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Politique -Taubira : pour tuer une deuxième fois la gauche

Politique -Taubira :  pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 3 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois ce courant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir .Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 3 % à Christiane Taubira. Pas étonnant, les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

Candidature Taubira : le bla-bla classique pour tuer une deuxième fois la gauche

 

Candidature Taubira : le bla-bla classique pour tuer une deuxième fois la gauche

 

L’histoire politique retiendra en particulier que Christiane Taubira aura tué deux fois la gauche. Une première fois quand elle a  maintenu sa candidature, ce qui a fait perdre Jospin aux  présidentielles . Une seconde fois sans doute en 2022 pour enterrer définitivement la gauche. Avec un score de l’ordre de 3 % recueillis au nom de la « gauche populaire », on pourra alors considérer que Taubira a enterré une seconde fois c ecourant politique. On ne peut pas dire réellement que Taubira défend le moindre programme politique si l’on se fie à son   bla-bla classique complètement obsolète. Le bla-bla habituel des bobos de gauche, radicaux quand ils sont dans l’opposition et qui font l’inverse ou presque une fois au pouvoir.Rien d’étonnant à cela car la sociologie des bobos n’est pas tout à fait en cohérence avec la sociologie des couches moyennes et populaires qu’ils sont supposés représenter.  Taubira n’a pas grand-chose à proposer ou à défendre sinon cette espèce de concept d’union qui ne repose sur aucune base programmatique commune.

Visiblement la mayonnaise de la candidature unique de la gauche a du mal à prendre. Dans les récents sondages on attribue autour de 3 % à Christiane Taubira. Pas étonnant, les insoumis, les écolos et le parti communiste ne veulent pas entendre parler de cette candidature. Par ailleurs Taubira n’a jamais eu le moindre programme politique, témoin le bla-bla classique d’une récente intervention de l’intéressée.

L’ex-ministre de la justice a annoncé qu’elle rendrait, d’ici à la mi-janvier, sa décision sur son éventuelle candidature à la présidentielle. Evoquant des pistes de rassemblement, elle rappelle que les forces de gauche sont « liées par un destin collectif qui transcende les péripéties personnelles ».(Le Monde)

Un discours dune extrême pauvreté  truffé de généralités confondantes et le verbiage habituel d’une gauche devenue complètement obsolète. Pas un discours politique, un discours évangélique très ésotérique et surtout très flou .

 

Tribune.  

Le temps est venu pour une nouvelle aventure collective au long cours. Un nouvel épisode de notre épopée humaniste. Je parle de l’aventure du peuple français qui a arraché à toutes les oppressions, à toutes les fatalités l’organisation démocratique de ses pouvoirs, et qui, à bon droit, rejette l’actuel fonctionnement antirépublicain et infantilisant où le président suprême décide pour le peuple, sans le peuple, et parfois contre le peuple.

Nous savons ce qu’il faut faireNous savons comment faire. Les projets portés à gauche, et les idées phares qui puisent dans les idéaux de justice, d’innovation et de progrès sans brutalité, d’émancipation individuelle, de solidarité et d’hospitalité en sont l’illustration.

Les convergences ne manquent pas, malgré une propension avérée à inventer entre nous des querelles insurmontables. Nous savons que le choc climatique est déjà l’affaire de ce siècle et qu’il appelle des choix drastiques. Nous voulons des services publics qui, à nouveau, maillent tout le territoire. Ainsi du service de santé public, à trente minutes du domicile, sous dotations annuelles pour rompre avec la logique comptable, dont il faudra renforcer les capacités d’accueil et de soin, en plus d’assurer la juste rémunération des personnels. Ainsi de l’école, creuset social où exercent avec application enseignantes et enseignants peu considérés et sous-rémunérés, en dépit de l’importance cardinale de leur mission. Nous voulons aussi que le temps d’études cesse d’être une course sans fin d’un job à l’autre. Et par une politique ambitieuse et soutenue, stimuler et accompagner la recherche, dans le temps et dans l’instant.

Une politique fiscale juste

C’est également la justice sociale qui dicte la nécessité d’infrastructures de mobilité pour permettre à des millions de personnes, qui n’ont pas d’autre choix que la voiture, d’échapper aux vicissitudes du temps de route, des prix de carburant, de l’injuste procès en pollution négligente. Et il faudra s’atteler pour de bon à rénover les millions de logements thermiquement défaillants.

Tous ces secteurs et d’autres appellent des investissements considérables, de fortes transitions, des bifurcations résolues.

