Archive pour le Tag 'foot'

Page 25 sur 26

Foot : pas de taxe à 75% pour Monaco

Foot : pas de taxe à 75% pour  Monaco

Après les joueurs qui bénéficient d’un régime fiscal plus qu’avantageux à Monaco, c’est le club employeur qui sera exempté de la taxe à 75%. Autant dire que cette taxe est doublement dénaturée (elle devait peser sur les salariés, puis sur les employeurs et maintenant l’exception pour Monaco). L’Assemblée nationale a voté un amendement obligeant l’AS Monaco à payer la taxe à 75 % sur les très hauts revenus. Mais Bernard Cazeneuve, ministre du Budget, a demandé la suppression de cet amendement. L’AS Monaco ne devrait donc pas être assujettie à la taxe. Dans la nuit de jeudi à vendredi, l’Assemblée nationale a voté un amendement qui vise à assujettir les clubs professionnels étrangers affiliés à la FFF et participant à un championnat français, à la fameuse taxe à 75 % sur les haut revenus. L’ASM est clairement la première concernée. « Il s’agit en particulier de rétablir l’équité sportive entre les clubs de football français, d’une part, et l’AS Monaco, d’autre part, qui, tout en étant affiliée à la Fédération française et participant aux championnats organisés par elle, n’est pas établie en France« , a souligné Annick Girardin, député radicale qui a rédigé l’amendement. Le ministre du Budget, Bernard Cazeneuve, a demandé ce vendredi une seconde délibération afin de faire rejeter cet amendement dans le cadre de la nouvelle lecture du projet de loi de finances pour 2014.  Il a fait voter son amendement de suppression par 12 voix contre 8. Il a expliqué que la mesure votée encourait des risques d’inconstitutionnalité.  »Nous ne voulons pas prendre le moindre risque juridique et constitutionnel« , a expliqué Bernard Cazeneuve, rappelant que l’amendement des radicaux de gauche avait été auparavant rejeté par la commission des Finances de l’Assemblée. Les radicaux de gauche ont voté en vain contre la suppression de ce nouvel amendement, de même que l’UMP qui a demandé que « tous les clubs soient traités de la même façon« .  Le Sénat procédera mardi prochain à la nouvelle lecture du projet de loi de finances pour 2014 et devrait une nouvelle fois le rejeter. L’Assemblée procédera jeudi 19 décembre à la lecture définitive de PLF 2014.

 

Foot : Drogba et Eboué, sanctionnés pour leur hommage à Mandela !!

Foot : Drogba et Eboué, sanctionnés pour leur hommage à Mandela !!

Visiblement il y a encore des efforts à faire en Turquie en matière de démocratie et tout simplement de tolérance. Didier Drogba et Emmanuel Eboué, les deux internationaux ivoiriens du club de 1re division turque de Galatasaray, sont menacés de sanctions pour avoir rendu hommage à l’issue d’un match à Nelson Mandela, rapporte ce dimanche 8 décembre la presse turque. Vendredi soir, à la fin du match entre Galatasaray et SB Elagizspor, comptant pour la Coupe de Turquie, Drogba a dévoilé sous son maillot un tee-shirt où était inscrit « Thank you Madiba », littéralement « Merci Madiba », le surnom de l’icône de la lutte anti-apartheid.  Eboué a fait de même, son tee-shirt portant le message « Rest in peace Nelson Mandela » (« Repose en paix Nelson Mandela »).Les deux joueurs ont été renvoyés par la Fédération turque de football (TFF) devant sa commission de discipline, rapportent les quotidiens Milliyet et Hürriyet. Il est en principe interdit pour les footballeurs d’arborer des slogans ou messages politiques sur leurs maillots, sous peine d’une amende.

