Archive pour le Tag 'Fêtes'

Covid-19 : fêtes de fin d’année au ralenti (conseil scientifique)

Covid-19 :  fêtes de fin d’année au ralenti (conseil scientifique)

Pour faire simple conseil scientifique recommande de ne pas organiser de repas collectifs. En effet, les festivités risquent d’être l’occasion d’un nouveau grand brassage des populations et d’une nouvelle flambée des contaminations comme des cas graves. À l’approche des fêtes de fin d’année, le Conseil scientifique détaille donc , dans un avis daté du 8 décembre et publié par le ministère de la Santé lundi 13 décembre, une série de mesures à appliquer dans la sphère privée face à l’épidémie de Covid-19.

Pour les « réunions familiales de type repas de Noël », le Conseil scientifique recommande notamment de « limiter le nombre de participants, de s’assurer que les personnes fragiles ont bien reçu leur dose de rappel, d’aérer régulièrement les locaux et de pratiquer un autotest le jour même, ou un test antigénique la veille ou le jour même de l’événement ».

Les autorités de santé s’attendent à une  »augmentation des admissions hospitalières de patients », en lien avec la cinquième vague causée par le variant Delta. Un pic d’admissions supérieur à 2 000 par jour est attendu, soit un niveau proche de celui observé lors de la deuxième vague à l’automne 2020. À cela s’ajoute l’émergence du variant Omicron, qui « se répand extrêmement rapidement ».

Face à cette  »double menace », le Conseil scientifique conseille de diminuer ses contacts et de ne pas sortir si on est symptomatique. Il recommande également de « renoncer immédiatement à tout rassemblement collectif en lieu clos où le port du masque n’est pas possible ou approprié au format, en particulier tous les rassemblements avec consommation de boisson et de nourriture. »

 

Covid 19 « vers un confinement »(Véran)…après les fêtes ?

Covid 19 « vers un confinement »(Véran)…après les fêtes ?

 

La question n’est pas de savoir s’il y aura ou non de nouvelles mesures restrictives allant jusqu’au confinement mais quand seront prises les décisions. Pour l’instant ,comme souvent, le gouvernement tergiverse et espère ne pas avoir à prendre de décision avant Noël. Le problème est que la moyenne journalière dépasse maintenant 50 000 cas par jour, on a même compté un pic de 70 000 cas et surtout avec des les hôpitaux de plus en plus surchargés par les patients en soins critiques. Leur nombre atteint 2500 personnes, à 3000 les capitaux seront complètement embouteillés et à 4000 ce sera la catastrophe.

 

« Selon toute vraisemblance, nous sommes en train d’atteindre le pic », prévient Olivier Véran, samedi 11 décembre, dans un entretien au Parisien. Le ministre de la Santé rappelle que cette cinquième vague épidémique est violente : « Nous avons dépassé en début de semaine les 70 000 diagnostics en 24 heures, du jamais-vu depuis le début de la pandémie dans notre pays. »

« Depuis une dizaine de jours, on constate un début de ralentissement de la vague épidémique », ajoute le ministre. Il faut désormais attendre pour savoir si les contaminations vont baisser rapidement ou si le plateau va rester haut. « Nous ne nous dirigeons pas vers un confinement. Mais dire que cela n’arrivera jamais plus, c’est impossible », a prévenu Olivier Véran.

«

La pression hospitalière liée au Covid-19 ne faiblit pas en France où plus de 2 500 personnes sont actuellement accueillies dans les services de soins critiques, selon les chiffres publiés samedi par Santé publique France. Ces dernières 24 heures, 787 personnes atteintes du Covid-19 ont été admises dans les hôpitaux français, portant au total à 13 855 le nombre de patients Covid hospitalisés en France.

Covid : quel impact des fêtes de fin d’année ?

Covid : quel impact des fêtes de fin d’année ?

