Archive pour le Tag 'fragiles'

Carburant : des baisses faibles et fragiles

Carburant : des baisses fragiles

Des baisses autour de trois centimes et un prix en moyenne à 1,91 euro le litre. Mais des baisses très fragiles qui correspondent surtout à des actions marketing des distributeurs car le prix du baril se maintient toujours au très haut niveau de 95 $ le baril. Tant que le prix du baril ne diminuera pas il ne faut pas s’attendre à une baisse significative du carburant pour les usagers.

Le gazole perdait en effet 2,9 centimes pour s’afficher en moyenne à 1,9121 euro le litre, d’après le relevé hebdomadaire du ministère de la Transition écologique, avec des prix arrêtés au vendredi 29 septembre.

De son côté l’essence sans-plomb 95 E10 reculait de 3,4 centimes, à 1,9102 euro en moyenne en France.

Le 7 juillet, le gazole s’affichait à 1,6658 euro le litre et l’essence à 1,7895 euro le litre, avant d’entamer une hausse quasi-constante tout au long de l’été et jusqu’à ce début d’automne 2023. Seule exception, mi-août avec un recul d’un peu plus d’un centime pour le gazole.

La semaine dernière, avec une nouvelle hausse, les deux carburants avaient frôlé leur plus haut niveau de l’année.

Civilisations : les sociétés complexes sont encore plus fragiles

Civilisations : les sociétés complexes sont encore plus fragiles

 

L’impact des évolutions climatiques sur plusieurs sociétés du XIIIᵉ et XIVᵉ siècle montre que si certaines parvinrent à s’adapter, ce ne fut jamais sans dégâts, explique l’économiste Pierre-Cyrille Hautcœur dans une chronique au Monde.

Un article intéressant de l’économiste qui aurait pu parler aussi de la fragilité de sociétés complexes plus anciennes en Égypte ou des sociétés précolombiennes NDLR

La sécheresse et les chaleurs extrêmes observées en Europe cet été ont fait prendre conscience de la gravité des transformations climatiques en cours à nombre d’observateurs et de politiques. Les possibilités d’adaptation des sociétés sont en revanche toujours aussi mal comprises et souvent résumées à une alternative simpliste entre technologies miracles et décroissance brutale. L’expérience historique montre pourtant un certain nombre de cas de transformations radicales – et souvent catastrophiques – des relations entre les sociétés et leur environnement qui permettent de mieux y réfléchir.

Ces sujets étaient au cœur du congrès mondial d’histoire économique organisé par l’EHESS et l’Ecole d’économie de Paris du 25 au 29 juillet, sur le campus Condorcet, à Aubervilliers. La conférence inaugurale donnée par Bruce Campbell (Queen’s University de Belfast) a présenté une impressionnante synthèse sur le sujet, à travers la comparaison de quatre réactions aux transformations climatiques globales des années 1250-1350, en Egypte, en Chine, au Cambodge et en Europe.

Les changements climatiques majeurs qui ont alors lieu sont progressifs et difficiles à observer par les contemporains comme par les historiens, d’autant qu’ils se caractérisent autant par l’accroissement de la variabilité du climat (températures, humidité, multiplication des phénomènes extrêmes) que par un changement univoque. Ils sont aujourd’hui clairement identifiés par l’utilisation de sources multiples, tant écrites qu’archéologiques, physiques ou biologiques. La période qui débute vers 1250 connaît ainsi des transformations climatiques qui rompent avec les six à dix siècles antérieurs.

Face à cette rupture, l’historiographie montre que les sociétés riches et complexes sont peut-être les plus fragiles, car elles dépendent d’infrastructures (systèmes d’irrigation notamment) pour leurs hauts rendements agricoles et donc pour le développement des sociétés urbaines qui en dépendent.

Les sociétés complexes sont encore plus fragiles

Les sociétés complexes sont encore plus fragiles

 

L’impact des évolutions climatiques sur plusieurs sociétés du XIIIᵉ et XIVᵉ siècle montre que si certaines parvinrent à s’adapter, ce ne fut jamais sans dégâts, explique l’économiste Pierre-Cyrille Hautcœur dans une chronique au Monde.