 

Foot-France au Brésil : Hollande, « un entraineur ça compte ! »

Foot-France au Brésil : Hollande, « un entraineur ça compte !  »

Un entraineur ça compte a déclaré Hollande après la victoire des bleus, faisant clairement allusion à son rôle de manager de la France. Une comparaison avec Deschamps un peu déplacée Hollande lui, ne dispose malheureusement pas d’équipe, encore moins de projet ou de stratégie. Quand au rassemblement qu’il propose, cela ne concerne plus que 15% des français qui le soutiennent. « Je pense à tous les Français qui sont heureux ce soir, a affirmé le président au micro de TF1 peu après le coup de sifflet final (3-0 pour la France). Il y a des occasions parfois d’être en colère ou inquiets. Aujourd’hui, il y a une victoire, il faut la savourer »,  C’est une victoire d’une équipe qui s’est battue de la première minute jusqu’à la dernière François Hollande Cette victoire, on la doit « à l’équipe de France et personne d’autre. Et à son entraîneur. Un entraîneur, ça compte », a-t-il précisé. « C’est une victoire d’une équipe qui s’est battue de la première minute jusqu’à la dernière, qui y a cru, qui s’est rassemblée », a encore estimé le chef de l’État.  Vraiment, les victoires en ce moment, on les goûte particulièrement François Hollande « Vraiment, les victoires en ce moment, on les goûte particulièrement. Surtout quand il y a une ambiance, quand on dit que cette équipe elle n’y arrivera pas, elle ne peut pas y arriver parce que plein de choses. Elle y est arrivée. Elle nous montre l’exemple. Il faut y aller, il faut y croire », a-t-il encore déclaré. Interrogé par la journaliste qui lui demandait si l’équipe avait « l’art de se compliquer la vie », M. Hollande a répondu : « C’est souvent le cas en France. On ne prend pas le chemin le plus direct. Le principal, c’est d’y arriver ». « Il faut ensuite faire une belle Coupe du monde au Brésil. C’est mythique le Brésil », a conclu celui qui a décidé à la dernière minute d’aller au stade, de retour d’un voyage en Israël et Palestine.

Taxe à 75%-foot : le mensonge de Hollande

Foot-Taxe à 75% : le mensonge de Hollande

.

La scène se passe trois mois avant l’élection présidentielle de 2012. Le 31 janvier 2012 dans un hôtel parisien, le candidat socialiste François Hollande rencontre les présidents de clubs de football professionnels. Il prend alors l’engagement « qu’il n’y aura pas d’augmentation d’impôt sur les clubs sportifs ». « Les temps sont durs », explique-t-il devant une caméra. La vidéo a été diffusée mercredi matin sur i-Télé.Cette promesse de campagne, qui n’avait pas été officialisée dans le programme de François Hollande, entre aujourd’hui en contradiction avec la volonté du gouvernement d’imposer les joueurs les mieux rémunérés du football professionnel. La taxe à 75% sur les hauts revenus doit en effet s’appliquer à partir de 2014 à l’ensemble des entreprises, clubs inclus. Une mesure qui est la traduction de l’un de ses engagements phares de campagne. Le 27 février 2012, un mois après cette rencontre avec les dirigeants du football professionnel, il annonçait en effet en direct sur TF1 une taxe sur les revenus supérieurs à un million d’euros par an.  Aujourd’hui, le président ne veut plus d’exception pour le football, malgré la menace des clubs de football de faire grève fin novembre. Lors d’une réunion la semaine dernière à l’Elysée, François Hollande avait confirmé aux patrons de clubs que les clubs seront bien assujettis à la taxe à 75%. Interrogé mercredi sur i-Télé, Jean-Pierre Louvel, président de l’Union des clubs professionnels de football, a indiqué qu’il avait « rappelé » au chef de l’Etat cet engagement de campagne. « Il avait bien différencié les clubs des football des autres entreprises », a noté le patron du club du Havre. Et d’ajouter :  »Il est prisonnier d’annonces faites à l’emporte-pièce. »

 

Foot- Taxe à 75% : 15 clubs concernés

Foot- Taxe à 75% : 15 clubs concernés

Quinze clubs de Ligue 1 seront assujettis au nouvel impôt sur les revenus supérieurs à un million d’euros par an. Le PSG devra payer vingt millions d’euros. François Hollande est resté sur sa position. Après une heure et demie d’entretien avec les patrons du football français ce jeudi 31 octobre à l’Élysée, le président de la République a réaffirmé que la taxe à 75% sur les revenus supérieurs à un million d’euros par an concernerait bien les clubs de football.  Sur vingt clubs de Ligue 1, quinze seraient concernés par ce nouvel impôt, représentant un gain de 44 millions d’euros pour l’État. 116 joueurs et huit entraîneurs français touchent actuellement un salaire supérieur à un million d’euros par an. 21 d’entre eux jouent au Paris Saint-Germain qui devrait être imposé à hauteur de vingt millions d’euros.  Échappent à cette nouvelle taxe les clubs de Lorient, Nantes, Reims, Sochaux et Évian/Thonon.

