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Engie: remise moyenne de 100 euros pour les moins favorisés

 

 

Engie: remise moyenne de 100 euros pour les moins favorisés

 

 

Sans doute pour échapper aussi à une taxe sur les superprofits , Engie va accorder en novembre une remise de 100 euros en moyenne par client bénéficiaire du chèque énergie, a indiqué la directrice générale du groupe Catherine MacGregor dans un entretien publié jeudi sur le site du Parisien . La remise sera proportionnelle au montant du chèque énergie, et le coût de cette mesure s’élève à 90 millions d’euros pour Engie, pour 880.000 clients concernés, a confirmé le groupe à l’AFP.

«Nous sommes conscients de la réalité inflationniste et soucieux des difficultés rencontrées par nos clients, que ce soient les ménages ou les industriels», a souligné Catherine MacGregor dans Le Parisien. Le groupe, qui doit présenter ses résultats vendredi, a également mis en place un fonds de soutien de 60 millions d’euros à destination des petites et moyennes entreprises, «qui va leur permettre d’avoir accès à des garanties dont elles ont besoin pour acheter de l’énergie», voire à «des facilités de paiement quand elles peinent à payer les factures».

Ce geste ne répond pas au débat lancé au Parlement en juillet sur la mise en place d’une taxe sur les surprofits réalisés par les grands groupes, affirme la dirigeante. TotalEnergies avait annoncé par exemple une remise de 20 centimes d’euros par litre de carburant à la pompe entre septembre et novembre dans toutes ses stations-service, puis de 10 centimes par litre sur le reste de l’année.

 


Grand médias : Les climatosceptiques favorisés (Sciences et avenir)

Grand médias : Les climatosceptiques favorisés (Sciences et avenir)

 

Sciences et avenir rende compte d’une étude qui montre que les climatosceptiques ont bénéficié d’une grande bienveillance dans les grands médias. Pas tellement étonnant dans la mesure où ces grands médias sont détenus désormais par des hommes d’affaires qui évidemment privilégient le business par rapport à la problématique environnementale. Article :

 

« Une étude publiée en août 2019 dans le journal scientifique Nature Communications a mis en évidence que les médias citaient préférentiellement les climatosceptiques, au détriment des climatologues les plus reconnus. Pour cette étude, les chercheurs ont analysé environ 100.000 articles de la presse papier ou web publiés entre 2000 et 2016, cherchant les citations et les noms de plusieurs centaines de climatologues de premier plan et un nombre égal d’universitaires, entrepreneurs et hommes politiques doutant du réchauffement de la planète ou attribuant la hausse des températures à des causes « naturelles« .

Plus de visibilité pour les climatosceptiques

« Nous avons découvert que la visibilité des négateurs du climat a été 49% plus importante que celle du changement climatique« , ont écrit les auteurs de l’étude dirigée par Alexander Petersen, de l’université de Californie à Merced.

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Même au sein d’une sélection de médias de premier plan comme le New York Times, le Guardian ou le Wall Street Journal, ces négateurs du climat ont été cités un peu plus souvent. Alors que ces médias citent principalement les climatologues pour les questions purement scientifiques, ils citent plus souvent les climatosceptiques pour des citations non-scientifiques, ce qui finalement fait que ces derniers sont globalement plus cités. Selon les auteurs, cela est fait principalement pour rejeter leurs arguments, mais cela peut aussi être contre-productif.

Une disproportion médiatique qui diminue la crédibilité des climatologues

Selon les données de la science, le monde a déjà gagné +1°C depuis l’ère préindustrielle, en raison des émissions de gaz à effet de serre généré par l’activité humaine, et les climatologues mettent en garde depuis longtemps contre les menaces que ce réchauffement, qui continue pose, à l’humanité. « Ceux qui sont à contre-courant en matière de changement climatique ont réussi à organiser une voix forte au sein de la communication politique et scientifique« , ont noté les auteurs de l’étude. « Une telle disproportion dans la visibilité médiatique des arguments et des acteurs à contre-courant dénature la répartition des opinions des experts » et « sape » la crédibilité des climatologues, ont-ils ajouté.

