Archive pour le Tag 'favori'

Législatives : le RN toujours favori

 

 

Les sondages se multiplient et le RN confirme toujours son statut de favori avec autour de 35 % des intentions de vote, la gauche frise les 30 ans et l’actuelle majorité est autour de 20 %. Cela ne permettrait pas au rassemblement national de disposer de la majorité absolue. Autant dire que compte tenu des divergences entre ces trois blocs le pays risque d’être ingouvernable. À noter qu’il faut cependant sans doute relativiser la traduction en nombre de sièges cartes à peu près tous les sondages se fondent sur un échantillon national alors que les situations peuvent être particulières dans chaque circonscription surtout avec les conditions de report des voix au second tour. On pourrait donc assister encore à des surprises.

. Selon un sondage exclusif Elabe pour BFMTV et La Tribune Dimanche, le RN est à 36% des intentions de vote, le Nouveau Front populaire à 27%), tandis que l’actuelle majorité pointe à la troisième place dans les intentions de vote (20%).

À partir de ce rapport de forces, Elabe a établi une projection en sièges, qui est à prendre avec distance, tant que le premier tour n’a pas eu lieu. Le Rassemblement national et ses alliés obtiendraient donc entre 250 et 280 députés, le Nouveau Front populaire et les divers gauche entre 150 et 170, et la majorité entre 90 et 110, et LR et les divers droite et centre, entre 35 et 45. Ce qui augurerait a minima d’une « solide majorité relative » pour le RN, selon Bernard Sananès, président de l’institut de sondages.

Par ailleurs, aujourd’hui, six citoyens sur dix se disent certains d’aller voter dimanche prochain. La participation pourrait même atteindre 62 à 64% selon les projections de notre partenaire. Ce serait un record pour des législatives depuis 2002.

Sondage Brésil : Lula favori

Sondage Brésil : Lula favori

Lula remporterait le second tour de la présidentielle avec 53% des votes exprimés contre 47% pour le président sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro, le 30 octobre, selon le sondage Datafolha publié vendredi.

Ce sondage, le premier à être publié par l’institut de référence depuis le premier tour du 2 octobre qui a vu Luiz Inacio Lula da Silva arriver en tête avec 48% des votes exprimés devant Jair Bolsonaro à 43%, a une marge d’erreur de + ou – 2 points de pourcentage.

Mais les sondages ont été très critiqués au Brésil. Reste que le ralliement des centristes à Lula rend ce pronostic assez vraisemblable.

Macron, le favori des patrons

Macron, le favori des patrons

 D’après un sondage OpinionWay auprès des patrons pour Legalstart,  dès le premier tour, le président sortant, Emmanuel Macron, arrive largement en tête des intentions de vote avec 52%. Très loin derrière, les autres candidats se partagent les miettes. Le candidat d’extrême-droite Eric Zemmour récolte 10% des intentions de vote, suivi par le candidat de gauche Jean-Luc Mélenchon (LFI) et celle de droite Valérie Pécresse (LR), qui sont à égalité avec 9%.

Plus loin, la candidate d’extrême-droite Marine Le Pen se classe 5è avec 7% des intentions de vote, tandis que l’écologiste Yannick Jadot est crédité de 5%. Aucun autre candidat ne dépasse ensuite les 3% : Jean Lassalle (3%), Fabien Roussel (2%), Nathalie Arthaud (1%), Philippe Poutou (1%), Anne Hidalgo (1%) et Nicolas Dupont-Aignan (0%) ferment la marche.

Par rapport à 2017, Emmanuel Macron gagne 20 points : les entrepreneurs ont donc une perception positive de son bilan. Le président sortant est perçu, pour 31% des sondés, comme le candidat soutenant le plus les entrepreneurs, largement devant Valérie Pécresse (5%). Pour cette catégorie de la population, les priorités du prochain quinquennat sont la fiscalité des entreprises (36% des sondés en font le sujet prioritaire), suivi par l’industrie et la relocalisation (24%), la simplification des réglementations (16%), la simplification du code du travail (7%), et la formation des salariés (6%).

Ce sondage montre donc que le vote des entrepreneurs diffère sensiblement de celui de la population globale. Les derniers sondages placent Emmanuel Macron autour de 28%, suivi par Marine Le Pen entre 20% et 22%, Jean-Luc Mélenchon autour de 15%, et les autres en-dessous de 10%.

