Archive pour le Tag 'fous'

Société-Critiques sur la sécurité à Grenoble : « je m’en fous » dis le maire

Société-Critiques sur la sécurité à Grenoble : « je m’en fous » dis le maire

 

C’est avec une certaine désinvolture que le maire écolo de Grenoble veut ignorer les critiques sur l’insécurité chronique dans sa ville. Une attitude évidemment irresponsable chez celui qui a toujours freiné l’installation de caméras et le développement des forces sécuritaires.

Après l’explosion mercredi soir d’une grenade dans un bar de Grenoble jetée par un homme armé d’un fusil d’assaut, les propos du maire écologiste publiés le matin même dans Libération, où il assume un complet détachement face aux critiques sur l’insécurité dans sa ville, font réagir.

Mercredi soir, un homme muni d’un fusil de type kalachnikov a pénétré dans le bar associatif Aksehir, avant de lancer à l’intérieur une grenade dégoupillée. Le premier bilan de l’explosion faisait état de 12 blessés, dont six en urgence absolue, semant la stupeur et la colère chez les riverains.
Dans Libé, le maire, lui, estime qu’il «faut résister au tourbillon médiatique» et minimise. «Des fusillades, il y en a partout», élude l’élu qui, depuis son élection en 2014 à la mairie de Grenoble, a toujours refusé d’armer la police municipale et s’oppose fermement au déploiement de caméras de vidéosurveillance. Selon lui, la vidéoprotection «ne sert à rien» en matière de lutte contre le narcotrafic.

 

Poutine et Kim Jong, deux dictateurs fous qui scellent leur amitié

Poutine et Kim  Jong,  deux dictateurs fous qui scellent leur amitié

 

Théoriquement Kim Jong  bénéficie de l’aile protectrice de la Chine face aux risques potentiels de l’Occident. L’intéressé se méfie cependant et tente de sortir de son isolement en se rapprochant de Poutine. Ou l’alliance de deux dictateurs fous qui se caractérisent par un régime de fer pour se maintenir au pouvoir et qui affame la population.

Kim Jong-un déroule le tapis rouge au «meilleur ami du peuple coréen». Le leader suprême nord-coréen accueille aujourd’hui en fanfare Vladimir Poutine, avec pour ambition d’approfondir le partenariat avec la Russie, en plein développement depuis la guerre en Ukraine, sous le regard inquiet de Washington. Le maître du Kremlin arrive aujourd’hui à Pyongyang pour sa première visite en Corée du Nord depuis près d’un quart de siècle, signalant le rapprochement spectaculaire entre les deux anciens alliés de l’ère soviétique, à l’heure d’une seconde guerre froide assumée face à l’Occident.

 

Enfants footballeurs: Ces parents qui deviennent fous

Enfants footballeurs: Ces parents qui deviennent fous

Depuis plusieurs jours, le monde du football amateur est secoué comme à l’école par une accumulation de comportements violents envers des éducateurs, de la part de parents. Yacine Hamened, ancien éducateur dans des clubs amateurs, et auteur du livre Les hors-jeu du football français (éditions Talent Sport), revient sur ce phénomène préoccupant et pointe plusieurs responsables sur Franceinfo.

sport : Plusieurs actes de violences envers des éducateurs, allant jusqu’à des menaces avec un couteau, ont récemment été rapportés. Est-ce un phénomène nouveau ?

Yacine Hamened : Le phénomène n’est pas nouveau. Mais j’ai l’impression que la concentration sur une courte période de tous ces événements violents est nouvelle. Ça prend des proportions en termes d’actes violents avec armes ou coups, qui deviennent extrêmement préoccupantes. Avant, ce type d’actes se déroulaient plus largement dans les gros clubs. Maintenant c’est partout, même dans des clubs plus familiaux.

On parle beaucoup du « projet Mbappé », qui consiste à faire de son enfant la prochaine pépite du football français. Est-il un catalyseur de ces violences ?

Évidemment que ce fameux « projet Mbappé » est un accélérateur de ces violences parce qu’on entend parler de chiffres faramineux sur les salaires. Mais je pense que ce n’est qu’une des raisons qui expliquent tout ça.

On stigmatise les parents – à raison – parce que personne ne mérite d’être menacé avec un couteau. Mais ils ne sont pas les seuls responsables. S’ils se comportent comme ça, c’est qu’à un moment donné, on leur a permis de le faire.

A qui faites-vous référence ?

Les éducateurs sont aussi dans cette recherche du futur Kylian Mbappé. Ils ont l’objectif d’être le conseiller de ce nouveau joueur. Il faut savoir qu’ils sont payés plus ou moins 200 euros par mois. Tant qu’ils ne gagneront pas leur vie, il y aura ce rapport avec les enfants et les parents de faiseur de roi ou d’agent.