Ce déséquilibre est en plus renforcé par l’effet amplificateur des réseaux sociaux comme Facebook et Twitter, selon l’étude. Depuis la publication en octobre 2018 d’un rapport alarmant du groupe d’experts de l’ONU sur le climat (Giec), la question du réchauffement a pris de l’importance dans les préoccupations du grand public et les manifestations appelant à l’action climatique se sont multipliées. Certains gouvernements occidentaux se sont engagés à la neutralité carbone d’ici 2050. Mais les médias traditionnels continuent malgré tout à servir de plate-forme à des affirmations douteuses voire discréditées sur le changement climatique. »

Les plus modestes favorisés en 2016 !!

 Les plus modestes favorisés en 2016 !!

C’est en tout cas ce qu’affirme une enquête un peu superficiel de BFM qui reprend les arguments de l’INSEE. L’objectif de l’INSEE et bien entendu de montrer que les inégalités sociales ne progressent pas bien au contraire. Éléments de l’argumentation de l’INSEE:

«  Contrairement à une idée reçue, ce sont les ménages les plus modestes qui ont connu en 2016 la plus forte hausse de niveau de vie. L’augmentation a en effet été de +1,4 et +1,5% pour les trois premiers déciles, soit les 30% de Français les plus modestes. Des ménages qui ont bénéficié en 2016 de la mise en place de la prime d’activité en remplacement du RSA activité et de la prime pour l’emploi. Les ménages de niveau de vie intermédiaire, soit ceux autours de 20.520 euros par an par personne, ont aussi connu une progression grâce aux baisses d’impôts liées à l’augmentation des plafonds.  Autre idée reçue: ce ne sont pas les hauts revenus qui ont le plus progressé, du moins en 2016. En moyenne, les 20% des ménages les plus aisés ont vu leur niveau de vie stagner en 2016. Ils ont payé davantage d’impôts car leurs revenus ont augmenté l’année précédente. Et ils ont en outre touché moins d’allocations familiales avec l’instauration mi-2015 de la modulation sous condition de ressources. Et les seuls perdants de l’année 2016 sont… les 5% de Français qui ont le plus haut niveau de vie. « Leur niveau de vie diminue en raison de la baisse
notable des revenus du patrimoine, en particulier ceux générés par les assurances-vie du fait de la baisse des taux obligataires », explique l’Insee dans son étude.  L’INSEE (et BFM) oublie seulement qu’on ne mesure pas l’évolution pouvoir d’achat de la même manière selon les niveaux de revenus en effet cette évolution est mesurée par un indice des prix à la fois inadaptée et obsolète qui ne tient pas compte de l’évolution de la structure de consommation des ménages. En gros les ménages les moins aisés consomment à peu près la totalité de leurs revenus chaque mois. Tandis que les ménages les plus aisés n’en consomment qu’une partie qui ne subit pas l’inflation de la même manière ou même pas du tout puisque l’épargne peut rapporter. Comme quoi avec les mêmes chiffres on peut démontrer tout le contraire. En tout cas on a un peu du mal à comprendre pourquoi les inégalités ne cessent de croître

 

 

 

Revenu disponible des ménages par habitant dans l’UE en 2014 

Revenu médian1

en euros

en SPA2

Allemagne

19 733

19 299

Autriche

23 211

21 662

Belgique

21 705

19 591

Bulgarie

3 311

6 754

Chypre

14 400

15 762

Croatie

5 225

7 740

Danemark

27 861

19 987

Espagne

13 269

14 195

Estonie

7 217

9 241

Finlande

23 702

19 250

France

21 199

19 307

Grèce

7 680

8 610

Hongrie

4 512

7 559

Irlande

19 477

15 997

Italie

15 759

15 274

Lettonie

5 203

7 320

Lituanie

4 823

7 595

Luxembourg

34 320

28 271

Malte

12 787

15 501

Pays-Bas

20 891

18 805

Pologne

5 336

9 560

Portugal

8 229

10 125

Rép. tchèque

7 622

11 091

Roumanie

2 195

4 090

Royaume-Uni

20 584

16 933

Slovaquie

6 809

9 806

Slovénie

11 909

14 328

Suède

27 120

20 614

UE

15 777

nd

  • nd : donnée non disponible.
  • 1. Revenu par unité de consommation.
  • 2. Standard de pouvoir d’achat : unité monétaire artificielle utilisée pour neutraliser les différences de niveaux de prix entre les pays.
  • Note : revenu annuel.
  • Source : Eurostat.