Il en va aussi de l’augmentation du salaire minimal et d’une politique fiscale juste, qui rétablisse l’impôt sur la fortune, réclame à chacun selon ses capacités – entendons très clairement : davantage à ceux qui peuvent contribuer davantage –, et punisse sévèrement ceux qui s’organisent pour échapper à l’impôt.

Présidentielle 2022 : Christiane Taubira qui avait fait perdre Jospin cette fois ne sera pas candidate

Présidentielle 2022 : Christiane Taubira qui avait fait perdre Jospin cette fois ne sera pas candidate

 

Cette fois Christiane Taubira qui avait fait perdre Jospin ne veut pas être accusée de la même erreur «Je ne peux pas venir contribuer à l’éparpillement.» Sur France Inter, ce matin, Christiane Taubira a annoncé qu’elle ne serait pas candidate pour l’élection présidentielle de 2022. «Je ne peux pas venir m’aligner. Je ne peux pas dire que notre chance, c’est de sortir de la confusion, d’éviter la dispersion, de voir comment nous additionnons nos forces et les faisons converger, et en même temps dire que je viens apporter mon obole», a-t-elle expliqué.

Développement du paiement en plusieurs fois

Développement du paiement en plusieurs fois

 

L e paiement en plusieurs fois n’est évidemment pas nouveau. Mais il tend à se développer avec les offres des sociétés commerciales elles-mêmes. Il y a plusieurs manières de pratiquer le paiement différé. Soit l’obtention d’un crédit traditionnel, soit l’utilisation des facilités de paiement en plusieurs fois offertes par les banques , soit cette dernière tendance des grandes marques de distribution de fractionner le règlement.

Selon les cas, ce paiement en plusieurs fois peut comporter des frais supplémentaires ou être gratuit. Il vise en tout cas inciter à la consommation qui par parenthèse s’est montrée un peu molle au cours du mois de juillet.

De façon plus structurelle, les Français qui le peuvent sont davantage tentés par l’épargne que par la consommation content tenu des incertitudes sanitaires et économiques.

Covid-Europe : cinq fois plus de contaminations fin juillet

Covid-Europe : cinq fois plus de contaminations fin juillet

 Le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) vient d’actualiser ses projections pour les semaines qui viennent, et anticipe qu’il y aura sans doute cinq fois plus de nouveaux cas d’ici fin juillet sur le vieux contient, plus précisément dans une zone qui englobe l’Union européenne, la Norvège et l’Islande.

 

Actuellement l’incidence est d’environ 90 nouveaux cas pour 100.000 habitants, l’ECDC projette que celle-ci sera de plus de 420 nouveaux cas pour 100.000 habitants la semaine s’achevant le 1er août. Et continuera de progresser pour atteindre 620 nouveaux cas à la fin de la semaine suivante.

En fait on retrouverait les  pics de l’automne 2020 et d’avril 2021.

La semaine dernière (5 au 11 juillet), le nombre de nouveaux cas dans l’Union européenne a bondi de 60 %, augmentant pour la deuxième semaine consécutive selon l’ECDC du fait « du relâchement des mesures et de la progression du variant Delta ».

Covid: Trois à dix fois plus de risques selon l’âge pour les plus de 50 ans

Covid: Trois à dix  fois plus de risques selon l’âge  pour les plus de 50 ans

La Haute autorité de santé a analysé en particulier deux études françaises de grande ampleur : l’étude Epi-Phare menée par l’Assurance Maladie et l’Agence nationale de sécurité des médicaments et des produits de santé (ANSM), et l’étude du Programme de médicalisation des systèmes d’information (PMSI) réalisée par le département d’information médicale de Bordeaux. Ces études permettent de Trois à 10 fois plus de risque seul l’on lâche pour les plus de 65 ans.

 

Ainsi, d’après l’analyse des données issues des séjours hospitaliers en France, les patients atteints de Covid-19 présentent, comparativement aux 18 à 49 ans, environ :

  • 3 fois plus de risque de décéder de la Covid-19 s’ils sont âgés de 50 à 64 ans,
  • 7 fois plus de risque s’ils sont âgés de 65 à 74 ans,
  • 10 fois plus de risque s’ils sont âgés de 75 à 80 ans
  • 16 fois plus au-delà de 80 ans.

Si l’âge joue un rôle majeur, la présence de certaines comorbidités est également un facteur de risque de formes graves et de décès, même si leur impact est moindre. En complément des comorbidités à haut risque de décès[1], déjà identifiées dans son avis du 30 novembre dernier, la HAS ajoute les quatre suivantes :

  • les maladies hépatiques chroniques et en particulier la cirrhose ;
  • les troubles psychiatriques ;
  • la démence ;
  • les personnes présentant un antécédent d’accident vasculaire cérébral.

