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Prothèse dentaire: la fin du scandale de la surfacturation ?

Prothèse dentaire: la fin du scandale de la surfacturation ?

Pour mettre fin au scandale de la surfacturation des prothèses dentaire Emmanuel Macron, ministre de l’Économie veut rendre obligatoire l’inscription sur les devis du prix d’achat des prothèses dentaires proposés par les chirurgiens-dentistes à leurs patients.   Les chirurgiens-dentistes sont opposés à cette mesure.  Pourquoi  en effet facturer plus de 500 euros, parfois plus de 1000, une couronne qui coûte 120 euros si elle est fabriquée en France et 40 euros si elle vient de Chine? À cette question, Nicolas Rey, président du petit syndicat de prothésistes SFFFDMM, propose une réponse révolutionnaire. «Il faut mettre fin au monopole des chirurgiens dentistes, qui entraîne des tarifs de prothèse trop chers pour les patients et travailler en direct avec les patients», estime-t-il. Pour les bridges et les couronnes, il ne s’agit évidemment pas de se passer des services du chirurgien-dentiste pour la préparation chirurgicale et la pose du dispositif. Mais, le patient devrait pouvoir choisir librement son prothésiste, fabricant de sa future prothèse, et le rémunérer directement pour son travail, affirme le SFFFDMM. Cela demanderait un peu de temps supplémentaire au patient puisqu’il devrait aller voir lui-même le prothésiste. Mais, il pourrait réaliser une économie de plusieurs centaines d’euros.  Concrètement, cela se déroulerait de la façon suivante, explique le syndicat. Le dentiste établit un devis pour son intervention et le patient s’adresse à un prothésiste de son choix – il y en a plus de 3000 en France – pour obtenir, cette fois, un devis pour la couronne ou le bridge. Ensuite, le dentiste prépare chirurgicalement les dents, prend une empreinte, les mesures, la teinte des dents et il établit une prescription pour la fabrication du dispositif. Le patient se rend alors chez le prothésiste qui fabrique la prothèse et la facture au patient. Celui-ci retourne ensuite la faire implanter chez son dentiste. Pour les dentiers, cela pourrait être encore plus simple. Il suffirait d’autoriser les prothésistes à prendre les empreintes et délivrer eux-mêmes ces prothèses amovibles, selon le syndicat.  Macron n’ira pas jusque là, il se contentera  d’imposer la transparence des prix, ce qui est cepandant une grande avancée.

Fin du rachat d’actifs par la FED et risque de montée des taux

Fin du  rachat d’actifs par la FED et risque de montée des taux

 

Avec l’arrêt du plan de rachat d’actifs aux Etats unis, le risque c’est de voir une montée de l’inflation et une montée des taux. Pas seulement aux Etats-Unis mais aussi en Europe ce qui serait une très mauvaise nouvelle compte tenu de l’endettement de certains pays notamment de la France. La croissance en souffrirait encore davantage.  Le Comité monétaire de la Fed (FOMC), qui cite les « solides gains » sur le marché de l’emploi », va cesser comme attendu ses injections de liquidités, constituées d’achats de bons du Trésor notamment.  La banque centrale promet aussi de laisser les taux d’intérêt proches de zéro pendant « une période de temps considérable » mais ajoute que si les progrès de l’inflation et de l’emploi sont plus rapides, une première hausse des taux « pourrait intervenir plus tôt qu’anticipé ».  Détail nouveau dans son communiqué, le FOMC ne qualifie plus d’ »importante » la sous-utilisation des ressources du marché de l’emploi. Celles-ci « diminuent progressivement », constate la Fed faisant référence aux nombreux emplois à temps partiels notamment. La Fed constate aussi que l’inflation continue de se tenir sous son objectif de 2%, notant l’influence des bas prix de l’énergie sur la faible augmentation des prix.  Comme attendu, le Comité « a décidé de conclure son programme d’achats d’actif ce mois-ci », selon le FOMC. Ces achats d’actifs avaient été réduits progressivement à 15 milliards de dollars mensuels. Depuis deux ans, la Fed a injecté quelque 1.600 milliards de dollars dans le système financier à travers ce troisième volet de politique monétaire ultra-accommodante.

