Archive pour le Tag 'forte'

Forte baisse du moral des patrons dans l’industrie

Forte baisse du moral des patrons dans l’industrie

Conséquence de la crise économique mais aussi des incertitudes politiques, l’indice synthétique du climat des affaires dans l’industrie en France ressort à 92,4 points en octobre 2024, a indiqué l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) à 8h45. Ainsi, le moral des industriels s’est détérioré de 6,7 points sur un mois.

L’indice se situant nettement au-dessous de sa moyenne de longue période (100), l’opinion des chefs d’entreprises dans l’industrie sur la conjoncture est donc très mauvaise.

En septembre, l’indice était de 99,1 points (chiffre qui vient d’être révisé par l’Insee), en hausse de 0,2 point sur un mois.

Législatives : forte participation à prévoir

Législatives : forte participation à prévoir

 

La forte participation probable aux législatives découle sans doute du fait que cette consultation d’une part constitue une sorte de référendum anti Macron, d’autre part une sorte d’échéance présidentielle avant la lettre. En effet en fonction des résultats très favorables à l’opposition, le président actuel pourrait d’ores et déjà être mis sur la touche. Les sondages montrent que la  participation, lors du scrutin des 30 juin et 7 juillet, pourrait retrouver le niveau élevé des années 1990, autour de 60 % à 70 %. Tout comme le nombre record d’enregistrements de procurations – plus de 1,3 million, dimanche 23 juin, selon le ministère de l’intérieur.

 

Les Français ne vont pas aux urnes quand ils ont l’impression que cela ne sert à rien. Depuis la réforme du quinquennat, mise en œuvre en 2002, et l’organisation de l’élection des députés après celle du président de la République, ils considèrent que, en s’étant exprimés à la présidentielle, les jeux sont faits. A tort, bien sûr. Depuis 2002, la participation aux législatives décroît. Elle est même en dessous de 50 % depuis 2017.

 

Moral des chefs d’entreprise : en forte baisse

Moral des chefs d’entreprise : en forte baisse

L’optimisme des chefs d’entreprise a chuté brusquement de 9 points en un mois, selon la Grande consultation des entrepreneurs réalisée pour CCI France et La Tribune. Seuls 19% des dirigeants se disent confiants dans les perspectives de l’économie française pour les 12 prochains mois, soit 7 points de moins qu’en mai. En plein désarroi, beaucoup de chefs d’entreprise s’interrogent sur les perspectives économiques après les élections législatives anticipées.

 

D’après la dernière Grande consultation des entrepreneurs réalisé par OpinionWay pour CCI France, La Tribune et LCI, l’indicateur qui mesure l’optimisme des chefs d’entreprise a plongé de 9 points entre mai et juin dernier pour s’établir à 82 points, soit un niveau inédit depuis fin 2023.

 

Cette descente brutale de la confiance des patrons français témoigne d’une grande crainte sur la situation politique de la France.

Législatives : forte participation à prévoir

Législatives : forte participation à prévoir

 

La forte participation probable aux législatives découle sans doute du fait que cette consultation d’une part constitue une sorte de référendum anti Macron, d’autre part une sorte d’échéance présidentielle avant la lettre. En effet en fonction des résultats très favorables à l’opposition, le président actuel pourrait d’ores et déjà être mis sur la touche. Les sondages montrent que la  participation, lors du scrutin des 30 juin et 7 juillet, pourrait retrouver le niveau élevé des années 1990, autour de 60 % à 70 %. Tout comme le nombre record d’enregistrements de procurations – plus de 1,3 million, dimanche 23 juin, selon le ministère de l’intérieur.

 

Les Français ne vont pas aux urnes quand ils ont l’impression que cela ne sert à rien. Depuis la réforme du quinquennat, mise en œuvre en 2002, et l’organisation de l’élection des députés après celle du président de la République, ils considèrent que, en s’étant exprimés à la présidentielle, les jeux sont faits. A tort, bien sûr. Depuis 2002, la participation aux législatives décroît. Elle est même en dessous de 50 % depuis 2017.

 

Inde: Narendra Modi remporte une victoire mais moins forte

 

Inde: Narendra Modi remporte une victoire mais moins forte

 
Le premier ministre a remporté les élections législatives et reste aux commandes du pays pour un troisième mandat, mais avec une majorité moins forte qu’attendu.

 

Le premier ministre sortant, après dix ans de pouvoir ininterrompus, a emporté, mardi 4 juin, les élections législatives, avec une courte majorité, à l’issue d’un marathon de six semaines. Les résultats sont en cours de consolidation. Quelque 642 millions d’Indiens se sont déplacés, bravant la canicule qui s’est abattue sur le pays.