 

2022-Bertrand favori au congrès des  » Républicains ».

2022-Bertrand favori au congrès des  » Républicains ». 

 

Une enquête diffusée dans le Parisien avait déjà montré que Xavier Bertrand avait la meilleure cote de popularité parmi les sympathisants des républicains. Xavier Bertrand est considéré par 78 % de cette population comme le meilleur candidat pour s e qualifier au  second tour. Valérie Pécresse obtient 65 % et Michel Barnier 35 %. « Quel que soit l’adversaire testé, Xavier Bertrand est nettement le meilleur candidat républicain d’après Frédéric Dabi, directeur général de l’Ifop.

Xavier Bertrand devance, ses rivaux de droite : 58 points devant Pécresse face à Jean-Luc Mélenchon, 48 face à Anne Hidalgo, 53 face au candidat écologiste, 55 face à Emmanuel Macron, 59 face à Marine Le Pen et 56 face à Éric Zemmour. Cette large avance au sein de sa famille politique se vérifie également dans les segments électoraux traditionnels de la droite : Bertrand « surperforme », selon Dabi, chez les retraités et les personnes âgées, les chefs d’entreprise, les cadres supérieurs et les commerçants.

Pour sa part, chez les sympathisants LR, la présidente de la Région Île-de-France devance Michel ­Barnier, quoique de façon nettement moins spectaculaire (entre 1 et 7 points d’écart seulement) face à Anne Hidalgo, au candidat écologiste et à Marine Le Pen. Mais pas contre Jean-Luc Mélenchon (face auquel l’ex-commissaire européen se situe 11 points devant Pécresse), Emmanuel Macron (3 points) et Éric Zemmour (8 points). « C’est peut-être le signal faible d’un doute sur la volonté de Valérie Pécresse d’aller au bout », postule Dabi. Et, aussi, de l’estime dont jouit auprès des sympathisants de droite Michel Barnier, désormais positionné comme le troisième homme de cette compétition interne.

Une réserve de taille toutefois en l’état des sondages actuels Bertrand ne serait pas à même de l’emporter face à Emmanuel Macron, pour 55 % des Français, et encore moins Valérie Pécresse. Des sondages cependant à relativiser dans la mesure où l’expérience démontre que des sondages à sept mois d’une élection peuvent être largement contredits au moment de l’échéance électorale.

Méthodologie

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 23 au 24 septembre 2021.

Bertrand favori au congrès des « Républicains. »

Bertrand favori au congrès des « Républicains. »

 

Une enquête diffusée dans le Parisien avait déjà montré que Xavier Bertrand avait la meilleure cote de popularité parmi les sympathisants des républicains. Xavier Bertrand est considéré par 78 % de cette population comme le meilleur candidat pour s e qualifier au  second tour. Valérie Pécresse obtient 65 % et Michel Barnier 35 %. « Quel que soit l’adversaire testé, Xavier Bertrand est nettement le meilleur candidat républicain d’après Frédéric Dabi, directeur général de l’Ifop.

Xavier Bertrand devance, ses rivaux de droite : 58 points devant Pécresse face à Jean-Luc Mélenchon, 48 face à Anne Hidalgo, 53 face au candidat écologiste, 55 face à Emmanuel Macron, 59 face à Marine Le Pen et 56 face à Éric Zemmour. Cette large avance au sein de sa famille politique se vérifie également dans les segments électoraux traditionnels de la droite : Bertrand « surperforme », selon Dabi, chez les retraités et les personnes âgées, les chefs d’entreprise, les cadres supérieurs et les commerçants.

Pour sa part, chez les sympathisants LR, la présidente de la Région Île-de-France devance Michel ­Barnier, quoique de façon nettement moins spectaculaire (entre 1 et 7 points d’écart seulement) face à Anne Hidalgo, au candidat écologiste et à Marine Le Pen. Mais pas contre Jean-Luc Mélenchon (face auquel l’ex-commissaire européen se situe 11 points devant Pécresse), Emmanuel Macron (3 points) et Éric Zemmour (8 points). « C’est peut-être le signal faible d’un doute sur la volonté de Valérie Pécresse d’aller au bout », postule Dabi. Et, aussi, de l’estime dont jouit auprès des sympathisants de droite Michel Barnier, désormais positionné comme le troisième homme de cette compétition interne.