Mais vous avez aussi les clubs et la fédération qui sont coupables de ce laxisme. Quand les parents se comportent mal, les clubs ne prennent pas forcément de sanctions. Pourquoi ? Un, ils perdent le joueur. Deux, ils perdent la licence. Trois, parfois c’est un enfant de la ville. Et quatre, de toute façon on sait qu’il retrouvera un club.

Aujourd’hui, pour attirer un bon joueur, les éducateurs et les clubs promettent beaucoup de choses : ça peut aller de la gratuité de la licence, aux équipements mais aussi – et c’est même surtout ça – des contacts avec des clubs pros. On promet qu’on va les envoyer faire des essais, qu’on a des entrées dans des clubs de formation…

Ne faut-il pas revoir le système sur le fond ? Comment ?

Un enfant de 11 ans peut changer deux ou trois fois de club dans l’année, c’est la responsabilité de la Fédération française de football (FFF). Quand un enfant signe en U9 ou U11 dans un club en septembre, il n’y a aucune raison – excepté pour des raisons familiales ou scolaires – qu’il aille dans un autre club en octobre ou novembre parce qu’il ne joue pas et qu’il fasse la même chose en janvier.

La FFF doit bloquer tout ça. C’est un peu artificiel au départ, mais je pense qu’on va créer un contexte qui permet d’avoir un peu plus de recul, retrouver du dialogue entre les parents et les éducateurs.

« Les clubs doivent aussi créer de la solidarité. Ils doivent refuser de prendre un joueur dont les parents ont été violents avec les éducateurs et qui quitte un club pour aller dans un autre. »

Je ne suis pas sûr que tout le monde ait envie de ces changements. Parce que le football français forme des joueurs, les exporte, est double champion du monde (1998, 2018)…

Pourquoi punir les enfants alors qu’ils sont les premières victimes du comportement de leurs parents ?

Malheureusement on ne peut pas interdire à un parent de venir sur un stade, c’est un lieu public. Il faudrait porter plainte, attendre un jugement, avoir des gens qui puissent contrôler les entrées, c’est trop compliqué. Le seul moyen de pression sur les parents c’est ça : s’il y a agression au mois de novembre, votre enfant ne jouera plus, et ce jusqu’en juin. Ça permettrait peut-être de ne pas aller aussi loin et de dialoguer plutôt que de tomber dans la violence.

Ce n’est pas la solution idéale, mais il faut prendre ses responsabilités. On ne peut pas laisser des parents menacer ou agresser des éducateurs. Et en plus, on donne le mauvais exemple à l’enfant. Au lieu de le laisser travailler et de lui dire : « Il faut que tu bosses plus », on lui montre que dès que c’est dur, la violence résout tout.

Des clubs ont pris la décision de suspendre les matchs ou de faire jouer les enfants à huis clos… Ce sont des solutions efficaces ?

C’est un début de solution parce que ça va ramener un peu de calme. Mais c’est une solution sur le court terme. On parlait de sanction envers les enfants, mais là on sanctionne aussi des parents qui se comportent bien. Tant qu’il n’y aura pas de drame, on a l’impression qu’on ne prend pas conscience de la situation. C’est à force de ne pas prendre de décision, et d’en prendre une quand il y a un drame, qu’elle est injuste. Si demain, un éducateur décède après des violences, de fortes décisions seront prises et ce seront de mauvaises décisions.

Le statut d’éducateur, celui qui apprend le sport mais qui a aussi une fonction éducative, est-il toujours aussi respecté ?

C’est une figure qui n’est plus aussi forte. Aujourd’hui, vous avez tellement d’émissions de football, de discussion autour du football, que beaucoup de parents pensent maîtriser tous les éléments. Et donc ils ont un avis sur l’éducateur. On peut facilement faire le parallèle avec les enseignants. Des professeurs sont agressés, on leur explique comment ils doivent noter les élèves… Tout est remis en cause : le statut du professeur, de l’éducateur… L’éducateur n’a plus cette figure de « grand frère » aussi. C’est désormais un rapport uniquement de métier et de performance, il n’y a plus d’échanges.

Martinique : des prix qui deviennent fous

Martinique : des prix qui deviennent fous

La hausse des prix en Martinique comme dans nombre de territoires d’outre-mer s’envole de manière complètement folle. Certes l’inflation est à peu près au même niveau que celle constatée en métropole mais le niveau des prix des produits de base est plus élevé d’environ 40 à 45 %. Et à juste titre, la Martinique demande le gel du prix des produits de première nécessité. Et cela d’autant plus que la pauvreté est deux fois plus importante sur l’île qu’en métropole.

Le président du conseil exécutif de la Collectivité territoriale de Martinique (CTM) a demandé jeudi 7 décembre à l’État le blocage des prix des produits de première nécessité dans l’île .