 

Les mesures restrictives avaient été juste un peu relâchées au moment de Noël. Le gouvernement craignait en effet un impact négatif des fêtes collectives pendant la période. On peut constater que cette question a disparu de la problématique. Il y a déjà quelques jours qu’on devrait procéder à une évaluation. Or cette évaluation est d’abord méthodologiquement très complexe dans la mesure où en vérité il n’y a pas de période de référence. C’est-à-dire de période à laquelle on pourrait se référer avec un environnement restrictif différent.

 

Restent  les statistiques brutes qui ne sont guère encourageantes puisque en gros par exemple le nombre de contaminés évolue entre 20 et 25 000 chaque jour. Et que Les hospitalisations augmentent . Pourquoi ? La vérité c’est qu’on en sait strictement rien. Du coup on élimine la question. Restent donc les chiffres:

 

Le seuil des 70.000 décès dus au Covid-19 a été franchi ce vendredi, tandis que dans le monde, ce sont plus de 2 millions de personnes qui sont mortes.

Selon le dernier bilan des autorités de santé, 24.985 personnes (-24 par rapport à vendredi) dont 2.731 en réanimation (+1) sont actuellement hospitalisées à cause du coronavirus en France. 

 

Par ailleurs, 196 personnes ont succombé au virus ces dernières en 24h dans l’Hexagone. La France a donc franchi la barre des 70.000 décès (70.142 ndlr) depuis le début de la pandémie.

 

Ce samedi, 21.406 cas ont aussi été détectés en 24 heures. Ils étaient 20.177 samedi 9 janvier.

«Nous avons pu passer des fêtes de fin d’année sans flambée épidémique». Déclare pourtant le gouvernement qui en même temps s’alarme de la hausse de la pandémie !

Forte reprise de l’épidémie après les fêtes ? (Conseil scientifique)

Forte reprise de l’épidémie après les fêtes ? (Conseil scientifique)

 

Le conseil scientifique estime qu’il faut s’attendre à une reprise incontrôlée de la pandémie sitôt après les fêtes. “Si les mesures de santé publique restrictives prises depuis octobre 2020 (couvre-feu, confinement partiel…) ont eu pour effet de diminuer considérablement la circulation du virus SARSCoV-2, on ne constate plus d’amélioration de la situation épidémiologique depuis début décembre et on constate même une légère dégradation”, constate le Conseil scientifique.

“Dans ce contexte, et alors que depuis le 15 décembre le dispositif de santé publique a été allégé avec un couvre-feu de 20h à 6h du matin, il est possible qu’un surcroît de contaminations intervienne en fin d’année, notamment à l’occasion des fêtes, propices à des rassemblements familiaux et amicaux”, dit le groupe présidé par Jean-François Delfraissy.

Cette hausse des contaminations pourrait entraîner une “reprise incontrôlée” de l’épidémie et une forte augmentation des hospitalisations, des placements en réanimation et des décès.

Devant ce risque, le Conseil scientifique propose trois solutions : un “renforcement préventif” rapide, strict et possiblement de courte durée, des mesures pour limiter les contaminations pendant la deuxième semaine des congés de fin d’année dès le 28 décembre, une réponse différée et adaptée au surcroît de contaminations intervenues en fin d’année (limitation d’activités sociales ou économiques pouvant favoriser des contaminations) et une réponse plus tardive visant à limiter les effets d’une reprise de l’épidémie.

Cette dernière piste, prévient-il, “présente le risque d’intervenir trop tardivement et de conduire ensuite à des mesures plus sévères, plus longues et/ou restrictives que celles entrant en vigueur plus tôt”.

Covid-19 : la crainte d’une troisième vague après les fêtes

Covid-19 : la crainte d’une troisième vague après les fêtes

«Si on n’est pas raisonnable le soir de Noël et le soir du Réveillon, il y aura un rebond, c’est vraiment quelque chose qui nous pend au nez. [...] Ça peut se traduire par un troisième vague avec un certain délai, [...] mi-janvier par exemple». A déclaré sur LCI lundi le professeur Eric Caumes, chef de service en maladies infectieuses à la Pitié-Salpêtrière.

