Archive pour le Tag 'FMI'

Finances publiques : la France sous tutelle du FMI ?

Finances publiques : la France sous tutelle du FMI ?

L’hypothèse d’une mise sous tutelle de la France compte tenu du dérapage de sa dépense publique n’est plus totalement exclue par les experts à moyen ou long terme.(BFM)

Les alertes sur l’état des finances publiques françaises se suivent et se ressemblent. Pour la énième fois en février, la Cour des comptes a mis en garde le gouvernement contre une dépense publique « en roue libre » plaçant la France « au pied du mur ». Ce jeudi, c’est le Fonds monétaire international qui est revenu à la charge en insistant sur la nécessité de prendre des « décisions difficiles » pour redresser les comptes de l’État.

Le gouvernement promet pourtant de revenir sur la voie du sérieux budgétaire en ramenant le déficit public sous les fameux 3% en 2029, contre 5,8% en 2024. Le problème, c’est que personne n’y croit. Ni la Commission européenne, ni la Cour des comptes qui jugent l’exécutif trop « optimiste ». Ni même le FMI qui estime que sans nouvelles mesures « significatives », le déficit resterait autour des 6% du PIB et que la dette publique augmenterait jusqu’en 2030.

Mais la France peut-elle se payer le luxe de laisser ses comptes dériver encore longtemps ? Si oui, elle pourrait alors être un jour placé sous la tutelle du fonds monétaire international qui ,lui ,imposerait d’autorité les mesures de redressement financier drastiques que les responsables politiques actuels n’osent pas prendre par incompétence manque de courage.

Economie-Finances publiques : la France sous tutelle du FMI ?

Economie-Finances publiques : la France sous tutelle du FMI ?

L’hypothèse d’une mise sous tutelle de la France compte tenu du dérapage de sa dépense publique n’est plus totalement exclue par les experts à moyen ou long terme.(BFM)

Les alertes sur l’état des finances publiques françaises se suivent et se ressemblent. Pour la énième fois en février, la Cour des comptes a mis en garde le gouvernement contre une dépense publique « en roue libre » plaçant la France « au pied du mur ». Ce jeudi, c’est le Fonds monétaire international qui est revenu à la charge en insistant sur la nécessité de prendre des « décisions difficiles » pour redresser les comptes de l’État.

Le gouvernement promet pourtant de revenir sur la voie du sérieux budgétaire en ramenant le déficit public sous les fameux 3% en 2029, contre 5,8% en 2024. Le problème, c’est que personne n’y croit. Ni la Commission européenne, ni la Cour des comptes qui jugent l’exécutif trop « optimiste ». Ni même le FMI qui estime que sans nouvelles mesures « significatives », le déficit resterait autour des 6% du PIB et que la dette publique augmenterait jusqu’en 2030.

Mais la France peut-elle se payer le luxe de laisser ses comptes dériver encore longtemps ? Si oui, elle pourrait alors être un jour placé sous la tutelle du fonds monétaire international qui ,lui ,imposerait d’autorité les mesures de redressement financier drastiques que les responsables politiques actuels n’osent pas prendre par incompétence manque de courage.

Finances publiques : la France sous tutelle du FMI ?

Finances publiques : la France sous tutelle du FMI ?

L’hypothèse d’une mise sous tutelle de la France compte tenu du dérapage de sa dépense publique n’est plus totalement exclue par les experts à moyen ou long terme.(BFM)

Les alertes sur l’état des finances publiques françaises se suivent et se ressemblent. Pour la énième fois en février, la Cour des comptes a mis en garde le gouvernement contre une dépense publique « en roue libre » plaçant la France « au pied du mur ». Ce jeudi, c’est le Fonds monétaire internationaI qui est revenu à la charge en insistant sur la nécessité de prendre des « décisions difficiles » pour redresser les comptes de l’État.

Le gouvernement promet pourtant de revenir sur la voie du sérieux budgétaire en ramenant le déficit public sous les fameux 3% en 2029, contre 5,8% en 2024. Le problème, c’est que personne n’y croit. Ni la Commission européenne, ni la Cour des comptes qui jugent l’exécutif trop « optimiste ». Ni même le FMI qui estime que sans nouvelles mesures « significatives », le déficit resterait autour des 6% du PIB et que la dette publique augmenterait jusqu’en 2030.

Mais la France peut-elle se payer le luxe de laisser ses comptes dériver encore longtemps?

« Dès que les investisseurs arrivent à la conclusion que le contrôle du budget n’est pas évident, ils se disent: on ne va peut-être pas être payés. Ils demandent alors une augmentation des taux d’intérêts », ce qui peut déclencher un mouvement de panique sur les marchés, avait mis en garde sur BFM Business Olivier Blanchard, ancien chef économiste du FMI.

L’ancien ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, agitait déjà ce spectre en 2024 en faisant planer la menace d’une possible « mise sous tutelle » de la France en cas d’arrivée au pouvoir du RN ou du NFP dont il jugeait les programmes trop dispendieux.

Economie mondiale -Net ralentissement de la croissance d’après le FMI

Economie mondiale -Net ralentissement de la croissance d’après le FMI


Le fonds monétaire international prévoit un net ralentissement de la croissance au plan mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance pour la France à 0,6 % cette année, en recul de 0,2 point par rapport aux dernières prévisions de janvier. L’institution s’attend à une croissance de 1% en 2026, en recul de 0,1 point par rapport à ses précédentes estimations.

Pour la zone euro, sa prévision est révisée à 0,8 % cette année, soit un recul de 0,2 point. Les principales économies de la zone euro voient leurs perspectives diminuées : le FMI anticipe une croissance nulle en Allemagne et de 0,4 % en Italie, en baisse de 0,2 à 0,3 point par rapport aux estimations de janvier.

L’économie des États-Unis devrait progresser de 1,8 % cette année, soit une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. Le Canada pourrait s’attendre à une croissance de 1,4 % (-0,6 point). Le Mexique, dont l’économie dépend fortement des importations vers son voisin américain, pourrait même se retrouver en récession, avec une contraction de 0,3 % (-1,7 point). Le FMI a également abaissé à 4 % sa prévision de croissance pour la Chine en 2025, s’éloignant de l’objectif officiel de 5 % fixé par Pékin et de la projection initiale du FMI de 4,6%.

Economie-Net ralentissement de la croissance d’après le FMI

Economie-Net ralentissement de la croissance d’après le FMI


Le fonds monétaire international prévoit un net ralentissement de la croissance au plan mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance pour la France à 0,6 % cette année, en recul de 0,2 point par rapport aux dernières prévisions de janvier. L’institution s’attend à une croissance de 1% en 2026, en recul de 0,1 point par rapport à ses précédentes estimations.

Pour la zone euro, sa prévision est révisée à 0,8 % cette année, soit un recul de 0,2 point. Les principales économies de la zone euro voient leurs perspectives diminuées : le FMI anticipe une croissance nulle en Allemagne et de 0,4 % en Italie, en baisse de 0,2 à 0,3 point par rapport aux estimations de janvier.

L’économie des États-Unis devrait progresser de 1,8 % cette année, soit une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. Le Canada pourrait s’attendre à une croissance de 1,4 % (-0,6 point). Le Mexique, dont l’économie dépend fortement des importations vers son voisin américain, pourrait même se retrouver en récession, avec une contraction de 0,3 % (-1,7 point). Le FMI a également abaissé à 4 % sa prévision de croissance pour la Chine en 2025, s’éloignant de l’objectif officiel de 5 % fixé par Pékin et de la projection initiale du FMI de 4,6%.

Sans nouveaux efforts, le déficit de la France atteindrait 6,1 % en 2030, selon le FMI

Sans nouveaux efforts, le déficit de la France atteindrait 6,1 % en 2030, selon le FMI


Pour le FMI, le déficit public français risque de continuer à glisser faute de mesures d’économies supplémentaires.
La France s’est pourtant engagée à ramener son déficit public dans les clous européens en 2029, sous les 3 % du PIB.

D’après le FMI, sans nouveaux efforts d’économies, le déficit public français pourrait continuer de déraper : après avoir atteint 5,8 % du PIB en 2024, il risquerait de lentement progresser pour atteindre 6 % en 2029 et 6,1 % en 2030, explique l’organisation dans son rapport sur les politiques budgétaires, basé sur les mesures contenues dans le budget 2025 et la loi de programmation budgétaire 2023-2027.

L’analyse ne prend donc pas en compte les récentes résolutions trop floues du gouvernement qui espère ramener le déficit à 5,4 % cette année et suivre ensuite une trajectoire descendante pour revenir dans les clous européens – sous la barre des 3 % – d’ici 2029.

Net ralentissement de la croissance d’après le FMI

Net ralentissement de la croissance d’après le FMI


Le fonds monétaire international prévoit un net ralentissement de la croissance au plan mondial. Le Fonds monétaire international (FMI) a abaissé sa prévision de croissance pour la France à 0,6 % cette année, en recul de 0,2 point par rapport aux dernières prévisions de janvier. L’institution s’attend à une croissance de 1% en 2026, en recul de 0,1 point par rapport à ses précédentes estimations.

Pour la zone euro, sa prévision est révisée à 0,8 % cette année, soit un recul de 0,2 point. Les principales économies de la zone euro voient leurs perspectives diminuées : le FMI anticipe une croissance nulle en Allemagne et de 0,4 % en Italie, en baisse de 0,2 à 0,3 point par rapport aux estimations de janvier.

L’économie des États-Unis devrait progresser de 1,8 % cette année, soit une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. Le Canada pourrait s’attendre à une croissance de 1,4 % (-0,6 point). Le Mexique, dont l’économie dépend fortement des importations vers son voisin américain, pourrait même se retrouver en récession, avec une contraction de 0,3 % (-1,7 point). Le FMI a également abaissé à 4 % sa prévision de croissance pour la Chine en 2025, s’éloignant de l’objectif officiel de 5 % fixé par Pékin et de la projection initiale du FMI de 4,6%.

Déficit France : mise en demeure du FMI

Déficit France : mise en demeure du FMI

 

C’est un premier avertissement à la France fait par le fonds monétaire international concernant la nécessaire rigueur budgétaire. Il est vraisemblable que d’autres mises en demeure de la part d’institutions internationales économiques et financières vont suivre avec notamment des conséquences graves en matière de taux d’intérêt pour les emprunts français. La facture sera en dernier ressort payée par une baisse de productivité , par la consommation et les ménages en général.

Le Fonds monétaire international fait la leçon à la France. « Un effort significatif doit être fait pour arriver à ramener le déficit budgétaire français dans la ligne de ce qui est prévu d’après les règles budgétaires européennes. La France, ses décisions budgétaires, doivent s’inscrire dans le cadre des règles budgétaires européennes », a affirmé ce vendredi 17 janvier Pierre-Olivier Gourinchas, son chef économiste, en marge de la présentation de son rapport sur l’économie mondiale.

« Il faut consolider, mais il faut le faire de manière intelligente », a insisté le chef économiste du FMI, « s’assurer qu’il y a une forme de pérennité ». Le FMI a révisé vendredi à la baisse ses prévisions de croissance pour la France en 2025, s’attendant à voir l’économie française progresser de tout juste 0,8% contre 1,1% lors de sa précédente estimation en octobre dernier.

 

Dette France: alerte du FMI

Dette France: alerte du FMI

 

Le fonds monétaire international informe officiellement du risque d’aggravation de la dérive des déficits et de la dette de la France sur la tendance actuelle. Une alerte qui devrait être reprise par les différentes institutions et autres agences de notation compte tenu notamment de la folie des impôts qui caractérisent actuellement le débat à l’Assemblée nationale.

 

Sans efforts supplémentaires, la dette publique pourrait grimper un peu plus au fil des années et culminer à 124,1 % du PIB en 2029, estime le FMI qui la voit à 112,3 % à la fin de cette année.

Après une glissade à 6 % du PIB pour 2024, le déficit public pourrait légèrement redescendre à 5,9 % l’année prochaine, avant de passer à 5,8 % en 2026 et stagner à 5,9 % en 2027, 2028 et 2029, selon un rapport budgétaire de l’institution de Washington publié mercredi.

 

 

Le FMI pour la fusion entre banques en Europe

Le FMI pour la  fusion entre banques en Europe

« Nos recommandations sont très claires, la direction générale est claire, les fusions sont nécessaires », a donc affirmé le directeur du département Europe au FMI, Alfred Kammer, au cours d’une conférence de presse. « Dans le cadre de l’objectif de remise à niveau des économies européennes, vous avez besoin de banques paneuropéennes à l’image des Etats-Unis, pas juste d’acteurs nationaux dans 27 pays. Et une des manières d’y arriver est à travers les fusions », a-t-il poursuivi. Fin septembre, Christine Lagarde, présidente de la Banque centrale européenne, avait-elle aussi jugé que les fusions transfrontalières au sein de l’UE étaient « souhaitables ». Lors d’une audition au Parlement européen, elle avait ainsi déclaré : « Des fusions transfrontalières de banques capables de rivaliser en termes de taille, de profondeur et de gamme avec d’autres institutions dans le monde, y compris les banques américaines et chinoises, sont, selon moi, souhaitables ».

 

 

 

 

Finances publiques France: Critiques du FMI

 Finances publiques France: Critiques du FMI

le  Fonds monétaire international (FMI) , après les critiques de la Cour des Comptes, presse aussi la France, ce mardi, de mettre en ordre ses finances publiques.« Il est important de rassurer les marchés mais aussi de recréer des marges de manœuvre. Il ne s’agit pas simplement de faire plaisir aux investisseurs, mais de permettre de baisser la prime de risque et pouvoir engager des dépenses sur des nouveaux chantiers, que ce soit la défense ou le climat », a déclaré à l’AFP, le chef économiste du FMI, Pierre-Olivier Gourinchas.

Pour rappel, la prime de risque représente un surcoût intégré au taux d’emprunt de la France afin de financer sa dette, qui prend en compte le risque que les investisseurs estiment prendre en pariant sur des obligations à terme (OAT) françaises.

Le chef économiste du Fonds s’exprimait ce mardi à l’occasion de la présentation de la dernière actualisation de son rapport annuel sur l’économie mondiale (WEO), dans lequel il anticipe une croissance de 0,9% en 2024 pour la France, mieux que les 0,7% anticipé en avril dernier.

« Sans ajustement sérieux » de la trajectoire budgétaire, « il va être difficile d’atteindre les objectifs d’un retour du déficit à 3% du PIB pour 2027 », a ajouté Pierre-Olivier Gourinchas, rappelant que la France a été placée mi-juin en procédure de déficit excessif par la Commission européenne.« Le situation actuelle augmente l’incertitude économique, qui peut dériver du processus politique mais également d’une incertitude importante quant à la trajectoire budgétaire qui sera mise en place », a-t-il insisté.

Sur le plan politique, le problème c’est que la gauche a bien prévu un plan de dépenses supplémentaires mais a oublié d’en chiffrer le montant et les modalités. Les institutions financières et les agences de notation rappelleront à l’ordre la France d’ici la fin de l’année rendront alors encore plus illusoire les promesses électorales.

« Il est nécessaire de réduire cette incertitude et d’avoir un accord qui soit le plus large possible pour prendre en compte cette situation budgétaire. Il faut que l’on soit capable de disposer de marges pour faire face aux chocs futurs car elles sont aujourd’hui très faibles », a-t-il précisé.

Dans son rapport sur la situation des finances publiques présenté lundi 15 juillet, la Cour des comptes s’inquiète elle aussi de la gestion des comptes publics par le gouvernement. Les magistrats financiers s’interrogent notamment sur la trajectoire budgétaire de l’exécutif, détaillée en avril à la Commission européenne dans le programme de stabilité (« PSTAB »). Celle-ci repose sur « des hausses importantes » des prélèvements obligatoires supplémentairesà savoir « quelque 21 milliards d’euros » en cumul pour les années 2025 et 2026, a expliqué son premier président, Pierre Moscovici, devant la presse.

Précisément, selon le rapport, la trajectoire « intègre des mesures de hausses d’impôts d’ampleur, à hauteur de 15 milliards d’euros en 2025 et de 6,2 milliards d’euros en 2026, soit 21,2 milliards à cet horizon ». Le problème c’est que ces recettes supplémentaires ne sont nullement documentées sauf pour 4 milliards ; conclusion il manque 17 milliards

« Pour le reste (17 milliards, ndlr), on n’a aucun élément », relève Carine Camby, présidente de la première chambre de la Cour des comptes. « Ce n’est pas du tout documenté. Il n’y a absolument pas d’éléments précis pour dire à quoi ce serait dû », poursuit-elle.

Outre ce manque de réalisme, la juridiction financière administrative pointe l’épée de Damoclès qui repose au-dessus des comptes publics. « Les scénarios alternatifs testés par la Cour des comptes montrent que tout écart par rapport aux prévisions de croissance, de dépenses ou de recettes suffirait à faire dérailler la trajectoire et à manquer les cibles de déficit et de dette pour 2027 », prévient-elle.

 

Dette France : avertissement du FMI

Dette France : avertissement du FMI

Après les autorités de Bruxelles, c ‘est au tour du FMI d’adresser un avertissement à la France sur la dérive  inquiétante 4 de son endettement. Un endettement qui atteint 110 % du PIB et dont la charge financière pèse de l’ordre de 50 milliards sur le budget annuel.

« Les pays qui ont une dette et un déficit relativement élevés, en ce moment où l’économie se porte mieux que prévu, devraient en profiter et être plus déterminés pour réduire leur dette et leur déficit », a déclaré Mme Georgieva, la directrice générale du FMI, interrogée sur la situation en France, en marge d’une réunion des ministres des Finances de l’UE à Luxembourg.

D’autant que la Commission européenne a ouvert la voie, mercredi, à des procédures pour déficits publics excessifs contre sept pays de l’UE, dont la France où les promesses de dépenses se multiplient pourtant à dix jours d’élections législatives. « Les pays avec une dette et un déficit élevés ne peuvent pas avancer avec succès vers l’avenir en portant ce fardeau sur leurs épaules. Ils doivent l’alléger », a déclaré la patronne du FMI.

Mais « ce sont des décisions que les pays doivent prendre pour eux-mêmes, bien sûr en consultation et en coordination avec les institutions européennes », a-t-elle ajouté, refusant de commenter les propositions des différents partis politiques en France.

Les sept pays épinglés, mercredi, par Bruxelles ont dépassé l’an dernier la limite de déficits publics fixée à 3% du Produit intérieur brut (PIB) par le Pacte de stabilité qui limite aussi la dette à 60% du PIB. Ils devront prendre des mesures correctrices pour respecter à l’avenir les règles budgétaires de l’Union européenne, sous peine de sanctions financières.

Le FMI a publié, jeudi, un rapport sur l’économie de la zone euro. Le Fonds anticipe une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,8% cette année pour les vingt pays partageant la monnaie unique, contre 0,4% l’an dernier. Il table sur une nouvelle amélioration à 1,5% en 2025.

L’institution estime également que l’inflation va continuer de refluer et prévoit qu’elle revienne « dans la deuxième moitié de 2025 » à sa cible de 2% fixée par la Banque centrale européenne (BCE).

La hausse des prix à la consommation a atteint 2,6% en mai dans la zone euro, très loin du record de 10,6% atteint en octobre 2022 en pleine flambée des tarifs de l’énergie après le déclenchement de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

 

Déficit et dette France : avertissement aussi du FMI

Déficit et dette France : avertissement aussi du FMI

Après les autorités de Bruxelles, c ‘est au tour du FMI d’adresser un avertissement à la France sur la dérive  inquiétante 4 de son endettement. Un endettement qui atteint 110 % du PIB et dont la charge financière pèse de l’ordre de 50 milliards sur le budget annuel.

« Les pays qui ont une dette et un déficit relativement élevés, en ce moment où l’économie se porte mieux que prévu, devraient en profiter et être plus déterminés pour réduire leur dette et leur déficit », a déclaré Mme Georgieva, la directrice générale du FMI, interrogée sur la situation en France, en marge d’une réunion des ministres des Finances de l’UE à Luxembourg.

D’autant que la Commission européenne a ouvert la voie, mercredi, à des procédures pour déficits publics excessifs contre sept pays de l’UE, dont la France où les promesses de dépenses se multiplient pourtant à dix jours d’élections législatives. « Les pays avec une dette et un déficit élevés ne peuvent pas avancer avec succès vers l’avenir en portant ce fardeau sur leurs épaules. Ils doivent l’alléger », a déclaré la patronne du FMI.

Mais « ce sont des décisions que les pays doivent prendre pour eux-mêmes, bien sûr en consultation et en coordination avec les institutions européennes », a-t-elle ajouté, refusant de commenter les propositions des différents partis politiques en France.

Les sept pays épinglés, mercredi, par Bruxelles ont dépassé l’an dernier la limite de déficits publics fixée à 3% du Produit intérieur brut (PIB) par le Pacte de stabilité qui limite aussi la dette à 60% du PIB. Ils devront prendre des mesures correctrices pour respecter à l’avenir les règles budgétaires de l’Union européenne, sous peine de sanctions financières.

Le FMI a publié, jeudi, un rapport sur l’économie de la zone euro. Le Fonds anticipe une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,8% cette année pour les vingt pays partageant la monnaie unique, contre 0,4% l’an dernier. Il table sur une nouvelle amélioration à 1,5% en 2025.

L’institution estime également que l’inflation va continuer de refluer et prévoit qu’elle revienne « dans la deuxième moitié de 2025 » à sa cible de 2% fixée par la Banque centrale européenne (BCE).

La hausse des prix à la consommation a atteint 2,6% en mai dans la zone euro, très loin du record de 10,6% atteint en octobre 2022 en pleine flambée des tarifs de l’énergie après le déclenchement de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

 

Dette France : avertissement aussi du FMI

Dette France : avertissement aussi du FMI

Après les autorités de Bruxelles, c ‘est au tour du FMI d’adresser un avertissement à la France sur la dérive  inquiétante 4 de son endettement. Un endettement qui atteint 110 % du PIB et dont la charge financière pèse de l’ordre de 50 milliards sur le budget annuel.

« Les pays qui ont une dette et un déficit relativement élevés, en ce moment où l’économie se porte mieux que prévu, devraient en profiter et être plus déterminés pour réduire leur dette et leur déficit », a déclaré Mme Georgieva, la directrice générale du FMI, interrogée sur la situation en France, en marge d’une réunion des ministres des Finances de l’UE à Luxembourg.

D’autant que la Commission européenne a ouvert la voie, mercredi, à des procédures pour déficits publics excessifs contre sept pays de l’UE, dont la France où les promesses de dépenses se multiplient pourtant à dix jours d’élections législatives. « Les pays avec une dette et un déficit élevés ne peuvent pas avancer avec succès vers l’avenir en portant ce fardeau sur leurs épaules. Ils doivent l’alléger », a déclaré la patronne du FMI.

Mais « ce sont des décisions que les pays doivent prendre pour eux-mêmes, bien sûr en consultation et en coordination avec les institutions européennes », a-t-elle ajouté, refusant de commenter les propositions des différents partis politiques en France.

Les sept pays épinglés, mercredi, par Bruxelles ont dépassé l’an dernier la limite de déficits publics fixée à 3% du Produit intérieur brut (PIB) par le Pacte de stabilité qui limite aussi la dette à 60% du PIB. Ils devront prendre des mesures correctrices pour respecter à l’avenir les règles budgétaires de l’Union européenne, sous peine de sanctions financières.

Le FMI a publié, jeudi, un rapport sur l’économie de la zone euro. Le Fonds anticipe une croissance du produit intérieur brut (PIB) de 0,8% cette année pour les vingt pays partageant la monnaie unique, contre 0,4% l’an dernier. Il table sur une nouvelle amélioration à 1,5% en 2025.

L’institution estime également que l’inflation va continuer de refluer et prévoit qu’elle revienne « dans la deuxième moitié de 2025 » à sa cible de 2% fixée par la Banque centrale européenne (BCE).

La hausse des prix à la consommation a atteint 2,6% en mai dans la zone euro, très loin du record de 10,6% atteint en octobre 2022 en pleine flambée des tarifs de l’énergie après le déclenchement de l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

 

Le FMI critique sur le budget de la France

Le FMI critique sur le budget de la France

 

Dans son rapport annuel consacré à la France, Le fonds monétaire international (FMI) s’inquiète de la trajectoire budgétaire hexagonale.  Le fonds monétaire internationale estime que le déficit public atteindra toujours 4,5 % du PIB en 2027.Notons que le gouvernement, lui prévoit un déficit de 2,9 % ! 

Dans son rapport annuel consacré à la France, baptisé « article 4 » , l’institution s’inquiète de la trajectoire budgétaire hexagonale. En 2023, Paris affichait en effet des comptes parmi les plus dégradés de l’Union européenne, avec un déficit à 5,5 % du produit intérieur brut (PIB) et une dette de 110,6 %. Dans un scénario à politique inchangée, qui intègre donc uniquement « des mesures adoptées et clairement documentées, les services du FMI prévoient que le déficit public restera élevé à 5,3 % du PIB en 2024 et diminuera légèrement à 4,5 % en 2027 », écrivent les experts du fonds.

Pourtant le gouvernement prévoit un déficit ramené à2 % 2,9 % du PIB en 2027 mais le FMI considère que cette perspective n’est pas suffisamment explicitée et documentée.

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