Archive pour le Tag 'fériés'

Les écolos et le maire de de Grenoble veulent la suppression des jours fériés religieux

Les écolos et le maire de de Grenoble veulent la suppression des jours fériés religieux

Les écolos qui ont réussi à se faire élire maire dans les grandes villes se caractérisent par des prises de position de plus en plus anachroniques et fantaisistes. Ainsi le maire de Grenoble propose-t-il de supprimer les jours fériés religieux. (Une majorité des sympathisants des écolos y seraient aussi favorables d’après sondage); Il propose à la place des fêtes de nature plus civile comme par exemple extension du mariage aux personnes homosexuelles. Si les écolos s’écroulent aux prochaines élections, on saura pourquoi ! Le maire de Grenoble serait sans doute mieux de se préoccuper de la sécurité de sa ville qui est une des moins sûres de France.En outre et surtout le maire de Grenoble fait une grande confusion entre la dimension cultuelle et culturelle des jours fériés. Un amalgame qui conduit à une grande confusion sociétale et idéologique.

Sur le réseau social Twitter, l’édile grenoblois a d’abord proposé de supprimer les jours fériés religieux afin de «rendre le calendrier plus pluraliste». Invité par la suite sur BFMTV ce lundi, l’élu EELV a détaillé sa proposition, en plaidant pour la possibilité de choisir ses jours fériés «en fonction des convictions spirituelles».

Éric Piolle s’est prononcé sur ce sujet épineux à la suite des nombreuses absences scolaires constatées le jour de l’Aïd, fête musulmane qui marque la rupture du jeûne du mois de ramadan. «Je rappelle que les élèves et les agents ont le droit d’être absents pour des fêtes religieuses», a notamment tenu à commenter le maire grenoblois.

L’élu écologiste a aussi proposé d’établir de nouveaux jours fériés qui soient «des signes attachés à notre Histoire», évoquant la Commune de Paris, des fêtes liées aux droits de la femme ou des personnes LGBT comme le jour de l’extension du mariage aux personnes homosexuelles, ou encore l’abolition de l’esclavage qui est actuellement férié uniquement dans les départements outre-mer.

Aujourd’hui, les jours fériés sont au nombre de 11 en France, à l’exception de l’Alsace, de la Moselle et des DOM-TOM, en raison de particularismes locaux. Six sont de nature religieuse, les cinq autres commémorent des grandes dates de l’histoire.

Le maire EELV de Grenoble veut la suppression des jours fériés religieux

Le maire EELV de Grenoble veut la suppression des jours fériés religieux

Les écolos si on réussit à se faire élire maire dans les grandes villes ce caractérise par des prises de position de plus en plus anachronique et fantaisiste. Ainsi le maire de Grenoble propose-t-il de supprimer les jours fériés religieux. Il propose à la place des fêtes de nature plus civile comme par exemple extension du mariage aux personnes homosexuelles. Si les écolos s’écroulent aux prochaines élections, on saura pourquoi ! Le maire de Grenoble serait sans doute mieux de se préoccuper de la sécurité de sa ville qui est une des moins sûres de France.

Sur le réseau social Twitter, l’édile grenoblois a d’abord proposé de supprimer les jours fériés religieux afin de «rendre le calendrier plus pluraliste». Invité par la suite sur BFMTV ce lundi, l’élu EELV a détaillé sa proposition, en plaidant pour la possibilité de choisir ses jours fériés «en fonction des convictions spirituelles».

Éric Piolle s’est prononcé sur ce sujet épineux à la suite des nombreuses absences scolaires constatées le jour de l’Aïd, fête musulmane qui marque la rupture du jeûne du mois de ramadan. «Je rappelle que les élèves et les agents ont le droit d’être absents pour des fêtes religieuses», a notamment tenu à commenter le maire grenoblois.

L’élu écologiste a aussi proposé d’établir de nouveaux jours fériés qui soient «des signes attachés à notre Histoire», évoquant la Commune de Paris, des fêtes liées aux droits de la femme ou des personnes LGBT comme le jour de l’extension du mariage aux personnes homosexuelles, ou encore l’abolition de l’esclavage qui est actuellement férié uniquement dans les départements outre-mer.

