Archive pour le Tag 'forte'

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Grande Bretagne : forte baisse du chômage ; à 7,1%

Grande Bretagne : forte baisse du  chômage ;  à 7,1%

La politique monétaire accommodante porte ses fruits en Grande Bretagne (comme aux Etats –Unis). Le chômage chute nettement. Le taux de chômage en Grande-Bretagne a reculé nettement à 7,1% sur la période septembre-novembre, à son plus bas niveau depuis janvier-mars 2009 et à un cheveu du seuil de 7% en dessous duquel la Banque d’Angleterre (BoE) pourrait envisager de relever ses taux. Cette dernière a cependant rassuré les investisseurs en soulignant, dans le compte rendu de sa dernière réunion monétaire publié mercredi, qu’une hausse de taux n’était pas à l’ordre du jour. La baisse du taux de chômage est plus forte que prévu, les économistes anticipant une décrue à 7,3% après 7,4% en août-octobre. Sur le seul mois de décembre, a précisé l’Office national des statistiques, le nombre de personnes demandant des indemnités chômage a reculé de 24.000, à comparer à un consensus de -35.000. La statistique a fait monter le sterling à un plus haut d’un an face à l’euro, à 81,81 pence contre 82,26 juste avant et la devise britannique a également atteint un plus haut de près de trois semaines contre le dollar. En août 2013, la BoE avait placé l’emploi au coeur de ses priorités en s’engageant à ne pas relever son taux directeur -maintenu à un plus bas record de 0,5% depuis 2009- jusqu’à ce que le taux de chômage revienne à 7%. Le gouverneur Mark Carney a toutefois affirmé depuis qu’une baisse du chômage à 7% n’entraînerait pas automatiquement un resserrement monétaire, et le compte rendu de la réunion monétaire des 8-9 janvier va dans le même sens.

 

Etats-Unis: forte croissance au 3ème trimestre

Etats-Unis forte:  croissance au 3ème trimestre

 

Le PIB des États-Unis au troisième trimestre a progressé de 2,8 % en rythme annuel. Bien davantage que les 2 % retenus en moyenne par les économistes. L’effet du « shutdown » ne se fera sentir qu’au quatrième trimestre. Une journée riche en surprises pour les économistes, et les marchés. Tandis qu’à Francfort, Mario Draghi étonnait son monde en baissant le taux directeur de la Banque centrale européenne (BCE), à Washington, le Département du commerce publiait un chiffre de la croissance bien meilleur que celui estimé par les experts. Le consensus de 87 économistes consultés par l’agence Bloomberg pariait sur une progression du PIB au troisième trimestre de 2 % en rythme annuel. Le chiffre officiel est finalement de 2,8 %. Il ne traduit pas pour autant une embellie profonde et durable de l’économie américaine. Le bon chiffre du «T3» comme disent les économistes, est largement dû à une reconstitution des stocks des entreprises. La consommation des ménages (qui pèse à hauteur de 70 % de l’activité américaine) et l’investissement des entreprises ont au contraire ralenti, à 1,5 % et 1,6 % respectivement. Les ménages, inquiets par le ralentissement du rythme de création d’emplois, ont freiné leurs achats et reconstitué leur épargne, note l’agence Reuters. Les marchés guettaient la statistique officielle pour anticiper quel sera le prochain geste de la Réserve fédérale. La Fed scrute, mois après mois, les chiffres du chômage et de la croissance avant de resserrer sa politique monétaire accommodante (quantitative easing, alias «QE», en anglais). La perspective d’une réduction de l’injection des liquidités dans l’économie, que Ben Bernanke, le patron de la banque centrale américaine avait annoncée le 22 mai, avait déclenché une fuite des capitaux des pays émergents vers les États-Unis, ainsi qu’une chute de devises comme la roupie indienne ou le real brésilien. La persistance de la faiblesse de la consommation et de l’investissement valide la décision de la Fed, réaffirmée fin octobre, de maintenir, pour l’heure, ses achats d’obligations à hauteur de 85 milliards de dollars par mois, que l’on assimile à «faire tourner la planche à billets». Quant à l’impact des seize jours de fermeture partielle des administrations américaines, lors de l’épisode, fin septembre-début octobre, de l’impasse budgétaire, il ne sera mesurable sur l’économie qu’au dernier trimestre

