Archive pour le Tag 'finale'

JO–Handball féminin : la France en finale

JO–Handball féminin : la France en finale

L’équipe de France féminine de handball en finale après avoir gagné 31-28 en prolongation  contre les Suédoises. Une victoire de plus pour l’équipe de France et son entraîneur Olivier KRUMBHOLZ qui ne cache pas son plaisir dans le Figaro.

 » On a été dominée pas mal de temps car les Suédoises jouaient juste et on butait sur leurs gardiennes. Dieu merci, les nôtres lui ont rendu la pareille. Mais oui, pendant 45 minutes, on se dit que le plus probable, c’est qu’on va perdre. Mais on a eu le mérite de ne jamais les laisser partir trop loin au score, + 4 au maximum, et quand on est revenu, le match a changé d’âme. Les Suédoises ont commencé à stresser, le ballon devenait un peu plus lourd pour elles. Et nous avons pris l’ascendant. On revient de loin. Ce match, nous l’avons gagné mentalement. »

« C’est une victoire exceptionnelle comme on en vit peu dans une carrière. C’est un scénario extraordinaire, avec en plus l’engouement de notre public. On en peut rêver mieux que de faire battre fort le cœur de nos supporters et de gagner à la fin. Car on les rend heureux. Maintenant, j’espère qu’on va récupérer pour la finale car il nous faudra de l’énergie. »

Et surtout de rendre hommage au collectif:

« On fait un sport co ! Si on pense qu’à sa gueule, on va faire autre chose… »

 

J.O.–basket masculin : la France en finale

J.O.–basket masculin : la France en finale

La France discutera la  finale olympique samedi (21h30). Retrouvés contre le Canada mardi en quarts de finale, ils ont pris le meilleur sur les champions du monde allemands (73-69) ce jeudi, à Bercy. Et ce sera face aux États-Unis qui ont eu le plus grand mal à éliminer la Serbie de Bogdan Bogdanovic en demi-finale.

Les États-Unis de LeBron James ont eu le plus grand mal à éliminer la Serbie de Bogdan Bogdanovic en demi-finale.
Les États-Unis des superstars NBA LeBron James, Stephen Curry et Kevin Durant ont souffert pour éliminer la Serbie de Nikola Jokic (95-91), jeudi à l’Arena Bercy, et retrouveront la France en finale du tournoi olympique de basket. Les Américains, menés quasiment tout le match, n’ont pris les commandes qu’à deux minutes de la fin. Ils viseront samedi un cinquième titre consécutif face aux Français, qu’ils avaient battu en finale à Tokyo en 2021.

 

Euro 2024 : l’Angleterre encore en finale

Euro 2024 : l’Angleterre encore en finale

 

L’Angleterre encore en finale a fait face aux Pays-Bas trois ans après celle perdue contre l’Italie à Wembley.

A Dortmund, où le rapport de force en tribune leur était défavorable, les « Three Lions » ont dompté la vague orange des supporters adverses et éteint les espoirs néerlandais, encore déçus pour la quatrième fois d’affilée à ce stade de la compétition (après 1992, 2000, 2004). Les Anglais ont gagné cette bataille de chaque instant avec le cœur et leur talent, celui du banc d’où est sorti Ollie Watkins pour crucifier la bande de Ronald Koeman à la 90e.Les Anglais comme la la plupart des autres nations était sans doute fatigués mais c’est avec leurs tripes qu’ils ont gagné ce match quand les Français, eux, se sont montrés globalement insignifiants durant cette épreuve

Foot-Coupe de France 16e de finale

Foot-Coupe de France 16e de finale

Les matchs des 16es de finale de la Coupe de France:

Stade Rennais (L1) – Olympique de Marseille (L1)

Feignies-Aulnoye (National 2) – Montpellier (L1)

FC Nantes (L1) – Laval (L2)

US Orléans (National) – Paris Saint-Germain (L1)

Le Puy Foot 43 (National 2) – USL Dunkerque (L2)

Racing Club (National 2) – Lille (L1)

Clermont Foot (L1) – RC Strasbourg (L1)

FC Sochaux (National) – Reims (L1)

Trélissac (National 2) – Brest (L1)

FC Rouen (National) – Toulouse FC (L1)

Valenciennes (L2) – Paris FC (L2)

Bergerac (National 3) – Lyon (L1)

Rodez (L2) – AS Monaco (L1)

Le Havre (L1) – Châteauroux (National)

AS Saint Priest (National 3) – Romorantin (National 2)

Bordeaux (L2) – Nice (L1)

Politique finale top 14 rugby: Macron sifflé… « brièvement » !

