Archive pour le Tag 'fera'

Voeux Macron : « J’ai fait une connerie »…. mais il en fera d’autres !

Voeux Macron : « J’ai fait une connerie »…. mais il en fera d’autres !

Des vœux du chef de l’État qui enfin reconnaît quand même l’immense erreur de la dissolution de l’Assemblée nationale de juin dernier et comme pour s’excuser de citer aussi le bordel démocratique qui secoue d’autres pays comme si cela pouvait constituer une excuse . Évidemment, il  lui fallait trouver un nouveau truc. C’est la promesse cette fois de référendums pour trancher sur « certains sujets ». Le seul problème c’est que la nature des sujets en cause n’a pas été précisée et que le seul sujet qui risque d’intéresser les Français c’est de savoir si on veut garder ou non ce chef de l’État immature.

Lors de ses voeux pour l’année 2025, le président Macron a déclaré que la dissolution de l’Assemblée nationale, qu’il a décidée en juin dernier, a apporté « davantage de divisions que de solutions » pour les Français.
Le chef de l’État a reconnu, lors de son allocution télévisée ce mardi 31 décembre, que la France comme l’Europe étaient confrontées à l’instabilité politique, avant d’esquisser une forme de regret sur la dissolution de l’Assemblé nationale décidée le 9 juin dernier.

La vérité c’est que le chef de l’État a perdu toute autorité tant au plan international qu’au plan national. En outre son champ d’action est réduit à l’extrême. Pour preuve, il n’a pas pu désigner le premier ministre qu’il souhaitait et Bayrou a su s’imposer. Une  une victoire toutefois à la Pyrus puisque le fameux socle commun de l’assemblée nationale s’est encore réduit comme peau de chagrin notamment du fait des affrontements entre éventuels futurs candidats à l’élection présidentielle: Attal, Édouard Philippe, Vauquiez , peut être Retailleau et d’autres.

En attendant la France est prise dans une sorte de piège de l’immobilisme et ne dispose pas de beaucoup d’espace de manœuvre au plan financier comme d’une façon générale au plan politique sauf peut-être pour une loi bidon concernant Mayotte . ( La reconstruction de l’ile   en deux ans !).

Macon a dû faire son acte de contrition. Ce qui évidemment dû lui coûtait énormément compte tenu de son égocentrisme pathologique.

« Je dois bien reconnaître que la dissolution à apporté davantage de divisions à l’Assemblée que de solutions pour les Français », a déclaré  Emmanuel Macron depuis le palais de l’Élysée.

Emmanuel Macron a encore expliqué qu’il avait décidé de dissoudre l’Assemblée nationale en juin dernier « pour éviter l’immobilisme qui menaçait ». « La lucidité et l’humilité commandent de reconnaître qu’à cette heure, cette décision a produit plus d’instabilité que de sérénité et j’en prend toute ma part ».

Qu’il lance encore une idée farfelue celle qui consiste encore une fois sollicitée le corps électoral pour de vagues référendums sur de vagues sujets. De quoi ajouter encore un peu plus de bordel au bordel existant surtout compte tenu par ailleurs de l’irresponsabilité de nombre de responsables politiques actuellement qui se comportent comme dans une cour maternelle et n’ont pas mesuré l’ampleur de la crise qui se prépare au plan économique, financier et social.

Macron toujours dans le flou qui le fera disparaître

Macron toujours dans le flou qui le fera disparaître

Une nouvelle fois Macon a choisi le flou qui pourrait bien faire disparaître le macronisme  du champ politique. Or l’ancien premier ministre, Gabriel Attal, a lui pris nettement position pour un désistement en faveur du candidat pouvant faire échouer celui du rassemblement national. Cette perspective de Front Républicain est encore aléatoire y compris à gauche.

 

Pour les macronistes  la ligne à adopter pour le second tour ne fait pas l’unanimité.  C’est nettement plus clair chez Gabriel Attal:« L’enjeu de ce second tour c’est de priver l’extrême droite d’une majorité absolue », a asséné le Premier ministre. Par exemple, dans la Somme, la candidate macroniste est arrivée en troisième position. Son retrait pourrait permettre au député sortant de la Somme François Ruffin de l’emporter face au RN. François Bayrou a ainsi suggéré son retrait. Mais cette ligne n’est pas celle d’Edouard Philippe, qui a appelé au « ni-ni », ni RN, ni France Insoumise.

Dans environ 250 circonscriptions, trois candidats sont sélectionnés pour le second tour. Mais ces triangulaires vont pour beaucoup se transformer en duel. Car le nouveau front populaire retirera ses candidats là où ils sont arrivés en troisième position. C’est ce qui pourrait permettre à Elisabeth Borne de l’emporter dans le Calvados face au candidat RN, qui a obtenu environ 36% des voix. Cette position place l’alliance de gauche dans une situation compliquée.

Autoroute A 69: On ne fera pas disparaître la voiture ( Béchu)

Autoroute A 69: On ne fera pas disparaître la voiture ( Béchu)

Christophe Béchu a de nouveau défendu ce projet A69. « On est dans un pays de 68 millions d’habitants où on a besoin de développer le rail, mais en même temps laisser penser qu’on fera disparaître la voiture sur le territoire, ce serait mentir aux gens », a déclaré Christophe Béchu. Et d’ajouter : « On a besoin d’avoir des voitures pour assurer la mobilité, la liberté des gens. »

Trois militants écologistes, dont Thomas Brail, ont interrompu leur grève de la faim, entamée il y a environ un mois, ainsi que leur grève de la soif, débutée lundi, pour s’opposer à ce projet d’autoroute. Cette décision fait suite à l’annonce d’une réunion qui rassemblera vendredi le préfet d’Occitanie, le préfet du Tarn, des élus du territoire et des représentants des associations concernées par le projet.