L’alimentation dont les prix étaient plus élevés en Martinique de 40% par rapport à l’Hexagone en 2022, selon l’Insee, représente l’un des principaux postes de dépense des ménages martiniquais. Ces prix étaient en hausse de 7,6% sur un an en octobre 2023 dans l’île. Les prix de la santé, qui représentent 12% des dépenses d’un ménage martiniquais, sont également plus élevés de 13% qu’en métropole, d’après les statistiques de l’Insee.

Politique: le temps des présidents fous dans le monde ?

Politique: le temps des présidents fous dans le monde ?


Si les conflits n’affectent pas la totalité de la planète, il n’en reste pas moins que d’une façon générale les populations sont assez inquiètes par cette ambiance conflictuelle qui règne dans de nombreuses zones. Il y a bien sûr des conflits d’intérêts, de sensibilités politiques, sociétales ou religieuses qui sont à l’origine d’affrontements. Le phénomène n’est pas nouveau il traverse l’histoire mais dans le moment présent, ce qui caractérise la période, c’est la présence de nombreux dirigeants qui frôlent la démence.

Au sommet on trouve sans doute Poutine qui affame sa population pour des objectifs de guerre chimériques et au passage pour détourner personnellement une grande partie de la richesse du pays. Une sorte de dictateur fou et criminel. Derrière ,il y a le président chinois Xi moins volubile mais qui fait régner la dure dictature en s’appuyant sur des millions de membres du parti communiste dont 1 million se répartissent aussi les richesses. Le pays réussissant- si l’on peut dire- à faire cohabiter dictature communiste et exubérance capitaliste. Reste que la dictature et la dictature et freinent le développement et l’initiative au point que la Chine aujourd’hui connaît une très grave crise économique, démographique mais aussi politique. Le président chinois conduit aussi son pays dans le mur.

D’autres dirigeants de moindre importance côtoient aussi la folie, c’est le cas du président turc Erdogan ancien laïc reconverti à l’islamisme et dont l’économie et la société sont dans un état lamentable. Ne parlons pas du président nord-coréen complètement dément. Aux États-Unis même il y a Trump , clown des médias qui réussit à endoctriner les plus naïfs avec des propos surréalistes mais dangereux. On pourrait citer bien d’autres exemples notamment les mollahs complètement dérangés de l’Iran capables de tuer pour un foulard sur les cheveux mal placé et agitateurs patentés dans les pays musulmans. Nombre de ces pays n’accordent d’ailleurs aucune importance à la vie humaine y compris de leurs propres ressortissants

Dans d’autres pays, c’est moins la folie que la démagogie qui caractérise la psychologie des dirigeants perdus dans la complexité des mutations en cours et qui se réfugient dans le simplisme, le nationalisme voire le racisme. Trop de dirigeants en Amérique, en Europe ou encore en Afrique fuient leur responsabilité face à l’ampleur et à la complexité de la crise.

Manque de vision et manque de courage les caractérisent. Ils se battent comme des chiens pour parvenir au pouvoir mais une fois parvenus au sommet sont comme paralysés et se réfugient dans la démagogie et le populisme. Dernier exemple en date avec le nouveau président d’Argentine, copie de Trump et qui se définit comme un à anarcho-capitaliste !

La France est évidemment aussi affectée par un certain dérèglement mental des dirigeants. Le dernier en date étant évidemment Macron qui confond monarchie et démocratie, sans ligne idéologique et politique claire et qui fonctionne au gré des à-coups de l’actualité multipliant ainsi les contradictions. Il y a aussi un grain de folie chez cet homme complètement hors sol et au demeurant en plus sans courage. Un responsable qui bafoue chaque jour la démocratie, complètement nombriliste même pas capable de constater qu’il finira comme Louis XV, complètement détesté.

Dans l’histoire, le monde politique a pu bénéficier de la vision pertinente et du courage de certains grands hommes politiques. On peut espérer qu’il en viendra d’autres mais dans la période force est de constater qu’on doit trop souvent se contenter de déments, de frileux et au mieux d’incompétents. La faute sans doute aussi au peuple qui ont parfois les dirigeants qu’ils méritent.

Politique: l’époque des présidents fous dans le monde ?

Politique: l’époque des présidents fous dans le monde ?


Si les conflits n’affectent pas la totalité de la planète, il n’en reste pas moins que d’une façon générale les populations sont assez inquiètes par cette ambiance conflictuelle qui règne dans de nombreuses zones. Il y a bien sûr des conflits d’intérêts, de sensibilités politiques, sociétales ou religieuses qui sont à l’origine d’affrontements. Le phénomène n’est pas nouveau il traverse l’histoire mais dans le moment présent, ce qui caractérise la période, c’est la présence de nombreux dirigeants qui frôlent la démence.

