Archive pour le Tag 'fermeture'

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Hôpitaux: fermeture de certains services d’urgence ?

Hôpitaux:  fermeture de certains  services d’urgence ?

 

 

C’est ce que propose un rapport qui a été remis au ministère de la santé. Il s’agit de services d’urgence dont on estime que la fréquentation est insuffisante. Cela affectera surtout des zones à dominante rurale. Précisément des zones qui se caractérisent déjà par un certain désert médical dans beaucoup de cas il faudra se résoudre à appeler le SAMU et à rapatrier les malades sur le chef-lieu de département. Les services d’urgence supprimaient seraient transformés en centres de soins non programmés, en clair pratiquement en maison de santé classique sans rendez-vous mais sans urgentiste. Pour la plupart des patients, le service des urgences rime avec saturation. Pourtant, certains d’entre eux sont en sous-activité. Sur 650 services d’urgences en France, 67 reçoivent moins de 10.000 personnes par an, soit 1,1 patient par heure révèle Le Figaro ce lundi 31 août. Une situation telle, qu’un rapport remis à la ministre de la Santé préconise de les transformer en « centre de soins non programmés » indique le quotidien. Le docteur Jean-Yves Grall, directeur de l’agence régionale de santé (ARS) du Nord Pas-de-Calais et auteur du rapport estime qu’il faut « éviter la présence inutile de médecins (urgentistes) lors de période de faible activité ou sur des structures à faible activité globale ». Un comble, alors que cet été, une demi-douzaine de services d’urgence ou de Smur (service mobile d’urgences et de réanimation), parmi lesquels celui de Valognes dans la Manche, de Firminy dans la Loire ou encore de Mantes-la Jolie dans les Yvelines, ont du fermer temporairement pour cause de manque de personnel. « Selon les cas, certains petits services d’urgence à faible activité (inférieur à 8.000 ou 10.000 passages par an) pourraient évoluer et être transformés en centres de soins non programmés « , autrement dit des centres de « consultations médicales sans urgentiste et sans rendez-vous »,  détaille le journal.

Seita : fermeture de l’usine de cigarettes nantaise, 327 emplois concernés

Seita : fermeture de l’usine de cigarettes nantaise, 327 emplois concernés

La Seita ancienne entreprise publique privatisée en 1993 ferme ses dernières usines en France. Les Gauloises Blondes ne seront plus produites en France. En effet La fermeture de l’usine nantaise où les cigarettes étaient produites a été confirmée lors d’un comité central d’entreprise de la Seita, a annoncé Imperial Tobacco, ce mardi 15 avril.  L’usine de cigarettes, située à Carquefou, emploie 327 salariés et a produit 12,2 milliards de cigarettes en 2013. La fermeture s’inscrit dans le cadre d’un plan d’économies de 385 millions d’euros d’ici à 2018 du groupe anglais Imperial Tobacco, dont la Seita est une filiale. La restructuration annoncée mardi devrait comprendre également la cession du centre de R&D de Bergerac (30 salariés) et une réorganisation de la force de vente, qui elle sera sans impact sur l’emploi.  En tout, 366 postes seront fermés en France. La Seita a annoncé que des « solutions d’accompagnement » seraient trouvées pour les salariés, en « concertation avec les partenaires sociaux ».  La Seita, dont le siège est à Paris, emploie environ 1.150 salariés sur cinq sites en province: deux usines de production de cigarettes, à Nantes et Riom (Puy-de-Dôme), une usine de traitement du tabac au Havre (Seine-Maritime), deux centres de recherche à Bergerac (Dordogne) et Fleury-les-Aubrais (Loiret), selon les données communiquées par l’entreprise. La direction n’a pas précisé la date de la fermeture du site nantais. Outre-manche, l’usine de Nottingham, qui emploie 570 personnes fermera également. En revanche, 130 postes seront créés en Pologne, où les cigarettes seront désormais produites.

