Archive pour le Tag 'folle'

C8 et Hanouna: arrivée de la folle Ségolène Royal !

C8 et Hanouna: arrivée de la folle Ségolène Royal !


Une folle de plus dans la pitoyable émission de beaufs d’Hanouna avec l’exhibitionniste Ségolène Royal. Celle qui s’est elle-même complètement détruite politiquement par ses sorties abracadabrantes voire scandaleuses, exemple ses positions sur l’Ukraine, va tenter d’exister encore un peu médiatiquement médiatiquement

L’animateur et producteur de l’émission lancée en avril 2010 promet de nombreuses « nouveautés ». Jeudi dernier sur C8, il annonçait la signature de « deux nouveaux chroniqueurs, un homme et une femme » en les qualifiant d’animateurs « stars de la télé », en fait des troisièmes couteaux à savoir’Alex Goude et d’Évelyne Thomas.

À. Nous n’avons jamais eu autant de demandes, de grands noms veulent nous rejoindre. » L’animateur a notamment mentionné les recrutements « d’une personne qui vient du monde de la politique » et d’une autre « connue presque mondialement » avec la volonté de renforcer le positionnement de C8 les samedis et dimanches.

Selon Puremedias, outre le retour d’Éric Naulleau, Cyril Hanouna pourra compter sur Ségolène Royal dans cette nouvelle émission du week-end. Quant à la personnalité « mondialement connue », il pourrait s’agir de l’ancienne « escort girl » devenue « femme d’affaires », Zahia Dehar , selon Public . Bref de quoi encore séduire le public potentiel de » C8 beaufs » avec de la vulgarité et de la nullité.

Crise immobilier: La conséquence d’une urbanisation folle

Crise immobilier: La conséquence d’une urbanisation folle


Comme souvent, il y a bien sûrs plusieurs facteurs explicatifs pour tenter de comprendre la grave crise du logement qui se prépare et pourrait déboucher sur l’éclatement d’une bulle. En clair sur un effondrement de la production en même temps que des prix. Parmi les facteurs explicatifs, il faut surtout prendre en compte le coût du foncier qui en moyenne équivaut à peu près à la moitié du prix du logement. Des prix qui se sont envolés car la demande est surtout concentrée dans les métropoles et autres grandes villes où on a aussi concentré l’emploi. Du coup même à 10 ou 20 km du centre, le foncier a enregistré des augmentations qui d’une certaine manière tuent l’activité du logement. Des augmentations du foncier économiquement non fondées et qui sont le résultat de la pure spéculation.

Pour résoudre ce problème il faudrait évidemment remettre en cause la philosophie de la métropolisation qui a pour objet de concentrer la population dans 10 à 15  villes de plus d’un million d’habitants. Le reste du territoire étend abandonné aux moins favorisés contraints de faire des déplacements domicile travail de 40,60, voire 100 kms par jour. Ce qui est en cause c’est évidemment le concept d’aménagement du territoire.

Les mesures cosmétiques du gouvernement ne sont évidemment pas à la hauteur de l’enjeu. Les mesures cosmétiques du gouvernement ne sont évidemment pas à la hauteur de l’enjeu. La situation est problématique tant dans le neuf que sur le marché de la location. . Sur les trois premiers mois, les ventes de logements collectifs se sont effondrées de 34 % par rapport à la même période de l’année précédente. Et la chute atteint 46 % par rapport au premier trimestre 2019. Les acheteurs-habitants sont en très fort recul (- 31 %), mais c’est encore pire du côté des investisseurs (- 52 %). Cette dégringolade du marché du neuf a forcément ses conséquences sur l’activité des professionnels de la construction. La Fédération française du bâtiment (FFB) estime à 100.000 le nombre d’emplois menacés à un horizon de 18 à 24 mois.

Crise logement: La conséquence d’une urbanisation folle

Crise logement: La conséquence d’une urbanisation folle


Comme souvent, il y a bien sûrs plusieurs facteurs explicatifs pour tenter de comprendre la grave crise du logement qui se prépare et pourrait déboucher sur l’éclatement d’une bulle. En clair sur un effondrement de la production en même temps que des prix. Parmi les facteurs explicatifs, il faut surtout prendre en compte le coût du foncier qui en moyenne équivaut à peu près à la moitié du prix du logement. Des prix qui se sont envolés car la demande est surtout concentrée dans les métropoles et autres grandes villes où on a aussi concentré l’emploi. Du coup même à 10 ou 20 km du centre, le foncier a enregistré des augmentations qui d’une certaine manière tuent l’activité du logement. Des augmentations du foncier économiquement non fondées et qui sont le résultat de la pure spéculation.