 

Foot : la taxe à 75% , une perte de 44 millions pour les clubs

Foot :  la taxe à 75% , une perte de 44  millions pour les clubs

 

Le montant minimum des pertes que devraient annoncer les équipes françaises pour la saison 2012-2013 s’élève à 60  millions. Si l’on ajoute les 44 millions que coûterait cette taxe, leur déficit pourrait dépasser les 100 millions. Mais leurs comptes se sont dégradés bien avant que cette taxe ne s’applique. En 2011-2012, la Ligue 1 affichait déjà 100 millions de pertes. «La taxe à 75 % n’expliquerait pas à elle seule les difficultés financières des clubs français, affirme Frédéric Bolotny, économiste du sport au Centre de droit et d’économie du sport. Le football français est en surplace économique voire en récession.» En cause, l’envolée des salaires des joueurs. En 2011-2012, les joueurs de Ligue 1 ont vu leur rémunération progresser de près de 9 %. Mais également l’incapacité des clubs à développer d’autres ressources que les revenus télévisuels qui représentent encore 54 % de leurs recettes (contre une moyenne de 37 % pour les clubs européens). La billetterie ne pèse que 11 % de leurs revenus (contre 19 %) et le sponsoring, 16 % (contre 25 %). Un modèle à l’opposé de celui des clubs allemands qui, pour la plupart, ont parfaitement équilibré leurs recettes. Le Borussia Dortmund en est l’exemple le plus frappant. Au bord de la faillite en 2005, il a depuis gagné deux titres de champion, et terminé vice-champion d’Europe au printemps dernier. «Je n’ai pas fait un stade pour monter une équipe de CFA» Michel Seydoux, président de Lille  Dès lors, faut-il s’attendre à des dépôts de bilan, comme le craignent les présidents de clubs? Les dirigeants ont surtout peur de ne plus être compétitifs sur les scènes nationale et européenne. Car si la taxe à 75 % est appliquée, des équipes comme Lille, Lyon ou Marseille devront en effet se résoudre à vendre leurs joueurs les mieux rémunérés, et donc souvent les plus performants, pour alléger leur masse salariale. Des footballeurs souvent valorisés quelques dizaines de millions d’euros, en comparaison avec les cinq millions que coûterait la taxe à ces clubs. «Je n’ai pas fait un stade pour monter une équipe de CFA (championnat de football amateur)», lâche le président de Lille, Michel Seydoux. Pour les formations les plus modestes, comme Guingamp, Ajaccio, Bastia ou encore Valenciennes, la taxe ne pèserait qu’entre 0,2 % et 0,6 % du budget. Mais ces clubs n’ont pas vocation à jouer les premiers rôles en Ligue 1 car, sans leur faire injure, les stades se remplissent surtout pour voir des stars comme Zlatan Ibrahimovic, sous contrat jusqu’en 2016 avec le PSG. Le club parisien sera le plus touché par la taxe (20 millions sur un budget de 430 millions d’euros). Pour compenser cette nouvelle charge, il ne pourra certes plus compter sur les moyens illimités de son actionnaire – comme l’interdit désormais l’autorité européenne de football (UEFA) dans le cadre son fair-play financier – mais plutôt sur les ressources que le PSG est en train de développer, notamment le contrat en or de plus de 100 millions prêt à être signer avec l’office de tourisme du Qatar. Pendant deux ans, la durée d’application de la taxe, le foot français devra apprendre à se serrer encore un peu plus la ceinture. Une bonne manière de ne pas se faire gronder par l’UEFA qui exige désormais qu’il ne dépense pas plus que ce qu’il gagne.