Il égale son illustre prédécesseur, Jawaharlal Nehru, le premier ministre de l’indépendance, élu à trois reprises. Mais sa victoire n’est pas à la hauteur de ses espérances. Narendra Modi avait demandé aux Indiens de lui accorder 370 sièges, 400 avec sa coalition, soit la majorité des deux tiers de la Lok Sabha, la Chambre basse du Parlement, requise pour modifier la Constitution. Il a échoué,.

Modi n’aura pas les moyens d’opérer de grands changements constitutionnels.
L’Etat de l’Uttar Pradesh, le plus peuplé d’Inde et l

Bourse de Paris : forte baisse

Bourse de Paris : forte baisse

L’inflation qui se maintient en Allemagne et aux États-Unis, l’attente nerveuse d’une baisse des taux d’intérêt toujours pas satisfaite ont pesé sur la bourse de Paris comme celle de New York. La Bourse de Paris  vient de connaître ce mercredi sa pire séance depuis début janvier, reculant fortement de 1,52%. La faute notamment à la hausse des taux d’intérêt obligataires et un rebond de l’inflation allemande qui servent de déclencheurs pour des prises de bénéfices. La bourse avait anticipé un peu trop les baisses de taux d’intérêt. Plusieurs étaient espérés en Europe comme aux États-Unis. Ces dernières tardent et sont même décalées dans le temps. En effet ne connaît qu’une seule baisse des taux en 2024. Devant ces incertitudes beaucoup d’opérateurs prennent leurs bénéfices d’autant que la bourse a beaucoup monté au cours de ces derniers mois. 

Dans le détail, l’indice vedette CAC 40 a abandonné 122,77 points à 7.935,03 points, tombant au plus bas depuis le 2 mai. Mardi, l’indice vedette CAC 40 avait déjà reculé de 0,92%. Un changement d’ambiance alors que la Bourse de Paris avait battu un nouveau record début mai, en atteignant plus de 8.256 points.

Principale publication de la séance, l’inflation en Allemagne est repartie à la hausse en mai pour la première fois depuis six mois, atteignant 2,4% sur un an et 0,1% sur un mois, deux chiffres pourtant conformes aux estimations des analystes sondés par Factset. L’indice des prix à la consommation harmonisé, qui sert à calculer l’inflation globale de la zone euro, est cependant ressorti à 2,8%, un peu plus qu’anticipé et bien au-dessus du chiffre du mois d’avril (2,4%).

 

 

« Il n’y a plus que deux baisses de taux anticipées en Europe et plus qu’une aux Etats-Unis » pour 2024, alors que les investisseurs en attendaient bien plus au début de l’année, ajoute-t-il.

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Pour rappel, pour calmer l’inflation galopante dans la zone euro, la BCE a augmenté les coûts d’emprunt à un rythme sans précédent à partir de juillet 2022. Son principal taux directeur, celui sur les dépôts, a ainsi atteint son plus haut historique, à 4%, tandis que le taux de refinancement et le taux de facilité de prêt marginal se situent respectivement à 4,50% et 4,75%. Mais depuis octobre dernier, l’institution a opté pour le statu quo, laissant, à chaque réunion, ses taux à un niveau inchangé.

Elle envisage désormais de les baisser et il semblerait que la date de sa prochaine réunion soit celle où cette décision sera actée. Il existe de « solides arguments en faveur d’une réduction des taux en juin », a ainsi estimé récemment le gouverneur de la Banque de Finlande Olli Rehn, qui compte parmi les vingt-cinq membres du conseil des gouverneurs de la BCE.

(Avec AFP)

La guerre soutient la forte croissance de la Russie

La guerre soutient la forte croissance de la Russie

Le produit intérieur brut de la Russie a augmenté de 5,4% sur un an au premier trimestre 2024, a annoncé vendredi l’agence nationale des statistiques, une croissance tirée par l’explosion des commandes militaires pour poursuivre l’assaut contre l’Ukraine. Cela marque une accélération, après une croissance de 4,9% au dernier trimestre de 2023, une expansion dont se vante la Russie qui estime avoir fait échouer les sanctions occidentales adoptées dans la foulée de l’assaut sur l’Ukraine en 2022.

Depuis deux ans, l’effort de guerre est en réalité devenu le moteur de l’économie russe. Au premier trimestre, l’activité en Russie a aussi été poussée par des prix favorables sur les marchés des hydrocarbures. Les dépenses totales de l’État ont explosé de 20% sur un an, selon le ministère russe des Finances.