Pour résoudre ce problème il faudrait évidemment remettre en cause la philosophie de la métropolisation qui a pour objet de concentrer la population dans 10 à 15  villes de plus d’un million d’habitants. Le reste du territoire étend abandonné aux moins favorisés contraints de faire des déplacements domicile travail de 40,60, voire 100 kms par jour. Ce qui est en cause c’est évidemment le concept d’aménagement du territoire.

Les mesures cosmétiques du gouvernement ne sont évidemment pas à la hauteur de l’enjeu. Les mesures cosmétiques du gouvernement ne sont évidemment pas à la hauteur de l’enjeu. La situation est problématique tant dans le neuf que sur le marché de la location. . Sur les trois premiers mois, les ventes de logements collectifs se sont effondrées de 34 % par rapport à la même période de l’année précédente. Et la chute atteint 46 % par rapport au premier trimestre 2019. Les acheteurs-habitants sont en très fort recul (- 31 %), mais c’est encore pire du côté des investisseurs (- 52 %). Cette dégringolade du marché du neuf a forcément ses conséquences sur l’activité des professionnels de la construction. La Fédération française du bâtiment (FFB) estime à 100.000 le nombre d’emplois menacés à un horizon de 18 à 24 mois.

Crise logement: La conséquence d’une urbanisation folle

Crise logement: La conséquence d’une urbanisation folle


Comme souvent, il y a bien sûrs plusieurs facteurs explicatifs pour tenter de comprendre la grave crise du logement qui se prépare et pourrait déboucher sur l’éclatement d’une bulle. En clair sur un effondrement de la production en même temps que des prix. Parmi les facteurs explicatifs, il faut surtout prendre en compte le coût du foncier qui en moyenne équivaut à peu près à la moitié du prix du logement. Des prix qui se sont envolés car la demande est surtout concentrée dans les métropoles et autres grandes villes où on a aussi concentré l’emploi. Du coup même à 10 ou 20 km du centre, le foncier a enregistré des augmentations qui d’une certaine manière tuent l’activité du logement. Des augmentations du foncier économiquement non fondées et qui sont le résultat de la pure spéculation.

Pour résoudre ce problème il faudrait évidemment remettre en cause la philosophie de la métropolisation qui a pour objet de concentrer la population dans 10 à 15  villes de plus d’un million d’habitants. Le reste du territoire étend abandonné aux moins favorisés contraints de faire des déplacements domicile travail de 40,60, voire 100 kms par jour. Ce qui est en cause c’est évidemment le concept d’aménagement du territoire.

Les mesures cosmétiques du gouvernement ne sont évidemment pas à la hauteur de l’enjeu. Les mesures cosmétiques du gouvernement ne sont évidemment pas à la hauteur de l’enjeu. La situation est problématique tant dans le neuf que sur le marché de la location. . Sur les trois premiers mois, les ventes de logements collectifs se sont effondrées de 34 % par rapport à la même période de l’année précédente. Et la chute atteint 46 % par rapport au premier trimestre 2019. Les acheteurs-habitants sont en très fort recul (- 31 %), mais c’est encore pire du côté des investisseurs (- 52 %). Cette dégringolade du marché du neuf a forcément ses conséquences sur l’activité des professionnels de la construction. La Fédération française du bâtiment (FFB) estime à 100.000 le nombre d’emplois menacés à un horizon de 18 à 24 mois.

Guerre en Ukraine : La faute à Zelinsky (Ségolène, la folle du Poitou) !

Guerre en  Ukraine  : La faute à Zelinsky  (Ségolène, la folle du Poitou) !

Ségolène Royal, la folle du Poitou, ne sait plus quoi faire pour se singulariser et exister politiquement. Malheureusement pour elle elle n’a pu décrocher le moindre poste au plan national et international en dépit de ces démarches très appuyées y compris auprès de Macron.

 

« On ne peut pas lui faire confiance », Estime un conseiller ministériel. Avant qu’un membre du gouvernement ajoute : « Elle souffle le chaud et le froid en fonction des postes qu’elle vise. Tout est calculé en fonction de son propre intérêt. » Aujourd’hui, entre Ségolène et Macron « le lien est totalement rompu. »Du coup, elle multiplie les prises de position anachroniques voire fantaisistes et même scandaleuses. Elle considère en effet que la guerre en Ukraine est imputable aux provocations du président ukrainien. En clair elle se situe du côté de Poutine.

L’ancienne ministre, invitée ce jeudi sur le plateau de BFMTV, a dénoncé une « propagande de guerre par la peur » de la part du président Volodymyr Zelensky.