Par ailleurs, parmi les comorbidités déjà identifiées dans son avis du 30 novembre dernier, la HAS identifie des pathologies à très haut risque de décès, justifiant une priorisation quel que soit l’âge :

  • des personnes atteintes de trisomie 21 ;
  • des personnes ayant reçu une transplantation d’organe ;
  • des insuffisants rénaux dialysés ;

En outre, toutes les situations particulières identifiées comme à risque de formes graves ne peuvent être explicitement identifiées à partir de la revue de la littérature. Ainsi, doivent être également priorisées indépendamment de leur âge, les personnes jugées particulièrement vulnérables par leur médecin et présentant des affections préexistantes rares et graves ou des handicaps graves les prédisposant à risque particulièrement accru de décéder de l’infection par le SARS-CoV-2 (déficits immunitaires sévères, hémopathies malignes, maladies rares).

Enfin, la HAS souligne l’attention particulière qui devra être portée aux personnes polypathologiques, qui font partie des personnes à vacciner en priorité.  En effet, les études montrent que le cumul de trois comorbidités fait atteindre quasiment le même niveau de risque de décéder que dans la tranche d’âge supérieure sans polypathologies.

 

Les données d’une étude écossaise en vie réelle, soumise au British Medical Journal et en attente de revue par les pairs, apportent des résultats très encourageants sur les bénéfices à court terme d’une première dose de vaccin (Pfizer ou AstraZeneca) contre la Covid-19 chez les plus de 65 ans.

Cette étude en vie réelle portant sur la population des 5 millions d’habitants de l’Ecosse a pour objectif d’évaluer l’impact de la vaccination sur les hospitalisations, par groupe d’âge (18-64 ans, 65-79 ans, plus de 80 ans). Quelle que soit la tranche d’âge, la vaccination par un des deux vaccins étudiés réduit significativement le nombre d’hospitalisations. Les effets les plus marqués sont observés de 28 à 34 jours après la première injection : efficacité de 85% pour les 18-64 ans, 79% pour les 65-79 ans et 81% pour les plus de 80 ans. Les analyses différenciées selon le type de vaccin administré confirment que l’impact le plus élevé est observé 28 à 34 jours après la première injection, que ce soit avec le vaccin Comirnaty (EV=85 %) ou avec le vaccin AstraZeneca (EV=94%), ce dernier ayant été administré majoritairement chez les patients de plus de 65 ans.
Face à ces résultats encourageants, la HAS redéfinit la place du vaccin AstraZeneca dans la stratégie vaccinale en élargissant son utilisation aux personnes âgées de plus de 65 ans. 

La HAS souligne toutefois que ces résultats portent sur les hospitalisations et ne quantifient pas l’impact du vaccin AstraZeneca sur la survenue de formes symptomatiques de la maladie, ni sur la réduction des décès. Par ailleurs, le manque de recul ne permet pas d’évaluer le maintien de l’efficacité au-delà de 5 semaines après la première dose. Néanmoins d’autres études permettent de montrer qu’un espacement de 12 semaines entre les deux doses du vaccins AstraZeneca maximise son effet protecteur.
D’autres données susceptibles de renforcer les connaissances sur ce vaccin sont attendues très prochainement, notamment l’étude contrôlée randomisée de phase III en cours aux États-Unis et les analyses en vie réelle sur l’impact de la vaccination par le vaccin AstraZeneca en Angleterre.

Environnement-santé- Eau du robinet : plus écolo, plus sain et 200 fois moins cher

Environnement-santé- Eau du robinet : plus écolo, plus sain et  200 fois moins cher

