Archive pour le Tag 'fou'

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Trump , le fou dangereux, refuse toujours la défaite

Trump , le fou dangereux, refuse toujours la défaite

 

Il est clair que Trump  mériterait de passer en jugement soit devant la justice américaine, soit -même devant le tribunal pénal international tellement son attitude est susceptible de créer en tout cas de favoriser une situation conflictuelle voire criminelle aux États-Unis comme ailleurs dans le monde.

Ce président complètement mégalo et inculte ne veut pour l’instant pas reconnaître sa défaite alors qu’il a été largement battu puisqu’il n’a réussi à obtenir que 232 électeurs pour 306 à son adversaire Joe Biden. Heureusement que les États-Unis demeurent quand même une grande démocratie et que l’État notamment la police et armée demeurent  fidèles aux principes constitutionnels sinon les plus radicaux se livreraient aux pires exactions y compris de nature criminelle. De ce point de vue,  la posture de l’actuel président des États-Unis est une sorte d’invitation à la mobilisation des sectes et des organisations les plus radicales et les plus racistes.

Cette attitude ne renforce pas l’image de la démocratie américaine et pourrait encourager nombre de présidents à moitié fous qui règnent sur certains pays de contester la démocratie et de créer des conditions d’affrontement voire de guerre.

Il ne manque pas de présidents déséquilibrés actuellement dans le monde. Parmi eux, il faut citer évidemment peut-être sans doute la Chine avec son président désormais élu à vie qui a tué toute vie démocratique, aussi Erdogan l’agitateur permanent de l’islamisme, le président du Venezuela, le président Poutine qui lui aussi s’apprête à conserver pouvoir contre la constitution, le président biélorusse qui lui a bien truqué le résultat de la consultation électorale. On pourrait citer encore d’autres exemples comme le président de la Corée du Nord une sorte de psychopathe. Bref autant de personnages psychologiquement très dérangés qui pourraient s’inspirer de l’attitude de Trump  pour légitimer et où créer les pires désordres y compris criminels à l’échelle de leur pays et même au plan international.

Donald Trump affirme en effet de nouveau dans son tweet que le parti républicain n’a pas pu déployer de scrutateurs dans certains bureaux de vote et d’observateurs au moment du dépouillement, notamment en Pennsylvanie, une accusation restée sans preuve jusqu’à présent.

Il accuse aussi la société qui a fourni le logiciel servant à comptabiliser les voix d’appartenir à la “gauche radicale”, ou encore les médias d’être complices de la fraude.

Dans un autre tweet envoyé un peu plus tard, Donald Trump a d’ailleurs précisé que Joe Biden n’avait gagné selon lui “qu’aux yeux des MÉDIAS FAKE NEWS”. “Je ne concède RIEN. Le combat n’est pas terminé. C’était une ELECTION TRUQUÉE!”

Un fou menaçant abattu à Avignon

Un fou menaçant abattu à Avignon

 

Il semble se confirmer que nombre de candidats aux attentats présentent des troubles psychiatriques graves comme cela a encore été le cas à Avignon. Un individu  été abattu ce jeudi matin à 11h15 à Avignon par la police nationale, selon des sources policières .  Cet homme portait une arme de poing, qu’il aurait brandie pour menacer d’abord des passants, puis une patrouille de la police nationale dans le quartier de Montfavet. La police aurait d’abord riposté à l’aide d’un flashball, mais l’agresseur n’est pas tombé et a continué à avancer de manière menaçante sur les fonctionnaires. Ces derniers auraient donc fait usage de leur arme de service pour le neutraliser.

Nouvelle ordonnance du docteur fou Erdogan à Macron !

Nouvelle ordonnance du docteur fou Erdogan à Macron !

 

 

Une nouvelle fois Erdogan s’en prend à la France et à Macron. Cette fois, il a conseillé à Macron de se faire soigner. Une sorte d’inversion des priorités thérapeutiques qui  témoigne que l’intéressé transfère sur autrui ses propres frustrations et son déséquilibre mental. Il ne se passe pas une semaine sans que Erdogan fassent parler de lui en jetant de l’huile  sur le feu sur tous les conflits potentiels.