Au sommet on trouve sans doute Poutine qui affame sa population pour des objectifs de guerre chimériques et au passage pour détourner personnellement une grande partie de la richesse du pays. Une sorte de dictateur fou et criminel. Derrière ,il y a le président chinois Xi moins volubile mais qui fait régner la dure dictature en s’appuyant sur des millions de membres du parti communiste dont 1 million se répartissent aussi les richesses. Le pays réussissant- si l’on peut dire- à faire cohabiter dictature communiste et exubérance capitaliste. Reste que la dictature et la dictature et freinent le développement et l’initiative au point que la Chine aujourd’hui connaît une très grave crise économique, démographique mais aussi politique. Le président chinois conduit aussi son pays dans le mur.

D’autres dirigeants de moindre importance côtoient aussi la folie, c’est le cas du président turc Erdogan ancien laïc reconverti à l’islamisme et dont l’économie et la société sont dans un état lamentable. Ne parlons pas du président nord-coréen complètement dément. Aux États-Unis même il y a Trump , clown des médias qui réussit à endoctriner les plus naïfs avec des propos surréalistes mais dangereux. On pourrait citer bien d’autres exemples notamment les mollahs complètement dérangés de l’Iran capables de tuer pour un foulard sur les cheveux mal placé et agitateurs patentés dans les pays musulmans. Nombre de ces pays n’accordent d’ailleurs aucune importance à la vie humaine y compris de leurs propres ressortissants

Dans d’autres pays, c’est moins la folie que la démagogie qui caractérise la psychologie des dirigeants perdus dans la complexité des mutations en cours et qui se réfugient dans le simplisme, le nationalisme voire le racisme. Trop de dirigeants en Amérique, en Europe ou encore en Afrique fuient leur responsabilité face à l’ampleur et à la complexité de la crise.

Manque de vision et manque de courage les caractérisent. Ils se battent comme des chiens pour parvenir au pouvoir mais une fois parvenus au sommet sont comme paralysés et se réfugient dans la démagogie et le populisme.

La France est évidemment aussi affectée par un certain dérèglement mental des dirigeants. Le dernier en date étant évidemment Macron qui confond monarchie et démocratie, sans ligne idéologique et politique claire et qui fonctionne au gré des à-coups de l’actualité multipliant ainsi les contradictions. Il y a aussi un grain de folie chez cet homme complètement hors sol et au demeurant en plus sans courage. Un responsable qui bafoue chaque jour la démocratie, complètement nombriliste même pas capable de constater qu’il finira comme Louis XV, complètement détesté.

Dans l’histoire, le monde politique a pu bénéficier de la vision pertinente et du courage de certains grands hommes politiques. On peut espérer qu’il en viendra d’autres mais dans la période force est de constater qu’on doit trop souvent se contenter de déments, de frileux et au mieux d’incompétents. La faute sans doute aussi au peuple qui ont parfois les dirigeants qu’ils méritent.

L’époque des présidents fous dans le monde ?

L’époque des présidents fous dans le monde ?


Si les conflits n’affectent pas la totalité de la planète, il n’en reste pas moins que d’une façon générale les populations sont assez inquiètes par cette ambiance conflictuelle qui règne dans de nombreuses zones. Il y a bien sûr des conflits d’intérêts, de sensibilités politiques, sociétales ou religieuses qui sont à l’origine d’affrontements. Le phénomène n’est pas nouveau il traverse l’histoire mais dans le moment présent, ce qui caractérise la période, c’est la présence de nombreux dirigeants qui frôlent la démence.

Au sommet on trouve sans doute Poutine qui affame sa population pour des objectifs de guerre chimériques et au passage pour détourner personnellement une grande partie de la richesse du pays. Une sorte de dictateur fou et criminel. Derrière ,il y a le président chinois Xi moins volubile mais qui fait régner la dure dictature en s’appuyant sur des millions de membres du parti communiste dont 1 million se répartissent aussi les richesses. Le pays réussissant- si l’on peut dire- à faire cohabiter dictature communiste et exubérance capitaliste. Reste que la dictature et la dictature et freinent le développement et l’initiative au point que la Chine aujourd’hui connaît une très grave crise économique, démographique mais aussi politique. Le président chinois conduit aussi son pays dans le mur.

