux, les actions du chef du Kremlin relèvent de l’article 93 de la Constitution, selon lequel le président peut être démis de ses fonctions pour « trahison ».

À la télévision officielle, pour la première fois on s’est aussi interrogé sur l’efficacité de la politique militaire de Poutine.

Présidentielle 2022 : l’absence de débat fragilise la démocratie.

Présidentielle 2022 : l’absence de débat fragilise la démocratie.

Il est fortement probable que le futur président de la république sera mal élu. Plusieurs facteurs explicatifs. D’abord l’absence réelle de campagne électorale. Le président surfe en effet sur l’effet drapeau et évite de se confronter à ses concurrents. Par ailleurs la situation géostratégique en Ukraine écrase tous les autres sujets notamment intérieurs. Il y a aussi le taux de participation qui risque de mettre en cause la légitimité du président.

Si l’on ajoute les abstentionnistes et les non-inscrits on pourrait dépasser 50 % d’abstention. Le président pourrait alors ne représenter que 25 % du corps électoral au premier tour. De quoi nourrir éventuellement un troisième social si comme prévu la conjoncture se dégrade pour les ménages, les salariés et retraités. Sénat. Deux jours après l’interview de Gérard Larcher au Figaro , où il stipulait notamment que «s’il n’y a pas de campagne, la question de la légitimité du gagnant se posera», Valérie Pécresse nourrit la critique d’une période électorale atone et poussive dans laquelle le président-candidat ne prendrait pas suffisamment sa part. Dans un entretien au Parisien la leader de la droite «souhaite qu’on puisse tirer un vrai bilan du quinquennat d’Emmanuel Macron.»

La CGT a fragilisé Renault (Mailly, FO)

La CGT a fragilisé Renault (Mailly, FO)

 

Sur Sud radio le secrétaire général de FO a clairement mis en cause la responsabilité de la CGT vis-à-vis de la déstabilisation dont a été victime Renault. Jean-Claude Bailly n’a certainement pas totalement tort de considérer que l’action de la CGT était à la fois prématurée et sans doute un peu irresponsable. C’est cette action de la CGT qui a déclenché la campagne médiatique contre la pollution des véhicules Renault. D’une certaine manière Renault a été victime d’une double attaque, la principale venant initialement de Ségolène Royal qui fidèle à son exhibitionnisme politique a déclenché une opération médiatique pour contrôler Renault sitôt l’affaire Volkswagen révélée aux États-Unis. On se demande vraiment pourquoi elle a fait appel aux services de la répression des fraudes la il fallait définir et mettre en œuvre au sein du ministère de l’industrie une politique globale de réduction des émissions polluantes à la fois pour réduire ces émissions et en même temps pour approcher les normes des émissions réelles. En révélant prématurément le contrôle en cours la CGT a donné le coup de grâce à l’image de Renault, ce qui ne sera pas sans conséquences du point de vue commerciale et financier.  L’action du groupe automobile a perdu jusqu’à près de 23% jeudi en séance à la nouvelle de perquisitions de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) sur trois de ses sites la semaine dernière. Ces turbulences ont fait suite, notamment, à un tract de la CGT du centre d’ingénierie de Lardy (Essonne), chargé du développement des moteurs, dans lequel elle dénonce les conditions de mise en oeuvre des normes européennes d’émission, dites « normes Euro », qui fixent les limites maximales de rejets polluants. L’enquête, dont les conclusions ont été communiquées jeudi après-midi par la ministre de l’Ecologie, n’a pas établi l’existence de logiciels de fraude sur les véhicules du constructeur français, comme chez l’allemand Volkswagen, mais a mis en évidence des dépassements de normes. « C’est une opération de la part de la CGT qui est vraiment prématurée. On ne doit pas lancer comme ça en pâture des éléments qui ne sont pas encore complètement fondés », a commenté Jean-Claude Mailly sur Sud Radio. « On n’a pas les résultats, et balancer ça comme ça, ex abrupto, on en voit les conséquences : tout de suite une fragilisation, même si pour moi ça n’est que l’action, mais quelles seront les conséquences sur l’entreprise en tant que telle? », a-t-il ajouté. Fabien Gâche, délégué central de la CGT-Renault, a regretté un « emballement médiatique », soulignant que son syndicat n’avait jamais suggéré des trucages présumés.




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