Trafic de drogue en 2023: forte hausse

Trafic de drogue en 2023: forte hausse

Si l’on s’en tient au nombre d’interpellations pour trafic et usage de drogue , l’augmentation serait inférieure à 1 % d’après le ministère de l’intérieur. Par contre d’après les saisies le trafic aurait plutôt doublé avec en plus une augmentation importante des drogues de synthèse.

En réalité le nombre d’interpellations ou les saisies ne rendent pas compte de l’évolution du trafic qui ne cesse de se développer.

« La menace a atteint un niveau historiquement élevé », décrit sans fard la patronne de l’Office antistupéfiants (Ofast), Stéphanie Cherbonnier. « Aucun territoire n’est épargné. » Nourri par une forte demande – 5 millions de consommateurs réguliers de cannabis, 600.000 de cocaïne, selon l’Office français des drogues et toxicomanies (OFDT) -, le marché national des stupéfiants produit un chiffre d’affaires annuel estimé à 3 milliards d’euros.

De début janvier à mi-novembre, la police a recensé 315 faits d’homicides ou tentatives entre malfaiteurs liés aux narcotrafics, en hausse de 57 % par rapport à la même période de 2022. Rien qu’à Marseille, la guerre à laquelle se livrent deux organisations criminelles concurrentes pour le contrôle du juteux marché de la drogue a fait 47 morts, pour l’essentiel des « petites mains du trafic ». D’autres villes sont gangrenées par cette violence : Nantes, Besançon, Toulouse, Avignon ou Nîmes ont connu cette année leur lot de règlements de comptes.En réalité toutes les villes mêmes les plus petites sont aujourd’hui contaminées par le trafic de drogue.

Selon les données de l’Ofast, 240.000 personnes vivent directement ou indirectement du trafic de stupéfiants en France, dont 21.000 à temps

D’après les chiffres communiqués par le ministère, les saisies en 2023 en France ont été de 4,15 millions de comprimés d’ecstasy et MDMA (contre 1,4 million en 2022) et 418 kg d’amphétamines et méthamphétamines (198 kg en 2022).

Consommation : Forte augmentation du prix des abonnements télécom

Consommation : Forte augmentation du prix des abonnements télécom

Comme la plupart des services par abonnement les tarifs discrètement mais sûrement s’envolent du fait de l’inflation générale mais aussi pour des motifs non justifiés par la nature de l’activité fournie aux clients même si les opérateurs justifient les investissements concernant la 5G ou la fibre.

Pour preuve que les hausses sont pas toutes justifiées, les opérateurs télécoms voient leurs revenus progresser de manière significative. Au troisième trimestre 2023, ceux-ci se sont élevés à 9,4 milliards d’euros, en progression de 2,4% sur un an. Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free profitent de l’envie des Français pour la fibre optique. « Le nombre de nouveaux abonnés nets à la fibre reste élevé, même s’il ralenti légèrement depuis près de deux ans », précise l’Arcep.

Au troisième trimestre, 3,4 millions de Français se sont convertis à cette technologie. Aujourd’hui, 20,6 millions de clients utilisent cette technologie, ce qui représente 64% du total des abonnements à haut et très haut débit.

La 5G, elle aussi, continue de séduire les Français. « Le nombre d’utilisateurs actifs progresse de plus d’un million par trimestre depuis le lancement commercial de la 5G en 2021 », constate l’Arcep. Au total, la France compte désormais 12,4 millions d’utilisateurs de cette nouvelle technologie mais dont les abonnements sont plus chers.

Forte augmentation du prix des abonnements télécom

Forte augmentation du prix desabonnements télécom

Comme la plupart des services par abonnement les tarifs discrètement mais sûrement s’envolent du fait de l’inflation générale mais aussi pour des motifs non justifiés par la nature de l’activité fournie aux clients même si les opérateurs justifient les investissements concernant la 5G ou la fibre.

Pour preuve que les hausses sont pas toutes justifiées, les opérateurs télécoms voient leurs revenus progresser de manière significative. Au troisième trimestre 2023, ceux-ci se sont élevés à 9,4 milliards d’euros, en progression de 2,4% sur un an. Orange, SFR, Bouygues Telecom et Free profitent de l’envie des Français pour la fibre optique. « Le nombre de nouveaux abonnés nets à la fibre reste élevé, même s’il ralenti légèrement depuis près de deux ans », précise l’Arcep.

Au troisième trimestre, 3,4 millions de Français se sont convertis à cette technologie. Aujourd’hui, 20,6 millions de clients utilisent cette technologie, ce qui représente 64% du total des abonnements à haut et très haut débit.