 

Immobilier : la fin des taux fixes ?

Immobilier : la fin des taux fixes ?

La fin des prêts à taux fixes dans l’immobilier ? C’est possible car c’est une pratique bien française très avantageuse comme en ce moment pour les particulier quand les taux sont bas mais catastrophique quand les contrats sont conclus en période de forte inflation. C’est en tout cas la crainte des banques françaises. Il y a quelques semaines, elles ont même écrit un courrier commun au Comité de Bâle qui souhaiterait mettre un terme à ce type de prêts et qui pourrait faire cette recommandation dans les premiers mois de 2015. Un système qui déstabiliserait le marché immobilier en France alors qu’aujourd’hui le financement de ce secteur ne connait pas de souci, au contraire grâce aux taux d’intérêts historiquement bas. C’est le produit fétiche des français… 9 prêts immobiliers sur 10 sont à taux fixe. Pour les français, c’est rassurant (avec même le sentiment d’avoir échappé aux subprimes grâce à ça) et, en ce moment, c’est imbattable puisqu’on peut emprunter à moins de 3%… Un taux historiquement bas. Résultat, le Comité de Bâle qui est l’organisme international qui défend les banques veut changer les règles et faire disparaître les prêts à taux fixes. Le Comité est persuadé que les taux vont remonter et il souhaite que la hausse soit supportée par les particuliers plutôt que par les banques ! Il devrait faire cette recommandation début 2015. Pour les établissements français, ce serait une catastrophe car cela risquerait de bloquer complètement le marché immobilier alors qu’aujourd’hui il est très dynamique et permet aux banques de conquérir de nouveaux clients. Malheureusement, les français sont très seuls dans ce combat car il n’y a presque plus de pays dans le monde où on pratique le système des taux fixes.

SNCM : la fin programmée aujourd’hui

SNCM : la fin programmée aujourd’hui

Peu de doute, ce sera aujourd’hui sans doute la fin du feuilleton SNCM marqué par des grèves innombrables, des déficits abyssaux et des « particularismes » sociaux qui ont coulé l’entreprise. Du coup reste le redressement judicaire, d’abord pour éviter d’avoir à payer l’amende de 400 millions de Bruxelles ensuite pour se séparer de la moitié du personnel. Faute de cela si une nouvelle solution batarde était trouvée ce serait la mort assurée de la compagnie avant 5 ans.  C’est la réunion de la dernière chance pour la SNCM. Les syndicats, les actionnaires et les représentants de l’Etat se retrouvent une dernière fois ce mardi 28 octobre pour tenter de trouver un terrain d’entente sur l’avenir de la société maritime, dans le cadre de la procédure de conciliation débutée il y a quatre mois. Cette ultime réunion se tiendra sous l’égide de Gilles Bélier, le médiateur nommé par l’Etat en juillet à la suite de la grève de 17 jours qui avait paralysé l’entreprise l’été dernier. Jusqu’à présent, les précédentes rencontres ont été stériles. Transdev, entreprise qui détient 66% du capital de la SNCM, plaide pour un redressement judiciaire.  Le groupe estime que cette option, qui a également les faveurs de l’Etat, permettrait de repartir de zéro et de gommer un peu plus de 400 millions d’euros d’aides publiques dont la Commission européenne exige le remboursement. Une nouvelle société, financièrement saine serait ainsi créée.  Lors d’une précédente réunion de médiation, le 8 octobre dernier, la direction de la SNCM avait dans cette optique présenté aux syndicats un « schéma d’exploitation » qui proposait de conserver 800 à 1.000 emplois sur un total de 2.000 dont 1.508 en CDI. Mais les syndicats contestent vivement ce plan appelé « Poséidon ». Les partenaires sociaux jugent qu’une telle opération permettrait surtout au groupe de faire un plan social à moindre frais.   »Sous prétexte du contentieux européen, la direction a présenté un schéma d’exploitation avec 800 à 1.000 emplois supprimés, et aucune garantie pour le personnel restant », avait déclaré début octobre Frédéric Alpozzo (CGT).  En outre, les syndicats considèrent que ce passage au tribunal risquerait de faire perdre à la SNCM la délégation de service public vers la Corse, un marché de plus de 600 millions d’euros qui lui a été attribué jusqu’en 2022. Pour le moment, la direction s’est engagée à ne pas déposer le bilan avant le 31 octobre. Cet engagement avait permis de mettre fin à la grève et de gagner du temps pour trouver une solution pérenne à l’avenir de la société.  Mais une fois cette échéance passée, la société devrait être mise en redressement judiciaire. La date du 3 novembre aurait déjà été cochée pour placer la société sous la protection du tribunal de commerce de Marseille, selon une source proche du dossier. Pour le moment, un seul repreneur potentiel s’est manifesté en la personne de la société américaine Baja Ferries.

