«J’assume »! La formule idiote de Macron
Comme les membres du gouvernement sont tenus à une stricte discipline pour ne pas dire à une certaine forme de dictature en matière de communication, ils reprennent tous bêtement la formule de Macron : « j’assume », une formule complètement idiote qui indique bien le vide de la pensée. D’abord parce que « assumer » a une double signification : reconnaître un fait ou en supporter les charges. Or pour ce qui concerne plus particulièrement la fiscalité et notamment le carburant, ce n’est ni Macron, ni les membres du gouvernement qui supportent les charges de l’augmentation de l’essence puisqu’ils circulent gratuitement, aux frais du contribuable bien sûr. Il faudra que les experts en communication se montrent un peu plus créatifs pour faire remonter la crédibilité du gouvernement au lieu de se contenter de promouvoir cette formule idiote et contradictoire. Ce qui est certain, c’est que le président ne pourra pas assumer longtemps cette impopularité sauf à mettre en cause sa légitimité politique. Certes sa légitimité juridique ne peut être discutée mais la fin de son mandat risque d’être pathétique s’il n’est plus soutenu que par 10 ou 15 % de l’opinion publique. Ce qui est probable compte tenu de sa descente aux enfers en matière de popularité.
« J’assume »! La formule idiote
Comme les membres du gouvernement sont tenus à une stricte discipline pour ne pas dire à une certaine forme de dictature en matière de communication, ils reprennent tous bêtement la formule de Macron : « j’assume », une formule complètement idiote qui indique bien le vide de la pensée. D’abord parce que « assumer » a une double signification : reconnaître un fait ou en supporter les charges. Or pour ce qui concerne plus particulièrement la fiscalité et notamment le carburant, ce n’est ni Macron, ni les membres du gouvernement qui supportent les charges de l’augmentation de l’essence puisqu’ils circulent gratuitement, aux frais du contribuable bien sûr. Il faudra que les experts en communication se montrent un peu plus créatifs pour faire remonter la crédibilité du gouvernement au lieu de se contenter de promouvoir cette formule idiote et contradictoire. Ce qui est certain, c’est que le président ne pourra pas assumer longtemps cet impopularité sauf à mettre en cause sa légitimité politique. Certes sa légitimité juridique ne peut être discutée mais la fin de son mandat risque d’être pathétique s’il n’est plus soutenu que par 10 ou 15 % de l’opinion publique. Ce qui est probable compte tenu de sa descente aux enfers en matière de popularité.