Archive pour le Tag 'Fessenheim'

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Nucléaire- Fessenheim ; Ségolène ne sait plus s’il faut fermer !

Nucléaire- Fessenheim ; Ségolène ne sait plus s’il faut fermer !

 

 

 Nouvelle entourloupe du gouvernement qui ne sait plus s’il faut fermer Fessenheim. C’était pourtant la promesse de Hollande. Fermer Fessenheim la plus vieille centrale pour montrer aux écolos sa conversion environnementale. D’abord une promesse idiote car ce qui compte c’est une vraie transition de l’énergie avec progressivement une substitution d’autres sources au nucléaire. Ensuite évidemment un nouveau reniement, du type de celui de la loi «  Florange » pour la reprise des sites industriels fermés ( une loi , elle auusi, complètement vidée de son sens).  Enfin l’orientation réelle du gouvernement c’est le maintien de la production nucléaire puisque deux centrales ne seront fermées que lorsque deux autres seront mises en service. Renvoyer la responsabilité au nouveau patron de l’EDF constitue une argutie technique ; Ségolène patauge dans cette affaire en pleine contradiction. Pour résumer, le gouvernement est pour la transition énergétique mais sans toucher au nucléaire et sans toucher à la voiture (juste une augmentation du gasoil mais surtout pour de raisons  de rentrées fiscales°. Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie, du Développement durable et de l’Energie, répond aux questions du JDD au lendemain de la clôture de la conférence environnementale.

Fermer la centrale de Fessenheim en 2016, une promesse du candidat Hollande, est-ce toujours possible?
Le plafonnement de la puissance nucléaire est inscrit dans la loi de transition : donc avec l’ouverture de deux nouveaux réacteurs, il faudra fermer deux réacteurs. Nous avons nommé une nouvelle gouvernance à la tête d’EDF qui doit s’impliquer dans la transition énergétique. L’entreprise va proposer des réacteurs à la fermeture. Si elle dit que des investissements ont été faits à Fessenheim et qu’il existe d’autres choix judicieux au regard de la sûreté nucléaire, nous les examinerons. Il n’y a pas d’idéologie en la matière, ce qui compte c’est la pertinence et l’intérêt général.

 

Nucléaire -Fermeture de Fessenheim: Royal ne sait plus !

Nucléaire -Fermeture de Fessenheim: Royal ne sait plus !

 

Finalement Royal ne sait plus si Fessenheim sera fermé comme l’avait promis Hollande lors de sa campagne électorale ; En fait il y aura peut-être fermeture de deux réacteurs mais en même temps que la mise en service de deux nouveaux. En clair  pas de changement !  Ce 2 novembre, lors du Grand Rendez-vous Le Monde/i Télé/Europe1, Ségolène Royale a détaillé sa conduite pour prendre sa décision. « Moi, mon point de vue de ministre de l’Energie, avec ma méthode de travail, d’écoute et de construction avec les partenaires compétents (…), c’est que j’écouterai ce qu’EDF dira, et le conseil d’administration d’EDF qui va en débattre », a expliqué Mme Royal.  De plus, même si Fessenheim est la plus vieille centrale en activité, elle n’est pas forcement la priorité du gouvernement.   »S’il y a une centrale qui est plus vieillissante, qui est plus ‘insécure’ et qui nécessite plus d’investissements que Fessenheim, on fera cette proposition, et le président de la République tranchera en fonction des données qui seront mises sur la table à ce moment-là », a-t-elle poursuivi. Déjà ce mois-ci, Mme Royal avait affirmé que Fessenheim ne fermerait « pas forcément », et que d’autres options restaient ouvertes. « En toute transparence, il y aura deux réacteurs qui fermeront quand deux réacteurs nouveaux vont s’ouvrir, puisque la loi maintenant prévoit le plafonnement de la capacité du nucléaire », a rappelé la ministre.        »Sur tous ces sujets, il faut vraiment se garder de tout dogmatisme », a plaidé Mme Royal.

 

Fessenheim : fermera , fermera pas ?

Fessenheim : fermera , fermera pas ?

Pour le moins c’est la grande confusion sur la fermeture de Fessenheim et cela au lendemain même de la fameuse loi de transition énergétique dont les échéances et les moyens sont illusoires.  Hollande aurait affirmé à  Emmanuelle Cosse, qui a été reçue lundi par le chef de l’État, que Fessenheim fermera. Mais Ségolène a déclaré le contraire. .. Une information qui tranche avec celle de Stéphane Le Foll, porte-parole du gouvernement qui a affirmé, jeudi, que la fermeture de l’usine d’EDF ne «figurait pas dans la loi» de transition énergétique.  Interrogée sur cette déclaration ce vendredi matin, la ministre de l’Écologie, Ségolène Royal, s’est montrée moins catégorique que son homologue à l’Agriculture, tout en estimant que «le contexte a évolué depuis la promesse de François Hollande». Avec notamment le vote de la loi sur la transition énergétique qui prévoit la diminution de la part du nucléaire dans la production d’électricité – qui doit passer de 75% à 50% à l’horizon de 2025. Dans ce cadre, la centrale de Fessenheim doit cesser de produire d’ici fin 2016. «C’est (la fermeture de Fessenheim, ndlr) est une hypothèse avancée dans la campagne présidentielle. C’est pour l’instant la seule. La nouveauté avec la loi sur la transition énergétique réside dans le fait que l’autorité de sûreté nucléaire peut désormais donner son avis. Si elle nous dit que Fessenheim doit fermer, elle fermera», a-t-elle expliqué ce matin sur i-Télé. La ministre attend que «la gouvernance se mette en place chez EDF» pour discuter avec le nouveau président du groupe énergétique, Jean-Bernard Lévy, de leurs propositions. «La seule chose qui est sûre, c’est que deux réacteurs ouvriront et deux fermeront», explique Ségolène Royal. Reste à savoir lesquels. Mercredi, la ministre s’est dite moins certaine que les pouvoirs publics choisissent de fermer Fessenheim plutôt qu’une autre centrale nucléaire.