 

 

Foot- Taxe à 75% :l’effet Leonarda, Hollande tranche

Foot- Taxe à 75% :l’effet Leonarda, Hollande tranche

Cette fois Hollande a tranché, la taxe à 75% s’appliquera au foot. En réalité il était prêt à négocier : la preuve il reçoit bientôt  les dirigeants des clubs ; pas vraiment une tâche de Présidente de la république ! La piteuse affaire Leonarda où Hollande s’est discrédité par son indécision a fait pencher la balance sur le foot. Cette fois, il fallait que Hollande se montre ferme sur les principes. Montrer ainsi qu’il était un vrai président avec de l’autorité et de la cohérence sur une taxe qui, elle, est incohérente. Ce sont en effet les joueurs qu’il faut viser et non les clubs. Ce sont les très hauts salaires et non les entreprises qu’il faut imposer. De toute manière cette taxe sent l’impréparation depuis le début puisqu’elle a été improvisé la veille d’un meeting de campagne présidentielle.  L’application de la taxe à 75% ne se fera pas à géométrie variable. C’est ce qu’a rappelé François Hollande vendredi, en marge du sommet européen, au lendemain de l’annonce de la grève des clubs de football professionnels pour fin novembre.  »La règle est la même pour tous », a assuré le président français en conférence de presse.  »La loi fiscale n’est pas encore votée mais lorsqu’elle le sera, elle doit être la même pour toutes les entreprises », a déclaré le chef de l’État. »Cela n’exclut pas un dialogue sur un certain nombre de difficultés que peuvent rencontrer des clubs professionnels », a-t-il toutefois ajouté. Dans cet esprit, a-t-il rappelé, « j’ai fait droit » à une demande de rendez-vous de Noël Le Graët, le président de la Fédération française de football qui sera reçu avec d’autres responsables du football français, jeudi à l’Élysée. 

 

Taxe 75% adoucie pour le foot

Taxe 75% adoucie pour le foot

 

Le texte  s’appliquera bien mais, elle sera adoucie pour le foot compte tenu de sa situation financière très délicate. « Une bulle spéculative »pour Founeron la Ministre des sports qui se trompe car elle confond spéculation et fuite en avant ; en effet la plupart des clubs sont en situation de quasi déficit du fait de l’ampleur de la masse salariale. Certes comme beaucoup de clubs en Europe mais à la différence près que les clubs français sont sportivement  inexistants par rapport à La Grande Bretagne, l’Espagne, l’Italie ou l’Allemagne depuis des dizaines d’années.  La taxe à 75% sur les hauts revenus s’appliquera donc bien aux clubs de football, dans une version « plafonnée », a déclaré la ministre des Sports, Valérie Fourneyron, dans Le Figaro de ce lundi 30 septembre. « Pourquoi les clubs seraient-ils exclus de cette taxe ? Comme l’a très bien dit Pierre Moscovici (ministre de l’Economie, ndlr), il n’y a pas de mesure dérogatoire et particulière pour le football qui sera bien concerné par la taxe sur les hauts revenus », explique la ministre. « En revanche, nous avons pris en compte la fragilité de son modèle économique. C’est pourquoi le montant sera plafonné à 5% en fonction du chiffre d’affaires des clubs », ajoute la ministre qui indique que la mesure s’appliquera sur « les revenus de 2013 et de 2014″.Le projet de loi de finances 2014 prévoit de taxer les entreprises lorsqu’elles versent des salaires de plus d’un million d’euros : il s’agit de la fameuse « taxe à 75% ». Son montant sera plafonné à 5% du chiffre d’affaires de l’entreprise. Valérie Fourneyron assure par ailleurs que « l’impact de cette nouvelle mouture sera, en revanche, bien inférieur aux chiffres avancés par Frédéric Thiriez« , le président de la Ligue de football professionnel (LFP). Il avait estimé que ce projet toucherait 13 clubs de Ligue 1 pour un montant global supérieur à 44 millions d’euros.Pour Valérie Fourneyron, « le football est une bulle spéculative qui peut exploser à tout moment. Par certains aspects, il ressemble à celle qui a provoqué la crise que nous connaissons actuellement ». Elle s’inquiète notamment du déficit des clubs français qui « va croissant depuis plusieurs années ». « La part de la masse salariale d’un certain nombre de clubs, qui ne sont pas parmi les plus gros, est inacceptable », pointe-t-elle aussi.