Aujourd’hui, les jours fériés sont au nombre de 11 en France, à l’exception de l’Alsace, de la Moselle et des DOM-TOM, en raison de particularismes locaux. Six sont de nature religieuse, les cinq autres commémorent des grandes dates de l’histoire.

Jours féries en mai : une addition salée pour la croissance

 

 

Avec les jours fériés en mai, on pourra travailler à mi-temps. Il y aura nécessairement un impact sur la croissance et donc aussi sur le chômage ; C’est l’addition des jours chômés qui fait grimper la facture: rien moins que 0,24% du PIB et 5 milliards d’euros pour les quatre jours fériés de mai. Déjà on constate que dans nombre d’entreprises le travail s’arrête le vendredi matin. Si on ajoute les jours fériés ( plus les jours de maladie surtout dans le public), on comprend que la productivité de l’économie française soit affectée par rapport à certains pays concurrents. Mais d’après certains instituts d’études très sérieux comme l’INSEE , le jours fériés seraient de nature à soutenir la croissance du fait de penses touristiques. Curieux raisonnement car de toute façon les dépense sosnt limitées par le pouvoir d’achat et il existe déjà suffisamment de jours de repos pour le dépenser. En fait les français travaillent environ 250 jours par an. Evidemment le plus grand handicap pour l’économie ce sont les 35 heures qui ont plombé brutalement la compétitivité, désorganisé les services publics et mécaniquement fait progressé la fiscalité ( du fait des embauches de fonctionnaires). Curieusement aucune formation politique ne propose clairement ni de supprimer des jours fériés et surtout de supprimer purement et simplement les «35  heures. Dans ce contexte d’immobilisme, il ne fauta guère s’étonner que la dépense publique représente 57% du PIB, qu’elle plombe la fiscalité , donc la compétitivité et l’emploi.

Supprimer deux jours fériés (Medef)

Supprimer deux jours fériés (Medef)

C’est la proposition du MEDEF pour aider la croissance, avec auusi la suppression du SMIC et la remise en cause des 35 heures. En fait il s’agit de lutter contre le manque de compétitivité qui prive la France de croissance et d’emplois. De fait les Français travaillent moins que leurs principaux concurrents et surtout le coût du travail est plus élevé en France  (le plus élevé d’Europe). Des propositions qui en l’état du contexte politique et social risque d’être mal accueillies par les institutionnels mais pas nécessairement par les français qui considèrent à juste titre que le gouvernement n’en faiat pas assez pour les entreprise et donc pour l’emploi. Par contre la promesse de créer 1 million d’emplois (promesse déjà faite par le Medef) risque de discréditer le plan, car ces annonces sont toujours très aléatoires et discutables L’ Essentiel de mettre les entreprises en condition de compétitivité pour créer des emplois, combien ? C’est autre chose.  Le Medef veut créer 1 million d’emplois, et pour cela il a un plan. Ce dernier devait être dévoilé mercredi 17 septembre, mais Les Echos se sont procurés le document avant. Le texte d’une cinquantaine de pages s’intitule « Comment relancer la dynamique de création d’emplois en France ? »  Il s’agit d’une liste de freins qui doivent être levés. Et chaque mesure est quantifiée en termes d’emplois. Le Medef propose notamment de supprimer de 2 jours fériés par an afin de gagner 1% de croissance. Il veut également déroger à la durée légale du travail ou au salaire minimum pour les « populations les plus éloignées de l’emploi » pour un gain d’emploi entre 50.000 et 100.000. Le Medef désire aussi un lissage des seuils sociaux. Il prévoit aussi, avec les salariés qui le désirent, l’ouverture des commerces le soir ou le weekend. Le patronat souhaite transformer le CICE en baisse de charges.  Ces propositions risquent de ne pas faire l’unanimité, notamment avec la semaine à haut risque pour l’exécutif – vote de confiance au Premier ministre et discours du Président – qui s’annonce. Mais il était temps que le Medef secoue ses branches professionnelles. Lors de l’Université d’été du Medef, Manuel Valls a demandé aux entreprises de trouver rapidement des accords sur les emplois et formations dans le cadre du pacte de responsabilité.  Aux grandes entreprises, Manuel Valls avait rappelé que ce seront d’abord les TPE qui bénéficieront de cette mesure. Le montant du dispositif, « 40 milliards d’euros » soit « 2 points du PIB », doit « répondre au problème du coût du travail ».

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol