Archive pour le Tag 'financements'

Suisse : arrêt des financements à l’agence pour les réfugiés palestiniens de l’ONU

Suisse : arrêt des financements à l’agence pour les réfugiés palestiniens de l’ONU

Peu d’observateurs notent la dérive gauchiste d’organismes dépendants de l’ONU voire du secrétaire même de l’organisation. Faute de peser sur les événements et d’organiser les concertations et le règlement des conflits, l’ONU multiplie les prises de position gauchistes surtout en faveur des palestiniens.

«C’est un secret de polichinelle que dans les écoles de l’UNRWA on continue à faire l’apologie du terrorisme, à inciter à la violence et à promouvoir l’antisémitisme, justifie David Zuberbühler, membre du groupe parlementaire Suisse-Israël. Une majorité du Conseil national l’a enfin reconnu (…). Comme le Conseil fédéral et le parlement ont détourné le regard pendant longtemps, voire trop longtemps, il n’y a certes pas lieu de se réjouir, mais je suis malgré tout naturellement très satisfait de cette décision.»

Logement : quelle efficacité des financements publics ?

Logement : quelle efficacité des financements publics ?

par Véronique Chocron dans le Monde

est en plein marasme, la première ministre, Elisabeth Borne, et le ministre Olivier Klein devaient rendre publiques, lundi 5 juin, les mesures issues des travaux du Conseil national de la refondation-logement.*
« On a créé un système de surdépenses publiques pour de l’inefficacité collective. » En brocardant dans le magazine Challenges, en mai, la politique du logement en France, le président de la République, Emmanuel Macron, n’a pas apaisé un secteur plongé dans une crise brutale, amplifiée par une hausse forte et rapide des taux d’intérêt. Dans cette optique, la première ministre, Elisabeth Borne, et le ministre chargé du logement, Olivier Klein, doivent rendre publiques, lundi 5 juin, les mesures issues des travaux du ­Conseil national de la refondation-logement.

Quelques chiffres illustrent le marasme actuel : au premier trimestre, les réservations de logements neufs auprès des promoteurs immobiliers se sont effondrées de 41 % et les ventes de logements anciens en Ile-de-France ont chuté de près d’un quart (– 22 %), par rapport à la même période de 2022.

Non seulement l’envolée du taux moyen du crédit immobilier, passé de 1,06 % en décembre 2021 à 3,28 % en mai 2023, a eu un impact puissant sur le budget des acheteurs, mais les banques ont resserré le robinet du crédit. Les ménages, bloqués dans leur projet d’accession à la propriété, n’ont pas d’autre choix que de rester locataires. Le marché locatif s’enraye, et plus de 2,4 millions de ménages se retrouvent désormais en attente d’un logement social, un niveau inédit.

Cette crise serait-elle l’occasion de remettre à plat une politique publique du logement trop peu efficace, « un secteur où on finance l’offre, l’investissement et la demande », alors que « malgré tout on produit moins, et c’est plutôt plus cher qu’ailleurs », selon la charge du chef de l’Etat ?

Les résultats de cette politique publique restent, en effet, très imparfaits, en raison d’un problème d’accès à des logements abordables. Les prix des biens ont doublé entre 2000 et 2017. Près d’un tiers des jeunes ménages à faibles revenus étaient propriétaires en 1973, contre 16 % à peine quarante ans plus tard.

Afghanistan : les financements internationaux suspendus

Afghanistan : les financements internationaux suspendus

Les talibans ont certes remporté une victoire surprise mais les difficultés vont commencer sur le terrain économique. Actuellement l’Afghanistan est déjà l’un des pays les plus pauvres mais vont aussi s’y ajouter la fuite des cerveaux et autres experts, la dévalorisation de la monnaie et la suspension des aides des organismes internationaux

Cela risque de durer tant que la communauté internationale n’aura pas suffisamment reconnu le nouveau régime. Sans parler évidemment des dissensions internes entre les talibans, DAECH , Al Qaïda et des résistance territoriales.