 

Foot: le PSG en mode vacances

Foot: Le PSG en mode vacances

 

A la veille du match contre Montpellier, nombre de commentateurs sportifs voyaient déjà le PSG vainqueur de la coupe européenne et bien sûr champion de France (y compris le président de la ligue) ; finalement un match insipide qui a démontré que le PSG est encore en mode vacances, pas d’engagement, encore moins d’agressivité, une condition physique approximative, pas de fond de jeu, pas d’adresse non plus. Il y a du chemin à parcourir pour le plus gros budget de la ligue ; Et Blanc qui sur la ligne de touche semble assez indifférent. Sur le papier le PSG est la meilleure équipe mais sur le terrain, il faudra encore le prouver. En tout cas un match d’une grande indigence   pour une telle équipe ; il faudra  leur, donner envie, favoriser une véritable animation du jeu. Globalement très peu de commentaires négatifs à l’égard de la première prestation dans le championnat de la grande équipe de Paris très loin du niveau attendu par beaucoup. Sur la tendance, si ce niveau de jeu devait se perpétuer, Blanc pourrait bien quitter le banc de touche avant la fin de l’année. Il faudra en effet une très forte personnalité et un grand technicien pour imposer à ces millionnaires du foot de mettre au service de l’équipe et de mouiller le maillot.

Nouveau stade de foot à Lyon : 400 millions

Nouveau stade de foot à Lyon : 400 millions

 

La filiale de l’OL chargée de la réalisation de l’enceinte située à Décines, dans l’est de l’agglomération, a signé les contrats de crédit bancaire ainsi que les contrats obligataires nécessaires au bouclage du budget de 405 millions d’euros, a annoncé OL Groupe.  Les crédits bancaires, regroupant « 11 établissements », portent sur 136,5 millions d’euros. Deux contrats de financement obligataire ont par ailleurs été signés avec Vinci, pour 80 millions d’euros, et avec la Caisse des dépôts et consignations, pour 32 millions.  Enfin, une émission obligataire de 80 millions d’euros, donnant accès au capital de la société, sera lancée « dans les tout prochains jours ». Mais les principaux actionnaires de l’OL se sont engagés à la souscrire, ôtant tout suspense à cette ultime étape.  Selon le président du club, Jean-Michel Aulas, les travaux de la future enceinte « devraient débuter le 1er août ». La mise en service est attendue pour la « seconde moitié de la saison 2015-2016″, avant d’accueillir l’Euro 2016.  Le montage financier, au point mort pendant des mois, a été débloqué le 19 juillet par le vote, au conseil général du Rhône, d’une garantie financière de 40 millions d’euros sur l’un des emprunts obligataires de l’OL.  Adoptée une première fois fin 2012, cette garantie avait été retirée fin mai, faute de précisions sur le schéma de financement de ce complexe de 58.000 places flanqué d’hôtels, immeubles de bureaux, centre de loisirs et « centre médical dédié au sport ».  Précisé samedi par OL Groupe, le montage comprend 135 millions d’euros de fonds propres, un financement obligataire de 112 millions d’euros, un total de dettes bancaires et location financière de 144,5 millions, ansi que des revenus garantis pendant la phase de construction pour environ 13,5 millions.  Jean-Michel Aulas a chiffré les retombées pour le club à « des centaines de millions d’euros sur les vingt prochaines années », soit « 70 à 100 millions d’euros de ressources complémentaires annuelles ».  OL Groupe attend également des « revenus significatifs » du futur contrat de « naming » du stade, « qui consiste à adjoindre le nom d’une société commerciale à une infrastructure sportive », à l’instar de l’Emirates Stadium d’Arsenal ou de l’Allianz Arena de Munich.  Faute d’avancée sur ce volet, en cours de négociations depuis plusieurs années, l’enceinte reste baptisée « Stade des Lumières ».  Le Grand Stade, projet lancé officiellement début 2007, devait être inauguré à l’été 2010. Mais il a connu de nombreuses péripéties, liées à la forte opposition locale conjuguée aux déboires financiers de l’OL.  OL Groupe s’était introduit en Bourse le 9 février 2007, levant 94,3 millions d’euros pour financer la construction du stade. La holding avait mis en avant les « revenus récurrents » à attendre de l’enceinte, contrepoint à ses résultats sportifs par nature aléatoires.  Mais le projet, d’abord retardé par un revers juridique et des enquêtes publiques défavorables, a ensuite souffert de la fragilité financière de l’OL, en perte depuis 2010 faute de transferts majeurs de joueurs.  L’opposition au Grand Stade, très virulente, rassemble une coalition hétéroclite mêlant Etienne Tête, conseiller régional EELV et avocat redouté dans les projets d’urbanisme, le député UMP Philippe Meunier et plusieurs associations de riverains.  Les opposants déplorent principalement l’impact écologique et la desserte de l’enceinte, dans l’est de l’agglomération, plus excentrée que l’actuel stade de Gerland situé à Lyon, et refusent toute aide publique pour ce projet « entièrement privé ».