Contrairement à certaines idées reçues l’eau du robinet et très consommable et souvent moins dangereuse que certaines eaux minérales. Un verre d’eau du robinet coûte 200 fois moins cher qu’un verre d’eau en bouteille, soit 0,1 centime le verre. Pour l’eau en bouteille, c’est plutôt 20 centimes en moyenne.  Autre avantage cité : c’est pratique – pas besoin de transporter des packs de bouteilles de 6 kilos. Et seulement 14% des personnes interrogées disent qu’elle a un goût désagréable et déclarent ne jamais boire d’eau du robinet. Cela fait donc 86% de satisfaits.  Cette étude a été réalisée par l’institut TNS SOFRES pour le compte des entreprises de distribution de l’eau, mais elle confirme d’autres enquêtes qui montrent qu’avec la crise, certaines familles ont changé leur façon de consommer et boivent plus d’eau du robinet. D’autant que cette eau ne fait pas peur : malgré des études sur la présence de résidus de médicaments, sachant que les chercheurs en ont aussi trouvés dans les eaux en bouteilles et que ces quantités sont infimes, les consommateurs gardent confiance. On peut donc boire l’eau du robinet, avec toutefois quelques précautions à prendre. D’abord la faire couler un peu, surtout si on rentre d’un long week-end : les germes peuvent s’accumuler dans les canalisations. Ne pas non plus boire de l’eau chaude du robinet : certains font leur thé avec, mauvaise idée, car la chaleur peut décoller de minuscules particules de métal dans les tuyaux et elle développe aussi les bactéries. Et puis toujours la conserver au frigo : ça atténue le gout de chlore, et ça évite le développement des bactéries. Enfin, mettre un bouchon, sinon votre eau va prendre le gout du frigo.

Inondations : deux fois plus en plus fréquentes à l’avenir »

Inondations : deux plus en plus fréquentes à l’avenir »

Le  climatologue Jean Jouzel a déclaré que des épisodes météorologiques comme celui des inondations récentes qui a frappé les vont devenir « de plus en plus fréquents et intenses ». 

Le climatologue et membre du Giec Jean Jouzel explique sur Europe 1 que ces phénomènes sont dus au réchauffement climatique.

 

La Méditerranée restant plus chaude plus longtemps, elle joue en quelque sorte le rôle de carburant dans ce genre d’épisodes extrêmes. Que ce soit les nombreux feux de forêts à travers le monde, un mercure très élevé au mois de septembre, ou dernièrement ces intempéries, « nous avons [ici] une manifestation du réchauffement climatique », affirme Jean Jouzel.

Alors pour éviter que de nouveaux drames humains ne se reproduisent, le climatologue préconise un travail sur le terrain. « Il y a certainement un travail à faire en termes de moyen mis à disposition des secours qui sont toujours assez limités. Mais il y a aussi peut-être des mesures à prendre sur l’écoulement des eaux, ou encore sur la protection des habitations. Il faudrait également analyser les zones à risques, et prendre des mesures par rapport à ça. » Et de conclure : « Je sais que c’est difficile de dire ça, mais ce risque de pluies exceptionnelles ne va pas se calmer, au contraire. »

Trump propose aux américains de voter deux fois

  • Trump propose aux américains de voter deux fois
  • Il paraît de plus en plus évident que le président américain Donald Trump s’apprête à contester le résultat des élections en cas de défaite. Il ne cesse en effet de critiquer les conditions de vote notamment par correspondance. Pour le ridiculiser, il a donc invité les Américains à voter deux fois pour créer encore un peu plus de confusion sur cette élection et mieux la contester éventuellement
  • Depuis plusieurs mois, le locataire de la Maison Blanche émet des doutes sur la validité du scrutin à venir.
  • Il martèle – sans le moindre élément concret à l’appui – que le recours accru au vote par correspondance en raison de l’épidémie de Covid-19 pourrait entraîner des fraudes massives. «Il est illégal de voter deux fois lors d’une élection», a rappelé Karen Brinson Bell, directrice du Bureau des élections de Caroline du Nord. L’ancien candidat démocrate à la présidentielle Bernie Sanders a vivement dénoncé les propos présidentiels. «Pendant des années, Donald Trump a menti sur les « fraudes électorales ». Aujourd’hui, il appelle les habitants de Caroline du Nord à commettre un délit en votant deux fois», s’est-il insurgé. «Ce président ne croit pas en la démocratie. C’est un autoritaire qui doit être vaincu», a-t-il ajouté.

 

Coronavirus : deux à quatre fois plus de cas qu’officiellement

Coronavirus : deux à quatre fois plus de cas qu’officiellement

Pour Renaud Piarroux, chef du ­service de parasitologie à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, le nombre de cas est très sous-estimé. « Il y a 5.000 cas diagnostiqués chaque jour, mais en réalité il y en a probablement 10.000 à 20.000, soit deux à quatre fois plus », prévient-il. Or c’est à partir d’une bonne identification des cas une politique de prévention peut s’avérer efficace. Près de l’interview au JDD:

 

Que faut-il craindre de l’épidémie à la veille de la rentrée?
Les gens vont retourner travailler, changer de cercle de relations, prendre les transports. Ça va favoriser la transmission. L’épidémie est en phase de croissance, par nature, exponentielle. Il commence à y avoir beaucoup de cas. Il y a 5 000 cas diagnostiqués chaque jour, mais en réalité il y en a probablement 10 000 à 20 000, soit deux à quatre fois plus. Ceci étant, au mois de mars on était à trente fois plus qu’annoncé. On détecte mieux qu’avant, mais on rate encore pas mal de cas. Il n’y a pas encore de surcharge dans les hôpitaux, mais cela peut arriver dans les prochains mois. Il sera alors difficile de revenir en arrière, par exemple en renforçant le « contact-tracing » : le nombre de cas sera trop grand.

Y a-t-il des failles dans le dispositif?
Le dépistage n’est pas l’alpha et l’oméga de la lutte contre le virus. Si on dépiste en population ­générale sans cibler, les résultats ­attendus en matière de baisse de la transmission sont faibles. Le mot qui compte, c’est « isoler ». Pour cela, il faut identifier les personnes positives et leur entourage et briser les chaînes de contamination. Les gens avec des symptômes et leurs cas contact doivent se faire tester au plus vite et s’isoler.

Que pensez-vous du système de traçage mis en place?
Le dispositif de contact-tracing de l’Assurance maladie a des faiblesses. Il repose sur une consultation avec le médecin de ville, mais nombre de patients effectuent directement leur PCR et ne bénéficient pas de ses conseils. Deuxième limite : des personnes symptomatiques qu’un médecin diagnostique sur la base de signes cliniques sont, dans un certain nombre de cas, négatives aux tests alors qu’elles ont vraiment le Covid-19. Le traçage n’est donc pas fait et on rate des cas. Enfin, ce n’est qu’à partir du résultat du test que la démarche d’isolement commence. C’est trop tard. On perd du temps et on rate, là aussi, des gens pouvant être contagieux. Il faut corriger ces failles au plus vite.

Comment pourrait-on améliorer les choses?
Nous devons reprendre la main sur l’épidémie. Il est urgent de faire baisser le nombre de cas. On connaît plusieurs moyens. Par exemple, il faut un contrôle plus strict des événements et des situations à risque, comme les festivités rassemblant beaucoup de personnes. C’est indispensable. Je pense aussi à certains bars qui restent ouverts tard le soir et sont très fréquentés. Ces circonstances sont particulièrement favorables à la circulation du virus. Mais attention, il faut agir avec discernement sur les endroits où la transmission se fait le plus. Par ailleurs, il conviendrait de multiplier les endroits où les gens se font dépister. Le contact-tracing doit commencer au moment où quelqu’un se fait tester. Cela ferait gagner un temps précieux. Plus on arrivera à améliorer le traçage, plus on maîtrisera l’épidémie sans attenter aux libertés. Si on n’est pas capable de le faire efficacement, on sera obligé de les restreindre à nouveau.

Serait-il possible de réduire le temps d’attente pour être testé?
Il faut multiplier les préleveurs et créer plus de centres Covid tenus par la médecine de ville où l’on peut directement ­dispenser des conseils et tester les sujets symptomatiques et leurs contacts. Ça nécessite du personnel. Il faut donc rendre cela attractif, en ­mettant en place des contrats ou des stages.

Que pensez-vous du port du masque obligatoire en extérieur dans de plus en plus de villes?
Le risque de contamination en ­extérieur, entre passants, est ­minime, sauf dans des endroits vraiment bondés. Mais je suppose qu’il était compliqué de faire ­appliquer une mesure dans telle rue et pas dans telle autre.

Reste la question des asymptomatiques. Comment les atteindre?
On ne peut les cibler dans le dispositif que s’ils sont contacts d’une personne positive. Il n’y a aucune chance de les avoir autrement, sauf en engorgeant les laboratoires : ce qu’il se passe actuellement. La probabilité de se faire volontairement tester au bon moment est très faible. Mais ce n’est indispensable de trouver tous les cas et les contacts. Je m’explique : le taux de reproduction est aujourd’hui environ de 1,2. Ainsi 10 porteurs du virus contaminent 12 personnes. Si sur ces 10, on en détecte cinq avant qu’elles ne contaminent d’autres personnes, la transmission ira en décroissant. On peut donc obtenir une réduction de la propagation en ratant un certain nombre de personnes, à la condition d’effectuer un traçage de bonne qualité. À partir de là, on gagnera du ­terrain sur l’épidémie.

 

Huawei: une fois de plus l’Allemagne tergiverse

Huawei: une fois de plus l’Allemagne tergiverse

 

Comme souvent en matière de business, l’Allemagne fait souvent passer ses intérêts économiques avant l’éthique. On a pu le constater notamment sur le dossier des relations tumultueuses entre les États-Unis et l’union européenne. Même chose vis-à-vis de la Chine. L’Allemagne tergiverse vis-à-vis de l’interdiction de Huawei  . Une interdiction maintenant décidée dans plusieurs pays occidentaux notamment les États-Unis, la Grande-Bretagne aussi la France ( avec un petit délai toutefois pour ce dernier pays).

L’enjeu est bien entendu économique car Huawei  est le premier opérateur mondial et l’Occident a pris du retard sur la technique 5G;  on ne peut compter que sur Ericsson et Nokia . Pourtant dans plusieurs pays qui ont refusé Huawei on a pris le risque d’être en retard par rapport à la technologie chinoise. En France par exemple, plusieurs opérateurs préféraient  les services Huawei mais il faudra bien revoir la stratégie en se privant du fournisseur chinois. Le gouvernement d’Angela Merkel, lui,  a reporté à la fin de l’été sa décision sur ce dossier technico-diplomatique délicat.

La Grande-Bretagne a décidé ce mois-ci de bannir Huawei pour l’installation de son réseau 5G, une décision applaudie par les Etats-Unis, qui poussent leurs alliés à écarter l’équipementier chinois.

“L’approche du gouvernement qui consiste à fixer les mêmes critères de sécurité pour tous est la bonne façon de garantir la sécurité des réseaux”, estime le représentant de Huawei, David Wang, interrogé par le magazine d’information hebdomadaire allemand.

En Allemagne, les trois opérateurs de téléphonie mobile sont tous des clients de Huawei, qui est présent dans le pays depuis quinze ans. Aucun d’entre eux n’a pu apporter de preuves étayant les allégations américaines selon lesquelles ses équipements ne sont pas sûrs, a ajouté David Wang.

Deutsche Telekom, le leader du marché allemand, a signé seulement le mois dernier un contrat 5G avec Huawei mais a, en vertu des accords existants, déjà connecté près de la moitié de la population à l’internet mobile ultra-rapide.

Selon des analystes et des sources du secteur, Deutsche Telekom, qui s’oppose à une interdiction de Huawei, cherche à prendre les devants en déployant la majeure partie de son réseau 5G avant qu’une décision politique ne soit prise.

La société Telefónica Deutschland, contrôlée par la multinationale espagnole Telefónica, a déclaré cette semaine qu’elle avait signé des contrats “de secours” avec d’autres fournisseurs d’équipements pour la 5G, au cas où Huawei finirait par être exclue du marché allemand.

La Grande-Bretagne a ordonné le 14 juillet le bannissement de Huawei des réseaux 5G d’ici 2027. Si la France n’a pas annoncé une telle interdiction, elle a limité à trois ou cinq ans les autorisations accordées pour du matériel Huawei, ce qui aboutira dans les faits à une sortie progressive de Huawei de ses réseaux 5G à l’horizon 2028.

Plastique et océans : trois fois plus dans 20 ans

Plastique et océans : trois fois plus dans 20 ans

Une étude d’experts prévoit une augmentation exponentielle des rejets de plastique. Il propose d’y remédier par des réductions de la production, des substitutions et des réemplois. Notons que la commission européenne, elle, privilégie une taxe sur les emballages plastiques qui ne réduira rien du tout puisque de l’ordre de un ou deux centimes par exemple sur les bouteilles plastiques d’eau.

La situation va devenir catastrophique, préviennent ces spécialistes, si le monde reste sur la même trajectoire alors que les moyens d’agir sont à portée de main.

Le plastique est déjà partout dans les océans. Mais le rapport publié dans la revue britannique Nature prévoit une dégradation importante si la filière n’évolue pas. En 2016, les rejets dans la mer étaient de 11 millions de tonnes par an. Ils devraient passer à près de 30 millions en 2040, avec un stock de plastique flottant quatre fois plus important qu’aujourd’hui. Cela aura des conséquences pour la pêche, la santé, l’alimentation et les émissions de gaz à effet de serre.

L’étude pointe les limites des politiques publiques et du recyclage.

La stratégie d’élimination des couverts en plastique ou des touillettes ne suffit pas. L’investissement des producteurs dans les filières de recyclage n’est pas efficace, estiment les auteurs. Ce que l’on fait aujourd’hui dans les pays développés n’arrive pas à suivre la cadence de la production plastique. L’étude plaide donc pour un changement à grande échelle. Il faut sortir, martèlent les experts, de l’opposition binaire entre ceux qui prônent une réduction à la source de la production et ceux qui ont la religion du recyclage. Si rien n’est fait d’ici les deux prochaines décennies, les dégâts seront irréparables.

 

Pour endiguer le phénomène, les experts estiment que des solutions existent, techniquement faisables, économiquement viables, et socialement acceptables. Le rapport défend huit leviers d’action qui passent par une réduction de la production, un effort sur le recyclage, les produits de substitution, et le réemploi. Les experts suggèrent entre autres de soutenir les filières de récupération dans les pays en voie de développement. Globalement, ces actions permettraient de réduire la pollution plastique des océans de 80% d’ici 2040.

 

Macron : mea culpa ou l’art de faire parler deux fois de lui

Macron : mea culpa ou l’art de faire parler deux fois de lui

 

 

Macron fait une sorte de mea culpa en reconnaissant ce phénomène de détestation de ce président. Et de faire le lien avec les principes républicains qui pourtant n’ont pas grand-chose à voir avec la baisse de Macron dans l’opinion publique. Cela donne plutôt l’occasion à Macron de faire parler deux fois de lui. Le chef de l’État regrette notamment de n’avoir «pas assez montré» le «chemin de justice» qu’il souhaitait tracer, pour permettre à chacun d’atteindre «l’excellence» républicaine. Et ce «quel que soit son prénom, quelle que soit la famille où on est né, sa religion, sa couleur de peau». Emmanuel Macron considère que c’est à cause de cet échec que «les gens se sont mis à détester ce président», qui a donné l’impression de ne s’adresser qu’aux «meilleurs». 

«Cette détestation a pu être alimentée» selon lui par les «maladresses» et les «petites phrases». Pour autant, le chef de l’État a affirmé que «la haine n’est pas acceptable en démocratie».

À dessein, le président fait un amalgame douteux entre le rejet qu’il inspire et la haine à caractère anti républicaine. Une dialectique, comme souvent chez Macron, tout autant douteuse qu’ésotérique. Le sommet de cet ésotérisme étant atteint avec son expression : « « j’ai franchi l’émistiche ». Visiblement Macron a de la difficulté à sortir de la dialectique pseudo intellectuelle  des salons parisiens même quand il s’adresse à des millions de Français. De toute façon, Macron ne peut faire que du Macron. Il s’est donc auto félicité de l’action de son ancien gouvernement, de sa décision de nommer une nouvelle équipe qui serait aussi justifiée par un dépassement des clivages alors que pour l’essentiel il va chercher ses responsables dans le parti républicain. La seule nouveauté dans ce discours, c’est la bien timide décision de faire sans doute porter le masque à partir du 1er août dans les ERP(. Comprendre établissement recevant du public,)  dont la définition est particulièrement confuse notamment pour les acteurs économiques mais d’une façon plus générale pour les citoyens.

Un manque de courage évident car il est clair que la montée mondiale de la pandémie va contraindre rapidement à rendre obligatoire le masque partout en dehors du domicile. Et pourquoi encore attendre 15 jours ? Ou alors il se pourrait bien que les stocks soient bien insuffisants pour couvrir les besoins qui pourraient atteindre plusieurs dizaines de millions par jour. Dernière filouterie de l’intéressé,  celle faite de manière allusive à la condamnation de la chloroquine »qu’il n’utiliserait pas personnellement » alors que dernièrement il est encore rendu visite au laboratoire du professeur de Marseille Raoult. Encore une occasion de se taire! On sait pourtant que la question est très controversée et qu’aucune molécule n’a pour l’instant fait la démonstration indiscutable comme traitement unique du Coronavirus.

 

« Si on m’avait écouté, il y aurait eu deux fois moins de morts” du coronavirus (Didier Raoult:)

 

 

 

« Si on m’avait écouté, il y aurait eu deux fois moins de morts” du coronavirus (Didier Raoult:)Le controversé professeur marseillais revient dans une interview dans La Provence sur la gestion de la crise épidémique en France. Didier Raoult estime qu’on n’ »a pas soigné les gens » provoquant « une surmortalité ».

« Depuis le début, je le dis, j’ai peur de la peur ». Didier Raoult revient dans une interview accordée au journal quotidien La Provence sur la gestion de la crise du coronavirus en France. Pour le professeur marseillais, l’épidémie a été gérée par la « peur » plus que par une « mauvaise gestion médicale ».

« Parmi ces morts, plus de la moitié l’ont été, non pas en raison de la mauvaise gestion médicale, ni du Covid, mais du bordel qu’on a foutu dans la santé, car en pratique on n’a pas soigné les gens », tranche Didier Raoult.