 Récemment, c’était encore sur Chypre, puis sur la Grèce et la Méditerranée. Plus récemment encore sur la Libye et en plus en condamnant l’accord de paix qui vient d’être signé. Erdogan intervient notamment aussi en Syrie  et au Haut-Karabakh .

Cette agitation vise surtout à marquer l’échec total Erdogan dans son propre pays. D’abord un échec économique .

 

Le pays est entré en récession depuis 2018, avec notamment la dévaluation de la livre turque, le ralentissement de la croissance et l’augmentation du chômage. Bref une catastrophe économique. la Turquie a connu un recul de l’activité conjointement un écroulement de sa monnaie et à des déficits abyssaux le tout sur fond d’inflation qui ont grandement atteint le pouvoir d’achat et favorisé le chômage.

 

Cette gestion erratique et irresponsable a été sanctionnée politiquement par des revers électoraux qu’a connus Erdogan y compris dans la capitale.

 

Pour masquer ses échecs économiques intérieurs, Erdogan développe une politique internationale agressive afin de tenter de réveiller le sentiment nationaliste contre tout ce qui n’est pas turc ou musulman.

 

Le drame du pays c’est que désormais tous les pouvoirs sont concentrés dans les mains d’Erdogan. L’économie turque est sans doute durablement plongée dans la tourmente.

 

Sur le plan démocratique la répression est sans limite puisque 50 000 personnes ont été arrêtées et 100 000 fonctionnaires privés de leurs fonctions. Ce qui explique sans doute une partie des revers électoraux d’Erdogan.

 

Le dictateur pratique donc la fuite en avant et ses propos provocateurs et excessifs témoignent comme son visage fatigué et tourmenté  des inepties  de sa politique. À coup sûr, il aurait , lui, besoin, d’une sérieuse consultation médicale.

Canal Seine Nord : un projet fou

 Canal Seine Nord : un projet fou

comme souvent en France lorsqu’on est en mal de projets économiques, on propose la réalisation d’une énorme infrastructure. C’était le cas avec le projet de canal Rhin-Rhône et depuis des années on parle du canal Seine Nord. Encore un projet pharaonique qui présente de nombreuses faiblesses. D’abord le potentiel de trafic transférable a été considérablement gonflé. Surtout avec l’évolution structurelle de la nature des échanges. Ensuite parallèlement le coût du projet s’est envolé et a été multiplié par plus de trois. Une estimation encore provisoire car on sait que la dérive est toujours plus importante au moment de la réalisation. Notons aussi que le trafic en cause peut parfaitement être acheminé par le rail sans investissements supplémentaires. Du coup, la cour des comptes européennes porte une appréciation très négative sur ce projet inutile défendu seulement par des lobbys et des politiques en mal d’affichage. Initialement le coup été fixé à 1,6 milliards et il approche maintenant 5 milliards.

Depuis le début des années 1970, alors qu’il représentait 110 millions de tonnes et 14 milliards de tonnes-kilomètres, le transport fluvial a connu un déclin important.

Ce déclin s’explique avant tout par les évolutions structurelles de l’économie : déclin des industries lourdes traditionnelles et des transports de pondéreux, importance croissante de la rapidité des acheminements. Il s’explique également par une perte de compétitivité de la voie d’eau due à plusieurs facteurs : vétusté du réseau et manque d’entretien entraînant des difficultés d’exploitation, rigidité des pratiques professionnelles, obsolescence du cadre législatif et réglementaire et, d’une manière générale, mauvaise insertion technique et commerciale dans les « chaînes logistiques » de l’économie moderne. L’activité s’est encore redressée dans les années 90 mais le trafic a rechuté à partir de 2010 et représente aujourd’hui moins de la moitié de ce qu’il était dans les années 70. La part du trafic fluvial est inférieure à 2 % du potentiel global.

Venezuela: le fou Maduro veut vacciner les candidats aux législatives avec le vaccin russe !

Venezuela: le fou Maduro veut vacciner les candidats aux législatives avec le vaccin russe !

 

On sait pertinemment qu’aucun vaccin sérieux ne sera disponible avant le milieu de l’année 2021 au mieux afin non seulement de tester son efficacité mais tout autant de vérifier ses effets indésirables et ses contre-indications. Notons qu’un très grand laboratoire britannique sur lesquels on  fondait de grand espoir vient d’arrêter de le tester justement en raison de conséquences très graves. Le groupe pharmaceutique anglo-suédois AstraZeneca, partenaire industriel de la prestigieuse université britannique Oxford, a en effet détecté un éventuel effet indésirable grave chez un participant aux essais cliniques de son vaccin expérimental.