« La paix en Ukraine n’est pas rendue impossible par les victimes de l’invasion, mais par la volonté de conquête de Poutine! », a réagi sur Twitter le Premier secrétaire du PS Olivier Faure.

« Les crimes de guerre sont documentés, le nier est une insulte aux assassinés, aux violées, aux torturés ! Dire le contraire est de la propagande ! », a-t-il poursuivi.

Dans un autre tweet, il a ajouté: « Elle dit que la dénonciation des crimes (dont elle doute) a un objet: entraver le processus de paix. Les agressés deviennent les bellicistes. Jusqu’à preuve du contraire les Ukrainiens sont les résistants dans une guerre qu’ils n’ont pas choisie », a-t-il critiqué.

Le député européen Raphaël Glucksmann (Place publique), a lui aussi dénoncé un « naufrage. Total ».

Stopper la folle inflation des lois

Stopper la folle inflation des lois 

 


 la folle inflation des lois  se résume en quelques chiffres : « il y aurait aujourd’hui près de 400.000 normes, 11.500 lois avec leurs 320.000 articles auxquels il convient d’ajouter 130.000 décrets ». L’inflation des lois qui se sont succédé « frénétiquement » depuis vingt-cinq ans est source de dispositions contradictoires et nuit au travail quotidien de la justice, constatent les magistrats Jean-Rémi Costa et Alexandre Stobinsky, dans une tribune au « Monde ».

 

Et si ce quinquennat était enfin celui de la sobriété législative ? Contraints par une absence de majorité absolue, le gouvernement et les députés de la majorité vont devoir faire moins, au grand bonheur du droit. La paralysie de l’Assemblée nationale est une aubaine pour le droit pénal, car, depuis vingt-cinq ans, les lois en matière pénale – mais le droit civil n’est pas en reste – se sont succédé frénétiquement.

La liste, non exhaustive, est vertigineuse : loi du 17 juin 1998 sur la prévention et la répression des infractions sexuelles ; loi du 15 juin 2000 renforçant la protection de la présomption d’innocence et les droits des victimes (loi Guigou) ; loi du 9 septembre 2002 d’orientation et de programmation pour la justice (loi Perben 1) ; loi du 9 mars 2004 sur l’adaptation de la justice aux évolutions de la criminalité (loi Perben 2) ; loi du 12 décembre 2005 relative au traitement de la récidive des infractions pénales ; loi du 10 août 2007 renforçant la lutte contre la récidive des majeurs et des mineurs (instauration des peines planchers) ; loi du 24 novembre 2009 pénitentiaire (loi Dati) ; loi du 6 décembre 2013 relative à la lutte contre la fraude fiscale et la grande délinquance économique et financière ; loi du 15 août 2014 relative à l’individualisation des peines et renforçant l’efficacité des sanctions pénales (loi Taubira) ; loi du 27 février 2017 portant réforme de la prescription en matière pénale ; loi du 3 août 2018 sur la lutte contre les violences sexuelles et sexistes ; loi du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice ; loi du 30 juillet 2020 visant à protéger les victimes de violences conjugales ; loi du 24 décembre 2020 relative au Parquet européen, à la justice environnementale et à la justice pénale spécialisée ; loi du 21 avril 2021 visant à protéger les mineurs des crimes et délits sexuels et de l’inceste ; loi du 24 janvier 2022 relative à la responsabilité pénale et à la sécurité intérieure…

Certains intitulés prennent même acte de cette litanie, comme la loi du 17 mai 2011 sur la simplification et l’amélioration de la qualité du droit. D’autres évoquent, comme un constat d’échec, les conséquences de cette crise législative, telle la loi du 22 décembre 2021 pour la confiance dans l’institution judiciaire.

Le code pénal a encaissé soixante et onze versions entre 2017 et 2021, soit presque autant (soixante-dix) qu’entre 1994, année de son entrée en vigueur, et 2004. Si le chiffre peut paraître fou, mieux vaut ne pas regarder l’évolution dans le temps du code de procédure pénale au risque de se trouver mal. Celui-ci a connu cinquante-quatre versions entre sa création en 1957 et l’année 1974, alors que cela représente désormais une seule année de modifications (cinquante-cinq versions en 2010, cinquante-six en 2016 et cinquante-trois en 2021).

Enfin l’arrêt de la folle inflation des lois ?

Enfin l’arrêt de la folle inflation des lois ?

 

L’inflation des lois qui se sont succédé « frénétiquement » depuis vingt-cinq ans est source de dispositions contradictoires et nuit au travail quotidien de la justice, constatent les magistrats Jean-Rémi Costa et Alexandre Stobinsky, dans une tribune au « Monde ».