D’autres dirigeants de moindre importance côtoient aussi la folie, c’est le cas du président turc Erdogan ancien laïc reconverti à l’islamisme et dont l’économie et la société sont dans un état lamentable. Ne parlons pas du président nord-coréen complètement dément. Aux États-Unis même il y a Trump , clown des médias qui réussit à endoctriner les plus naïfs avec des propos surréalistes mais dangereux. On pourrait citer bien d’autres exemples notamment les mollahs complètement dérangés de l’Iran capables de tuer pour un foulard sur les cheveux mal placé et agitateurs patentés dans les pays musulmans. Nombre de ces pays n’accordent d’ailleurs aucune importance à la vie humaine y compris de leurs propres ressortissants

Dans d’autres pays, c’est moins la folie que la démagogie qui caractérise la psychologie des dirigeants perdus dans la complexité des mutations en cours et qui se réfugient dans le simplisme, le nationalisme voire le racisme. Trop de dirigeants en Amérique, en Europe ou encore en Afrique fuient leur responsabilité face à l’ampleur et à la complexité de la crise.

Manque de vision et manque de courage les caractérisent. Ils se battent comme des chiens pour parvenir au pouvoir mais une fois parvenus au sommet sont comme paralysés et se réfugient dans la démagogie et le populisme.

La France est évidemment aussi affectée par un certain dérèglement mental des dirigeants. Le dernier en date étant évidemment Macron qui confond monarchie et démocratie, sans ligne idéologique et politique claire et qui fonctionne au gré des à-coups de l’actualité multipliant ainsi les contradictions. Il y a aussi un grain de folie chez cet homme complètement hors sol et au demeurant en plus sans courage. Un responsable qui bafoue chaque jour la démocratie, complètement nombriliste même pas capable de constater qu’il finira comme Louis XV, complètement détesté.

Dans l’histoire, le monde politique a pu bénéficier de la vision pertinente et du courage de certains grands hommes politiques. On peut espérer qu’il en viendra d’autres mais dans la période force est de constater qu’on doit trop souvent se contenter de déments, de frileux et au mieux d’incompétents. La faute sans doute aussi au peuple qui ont parfois les dirigeants qu’ils méritent.

Politique-Le temps des présidents fous dans le monde

Politique-Le temps des présidents fous dans le monde


Si les conflits n’affectent pas la totalité de la planète, il n’en reste pas moins que d’une façon générale les populations sont assez inquiètes par cette ambiance conflictuelle qui règne dans de nombreuses zones. Il y a bien sûr des conflits d’intérêts, de sensibilités politiques, sociétales ou religieuses qui sont à l’origine d’affrontements. Le phénomène n’est pas nouveau il traverse l’histoire mais dans le moment présent, ce qui caractérise la période, c’est la présence de nombreux dirigeants qui frôlent la démence.

Au sommet on trouve sans doute Poutine qui affame sa population pour des objectifs de guerre chimériques et au passage pour détourner personnellement une grande partie de la richesse du pays. Une sorte de dictateur fou et criminel. Derrière ,il y a le président chinois Xi moins volubile mais qui fait régner la dure dictature en s’appuyant sur des millions de membres du parti communiste dont 1 million se répartissent aussi les richesses. Le pays réussissant- si l’on peut dire- à faire cohabiter dictature communiste et exubérance capitaliste. Reste que la dictature et la dictature et freinent le développement et l’initiative au point que la Chine aujourd’hui connaît une très grave crise économique, démographique mais aussi politique. Le président chinois conduit aussi son pays dans le mur.

D’autres dirigeants de moindre importance côtoient aussi la folie, c’est le cas du président turc Erdogan ancien laïc reconverti à l’islamisme et dont l’économie et la société sont dans un état lamentable. Ne parlons pas du président nord-coréen complètement dément. Aux États-Unis même il y a Trump , clown des médias qui réussit à endoctriner les plus naïfs avec des propos surréalistes mais dangereux. On pourrait citer bien d’autres exemples notamment les mollahs complètement dérangés de l’Iran capable de tuer pour un foulard sur les cheveux mal placés et agitateurs patentés dans les pays musulmans. Nombre de ces pays n’accordent d’ailleurs aucune importance à la vie humaine y compris de leurs propres ressortissants

Dans d’autres pays, c’est moins la folie que la démagogie qui caractérise la psychologie des dirigeants perdus dans la complexité des mutations en cours et qui se réfugient dans le simplisme, le nationalisme voire le racisme. Trop de dirigeants en Amérique, en Europe ou encore en Afrique fuient leur responsabilité face à l’ampleur et à la complexité de la crise. Manque de vision et manque de courage les caractérisent. Ils se battent comme des chiens pour parvenir au pouvoir mais une fois parvenus au sommet sont comme paralysés et se réfugient dans la démagogie et le populisme.

La France est évidemment aussi affectée par un certain dérèglement mental des dirigeants. Le dernier en date étant évidemment Macron qui confond monarchie et démocratie, sans ligne idéologique et politique claire et qui fonctionne au gré des à-coups de l’actualité multipliant ainsi les contradictions. Il y a aussi un grain de folie chez cet homme complètement hors sol et au demeurant en plus sans courage. Un responsable qui bafoue chaque jour la démocratie, complètement nombriliste même pas capable de constater qu’il finira comme Louis XV, complètement détesté.