Un article intéressant de l’économiste qui aurait pu parler aussi de la fragilité de sociétés complexes plus anciennes en Égypte ou des sociétés précolombiennes NDLR

La sécheresse et les chaleurs extrêmes observées en Europe cet été ont fait prendre conscience de la gravité des transformations climatiques en cours à nombre d’observateurs et de politiques. Les possibilités d’adaptation des sociétés sont en revanche toujours aussi mal comprises et souvent résumées à une alternative simpliste entre technologies miracles et décroissance brutale. L’expérience historique montre pourtant un certain nombre de cas de transformations radicales – et souvent catastrophiques – des relations entre les sociétés et leur environnement qui permettent de mieux y réfléchir.

Ces sujets étaient au cœur du congrès mondial d’histoire économique organisé par l’EHESS et l’Ecole d’économie de Paris du 25 au 29 juillet, sur le campus Condorcet, à Aubervilliers. La conférence inaugurale donnée par Bruce Campbell (Queen’s University de Belfast) a présenté une impressionnante synthèse sur le sujet, à travers la comparaison de quatre réactions aux transformations climatiques globales des années 1250-1350, en Egypte, en Chine, au Cambodge et en Europe.

Les changements climatiques majeurs qui ont alors lieu sont progressifs et difficiles à observer par les contemporains comme par les historiens, d’autant qu’ils se caractérisent autant par l’accroissement de la variabilité du climat (températures, humidité, multiplication des phénomènes extrêmes) que par un changement univoque. Ils sont aujourd’hui clairement identifiés par l’utilisation de sources multiples, tant écrites qu’archéologiques, physiques ou biologiques. La période qui débute vers 1250 connaît ainsi des transformations climatiques qui rompent avec les six à dix siècles antérieurs.

Face à cette rupture, l’historiographie montre que les sociétés riches et complexes sont peut-être les plus fragiles, car elles dépendent d’infrastructures (systèmes d’irrigation notamment) pour leurs hauts rendements agricoles et donc pour le développement des sociétés urbaines qui en dépendent.

Ukraine: ces fragiles démocratie du sud qui ne se prononcent pas !

 Ukraine: ces fragiles démocratie du sud qui ne se prononcent pas ! 

Un papier du Monde observe que de l’Afrique à l’Asie en passant par l’Amérique latine, le camp des pays qui ne veulent pas choisir entre les Occidentaux et la Russie s’élargit.

Il y a des motifs économiques et sociaux à cette relative prudence des Etats du sud dont  l’économie est largement dépendante des importations. La raréfaction et le renchérissement des prix de l’énergie et des denrées alimentaires pourraient être l’occasion de bouleversements politiques qui renverseraient des régimes en réalité politiquement peu légitimes et ou corrompus NDLR

 

Analyse.

 

Plusieurs fois reportée, la visioconférence du président ukrainien, Volodymyr Zelensky, avec l’Union africaine (UA) s’est finalement tenue le 20 juin à huis clos, dans une grande discrétion. Un bref message accueilli poliment mais sans plus par les dirigeants africains. Le contraste est saisissant avec la solidarité enthousiaste du Congrès américain ou des Parlements des capitales européennes.

L’unité occidentale retrouvée face à l’agression russe en Ukraine va de pair avec une solitude relative mais bien réelle, qui va croissant avec l’installation de la guerre dans la durée. De l’Afrique à l’Asie en passant par l’Amérique latine, le camp des pays qui ne veulent pas choisir entre les Occidentaux et la Russie s’élargit.

L’objectif des sanctions économiques occidentales est de faire de la Russie de Poutine un état paria. Mais si l’économie russe se « désoccidentalise », elle ne se « démondialise » pas, développant ses échanges avec ces pays du « ni-ni ».