 

La Redoute menacée de fermeture

La Redoute menacée de fermeture

Les trois principaux syndicats du groupe, la CGT, la CFDT et SUD, ont en effet annoncé le rejet du protocole d’accord que leur avaient demandé de signer les futurs repreneurs de la Redoute. Ces derniers avaient d’abord fixé un ultimatum à jeudi soir, puis à vendredi 14 heures. En dépit de cette mise en demeure, les syndicats sont restés sur leurs positions et ont refusé de signer. « SUD, CGT et CFDT se sont prononcés contre la signature et les salariés sont prêts à aller jusqu’au bout », a indiqué à la presse Fabrice Peeters, délégué CGT, alors que l’actionnaire Kering avait conditionné la cession de l’entreprise à deux de ses cadres à un accord sur les mesures sociales d’accompagnement. Mercredi, Kering, qui appartient à François-Henri Pinault, avait annoncé que faute d’accord majoritaire des syndicats sur le plan de modernisation des futurs repreneurs, il ne « continuerait pas à financer les pertes de La Redoute ». Kering a engagé la cession de La Redoute à Nathalie Balla et Eric Courteille, respectivement PDG de La Redoute et secrétaire général de sa maison mère Redcats, pour se recentrer sur le luxe. Ces derniers ont annoncé le 9 janvier dernier la suppression de 1.178 des 3.437 postes. Les salariés sont prêts, selon Fabrice Peeters, à « continuer à faire pression sur le groupe Kering et la famille Pinault (comme l’a fait Martine Aubry dans le JDD,) pour qu’ils rajoutent quelques millions pour arriver à la hauteur des revendications ». « On ne cède pas à la pression, on ne cède pas au chantage, tout ce qui va arriver dans les jours, dans les semaines qui viennent, il n’y aura qu’un seul responsable, c’est François-Henri Pinault et personne d’autre », a-t-il ajouté. Face à l’obstination des syndicats, le tribunal de commerce a été saisi par les repreneurs. « Une procédure de sauvegarde ou de redressement judiciaire » devant le tribunal de commerce fait « partie des scénarios possibles », selon Me Mario Califano, avocat des salariés. Ces derniers sont toutefois divisés. Certains d’entre eux ont en effet montés un collectif nommé « Signez pour La Redoute » et favorable à la dernière version du protocole d’accord. La CFE-CGC, syndicat minoritaire, soutient l’initiative.

Papeterie Stora Enso de Corbehem : fermeture en juin (350 emplois)

Papeterie Stora Enso de Corbehem : fermeture en juin (350 emplois)

 

« Ca va fermer en juin », a indiqué à l’AFP Jacques Olzowski (FO), à la sortie d’un comité d’entreprise extraordinaire. « On ne sait pas si c’est fin juin, ou début juin, que ce sera fermé, le 21 janvier il y a aura un CE (comité d’entreprise) pour ouvrir des négociations sur le plan social. C’est tout ce qu’ils nous ont dit », a-t-il ajouté.   »C’est toutes les communes environnantes qui vont déguster, il ne reste plus que Renault, maintenant il n’y a plus rien », a réagi un salarié, qui n’a pas souhaité donner son nom.   »C’est triste pour les plus jeunes, ça ne va pas être facile. Dans le Nord/Pas-de-Calais, on n’est pas gâté », a réagi un autre.  A la sortie du CE, les salariés de l’usine ont jonché de papiers ronds-points et rues à proximité du site, a constaté une correspondante de l’AFP.  Jointe par l’AFP, la direction a acté le « retrait du dernier candidat à la reprise », selon un porte-parole.   »Ce candidat a reconnu la qualité des installations et du personnel mais a été considérablement freiné par le contexte de marché du papier couché, notamment en raison de la forte chute de la demande, en raison de la montée en puissance de tout ce qui est technologies numériques », a indiqué ce porte-parole.  La papeterie de Corbehem est spécialisée dans la fabrication de papier couché ou papier glacé, utilisé pour la fabrication de catalogues et dans la publicité.  Dès février 2012, Stora Enso avait annoncé la suppression de 600 emplois. Un an après, le papetier finlandais annonçait une perte nette de 17 millions d’euros ainsi que la mise en place d’un plan de restructuration.  Entre temps, le groupe avait annoncé en octobre 2012 son intention de vendre son usine de Corbehem.   »On mettra des bonnets rouges »  En juin 2013, le papetier indiquait qu’il allait supprimer 2.500 emplois, principalement en Finlande (650 postes) et en Suède (750 postes) afin de répondre à la « faiblesse de l’économie européenne » et à « la mauvaise rentabilité » de la compagnie. Dans le reste de l’Europe, Stora Enso avait annoncé la suppression de 850 emplois au total et de 250 emplois, hors d’Europe.  L’industrie papetière française connaît une période de sérieuses difficultés dans un marché fortement dégradé, accumulant plusieurs années de recul des ventes, notamment dans les secteurs de la presse écrite et de l’emballage  De la production de pâte à papier à la transformation et distribution de papiers et cartons, en passant par le recyclage, la filière papier carton en France représente 30 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 136.000 salariés.