 

Canada : forte création d’emplois

 

Canada : forte création d’emplois

 

L’économie canadienne a créé 95.000 nouveaux emplois en mai, la plupart à temps plein et dans le privé, enregistrant sa plus forte hausse mensuelle en onze ans, après une augmentation de 12.500 emplois en avril, annonce vendredi Statistique Canada. Le taux de chômage est en léger recul à 7,1% en mai, contre 7,2% en avril. Cette excellente performance dépasse de loin les attentes du marché. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne 15.000 créations d’emplois. Ces chiffres portent par ailleurs à 19.000 la moyenne mensuelle des créations d’emplois au cours des six derniers mois au Canada. Selon l’agence Statistique Canada, 76.700 postes à temps plein ont été créés en mai et 94.600 ont été pourvus dans le secteur privé. Le secteur de la construction a généré le plus d’emplois, avec 42.700 postes. Le secteur manufacturier a accusé des pertes, de même que les services aux professionnels, scientifiques et techniques.

 

Inflation : forte en mars

Inflation : forte en mars

Les prix à la consommation ont augmenté de 0,8% en mars après une hausse de 0,3% le mois précédent, pour progresser de 1,0% sur un an, selon les statistiques publiées jeudi par l’Insee. Cette augmentation reflète une hausse des prix des produits manufacturés après la fin des soldes et de services liés aux vacances d’hiver, précise l’institut de la statistique dans un communiqué. Les prix de l’énergie, notamment ceux des produits pétroliers, ont en revanche baissé. L’indice des prix harmonisé IPCH, qui permet des comparaisons avec les autres pays de la zone euro, s’inscrit en hausse de 0,8% sur un mois et de 1,1% sur un an. Quinze économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une hausse de 0,7% pour l’indice IPCH, leurs estimations allant de 0,5% à 0,9%, et une hausse de 1,0% sur un an, leurs estimations allant de 0,8% à 1,2%. Corrigé des variations saisonnières, l’indice des prix à la consommation est hausse de 0,3% en mars (+1,0% sur un an).

 

Chômage: forte hausse

Chômage: forte hausse

 

Après la pause de décembre dernier (+300 chômeurs seulement), l’augmentation repart à la hausse a avec 43.900 chômeurs de plus se sont inscrits le mois dernier à Pôle emploi, selon les chiffres dévoilés vendredi par la Dares, direction du ministère du Travail spécialisée dans les statistiques, avec toutefois une nouvelle réforme à prendre en compte. Fin janvier 2013, en France métropolitaine, 4.680.200 personnes inscrites à Pôle emploi (+10,7 % sur un an) étaient tenues de faire des actes positifs de recherche d’emploi (4.967.500 en France y compris Dom), dont 3.169.300 étaient sans emploi (catégorie A) et 1.510.900 exerçaient une activité réduite, courte. En l’absence de réforme, la hausse aurait été de 0,7 % sur le mois, soit +22 800 (+10,0 % sur un an). En l’absence de réforme des règles de gestion des radiations administratives (voir avertissement), le nombre de demandeurs d’emploi se serait établi à 3.148.200 en catégorie A et à 1.508.000 en catégories B, C. Cette réforme, c’est quoi ? Les statistiques relatives aux demandeurs d’emploi de janvier 2013 intègrent deux modifications, l’une de nature réglementaire, l’autre de nature méthodologique: depuis le 1er  janvier 2013, les radiations administratives prennent effet à la date de leur notification, et non plus à la date du manquement qui les motive. Ce changement de règle a un impact à la hausse de + 21.100 pour la catégorie A et + 24.000 pour l’ensemble des catégories A, B, C sur le nombre de demandeurs d’emploi inscrits fin janvier 2013, en France métropolitaine.

 

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