 

Et si ce quinquennat était enfin celui de la sobriété législative ? Contraints par une absence de majorité absolue, le gouvernement et les députés de la majorité vont devoir faire moins, au grand bonheur du droit. La paralysie de l’Assemblée nationale est une aubaine pour le droit pénal, car, depuis vingt-cinq ans, les lois en matière pénale – mais le droit civil n’est pas en reste – se sont succédé frénétiquement.

La liste, non exhaustive, est vertigineuse : loi du 17 juin 1998 sur la prévention et la répression des infractions sexuelles ; loi du 15 juin 2000 renforçant la protection de la présomption d’innocence et les droits des victimes (loi Guigou) ; loi du 9 septembre 2002 d’orientation et de programmation pour la justice (loi Perben 1) ; loi du 9 mars 2004 sur l’adaptation de la justice aux évolutions de la criminalité (loi Perben 2) ; loi du 12 décembre 2005 relative au traitement de la récidive des infractions pénales ; loi du 10 août 2007 renforçant la lutte contre la récidive des majeurs et des mineurs (instauration des peines planchers) ; loi du 24 novembre 2009 pénitentiaire (loi Dati) ; loi du 6 décembre 2013 relative à la lutte contre la fraude fiscale et la grande délinquance économique et financière ; loi du 15 août 2014 relative à l’individualisation des peines et renforçant l’efficacité des sanctions pénales (loi Taubira) ; loi du 27 février 2017 portant réforme de la prescription en matière pénale ; loi du 3 août 2018 sur la lutte contre les violences sexuelles et sexistes ; loi du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice ; loi du 30 juillet 2020 visant à protéger les victimes de violences conjugales ; loi du 24 décembre 2020 relative au Parquet européen, à la justice environnementale et à la justice pénale spécialisée ; loi du 21 avril 2021 visant à protéger les mineurs des crimes et délits sexuels et de l’inceste ; loi du 24 janvier 2022 relative à la responsabilité pénale et à la sécurité intérieure…

Certains intitulés prennent même acte de cette litanie, comme la loi du 17 mai 2011 sur la simplification et l’amélioration de la qualité du droit. D’autres évoquent, comme un constat d’échec, les conséquences de cette crise législative, telle la loi du 22 décembre 2021 pour la confiance dans l’institution judiciaire.

Le code pénal a encaissé soixante et onze versions entre 2017 et 2021, soit presque autant (soixante-dix) qu’entre 1994, année de son entrée en vigueur, et 2004. Si le chiffre peut paraître fou, mieux vaut ne pas regarder l’évolution dans le temps du code de procédure pénale au risque de se trouver mal. Celui-ci a connu cinquante-quatre versions entre sa création en 1957 et l’année 1974, alors que cela représente désormais une seule année de modifications (cinquante-cinq versions en 2010, cinquante-six en 2016 et cinquante-trois en 2021).

L’envolée folle des coûts du transport maritime

L’envolée folle des coûts du transport maritime

 

 

Le coût d’un containers de 20 pieds de Chine en Europe représentait  de l’ordre de 1000 $ avant la crise, désormais ce coût est passé à plus de 8000 $. En cause une désorganisation complète des systèmes logistiques qui ne parviennent pas à rattraper le retard à la crise sanitaire. Une augmentation du fret maritime qui se répercute évidemment sur les coûts de production et de distribution et qui alimente l’inflation de la même matière que la hausse des métaux et autres terres rares. Le pire n’est peut-être pas d’ailleurs dans la hausse du prix fret maritime mais dans les retards de livraison qui font monter la note à la consommation du fait de l’incapacité de l’offre actuelle à répondre à la reprise de la demande. Certains experts considèrent que l’inflation ainsi générée est transitoire. Le problème est que la taxe carbone envisagée un peu partout dans le monde pourrait prendre le relais des surcoûts engendrés par la crise sanitaire

 

Le CAC 40 poursuit sa folle ascension, jusqu’à quand

Le CAC 40 poursuit sa folle ascension, jusqu’à quand

 

Il est clair que les valeurs boursières sont engagées dans une course folle à la hausse qui pourrait bien se terminer un jour par un éclatement de bulles financières. En effet, rien ne justifie réellement les hausses records enregistrées aux États-Unis bien sûr mais aussi en France. En France où précisément les résultats des entreprises et l’activité sont en pleine contradiction avec l’évolution des valeurs. En réalité, cette embolie financière est surtout due  aux masses de liquidités consenties par la banque centrale y compris la banque centrale européenne en direction des banques et autres institutions qui réaffectent une partie de cet argent gratuit pour spéculer sur les marchés financiers.