 

Le professeur a en effet rappelé les risques sanitaires de ces réunions de famille : «Vous avez l’exemple typique d’un lieu clos, où on risque beaucoup plus que dans un lieu ouvert». La jauge de 6 personnes conseillée par le gouvernement lui paraît néanmoins «raisonnable».

 

Interrogé sur l’évolution de l’épidémie, Eric Caumes a également montré son pessimisme quant à l’objectif fixé par Emmanuel Macron d’atteindre les 5000 cas de contamination quotidiens. «Je pense que ce ne sera pas atteignable parce que la courbe arrête de descendre, elle se stabilise», a-t-il dit. Depuis plusieurs jours, le nombre de nouvelles contaminations oscille entre 10.000 et 13.000.

Les fêtes en mai : moins 0.3% de croissance en moins

Les fêtes en mai : moins 0.3% de croissance en moins

 

La France s’est félicitée d’une  croissance inattendue de 0.6% au premier trimestre ( mieux que l’Allemagne , 0.3% ). Pourtant le second trimestre devrait être nettement plus faible. La Banque de France n’escompte que 0.3%. Il y a plusieurs facteurs explicatifs à ce tassement prévu de la croissance  ( moins de consommation d’énergie destinée au chauffage et moins de reconstitution des stocks notamment). Mais on fait évidemment l’impasse sur l’incidence des jours de congés, de fêtes et les ponts de mai. Au total en moyenne les Français auront travaillé de l’ordre de 14 jours en mai. En fait , il va manquer uen bonne semaine de travail en mai. Certains considèrent que ce mois  de semi vacances et cependant bon pour l’économie en raison de retombée touristiques. Sauf que ce qui est dépensé dans ce domaine ne le sera pas pour autre chose. Sauf  que c’est une  semaine de production en moins, dont de croissance donc d’emplois. Ces jours chômés successifs vont couter 0.2 à 0.3% de croissance au second trimestre. Justement ce qu’il faudrait pour commencer à inverser la tendance du chômage. Evidemment ce thème n’est guère traité par les grands médias pour la bonne raison que la plupart des journalistes sont aussi en vacances. Il faut vraiment fouiller pour trouver des informations économiques intéressantes pour le mois en cours. Personne ne veut réellement remettre en cause cette culture des loisirs que les 35 heures d’une  certaine manière ont institutionnalisée. On ne touche pas au veau d’or car il serait susceptible de faire perdre nombre d’électeurs. Or le drame du pays c’est non seulement le coût de sa production mai aussi le manque de productivité, surtout le manque le manque de producteurs qui créent la richesse, c’est à dire la valeur ajoutée, le Pib, la croissance et les emplois qui en découlent. Trop d’improductifs , pas assez de production chez les autres, dès lors il ne faut pas s’étonner que les grands équilibres s’écoulent ( les caisses de retraite, la sécu, le budget de l’Etat, celui des collectivités locales, l’ASSEDIC etc.). Le travail en mai est significatif du mal français : trop peu de travail et surtout une culture des loisirs qui tue la richesse nationale.

Fêtes du mois de mai : un coût d’un milliard pour l’économie

Fêtes du mois de mai : un coût d’un milliard pour l’économie

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Pour le seul mois de mai de cette année, il est possible de bénéficier de 12 jours chômés pour seulement trois jours de posés. Un avantage pour les salariés, qui n’est pas sans conséquences sur l’économie française.  Les trois jeudis fériés chômés coûtent 500 millions d’euros à l’économie française, selon l’Insee. En ajoutant à cela le prix des trois ponts possibles, le chiffre peut atteindre le milliard d’euros perdu. Mais ces jours de vacances ont tout de même quelques côtés positifs. À commencer par le repos des salariés, difficilement chiffrable mais bénéfique pour la productivité et donc pour la croissance. Certains secteurs, comme le tourisme, l’hôtellerie, les loisirs, ou encore les transports se frottent les mains. Pour eux : les 1er, 8 et 29 mai sont synonymes de bénéfices.

 




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