L’actionnariat de la SNCM

> 66% Transdev (elle-même détenue à 50% par la Caisse des Dépôts et à 50% par Veolia)

> 25% Etat

> 9% Salariés

Budget : nouveau dérapage fin août

budget  nouveau dérapage fin août  

 

En fait contrairement aux annonces du gouvernement, le déficit ne rendra pas ses engagements en 2014. Le déficit de l’Etat français s’est creusé à 94,1 milliards d’euros le mois dernier, contre 93,6 milliards un an auparavant, a annoncé ce 7 octobre le ministère des Finances.   . L’écart serait notamment dû à des moins-values de recettes fiscales. Le gouvernement a annoncé prévoir que le déficit public -qui comprend, en plus de celui de l’Etat, le déficit des comptes sociaux et celui des collectivités territoriales- s’établira, après 4,4% fin 2014, à 4,3% du produit intérieur brut fin 2015, au lieu de 3,8% prévu auparavant. Le ministère explique cette aggravation « du fait notamment des dépenses exceptionnelles du nouveau programme d’investissements d’avenir », a annoncé mardi le ministère des Finances. Si le gouvernement a tenu son engagement de maîtrise de la dépense publique (253,9 milliards au 31 août, soit une diminution de 3,6 milliards sur un an), les recettes ont baissé davantage, de 4,7 milliards, à 186,1 milliards. En fait, comme la croissance n’est pas au rendez-vous, l’austérité plombe les recettes ; plus les prélèvements obligatoires augmentent et plus la croissance souffre ; du coup, les recettes fiscales diminuent. Un veritable cercle vicieux.

Croissance : pas de reprise d’ici la fin de l’année (INSEE)

Croissance : pas de reprise d’ci la fin de l’année (INSEE)

 

Il fallait s’y attendre, après les mauvais résultats du premier et second trimestre, la suite sera auusi atone d’après l’INSEE . Tout juste 0.1% par trimestre au troisième et quatrième ; En cause surtout la consommation des ménages qui progresse à peine du fait des dépenses contraintes et de la méfiance générale. L’économie française demeurera donc en quasi-stagnation jusqu’à la fin de l’année et démarrera 2015 sans élan, selon les dernières projections de l’Insee publiées jeudi, qui hypothèquent la prévision d’une croissance de 1% l’an prochain retenue par le gouvernement pour bâtir le projet de loi de finances. Le produit intérieur brut de la France progresserait de 0,1% au troisième puis au quatrième trimestres après avoir stagné au premier semestre, la croissance ressortant en moyenne à 0,4% sur l’ensemble de l’année, comme en 2012 et en 2013.  A fin 2014, qui constitue l’horizon de prévision de l’Insee, l’acquis de croissance pour 2015 s’élèverait à 0,1% a précisé Vladimir Passeron, son chef du département de la conjoncture. L’hypothèse d’une croissance du PIB de 1% l’an prochain, retenue par le gouvernement pour l’élaboration du projet de loi de finances, a été qualifiée d’optimiste par le Haut Conseil des finances publiques qui a estimé qu’elle supposait un redémarrage rapide et durable de l’activité que n’annoncent pas les derniers indicateurs conjoncturels.  L’Insee, qui anticipait encore en juin une progression du PIB de 0,3% aux troisième et quatrième trimestres et de 0,7% en moyenne sur l’année, met en avant la rechute du climat des affaires dans l’ensemble des secteurs d’activité dans le courant de l’été pour expliquer l’abaissement de ses prévisions.