Ainsi le  CAC 40 a gagné plus de 10% depuis le début de l’année, affichant l’une des meilleures performances boursières dans le monde. Il se rapproche du pic de 2007 à 6.168 points, mais reste encore loin du sommet historique de 2000 à 6.922 points.

 

Pourtant contrairement aux États-Unis ou encore à la Chine les perspectives de croissance de la France sont relativement modestes. On prévoyait au début de l’année une évolution du pipe de 6 % mais du fait du développement d’une nouvelle phase de la pandémie, le ministre de l’économie lui-même a été contraint de revoir sa prévision à seulement 5 % de croissance pour 2021. Qui semble d’ailleurs encore assez optimiste. On sera encore nettement sous le niveau d’activité de 2019 ( l’activité a reculé de 6,6 % en 2020).

 

L’indice phare de la place parisienne poursuit donc son ascension. Le CAC 40 a ainsi terminé la séance de mardi à 6.131 points, à quelques encablures de son pic de juin 2007 (6.168 points), avant les premiers craquements annonciateurs de la pire crise financière depuis la Seconde Guerre mondiale. politiques monétaires ultra-accommodantes des banques centrales ont artificiellement gonflé le prix de certains actifs, comme les valeurs de croissance ou de technologie où cela en contradiction avec l’évolution globale de l’économie et des entreprises..

La folle dérive totalitaire de la Chine

La folle dérive totalitaire de la Chine

 

Les dirigeants chinois sont convaincus que l’équilibre du pouvoir sur la scène internationale penche maintenant en leur faveur par Alain Frachon, éditorialiste au « Monde »

 

Chronique.

 

Comment dit-on « hubris » en mandarin ? La Chine officielle traverse une épidémie d’autosatisfaction aiguë. Oublieuse des mérites de l’autocritique, elle exulte de joie, toute à la contemplation narcissique de sa puissance retrouvée. La Chine pense qu’elle gagne la course à la prépondérance mondiale et ce sentiment commande son comportement. A l’intérieur de ses frontières comme sur la scène internationale.

Vous n’avez pas de leçon de morale à nous donner, nous parlons d’égal à égal, votre système de gouvernement ne suscite plus l’envie du monde. Tout était dit dans la réplique des Chinois, jeudi 18 mars, à Anchorage (Alaska), aux reproches que formulaient leurs hôtes américains : Ouïgours, Hongkong, Taïwan, cyberespionnage, mer de Chine et autres manifestations d’une Chine répressive à l’intérieur et agressive à l’extérieur.

Le même sentiment de superpuissance assumée explique les sanctions prises par Pékin à l’encontre de parlementaires et d’essayistes européens. Ils sont visés non pour ce qu’ils ont fait – ce ne sont pas des acteurs gouvernementaux – mais pour ce qu’ils disent de la Chine.

L’Orient est en phase ascendante et l’Occident sur la pente du déclin. Le jugement serait du président Xi Jinping, cité sur un site gouvernemental, rapporte le New York Times, le 5 mars. Devant la session de l’Assemblée populaire début mars, Xi aurait confié : « La Chine peut maintenant regarder le monde dans les yeux. » Pékin ne le dit pas encore mais les dirigeants chinois sont convaincus que l’équilibre du pouvoir sur la scène internationale penche maintenant en leur faveur. Aux dépens des Etats-Unis.

Pour assurer sa suprématie, la Chine compte sur la puissance de son économie et sur sa créativité technologique – les voies du pouvoir au XXIe siècle. Elle n’entend pas rivaliser avec le réseau d’alliances militaires des Etats-Unis ni avec le budget du Pentagone. Selon les conseillers de Joe Biden, Pékin développe une diplomatie de la dépendance : établir des situations plaçant nombre de ses partenaires sous tutelle économique ou technologique.

L’objectif est la conquête d’une influence politique par le biais des réseaux chinois. Toute la puissance des entreprises de high-tech du pays, massivement subventionnées par l’Etat, est au service d’une stratégie d’expansion politique. Créer dans le monde entier de la dépendance aux technologies et à l’économie chinoises doit permettre à Pékin d’accroître son leadership. A un moment ou à un autre, un pays en affaires avec la Chine ne peut sans conséquence se brouiller politiquement avec elle. L’Australie paie cher – le boycottage de ses exportations – d’avoir osé demander une enquête sur les origines du Covid-19.

 

La folle dérive totalitaire de la Chine

La folle dérive totalitaire de la Chine

 

Les dirigeants chinois sont convaincus que l’équilibre du pouvoir sur la scène internationale penche maintenant en leur faveur par Alain Frachon, éditorialiste au « Monde »

 

Chronique.