 

Fermeture d’une usine de tuiles à Blajan

Fermeture d’une usine de tuilerie  à Blajan  

La tuilerie de Blajan, en Haute-Garonne, qui emploie 27 salariés et qui appartient au groupe français Imerys est à nouveau menacée de disparition, presqu’un an après le retrait d’un premier projet de fermeture, a-t-on appris vendredi de sources syndicales. Un comité central d’entreprise extraordinaire s’est tenu jeudi au siège du groupe, près de Lyon, pendant lequel la direction a présenté aux représentants du personnel son plan social destiné à accompagner son nouveau projet de fermeture. Ce plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) prévoit des reclassements au sein du groupe, des départs en pré-retraite ainsi que des reclassements externes dans le cadre d’une revitalisation du site, a déclaré Jean-François Fourcade (CFDT). Il a jugé que ce document constituait une « bonne base de travail » pour des négociations. Mais les élus se réservent le « droit de poursuivre le groupe » si le plan n’était pas amélioré, a-t-il ajouté. Contactée, la direction n’a pas donné suite. Un premier projet de fermeture avait été annoncé le 26 janvier 2012 par la direction qui invoquait alors une « surcapacité de production » de tuiles canal, des tuiles de forme arrondie très courantes dans le sud de la France et qui constituent l’unique production du site, « dans un marché en déclin ». Les salariés avaient reçu le soutien des élus locaux et du ministère du Redressement productif et le projet avait été retiré en juillet. Mais le groupe avait dit que l’interruption de la procédure était « extrêmement dommageable aux intérêts de l’entreprise et de ses salariés ». « Les raisons qui avaient poussé Imerys à annoncer le premier projet sont les mêmes aujourd’hui », a dit pour sa part le maire de cette commune de 520 habitants, Jean-Bernard Castex. « Selon eux, le groupe est en surproduction, et le site de Blajan ne serait pas rentable ».

 

PSA Meudon : fermeture de site

PSA Meudon : fermeture de site

 

PSA Peugeot Citroën va fermer d’ici un an le site tertiaire de Meudon-la-Forêt, dans les Hauts-de-Seine, dans le cadre de la restructuration de ses activités françaises et transférer ses 660 salariés sur d’autres sites, peut-on lire dans un document officiel que Reuters s’est procuré. « Dans le contexte économique difficile traversé par le groupe, la rationalisation du taux d’occupation des sites et l’adaptation de l’aménagement des implantations actuelles des postes de travail (…) s’imposent », écrit PSA dans ce document, qui sera présenté mercredi matin aux syndicats lors d’un comité central d’entreprise (CCE) ordinaire. Le constructeur automobile prévoit également la mise en vente rapide de l’immeuble de Meudon. Pour redresser sa situation financière, PSA avait indiqué au début de l’année qu’il envisageait 200 millions d’euros de cessions d’actifs immobiliers supplémentaires, après deux milliards d’euros en 2012.

 

Pôle emploi : fermeture surprise vendredi

Pôle emploi : fermeture surprise vendredi

Pole emploi fermé par surprise vendredi ; pas étonnant pole emploi ne sert rien ; sauf à rayer injustement un chômeur pour non actualisation ou pour avoir manqué un rendez-vous (dont il n’a d’ailleurs pas été informé); Ils auront été nombreux à manquer ce rendez vous et à ne pas pouvoir s’actualiser ce vendredi (tout le monde n’a pas internet). . Des chômeurs ont donc trouvé porte close hier à leur agence Pôle emploi, faute d’avoir été prévenus de cette fermeture exceptionnelle. Exemple dans le Val-d’Oise. Vendredi matin, 9 heures, devant l’agence Pôle emploi de Sarcelles (Val-d’Oise). Les usagers arrivent les uns après les autres. A chaque fois, c’est la même réaction. « Ah bon ? C’est fermé ? » S’étonnent-ils à la vue du rideau de fer baissé. En moins d’une heure, ils seront une trentaine à trouver porte close devant cette agence qui gère environ 10 000 dossiers de demandeurs d’emploi et qui a fait le pont hier, comme la plupart des 900 antennes de Pôle emploi sur le reste du territoire. Cette fermeture surprise n’aura pas beaucoup d’incidence sur l’emploi puisque pole emploi n’en propose pas. Une bonne idée consisterait non pas à fermer pole emploi seulement pendant les ponts mais définitivement. A pôle emploi on gère le chômage, pas l’emploi. 55 000 salariés pour cette tâche couteuse et inutile !