 

Une loi sur le foot « durable »

Une loi sur le foot « durable »

 

Le député (PS) Jean Glavany va présider un groupe de travail sur le « football durable » composé des acteurs sportifs et politiques et chargé de nourrir la future loi de programmation sur le sport présentée en janvier 2014, a-t-on appris lundi auprès du ministère des sports. Ce groupe, qui sera opérationnel le 28 août, se penchera sur le modèle économique du foot, la place des stades dans le modèle, les transferts, la transposition en France du fair play financier, la transformation du modèle français de formation en source de richesse et de développement pour les clubs, la dépendance aux droits TV, l’acceptation sociale du foot.   »Cette initiative sera conduite en cohérence avec les chantiers en cours et les actions internationales », souligne le ministère qui précise qu’il s’agit de la « toute première initiative oecuménique sur le sujet où tous les acteurs concernés sont autour de la table. »  Noël Le Graët (président de la fédération française), Frédéric Thiriez (président de la Ligue de football professionnel), des représentants des clubs, de l’UEFA, des joueurs, des éducateurs, de l’Euro-2016, siègeront dans ce groupe ainsi que des ministères concernés (sports, intérieur, finance, travail), du parlement européen, de l’Assemblée nationale et du Sénat.

 

PSG- Foot: Léonardo suspendu, un arbitrage lamentable

PSG- FOOt: Léonardo suspendu, un arbitrage lamentable

 

Le PSG était très neveux sur le terrain, il l’est depuis plusieurs matchs. La qualité du jeu n’est pas non plus au rendez-vous. Pour autant la sanction à l’égard de Thiago Silva est scandaleuse, un joueur pourtant exemplaire autant dans son football que dans son comportement. Léonardo n’avait pas non plus à s’énerver dans le vestiaire mais tout cela est la conséquence  d’un arbitrage nul. Un arbitrage qui devrait se remettre en question car il n’est pas à la hauteur du niveau actuel du football.la plupart des arbitres du foot n’ont jamais pratiqué à un bon niveau et même pas du tout. Au contraire par exemple de ce qui se passe au basket où tous les arbitres sont d’anciens joueurs. Il faudrait aussi prendre exemple sur le rugby ou les arbitres privilégient la prévention par rapport à la sanction (et la règle de l’avantage) et quels respect de la part des joueurs pour l’arbitre, chapeau ! ! Un exemple à suivre.  ; Les chocs sont autrement plus rudes en rugby et même au basket alors qu’en football les joueurs passent leur temps à se rouler par terre au moindre frottement ; précisément parce que les arbitre n’y connaissent rien. Une solution consisterait former d’anciens pros et de les reconvertir dans l’arbitrage (comme pour les entraineurs). Il y a aussi le contexte, le PSG n’est pas aimé par les autres dirigeants notamment à cause de l’argent du Qatar, d’où cette décsion de la LFP. LFP qui finalemenet n’aime pas les grands clubs et explique la différence avec les clubs anglais, espagnols, allemands ou italiens. Tout cela sent l’approche franchouillarde et il n’y a pas que l’arbitrage à remettre en cause dans la politique de la LFP et de la FFF.  Le directeur sportif du Paris SG Leonardo a donc été suspendu mardi à titre conservatoire par la commission de discipline de la Ligue de football professionnel (LFP) pour son comportement à l’issue du match du Championnat de France contre Valenciennes dimanche (1-1).   Leonardo avait bousculé dans les couloirs du Parc des Princes l’arbitre de la rencontre, Alexandre Castro.   »La Commission, saisie par les rapports complémentaires de l’arbitre et du délégué, met le dossier en instruction et suspend Leonardo à titre conservatoire à compter du mercredi 8 mai 2013 en raison de la gravité des faits », explique la LFP dans un communiqué.  Pendant toute la durée de sa suspension, le Brésilien sera interdit d’accès au banc de touche et au vestiaire. Il est également suspendu de toute fonction officielle durant le temps de l’instruction.  La commission de discipline n’a pas dit quand elle comptait donner sa décision dans cette affaire.  Leonardo, qui ne s’est pas présenté mardi devant les membres de la commission, a démenti lundi auprès de l’AFP avoir bousculé M. Castro.   »Je voulais parler à l’arbitre et je l’attendais. Il y avait beaucoup de monde qui rentrait aux vestiaires. Et au moment où M. Castro arrive, il y a un délégué qui est devant moi au début et qui en cherchant à me bloquer, me pousse. Après, avec mon dos, je rentre en contact avec l’arbitre. C’est dur à voir sur les images en direct mais au ralenti on le voit », a-t-il expliqué.  Le défenseur du Paris SG Thiago Silva, dont l’exclusion lors du match contre Valenciennes est à l’origine de la colère de Leonardo contre l’arbitre, a lui été suspendu pour deux matches ferme. Le Brésilien manquera le match de dimanche à Lyon puis celui à Brest la semaine suivante. Il devrait faire son retour lors de la 38e et dernière journée, le 26 mai face à Lorient.