Une réserve de taille toutefois en l’état des sondages actuels Bertrand ne serait pas à même de l’emporter face à Emmanuel Macron, pour 55 % des Français, et encore moins Valérie Pécresse. Des sondages cependant à relativiser dans la mesure où l’expérience démontre que des sondages à sept mois d’une élection peuvent être largement contredits au moment de l’échéance électorale.

Méthodologie

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 23 au 24 septembre 2021.

Bertrand favori au congrès des « Républicains ».

Bertrand favori au congrès des républicains.

 

Une enquête diffusée dans le parisien avait déjà montré que Xavier Bertrand avait la meilleure cote de popularité parmi les sympathisants des républicains. Xavier Bertrand est considéré par 78 % de cette population comme le meilleur candidat pour ce qualifier second tour. Valérie Pécresse obtient 65 % et Michel Barnier 35 %. « Quel que soit l’adversaire testé, Xavier Bertrand est nettement le meilleur candidat républicain d’après Frédéric Dabi, directeur général de l’Ifop.

 

Xavier Bertrand devance, ses rivaux de droite : 58 points devant Pécresse face à Jean-Luc Mélenchon, 48 face à Anne Hidalgo, 53 face au candidat écologiste, 55 face à Emmanuel Macron, 59 face à Marine Le Pen et 56 face à Éric Zemmour. Cette large avance au sein de sa famille politique se vérifie également dans les segments électoraux traditionnels de la droite : Bertrand « surperforme », selon Dabi, chez les retraités et les personnes âgées, les chefs d’entreprise, les cadres supérieurs et les commerçants.

Pour sa part, chez les sympathisants LR, la présidente de la Région Île-de-France devance Michel ­Barnier, quoique de façon nettement moins spectaculaire (entre 1 et 7 points d’écart seulement) face à Anne Hidalgo, au candidat écologiste et à Marine Le Pen. Mais pas contre Jean-Luc Mélenchon (face auquel l’ex-commissaire européen se situe 11 points devant Pécresse), Emmanuel Macron (3 points) et Éric Zemmour (8 points). « C’est peut-être le signal faible d’un doute sur la volonté de Valérie Pécresse d’aller au bout », postule Dabi. Et, aussi, de l’estime dont jouit auprès des sympathisants de droite Michel Barnier, désormais positionné comme le troisième homme de cette compétition interne.

Une réserve de taille toutefois en l’état des sondages actuels Bertrand ne serait pas à même de l’emporter face à Emmanuel Macron, pour 55 % des Français, et encore moins Valérie Pécresse. Des sondages cependant à relativiser dans la mesure où l’expérience démontre que des sondages à sept mois d’une élection peuvent être largement contredits au moment de l’échéance électorale.

Méthodologie

L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1.002 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 23 au 24 septembre 2021.

Olivier Faure : favori au PS ou le retour de la langue de bois et du déni de réalité

Olivier Faure : favori au PS ou le retour de la langue de bois et du déni de réalité

On se demande si le PS n’a pas décidé, lui aussi comme les Républicains, de se détruire. En effet il apparaîtrait que la candidature d’Olivier Faure tienne la corde pour occuper le poste de premier secrétaire du parti. Un candidat sans doute écouté à l’intérieur mais complètement inaudible dans l’opinion publique tellement il pratique la langue de bois et le déni de réalité. Pas étonnant qu’il soit soutenu notamment par Martine Aubry. Produit de l’oligarchie, sans charisme, sans ligne claire autre que les valeurs refuge très virtuelles du parti socialiste (il est passé de Rocard à Aubry !). , Olivier Faure est sans doute le candidat idéal pour enfoncer définitivement le parti socialiste et le condamner  à une cure d’opposition d’au moins une vingtaine d’années. « Je vais prendre une position qui est de soutenir Olivier Faure […] Il souhaite remettre le parti au travail », a lancé jeudi Martine Aubry depuis son fief de Lille. L’ex-première secrétaire du PS, dont la voix reste écoutée au sein de son parti, est un soutien de poids pour Olivier Faure. Ce dernier connaît bien Martine Aubry, puisqu’il en a été l’un des conseillers au ministère de l’Emploi de 1997 à 2000. Ce soutien vient en tout cas appuyer la dynamique positive que connaît la candidature du patron des députés PS. D’autres proches, comme la présidente de la région Occitanie Carole Delga, l’ancien ministre de l’Intérieur Matthias Fekl, les maires de Rennes et Nantes Nathalie Appéré et Johanna Rolland en ont fait de même. Les discussions sont également bien engagées avec le collectif « Le Manifeste », composé d’une trentaine de cadres dont la députée Valérie Rabault et les patrons des importantes fédérations de Haute-Garonne et de Paris, Sébastien Vincini et Emmanuel Grégoire. Ce collectif, qui n’excluait pas de présenter un candidat, est à l’origine d’une tribune publiée dans le JDD le week-end dernier. « Je me retrouve largement » dans ses propositions, a commenté jeudi sur Facebook Olivier Faure, qui rencontrait ce vendredi à Toulouse Sébastien Vincini.