 

Comment dit-on « hubris » en mandarin ? La Chine officielle traverse une épidémie d’autosatisfaction aiguë. Oublieuse des mérites de l’autocritique, elle exulte de joie, toute à la contemplation narcissique de sa puissance retrouvée. La Chine pense qu’elle gagne la course à la prépondérance mondiale et ce sentiment commande son comportement. A l’intérieur de ses frontières comme sur la scène internationale.

Vous n’avez pas de leçon de morale à nous donner, nous parlons d’égal à égal, votre système de gouvernement ne suscite plus l’envie du monde. Tout était dit dans la réplique des Chinois, jeudi 18 mars, à Anchorage (Alaska), aux reproches que formulaient leurs hôtes américains : Ouïgours, Hongkong, Taïwan, cyberespionnage, mer de Chine et autres manifestations d’une Chine répressive à l’intérieur et agressive à l’extérieur.

Le même sentiment de superpuissance assumée explique les sanctions prises par Pékin à l’encontre de parlementaires et d’essayistes européens. Ils sont visés non pour ce qu’ils ont fait – ce ne sont pas des acteurs gouvernementaux – mais pour ce qu’ils disent de la Chine.

L’Orient est en phase ascendante et l’Occident sur la pente du déclin. Le jugement serait du président Xi Jinping, cité sur un site gouvernemental, rapporte le New York Times, le 5 mars. Devant la session de l’Assemblée populaire début mars, Xi aurait confié : « La Chine peut maintenant regarder le monde dans les yeux. » Pékin ne le dit pas encore mais les dirigeants chinois sont convaincus que l’équilibre du pouvoir sur la scène internationale penche maintenant en leur faveur. Aux dépens des Etats-Unis.

Pour assurer sa suprématie, la Chine compte sur la puissance de son économie et sur sa créativité technologique – les voies du pouvoir au XXIe siècle. Elle n’entend pas rivaliser avec le réseau d’alliances militaires des Etats-Unis ni avec le budget du Pentagone. Selon les conseillers de Joe Biden, Pékin développe une diplomatie de la dépendance : établir des situations plaçant nombre de ses partenaires sous tutelle économique ou technologique.

L’objectif est la conquête d’une influence politique par le biais des réseaux chinois. Toute la puissance des entreprises de high-tech du pays, massivement subventionnées par l’Etat, est au service d’une stratégie d’expansion politique. Créer dans le monde entier de la dépendance aux technologies et à l’économie chinoises doit permettre à Pékin d’accroître son leadership. A un moment ou à un autre, un pays en affaires avec la Chine ne peut sans conséquence se brouiller politiquement avec elle. L’Australie paie cher – le boycottage de ses exportations – d’avoir osé demander une enquête sur les origines du Covid-19.

 

« La folle de Ségo »: ( Jean-Yves Le Drian)

« La folle de Ségo »: ( Jean-Yves Le Drian)

 

Ce n’est pas une pièce de théâtre, comme la folle de Chaillot de Jean Giraudoux mais simplement une appréciation portée sur Ségolène Royal par l’ancien socialiste Jean-Yves le Drian devenu le ministre des Affaires étrangères de Macron.

 Jean-Yves le Drian  a envoyé peu avant le remaniement par erreur un message évoquant « l’autre folle de Ségo » à… Ségolène Royal elle-même.

Ségolène Royal avait subi des railleries pour avoir annoncé sur BFMTV lors d’une interview qu’elle avait été contactée par l’exécutif pour éventuellement intégrer la nouvelle équipe gouvernementale peu avant le remaniement.

« J’ai été appelé par un proche du président de la République. On connait mes convictions, on sait qui je suis et j’ai dit: ‘Si c’est pour mener une politique plus sociale, plus écologique et plus démocratique, faites-moi une proposition’ », avait-t-elle assuré sur BFMTV.

L’Elysée avait ensuite démenti tout contact ce qui avait causé des moqueries sur ses ambitions. Finalement elle a expliqué que c’est par l’intermédiaire d’un SMS du ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian qu’elle avait été contactée.

À l’occasion du renouvellement du gouvernement Jean-Yves Le Drian aurait donc contacté de sa propre initiative Ségolène Royal mais bien involontairement. Finalement, le président de la République semble préférer le profil de l’écologiste Barbara Pompili. Ce à quoi Jean-Yves Le Drian comptait répondre par SMS au Président: « Pompili très bien, c’est quand même mieux que l’autre folle de Ségo ». Sauf qu’il se troupe de destinataire et envoie ce SMS à… Ségolène Royal. L’ancienne candidate à la présidentielle aurait quand même tenté de prendre contact avec le Président suite à cela, sans succès. Ce qui ne l’a pas empêché de clamer partout qu’elle avait été sollicitée et même qu’elle avait refusé compte tenu de l’étroitesse du portefeuille proposé !