Politique- finale top 14 rugby: Macron sifflé… brièvement !

Contrairement la finale de foot, macro est descendu sur la pelouse pour la finale de rugby afin de saluer les joueurs. Et la plupart des médias- reprenant d’ailleurs intégralement des dépêches d’agence–de titrer « Macro sifflé…. brièvement ». Tout avait d’ailleurs été fait pour tenter d’étouffer ces sifflets avec une sono à fond, avec au contraire une télé en retrait et l’absence d’annonce de la venue du président.

Emmanuel Macron n’a pas échappé à un certain nombre de sifflets descendus des travées du stade, comme en attestent de nombreuses vidéos capturées depuis l’intérieur du Stade de France.

Accompagné de Florian Grill, récemment élu président de la Fédération française de rugby, Emmanuel Macron a serré la main aux joueurs des deux équipes, ainsi qu’au corps arbitral. Le président de la République était suivi de près par René Bouscatel, président de la Ligue, Didier Lacroix, président du Stade Toulousain ou encore Vincent Merling, président du Stade Rochelais. Sa venue sur la pelouse de Saint-Denis s’est accompagnée de quelques sifflets de la part du public.

Réforme des retraites: quelle facture finale

Réforme des retraites: quelle  facture finale

Théoriquement, la réforme des retraites visait  à couvrir un déficit de è à 17 milliards en 2025. . Une évaluation tout à fait approximative car évidemment n’ont pas été intégrées  les modifications déjà apportées à la réforme initiale et celles qui sont en cours. Il faudra en particulier intégrer  des mesures salariales destinées à l’éducation nationale mais aussi le coût des nombreuses exemptions et autres périodes de transition pour les régimes particuliers qui vont se substituer aux régimes spéciaux.

Dans une étude de l’Institut de recherches économiques et fiscales (Iref), relayée par Le Figaro, il faudra trouver 13,318 milliards d’euros en plus pour revaloriser les salaires des fonctionnaires et payer les cotisations patronales qui seront dues par l’Etat sur les primes, dans le cas où la réforme du régime universel se met en place comme prévu.

Rien que pour l’Education nationale, il faut ainsi compter 3,6 milliards de primes additionnelles, sur lesquelles l’Etat devra payer 4,5 milliards d’euros de cotisations, ce qui représente 8,1 milliards d’euros.  Pour les autres ministères, prendre en compte les primes dans le calcul des pensions engendrera 5,190 milliards d’euros de cotisations patronales en plus à payer par l’Etat. Ce qui fait 13,32 milliards d’euros à trouver.

Une somme qui pourrait être revue à la hausse, note l’institut, si « le Gouvernement confirme son intention, pour ne pas réduire le montant net des salaires de ses fonctionnaires, de prendre en charge les cotisations salariales correspondantes ». Dans ce cas, il faudrait trouver quasiment 15 milliards d’euros. A cela s’ajoute le cout des exemptions définitives et dérogations temporaires qui pourraient bien faire montre la facture à 20 milliards au moins auquel il faudra ajouter le déficit initial prévu jusqu’à 17 milliards  , soit une quarantaine de milliards. Bref une dérive de plus en plus incontrôlable en dépit des très grandes  incertitudes des évaluations. Au total, la reforme pourrait se révéler plus couteuse que le dispositif actuel d’autant que le report de l’âge de la retraite de certain sénior risque de transformer d’anciens potentiels retraités en chômeurs ou allocataires d’aides sociales en attendant 64 ans.