Reprise de Commerzbank : BNP favori

Reprise de Commerzbank : BNP favori

 

L’Etat allemand qui possède encore 15% du capital de la banque, serait favorable à une fusion de Commerzbank, dont l’Etat allemand est actionnaire, avec BNP Paribas, rapporte jeudi l’hebdomadaire WirtschaftsWoche, qui cite des sources financières. Les discussions au ministère des Finances en sont à un stade préliminaire et le gouvernement allemand n’abordera pas la question avec la direction de Commerzbank avant novembre, poursuit le journal. BNP Paribas et Commerzbank ont refusé de commenter ces informations. Personne n’était immédiatement disponible au ministère allemand des Finances pour faire un commentaire. Deux sources proches du dossier ont dit mercredi à Reuters que le groupe bancaire italien UniCredit avait récemment exprimé au gouvernement allemand son intérêt pour une fusion avec Commerzbank. Interrogé sur l’intérêt d’Unicredit, un porte-parole du ministère a déclaré: « Des représentants du gouvernement sont contactés par des investisseurs financiers sur une série de sujets. » « Nous avons toujours dit que le gouvernement ne voulait pas conserver sa part (de Commerzbank) indéfiniment et qu’il souhaitait obtenir un bon résultat pour le contribuable », a-t-il ajouté.

Edouard Philippe favori comme Premier ministre

Edouard Philippe favori  comme  Premier ministre

Selon la presse,   Edouard Philippe, maire « les Républicains » (LR) du Havre et député de Seine-Maritime tiendrait la corde pour devenir le Premier ministre d’Emmanuel Macron une fois la passation des pouvoirs finalisée avec François Hollande le 14 mai. Selon des sources diverses, parmi la liste des « éligibles »,  ce très proche d’Alain Juppé serait celui qui détiendrait le plus d’atouts aux yeux du nouveau président pour occuper le poste : il est « jeune », relativement « nouveau » en politique, tout en ayant déjà une expérience de parlementaire et d’élu local, plutôt classé centriste… et ancien du PS. . Édouard Philippe a été membre dans sa jeunesse du parti socialiste et avait  soutenu Michel Rocard avant de rendre sa carte et de migrer vers la droite, notamment Alain Juppé, dont il rejoint le cabinet. Il a d’ailleurs gardé beaucoup d’amis à gauche, il est aussi proche de Jacques Attali… comme Emmanuel Macron.

 

Sondage : Valls favori à gauche

Sondage : Valls favori à gauche

 

 

Valls progresse dans l’opinion comme futur candidat du PS par contre il est toujours scotché autour de 10% pour l’élection présidentielle. Près de la moitié des sympathisants de gauche (45%) interrogés après le renoncement de François Hollande à un second mandat disent souhaiter que Manuel Valls soit le candidat du PS à l’élection présidentielle de 2017, selon un sondage IFOP pour le Journal du dimanche.  Ils n’étaient que 38% à le désigner parmi une liste de candidats avant l’annonce du président de la République jeudi. La progression du Premier ministre se retrouve de la même manière chez les sympathisants du Parti socialiste, qui disent à 61% souhaiter qu’il soit le candidat désigné du PS après l’annonce du président, contre 54% auparavant. La partie du sondage effectuée avant l’annonce de François Hollande l’a été du 28 novembre au 1er décembre, et celle consécutive à son annonce les 2 et 3 décembre.

SNCM : maintenant Corsica Maritima favori ?

SNCM : maintenant Corsica Maritima favori ?