« Le monde constate la réalité brute des rapports de force : quand l’Occident paraissait tout-puissant, il a abusé de sa toute-puissance (Kosovo, Irak, Libye…). Beaucoup de pays, sans soutenir l’agression russe, ne sont donc pas fâchés que le monde ne soit pas unipolaire et ils voient dans la guerre en Ukraine davantage une bataille pour établir un rapport de force en Europe qu’une bataille sur des principes que tout le monde a violés », analyse Jean-Marie Guéhenno ancien secrétaire général adjoint de l’ONU chargé des opérations de maintien de la paix (2000-2008) et auteur notamment du Premier XXIe siècle (Flammarion, 2021).

Si au Nord les voix discordantes sont rares, au Sud elles se font toujours plus nombreuses face au risque de crise alimentaire. « Nous ne sommes pas vraiment dans le débat de qui a tort et de qui a raison : nous voulons simplement avoir accès aux céréales et aux fertilisants »rappelait le président sénégalais, Macky Sall, lors d’une visite à Paris après une rencontre avec Vladimir Poutine, début juin, à Sotchi, en tant que président de l’UA. Les pays de l’entre-deux sont l’une des principales cibles de la propagande de la diplomatie russe.

Le 24 juin, jour où le Conseil européen reconnaissait à l’Ukraine et à la Moldavie le statut de pays candidat à l’entrée dans l’Union européenne (UE), le président russe, lors d’un sommet avec les dirigeants des BRICS (pour Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), dont aucun n’a pris de sanction contre Moscou, pourfendait les « actions égoïstes » des Occidentaux et appelait à créer « un système réellement multipolaire ».

Covid France : une troisième dose pour les personnes « âgées fragiles  » (Macron)

Covid France : une troisième dose pour les personnes « âgées fragiles «   (Macron)

 

La formule très ambiguë employée par le président de la république concernant la vaccination de personnes fragiles et âgées témoigne en fait d’un manque cruel de vaccins

 

le président de la république s’est encore dû en même temps en déclarant «Il faudra vraisemblablement une troisième dose. Pas pour tout le monde, tout de suite. Mais en tout cas, pour les plus fragiles et les plus âgés.» «À ce stade», indique-t-il, ces populations cibles seront les seules concernées.

 

En fait on ne sait pas si toutes les personnes âgées seront concernées ou si à l’intérieur de la catégorie des plus âgés on choisira ceux qui sont les plus fragiles.

Selon le ministère de la Santé, «pour la plupart des gens, le vaccin est encore efficace neuf mois après la première injection»même s’il n’est pas aussi affirmatif pour la période d’un an après. Avec la crainte d’une nouvelle saturation des hôpitaux, Emmanuel Macron et le gouvernement se «préparent» à «faire cette troisième dose.» «Nous le ferons à partir de la rentrée», affirme le chef de l’État.

La Fed : les banques trop fragiles.

La Fed : les banques trop fragiles.

La banque fédérale américaine a effectué un certain nombre de tests qui montrent des fragilités bancaires dans certains établissements. Les pertes pourraient même monter jusqu’à 700 milliards de dollars. C’est pourquoi la banque fédérale américaine a décidé de resserrer critères de gestion en matière de fonds propres et de recommander la limitation du versement de dividendes. Elle recommande aussi aux entreprises de ne pas racheter leurs propres actions( Pour limiter une forme de rémunération des actionnaires).  Ces “stress tests”, qui ont concerné certaines des plus grandes banques des Etats-Unis comme Goldman Sachs ou JPMorgan & Chase, montrent que les 34 établissements pourraient subir jusqu’à 700 milliards de dollars (624 milliards d’euros) de pertes sur créances dans le pire scénario d’une reprise en “W” après la crise.

La Fed estime que les banques devraient pouvoir faire face à une récession sévère et prolongée mais que plusieurs d’entre elles se retrouveraient proches des exigences minimales de fonds propres.