Fin de la rétroactivité fiscale

Fin de la rétroactivité fiscale

 

Après »  j’aime l’entreprise » de Valls des preuves de cette affection nouvelle avec la décsion de supprimer la stressante rétroactivité fiscale qi dépendait en fait surtout de l’humeur des contrôleurs des impôts et pouvait mettre  en péril l’existence d’un entreprise qui par définition ne peut provisionner des impôts non prévus. . Le ministre des Finances Michel Sapin a promis jeudi devant les chefs d’entreprises du Medef de supprimer la rétroactivité qui prévaut encore en matière fiscale, dans une circulaire « qui comportera des engagements profonds des uns et des autres ». Annonçant en introduction de son discours qu’après « la déclaration d’amour » la veille du Premier ministre Manuel Valls, il lui appartenait de « donner quelques preuves d’amour ». »En matière fiscale, nous mettrons en œuvre le principe de non-rétroactivité fiscale » qui « comportera des engagements profonds des uns et des autres », a déclaré le ministre, invité pour la fermeture des Universités d’été de la puissante organisation patronale, sur le campus d’HEC à Jouy-en-Josas (Yvelines). Il a assuré que désormais « il ne doit plus y avoir de suppléments d’impôts applicables à des exercices déjà clos, pas de majorations après la fin de l’année d’imposition mais de la visibilité et la garantie que les règles du jeu sont connues suffisamment à l’avance ».  « Enfin! », a-t-on entendu dans l’assistance.

Qui pour sauver la France : ou la fin des bonimenteurs et des grandes gueules

 

 

 

Qui pour sauver la France : ou la fin des bonimenteurs et des grandes gueules

 

Il semblerait bien que les Français soient fatigués des bonimenteurs autant que des grandes gueules type Hollande, Sarkozy ou Valls. C’est en effet le discret et sobre Alain Juppé qui est aujourd’hui la personnalité préférée des Français  comme éventuel sauveur de la France ; il est certain que Sarkozy d’abord, Hollande ensuite,  maintenant Valls ont beaucoup parlé souvent fort et peu agi, faisant même le contraire de ce qu’ils ont dit ou promis. ‘Une certaine manière ils ont largement décrédibilisé la parole publique. Sans doute auusi pourquoi Montebourg finalemenet est peu soutenu dans l’opinion, ce ne sont pas forcément ses convictions qui sont en cause mais ses frasques, son arrogance et son verbiage saoulant. Mélenchon a sans doute auusi été sanctionné dans l’opinion pour ces mêmes raisons, comme devrait l’être Marine Lepen avec le temps.  Le maire de Bordeaux était déjà l’homme politique préféré des français. Le voilà désormais considéré par les français comme le mieux placé pour sortir la France de la crise économique selon un sondage Ipsos-Le Point. Il devance Manuel Valls et Nicolas Sarkozy.  Décidément, Alain Juppé marche sur l’eau. Sa déclaration de candidature la semaine passée à la primaire UMP pour la Présidentielle 2017 ne lui a pas porté tort. Même de retour dans l’arène de la politique politicienne, le maire de Bordeaux est toujours placé par les français au-dessus de la mêlée. En témoigne donc ce nouveau sondage commandé par le journal Le Point et réalisé par l’Intitut IPSOS. Alain Juppé est l’homme politique capable de sauver la France et de la sortir de la crise économique pour 50% des personnes interrogées. Il devance de 10 points le chef du gouvernement Manuel Valls et l’ancien Président Nicolas Sarkozy.