 

Petroplus : fermeture définitive

Petroplus : fermeture définitive

Le rejet des offres entraîne la cessation définitive d’activité de la raffinerie, liquidée en octobre mais autorisée à fonctionner jusqu’à ce jour. La procédure de licenciement collectif des salariés sera déclenchée « dans les jours prochains », précise le groupe dans un communiqué.   »Malheureusement, les repreneurs n’ont pas été en mesure de lever l’ensemble des ambiguïtés, l’ensemble des doutes qui résidaient dans leurs offres: en conséquence, le tribunal n’a pu que rejeter les offres qui nous étaient présentées aujourd’hui », a indiqué à la presse Me Jean-Pierre Valentin, l’avocat du comité d’entreprise.  Le gouvernement « prend acte » de cette décision, ont indiqué dans un communiqué les ministres du Redressement productif Arnaud Montebourg et de l’Emploi Michel Sapin, en promettant d’oeuvrer au reclassement des salariés. Assurant avoir mobilisé « tous les moyens possibles » pour trouver un repreneur potentiel, ils estiment que « rien n’aurait été pire qu’une solution précaire qui aurait finalement nui aux salariés et à leurs familles ».  L’annonce du rejet des offres été accueillie dans le silence par les quelque 300 personnes réunies devant le tribunal, comme frappées de stupeur, avant que ne fusent quelques cris de « nationalisation! », a constaté l’AFP. Plusieurs leaders syndicaux ont ensuite pris la parole pour assurer que le combat continue, mais le coeur n’y est plus, et la petite rue s’est rapidement vidée.  Yvan Deconihout, 46 ans, salarié à la raffinerie depuis 12 ans, dit ressentir « une déception phénoménale » à l’égard du gouvernement. « On peut dire qu’on a été trahis par le gouvernement parce que le président Hollande qui était venu nous voir nous avait promis qu’avec la politique socialiste on arriverait à s’en sortir (…) Là on se rend compte qu’on n’a pas avancé ».  Le directeur de la raffinerie Philippe Billant a indiqué qu’un « liquidateur a été nommé. Il vendra les actifs isolés ». Selon lui, il est encore trop tôt pour déterminer l’avenir du site qui pourrait être déconstruit ou transformé.  M. Billant a précisé que des mesures de reclassement et de formation ont été prises.  Le tribunal, qui a repoussé à huit reprises la date limite de dépôt des offres de repreneurs depuis le dépôt de bilan de la raffinerie en janvier 2012, examinait mardi les deux dernières offres de reprise, celle du Panaméen NetOil, sur les rangs depuis juillet 2012, et celle de Murzuq Oil, apparu ces dernières semaines.   »Je rentre chez moi en Libye, je suis déçu », a affirmé le président de Murzuk Oil, Mabrouck Jomode Elie Getty. « On a respecté les choses de A à Z, on nous demandait d’avoir de l’argent, du pétrole et l’avenir pour les salariés, je ne peux pas faire plus », a-t-il souligné.  Les juges consulaires attendaient des candidats qu’ils apportent des garanties sur leur capacité à approvisionner le site en pétrole brut mais aussi à le moderniser.  Mais de son côté, Nicolas Vincent, porte-parole de l’intersyndicale CGT-CFDT-CFE/CGC, avait assuré qu’il ne baisserait pas les bras quelle que soit la décision du tribunal. Selon Jean-Luc Broutet de la CGT « la responsabilité aujourd’hui est du côté du gouvernement ». « Si on veut assurer l’avenir du raffinage dans notre pays, assurer l’indépendance énergétique, on demande au gouvernement de nationaliser le raffinage en France », a-t-il dit après l’annonce de la décision.  Au total, plusieurs dizaines de candidats se sont manifestés pour reprendre la raffinerie depuis son dépôt de bilan mais aucun n’a été en mesure de déposer un dossier satisfaisant.  Lorsque la raffinerie fermera, une centaine de salariés de Petroplus pourraient être reclassés dans l’industrie pétrolière, principalement dans la vallée de la Seine où fonctionnent deux autres raffineries, l’une exploitée par Total et l’autre parExxonMobil.  Ouverte en 1929, la raffinerie avait déposé son bilan le 24 janvier 2012 à la suite de la faillite de sa maison-mère suisse. Sa liquidation avait été prononcée en octobre par le tribunal de commerce de Rouen qui avait toutefois autorisé la poursuite de l’activité jusqu’au 16 avril.   »On a été exemplaires et responsables pendant ces 18 mois de lutte, il n’y a pas eu de violences et il n’y en aura pas, parce les mecs sont usés », avait indiqué un militant CGT, Denis Collange, 57 ans, dont 35 à la raffinerie, interrogé avant le jugement sur les conséquences d’une décision négative du tribunal.

 

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