La 5G, elle aussi, continue de séduire les Français. « Le nombre d’utilisateurs actifs progresse de plus d’un million par trimestre depuis le lancement commercial de la 5G en 2021 », constate l’Arcep. Au total, la France compte désormais 12,4 millions d’utilisateurs de cette nouvelle technologie mais dont les abonnements sont plus chers.

Défaillances d’entreprises : forte hausse de 35 %

Défaillances d’entreprises : forte hausse de 35 %

une 25e hausse mensuelle consécutive des défaillances d’entreprises qui atteignent 55.492, soit un bond de 34,4% par rapport à 2022.

« On constate finalement une évolution maîtrisée des défaillances en 2023, qui n’est que le signe d’un rattrapage après la période exceptionnelle du Covid », analyse Denis Le Bossé, président du cabinet de juristes d’affaires ARC. « Du côté des faillites, la tendance 2024 ne sera pas à la baisse. Il est peu probable qu’elles diminuent, elles pourraient même augmenter encore », prévoit celui qui constate une hausse des redressements.

Eau du robinet : forte augmentation prévisible des tarifs

Eau du robinet : forte augmentation prévisible des tarifs

Paradoxalement, on se félicite du net tassement de la consommation d’eau potable du robinet mais cette situation fragilise les équilibres financiers d’autant qu’il faut aussi moderniser le réseau. Un réseau globalement très vétuste. Une étude chiffre le volume d’eau prélevé pour la production d’eau potable en France métropolitaine à 5,3 milliards de m3 en moyenne depuis 2012, soit 220 litres par jour et par habitant en 2021. Cela représente 500 millions de m3 de moins en moyenne que dans les années 2000 alors que la population a augmenté. Notons que la tarification gagnerait à une plus grande transparence tellement les écarts de prix sont importants

Dans un avis voté le 29 novembre, le Conseil économique social et environnemental (Cese) parle lui aussi de hausse « inéluctable » du prix de l’eau. D’autant que le secteur s’estime « en première ligne » du changement climatique qui rend l’eau plus rare, pèse sur sa qualité et aiguise les conflits entre usagers.

En France, le prix de l’eau dépend de la commune ou l’intercommunalité de résidence. Les entreprises de l’eau assurent l’approvisionnement en eau potable de près de 60% des Français et la dépollution des eaux usées de 51% d’entre eux.

Selon l’étude BDO, le prix médian au robinet a atteint 4,02 euros TTC par m3 en 2021 (50% des Français payaient moins, 50% payaient plus), avec d’importantes disparités, de 0,89 à 10,95 euros TTC par m3.

Les différences s’expliquent par la géographie locale, des facteurs techniques comme la diminution des fuites sur le réseau, qui globalement s’améliore depuis dix ans en France selon les industriels du secteur. Le prix enfin dépend aussi de la présence ou non d’industries, de la saisonnalité de la population (tourisme) et surtout, des choix d’investissements.

Vins: Forte baisse de la production mondiale

Vins: Forte baisse de la production mondiale

La production mondiale de vin a chuté cette année de 7%, à son plus bas niveau depuis 1961, selon une estimation de l’Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), publiée ce mardi 7 novembre. Notons par ailleurs des transformations structurelles liées au changement de consommation au profit par exemple de la bière ou encore du rosé qui remplace le vin rouge progressivement. Par ailleurs, le réchauffement climatique remet en cause certaines conditions de production.

Pour Inaki Garcia de Cortazar-Atauri, de l’institut de recherche agronomique Inrae « on peut faire le constat qu’on a de plus en plus d’événements extrêmes récurrents » comme les canicules qui se rajoutent à des fléaux connus depuis longtemps comme le mildiou, complète ce spécialiste de l’impact du changement climatique sur l’agriculture. Notons que la France conserve une production à peu près stable cette année mais qu’elle est cependant concernée par les changements évoqués.

L’Italie, se retrouve particulièrement touchée et perd sa place de premier producteur mondial. La France, avec une production stable, redevient quant à elle le premier fournisseur de vin au monde devant l’Italie, où la production a chuté de 12%, relève l’OIV dans sa première évaluation des vendanges 2023. Dans l’hémisphère nord, à l’instar de l’Italie, la production viticole a particulièrement pâti de divers aléas en Espagne (-14%) et en Grèce (-45%).

En France, même si la production se stabilise dans son ensemble, il existe de fortes disparités, relève l’OIV. Le Bordelais et la région du sud-ouest ont fait face à la propagation du mildiou tandis que le Languedoc-Roussillon a été affecté par des vagues de chaleur et la sécheresse.