Après l’abandon du projet de reprise de la SNCM par la STEF,  il se pourrait que corsa Corsica maritime tienne la corde comme candidat repreneur  L’avantage de ce projet c’est qu’il est surtout soutenu et animé par les acteurs économiques locaux un peu sur le modèle de Brittany ferry en Bretagne. Un modèle qui a connu des difficultés mais qui a réussi  à les  dominer parvenant même à présenter sur le long terme un bilan économique très satisfaisant. Le tribunal de commerce de Marseille examinera mercredi les offres de reprise dans un contexte nouveau après le retrait, vendredi dernier, du spécialiste du froid STEF, longtemps favori mais dont l’offre n’a pas réussi à obtenir le feu vert de la Commission européenne. Baja Ferries, qui devait reprendre les liaisons de la SNCM sur le Maghreb dans l’offre conjointe avec STEF, censée se concentrer sur celles avec la Corse, a finalement décidé de se positionner sur l’ensemble des activités de la compagnie. Dans un courrier du 9 octobre, dont Reuters a obtenu copie, Daniel Berrebi, président de Baja Ferries, affirme que son groupe est en mesure de « présenter seul (son) offre ». L’armateur français basé à Miami dit avoir obtenu un « financement de 50 millions de dollars auprès de financeurs externes » qui viennent s’ajouter à la « trésorerie conséquente de Baja ferries », de l’ordre de 29 millions d’euros. Il demande toutefois un « nouveau et bref délai d’amélioration des offres » si la justice estime mercredi ne pas pouvoir étudier son offre. Les deux autres offres en concurrence sont celles du transporteur corse Patrick Rocca et de la société d’investissement Med Partners de Christian Garin, ancien président du port de Marseille. Les administrateurs judiciaires ont préconisé de ne retenir que les offres corses dans un rapport servant de base à la réflexion du tribunal, qui n’est pas tenu de suivre cet avis.  De source proche du dossier, on estime que Corsica Maritima a une longueur d’avance sur ses concurrents. « Aujourd’hui, Baja n’est clairement plus dans la course puisque les offres ne sont pas améliorables durant le report voulu par la justice », dit-elle. « Il lui faut absolument une décision du tribunal qui relance la procédure parce que, en l’état, son offre n’est pas acceptable. » Le président de Corsica Maritima, François Padrona, reconnaît être parti « avec beaucoup de retard sur certains qui sont dans le circuit depuis plus d’un an ».   »Mais le cahier des charges était au départ inabordable, notamment en raison des amendes européennes qui pesaient sur la compagnie », a-t-il déclaré à Reuters. Les offres de tous les repreneurs potentiels sont en effet conditionnées à la résolution des contentieux européens qui pèsent lourdement sur l’avenir de la compagnie maritime, dont l’actionnaire majoritaire est Trandev, coentreprise entre Veolia et la Caisse des dépôts. Il s’agit des quelque 440 millions d’euros d’aides publiques accordées dans le passé par l’Etat que la Commission européenne juge illégales et dont elle réclame le remboursement, sauf s’il y a cessation d’activité et reprise de l’entreprise dans un périmètre plus réduit, de manière à préserver la concurrence.

Sondage : Sarkozy toujours favori à l’UMP

Sondage : Sarkozy toujours favori à l’UMP

Le mois dernier, l’ex-président avait la préférence de 31% des sondés, mais était talonné par le maire de Bordeaux (29%),.Nicolas Sarkozy conforte son avance sur Alain Juppé en dépit de sa mise en examen, 38% des participants à une primaire UMP le choisissant, contre 32% pour Alain Juppé, selon un sondage LH2- »Le Nouvel Observateur » diffusé vendredi.. L’ex-Premier ministre François Fillon, à l’inverse, perd du terrain (8%, -2 points), à égalité avec Bruno Le Maire (8%, stable). Tous les autres candidats, de Laurent Wauquiez à Xavier Bertrand, ne font guère plus que de la figuration. Si la cote d’influence de Nicolas Sarkozy mesurée par le même sondage auprès des sympathisants de l’UMP est en baisse de cinq points, elle reste très élevée à 74%. En revanche, il perd des points au centre-droit, seulement 31% (-9 points) des sympathisants de l’UDI et 23% (-9 points) de ceux du MoDem souhaitant une influence accrue de l’ancien président.   »Le retour médiatique de Nicolas Sarkozy a intensifié la compétition pour le leadership de l’UMP et seules les personnalités politiques de premier plan semblent y résister », commente Thomas Genty, pour l’institut LH2. « Alors que l’ancien président se taille la part du lion du choix des sympathisants de l’UMP et qu’Alain Juppé résiste difficilement, les autres candidats semblent nettement distancés. » Nicolas Sarkozy a été mis en examen début juillet pour trafic d’influence actif, corruption active et recel de violation de secret professionnel à l’issue d’une garde à vue sans précédent pour un pré