Foot- PSG : Tapie torpille Zlatan Ibrahimovic

Foot- PSG : Tapie torpille Zlatan Ibrahimovic

 

 Invité par Le Parisien à donner son avis sur Zlatan Ibrahimovic, Bernard Tapie n’a pas été tendre avec l’attaquant du PSG qu’il juge inconstant. Bernard Tapie n’est pas connu pour avoir sa langue dans sa poche. Alors au moment où Le Parisien l’a interrogé sur l’attaquant suédois du PSG Zlatan Ibrahimovic, l’ancien président de l’OM, que le club de la Capitale affrontera dimanche, a respecté la tradition : « C’est simple : si tu veux enrôler le meilleur buteur du championnat (ndlr : 21 buts cette saison), tu le prends les yeux fermés. Mais si tu veux aussi que ton équipe joue à dix 80 % du temps parce qu’il y a un gars qui n’en fait qu’à sa tête, tu le prends aussi. »

FOOT-fiscalité : le président » la vertu » du Bayern a planqué 10 milions en Suisse

FOOT-fiscalité : le président » la vertu » du Bayern a planqué 10 milions en Suisse

. Samedi 20 avril, l’hebdomadaire allemand Focus avait ainsi révélé qu’Uli Hoeness, le président du Bayern Munich, l’un des plus grands clubs de football au monde, avait avoué détenir, lui aussi, un compte bancaire dans le pays helvétique. Le dirigeant serait passé aux aveux en janvier dernier. Le parquet de Munich a depuis diligenté une enquête pour vérifier que la confession du dirigeant bavarois était « exacte et complète ».  dimanche 21 avril, Bild, important quotidien d’outre-Rhin, affirme désormais que le montant caché par le président du club de football bavarois s’élèverait à 10 millions d’euros. Jusque-là, Uli Hoeness a refusé de divulguer les montants en jeu mais, selon Bild, qui ne cite pas ses sources, Hoeness, aurait déjà payé près de six millions d’euros en arriérés d’impôts. Le responsable du syndicat des contribuables allemands, Thomas Eigenthaler, estime en se basant sur ce montant que le président du Bayern Munich, qui possède une prospère société de production de saucisses, a sans doute exfiltré au moins 10 millions d’euros de revenus en Suisse.  Uli Hoeness souhaitait régulariser sa situation dans le cadre d’un accord de double imposition négocié l’année dernière entre la Suisse et l’Allemagne pour lutter contre la fraude fiscale, qui lui aurait permis d’être blanchi en s’acquittant d’une seule pénalité, mais l’opposition sociale-démocrate (SPD) a torpillé cette mesure. Peer Steinbrück, chef de file du SPD et rival de la chancelière Angela Merkel pour les législatives de l’automne, en a d’ailleurs profité pour dénoncer ceux qui, comme Hoeness, espéraient s’en tirer « anonymement et être amnistiés a posteriori ».« Il mérite d’être traité comme le prévoit un Etat de droit (…) Il ne doit pas y avoir de prime à la célébrité », a-t-il déclaré à la télévision régionale SWR.  Par ailleurs, Uli Hoeness a donné l’occasion rêvé à ses détracteurs de le tacler (verbalement) Cette affaire survient alors que le président du Bayern s’est par plusieurs fois fait le chantre de l’honnêteté. Il plaide, par exemple, en faveur du « fair-play » financier prôné par l’UEFA , pour pénaliser les clubs qui construisent leur succès sur des montagnes de dettes, notamment espagnols et anglais. La presse allemande s’en donnait d’ailleurs à cœur joie, rappelant toutes les fois où le patron du Bayern a clamé haut et fort dans des interviews son intégrité. »Je sais bien que c’est idiot, mais je paie mes impôts au prix fort », avait-il par exemple déclaré à Bild en 2005.