 

Le Top 5 des sauveurs :

  1. Alain Juppé 50%
  2. Manuel Valls 40%
  3. Nicolas Sarkozy 40%
  4. François Fillon 33%
  5. François Bayrou 31%
  6. Marne Le Pen 27%
  7. Hollande 16%

 

Alain Juppé qui va maintenant faire entendre sa voix. Rentré ce mercredi de ses vacances au Québec, il s’est rendu à l’université d’été du MEDEF avant de participer au bureau politique de l’UMP. Il est attendu ce jeudi à Bordeaux.

Immobilier : encore en recul fin juin

Immobilier : encore en recul  fin juin

Les mises en chantier de logements neufs en France ont continué à régresser d’avril à juin, diminuant de 19,3% sur un an, pour s’établir à 69.531 unités, selon les statistiques du ministère du Logement publiées mardi. Déjà rur les trois mois allant de mars à mai, les mises en chantier de logements ordinaires sont ressorties en baisse de 21,4% à 64.428 unités, contre un recul de 20,5% à fin avril. En revanche, le segment des logements en résidence (seniors, étudiants…), plus restreint, a progressé de 9,7% à 5.149 unités (contre un bond de 35,6% un mois plus tôt). Sur les douze mois écoulés entre juin 2013 et mai 2014, le nombre de logements neufs mis en chantier affiche un recul plus modéré de 8,5% à 312.066 unités. Celui-ci s’accentue toutefois: il n’était encore que de 6,5% un mois plus tôt. Le nombre de permis de construire accordés pour des logements neufs, qui renseigne sur les futures mises en chantier, a de son côté diminué de 16,1% de mars à mai, à 94.155, selon la même source. Les permis de construire accordés aux logements ordinaires ont reculé davantage (-18,8%) à 85.981 unités, ce qui contraste toujours avec le rebond de 28,2% affiché par les logements en résidence, à 8.174 unités. Sur douze mois, la baisse est légèrement moindre qu’un mois plus tôt pour les permis de construire, avec un repli cumulé de 20,7% à fin mai (contre -21,5% à fin avril) à 389.444 unités. En 2013, 331.867 logements neufs avaient été mis en chantier en France, un chiffre en repli de 4,2% sur un an, bien en deçà de l’objectif gouvernemental — encore jamais atteint dans l’Hexagone — d’un demi-million de logements construits par an.

 

Mettre fin à la monarchie républicaine

Mettre fin à la monarchie républicaine

 

La France se prétend une république démocratique alors qu’elle n’est qu’une monarchie. Cette démocratie est complètement obsolète et le pouvoir incarné par le Président de la République une caricature ; un président souvent élu par défaut car Hollande n’a pas été lu, c’est Sarkozy qui a été battu. Une confusion dramatique car le PS s’est cru autorisé à appliquer une programme complètement incohérent. La vérité c’est qu’il n’y a jamais eu de programme au PS, les orientations de Hollande ont été décidées à la hâte comme la taxe à sur les riches, la loi Florange, la réforme de l’Etat, la fiscalité en général ; Tout cela et le reste a fini en eau de boudin. Le taxe sur l es riches est finalement payée par les entreprises, la loi Florange qui devait sauver les entreprises est un enfumage, la justice sociale une fumisterie et finalemenet c’est l’austérité qui s’est imposé aux entreprises comme aux ménages. Tout cela décidé par un seul homme: le président de la république (et sa horde de petits marquis). Un énarque qui ignore tout du monde économique et social réel, qui a toujours vécu de la politique et qui est le pur produit du système politique français. On se moque souvenet à juste titre des oligarques des pays de l’Est, les anciens politiques qui ont pillé leur pays mais c’est la même logique qui prévaut en France. Car les énarques qui ont confisqué le pouvoir politique se partagent la direction des entreprises privées comme publiques, s’enrichissent sans jamais risquer le moindre ou, imposent auusi une politique économique délirante. Finalement l’oligarchie a remplacé la noblesse. A la tête le monarque, ensuite les marquis du gouvernement, les barons des partis, du parlement et des collectivités locales. Tous parlent la même langue de bois, font du verbiage, déversent les mêmes pluies d’âneries. Il faut mettre fin à cette monarchie républicaine ridicule, inefficace et injuste. La remplacer par une démocratie vivante avec l’exigence d’un renouvèlement du personnel politique notamment en interdisant de faire de la politique un métier. C’est une mission pas une carrière. Donc en particulier limiter les mandats, interdire aux fonctionnaires de faire de la politique (ou alors de démissionner de la fonction publique), consulter régulièrement le peuple. La vérité c’est que ce pays n’est plus gouverné que par des petits marquis nourris au lait des partis, incompétents et méprisants. La transformation démocratique exigera une modification profonde de la sociologie des responsables pour s’appuyer sur les forces vives de la nation et non sur une caste dégénérée.