En conséquence, la banque centrale a annoncé qu’elle plafonnait le montant des dividendes que les établissements financiers pourront verser au titre du troisième trimestre, qui ne pourront être supérieurs à ceux du deuxième trimestre. Au maximum, le dividende ne pourra excéder la moyenne du bénéfice net au cours des quatre derniers trimestres.

La Fed a également décidé d’interdire les rachats d’actions, autre moyen de rémunération des actionnaires, au moins durant le troisième trimestre.

Notre Dame des Landes : les pistes trop fragiles !

Notre Dame des Landes : les pistes trop fragiles !  

 

Les pistes de Notre dame des Landes pourraient s’enfoncer ! Selon un chercheur au CNRS de Nantes, Luc Brohan, le sol du bocage ne serait pas solide pour supporter la construction des pistes du futur aéroport. Le scientifique est arrivé à cette conclusion après avoir compilé cinq thèses récentes consacrées « aux traitements des sols argileux par liant hydrauliques », écrit mardi le journal Le Monde. « Possible de construire ces pistes, mais cela ne tiendra pas. » Le chercheur en physique et chimie des matériaux a alerté par écrit le ministère de l’Environnement le 6 novembre. Luc Brohan a également décidé de rendre public son travail de synthèse. Selon lui, la méthode utilisée par le concessionnaire du futur aéroport (Ago-Vinci) pour consolider le sol de Notre-Dame-des-Landes est inefficace. « La présence d’eau dans le sol finira par annihiler tous les effets du traitement dans un délai rapide : la piste va donc s’affaisser », affirme le chercheur.  Un avis partagé par Jean-Marie Ravier, ingénieur de l’Ecole centrale de Paris qui a travaillé avec Luc Brohan sur le sujet. « Il est possible de construire ces pistes, mais on sait aujourd’hui que cela ne tiendra pas », a-t-il assuré au Monde. Bientôt un nouveau coup dur sur le plan judiciaire ? Notre-Dame-des-Landes est vivement combattu depuis une quinzaine d’années. Le projet d’aéroport, déjà fragilisé par les divisions politiques, devrait connaître un nouveau coup d’arrêt sur le plan judiciaire dans les prochains jours.

Comment les djihadistes recrutent les plus paumés socialement et les plus fragiles psychologiquement.

Comment les djihadistes recrutent les plus paumés socialement et  les plus fragiles psychologiquement.

Témoignage sur France Inter.

Sous couvert d’arguments humanitaires, des djihadistes approchent des adolescents, par des réseaux sociaux. C’est le cas de Léa recrutée sur Facebook et qui était prête à partir en Syrie via la Turquie. Dans l’émission, Secrets d’info sur France Inter ce vendredi, son témoignage éclaire la pression calculée des recruteurs. Depuis plusieurs mois, Léa (le prénom a été modifié pour préserver son anonymat) est prise en charge par le centre de prévention contre les dérives sectaires liées à l’islam, une association fondée par l’anthropologue Dounia Bouzar. Elle y raconte son recrutement, au fil des jours, via Facebook, pour partir un jour en Syrie.  Au début de l’année 2014, l’adolescente a été recrutée sur Facebook par des djihadistes qui lui proposent de l’envoyer en Syrie. Ses correspondants lui promettent que sur place elle mènera une mission humanitaire, qu’elle pourra sauver des enfants de la guerre, et qu’elle deviendra « une bonne musulmane ». En quelques semaines, Léa est endoctrinée. Elle se coupe de son milieu familial, elle ne regarde plus les informations. Elle s’isole totalement. Un matin, une voiture l’attend devant son collège pour l’emmener en Turquie. Là-bas, elle doit rencontrer un islamiste radical, lui faire un enfant, fonder une famille et le rejoindre après en Syrie. Mais la jeune fille rate de quelques minutes le rendez-vous. Comme les autorités ont été informées de son projet, l’adolescente comprend qu’elle ne pourra plus quitter la France. Sur Facebook, puis directement par téléphone, ses interlocuteurs lui demandent alors d’inciter d’autres jeunes au départ et de commettre des attentats en France « contre les juifs« . Interpellée par la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), Léa est ensuite placée sous contrôle judiciaire. Aidée par les membres de l’association de Dounia Bouzar, l’adolescente comprend peu à peu qu’elle a été piégée, qu’elle s’est fait endoctriner. Séance après séance, elle se confie un peu plus. À Avignon, Fouad El Bathi a vu partir sa sœur, une jeune fille du même âge que Léa. Elle rêvait de devenir médecin et elle a cru, elle aussi, pouvoir faire de l’humanitaire en Syrie. Mais elle a très vite déchanté. Lors d’une conversation téléphonique, elle craque et raconte à son frère la réalité de sa vie sur place. Pour son frère, c’est le seul moment où elle ne se contentait pas de répéter ce qu’on lui soufflait. Depuis, les nouvelles se font rares. « Le profil de ces barbares, c’est de recruter les filles les plus naïves, les plus humaines » : Fouad El Bathi, dont la soeur est partie en Syrie Après ce coup de fil, Fouad El Bathi est parti lui-même en Syrie. Il a pu rencontrer sa sœur durant une demi-heure, mais n’a pas pu la ramener. Aujourd’hui, il est convaincu que sa sœur est retenue prisonnière. Il y aurait actuellement un peu plus de 90 Françaises en Syrie. À ce jour, aucune n’est jamais rentrée.