 

FOOT: Déficit record pour le football européen

FOOT: Déficit record pour le football européen

 

En 2011, les clubs européens ont creusé leurs déficits à 1,7 milliards d’euros cumulés, dont la moitié est imputable à seulement dix clubs. Un nouveau record après ceux établis en 2010 (1,64 Mds€) et 2009 (1,2 Mds €).  Cette détérioration des finances des clubs européens est d’autant plus spectaculaire que leurs pertes cumulées n’atteignaient que… 600 millions d’Euros en 2007. Les pertes cumulées en 2011 par les clubs participants aux compétitions européennes cette saison s’élèvent à 480 M€.  L’étude de l’UEFA souligne qu’en dépit de la croissance de leurs recettes globales, qui s’élèvent à 13,2 Mds€ en 2011 (+3% par rapport à 2010), les clubs européens  ont investi une faible part de leur l’augmentation de leurs recettes à des investissements à long terme. La valeur des immobilisations corporelles (stade, terrains d’entraînement, centre de formation et autres équipements) des 237 clubs inscrits dans les compétitions de l’UEFA cette saison s’élève à 4,8 Mds€. Une somme inférieure aux dépenses allouées aux salaires des joueurs et coûts y relatifs en 2011  (6,9 Mds€). Le contrôle de la masse salariale demeure le plus grand défi des clubs européens. Les salaires et frais y relatifs se sont en effet accrus de 38% entre 2007 et 2011, absorbant ainsi totalement la croissance des recettes lors de la même période (24%). Les frais de personnel et les frais de transferts nets combinés s’élèvent désormais à 71% des recettes des clubs européens.  Le dernier exercice de simulation du fair-play financier pour les trois dernières saisons (2009 à 2011 inclus) indique que 46 clubs de 22 pays auraient dû améliorer leur bilan financier en recapitalisant si l’exigence relative à l’équilibre financier avait déjà été en vigueur. Le pourcentage de clubs déclarants des fonds propres nets négatifs est passé de 36 à 38% en 2011. Un club européen sur sept a même vu ses réviseurs exprimer des doutes concernant la poursuite de son exploitation.  Dans une simulation  couvrant les exercices 2009, 2010 et 2011, 14 clubs inscrits dans les compétitions européennes ont présenté un déficit supérieur à 45 M€. Ce qui les place en dehors des clous du fair-play financier.  32 autres clubs présentent un déficit compris entre 5 et 45 M€, ce qui nécessiterait  des investissements de fonds propres ou une recapitalisation jusqu’à 40 M€ avant la fin de l’année pour passer le cut. On l’a compris beaucoup de travail reste  à fournir pour améliorer la santé financière des clubs européens.  Mais les premiers effets du fair-play financier commencent à se faire sentir. Ainsi des améliorations ont été enregistrées avec la réduction de 47% des arriérés  de paiement résultant d’activités de transfert et des arriérés de paiement envers le  personnel entre la première évaluation en juin 2011 et celle de juin 2012. Déjà en vigueur, le volet sur les arriérés de paiement du fair-play financier a déjà conduit à l’exclusion de Malaga pour les compétitions européennes la saison prochaine.  La pédagogie de la sanction semble avoir du bon.

 

 

Nouveau :- site chansons-poèmes de  g.bessay:

http://chansontroisiemeage.unblog.fr/

1...2223242526



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol