Archive pour le Tag 'Fleur'

La politique : « Un milieu dur, violent, (Fleur Pellerin) ….simplement le milieu !

La politique : « Un milieu dur, violent, (Fleur Pellerin) ….simplement le milieu !

Après avoir été vidée par Hollande sans ménagement de son poste de ministre de la culture, Fleur Pellerin s’étonne avec une  certaine naïveté du caractère violent de la politique. Un milieu en plus totalement irrationnel déclare-t-elle. D’une certaine manière la jeune énarque promu un peu vite aux plus hautes responsabilités découvre la lune. La politique est tout simplement un milieu où s’enchevêtrent ambitions personnelles, mensonges d’État, règlement de comptes et relations coupables avec certains intérêts financiers certaines grandes affaires  témoignent des réalités de ce monde politique. Mais plus grave sont les méthodes et comportements d’une caste organisée en partie coupée depuis longtemps des réalités économiques, sociales et même sociétales et dont l’unique projet est l’accession au pouvoir par tous les moyens. Parmi ces moyens la politique de l’apparence ( la com.’ comme  ils disent) pour masquer  l’immensité de  l’incompétence et du manque  de courage.  Dans le JDD, Fleur Pellerin se confie et revient sur son aventure au ministère de la Culture : « J’ai quitté la Rue de Valois sans amertume, sans esprit de revanche et sans agenda caché. […] Pour moi, le ministère de la Culture est un ministère de combat, pas de l’apparence. Je voulais poser les jalons d’une démocratisation culturelle, alors qu’on attendait de moi que je réinvente une fête de la musique qui ne coûte rien et je mette tout le milieu culturel dans notre poche », assène Fleur Pellerin. La gaffe Modiano?  »Un non-sujet », dit-elle. Certes, elle n’a pas lu le Prix Nobel mais elle est incollable sur les auteurs antiques, elle a lu tout Robert Musil en allemand, elle joue du piano classique et s’adonne à la peinture.  La séquence ministérielle l’a laissée KO. « J’étais vidée. Mais quatre ans d’exercice du pouvoir m’ont blindée. C’est un milieu dur, violent, machiste et irrationnel », pose-t-elle.

 

Modiano fatal à Fleur Pellerin

Modiano fatal à Fleur Pellerin

Incapable de citer le titre d’un livre de Modiano prix Nobel de littérature fleur Pellerin a été virée du ministère de la culture. Il faut dire qu’elle s’était excusée de manière très malhabile en prétextant un manque de temps pour lire. « Mais je lis les notes de mon cabinet » avait-elle ajouté encore plus maladroitement. On notera aussi sa proposition de taxer les boxs et les ordinateurs ;  bref la brillante énarque n’a pas convaincu « J’aurai à cœur de travailler sur les défis qui se posent à notre modèle culturel… de moderniser l’exception culturelle française », déclarait Fleur Pellerin lors de son arrivée au ministère de la Culture et de la Communication en août 2014. Un an et demi plus tard, elle quitte le gouvernement, remplacée par Audrey Azoulay, et laisse un bilan mitigé mais surtout une image écornée. En effet, elle n’aura pas réussi à modifier une réputation de technocrate héritée de son passage par le Commerce extérieur et l’Economie numérique, renforcée par des déclarations maladroites. Pourtant, la diplômée de Sciences Po, l’ENA et l’Essec aura stoppé l’hémorragie du budget de la Culture, avec même une hausse des crédits de son ministère, permis de faire revenir les tournages de films en France grâce au crédit d’impôt, obtenu un accord pour une juste répartition des revenus issus du numérique au sein de la filière musicale, sans oublier son grand projet relatif à la liberté de la création, à l’architecture et au patrimoine, dont l’examen prévu jeudi au Sénat a été en conséquence interrompu.

 

(‘Avec Reuters)

Fleur Pellerin dérape à propos RTL et Europe1

Fleur Pellerin dérape à propos  RTL et Europe1

Comme Sarko, Hollande aime s’entourer de jeunes et jolies femmes au gouvernement  mais politiquement ce n’est pas nécessairement très efficace. La preuve une   bourde de plus  pour la charmante et  jeune énarque qui a hérité de la culture où elle montre autant d’incompétence que dans ses attribution précédentes. Invitée ce lundi de la matinale de Patrick Cohen, sur France Inter, la ministre de la Culture et de la Communication est revenue sur le conflit social qui touche Radio France depuis plus de quinze jours, rappelant son «attachement viscéral à la singularité et l’identité» du service public.  Tout allait bien jusqu’au moment où Fleur Pellerin s’est mise à comparer les radios publiques et privées. «Quand on écoute France Inter, on n’écoute pas RTL, a-t-elle lâché. Malgré tout le respect que j’ai pour RTL ou Europe 1. Il y a une mission spécifique de décryptage de l’information, d’accès à la culture.». C’est vrai que France inter diffuse des émissions qui méritent intérêt mais sa particularité est d’être marquée à gauche et même souvenait très à gauche. En outre la rédaction revendique ce positionnement de gauche. Ce qui pose évidemment un problème de démocratie dans le service public. En outre on ne peut pas dire que les programmes de France inter soient d’uen exceptionnelle qualité comme d’ ailleurs les radios en général dont l’audience ne cesse de diminuer. Il faut en effet noter  le recul de la radio dans sa globalité. Les Français sont  moins nombreux à l’écouter avec 42 690 millions d’auditeurs de plus de 13 ans. En audience cumulée, la radio enregistre son plus mauvais résultat depuis 2002 (– 0,8 point) – une tendance baissière qui se répète depuis plusieurs vagues et devient significative. En cause précisément la qualité des programme et la concurrence des nouveaux médias ,internet en particulier.la déclaration de Fluer Pellerin est donc assez inopportune.   Les réactions ne se sont pas fait attendre. Chez les journalistes des stations concernés. Comme chez leurs auditeurs.

 

Fleur Pellerin impuissante face à la grève de Radio France

Fleur Pellerin impuissante face à la grève de Radio France

La ministre de la culture ne brille pas par sa capacité à gérer son ministère ( pas plus qu’elle ne brille par sa grande culture). Dans le conflit à Radio France, elle se montre bien impuissante se contentant de formuler des vœux. La ministre de la Culture Fleur Pellerin a en effet appelé de ses voeux lundi la fin de la grève à Radio France, qui en est à son 19e jour, tout en soulignant qu’elle n’avait pas à intervenir dans la gestion du dialogue social. « Il faut maintenant trouver une issue à ce conflit qui dure depuis trop longtemps », a-t-elle dit sur France Inter, qui a pu diffuser lundi une partie de ses programmes. Alors que les grévistes réclament une intervention de l’Etat, elle a indiqué que son rôle était de « travailler avec la direction sur un projet stratégique pour Radio France ». « Je n’ai pas à intervenir dans la gestion du dialogue social, a-t-elle ajouté, je suis là pour définir ce qu’est ma vision du service public radiophonique, définir ce que sont mes lignes rouges, j’en ai exprimées plusieurs la semaine dernière, définir aussi ce que je crois être les besoins de modernisation. »  Mais la préparation d’un projet d’entreprise revient selon elle au président de l’établissement public, Mathieu Gallet, qui dévoilera un plan stratégique mercredi lors d’un comité central d’entreprise extraordinaire. Il devrait annoncer à cette occasion un train d’économies qui s’accompagnera d’un plan de départ volontaires. Pour Fleur Pellerin, « l’emploi ne peut pas être la seule variable d’ajustement » des efforts nécessaires pour redresser la situation financière de Radio France. Un double discours finalement assez ambigu.  Si elle a exclu la suppression d’un des deux orchestres symphoniques du groupe, elle a estimé qu’il était possible de faire des économies sur leur « dimensionnement » et l’organisation de leur travail. La ministre a réclamé en outre le lancement d’ »un grand chantier de modernisation sociale parce que je considère qu’il y a aujourd’hui beaucoup de situations anormales.  Radio France constitue uen des exemples des gâchis financiers des entreprises publiques.  Il y a évidemment la réfection du bureau du PDG à 100 000 euros environ, aussi son contrat d’un million avec une société de communication dédiée à la gestion de son  » image personnelle », enfin le dérapage de la rénovation de l’immeuble de Radio France qui passe de 250 millions à 500. Il ya surtout des sureffectifs et des salaires de cadres démentiels : en moyenne autour de 5000 euros. En outre le déficit serait de l’ordre de 50 millions sur un budget de 6000 millions financé à 90% par le contribuable  y ceux nombreux qui n’écoute jamais radios France. D’un certain point de vue, la grève actuelle de radio France est à la fois suicidaire et complètement irresponsable. D’abord personne ou presque ne parle de cette grève qui ne gène pas grand monde compte tenu de innombrables autres sources d’information, ensuite cette grève permet de mettre en lumière les gaspillages de fonds publics. Dernier scandale pendant cette grève Radio France est presque muette alors qu’il n’y a que 10% de grévistes à Paris ! Un curieuse conception d’un service public dont par ailleurs on pourraiat se passer.  La Cour des comptes préconise la fusion des rédactions de Radio France et invite le groupe public à corriger des « défaillances » de gestion qui ne sont « pas acceptables » face à une situation financière critique. L’institution rend public mercredi un rapport sévère sur Radio France, pressé de « réviser en profondeur ses modes de fonctionnement », alors que l’avenir du groupe est au cœur d’une grève qui entrera dans son 14e jour consécutif. Le quotidien Les Echos ayant dévoilé une partie de ses préconisations, la Cour des comptes livre mardi dans un communiqué ses 18 pistes de réforme, notamment « la mutualisation dans le domaine de l’information et la création d’une rédaction unique », ainsi que la fusion des deux orchestres symphoniques du groupe..  En février, Les Echos rapportaient qu’un document de travail interne au groupe tablait sur un déficit de 50 millions d’euros en 2019 si rien n’était fait d’ici là pour rétablir les comptes de la Maison Ronde, dont le budget de rénovation a dérapé. Selon la Cour des Comptes, le chantier engagé en 2004 pour 262 millions d’euros devrait coûter plus du double (575 millions). « Radio France devra en tout état de cause réaliser un effort très significatif d’économies structurelles, impliquant d’importantes mesures de réorganisation », souligne l’instance. Sa gestion « souffre de défaillances qui ne sont pas acceptables pour une entreprise de cette taille et doivent donc être corrigées », ajoute-t-elle. Elle invite Radio France à s’inspirer de la mutation de la BBC en Grande-Bretagne ou de la RTBF en Belgique .