Dans l’histoire, le monde politique a pu bénéficier de la vision pertinente et du courage de certains grands hommes politiques. On peut espérer qu’il en viendra d’autres mais dans la période force est de constater qu’on doit trop souvent se contenter de déments, de frileux et au mieux d’incompétents. La faute sans doute aussi au peuple qui ont parfois les dirigeants qu’ils méritent.

Le temps des présidents fous dans le monde

Le temps des présidents fous dans le monde


Si les conflits n’affectent pas la totalité de la planète, il n’en reste pas moins que d’une façon générale les populations sont assez inquiètes par cette ambiance conflictuelle qui règne dans de nombreuses zones. Il y a bien sûr des conflits d’intérêts, de sensibilités politiques, sociétales ou religieuses qui sont à l’origine d’affrontements. Le phénomène n’est pas nouveau il traverse l’histoire mais dans le moment présent, ce qui caractérise la période, c’est la présence de nombreux dirigeants qui frôlent la démence.

Au sommet on trouve sans doute Poutine qui affame sa population pour des objectifs de guerre chimériques et au passage pour détourner personnellement une grande partie de la richesse du pays. Une sorte de dictateur fou et criminel. Derrière ,il y a le président chinois Xi moins volubile mais qui fait régner la dure dictature en s’appuyant sur des millions de membres du parti communiste dont 1 million se répartissent aussi les richesses. Le pays réussissant- si l’on peut dire- à faire cohabiter dictature communiste et exubérance capitaliste. Reste que la dictature et la dictature et freinent le développement et l’initiative au point que la Chine aujourd’hui connaît une très grave crise économique, démographique mais aussi politique. Le président chinois conduit aussi son pays dans le mur.

D’autres dirigeants de moindre importance côtoient aussi la folie, c’est le cas du président turc Erdogan ancien laïc reconverti à l’islamisme et dont l’économie et la société sont dans un état lamentable. Ne parlons pas du président nord-coréen complètement dément. Aux États-Unis même il y a Trump , clown des médias qui réussit à endoctriner les plus naïfs avec des propos surréalistes mais dangereux. On pourrait citer bien d’autres exemples Notamment les mollahs complètement dérangés de l’Iran capable de tuer pour un foulard sur les cheveux mal placés et agitateurs patentés dans les pays musulmans. Nombre de ces pays n’accordent d’ailleurs aucune importance à la vie humaine y compris de leurs propres ressortissants

Dans d’autres pays, c’est moins la folie que la démagogie qui caractérise la psychologie des dirigeants perdus dans la complexité des mutations en cours et qui se réfugient dans le simplisme, le nationalisme voire le racisme. Trop de dirigeants en Amérique, en Europe ou encore en Afrique fuient leur responsabilité face à l’ampleur et à la complexité de la crise. Manque de vision et manque de courage les caractérisent. Ils se battent comme des chiens pour parvenir au pouvoir mais une fois parvenus au sommet sont comme paralysés et se réfugient dans la démagogie et le populisme.

La France est évidemment aussi affectée par un certain dérèglement mental des dirigeants. Le dernier en date étant évidemment Macron qui confond monarchie et démocratie, sans ligne idéologique et politique claire et qui fonctionne au gré des à-coups de l’actualité multipliant ainsi les contradictions. Il y a aussi un grain de folie chez cet homme complètement hors sol et au demeurant en plus sans courage. Un responsable qui bafoue chaque jour la démocratie, complètement nombriliste même pas capable de constater qu’il finira comme Louis XV, complètement détesté.

Dans l’histoire, le monde politique a pu bénéficier de la vision pertinente et du courage de certains grands hommes politiques. On peut espérer qu’il en viendra d’autres mais dans la période force est de constater qu’on doit trop souvent se contenter de déments, de frileux et au mieux d’incompétents. La faute sans doute aussi au peuple qui ont parfois les dirigeants qu’ils méritent.

Démocratie : les préfets deviennent fous !

Démocratie : les préfets deviennent fous !

On se demande si les préfets ne deviennent pas complètement fous en imposant des mesures antidémocratiques pour tenter d’annihiler l’expression du mécontentement des manifestants contre Macron. Ainsi par exemple certains s’appuient sur la législation antiterroriste pour éloigner d’1 km les manifestants d’autres veulent interdire les mégaphones, d’autres encore les casseroles ! La nouvelle Législation des préfets à l’occasion des déplacements de Macron interdit « toute manifestation de type rassemblement festif à caractère musical ».

La phrase, volontairement large, ne mentionne pas explicitement les casseroles, devenues un symbole de l’,opposition au président et à la réforme des retraites depuis l’allocution présidentielle. Depuis, chaque déplacement d’Emmanuel Macron, comme ceux de nombreux ministres du gouvernement, est accueilli par des « concerts de casseroles ».

La formulation présente dans l’arrêté préfectoral peut toutefois porter à confusion et être sujette à interprétations. En ce qui concerne l’interdiction des « dispositifs sonores portatifs » dans l’Hérault, le député insoumis Sébastien Rome avait dit son intention d’attaquer cet arrêté, qu’il jugeait « ridicule et illégal », en justice.

De son côté, Emmanuel Macron a évoqué à plusieurs reprises ces concerts de casseroles. Il a notamment déclaré ne pas y voir « un formidable signe de vie démocratique ». Et le boycott du Parlement et des syndicats ?

Démocratie : les préfets deviennent fous !

Démocratie : les préfets deviennent fous !

On se demande si les préfets ne deviennent pas complètement fous en imposant des mesures antidémocratiques pour tenter d’annihiler l’expression du mécontentement des manifestants contre Macron. Ainsi par exemple certains s’appuient sur la législation antiterroriste pour éloigner d’1 km les manifestants d’autres veulent interdire les mégaphones, d’autres encore les casseroles ! La nouvelle Législation des préfets à l’occasion des déplacements de Macron interdit « toute manifestation de type rassemblement festif à caractère musical ».

La phrase, volontairement large, ne mentionne pas explicitement les casseroles, devenues un symbole de l’,opposition au président et à la réforme des retraites depuis l’allocution présidentielle. Depuis, chaque déplacement d’Emmanuel Macron, comme ceux de nombreux ministres du gouvernement, est accueilli par des « concerts de casseroles ».

La formulation présente dans l’arrêté préfectoral peut toutefois porter à confusion et être sujette à interprétations. En ce qui concerne l’interdiction des « dispositifs sonores portatifs » dans l’Hérault, le député insoumis Sébastien Rome avait dit son intention d’attaquer cet arrêté, qu’il jugeait « ridicule et illégal », en justice.

De son côté, Emmanuel Macron a évoqué à plusieurs reprises ces concerts de casseroles. Il a notamment déclaré ce mardi ne pas y voir « un formidable signe de vie démocratique ». Et le boycott du Parlement et des syndicats ?

Politique et Démocratie : des préfets serviles qui deviennent fous !

Politique et Démocratie : des préfets serviles qui deviennent fous !

On se demande si les préfets ne deviennent pas complètement fous en imposant des mesures antidémocratiques pour tenter d’annihiler l’expression du mécontentement des manifestants contre Macron. Ainsi par exemple certains s’appuient sur la législation antiterroriste pour éloigner d’1 km les manifestants d’autres veulent interdire les mégaphones, d’autres encore les casseroles ! La nouvelle Législation des préfets à l’occasion des déplacements de Macron interdit « toute manifestation de type rassemblement festif à caractère musical ».Enfin certains chiffres de participation à la manifestation du 1er mai avancé par les préfets sont complètement délirants ( même si parallèlement ceux de la CGT sont souvent excessifs.

La phrase, volontairement large, ne mentionne pas explicitement les casseroles, devenues un symbole de l’,opposition au président et à la réforme des retraites depuis l’allocution présidentielle. Depuis, chaque déplacement d’Emmanuel Macron, comme ceux de nombreux ministres du gouvernement, est accueilli par des « concerts de casseroles ».

La formulation présente dans l’arrêté préfectoral peut toutefois porter à confusion et être sujette à interprétations. En ce qui concerne l’interdiction des « dispositifs sonores portatifs » dans l’Hérault, le député insoumis Sébastien Rome avait dit son intention d’attaquer cet arrêté, qu’il jugeait « ridicule et illégal », en justice.

De son côté, Emmanuel Macron a évoqué à plusieurs reprises ces concerts de casseroles. Il a notamment déclaré ce mardi ne pas y voir « un formidable signe de vie démocratique ». Et le boycott du Parlement et des syndicats ?

Démocratie : les préfets deviennent fous

Démocratie : les préfets deviennent fous !

On se demande si les préfets ne deviennent pas complètement fous en imposant des mesures antidémocratiques pour tenter d’annihiler l’expression du mécontentement des manifestants contre Macron. Ainsi par exemple certains s’appuient sur la législation antiterroriste pour éloigner d’1 km les manifestants d’autres veulent interdire les mégaphones, d’autres encore les casseroles ! La ouvelle Législation des préfets à l’occasion des déplacements de Macron interdit « toute manifestation de type rassemblement festif à caractère musical ».

La phrase, volontairement large, ne mentionne pas explicitement les casseroles, devenues un symbole de l’,opposition au président et à la réforme des retraites depuis l’allocution présidentielle. Depuis, chaque déplacement d’Emmanuel Macron, comme ceux de nombreux ministres du gouvernement, est accueilli par des « concerts de casseroles ».