Sondage popularité Macron : nette baisse chez les retraités et les moins favorisés

Sondage popularité  Macron : nette baisse chez les retraités et les moins favorisés

 

 

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que la maladresse de Macron chez les retraités va lui couter cher. En effet cette catégorie qui représente 30 à 40% des votants selon les élections avant massivement soutenu Macron aux présidentielles. Mais depuis l’annonce de la hausse de la SCG qui a touché beaucoup plus de retraités que prévu , c’est la chute de popularité dans cette catégorie ; D’autant plus que Macron a justifié cette augmentation par la nécessité d’opérer un transfert vers les jeunes générations . De quoi surprendre quand on connait ce qu’ont été les conditions sociales très dures de la plupart des retraités. Des catégories qui ont souvent travaillé le double de temps par rapport aux actifs actuels et avec des salaires  bien inférieurs en francs constants. Cette opposition des générations n’a guère été appréciée surtout quand les médias ont affirmé que les retraités gagnent davantage que les actifs. Ce qui est faux puisque la retraite moyenne tourne autour de 1200 euros et le salaire moyen autour de 1750 euros.  Du coup, les bonnes opinions deviennent minoritaires chez les plus de 65 ans à l’égard de Macron. . Pourtant, cette catégorie constituait un socle électoral fort au moment de la campagne présidentielle. La hausse de la CSG chez les retraités a contribué à l’érosion de la cote de popularité de Macron alors que des milliers de seniors ont manifesté la semaine dernière pour défendre leur pouvoir d’achat. Dans la population des moins de 35 ans, la part des bonnes opinions est également en baisse de 6 points (42%). Les moins favorisé n’ont pas particulièrement appréciés d’être aussi mis à l’index dans le cadre de la loi sur le code du travail ou du contrôle des chômeurs. Elles ont aussi subi de plein fouet les hausses de fiscalité (carburant par exemple)).  Dans ces  catégories à bas revenus, la chute est vertigineuse. Seuls 21% des interrogés ont une opinion favorable pour l’ancien ministre de l’Economie, c’est 9 points de moins qu’en février et 25 points de moins qu’en décembre.

Espérance de vie en France : treize ans en plus pour les plus favorisés

Espérance de vie en France : treize ans en plus pour les plus favorisés

D’après l’Insee, l’écart  d’espérance de vie est de 13 ans  entre  5 % d’hommes les plus riches des 5 % les plus pauvres. Pour un niveau de vie moyen de 5 800 euros par mois, un homme peut espérer s’éteindre à 84 ans et quelques. Un seuil qui tombe à moins de 72 ans dès 470 euros par mois. Aux alentours de 1 000 euros, 100 euros supplémentaires représentent un gain de 0,9 an. L’écart est moins important pour les femmes, mais ne disparaît pas pour autant. L’espérance de vie des plus modestes s’élève à 80 ans, contre un peu plus de 88 ans pour les mieux loties. Il est toutefois intéressant de noter qu’à partir de 1 300 euros mensuels, les femmes dépassent les hommes, même les plus aisés. Cela tient, selon l’Insee, à « des comportements plus favorables à une bonne santé »« un meilleur suivi médical, en particulier pendant la vie féconde », et « une durée de travail plus faible ». En moyenne, les disparités entre les sexes tendent néanmoins à se réduire. . « Le niveau de vie en lui-même, en facilitant la prévention et l’accès aux soins, peut être la cause directe d’une bonne santé », note l’Insee. D’après une enquête de 2014, un adulte sur dix, parmi les 20 % les plus pauvres, avait renoncé à consulter un médecin pour des raisons financières. Mais causes et conséquences s’entremêlent souvent : une mauvaise santé peut aussi entraîner un faible niveau de vie en pesant sur les études et l’emploi. Pour finir, l’espérance de vie varie assez nettement d’une région à l’autre. Toutes choses égales par ailleurs, c’est-à-dire en tenant compte du sexe, de l’âge, du niveau de vie et de la catégorie sociale, l’Occitanie et les Pays de la Loire se situent en tête du classement. Ce sont les Hauts-de-France qui finissent en queue de peloton.




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