Finalement, Barbara Pompili sera bien nommée quelques jours plus tard ministre de la Transition écologique dans le gouvernement de Jean Castex.

 

La France victime d’une « bureaucratie folle » (Emmanuel Todd)

La France victime  d’une « bureaucratie folle » (Emmanuel Todd)

Les inégalités n’augmentent pas en France, mais la lutte des classes est proche d’ après une interview de Emmanuel Todd dont rend compte Europe 1. (Emmanuel Todd -auteur de  Les Luttes de classes en France au XXIe siècle (Seuil).

 

« À part ce qui concerne les 1% les plus privilégiés, et les 0,1% à l’intérieur, les inégalités n’augmentent pas en France. Ça peut parait contradictoire avec une idée de lutte des classes. Mais la lutte des classes que j’envisage pour le futur, c’est tout le monde contre les 1% d’en haut. C’est une lutte des classes simple, comme lorsque l’on dégomme une aristocratie. La lutte des classes, c’est un truc simple : il faut qu’une écrasante majorité de la population se soulève, en un sens symbolique », développe Emmanuel Todd au micro d’Europe 1.

Pour l’essayiste, notre société est aujourd’hui enfermée dans un phénomène de « fausse conscience ». « C’est un concept dérivé du marxisme : cela décrit la difficulté à penser la société indépendamment de son propre positionnement dans la société ». En clair, une partie de la société, une certaine « forme de bourgeoisie », celle qui a voté Emmanuel Macron, n’aurait pas pris la réelle mesure de l’état du pays. « Ces gens n’ont pas compris que le niveau de vie a baissé. Ils pensent que si on habite un appartement de 45m² dans le 11e arrondissement de Paris, on est un winner. Alors qu’avant, on habitait un 75m² dans le 16e arrondissement pour le même prix », développe Emmanuel Todd.

Pour autant, les inégalités ne sont pas aussi criantes qu’aux États-Unis, où 20% de la population se détache clairement des autres. Chez nous, cela concerne surtout « le haut du haut » et « les soi-disant ‘winners’ ne décrochent pas tant que ça des ouvriers ».

Selon Emmanuel Todd, la classe dirigeante a totalement raté le tournant de la fin des trente glorieuses, et les effets se font encore ressentir aujourd’hui. « Les gens qui pilotent l’État ont entamé une conversion au néo-libéralisme. Mais ils n’y arrivent pas. [...] Ils savent vérifier les comptes publiques, comprimer des dépenses mais ne savent pas ce que c’est que le marché. Lorsqu’ils arrivent à la tête des grandes entreprises, c’est faillite garantie. Ils détruisent l’industrie, détruisent la bourgeoisie industrielle. Ce qui fait de la société française une sorte de champs de ruine qui n’a plus d’autres classes dominantes que la haute bureaucratie », tacle l’essayiste français.

Emmanuel Todd enchaîne, tranchant, sur les responsables actuels : « Cette bureaucratie folle se débat dans cette contradiction de ne plus comprendre ce qu’il se passe, et de faire des réformes de plus en plus violentes, de se venger sur le peuple, par des taxes qui mettent la vie des gilets jaunes en péril, ou une retraite universelle qui n’est pas définie tellement ils sont incompétents ». « Je commence à me demander s’ils ne sont pas en train de supprimer les retraites », avance-t-il même. Avant d’interroger : « Comme on ne sait pas comment ce système des retraites va marcher, comment peut-on savoir ce qui va se passer ? »

 

Record de dividendes : l’indécence folle

Record de dividendes : l’indécence folle

 