«Nous avons suspendu les versements (de financements) dans le cadre de nos opérations en Afghanistan et nous surveillons et évaluons de près la situation», a déclaré à l’AFP une porte-parole de la banque mondiale. «Nous sommes profondément préoccupés par la situation en Afghanistan et son impact sur les perspectives de développement du pays, en particulier pour les femmes», a-t-elle également souligné. La porte-parole n’a pas indiqué quel était le montant des versements qui étaient programmés avant la prise de pouvoir par les talibans. La Banque mondiale menait jusqu’alors une vingtaine de projets de développement en Afghanistan. Depuis 2002, il a fourni 5,3 milliards de dollars, principalement sous forme de subventions.

De son côté, Fonds monétaire international, avait annoncé dès le 18 août la suspension de ses propres aides en faveur de l’Afghanistan en raison de l’incertitude entourant le statut des dirigeants à Kaboul après la prise de contrôle du pays par les talibans. «Il y a actuellement un manque de clarté au sein de la communauté internationale concernant la reconnaissance d’un gouvernement en Afghanistan, en conséquence de quoi le pays ne peut pas accéder aux DTS (droits de tirage spéciaux, ndlr) ou à d’autres ressources du FMI», avait-il alors justifié.

Urgence dépendance Dépendance: comment trouver de nouveaux financements

Urgence dépendance Dépendance: comment trouver de nouveaux financements

 

 

 

 

D’après le rapport de Dominique Libault remis jeudi au gouvernement, le nombre de personnes dépendantes devrait pratiquement doubler d’ici 2050. En outre, il y a une chance de trouver de nouveaux moyens financiers d’ici 2030, c’est-à-dire autour de 10 milliards L’effort financier passerait à 1,6% du PIB pour la dépense publique liée au grand âge en 2030, contre 1,2% en 2018. La première solution proposée parmi les 175 consiste à renforcer l’accompagnement à domicile ce qui suppose évidemment une revalorisation des conditions sociales des aidants et intervenants extérieurs comme les assistants de vie. On propose aussi d’augmenter les effectifs des EHPAD de 25 %. Des EHPAD qui aujourd’hui accueillent le nombre le plus important de plus de 85 ans en Europe (21 %). Des EHPAD qui seront aussi modernisés. La situation est critique: 63% des Ehpad disent avoir au moins un poste non pourvu depuis 6 mois ou plus. Le rapport propose de mieux former les personnels, de revaloriser les salaires, de développer l’apprentissage dans le secteur. Il préconise d’augmenter progressivement de 25% le taux d’encadrement en Ehpad d’ici à 2024, soit 80.000 postes de plus, pour un effort chiffré à 400 millions d’euros par an d’ici 2020 et 1,2 milliard en 2024Les dépenses d’hébergement en établissement sont à la charge des familles, et le reste à payer après aides atteint 1850 euros par mois pour la moitié des résidents  Le reste à charge des familles doit être réduit grâce à une nouvelle prestation de 300 euros pour les revenus compris entre 1000 et 1600 euros, dégressive au-delà Un « bouclier autonomie » serait activé dès lorsqu’une personne reste plus de quatre ans en Ehpad en situation de perte d’autonomie (15% des résidents), ce qui représenterait un gain moyen de 740 euros par mois. L’ASH allouée par les départements serait réformée, avec des règles nationales pour les ressources et la suppression de l’obligation faite aux petits-enfants de contribuer aux frais. Pour financer cet effort, les rapporteurs excluent toute hausse de prélèvement obligatoire et l’option d’une assurance obligatoire privée, au profit de la solidarité nationale.

Mobilité : une loi mais aussi des financements

Mobilité : une loi mais aussi des  financements

 

 