 

Présidentielle 2017 : Juppé nettement favori face à Marine Le Pen

Présidentielle 2017 : Juppé nettement  favori face à  Marine Le Pen

Juppé, cest pas vraimenet nouveau , ni vraimenet très sexy mais les français semblent fatigués des calemots qui font le contraire de ce qu’ils disesnt. En cas d’un face-à-face entre Alain Juppé et Marine Le Pen, 49% des sondés choisiraient donc  le maire UMP de Bordeaux, 21% la présidente du Front national et 30% ne se prononceraient pour « aucune de ces deux personnalités », selon un sondage Ifop  publié ce dimanche 15 juin par Atlantico. Nicolas Sarkozy ferait moins bien. L’ancien président recueille les faveurs de 41% des sondés, contre 19% pour Marine Le Pen. La part des sondés ne se prononçant pour aucun des deux augmente alors de 10 points, à 40%. François Fillon recueille quant à lui 44%, contre 22% pour Mme Le Pen (34% pour aucun des deux). Autre fait notable à droite, Nicolas Sarkozy est celui qui recueille le plus de soutien parmi les sondés se disant proches du FN (17%, contre 80% pour Marine Le Pen), nettement plus que Alain Juppé (5%-93%) et François Fillon (7%-91%). Manuel Valls devance Nicolas Sarkozy et François Fillon avec 45%, mais face au Premier ministre, les soutiens de Marine Le Pen s’élèvent à 24% (31% pour aucun des deux). Enfin, François Hollande ne recueille que 33%, contre 29% pour la présidente du FN (38% pour aucun des deux).

 

Sondage : Sarkozy favori pour 70% à droite

Sondage : Sarkozy favori pour 70% à droite  

 

Nicolas Sarkozy écrase la concurrence et reste le grand favori des sympathisants de droite pour la présidentielle 2017, selon un sondage BVA pour i>Télé publié samedi. L’ancien président est ainsi le candidat favori de 62% des sympathisants de droite interrogés (70% pour les seuls sympathisants UMP), loin devant les ex-Premiers ministres Alain Juppé (14%) et François Fillon (12%). 68% veulent des primaires. Mais ils sont aussi 68% à penser que, pour être candidat, Nicolas Sarkozy devra se soumettre à des primaires au sein de l’UMP, un exercice que le parti entend mettre en place pour la première fois pour la présidentielle de 2017. La publication de ce sondage intervient alors que Bernadette Chirac, l’épouse de l’ancien président Jacques Chirac, a déclaré cette semaine que Nicolas Sarkozy, dont elle a soutenu la campagne en 2012, entendait « évidemment » briguer un nouveau mandat en 2017.

Sondage Sarkozy : favori pour 67% des sympathisants

Sondage Sarkozy : favori pour 67% des sympathisants

Ils le regrettent déjà. Deux sympathisants de l’UMP sur trois, une proportion en légère progression, souhaitent que Nicolas Sarkozy « revienne dans la vie politique et soit le candidat de la droite à la présidentielle de 2017″, selon un sondage IFOP pour Valeurs actuelles publié mercredi.  67% des sympathisants de l’UMP sont de cet avis. C’est à peine trois points de plus que début novembre 2012, avant la crise de ce parti autour de l’élection du président de l’UMP, mais 14 de plus qu’en août dernier, selon l’IFOP.  26% des sympathisants du parti de Jean-François Copé et François Fillon souhaitent que Nicolas Sarkozy « revienne dans la vie politique mais uniquement en s’exprimant sur différents sujets ». 7% seulement aimeraient que l’ancien président de la République « ne revienne pas dans la vie politique ». Marge d’erreur entre 4,6 et 4,9 points, signifiant que le pourcentage de 67% mentionné dans l’étude peut aussi bien être de 62% que de 72%. 

 




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