 

 

Traité transatlantique : Fleur Pellerin se fout du monde

Traité transatlantique : Fleur Pellerin se fout du monde

 

 

Gonflée la secrétaire d’Etat aux commerce extérieur, d’abord elle avoue qu’elle aurait faire davantage de pédagogie sur le traité avec les Etats-Unis alors que le contenu de cet accord est totalement secret. Personne n’a osé en parlé pendant la campagne sauf les opposants. Un traité stratégique qui finalement est négocié sans mandat, sans contrôle et surtout sans vision.  La secrétaire d’État au Commerce extérieur, était l’invitée de BFM Business ce lundi 19 mai. Elle est revenue sur la diplomatie économique et le traité transatlantique en cours de négociation. , Fleur Pellerin est revenu sur le traité transatlantique . Et elle a fait, au nom de la classe politique, son mea culpa. « Nous aurions dû faire davantage de pédagogie ». La situation est compliquée: ce traité est négocié en toute confidentialité, mais certains pays comme la France demandent sa publication officielle. D’ailleurs, la secrétaire d’Etat salue le fait que le texte ait fuité sur internet. Concernant ce traité, Fleur Pellerin a essayé de rassurer les Français. Elle a expliqué que plusieurs lignes rouges ont été fixées et qu’en dernier recours, c’est le Parlement qui décidera de le ratifier ou non. « Si les lignes rouges ont été franchies, le Parlement ne le ratifiera pas ».

Traité transatlantique « trop d’opacité » (Fleur Pellerin)

Traité transatlantique « trop d’opacité » (Fleur Pellerin)

C’est  la secrétaire d’État au commerce extérieur qui l e dit, le traité avec les Etats-Unis est traité en toute opacité. En clair ce sont les technocrates de Bruxelles qui magouillent sans aucune légitimité démocratique. Pourtant Fleur Pellerin veut « contribuer au rayonnement international de la France ». La secrétaire d’État au Commerce extérieur, était l’invitée de BFM Business ce lundi 19 mai. Elle est revenue sur la notion de diplomatie économique. « Nous voulons renforcer notre influence et pousser l’intérêt de nos entreprises », a-t-elle déclaré. Si elle reconnaît que la situation peut être compliquée dans certains pays comme en Russie où « les intérêts des entreprises françaises ne sont pas forcément alignés avec la voix de l’Etat », elle a aussi mis en avant les réussites, notamment celle avec Alibaba. Vendredi 16 mai, la France a signé un accord pour renforcer la visibilité des produits tricolores sur le site d’e-commerce chinois. « En Chine, beaucoup de nos marques ont du mal à pénétrer le marché donc nous les aidons », s’est félicité Fleur Pellerin. Mais la diplomatie économique n’est pas mise en place qu’à l’étranger. La secrétaire d’Etat a donné, en effet, l’exemple des touristes qui viennent en France. Elle veut améliorer les demandes de visas des touristes, ou encore ouvrir certains magasins le dimanche. « Les touristes chinois sont ceux qui dépensent le plus, donc nos commerçants doivent avoir accès à cette clientèle d’où les discussions pour le travail du dimanche », tout en « respectant le dialogue social ». Par ailleurs, Fleur Pellerin est revenu sur le traité transatlantique. Et elle a fait, au nom de la classe politique, son mea culpa. « Nous aurions dû faire davantage de pédagogie ». La situation est compliquée: ce traité est négocié en toute confidentialité, mais certains pays comme la France demandent sa publication officielle. D’ailleurs, la secrétaire d’Etat salue le fait que le texte ait fuité sur internet. Concernant ce traité, Fleur Pellerin a essayé de rassurer les Français. Elle a expliqué que plusieurs lignes rouges ont été fixées et qu’en dernier recours, c’est le Parlement qui décidera de le ratifier ou non. « Si les lignes rouges ont été franchies, le Parlement ne le ratifiera pas ».




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