Or pour des raisons politiques Poutine (qui veut son référendum pour rester au pouvoir 20 ans de plus) ou Trump (qui veut être réélu ) annoncent un vaccin. Une annonce évidemment complètement irresponsable et folle. La période est malheureusement caractérisée par la folie d’un certain nombre de dirigeants dans le monde comme en Chine, en Russie, en Iran, en Turquie, aux États-Unis ou encore au Venezuela. Dans ce dernier pays, le président Nicolas Maduro veut faire vacciner avec le vaccin russe les candidats aux législatives de décembre afin qu’ils fassent campagne «en toute sécurit黫En septembre, les premiers vaccins vont arriver de Russie pour des essais cliniques», a déclaré le président socialiste du pays sud-américain lors d’une allocution mardi soir.

En octobre, un deuxième lot en provenance de Russie doit arriver au Venezuela, a-t-il poursuivi au sujet de Spoutnik V, le vaccin russe contre le coronavirus perçu avec scepticisme dans le monde, notamment à cause de l’absence de phase finale des essais au moment de son annonce en août.

 

Trump, de plus en plus fou, demande à la Chine d’enquêter sur Biden !

Trump, de plus en plus fou, demande à la Chine d’enquêter sur Biden !

Il semble bien que Trump devienne, de plus en plus imprévisible mais aussi  de plus en plus fou en demandant maintenant à la Chine d’enquêter sur son adversaire démocrate Joe Biden. Cette sollicitation étrangère  officielle cette fois s’ajoute à celle qui avait été faite auprès de l’Australie pour enquêter sur les services secrets américains. Bref, Trump  procède en quelque sorte à une substitution de la compétence juridique. Il demande à des pays étrangers d’enquêter sur ses rivaux peut-être par crainte des conséquences d’une sollicitation de la justice américaine. Une justice américaine qui n’a déjà pas été tendre avec lui dans l’affaire du soutien de la Russie à sa candidature présidentielle. S’il y a effectivement des soupçons de conflits d’intérêts concernant l’adversaire de Biden, c’est  évidemment à la justice américaine d’enquêter et non à des services étrangers.

Alors qu’il quittait la Maison blanche pour un déplacement en Floride, le président américain a déclaré aux journalistes présents que la Chine devrait s’intéresser à Joe Biden, qui pourrait être son adversaire à la prochaine élection présidentielle aux Etats-Unis en 2020, et à son fils et homme d’affaires Hunter Biden.

“Et au fait, de la même manière, la Chine devrait ouvrir une enquête sur les Biden. Parce que ce qui s’est passé en Chine est juste aussi mal que ce qui s’est passé en Ukraine”, a dit Donald Trump. Sans avoir fourni de preuves jusqu’à présent, Donald Trump et son avocat Rudy Giuliani accusent l’ancien vice-président Joe Biden d’avoir favorisé de manière indue les affaires de son fils en Ukraine et en Chine.

Lors d’un entretien téléphonique en juillet, le président américain a demandé à son homologue ukrainien Volodimir Zelenski d’enquêter sur Joe et Hunter Biden pour des soupçons de corruption, ce dernier ayant été administrateur d’une compagnie gazière ukrainienne.

Cette demande, signalée initialement par un lanceur d’alerte, a conduit la Chambre des représentants à majorité démocrate à ouvrir une enquête en vue d’une procédure de destitution.

Donald Trump ayant gelé 400 millions de dollars d’aide militaire à l’Ukraine juste avant de présenter sa demande à Volodimir Zelenski, les démocrates soupçonnent le président républicain d’avoir détourné la diplomatie américaine à des fins personnelles.

Réagissant aux dernières déclarations de Donald Trump, le président démocrate de la commission du Renseignement de la Chambre des représentants a jugé que le locataire de la Maison blanche avait rompu son serment de président en demandant à la Chine d’enquêter sur Joe Biden.