Les dividendes versés deviennent indécents voire dangereux. Dernier exemple en date,  les patrons de Chanel qui se versent  3.4 milliards soit quatre fois le bénéfice mettant au passage la trésorerie en difficulté.  Après des dividendes déjà record en 2016 et qui augmentent de plus de 7 % au cours du second trimestre 2017, les dividendes  sont irresponsables quand on sait que l’inflation tourne autour de 1 %. D’après le cabinet Janus Henderson, les 1200 plus grosses sociétés cotées en Bourse ont versé 447,5 milliards de dollars de dividendes au cours du deuxième trimestre. Ce qui constitue un nouveau record. Les dividendes ont même augmenté de 7,2%, ce qui représente la plus forte hausse depuis fin 2015. Pour la France  2016, les entreprises du seul CAC 40 ont distribué pas moins de 55,7 milliards d’euros sous forme de dividendes et de rachat d’actions, selon les calculs de la lettre d’information financière Vernimmen.net. Ce n’est pas un record mais presque puisqu’elles se sont rapprochées des 56 milliards versés en 2014 et surtout des 57,1 milliards distribués en 2007, juste avant la crise financière. La progression est notable par rapport à l’an dernier (43 milliards de dollars) et surtout par rapport à la moyenne de ces dernières années, autour de 43 milliards, une fois retraitée des dividendes et rachats exceptionnels. Dernier exemple  En France, les patrons de Chanel, es frères Alain et Gérard Wetheimer, propriétaires de 100% du capital du groupe Chanel, se sont octroyés 3,4 milliards d’euros de dividendes pour l’exercice 2016, C’est plus du double qu’en 2015, année durant laquelle les deux frères s’étaient déjà accordés un chèque de 1,6 milliard d’euros de dividendes. Mais les dividendes que les Wertheimer se sont versés en 2016 sont surtout surprenants lorsque comparés aux résultats financiers du groupe. En effet, les 3,4 milliards d’euros représentent près des deux tiers du chiffre d’affaire du groupe et 4 fois le bénéfice net réalisé la même année !( en baisse de 9% à 5,67 milliards de dollars, tout comme le résultat opérationnel (baisse de 20% à 1,28 milliard de dollars) et le bénéfice net, qui recule de 35% pour s’établir à 874 millions de dollars. Pire encore, ces gros dividendes ont plombé la trésorerie du groupe spécialisé dans le luxe, qui passe sous la barre du milliard de dollars « pour la première fois depuis très longtemps« , précise Challenges.

Kerviel : le procès de la finance folle ( Joly)

Kerviel : le procès de la finance folle ( Joly)

La députée européenne Eva Joly (EELV) réagit pour leJDD.fr aux révélations de Mediapart.

Comment accueillez-vous les nouvelles révélations de Mediapart dans l’affaire Kerviel?
J’ai toujours pensé que la vérité finirait par sortir. Le témoignage de la policière chargée de l’enquête, Nathalie Le Roy est à prendre au sérieux. Son intégrité et son honnêteté ne peut être mises en doute. Elle a d’abord été convaincue de la version de la Société générale. Mais quand elle a commencé à enquêter sur les dossiers de constitution de partie civile (faux et usage de faux), déposé par l’avocat de Jérôme Kerviel, elle a changé d’opinion. Elle a vu qu’elle rencontrait des obstacles. Par exemple, elle n’a jamais réussi à obtenir les courriels échangés par la direction de la Société Générale. Elle a constaté des graves dysfonctionnements du parquet. Elle a fini par se rendre compte – et cela a dû être très douloureux pour elle – qu’on ne cherchait pas à établir la responsabilité globale dans ce dossier.

Pourquoi très douloureux?
C’est une femme très dévouée dans son travail. Se rendre compte qu’on a été manipulé n’est jamais agréable.

Appelez-vous à une révision du procès?
La justice ne doit pas s’arrêter là et il faut maintenant aller au bout du chemin. La justice s’honorerait si le procureur général ou la ministre de la Justice saisissait la commission de révision. Cela serait une occasion de montrer que la justice est indépendante.

Selon vous, la justice a complètement failli dans cette affaire?
La justice a été borgne. Elle a vu la responsabilité, qui n’est pas contestée, de Jérôme Kerviel mais elle a refusé de voir qu’il n’était pas seul. On ne peut pas se contenter des affirmations de la banque concernant ses pertes. Je déplore qu’il n’y ait toujours pas eu d’expertise indépendante dans ce dossier.

Jean-Luc Mélenchon demande l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire. Vous en pensez quoi?
Cela serait tout à fait utile. Même si ce qui doit primer, c’est la révision du procès Kerviel.

Cela vous étonne de voir des gens aussi différents que Georges Fenech (UMP), Jean-Luc Mélenchon (FDG) ou vous-même se battre pour la révision du procès Kerviel?
Peu importe qui le demande. En tout cas, pour moi c’est une évidence depuis que je me suis plongé dans le dossier l’année dernière. J’ai regardé les comptes de la Société générale et je me suis rendu compte que la banque avait dégagé 7 milliards d’euros l’année de la catastrophe bancaire grâce aux produits dérivés. Il fallait voir ce qu’il s’était passé dans le dossier Kerviel, cela m’a paru comme une évidence. On n’a pas encore fait le procès de la finance folle.

 

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