Une urgence : mettre fin au temps des cathédrales administratives de Hollande

Une urgence : mettre fin au temps des cathédrales administratives  de Hollande

 

Valls a en partie compris, Hollande n’est pas dans le rythme, ni dans la bonne direction. Il faut changer et vite sinon la troisième phase de la débâcle aura lieu aux régionales en 2015 ou 2016. Cela suppose de mettre fin immédiatement aux « cathédrales « de Hollande : type pactes de toutes sortes véritables cathédrales administratives, mettre fin auusi  aux inventions sémantique type inversion du chômage ou retournement économique. Bref remplacer le verbiage par l’action. Diminuer tout de suite la fiscalité tant pour les ménages que pour les entreprises, intervenir dans le domaine industriel pour sauver ce qui peut encore l’être ( Alstom par exemple). Redonner la parole aux citoyens et non se limiter à de pseudo concertations avec des organisations qui ne représentent plus grand-chose ; Sur la reforme territoriale par exemple i faut un  référendum sinon le projet va s’embourber dans les marécages des intérêts corporatistes des élus. Les cathédrales administratives de Hollande finissent toutes en eau de boudin. Un seul exemple les 30 milliards de la formation permanente dont à peine 5% sont consacrées aux chômeurs et qui permet à nombre de superstructures de se gaver. Finalement la mini réforme n’a rien changé ou pas grand-chose. Il est auusi urgent de réaliser un variable choc de simplification car là encore « le choc de Hollande a fait  « plouc » ; Il est nécessaire de diviser par 10 les procédures,  ce qui suppose de supprimer superstructures et fonctionnaires qui vivent de la complexification qui tue l’initiative, la compétitivité et aliène même la liberté. Enfin la France doit clairement s’affranchir de la politique d’austérité voulue par Bruxelles, une politique qui mène dans le mur qui ne réduit pas l’endettement mais qui tue croissance et emploi.

Chômage en France: « pas de baisse avant 2016″ (OCDE), donc pas de retournement

Chômage en France: « pas de baisse avant « fin 2015″ (OCDE), donc pas de retournement

 

Pas de chance pout Hollande, le jour où il confirme le « retournement «, l’OCDE le contredit en ne prévoyant pas d’amélioration du chômage avant 2016. Facile à comprendre, il faudrait une croissance supérieure à 1.5% pour faire reculer le chômage et ce ne sera pas avant 2016. L’OCDE est pessimiste pour l’emploi. Ce mardi 6 mai, l’Organisation a publié un rapport dans lequel elle indique ne pas voir de recul du chômage en France avant « la fin 2015″. L’Organisation table ainsi sur un taux de chômage de 9,9% pour 2015, qui baisserait, donc, légèrement fin 2015 à 9,8%. Elle estime néanmoins que les exonérations de cotisations patronales et les crédits d’impôt accordés aux entreprises par le pacte de responsabilité devraient soutenir l’emploi. De son côté, la Commission européenne, qui a publié mardi 6 mai ses prévisions économiques pour l’Union, prévoit un taux de chômage de 10,4% en 2014 qui baisserait ensuite de 0,2 point à 10,2% en 2015. L’OCDE a également revu en légère baisse ses prévisions de croissance pour la France, à +0,9% en 2014 et +1,5% l’an prochain. Des prévisions inférieures à celles du gouvernement qui espère, lui, 1% cette année puis 1,7% l’an prochain, un scénario jugé trop optimiste par la Commission européenne. Cette dernière table sur un chiffre de 1% pour 2014 et de 1,5% pour l’année suivante. En revanche, contrairement à Bruxelles, l’OCDE veut croire que la France va tenir son engagement de ramener le déficit à 3% du PIB en 2015. Ou presque. L’OCDE anticipe ainsi un chiffre de 3,1% en 2015 tandis que la Commission européenne avait, elle, retenu un chiffre de 3,4%. Chômage en France: « pas de baisse avant « fin 2015″ (OCDE), donc pas de retournement Pas de chance pout Hollande, le jour où il confirme le « retournement «, l’OCDE le contredit en ne prévoyant pas d’amélioration du chômage avant 2016. Facile à comprendre, il faudrait une croissance supérieure à 1.5% pour faire reculer le chômage et ce ne sera pas avant 2016. L’OCDE est pessimiste pour l’emploi. Ce mardi 6 mai, l’Organisation a publié un rapport dans lequel elle indique ne pas voir de recul du chômage en France avant « la fin 2015″. L’Organisation table ainsi sur un taux de chômage de 9,9% pour 2015, qui baisserait, donc, légèrement fin 2015 à 9,8%. Elle estime néanmoins que les exonérations de cotisations patronales et les crédits d’impôt accordés aux entreprises par le pacte de responsabilité devraient soutenir l’emploi. De son côté, la Commission européenne, qui a publié mardi 6 mai ses prévisions économiques pour l’Union, prévoit un taux de chômage de 10,4% en 2014 qui baisserait ensuite de 0,2 point à 10,2% en 2015. L’OCDE a également revu en légère baisse ses prévisions de croissance pour la France, à +0,9% en 2014 et +1,5% l’an prochain. Des prévisions inférieures à celles du gouvernement qui espère, lui, 1% cette année puis 1,7% l’an prochain, un scénario jugé trop optimiste par la Commission européenne. Cette dernière table sur un chiffre de 1% pour 2014 et de 1,5% pour l’année suivante. En revanche, contrairement à Bruxelles, l’OCDE veut croire que la France va tenir son engagement de ramener le déficit à 3% du PIB en 2015. Ou presque. L’OCDE anticipe ainsi un chiffre de 3,1% en 2015 tandis que la Commission européenne avait, elle, retenu un chiffre de 3,4%.

Luxembourg : fin du secret bancaire ?

Luxembourg :  fin du secret bancaire ?

Le Luxembourg et l’Autriche vont renoncer au secret bancaire. Une particularité que ces deux États ont toujours défendu bec et ongles. Les ministres des Finances de l’Union européenne ont réussi à les convaincre de ne pas bloquer la prochaine directive européenne sur la fiscalité de l’épargne.  Il aura fallu plus de onze ans aux Européens pour vaincre la réticence de quelques pays à abandonner le secret bancaire. La Belgique avait d’abord lâché. Il ne restait plus que l’Autriche et le Luxembourg. 30% de la richesse du plus petit État de l’Union européenne dépend du secteur financier et de la discrétion de ses banques.  C’est dire si le secret bancaire était tabou au grand duché pour résister à la pression croissante de Paris ou Berlin, qui veulent récupérer l’argent échappant au fisc.  Le Luxembourg a donc cherché un allié ailleurs. « Tant que la Suisse n’abandonnera pas son secret bancaire, nous ne bougerons pas », répétait systématiquement le gouvernement du Luxembourg. Soumis à une pression des États-Unis et du G8, la Suisse a fini par bouger.  C’est la fin de l’alliance. Le Luxembourg ne pouvait plus tenir tout seul. Il a tergiversé et gagné un an pour se préparer à la reconversion et, mardi soir, le ministre des Finances a sonné la fin de la résistance.  C’est le Premier ministre Xavier Bettel qui l’annoncera officiellement aux dirigeants de l’Union européenne à Bruxelles, sauf revirement de dernière minute qui n’est jamais impossible selon les experts.