“Que le président des Etats-Unis incite un pays étranger à s’immiscer une nouvelle fois pour favoriser sa campagne en enquêtant sur un adversaire constitue une violation fondamentale du serment de président. Cela met en péril nos élections. Cela met en péril notre sécurité nationale. Cela devrait être condamné par chaque membre de cette institution, démocrates comme républicains”, a dit Adam Schiff à la presse.

Les membres de la commission de la Chambre ont auditionné jeudi Kurt Volker. Ce diplomate a démissionné vendredi dernier de son poste d’émissaire spécial de Donald Trump pour l’Ukraine au lendemain de la publication du témoignage du lanceur d’alerte, dont l’identité reste inconnue. Dans ce témoignage, il est écrit que Kurt Volker s’efforce de “limiter les dégâts” provoqués par les pressions que souhaite exercer Rudy Giuliani sur l’Ukraine.

Brexit: Boris Johnson ou la solitude du populiste fou

Brexit: Boris Johnson ou la solitude du populiste fou

 

 

Comme Trump sans doute, Boris Johnson va être contraint de réduire l’action politique à la publication de tweets sans aucune conséquence sur sa politique. En effet, Boris Johnson vient d’être battu sur l’essentiel par le Parlement. D’une part les communes ont refusé une sortie du Brexit  sans accord mais ils se sont aussi opposés à l’organisation de nouvelles élections. Pour résumer Boris Johnson a joué toutes ses cartes et il a perdu. En outre,  il ne peut plus prendre d’initiatives parlementaires puisqu’il a mis en congé ce même Parlement ! Notons que la reine a signé la loi autorisant le report de la date du Brexit. Boris Johnson qui ne cesse de courir après son nombre populiste se retrouve complètement seul et sans perspective politique.

Deux portes se sont fermées, dans la nuit de lundi. Celle du Parlement, «suspendu» pour plus d’un mois sur une décision de Boris Johnson qui a enflammé la scène politique. Et celle qui ouvrait sur un Brexit sans accord au 31 octobre, qu’un texte porté par l’opposition a rendu impraticable. Même si le premier ministre semble vouloir garder un pied dans le battant, pour réussir ce Brexit «coûte que coûte» à la date butoir. On pourrait ajouter la fermeture d’une troisième porte, celle qui pouvait mener à des élections anticipées avant la fin du mois d’octobre, comme le voulait le premier ministre.

 

Sans surprise, les parlementaires ont repoussé cette nuit la demande du gouvernement de voter en faveur d’élections législatives anticipées à court terme. Ils avaient déjà repoussé cette même requête la semaine dernière. Boris Johnson voulait un scrutin le 15 octobre, afin de se donner une nouvelle majorité – perdue la semaine dernière – et avoir bride lâche pour mener à bien sa stratégie de Brexit. Mais l’opposition le soupçonne de vouloir la manipuler pour forcer un Brexit sans accord.

 

Kim Jong : un fou dangereux

Kim Jong : un fou dangereux

 

 

Le monde de ne manque pas de fous dangereux pourtant dirigeants de pays et qui constituent des risques pour la paix mondiale. Kim Jong fait parti de cela. Pour préserver sa dictature, ce dirigeant d’un  tout petit pays s’est mis dans la tête de figurer parmi les grands de l’armement nucléaire. Un pays qui doit affamer sa population car il n’a évidemment pas les moyens financiers de financer des projets aussi démentiels. Kim Jong est sans doute l’un des plus dangereux mais on n’en compte bien d’autres avec Poutine, les dirigeants iraniens, Erdogan, le chinois Xi, les dirigeants italiens et même Trump. Pour faire croire faire partie des grands dirigeants de ce monde, le coréen procède à des lancements de missiles auquel il assiste personnellement en plus en se faisant téléviser. – Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a en effet de nouveau supervisé l’essai d’un système de missiles guidés nouvellement développé, a rapporté samedi matin l’agence de presse officielle KCNA, après que des représentants américains et sud-coréens ont fait état la veille de tirs d’au moins un projectile nord-coréen. Kim Jong-un avait déjà assisté aux deux précédents essais effectués par Pyongyang à moins d’une semaine d’intervalle, selon les informations de la presse officielle nord-coréenne qui évoquait une “mise en garde” à l’attention de la Corée du Sud pour les exercices militaires prévus en août avec les Etats-Unis. Un représentant américain a déclaré jeudi que les services du renseignement américain ont détecté le tir d’un voire plusieurs projectiles non identifiés. Les premiers éléments indiquaient qu’il s’agissait d’essais similaires aux tirs de missiles à courte portée effectués par la Corée du Nord les 25 et 31 juillet. Donald Trump a minimisé jeudi l’importance des récents tirs de missiles balistiques nord-coréens, soulignant qu’il s’agissait de missiles à courte portée “très standards». Le président américain, qui s’est dit disposé à poursuivre les négociations avec Pyongyang, a estimé vendredi que les essais nord-coréens constituaient peut-être une infraction aux résolution des Nations unies mais pas une violation de l’accord qu’il a conclu avec Kim Jong-un.“(Kim) fera ce qu’il convient de faire, parce qu’il est trop intelligent pour ne pas le faire et qu’il ne veut pas décevoir son ami, le président Trump !”, a-t-il notamment écrit dans une série de messages sur Twitter.

