Archive pour le Tag 'Fleur Pellerin'

« Moderniser » la redevance audiovisuelle en taxant les box (Fleur Pellerin)….on rêve !

« Moderniser »  la redevance en taxant les box (Fleur Pellerin)….on rêve !

 

On croit rêver en entendant les propos de fleur Pellerin qui parle de moderniser l’assiette de la redevance audiovisuelle grâce à la taxation des boxs. D’abord curieuse façon moderniser  en augmentant la fiscalité. Il est clair en effet qu’on commencera par accroître l’assiette de la redevance et progressivement qu’on augmentera le taux chaque année. Si modernisation il devait y avoir ce serait d’abord celle du service public audiovisuel dont  les gâchis ont été dénoncés à de nombreuses reprises y compris par la Cour des Comptes. Pourquoi 10 000 personnes environ à France Télévisions, 5000 personnes environ à Radio France, pourquoi autant de gaspillages, pourquoi un service public aussi démesuré à un moment ou nous disposons de centaines de sources d’information. Car c’est bien une taxe sur l’information qui est proposée, contrairement à ce qui est affirmé les boxs sont surtout un moyen d’accès à l’information et non prioritairement aux programmes télé surtout ceux  du service public. Sur quels éléments statistiques s’appuient le gouvernement pour affirmer le contraire ? Pourquoi aussi ne pas imaginer une taxe aussi sur les écrans, sur les prises, sur les câbles, sur les souris et autres accessoires nécessaires au fonctionnement d’un ordinateur. La nouvelle taxe est révélatrice de la politique du gouvernement qui faute de s’attaquer aux dépenses préfère augmenter la fiscalité. Ce qui vaut pour l’audiovisuel vaut pour l’ensemble de l’économie. L’ingénierie fiscale fait office de politique économique. La ministre de la Culture et de la Communication, Fleur Pellerin, annonce donc sir France-Info qu’une extension de la redevance télé aux box est « une option ». Mais « il n’est pas question » dit-elle « de taxer les smartphones et les tablettes ». Fleur Pellerin,a évoqué le financement de l’audiovisuel public par la redevance. La ministre de la Culture et de la Communication a rappelé le contexte de « modération et même de baisse de la pression fiscale ». « C’est dans ce sens » ajoute-t-elle que « des arbitrages seront pris dans les prochains jours ». Il faut noter la nuance sémantique puisque Fleur Pellerin parle de « modération » de la pression fiscale

Rapport Gallois- Fleur Pellerin : « baisse du coût du travail dans certains secteurs, certaines entreprises » ; dans un certain temps ? Comme le fut du canon ?

Rapport Gallois- Fleur Pellerin : «  baisse du coût du travail dans certains secteurs, certaines entreprises » ; dans un certain temps ?  Comme le fut du canon ?

Le gouvernement français proposera une baisse du coût du travail dans certains secteurs économiques et certains types d’entreprises, a dit la ministre déléguée chargée des Petites et moyennes entreprises, Fleur Pellerin. Elle aurait dû ajouter dans un certains temps, dans certaines conditions  et dans une certaine ampleur. Un vrai langage d’énarque pour ne rein dire. Évidemment, il fallait une énarque pour les PME. Dans le fond, énarque ou archevêque quelle différence ? bien peu quand au rapport à l’économie réelle. On a bien un avocat pour le redressement industriel alors !  Sur France 5, elle a ajouté que les PME auraient une place très importante dans ce plan pour la compétitivité, dont le gouvernement dévoilera les orientations mardi, au lendemain de la remise du rapport Gallois. Interrogée sur la baisse du coût du travail demandée par les chefs d’entreprise, elle a déclaré: «il y a des secteurs exposés à la concurrence internationale dans lesquels cela a un sens et d’autres secteurs où cela a moins de sens.» «Il y a un sujet de coût du travail dans certains secteurs et dans certains types d’entreprises: il sera traité avec courage et avec lucidité», a-t-elle ajouté. Le coût du travail «n’est pas le principal facteur» pesant sur la compétitivité des entreprises françaises, a cependant poursuivi Fleur Pellerin, citant les capacités d’innovation et d’exportation.  «Les PME auront une place très importante dans le dispositif de compétitivité qui sera annoncé», a-t-elle ajouté. Fleur Pellerin n’a pas voulu préciser si la mise en oeuvre de la promesse de François Hollande de créer des taux d’imposition différents selon la taille des entreprises serait annoncée mardi, mais elle a déclaré que «c’est un engagement de campagne et tous les engagements de campagne seront tenus».

 

La ministre déléguée à l’Économie numérique, Fleur Pellerin : un plan pour le numérique ! Un plan de fonctionnaires ?

La ministre déléguée à l’Économie numérique, Fleur Pellerin : un plan pour le numérique ! Un plan de fonctionnaires ?

 

Fleur Pellerin, énarque, de la cour des comptes qui doit avoir un rapport assez approximatif avec le numérique lance son plan. Elle souhaite avant tout relancer le Conseil national du numérique (CNN), a révélé dès mardi latribune.fr. Cet organe, créé en 2011 sous le quinquennat de Nicolas Sarkozy pour «éclairer le gouvernement et participer au débat public dans le domaine du numérique», a été secoué par le changement de majorité. En juillet, ses membres ont remis en bloc leur mandat à disposition du gouvernement. Le CNN version 2.0, devrait perdre son indépendance et être rattaché à Matignon, à la manière du Centre d’analyse stratégique. C’est la conception du PS, de la concertation mais avec des experts à la botte, essentiellement des fonctionnaires.  Sa composition devrait être élargie à une trentaine de membres et étendue à des chercheurs et à des représentants de la société civile (quand même, il y aura des spécialistes du numérique du privé ; pas trop quand même, c’est dangereux). Les noms d’entrepreneurs qui se sont distingués durant le mouvement des «Pigeons» circulent d’ailleurs parmi les possibles membres. En parallèle, Fleur Pellerin veut favoriser la croissance des start-up en France en créant à Paris ou en proche banlieue une Silicon Valley à la française. L’idée serait de répondre au projet «Tech City» de Londres, qui regroupe des start-up dans un quartier à l’est de la capitale britannique et accompagne les investissements de grands noms comme Facebook, Google et Intel. Si Paris reste devant Londres et Berlin en termes de nombre de start-up hébergées et de parts représentée par le numérique dans l’emploi, les capitales allemande et britannique multiplient les initiatives pour accueillir les nouvelles pépites européennes. Une mission sera donc lancée pour définir les contours de ce «grand quartier numérique». Plus classique, le gouvernement entend aussi «reprendre le pilotage» de la couverture intégrale du territoire en très haut débit et «agir pour permettre à tous d’accéder aux possibilités offertes par le numérique». Toutes ces orientations prendront la suite du plan «France numérique 2020» présenté l’an dernier par Éric Besson (autre spécialiste du numérique), alors ministre de l’Industrie. Elles figureront dans une «feuille de route», qui sera détaillée par le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, en février 2013, à l’issue d’un séminaire gouvernemental. La mise en tutelle de conseil national du numérique est significative de la conception de la concertation à la française ; autre exemple , le conseil national des transports a été aussi  supprimé pour son excès d’indépendance ( dont j’ai été pendant longtemps  vice Président).

 




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