En revanche, des volumes « particulièrement importants » sont attendus dans le Cognac, en Corse et en Champagne, souligne l’OIV. En Bourgogne, les vignerons misent cette année sur une récolte prometteuse.

Quelques pays ont en revanche tiré leur épingle du jeu, à commencer par les Etats-Unis, qui conservent leur place de 4e fournisseur mondial, à la faveur de températures fraîches et de fortes pluies hivernales dans les régions viticoles de Napa et de Sonoma.

La baisse de la production n’est toutefois pas forcément une mauvaise nouvelle, relève l’OIV :

« Avec une consommation mondiale en déclin et des stocks élevés dans de nombreuses régions du monde, cette faible production attendue pourrait rééquilibrer le marché mondial », souligne l’organisation.

Forte baisse de la production mondiale de vin

Forte baisse de la production mondiale de vin

La production mondiale de vin a chuté cette année de 7%, à son plus bas niveau depuis 1961, selon une estimation de l’Organisation internationale de la vigne et du vin (OIV), publiée ce mardi 7 novembre. Notons par ailleurs des transformations structurelles liées au changement de consommation au profit par exemple de la bière ou encore du rosé qui remplace le vin rouge progressivement. Par ailleurs, le réchauffement climatique remet en cause certaines conditions de production.

Pour Inaki Garcia de Cortazar-Atauri, de l’institut de recherche agronomique Inrae « on peut faire le constat qu’on a de plus en plus d’événements extrêmes récurrents » comme les canicules qui se rajoutent à des fléaux connus depuis longtemps comme le mildiou, complète ce spécialiste de l’impact du changement climatique sur l’agriculture. Notons que la France conserve une production à peu près stable cette année mais qu’elle est cependant concernée par les changements évoqués.

L’Italie, se retrouve particulièrement touchée et perd sa place de premier producteur mondial. La France, avec une production stable, redevient quant à elle le premier fournisseur de vin au monde devant l’Italie, où la production a chuté de 12%, relève l’OIV dans sa première évaluation des vendanges 2023. Dans l’hémisphère nord, à l’instar de l’Italie, la production viticole a particulièrement pâti de divers aléas en Espagne (-14%) et en Grèce (-45%).

En France, même si la production se stabilise dans son ensemble, il existe de fortes disparités, relève l’OIV. Le Bordelais et la région du sud-ouest ont fait face à la propagation du mildiou tandis que le Languedoc-Roussillon a été affecté par des vagues de chaleur et la sécheresse.

En revanche, des volumes « particulièrement importants » sont attendus dans le Cognac, en Corse et en Champagne, souligne l’OIV. En Bourgogne, les vignerons misent cette année sur une récolte prometteuse.

Quelques pays ont en revanche tiré leur épingle du jeu, à commencer par les Etats-Unis, qui conservent leur place de 4e fournisseur mondial, à la faveur de températures fraîches et de fortes pluies hivernales dans les régions viticoles de Napa et de Sonoma.

La baisse de la production n’est toutefois pas forcément une mauvaise nouvelle, relève l’OIV :

« Avec une consommation mondiale en déclin et des stocks élevés dans de nombreuses régions du monde, cette faible production attendue pourrait rééquilibrer le marché mondial », souligne l’organisation.

Antisémitisme en forte hausse en France: 719 événements en trois semaines

Antisémitisme en forte hausse en France: 719 événements en trois semaines

Une montée inquiétante de la haine en France de nature antisémite ; des événements qui en outre s’ajoutent aux violences potentielles de certains quartiers. Bref un climat d’insécurité qui mériterait autrement que les rustines successives du gouvernement.

« 719 événements ou incidents antisémites » ont été recensés en France depuis le 7 octobre dernier et les attaques du Hamas en Israël.

Selon le ministre de l’Intérieur, l’augmentation de ces signalements peut s’expliquer « peut-être parce qu’il y a davantage de policiers et de gendarmes sur le terrain, il y a eu aussi beaucoup d’interpellations puisque nous en sommes à 389 interpellations en lien avec ces incidents ».

En parallèle, le nombre de signalements sur la plateforme Pharos pour « menaces, propos antisémites ou apologie du terrorisme » s’élevait ce jeudi matin à 4.948.

À titre de comparaison, sur toute l’année 2022, 436 actes antisémites avaient été perpétrés en France, selon un décompte rendu public par le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif).

depuis ces attaques terroristes. Emmanuel Macron avait d’ailleurs appelé à être « impitoyables avec les porteurs de haine ».

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