Macron a annoncé une « loi des mobilités » pour début 2018, un rafraîchissement des dispositions réglementaires sans doute nécessaire car la dernière loi d’orientation des transports (loti) date de 1982. Une loi qui toutefois ne pourra pas aller très loin si l’on n’aborde pas la question du financement. En effet le financement des transports est à bout de souffle si l’on tient compte de l’état assez désastreux des infrastructures aussi bien routières que ferroviaires, la situation des réseaux urbains ou encore l’endettement catastrophique de la SNCF. Il faudra sans doute ralentir sérieusement le développement de grands projets aussi bien interurbains qu’urbains dont le financement est de plus en plus difficile et la rentabilité douteuse. Une rationalisation des moyens devra être renforcée via notamment une plus grande articulation entre les différents modes et moyens de transport. Les conditions d’usage de la voiture actuelle en ville pourraient également être remises en cause compte tenu notamment de son impact sur l’environnement et en particulier la qualité de l’air. Il conviendrait aussi de prendre en compte le rapport entre mobilité et désertification du territoire, bien d’autres problématiques encore comme la localisation et l’attractivité des ports et aéroports.   Emmanuel Macron a donc annoncé samedi pour le premier semestre 2018 une « loi d’orientation sur les mobilités » qui conditionnera d’éventuels futurs grands projets, à l’occasion de l’inauguration des deux lignes à grande vitesse reliant Paris à Rennes et Bordeaux. Le président de la République a donné le coup d’envoi officiel de la liaison à grande vitesse entre la capitale et Rennes en empruntant un « TGV inaugural » entre les deux villes samedi en fin d’après-midi. « Dans le premier semestre 2018, une loi des mobilités apportera des réponses à ces situations qu’on a laissé perdurer », a dit Emmanuel Macron lors d’une allocution en début de soirée à Rennes, évoquant les difficultés de transport dans certains territoires. « L’Etat ne lancera pas de grand chantier tant que la loi de mobilité ne sera pas adoptée », a t-il précisé. Pour préparer ce texte, la question de la mobilité sera abordée lors de la Conférence nationale des territoires prévue le 17 juillet prochain, ainsi que lors d’Assises de la mobilité qui devraient se tenir en septembre. « La promesse que je veux que nous tenions (…) c’est de ne pas relancer de grands projets mais de financer tous les renouvellements d’infrastructures et les échelonner dans le temps », a déclaré Emmanuel Macron, estimant qu’il n’était plus temps de « promettre des TGV ou des aéroports de proximité à tous les chefs-lieux ».

 

Valls : très flou sur les financements

Valls : très  flou  sur les financements

Décidément les socialistes ont du mal à compter. D’abord il y a les fameuses économies de 50 milliards (en fait 49 précisées par Valls) qui devaient servir à rééquilibrer les déficits. Déjà la somme est insuffisante. Ensuite les pactes (solidarité et responsabilité (la auusi environ 50 milliards). Manuel Valls est resté flou sur la réduction du déficit public et le financement du « pacte de responsabilité et de solidarité » lors de son discours de politique générale mardi, entretenant le doute sur la volonté de la France de tenir le calendrier convenu avec ses partenaires européens. Un doute accentué par les déclarations du Premier ministre sur la nécessité de discuter avec eux du bon « équilibre » à trouver et par les nouvelles mesures qu’il a annoncées mardi sans dire comment elles seraient financées. Manuel Valls a confirmé l’objectif de réaliser 50 milliards d’euros d’économies entre 2015 et 2017 par rapport à la croissance « tendancielle » des dépenses publiques mais il n’a pas précisé à quoi ces économies seraient affectées. Il n’a pas non plus dit si d’autres économies étaient envisagées, ce qu’avaient annoncé des parlementaires à l’issue d’une rencontre avec lui mardi matin.  Avant le changement de gouvernement, l’exécutif prévoyait d’affecter ces 50 milliards à la baisse du déficit pour que la France tienne sa promesse de passer sous la limite européenne de 3% du produit intérieur brut fin 2015 et d’atteindre l’équilibre structurel des comptes publics à la fin du quinquennat. Comme le ministre des Finances Michel Sapin, Manuel Valls a été ambigu sur le sujet, déclarant qu’il était pour le respect des engagements de la France mais contre l’austérité, et que le gouvernement expliquerait cela à ses partenaires européens. Des dirigeants européens craignent que la France diffère une fois de plus ses engagements, alors même qu’elle a déjà obtenu un délai de deux ans l’an dernier pour passer sous 3%. »Je suis pour le respect de nos engagements, pour le sérieux budgétaire, pas pour l’austérité, pas pour la remise en cause de notre modèle », a cependant dit Manuel Valls devant l’Assemblée nationale.




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