 

Mory Ducros: la fin du conflit ?

Mory Ducros:  la fin du conflit ?

« Les conditions d’une sortie de crise sont « réunies » après l’amélioration de l’offre de reprise par Arcole. C’est ce qu’estime le gouvernement dans un communiqué ce jeudi 30 janvier. Sur BFMTV, Arnaud Montebourg a confirmé que la CGT avait « signé une fin de conflit ».  Des salariés avaient en effet entamé, mercredi soir vers 19 heures, une action de blocage contre la plus grosse plateforme française de Mory Ducros, à Artenay, près d’Orléans. Ce site est pourtant le seul à ne pas faire l’objet de licenciements. Le blocage a été levé tôt ce jeudi.  Le plan social pour les quelque 3.000 salariés de Mory Ducros qui ne seront pas repris a été amélioré, passant de 21 à 30 millions d’euros, a annoncé le gouvernement. L’accord des syndicats devrait être obtenu ce jeudi lors d’un comité d’entreprise. Jean-Marc Ayrault, présent lors de la réunion du 29 janvier à Matigon, avait assuré que « l’objectif est de sauver le maximum d’emploi ». « On ne sauvera pas tous les emplois, je ne veux pas mentir », a-t-il admis. « 5.000 emplois, c’est considérable! Aujourd’hui, nous sommes à plus de 2.000, et après il faudra trouver des solutions sur les différents sites », a-t-il conclu.Le gouvernement s’est par ailleurs engagé à trouver 500 postes aux anciens salariés de Mory Ducros dans des entreprises publiques, comme La Poste et la RATP. Une bourse à l’emploi va également être créée. Le ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, a assuré qu’il allait sans délai contacter les entreprises de transport routier qui se sont engagées à reclasser 1.000 salariés « pour que les chiffres soient garantis, pour que les procédures soient assurées ».

Raffinerie Total: fin de la grève à Donges

Raffinerie Total: fin de la grève à Donges

 

Encore trois raffineries en arrêt chez Total mais  fin à Donges, a indiqué la direction du groupe pétrolier à l’AFP, précisant que « les unités sont en phase de redémarrage ». Le coordinateur groupe CGT de Total Eric Sellini a confirmé la fin du mouvement à Donges.  Les raffineries de Gonfreville-l’Orcher (Seine-Maritime), Châteauneuf-les-Martigues (Bouches-du-Rhône) et Feyzin (Rhône) restent affectées par la grève lancée par la CGT et FO il y a une dizaine de jours. La cinquième raffinerie de Total à Grandpuits (Seine-et-Marne) avait de son côté cessé le mouvement en début de semaine.  Les salariés sont en grève pour le « maintien et l’augmentation de leur pouvoir d’achat », la CGT réclamant notamment une augmentation minimale de 100 euros ainsi qu’une prime de 1.500 euros.  En ce qui concerne les conséquences de ce mouvement pour les consommateurs, Total avait assuré vendredi à l’AFP que « la situation dans les raffineries n’entraîne absolument aucun problème d’approvisionnement ».  Le président de l’Union française des industries pétrolières (Ufip), Jean-Louis Schilansky, avait également indiqué qu’il n’y avait « aucune perturbation » pour alimenter les stations-service, précisant que le marché français était notamment approvisionné par des importations.  Outre les deux raffineries de Total qui ont cessé la grève, trois autres raffineries exploitées par d’autres entreprises fonctionnent dans l’Hexagone.

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