« Deux fois moins de morts »

Le professeur marseillais poursuit en expliquant que les autorités sanitaires n’étaient pas prêtes à l’arrivée d’une telle vague et ont été « terrifiées parce que la moyenne d’âge est importante ». « À force d’avoir peur des risques, on n’arrive plus à les gérer », estime-t-il, engendrant alors « une surmortalité ».

« Si on n’avait pas eu peur, on aurait eu deux fois moins de morts, si on m’avait écouté, on aurait eu deux fois moins de morts » pour Didier Raoult qui pense que son discours a été “inaudible”, et rappelant que la surmortalité a été “quatre fois plus à Paris que dans les Bouches-du-Rhône”.

Cette mauvaise préparation est liée également, selon Didier Raoult, à l’absence d’un « véritable programme réfléchi sur le devenir de la recherche hospitalière et médicale ».

 

“Alors que les maladies infectieuses, cela devrait être un domaine régalien, martèle encore Didier Raoult. C’est de la défense nationale. » Il appelle à la création de « sept infectiopoles en France ».

Didier Raoult s’en prend également au conseil scientifique qui selon lui n’a pas fait les bons choix dans la gestion de cette crise. « Si cela avait été un vrai conseil scientifique, on aurait fait des sondages dans quatre ou cinq endroits pour mesurer la cinétique de l’épidémie. On aurait eu des chiffres plutôt que des fantasmes », lance-t-il expliquant avoir été l’un des premiers à définir, grâce à des dépistages, que l’épidémie serait en forme « de cloche ».

La gestion de la crise a été selon lui parasitée par « les pieds nickelés » qui ont travaillé sur le Remdesivir, un antiviral envisagé comme traitement du Covid-19. “Il n’y en avait que pour le Remdesivir, s’insurge-t-il. Je n’ai jamais vu ça. La puissance de Gilead!” Didier Raoult réagit également à la polémique autour de l’étude controversée sur l’hydroxychloroquine publiée dans The Lancet. Cette publication avait entraîné l’interdiction de l’utilisation de la molécule contre le covid-19.

 

“La plus grande faute gouvernementale ne concerne pas les décisions sur la chloroquine. Ils ont été embarqués dans une histoire dont ils n’arrivaient plus à se sortir, dans l’émotion, ils étaient dans la surréaction. En revanche, on a fait tout l’inverse de ce que l’on doit faire dans le traitement des maladies infectieuses”, conclut Didier Raoult.

Communication : Macron fout une nouvelle fois le bazar

Communication : Macron fout   une nouvelle fois le bazar

 

Une nouvelle fois Emmanuel Macron fout le bazar dans la communication du pouvoir. D’un côté devant le Sénat ,le Premier ministre a insisté sur la grande rigueur qu’il convenait de respecter dans le cadre d’un des confinements délicat. Mais une heure après Emmanuel Macron alors qu’il devait parler du téléthon mondial sur le Coron virus s’est surtout exprimé sur la question sanitaire comme un vrai spécialiste mais surtout a contredit son Premier ministre pour appeler à davantage de pragmatisme, de bonne volonté et pour des dédramatiser les propos tenus par son Premier ministre juste avant.  Il se pourrait bien même que Macron aujourd’hui à l’occasion d’une de ses visites dans une école décide de rendre facultative la rentrée le 11 mai pour le primaire et les maternelles. Bref, la cacophonie persiste au sein du gouvernement, le premier ministre revêt les habits du père fouettard et se trouve assez rapidement contredit par Emmanuel Macron à la recherche désespérée d’un plus grand soutien auprès d’une opinion très négative vis-à-vis du pouvoir. En effet d’après les enquêtes environ 60 % de l’opinion publique pensent  que la stratégie sanitaire du gouvernement n’est pas efficace et ne fait donc pas confiance au  pouvoir en place. Concernant les écoles, l’Élysée était déjà revenu sur les propos du premier ministre du 28 avril indiquant que la reprise scolaire ne s’effectuerait pas partout sur le territoire au même moment. Cette fois il se pourrait que Macron décide non seulement le caractère facultatif pour les élèves mais aussi pour  la réouverture de l’école. Ou alors le calendrier sera tellement étendu que les écoles ne pourront pas être ouvertes avant septembre. On sait que le sujet particulièrement délicat car les conditions concrètes de déconfinement relatives à l’hygiène sont souvent irréalisables dans nombre d’établissements scolaires. Sans parler de la difficulté de faire respecter à des enfants les règles de distanciation.

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