Militarisation de l’espace : le pari fou

Militarisation de l’espace : le pari fou

 

Sans doute pour  imiter le président américain, Macron a décidé d’une militarisation de l’espace. Une orientation pleine de risques. En effet il est clair que d’autres grandes puissances vont reprendre à leur compte cette stratégie qui consiste en fait à mettre sous la tutelle militaire un espace qui devrait prioritairement servir le progrès scientifique, socio économique voire environnemental. On comprend évidemment que la défense prenne en compte la dimension spatiale mais ce n’est pas une raison pour  militariser cet espace. Ce mauvais exemple américain et français sera forcément suivi par celui de la Chine, de l’Inde, de la Russie voire de l’Iran. Cette espèce de mimétisme de Macron concernant Trump est inquiétante. Cela n’a pas beaucoup d’incidence quand par exemple Macron signe sous les yeux des caméras les décrets en présence de deux ministres potiche mais ça devient grave quand Macron prend des initiatives douteuses au plan international, un domaine qu’il maîtrise peu. Pour preuve Macron s’est voulu président du monde sitôt son élection. Mais cela n’a duré que six mois car rapidement il a été discrédité, rapidement il s’est fâché  avec la plupart des grands de ce monde y compris Trump et Merkel. Par ailleurs Macron l’un des premiers présidents à n’avoir jamais effectué son service militaire et sa culture dans ce domaine est très superficielle. Emmanuel Macron a cependant  annoncé samedi la création en septembre prochain d’un commandement dédié à l’espace, un domaine essentiel aux opérations militaires et devenu un champ de confrontation entre puissances. «Pour assurer le développement et le renforcement de nos capacités spatiales, un grand commandement de l’espace sera créé en septembre prochain» au sein de l’armée de l’Air qui «deviendra à terme l’armée de l’Air et de l’Espace», a déclaré le chef de l’Etat lors de la traditionnelle réception donnée au ministère des Armées à la veille de la parade annuelle sur les Champs-Elysées.

Qualifiant l’espace de «véritable enjeu de sécurité nationale, par la conflictualité qu’il suscite», Emmanuel Macron avait assuré l’an dernier vouloir doter la France d’«une stratégie spatiale de défense». Celle-ci est désormais prête, a-t-il affirmé samedi. «Nous renforcerons notre connaissance de la situation spatiale, nous protégerons mieux nos satellites, y compris de manière active», a-t-il souligné.

 

 

Gilets jaunes-Hôpital Salpêtrière ou l’hystérisation qui rend fou

Gilets jaunes-Hôpital Salpêtrière ou l’hystérisation qui rend fou

D’une manière générale l’hystérisation qui caractérise les positions des un et des autres vis-à-vis des gilets jaunes alimente les commentaires et les théories les plus déments. C’est encore vrai avec cette histoire d’attaque de l’hôpital de la Salpêtrière par des gilets jaunes. En fait d’attaque, Il s’agit de gilets jaunes qui à cause des gaz lacrymogènes se sont réfugiés dans l’immense emprise de plusieurs hectares de l’hôpital et qui voulaient se réfugier dans un bâtiment. Du coup le pouvoir mais aussi les Républicains ont complètement instrumentalisés cette affaire. Une vidéo atteste en effet qu’il ne s’agissait absolument pas d’une attaque de l’hôpital mais d’un mouvement de panique de manifestants. Pour preuve, trente-deux personnes qui avaient été placées en garde à vue après cette intrusion pour participation à un groupement en vue de commettre des dégradations ou des violences ont été remises en liberté jeudi en fin d’après-midi, a-t-on appris auprès du parquet de Paris. Le Premier ministre Edouard Philippe est tombé aussi dans le panneau de l’hystérisation en jugeant “inacceptables” ces événements qui se sont déroulés boulevard de l’Hôpital, dans le 13e arrondissement de Paris, où les défilés ont été marqués par de nouvelles violences.“Vouloir s’introduire dans un hôpital de cette façon n’est pas excusable”, a-t-il déclaré lors d’un déplacement à Angoulême (Charente), en louant le comportement du personnel hospitalier qui a permis selon lui d’empêcher le pire.“Si ce calme n’avait pas été au rendez-vous, les conséquences auraient pu être beaucoup plus graves”, a-t-il déclaré à la presse. Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a pour sa part évoqué une “attaque”. “Ici, à la Pitié-Salpêtrière, on a attaqué un hôpital. Et on a blessé un policier mobilisé pour le protéger”, a-t-il écrit dès mercredi sur Twitter. “Des infirmières ont dû préserver le service de réanimation. Nos forces de l’ordre sont immédiatement intervenues pour sauver le service de réanimation”, a ajouté le ministre devant la presse lors d’une visite à l’hôpital.

L’opportuniste Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, a porté plainte après l’intrusion, a estimé jeudi sur Franceinfo qu’on était “passé au bord d’une catastrophe”. “Il aurait pu se produire un drame dont je n’ose même pas imaginer les conséquences”, a-t-il dit.

Mais pour une partie de la classe politique, le gouvernement fait de la récupération en dramatisant un événement qui n’a pas eu de conséquences, l’intrusion étant en partie le fait de personnes qui voulaient échapper aux gaz lacrymogènes.

Le personnel soignant de l’hôpital a relativisé les faits lors d’une conférence de presse jeudi. Cette affaire montre moins la radicalisation sur le terrain que celle de propos irresponsables qui n’ont d’autre objet que d’entretenir les tensions et de discréditer les syndicats et légers jaunes.

GB: Boris Johnson, le fou, démissionne aussi

GB: Boris Johnson, le fou, démissionne  aussi  

Le spécialiste des retournements a encore joué un tour à la Première Ministre Theresa May en démissionnant aussi après le médiateur britannique du Brexit. En démissionnant Boris, l’enfant terrible dont objectif est surtout de déstabiliser les Premiers ministres britanniques a déclaré que c’était la mort du Brexit. Deux jours plutôt la première ministre était en effet parvenue élaborer une plate forme de négociation soutenue par son parti. Une plate forme déjà hypothétique mais qui se trouve encore plus fragilisée par cette démission du responsable des affaires étrangères. “Cet après-midi, la Première ministre a accepté la démission de Boris Johnson de son poste de secrétaire au Foreign Office. Le nom de son remplaçant sera annoncé sous peu. La Première ministre remercie Boris pour son travail”, ont donc déclaré les services de Theresa May. Sur les marchés financiers, la livre sterling a chuté à l’annonce de la démission de Boris Johnson, effaçant ses gains initiaux face à l’euro et au dollar.

 

Trump est « fou » ?…….comme nombre de chefs d’Etat !

Trump est « fou » ?…….comme nombre de chefs d’Etat !