La formulation présente dans l’arrêté préfectoral peut toutefois porter à confusion et être sujette à interprétations. En ce qui concerne l’interdiction des « dispositifs sonores portatifs » dans l’Hérault, le député insoumis Sébastien Rome avait dit son intention d’attaquer cet arrêté, qu’il jugeait « ridicule et illégal », en justice.

De son côté, Emmanuel Macron a évoqué à plusieurs reprises ces concerts de casseroles. Il a notamment déclaré ce mardi ne pas y voir « un formidable signe de vie démocratique ». Et le boycott du Parlement et des syndicats ?

DÉPLACEMENTS DE MACRON : les préfets deviennent fous !

DÉPLACEMENTS DE MACRON : les préfets deviennent fous !

On se demande si les préfets ne deviennent pas complètement fous en imposant des mesures antidémocratiques pour tenter d’annihiler l’expression du mécontentement des manifestants contre Macron. Ainsi par exemple certains s’appuient sur la législation antiterroriste pour éloigner d’1 km les manifestants d’autres veulent interdire les mégaphones, d’autres encore les casseroles ! La ouvelle Législation des préfets à l’occasion des déplacements de Macron interdit « toute manifestation de type rassemblement festif à caractère musical ».

La phrase, volontairement large, ne mentionne pas explicitement les casseroles, devenues un symbole de l’,opposition au président et à la réforme des retraites depuis l’allocution présidentielle. Depuis, chaque déplacement d’Emmanuel Macron, comme ceux de nombreux ministres du gouvernement, est accueilli par des « concerts de casseroles ».

La formulation présente dans l’arrêté préfectoral peut toutefois porter à confusion et être sujette à interprétations. En ce qui concerne l’interdiction des « dispositifs sonores portatifs » dans l’Hérault, le député insoumis Sébastien Rome avait dit son intention d’attaquer cet arrêté, qu’il jugeait « ridicule et illégal », en justice.

De son côté, Emmanuel Macron a évoqué à plusieurs reprises ces concerts de casseroles. Il a notamment déclaré ce mardi ne pas y voir « un formidable signe de vie démocratique ». Et le boycott du Parlement et des syndicats ?

Fatwa Salman Rushdie: Un appel à tous les fous du monde

Fatwa Salman Rushdie: Un appel contre la pensée  à tous les fous du monde

 

Dans une tribune au « Monde », Taslima Nasreen, la romancière bangladaise, elle-même sous le coup d’au moins dix fatwas, dénonce tous les obscurantismes religieux. Selon elle, pour mettre fin au terrorisme, l’islam doit se réformer et croire en la liberté de pensée.

 

Lorsque j’étais encore au Bangladesh, pays majoritairement musulman, une poignée d’écrivains, dont je faisais partie, se sont élevés contre la fatwa émise à l’encontre de Salman Rushdie. C’était en 1989. A l’époque, il n’était pas facile de soutenir l’auteur des Versets sataniques, d’autant que, dans la plupart des pays musulmans, les gens descendaient par milliers dans les rues défendre la fatwa. Seuls quelques-uns d’entre nous bravaient le danger. De toute façon, pour se battre pour la liberté d’expression, il faut presque faire le sacrifice de sa sécurité.

Puis, en 1993, ma propre tête a été mise à prix car j’avais critiqué l’islam et défendu l’égalité des femmes et des hommes. Le montant de la récompense augmentait de jour en jour.

Les fatwas sont véritablement contagieuses ! Quand un groupe radical en prononce une, un autre groupe radical lui emboîte aussitôt le pas. Au Bangladesh et en Inde, au total, au moins dix fatwas ont été émises à ce jour contre moi. Bien que celles-ci soient interdites par la loi de ces deux pays, les fondamentalistes qui les lancent comptent un si grand nombre de partisans que les volontaires pour les exécuter ne manquent jamais. Ils se contrefichent des lois des pays : ils ne suivent que la loi d’Allah. Quiconque critique l’islam doit d’abord avoir le bras droit et la jambe gauche coupés par-derrière, puis le bras gauche et la jambe droite. Même si l’on opère autrement, les critiques de l’islam se font, de nos jours, tuer de diverses manières. Ils se font sauvagement assassiner depuis le XIIe siècle. Jusqu’à aujourd’hui.

Les soldats de Mahomet exécutent les ordres d’Allah, Allah qui est connu comme étant le tout-puissant, l’omniscient, le plus bienfaisant, le plus clément et le plus miséricordieux ! Et ils continueront de le faire tant que l’islam ne sera pas réformé, que la liberté d’expression ne sera pas permise, que la violence ne sera pas dénoncée, que le terreau de l’extrémisme ne sera pas détruit.

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