En attendant cette réunion, la préfecture d’Occitanie a assuré que « les opérations de défrichement importantes n’auront pas lieu ». « Cette pause doit permettre un apaisement avant la réunion de vendredi », a souligné le ministère des Transports.

Claude Guéant, ancien ministre de l’intérieur condamné à un an de prison qu’il ne fera pas

Claude Guéant, ancien ministre de l’intérieur condamné à un an de prison qu’il ne fera pas

 

 On se souvient que Claude Guéant avait mis directement dans sa poche dés s du ministère de l’intérieur. Ce qui avait amené une enquête et conduit à une procédure judiciaire. À l’issue de celle-ci, Claude Guéant reconnue, coupable a été condamné à un an de prison. Il faut d’abord noter que cette affaire judiciaire a traîné pendant des années grâce aux recours de la procédure. À comparer évidemment avec les comparutions immédiates de certains petits délinquants qui écopent de mesures d’emprisonnement à exécuter. La sanction restera cependant symbolique pour Claude Guéant par ailleurs impliqué dans d’autres affaires sulfureuses. Mais comme l’affaire a traîné l’intéressé a pris de l’âge, il a atteint le seuil fatidique des plus de 70 ans (il en a 74) et pourra donc bénéficier d’un aménagement de sa peine qui lui évitera de mettre un pied en prison. Finalement un peu comme dans la plupart des affaires politiques ou financières, le traitement judiciaire traîne tellement qu’au bout du compte on enterre le dossier (comme pour Chirac) ou bien on le fait traîner jusqu’à ce que la procédure soit éteinte (ce qui risque de se passer pour les affaires Sarkozy ou Tapie).

La réforme des retraites : le dossier qui fera plonger Macron

La réforme des retraites : le dossier qui fera plonger Macron

 

 

Le dossier des retraites pourrait bien être l’affaire qui mettra un terme à la carrière de Macron. En effet pour l’intéressé il est moins question d’harmoniser que de réduire de manière significative les pensions. Bref, de diminuer ce « pognon de dingue » que représente le modèle social. Certes pour l’équilibre futur des régimes de retraite, il est sans doute nécessaire d’engager des réformes progressives visant à davantage de justice et permettant de retrouver l’équilibre. Mais l’équilibre fondamental est celui qui existe dans le rapport actif retraité. Or le nombre  d’actifs, à niveau démographique constant, dépend essentiellement de la croissance. Si la croissance est proche par exemple de celle de l’Allemagne alors les comptes sociaux se rétablissent. À l’inverse, ils se dégradent  de manière inexorable faute de recettes suffisantes alors que les dépenses s’amplifient. Ce que ne dit pas Macron et les partisans du grand ménage des retraites c’est qu’ils veulent mettre en cause la retraite par répartition et inviter les Français à compléter le manque à gagner par capitalisation. En clair diminuer les retraites de 20 % au moins et laisser les assurances privées ouvrir le manque à gagner. En quelque sorte privatiser une partie des pensions. C’est dossier social sur lequel les Français  font le mois confiance à Emmanuel. l  Macron souhaite créer un régime de retraite universel, identique pour tous les actifs avec un système de cotisation par points indexé sur le revenu. Une reforme technique qui cache l’intention de diminuer le montant des pensions et d’en privatiser une partie.

« Marine Le Pen ne fera pas pus de 18% » en 2017 ( Jean Marie Le Pen)

« Marine Le Pen ne fera pas pus de 18% » en 2017  ( Jean Marie Le Pen)

 

Le vieux continue de se lâcher contre sa fille et considère qu’elle ne fera guère plus de 18% ( en fait autour de 25% au second tour de 2017 d’après les sondages) mais quelle ne sera pas élu évidemment. Il considère que Fn est mal préparé au pouvoir, comme lui, en 2002. Il y a évidemment des attaques claires contre sa fille dans cette interview mais aussi uen lucidité à savoirt que le FN est un parti d’opposition qui n’est pas préparé pour la gestion. Il est d’ailleurs  considéré comme tel par l’opinion puisque Plus de 75% des Français n’accordent pas de crédibilité au programme économique du FN.  Dans un entretien au journal Society, Jean-Marie Le Pen revient donc sur sa carrière et notamment sur sa qualification au deuxième tour de l’élection présidentielle de 2002 : « J’ai envisagé avec une certaine angoisse qu’il y ait une déferlante populiste. » Dans cette même interview, il dit aussi craindre « une déferlante démographique qui va submerger l’Europe en provenance d’Afrique ».  Jean-Marie Le Pen continue d’enchaîner les déclarations chocs dans la presse. Dans le nouveau numéro de l’hebdomadaire Society paru vendredi, l’ancien patron du FN se confie dans un long entretien. Il évoque l’actualité politique bien sûr, mais revient aussi sur sa carrière, et notamment sur son accession au second tour de l’élection présidentielle, le 21 avril 2002. Il avait déjà confié, à Serge Moati entre autres, ses doutes dans l’entre-deux-tours du scrutin. A Society, il admet plus clairement avoir eu peur de prendre le pouvoir. « En 2002, c’est vrai, j’ai envisagé avec une certaine angoisse qu’il y ait une déferlante populiste », affirme-t-il avant d’expliquer : « Je ne suis pas spécialement un homme politique qui a la réputation d’être peureux mais je sais évaluer le danger. Quand vous vous retrouvez dans l’hypothèse d’être président de la République alors que vous n’avez pas l’appareil pour le faire, vous ne trouvez pas que ça puisse susciter légitimement une impression d’angoisse? Si ce n’est pas le cas, c’est que vous êtes un branleur. » A travers ses mots, il cible ses équipes de l’époque, et notamment Marine Le Pen, qui débutait son ascension au sein du parti.




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