  • D’après  certains de ses proches qui ont essuyé la colère du président américain, Trump serait fou. Ce qu’affirme son ancien conseiller qui vient de sortir un livre sur l’étrange attitude de son ancien patron. Ce que confirme aussi l’ancien cuisinier de Trump qui a même été frappé par l’actuel président des États-Unis. De toute évidence, Trump  manifeste un comportement surprenant pour un chef d’État alternant coups de gueule, plaisanterie de mauvais goût et diffusion de fausses nouvelles. Agressions verbales, menaces grandiloquentes et déclarations de camelot caractérisent un président complètement imprévisible y compris pour ses proches. À tel point que certains le considèrent comme fou. La question est de savoir s’il est le seul à être dans cet état psychologique car nombre d’autres chefs d’État manifestent des comportements paranormaux. Les plus caricaturaux concernent les dictateurs comme celui de Corée du Nord mais Poutine, Erdogan d’autres encore qui s’accrochent au pouvoir en dépit de tous les principes démocratiques.  la France elle-même n’est pas à l’abri de certaines dérives quand l’ego de nos chefs d’État les prive de tout esprit de mesure et d’analyse. Il est bien sûr difficile de se prononcer concernant Macron il faudra un peu de temps pour juger s’il  s’enivre du parfum du pouvoir. On le jugera sur ses résultats et sur sa capacité à éviter le piège de la posture monarchique. Il est clair que dans un passé récent Chirac, Sarkozy ou Hollande n’étaient pas à la hauteur ce qui ne les a pas empêchés de revendiquer l’incarnation du pouvoir. Une incarnation bien désuète car elles auront largement contribué à l’affaiblissement du pays. Affirmer qu’ils étaient affectés de dérèglements mentaux serait excessif mais ils ont témoigné d’un orgueil démesuré en comparaison avec leurs capacités effectives. Un phénomène courant qu’on chez de nombreux élus et qui découle directement du mode d’émergence de l’oligarchie politique. Pour s’en persuader, il suffit d’observer des dépenses somptuaires en fonctionnement ou en n’investissement de nombre d’élus locaux atteints eux aussi par le virus des grandeurs. Résultat de tous ces comportements paranormaux chaque Français doit plus de 33 000 € au titre de la dette accumulée et bénéficie en plus de la position peu enviable de pays à la fiscalité record.

La France critiquée par Trump le démagogue fou

La France critiquée par Trump le démagogue fou

 Il faut vraiment que le nouveau président américain soit en position particulièrement délicate pour utiliser l’argument de la critique de la France. Pas vraiment une critique mais comme d’habitude une caricature quand il ne s’agit pas tout simplement d’un mensonge éhonté. Comme celui concernant la Suède où il avait évoqué un acte de terrorisme qui n’a jamais eu lieu mais dont la politique d’immigration était responsable. De toute évidence ce président présente les pathologies d’un dément qui pourrait être dangereux pour la paix mondiale. Ceci étend l’universitaire et historien François Durpaire relativise ces propos démagogues de Trump qui s’inscrivent surtout dans une stratégie de communication destinée essentiellement à ses partisans. . Des propos qui sont « à prendre avec des pincettes », selon François Durpaire, historien et spécialiste de l’éducation et de la diversité culturelle aux Etats-Unis et en France qui déclare dans RTL :
« Entre Barack Obama et Donald Trump, il y a une grande différence : on avait un président qui était amoureux du monde, qui était cosmopolite [...] Et on revient à un président américain plus classique du style George W.Bush, qui connaît mal le monde« , déclare François Durpaire. Selon l’historien, Donald Trump est avant tout un homme d’affaires et a voyagé à travers le monde pour y faire du business. « La France n’est pas un pays qu’il connaît, d’ailleurs il ne parle pas de la France directement, mais de ce que ses amis lui disent. »  Si le président américain innove avec des tweets, il n’est pas pour autant l’inventeur du « french-bashing ».  »Il y a d’autres politiques américains qui le pratiquent, c’est même devenu un sport politique ». Cependant, le chef d’État considère la France comme « tout ce qu’il rejette : le multiculturalisme ». Donald Trump peut-il prendre des décisions économiques ou diplomatiques anti-françaises ? « Il faut prendre ce qu’il dit avec des pincettes. Ses propos ne sont pas contre la France, ils sont pour son électorat », précise François Durpaire en insistant sur la rupture de Donald Trump et son absence de diplomatie. 

Nouvelle menace du fou de Corée du Nord contre les Etats-Unis

Nouvelle menace du fou de  Corée du Nord contre les Etats-Unis

Le feuilleton concernant le film qui ridiculise le dictateur fou de Corée du Nord continue. Après le piratage de Sony et les menaces de représailles contre Kim Jong-Un, la Corée se dit prête à attaquer les Etats-Unis sur tous les terrains Sans doute une menace une nouvelle fois ridicule car la Corée du Nord sait qu’elle doit baisser la garde pour bénéficier des plans d’aide alimentaires pour un peuple complètement affamé.  La Commission nationale de défense nord-coréenne (NDC) a une nouvelle fois démenti avoir quoi que ce soit à voir avec ce piratage, qui a conduit la société à annuler la sortie prévue pour Noël de L’interview qui tue !, comédie parodique sur un complot fictif de la CIA en vue d’assassiner le leader nord-coréen Kim Jong-Un. Le président américain Barack Obama avait déclaré vendredi que la Corée du Nord était bien à la manœuvre.  « Nous répondrons d’une manière proportionnelle, au moment, à l’endroit et de la manière que nous choisirons », a-t-il annoncé. La NDC, citée par l’agence de presse officielle nord-coréenne, a déclaré que l’armée et le peuple de Corée du Nord étaient « tout à fait prêts à une confrontation avec les Etats-Unis, dans tous les espaces de conflit, y compris dans les espaces de cyber-guerre afin de faire exploser ces citadelles ». « Notre contre-attaque la plus dure sera menée hardiment contre la Maison Blanche, le Pentagone et le continent américain, la fosse d’aisance du terrorisme, et dépassera de loin la ‘contre-attaque symétrique’ annoncée par Obama », a-t-elle indiqué. La Corée du Nord qui a par le passé déjà proféré des menaces à l’encontre des Etats-Unis, a accusé le gouvernement Obama d’être « profondément impliqué » dans la réalisation de ce film. Elle a, une nouvelle fois, fait l’éloge de l’« action justifiée » de piratage qui a été revendiquée par le GOP (Guardians of peace), mais a déclaré ne pas savoir où ce groupe était basé. Le FBI a imputé l’attaque du 24 novembre à la Corée du Nord, la comparant à de précédentes agressions directement attribuées à Pyongyang. Pyongyang a répondu dimanche que « les méthodes pour mener des cyberattaques étaient les mêmes partout, et qu’il relevait du simple bon sens que de le reconnaître ».

 

Tueur fou de Copenhague :toujours le même profil

Tueur fou de  Copenhague :toujours le même profil

Avec les précautions oratoires de la langue de bois la plupart des grands médias n’osent pas dire clairement que le tueur fou de Copenhague est d’ascendance étrangère, du moyen ou proche orient sans doute. Comme les part des autres assassins ( pas tous ). Avec le même profil, un marginal incapable de s’insérer dans une démocratie, délinquant , condamné pour violences et trafic. Bref un habitué de la prison, un voyou tout simplement. Un raté qui a fini par se convaincre qu’on pouvait donner une légitimité à sa marginalité imbécile et violente grâce au secours d’une religion de bazar, l’islamisme radical  Nul doute qu’il devait aussi être inculte et qu’il ignore tout du Coran et du reste. Comme les assassins de France, comme ceux qui les supportent, comme ceux qui sont partis faire le djihad, ceux qui s’y préparent . Ceux qui pensent  qu’entrer dans un magasin avec une kalachnikov en tuant n’importe qui relève de l’exploit révolutionnaire et spirituel ,  bref la connerie à l’Etat pur. Ce ne sont pas seulement les forces de police qu’il faut mobiliser mais des troupes de psychiatres pour ces barbares sortis tout droit de la préhistoire.  La police de Copenhague a donc indiqué dimanche après-midi que l’auteur présumé des fusillades qui ont coûté la vie à deux personnes à Copenhague samedi et la nuit dernière avait 22 ans et était né au Danemark. Il était déjà connu des services de police pour des actes de violence et pour détention d’armes. Plusieurs médias danois ont indiqué qu’il se nommait Omar El-Hussein.  On en sait un peu plus dimanche soir sur l’auteur présumé des attaques de Copenhague, abattu vers 4h du matin dans le quartier populaire de Nørrebro par les policiers danois sur lesquels il avait ouvert le feu.  Selon les médias danois, il a été identifié comme Omar El-Hussein. Né au Danemark, il était âgé de 22 et fiché pour « plusieurs délits dont des infractions à la législation sur les armes et des violences », a annoncé la police dans un communiqué.  »Il est également connu pour ses liens avec des bandes de délinquants », a-t-elle ajouté, sans confirmer son nom. L’homme était également connu des services de renseignements qui ont indiqué travailler « sur l’hypothèse selon laquelle la personne en question a pu être inspirée par les événements qui se sont déroulés à Charlie Hebdo à Paris ».

 

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