Europe : des banques encore fragiles

Europe : des banques encore fragiles

 

Il y a du mieux dans la gestion des banques mais elles restent encore fragiles en raison d’une insuffisance de couverture des risques. La plupart des grandes banques européennes ont vendu des actifs risqués au troisième trimestre mais elles ont moins provisionné leurs créances douteuses, une situation semble-t-il à redresser avant que la Banque centrale européenne (BCE) ne procède l’an prochain à un examen de la qualité de leurs actifs (AQR). Les conclusions de la cet examen nourriront une batterie de tests de résistance dans l’Union européenne, censés déterminer si les banques devront constituer plus de fonds propres pour surmonter d’éventuels chocs futurs et éviter de répéter les errements de la crise financière de 2008-2009. Une analyse de Reuters des résultats du troisième trimestre des 30 premières banques européennes montre que près des deux tiers des 27 qui publient des comptes trimestriels détaillés estiment que leur bilan était moins risqué fin septembre qu’il ne l’était fin juin, une façon de faire diminuer les besoins en capital. En revanche près des deux tiers des établissements ont inscrit des provisions pour créances douteuses ou irrécouvrables moins importantes qu’un an auparavant et leur « ratio de couverture », soit ce qui est mis de côté pour couvrir les pertes par rapport au total des créances dépréciés, n’a augmenté que marginalement. John Paul Crutchley, co-directeur de la banque européenne chez UBS, pensait l’inverse. « C’est sans doute parce qu’au stade du troisième trimestre, on ne savait pas du tout comment la BCE allait mener cet examen de la qualité des actifs (en zone euro) et les stress tests (tests de résistance) », a-t-il dit. Lui-même et James Chappell, analyste de Berenberg, pensent que la situation aura évolué au quatrième trimestre, les banques en sachant plus sur les conditions que la BCE appliquera à la zone euro et que les régulateurs nationaux soumettront ailleurs. Pour l’heure, les ratios de couverture varient amplement, de 94% pour la Commerzbank à moins de 50% pour d’autres banques. Ces ratios sont difficilement comparables d’un établissement à l’autre car ils n’emploient pas les mêmes paramètres mais on peut penser que la BCE les étudiera avec soin. Les banques étaient supposées améliorer ces ratios avant les tests en provisionnant davantage mais dans l’ensemble ils n’ont augmenté que de 3% en moyenne sur 12 mois au 30 septembre parmi les 22 qui publient cette donnée. Neuf autres avaient un ratio en baisse, la plus forte étant enregistrée par Swedbank (-18,5%),.




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