Plus le temps passe et plus la réforme des retraites ne ressemble à aucune des précédentes. Et, en tout cas, pas à celle de 2010 où chaque député savait, dès le début du débat parlementaire, à quoi s’en tenir. Éric Woerth, le ministre du Travail, avait en effet été clair dès la présentation du projet de loi. Le relèvement de deux ans de l’âge de départ sur une période de huit ans – délai raccourci d’un an fin 2011, en raison de la crise – devait permettre de combler la moitié des 40 milliards d’euros de besoin de financement de l’ensemble des régimes à horizon 2020. Une donnée objective sur laquelle aucun élu n’avait de prise.

Air France : une proposition « finale » de la direction

Air France : une proposition « finale » de la direction

Alors que L’intersyndicale a confirmé son appel à la grève pour les journées des 18, 19, 23 et 24 avril, la direction propose un accord  de négociation  « final ». En clair c’est à prendre ou à laisser. La grève aurait déjà couté autour de 200 millions d’ après Ar France qui veut y mettre fin avec cette nouvelle proposition d’augmentation de salaires. Celle-ci porte sur une hausse salariale de 1% supplémentaire en 2018 qui s’ajoute au 1% déjà proposé et sur une augmentation générale de 1,65% par an pour les années 2019, 2020 et 2021 (soit + 5% en moyenne) qui entraînerait pour les salariés, selon la direction, une hausse de salaire de 12,5% en moyenne entre 2018 et 2021, en tenant compte des augmentations individuelles et du GVT (glissement vieillesse technicité). Pour les pilotes, la hausse sera supérieure. La compagnie est prête à se mettre autour de la table pour discuter de leurs revendications spécifiques. En plus de la hausse générale, ils demandent 4,7% supplémentaires. Par ailleurs, pour les plus bas salaires, les hausses salariales de 1% en 2018 et de 1,65% par an entre 2019 et 2021 s’accompagnent d’un plancher de 25 euros par mois en 2018 et de 40 euros par mois pour les trois années suivantes. La direction intègre une clause de revoyure en cas de baisse des résultats financiers. Elle sera déclenchée si le résultat d’exploitation passe en dessous de 200 millions d’euros. Pour rappel, ils ont atteint en 2017 588 millions d’euros. “Poursuivre le conflit et refuser cette proposition d’accord particulièrement favorable pour les salariés d’Air France serait prendre une lourde responsabilité vis-à-vis de toute l’entreprise et de ses clients.” Air France précise que le projet d’accord final qu’elle a présenté lundi à l’intersyndicale est soumis à signature jusqu’à vendredi 20 avril à 12h00.

Valls veut une finale France -Allemagne en foot ou en économie ?

Valls veut une finale France -Allemagne en foot ou en  économie ?

 

À peine populiste mais toujours aussi volontariste Valls, le Clemenceau d’opérette, veut une finale France Allemagne. Pas en économie non mais en foot à l’occasion de l’euro 2016 qui va se dérouler en France. Panem et circenses, la vieille formule de la Rome antique est donc recyclée, on va donc distribuer quelques miettes ici ou là, aux fonctionnaires, aux retraités, aux chômeurs, aux allocataires sociaux et en même temps leur offrir des jeux afin d’oublier la crise. Manuel Valls en dépit de l’environnement très dangereux tient absolument au maintien de cette compétition susceptible de faire oublier pendant quelques semaines une crise qu’il se montre incapable de gérer. À défaut de trouver du travail les chômeurs pourront toujours se rendre au stade. Manuel Valls joue sur du velours près de 80 % des Français souhaite le maintien de cette compétition, pire plus de 72 % pense que les enceintes sportives sont bien sécurisées. Un aveuglement encouragé par une irresponsabilité totale du pouvoir dans la mesure où le risque zéro ne peut exister quand  50 000 personnes sont réunies dans le même lieu. On aurait sans doute aimé que Manuel Valls veuille une autre finale : la France opposée à l’Allemagne en matière d’économie. Mais là le match est déjà joué, plus précisément il ne peut avoir lieu depuis que Merkel ignore superbement la France celle de Hollande comme celle de Sarkozy. Souvenons-nous en particulier du fameux pacte de croissance qui n’a jamais vu le jour. En économie comme en sport,  à la fin c’est toujours l’Allemagne qui gagne !