 

Nucléaire : Fessenheim fermée fin 2016

Nucléaire : Fessenheim fermée fin 2016

« Les engagements pris par François Hollande sur le nucléaire seront tenus dans le quinquennat. J’ai un mandat : je fermerai Fessenheim d’’ici au 31 décembre 2016″, déclare le successeur de Delphine Batho qui a dû quitter le gouvernement le 2 juillet pour avoir critiqué le budget de son ministère.  Le site de Fessenheim (2 réacteurs de 900 MW) est le seul des 19 centrales françaises (et 58 réacteurs) dont la fermeture a été annoncée par le président François Hollande qui s’est engagé à réduire la part du nucléaire de 75% à 50% de la production électrique d’ici 2025.   »La loi sur la transition énergétique prendra les dispositions pour que cette fermeture soit effective. Il est temps que les responsables politiques reprennent la main sur les décisions énergétiques de la France », poursuit le ministre qui affirme plus loin n’avoir « rien contre » le patron d’EDF Henri Proglio après avoir précisé que « ce n’est pas à un homme seul d’incarner la politique qui doit être menée. EDF doit nous aider à réaliser nos décisions et ne pas s’en affranchir ».  A propos des gaz de schiste, Philippe Martin déclare que « faire miroiter l’éventualité qu’on puisse trouver une technique sans impact sur l’environnement (contrairement à la fracturation hydraulique) est une lubie » et oppose aux enjeux économiques, mis en avant par le ministre du Redressement économique Arnaud Montebourg pour justifier l’exploitation immédiate de ces gaz, le « grand projet que sont les énergies renouvelables ». Au sujet du diesel, le ministre énonce qu’il « faudra décider du rythme de la convergence de la fiscalité entre le diesel et l’essence, et des mesures de compensation pour les plus modestes. En matière d’écologie, il faut avoir le courage de prendre des décisions structurellement impopulaires et qui donneront des effets pour les générations futures. »  Interrogé sur la façon dont il entend exercer son mandat, Philippe Martin affirme: « Il n’y aura pas de souplesse de ma part concernant l’écologie ».

 

Fessenheim sera fermé

Fessenheim sera fermé

 

Delphine Batho  réagit à des informations publiées par Le Monde selon lesquelles le ministère de l’Écologie a récemment écrit qu’«il n’est pas établi qu’il existerait des risques graves menaçant la sûreté de la centrale de Fessenheim». Le gouvernement a en effet rédigé un mémoire en défense pour la cour administrative d’appel de Nancy, le 5 octobre dernier, dans le cadre d’une procédure judiciaire intentée par un collectif d’associations antinucléaires (l’ATPN, association trinationale de protection nucléaire). L’ATPN réclamait, depuis 2008, la fermeture immédiate de la plus ancienne centrale nucléaire de France. «Il n’y a aucune contradiction entre le fait que le gouvernement souhaite fermer Fessenheim dans le cadre de la transition énergétique et le fait d’objecter à une demande d’une association antinucléaire qui demande la mise à l’arrêt immédiate pour des raisons de sûreté», justifie Delphine Batho. «Si la centrale posait des problèmes de sûreté immédiats, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN), le juge de paix absolu en la matière, déciderait de la fermer immédiatement», poursuit la ministre chargée de l’Énergie. L’Elysée a pour sa part réaffirmé à l’AFP que la centrale serait fermée «fin 2016, début 2017», rappelant l’engagement n°41 du candidat François Hollande, réaffirmé en septembre lors de la conférence environnementale. Comme l’indique Le Monde, l’argumentation écrite du ministère est une aubaine pour EDF, qui, dans son propre mémoire de défense, adressé le 21 janvier, se plaît à souligner que «le ministre de l’écologie a constaté dans son mémoire que la demande de fermeture immédiate de la centrale de Fessenheim (…) n’est justifiée par aucun élément de fait ou de droit». EDF se refuse à tout commentaire. C’est aussi en misant sur une faiblesse juridique que la CGT a annoncé jeudi qu’elle allait déposer un recours devant le Conseil d’État contre la nomination d’un délégué interministériel chargé de la fermeture de Fessenheim. Reste que si le gouvernement, se fondant sur les décisions de l’ASN qui a prolongé de dix ans les opérations du réacteur n°1 de Fessenheim moyennant des travaux, estime le réacteur suffisamment sûr pour continuer de produire du courant, la sûreté de la doyenne des centrales, située sur une faille sismique, était bien l’un des arguments avancé par François Hollande durant la campagne électorale pour la fermer la première. S’agissant du cadre juridique, Delphine Batho rappelle au Figaro que la future loi de programmation qui doit être déposée en septembre ou en octobre à l’issue du débat national sur la transition énergétique comportera une disposition sur la fermeture de la centrale alsacienne. Ce qui différenciera la procédure de celle prévue par un décret de 2007, assure la ministre. La mise à l’arrêt définitif de Fessenheim sera néanmoins une procédure longue, avec une enquête publique. Le président de l’ASN, Pierre-Franck Chevet, évalue le délai à cinq ans. Delphine Batho assure que l’échéance de la fin 2016 fixée par François Hollande, est «tenable». Saisissant l’occasion de ce qui peut apparaître comme un cafouillage, le député écologiste Denis Baupin réclame une nouvelle fois la fermeture «au plus vite» de la centrale en rappelant que l’ASN a exigé des travaux de renforcement de la sûreté d’ici le mois de juin sous peine de l’arrêter.

 

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