Tennis : aucun français en finale à Roland Garros, normal ils sont tous suisses (fiscalement)

Tennis : aucun français en finale à Roland Garros, normal ils sont tous suisses (fiscalement)

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Le tennisman paiera des impôts en France sur sa prime à Roland Garros, une exception. Car Jo-Wilfried Tsonga est résident suisse, et il ne paye des impôts que pour les tournois qui ont lieu en France.   Roland-Garros, Bercy, ou la Coupe Davis, les tournois pour lesquels Jo-Wilfried Tsonga paye des impôts en France se comptent sur les doigts d’une main. A ceux qui critiquent son exil fiscal, il répond qu’en 2011, il a fait un chèque de 230.000 euros au fisc français, pour 47 jours de présence sur le territoire. Au cours de cette même année, le tennisman a touché cinq millions et demi d’euros de revenus. Quasiment tous les joueurs de tennis français sont installés en Suisse. L’ancien capitaine de l’équipe de France, Guy Forget, avait pris la défense de ses joueurs l’été dernier: « quand ils gagnent un million d’euros en France, ils en laissent 500.000 aux impôts; on ne peut pas leur faire un procès parce qu’ils ne veulent payer que 30% ». Michaël Llodra et Nicolas Mahut font partie des rares à être restés en France. Cela leur fait un point commun pour la finale du double messieurs de Roland-Garros, qu’ils joueront ensemble, samedi 8 juin.

G20 : une déclaration finale laborieuse

G20 : une déclaration finale laborieuse

 

Encore un G20 assez « vain » aussi bien sur la relance, que sur les déficits ou encore la fraude fiscale ; Finalemenet une déclaration finale très laborieuse qui témoigne des divergences de fond. Washington a imposé la disparition d’une phrase mentionnant que « les stratégies budgétaires devaient conduire à une baisse du ratio d’endettement public rapporté au Produit Intérieur Brut ». Et ces stratégies devaient être mise en place autour de 2016. Exit toute référence à une date précise et à un quelconque engagement de réduction effectif de la dette publique. « Washington ne veut en aucun cas entendre parler de contrainte et d’objectif chiffré sur ce plan et privilégie avant tout la croissance et le soutien à la croissance. Le reste suivra », indiquait un témoin. Au point de vue de la lutte contre la fraude et l’évasion fiscale, les Chinois ont trainé les pieds. Pékin n’est guère en faveur d’une transparence totale concernant leur place financière et leurs banques de Hong Kong. C’est du moins l’impression qui en est ressortie. Si l’Allemagne n’a pas bronché sur l’aspect budgétaire, son ministre des Finances a quelque peu irrité ses confrères européens. Dans un entretien au magazine allemand WirtschaftsWoche à paraître lundi, mais dont des extraits ont été publiés dès vendredi, Wolfgang Schaüble dit qu’il verrait d’un bon oeil une action de la Banque Centrale Européenne (BCE) pour réduire les liquidités en circulation dans la zone euro. « Il y a beaucoup d’argent sur le marché, selon moi trop d’argent ». Or à l’heure où la zone euro est en plaine récession, comme le prévoit le Fonds Monétaire International dans ses perspectives, l’évocation d’un retournement de la politique monétaire de la BCE semble pour le moins prématuré. Quant aux pressions américaines sur les Européens pour qu’ils lâchent du lest dans leur stratégie d’austérité budgétaire, Olly Rehn, commissaire européen aux affaires économiques et monétaires s’est agacé. « Nous avons reçu beaucoup de conseils ces derniers jours sur le rythme de l’ajustement budgétaire en Europe. Eh bien, je vais vous livrer un secret: le rythme de l’ajustement budgétaire en Europe s’est déjà ralenti depuis l’an dernier », a-t-il assuré. Les efforts de réduction des déficits et de l’endettement représentent quelque 0,75% du Produit intérieur brut de la zone euro, a-t-il expliqué, soit la moitié de ce qu’ils étaient l’an dernier. Surtout, l’ajustement budgétaire aux Etats-Unis est bien plus important et devrait représenter quelque 1,75% du PIB du pays cette année, a-t-il encore expliqué.

 




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